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  1. poseidon2

    Middlewest t1

    J'ai pris ce tome 1 uniquement pour un nom : Skottie Young. C'est pour moi le scénariste du plus gros What the Fuck de l'histoire du comic : I hate Fairy land ! Franchement quand on a lu cette histoire de Fille coincée dans un monde enchantée qui résous ses problèmes à coup de hache... on a envie de lire la prochaine série du monsieur !!! Et bien si ce premier tome est moins barré que la série précédente, on reconnait le côté "imaginatif" du scénariste. Encore une fois on a l'a un scénario super original ou cela ne choque personne qu'un renard parle ou que des gens fassent un peu de magie mais pas trop. C’est ce qui est excellent dans ce premier tome : le fait que les bizarreries paraissent normales à tous les protagonistes. J'aime bien ces histoires qui ne se sentent pas obliger de justifier l'historique et qui part directement dans l'histoire. J'aime bien car quand c'est bien fait, comme la, le passif est dévoilé au fur et à mesure et permet de garder le dynamisme de l'histoire. Pour parler du scénario lui-même, on a une histoire digne de I hate Fairy Land. Très imaginatif, dans un monde très coloré, et très inventif, on est tout de suite happé par le récit mais aussi pris au ventre par l'histoire d'Abel. Entre le gamin perdu, le père aux étranges pouvoirs, le renard et un parcours initiatique semé d’embûche et de rencontre, on se croirait dans un mix entre le petit prince et Big Fish. Sublimé par des dessins impressionnant de Jorge Corona et une mise en couleur de Jean-François Beaulieu épatante, on se retrouve avec un premier tome dense et très beau. Un premier tome qui donne furieusement envie de lire la suite ! Encore !
  2. Attention cette critique est un crime de lèse-majesté ! Oui ce DK III Golden Child est bon. C'est vrai. Mais s'il est bon c'est avant tout grâce aux excellents dessins de Rafael Grampa. Et personne ne s'y trompe. La preuve : les éditions Urban nous livre, en plus de ce petit one shot, la version Noir et Blanc sans texte de la totalité du comics ! Et franchement.... ben j'ai rarement passé autant de temps sur des cases encrées. Elles sont sublimes. Pour tout vous dire quand j'ai vu que ce n'était pas une autre histoire mais bien une autre version de la même histoire qui remplissait cet album je me suis dit "trop naze".... puis j'ai tourné la page... et là la grosse claque ! Mais vraiment. C'est sublime ! Et où est mon crime de lèse-majesté alors ? Et bien tout simplement parce que c'est peu admissible que le nom de Franc Miller soit écrit plus gros sur la couverture que celui de Rafael Grampa. Surtout que le scénario est.... standard, pas plus. J'aurai aimé qu'ils soient à minima tous les deux présentés au même niveau.... Edit : suites a certaines remarques, je me dois de clarifier : il y a bien une version couleur avec textes ET une version noir et blanche encrée sans texte. Les deux 🙂
  3. Titre de l'album : The Dark Knight returns : the Golden Child Scenariste de l'album : Frank Miller Dessinateur de l'album : Rafael Grampa Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En couleurs. Alors qu'une élection approche et provoque un soulèvement sans précédent au sein de la population de Gotham, Batwoman, Superwoman et son jeune frère, le fils de Superman et Wonder Woman, tentent de lever le voile sur la panique qui s'empare des citoyens de la ville. Car, derrière le candidat populiste se cache le seigneur d'Apokolips, le maître de l'Anti-Vie, Darkseid ! Contenu vo : Contenu : Dark Knight: The Golden Child Deluxe Edition. Critique : Attention cette critique est un crime de lèse-majesté ! Oui ce DK III Golden Child est bon. C'est vrai. Mais s'il est bon c'est avant tout grâce aux excellents dessins de Rafael Grampa. Et personne ne s'y trompe. La preuve : les éditions Urban nous livre, en plus de ce petit one shot, la version Noir et Blanc sans texte de la totalité du comics ! Et franchement.... ben j'ai rarement passé autant de temps sur des cases encrées. Elles sont sublimes. Pour tout vous dire quand j'ai vu que ce n'était pas une autre histoire mais bien une autre version de la même histoire qui remplissait cet album je me suis dit "trop naze".... puis j'ai tourné la page... et là la grosse claque ! Mais vraiment. C'est sublime ! Et où est mon crime de lèse-majesté alors ? Et bien tout simplement parce que c'est peu admissible que le nom de Franc Miller soit écrit plus gros sur la couverture que celui de Rafael Grampa. Surtout que le scénario est.... standard, pas plus. J'aurai aimé qu'ils soient à minima tous les deux présentés au même niveau.... Edit : suites a certaines remarques, je me dois de clarifier : il y a bien une version couleur avec textes ET une version noir et blanche encrée sans texte. Les deux 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-dark-knight-returns-the-golden-child?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Naomi t1

