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  1. Titre de l'album : Suicide squad présente : Peacemaker Scenariste de l'album : Kupperberg Paul Dessinateur de l'album : Tod Smith Coloriste : Tod Smith Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Diplomate de profession, Christopher Smith sait mieux que personne que certains conflits ne peuvent se régler qu'avec la manière forte. Aussi, lorsque la situation l'exige, il endosse le costume du Peacemaker et se charge de donner un coup de pouce à la Liberté lorsque les négociations semblent bloquées. Et ses coups de pouce, il les met toujours en pleine tête... Son petit monde bascule lorsque ce défenseur des valeurs américaines découvre qu'il est en réalité le fils d'un ancien commandant de camp de concentration... Critique : Je ne suis pas fan des comics des années 80. J'ai toujours eu du mal avec le graphisme et il faut un scénario en béton pour que j'accroche. Et bien il se trouve que c'est ce qui s'est passé pour ce Peacemaker. Je ne me donnais pas 50% de chance d'accrocher et en fait j'ai vraiment apprécié. J’ai apprécié le coté sans pite ni morale du héros. En effet dans notre 21ieme siècle policé ou les méchants deviennent gentils, un gentil ouvertement violent est un vrai rafraichissement. Il ne fait pas bon être méchant avec les Peacemaker en face de soi ! On se retrouve avec une vraie BD de barbouze digne des Expendables. Une vraie BD sans pitié avec des méchants très méchants mais qui en prennent plein les rotules. Et, à ma grande surprise, c'est super prenant ! On pourra juste regretter le premier chapitre avec le Vigilante ou le Peacemaker parait plus méchant et ou le héros est bien le Vigilante. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suicide-squad-presente-peacemaker?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Strange Academy T1

    Nouvelle série Panini qui cherche à relancer l'aspect "école" qui n'existe plus chez les X-Men et qui souhaite aussi pousser le côté magique de ses franchises, arrivé de Docteur Strange 2 oblige. Etant assez fan de tout ce qui est magie, avec un prix de lancement attractif de 10 euros, je me suis lancé. Etant plus habitué aux magiciens de DC, il m'a fallu un moment pour arrêter de confondre les seconds couteaux magiques de Marvel avec d'autre personnages. Mais c'est le gros intérêt de ce début de série : mise à part Docteur Strange, on e fout de savoir qui sont les autres professeurs, la série étant architecturé autours des enfants qui viennent, de n'importe où, apprendre à contrôler leurs pouvoirs magiques. Bon il va sans dire que si vous ne connaissez pas les parents de enfants (Dormamu, les asgards, les géants des glaces etc...) certaine animosité entre enfants ne vous paraitrons pas évidentes. Mais cela reste à la marge. EN effet les enfants sont tous bien pensé et ont chacun leur spécificité qui les différencie de leurs parents. Au final on a une vrai bonne aventure magique, remplie de personnages nouveaux qui évoluent rapidement et de professeurs qui n'osent pas "tout" dire à leurs nouveaux élèves. Un vrai bon premier tome qui ravira toute la famille ! Et ce pour "seulement" 10 euro ! Chez Panini c'est quasiment gratuit un tarif comme ça.
  3. Titre de l'album : Strange Academy T1 Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Humberto Ramos Coloriste : Humberto Ramos Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Stephen Strange s'est finalement résolu à faire ce qu'il a toujours évité pendant des décennies : ouvrir une école pour les jeunes sorciers. De jeunes talents venus du monde entier convergent donc vers la Nouvelle-Orléans, ils vont y étudier les Arts Mystiques avec Strange, Frère Vaudou, la Sorcière Rouge, Magie ou encore Hellstrom. Mais de nombreuses menaces mystiques mettent en péril l'école qui a peu de chances d'accueillir plusieurs générations d'élèves... C'est toujours un plaisir de voir arriver dans l'univers Marvel de nouveaux personnages. En voici toute une floppée, sous la houlette des dynamiques Skottie Young (Deadpool, Le Magicien d'Oz) et Humberto Ramos (Spider-Man) ! C'est Harry Potter chez les héros Marvel ! Critique : Nouvelle série Panini qui cherche à relancer l'aspect "école" qui n'existe plus chez les X-Men et qui souhaite aussi pousser le côté magique de ses franchises, arrivé de Docteur Strange 2 oblige. Etant assez fan de tout ce qui est magie, avec un prix de lancement attractif de 10 euros, je me suis lancé. Etant plus habitué aux magiciens de DC, il m'a fallu un moment pour arrêter de confondre les seconds couteaux magiques de Marvel avec d'autre personnages. Mais c'est le gros intérêt de ce début de série : mise à part Docteur Strange, on e fout de savoir qui sont les autres professeurs, la série étant architecturé autours des enfants qui viennent, de n'importe où, apprendre à contrôler leurs pouvoirs magiques. Bon il va sans dire que si vous ne connaissez pas les parents de enfants (Dormamu, les asgards, les géants des glaces etc...) certaine animosité entre enfants ne vous paraitrons pas évidentes. Mais cela reste à la marge. EN effet les enfants sont tous bien pensé et ont chacun leur spécificité qui les différencie de leurs parents. Au final on a une vrai bonne aventure magique, remplie de personnages nouveaux qui évoluent rapidement et de professeurs qui n'osent pas "tout" dire à leurs nouveaux élèves. Un vrai bon premier tome qui ravira toute la famille ! Et ce pour "seulement" 10 euro ! Chez Panini c'est quasiment gratuit un tarif comme ça. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/strange-academy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Pour les 20 ans de la création du personnage de Harley Quinn, DC a fait appel à tout son panel de scénaristes et dessinateur du moment pour nous livrer leur vision de Harley Quinn. Une vision dans une histoire très courte vue qu’elles font à peine 10 pages. Mais aussi courtes soient elles, ces histoires sont toutes très différentes et surtout montrent toutes des époques et des comportements de la gentille Harleen autant de que de la méchante Harley. Il y en a pour tous les gouts, à partir du moment où vous aimez le noir, le blanc et... le rouge. Et oui c'est la grosse innovation de ce recueil. Tous les dessins sont en trois couleurs. C'est assez intéressant car le rouge vif ressort agréablement sur le noir et blanc. Un recueil graphiquement intéressant qui deviendra vite culte pour les fans de la plus méchante des héroïnes de DC.
  5. Titre de l'album : Harley Quinn, Black + white + red Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : : On ne présente plus Harley Quinn, ancienne compagne du Joker et aujourd'hui icône à part entière. Depuis sa création par Paul DINI et Bruce TIMM, l'exubérante héroïne a inspiré de nombreux auteurs, apportant leur touche à ce personnage haut en couleurs. Ce volume regroupe 19 histoires déjantées mettant Harley en scène dans des ambiances graphiques très différentes faites de noir, de blanc, et d'audacieuses touches de rouge. Au dessin, des artistes tels que Mirka ANDOLFO (Mercu, DC BOMBSHELLS, SELINA KYLE : CATWOMAN) ou Stjepan �EJI? (HARLEEN), accompagnent des scénaristes de renoms tels que Amanda CONNER (HARLEY QUINN) et Sean Murphy (BATMAN WHITE KNIGHT, AMERICAN VAMPIRE) pour enrichir le mythe d'Harleen Quinzel. Critique : Pour les 20 ans de la création du personnage de Harley Quinn, DC a fait appel à tout son panel de scénaristes et dessinateur du moment pour nous livrer leur vision de Harley Quinn. Une vision dans une histoire très courte vue qu’elles font à peine 10 pages. Mais aussi courtes soient elles, ces histoires sont toutes très différentes et surtout montrent toutes des époques et des comportements de la gentille Harleen autant de que de la méchante Harley. Il y en a pour tous les gouts, à partir du moment où vous aimez le noir, le blanc et... le rouge. Et oui c'est la grosse innovation de ce recueil. Tous les dessins sont en trois couleurs. C'est assez intéressant car le rouge vif ressort agréablement sur le noir et blanc. Un recueil graphiquement intéressant qui deviendra vite culte pour les fans de la plus méchante des héroïnes de DC. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harley-quinn-black-white-red?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Death metal édition special t4 Scenariste de l'album : Scott Snyder / James Tynion / Dessinateur de l'album : Greg Capullo Coloriste : Greg Capullo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après sa défaite douloureuse contre la Légion Fatale de Perpetua et Lex Luthor, la Ligue de Justice a disparu de la surface de la Terre. De son côté, le Batman Qui Rit, toujours en liberté, a infecté plusieurs super-héros ainsi que le Commissaire Gordon qu'il garde comme sbire personnel. La confrontation entre Luthor et le Batman Qui Rit va conduire le monde dans un nouvel abîme de folie où des versions déformées des plus grands héros ne vont pas tarder à se soulever. Critique : Quatrième numéro de ce Death Metal special groupe de Metal avec cette fois un numéro consacré à Opeth, groupe de métal suédois fondé en 1990. Niveau histoire on se retrouve avec le numéro de la fin de l'espoir pour les héros du multivers par l'échec de la mission de la dernière chance de Wonder Woman....mais cela n'est pas l'important car, tout cela, on le savait deja. Ce qui est plus important c'est.... la sublime couverture de Matthieu Lauffray !! J'ai toujours eu beaucoup de respect pour le travail de maitre mauffray mais la il va encore plus loin. Rien à redire sur cette couverture qui vaudrait quasiment, à elle seule, l'achat de ce numero de l'édition collector. Comme les autres, c'es de l'objet de collection... Je vous laisserais donc juger de l'intérêt. A noter que le prochain vient de sortir et la fin des ces éditions spéciales devrait arriver avec le début du nouveau Run de la maison DC en septembre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-4-opeth-edition-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Death metal édition special t4

    Quatrième numéro de ce Death Metal special groupe de Metal avec cette fois un numéro consacré à Opeth, groupe de métal suédois fondé en 1990. Niveau histoire on se retrouve avec le numéro de la fin de l'espoir pour les héros du multivers par l'échec de la mission de la dernière chance de Wonder Woman....mais cela n'est pas l'important car, tout cela, on le savait deja. Ce qui est plus important c'est.... la sublime couverture de Matthieu Lauffray !! J'ai toujours eu beaucoup de respect pour le travail de maitre mauffray mais la il va encore plus loin. Rien à redire sur cette couverture qui vaudrait quasiment, à elle seule, l'achat de ce numero de l'édition collector. Comme les autres, c'es de l'objet de collection... Je vous laisserais donc juger de l'intérêt. A noter que le prochain vient de sortir et la fin des ces éditions spéciales devrait arriver avec le début du nouveau Run de la maison DC en septembre.
  8. Titre de l'album : Flashpoint - le prélude Scenariste de l'album : Geoff Johns Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lors de la Crise des Terres Infinies, Barry Allen, dit Flash, s'était sacrifié afin que le Multivers puisse survivre à l'attaque de l'Anti-Monitor. Pendant des années, il fut remplacé par son ancien sidekick, Wally West. Mais, lors de la guerre contre les forces de l'Anti-Vie de Darkseid, Barry est réapparu. Son retour implique également celui de son ennemi juré, Néga-Flash, ainsi que la menace d'un nouveau bouleversement au sein du Multivers. Contenu : The Flash: Rebirth #1-6, The Flash #1-7, 9-12 + The Flash Secret Files #1 Critique : Dans la foulée de l'anniversaire de Flashpoint avec la sortie d'une édition spéciale 10 ans, les éditions Urban complètent l'histoire en sortant un recueil des deux grosses histoires amenant au Flashpoint. En effet la Flashpoint n'est que le résultat de la volonté de Barry Allen de changer le passé. Les deux grosses histoires presentées ici nous montre le retour de Barry Allen dans le monde des vivants et comment son passage dans la force Véloce a changé sa facon de voir les choses. Ce changement de psycologie a lui amené à la volonté de retour dans le passé de Flash.... Autant vous le dire tout, de suite : si vous ne suivez pas Flash et que vous souhaitez lire Flashpooint, ce prélude est absolument indispensable. En effet il permet de vraiment développer le contexte autour de qui est Flash, ce qu'est la force véloce et de pourquoi est ce que changer le passé est dangereux. Bref un must read pour ceux qui veulent s'intéresser au personnage de Flash. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flashpoint-le-prelude?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Flashpoint - le prélude

    Dans la foulée de l'anniversaire de Flashpoint avec la sortie d'une édition spéciale 10 ans, les éditions Urban complètent l'histoire en sortant un recueil des deux grosses histoires amenant au Flashpoint. En effet la Flashpoint n'est que le résultat de la volonté de Barry Allen de changer le passé. Les deux grosses histoires presentées ici nous montre le retour de Barry Allen dans le monde des vivants et comment son passage dans la force Véloce a changé sa facon de voir les choses. Ce changement de psycologie a lui amené à la volonté de retour dans le passé de Flash.... Autant vous le dire tout, de suite : si vous ne suivez pas Flash et que vous souhaitez lire Flashpooint, ce prélude est absolument indispensable. En effet il permet de vraiment développer le contexte autour de qui est Flash, ce qu'est la force véloce et de pourquoi est ce que changer le passé est dangereux. Bref un must read pour ceux qui veulent s'intéresser au personnage de Flash.
  10. Titre de l'album : Lois Lane et le challenge de l'amitié Scenariste de l'album : Grace Ellis Dessinateur de l'album : Britney Williams Coloriste : Britney Williams Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À treize ans, Lois Lane est accro aux réseaux sociaux, et plus particulièrement aux challenges en tous genres que l'on trouve sur Internet. Alors pourquoi ne pas apporter sa pierre à l'édifice en créant sa propre chaîne de vidéos ? Après tout, c'est le début de l'été à Liberty View et dans quelques jours se tiendra la course annuelle de vélo du quartier. Une toile de fond idéale pour célébrer son « amiversaire » avec Kristen, sa meilleure amie, et lancer son #challengedelamitié dans l'espoir de gagner un tas d'abonnés. Alors quand Lois apprend que les feux d'artifice de la fête ont été volés, elle y voit une opportunité supplémentaire d'alimenter son projet et de prouver au monde à quel point elle et Kristen sont soudées. Elle n'avait pas imaginé une seule seconde qu'une autre fille puisse accaparer l'attention de son amie à un moment si important, ni que celle-ci prévoirait de partir en camp de vacances juste après la course, la laissant seule pour les semaines à venir. Le challenge de l'amitié est encore loin d'être gagné. Critique : Nouvel album de la collection Urban Kids avec cette fois ci une jeune Lois Lane. Une Lois Lane qui n'a rien à voir avec la journaliste et femme de superman hormis son caractère bien tremper (et un clin d'œil en fin d'album). Cet album jeunesse ne triche pas avec son public : Les dessins sont tout en rondeur, les couleurs vivent et les jeunes filles presque trop enfantines pour avoir 13 ans. Les auteurs ont dû choisir 13 ans pour se permettre de centrer le débat sur les réseaux sociaux sans se faire jeter des cailloux mais, à notre époque, ils auraient aussi bien pu leurs donner 10-11 que cela aurait marché de la même façon, surtout avec des personnages féminins beaucoup plus matures à 13 ans (et je sais de quoi je parle :p) . Ceci mis à part, cet album traite intelligemment de la rupture que provoques les réseaux "sociaux". La phrase choc du début d'album est la suivante :" Si on n’est pas amis sur youtube on n’est pas vraiment amie pas vrai ?" C'est toute la problématique de ces réseaux sociaux qui nous coupent du vrai lien social qui est traité ici. Une réflexion simple sur la différence entre la vraie vie et la vie sur internet. Un traitement enfantin (et légèrement caricatural on est d'accord) d'une question de société qui permet à l’enfant de bien comprendre la problématique sans qu'elle ne vienne de leurs vieux grincheux de parents. Rien que pour cela c'est une réussite. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lois-lane-le-challenge-de-l-amitie/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nouvel album de la collection Urban Kids avec cette fois ci une jeune Lois Lane. Une Lois Lane qui n'a rien à voir avec la journaliste et femme de superman hormis son caractère bien tremper (et un clin d'œil en fin d'album). Cet album jeunesse ne triche pas avec son public : Les dessins sont tout en rondeur, les couleurs vivent et les jeunes filles presque trop enfantines pour avoir 13 ans. Les auteurs ont dû choisir 13 ans pour se permettre de centrer le débat sur les réseaux sociaux sans se faire jeter des cailloux mais, à notre époque, ils auraient aussi bien pu leurs donner 10-11 que cela aurait marché de la même façon, surtout avec des personnages féminins beaucoup plus matures à 13 ans (et je sais de quoi je parle :p) . Ceci mis à part, cet album traite intelligemment de la rupture que provoques les réseaux "sociaux". La phrase choc du début d'album est la suivante :" Si on n’est pas amis sur youtube on n’est pas vraiment amie pas vrai ?" C'est toute la problématique de ces réseaux sociaux qui nous coupent du vrai lien social qui est traité ici. Une réflexion simple sur la différence entre la vraie vie et la vie sur internet. Un traitement enfantin (et légèrement caricatural on est d'accord) d'une question de société qui permet à l’enfant de bien comprendre la problématique sans qu'elle ne vienne de leurs vieux grincheux de parents. Rien que pour cela c'est une réussite.
  12. Titre de l'album : Injustice Year zero Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : "Tout aurait pu être différent s'ils avaient été parmi nous." Un an avant que Superman ne devienne le dictateur le plus haï de la planète, une Ligue de la Justice encore unie célébrait les héros qui les avaient précédés : la Société de Justice. À leur contact, Batman, Superman et les membres de la Ligue de Justice moderne apprirent comment ces aînés parvinrent secrètement à défaire le tyran nazi durant la seconde guerre mondiale. Cette ambiance fraternelle XX lorsque l'on rapporte les derniers agissements du Joker. Le criminel aurait trouvé le moyen de contrôler mentalement ses adversaires, et s'apprêterait à saboter la Ligue et la Société de Justice de l'intérieur... Critique : Etonnant pitch que celui-ci. En effet on nous propose ici un prequel à Injustice. Prequel dans lequel le joker s'attaque... à la société de Justice. Le prétexte est assez étrange d'ailleurs et ça sent quand même pas mal la commande éditorial pour faire un titre de plus à la franchise la plus bankable de DC. L'histoire n'est pas mauvaise. On a un vrai joker méchant et des gentils complètements perdus. Mais le Joker devient presque trop puissant, la société de justice trop faible et la résolution un peu facile. Facile tout comme le passage de rédemption de Harley Quinn, qui semble devenue obligatoire. Bref une lecture sympathique mais en rien immanquable. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/injustice-year-zero?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Injustice Year zero

    Etonnant pitch que celui-ci. En effet on nous propose ici un prequel à Injustice. Prequel dans lequel le joker s'attaque... à la société de Justice. Le prétexte est assez étrange d'ailleurs et ça sent quand même pas mal la commande éditorial pour faire un titre de plus à la franchise la plus bankable de DC. L'histoire n'est pas mauvaise. On a un vrai joker méchant et des gentils complètements perdus. Mais le Joker devient presque trop puissant, la société de justice trop faible et la résolution un peu facile. Facile tout comme le passage de rédemption de Harley Quinn, qui semble devenue obligatoire. Bref une lecture sympathique mais en rien immanquable.
  14. poseidon2

    Batman Arkham : Pinguoin

    Nouveau recueil d'histoire courtes inédites en france pour la plupart avec cette fois un focus sur le Pingouin. Le pinguoin est un des ennemis de batman les plus énigmatiques. Pas de pouvoirs réels mais une vraie intelligence et une enfance vraiment terrible. Le pingupoin tire son épingle du jeu dans la liste des ennemis de batman de part sa volonté d'être reconnu en tant qu'homme d'affaire plus que celle de vouloir etre un fou sanguinaire. Lui ne veut pas contrôler le monde et tuer batman à tout prix. Il veut de l'argent et du pouvoir. Comme les précédents , ce recueil nous propose des histoires intéressantes mais passablement vieilles qui plairont donc plus aux fans de la premières heures qu'au nouveaux lecteurs.
  15. Titre de l'album : Batman Arkham : Pinguoin Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Oswald Chesterfield Cobblepot est l'un des héritiers d'une des familles fondatrices de Gotham, mais c'est aussi le criminel connu sous le nom de Pingouin. Sous son apparence grotesque et difforme, il cache un esprit machiavélique et retors qui n'a de cesse de planifier la mort de son pire ennemi, le Chevalier Noir. Mais il est également un notable aux rêves de grandeur en quête à jamais de respectabilité. Contenu vo : Batman #169, 448-449, 548-549, 586 ; Batman Annual #11 ; Detective Comics #58, 67, 610-611, 615 ; Penguin Triumphant ; Secret Origins Special #1 ; Batman #23.3. Critique : Nouveau recueil d'histoire courtes inédites en france pour la plupart avec cette fois un focus sur le Pingouin. Le pinguoin est un des ennemis de batman les plus énigmatiques. Pas de pouvoirs réels mais une vraie intelligence et une enfance vraiment terrible. Le pingupoin tire son épingle du jeu dans la liste des ennemis de batman de part sa volonté d'être reconnu en tant qu'homme d'affaire plus que celle de vouloir etre un fou sanguinaire. Lui ne veut pas contrôler le monde et tuer batman à tout prix. Il veut de l'argent et du pouvoir. Comme les précédents , ce recueil nous propose des histoires intéressantes mais passablement vieilles qui plairont donc plus aux fans de la premières heures qu'au nouveaux lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-arkham-le-pingouin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Death Metal t3, Lacuna coil édition Scenariste de l'album : Scott Snyder / James Tynion IV Dessinateur de l'album : Greg Capullo Coloriste : Greg Capullo Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Après sa défaite douloureuse contre la Légion Fatale de Perpetua et Lex Luthor, la Ligue de Justice a disparu de la surface de la Terre. De son côté, le Batman Qui Rit, toujours en liberté, a infecté plusieurs super-héros ainsi que le Commissaire Gordon qu'il garde comme sbire personnel. La confrontation entre Luthor et le Batman Qui Rit va conduire le monde dans un nouvel abîme de folie où des versions déformées des plus grands héros ne vont pas tarder à se soulever. Critique : Nouvelle mini sortie d'un numéro de Death Metal avec cette fois ci le groupe de métal Lacuna Coil mit en avant. Ce groupe de métal gothique italien est un acteur reconnu de la musique met la depuis bientôt 30 ans. Concernant l'histoire, vous aurez le troisième numéro de Death Metal, numéro de montée en puissance du Batman qui rit et de désespoir de notre équipe de héros. Comme d'habitude on retrouve dans ce numéro des informations et interview sur le groupe en plus de ce numéro 3. On s'étonnera juste sur le calendrier de la sortie de ces numéros pour fan de Death Metal. En effet la parution finira alors même que la suite de l'univers DC aura déjà été lancée.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-3-lacuna-coil-edition-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nouvelle mini sortie d'un numéro de Death Metal avec cette fois ci le groupe de métal Lacuna Coil mit en avant. Ce groupe de métal gothique italien est un acteur reconnu de la musique met la depuis bientôt 30 ans. Concernant l'histoire, vous aurez le troisième numéro de Death Metal, numéro de montée en puissance du Batman qui rit et de désespoir de notre équipe de héros. Comme d'habitude on retrouve dans ce numéro des informations et interview sur le groupe en plus de ce numéro 3. On s'étonnera juste sur le calendrier de la sortie de ces numéros pour fan de Death Metal. En effet la parution finira alors même que la suite de l'univers DC aura déjà été lancée....
  18. Pour les 10 de l'un des événements les plus dimensionnant de l'univers DC, avec Crisis on infinite earth, Urban comics fait les choses en grand avec une édition spécial de cet évènement : une édition avec une couverture expérimentale en "caléidoscope" (je ne sais pas comment on appel ca :p) et rien de moins que le récit en double : l'histoire principale et la même avec la version crayonnée de l'album. Je ne reviendrais pas sur l'histoire qui créa toute la période Rebirth et qu'il est intéressant de relire quand celle-ci arrive à sa fin, mais plus de l'objet lui-même. Comme souvent pour ce genre d'édition spéciale, il s'agit ici d'une offre pour collectionneur. En effet si l'objet est beau et la couverture rigolote, on regrettera que la version "crayonné" ne soit pas encrée comme les autres titres que l'on a pu voir en Noir et Blanc chez Urban. Un lecteur lambda regrettera surement aussi la place que prend cette histoire. En effet entre la couverture épaisse, l'histoire en double et les galeries d'illustrations, cet album prend 3 fois plus de place que l'histoire de base. Si on ne peut que conseiller la lecture du Flashpoint à tout le monde, on ne conseillera cette version collector qu’aux fans de l'homme en rouge.
  19. Titre de l'album : Flashpoint édition spécial 10 ans Scenariste de l'album : Geoff Johns Dessinateur de l'album : Andy Kubert Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il protège les innocents et combat le Mal sous l'identité du Flash. Il est l'homme le plus rapide du monde. Du moins, c'est ce qu'il était avant que le monde bascule inexplicablement dans une autre dimension. Désormais, Aquaman et Wonder Woman s'y livrent une guerre sans merci, le célèbre Chevalier Noir est loin d'être un justicier exemplaire et personne n'a encore entendu parler de Superman... Dans cette nouvelle vie, Barry Allen n'est qu'un homme comme les autres, seul et impuissant. Contient : Flashpoint #1-8 + Flash #8 Critique : Pour les 10 de l'un des événements les plus dimensionnant de l'univers DC, avec Crisis on infinite earth, Urban comics fait les choses en grand avec une édition spécial de cet évènement : une édition avec une couverture expérimentale en "caléidoscope" (je ne sais pas comment on appel ca :p) et rien de moins que le récit en double : l'histoire principale et la même avec la version crayonnée de l'album. Je ne reviendrais pas sur l'histoire qui créa toute la période Rebirth et qu'il est intéressant de relire quand celle-ci arrive à sa fin, mais plus de l'objet lui-même. Comme souvent pour ce genre d'édition spéciale, il s'agit ici d'une offre pour collectionneur. En effet si l'objet est beau et la couverture rigolote, on regrettera que la version "crayonné" ne soit pas encrée comme les autres titres que l'on a pu voir en Noir et Blanc chez Urban. Un lecteur lambda regrettera surement aussi la place que prend cette histoire. En effet entre la couverture épaisse, l'histoire en double et les galeries d'illustrations, cet album prend 3 fois plus de place que l'histoire de base. Si on ne peut que conseiller la lecture du Flashpoint à tout le monde, on ne conseillera cette version collector qu’aux fans de l'homme en rouge. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flashpoint-edition-speciale-10-ans?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Shadow of the batgirl Scenariste de l'album : Sarah Kuhn Dessinateur de l'album : Nicole Goux Coloriste : Nicole Goux Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Difficile de balayer d'un revers de main tout ce qui nous a été enseigné depuis l'enfance. C'est pourtant l'épreuve difficile à laquelle va devoir se confronter Cassandra Cain, fille d'assassin formée depuis son plus jeune âge à embrasser la même voie que son père. Mutique depuis sa dernière mission, la jeune femme fuit, se renferme sur elle-même et s'interroge sur le sens qu'elle souhaite désormais donner à sa vie. Une petite voix dans sa tête lui répète qu'elle ne sera jamais quelqu'un de bien - à l'image de l'héroïne Batgirl, qu'elle admire tant, mais que personne n'a vu depuis plusieurs années. Fort heureusement, certaines rencontres peuvent tout changer. Grâce à deux femmes de caractère, courageuses et indépendantes qui la prennent sous leurs ailes, le destin de Cassandra ne sera plus jamais le même. Critique : Nouveau reboot made in Urban Link avec la belle histoire de Cassandra Cain. Belle non pas pdans le fond mais belle car bien raconté. On a la, encore une fois, une belle histoire sur fond de super héroïsme. La prise de partie de présenter une Cassandra Cain quasiment muette et analphabète est intéressant. Cela demande au lecteur de vraiment se plonger dans le personnage mais une fois ceci fait on se retrouve à mieux comprendre les doutes et les hésitations de Cassandra. L'aspect Batgirl est presenté avec finesse et la rencontre avec Barbara en fauteil est bien amenée. Ce dernier personnage est aussi bien traité, ne prenant pas trop de place et étant surtout la en tant que conseillère dans son role d'Oracle . Le choix de ne pas du tout mettre cet histoire dans l'univers de batman, au point de ne même pas parler de Batman lui meme dans Gotham, pourra paraitre étrange aux lecteurs assidus de la franchise mais cela permet aussi de se concentrer sur l'histoire de Cassandra. C'est donc plutot positif de mon point de vue. Urban Link nous propose donc, encore une fois, un bien beau reboot et une très belle histoire. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shadow-of-the-batgirl?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Shadow of the batgirl

    Nouveau reboot made in Urban Link avec la belle histoire de Cassandra Cain. Belle non pas pdans le fond mais belle car bien raconté. On a la, encore une fois, une belle histoire sur fond de super héroïsme. La prise de partie de présenter une Cassandra Cain quasiment muette et analphabète est intéressant. Cela demande au lecteur de vraiment se plonger dans le personnage mais une fois ceci fait on se retrouve à mieux comprendre les doutes et les hésitations de Cassandra. L'aspect Batgirl est presenté avec finesse et la rencontre avec Barbara en fauteil est bien amenée. Ce dernier personnage est aussi bien traité, ne prenant pas trop de place et étant surtout la en tant que conseillère dans son role d'Oracle . Le choix de ne pas du tout mettre cet histoire dans l'univers de batman, au point de ne même pas parler de Batman lui meme dans Gotham, pourra paraitre étrange aux lecteurs assidus de la franchise mais cela permet aussi de se concentrer sur l'histoire de Cassandra. C'est donc plutot positif de mon point de vue. Urban Link nous propose donc, encore une fois, un bien beau reboot et une très belle histoire.
  22. Titre de l'album : Batman Death Metal T4 Scenariste de l'album : Scott Snyder / James Tynion IV Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Malgré les agissements de Lex Luthor, Lobo et de la Ligue de Nightwing, le plan de la Trinité - Superman, Batman et Wonder Woman- pour contrer Perpetua a échoué. Désormais, le Darkest Knight possède l'énergie d'anti-crise à même de remodeler l'existence en Multivers qui rit. Pour les héros : il ne reste plus qu'une issue : restaurer toutes les continuités passées ou périr. Critique : Ça y est on est à la fin. La fin de rien de moins 17 volumes formant un une des histoires les plus dantesques de l'univers DC. Et encore je ne parle pas d’histoire annexe sur le multivers noir ou la League de justice Dark. Juste le cœur de l'histoire. Alors forcément une fin d'une aussi grande et démentiel histoire ne peut pas être parfaite. Il y a trop en jeux pour que la fin ne soit pas "Mystico-esoterico-mythologique". Mais pas plus que dans la plus part des crises DC. Mais ce qui rend ce tous globalement bon c'est bien le découpage et le basculement du désespoir vers l'espoir de chaque team. En effet nos auteurs choisissent de réunir les teams sur le champ de bataille. Que dire team. On parle bien ici de famille. Car il y a autant les gentils que les méchants. Chaque famille se sert les coude et lutte autant par habitude que par soutiens pour le reste de sa famille. Une lutte à la vie à la mort entre l'espérance de jour meilleur et le recherche de noirceur absolu. Donc si ce tome aura du mal à briller par sa simplicité (Apres 17 volumes aussi épais même Hickman ne saurais s'en sortir avec une fin logique et compréhensible) il n'en reste pas moins une fin émouvante qui clôture un arc aussi long que diffèrent de tout ce que l'on a pu voir. Un arc tellement long qu'on ne sait vraiment pas ce qui va nous attendre au tournant avec le Future State annoncé par DC. Si ce n'est qu'il y aura forcément du changement. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Batman Death Metal T4

    Ça y est on est à la fin. La fin de rien de moins 17 volumes formant un une des histoires les plus dantesques de l'univers DC. Et encore je ne parle pas d’histoire annexe sur le multivers noir ou la League de justice Dark. Juste le cœur de l'histoire. Alors forcément une fin d'une aussi grande et démentiel histoire ne peut pas être parfaite. Il y a trop en jeux pour que la fin ne soit pas "Mystico-esoterico-mythologique". Mais pas plus que dans la plus part des crises DC. Mais ce qui rend ce tous globalement bon c'est bien le découpage et le basculement du désespoir vers l'espoir de chaque team. En effet nos auteurs choisissent de réunir les teams sur le champ de bataille. Que dire team. On parle bien ici de famille. Car il y a autant les gentils que les méchants. Chaque famille se sert les coude et lutte autant par habitude que par soutiens pour le reste de sa famille. Une lutte à la vie à la mort entre l'espérance de jour meilleur et le recherche de noirceur absolu. Donc si ce tome aura du mal à briller par sa simplicité (Apres 17 volumes aussi épais même Hickman ne saurais s'en sortir avec une fin logique et compréhensible) il n'en reste pas moins une fin émouvante qui clôture un arc aussi long que diffèrent de tout ce que l'on a pu voir. Un arc tellement long qu'on ne sait vraiment pas ce qui va nous attendre au tournant avec le Future State annoncé par DC. Si ce n'est qu'il y aura forcément du changement.
  24. poseidon2

    Gotham high

    Titre de l'album : Gotham high Scenariste de l'album : Melissa de la Cruz Dessinateur de l'album : Thomas Pitilli Coloriste : Thomas Pitilli Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Pas facile de se faire des amis quand vos fringues valent plus que le revenu annuel d'une famille de travailleurs de Gotham. C'est l'amer constat que doit faire Bruce Wayne à son retour au lycée public de la ville, lui qui, jusqu'à son renvoi pour coups et blessures, côtoyait les élites de demain à la prestigieuse école privée Arkham. Ce retour à sa vie « d'avant le drame » est douloureux et solitaire. Enfin... jusqu'à ses retrouvailles avec son amie d'enfance, Selina Garcia Kyle, qui lui présente aussi un certain Jack Napier, joueur invétéré de poker. Tous deux ont des vies aux antipodes de celle de Bruce. À défaut de paillettes et de gros titres dans les journaux, Selina et Jack côtoient plutôt la maladie, les soucis financiers et la petite délinquance. Lorsque l'un des élèves du lycée se fait kidnapper, Bruce se lance à la recherche d'indices, mais les apparences sont bien souvent trompeuses, particulièrement à Gotham High, où les fêtes étudiantes, les romances et les manipulations sont légions, et où chacun devient un suspect potentiel Critique : Nouveau one shot dans l'univers de Batman chez Urban Link. Et cette fois un album qui reprend un des hits des 4 des derniers années : l'apparition de Jack Napier, alias le Joker. En effet très longtemps la vraie identité du Joker n'a pas été connue. Elle n'a été mise en avant que par l'excellent Bamtan White Night de Sean Murphy. Comme d'habitude dans les Urban Link, on n'est pas du tout ici dans un comics de super héros mais un comics qui essaye de retranscrire les traits de nos super héros dans une vie "normale". Et s'il y a plein de réussite depuis les débuts d'Urban Link, je ne pourrais dire que celui ci en est une. En effet graphiquement c'est c'est correct mais pas fantastique. Mais c'est surtout scenaristiquement que ce n'est pas à la hauteur des autres titres : Le personnage de Jack Napier ne prend pas. Il sert uniquement de faire valoir. Faire valoir à une Sélina Kyle plutot bien pensée mais trop versatile pour être crédible. Faire valoir à un Bruce Wayne en très petite forme qui se laisse mener par le bout du nez par tout le monde. L'histoire avance sans que ce trio ne se forme vraiment. Les manipulations sont grossières mais nos personnages principaux tomebent dedans sans réfléchir ce qui ne ressemble en rien aux personnages réels. Bref un album un peu vite lu et surement très vite oublié. Un album qui aura peut etre plus de succes avec un publique jeune et n'ayant aucune connaissance des personnages. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gotham-high?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Gotham high

    Nouveau one shot dans l'univers de Batman chez Urban Link. Et cette fois un album qui reprend un des hits des 4 des derniers années : l'apparition de Jack Napier, alias le Joker. En effet très longtemps la vraie identité du Joker n'a pas été connue. Elle n'a été mise en avant que par l'excellent Bamtan White Night de Sean Murphy. Comme d'habitude dans les Urban Link, on n'est pas du tout ici dans un comics de super héros mais un comics qui essaye de retranscrire les traits de nos super héros dans une vie "normale". Et s'il y a plein de réussite depuis les débuts d'Urban Link, je ne pourrais dire que celui ci en est une. En effet graphiquement c'est c'est correct mais pas fantastique. Mais c'est surtout scenaristiquement que ce n'est pas à la hauteur des autres titres : Le personnage de Jack Napier ne prend pas. Il sert uniquement de faire valoir. Faire valoir à une Sélina Kyle plutot bien pensée mais trop versatile pour être crédible. Faire valoir à un Bruce Wayne en très petite forme qui se laisse mener par le bout du nez par tout le monde. L'histoire avance sans que ce trio ne se forme vraiment. Les manipulations sont grossières mais nos personnages principaux tomebent dedans sans réfléchir ce qui ne ressemble en rien aux personnages réels. Bref un album un peu vite lu et surement très vite oublié. Un album qui aura peut etre plus de succes avec un publique jeune et n'ayant aucune connaissance des personnages.
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