    Il est très compliqué, en 2020, de sortir un nouveau super héros sans faire du plagiat d'un autre. En effet entre nos références et l'inconscient commun, on retombe toujours sur quelque chose de déjà-vu. Et bien il faut reconnaître à Bendis d'avoir de l'imagination car là il a réussi à éviter cet écueil en nous proposant une histoire vraiment original. Le contexte déjà : Naomi est une enfant adopté. Une enfant black adopté par des parents tout ce qu'il y a de plus blanc. Elle mène sa vie tranquille de lycéenne. A l'instar des derniers Green lantern, elle n'est en rien préparée de toute sa jeunesse à être un héros ou quelque chose de ce genre. Le comment elle acquiert se pouvoirs est aussi super bien foutu. Se basant "à peine" sur la facilité du multivers DC, Bendis nous emmène dans un univers semi magique tout neuf et plein de promesses. Si on ajoute le caractère bien trempé de Naomi, les particularités de son père et de son meilleur ennemis, on a là de quoi faire une série bien sympa. Attention quand même à ne pas tomber dans la série pour jeune de base qui centrerait l'histoire sur la vie d'une lycéenne aux super pouvoirs.
  5. poseidon2

    Naomi t1

    Titre de l'album : Naomi t1 Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : David F Walker Coloriste : Jamal Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Les habitants d'une petite bourgade du nord-ouest des États-Unis sont chamboulés par un combat en centre-ville entre Superman et Mongul qui a entraîné autant de dégâts que d'attention. L'affrontement éveille par ailleurs la curiosité de la jeune Naomi qui s'interroge sur son passé et ses racines, avant son adoption par ses parents. Les réponses ne vont pas tarder à venir et ces secrets de familles vont aller jusqu'à mettre en jeu la survie de la Terre elle-même ! Contenu vo : Naomi: Season One (#1-6). Critique : Il est très compliqué, en 2020, de sortir un nouveau super héros sans faire du plagiat d'un autre. En effet entre nos références et l'inconscient commun, on retombe toujours sur quelque chose de déjà-vu. Et bien il faut reconnaître à Bendis d'avoir de l'imagination car là il a réussi à éviter cet écueil en nous proposant une histoire vraiment original. Le contexte déjà : Naomi est une enfant adopté. Une enfant black adopté par des parents tout ce qu'il y a de plus blanc. Elle mène sa vie tranquille de lycéenne. A l'instar des derniers Green lantern, elle n'est en rien préparée de toute sa jeunesse à être un héros ou quelque chose de ce genre. Le comment elle acquiert se pouvoirs est aussi super bien foutu. Se basant "à peine" sur la facilité du multivers DC, Bendis nous emmène dans un univers semi magique tout neuf et plein de promesses. Si on ajoute le caractère bien trempé de Naomi, les particularités de son père et de son meilleur ennemis, on a là de quoi faire une série bien sympa. Attention quand même à ne pas tomber dans la série pour jeune de base qui centrerait l'histoire sur la vie d'une lycéenne aux super pouvoirs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/naomi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Batman : Creature de la nuit Scenariste de l'album : Kurt Busiek Dessinateur de l'album : John Paul Leon Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Batman Créature de la nuit 1968, Boston, dans le Massachusetts, le jeune Bruce Wainwright, homonyme du personnage de fiction « Bruce Wayne », voit ses parents brutalement abattus, comme un écho cruellement ironique au héros de bande dessinée Batman dont il est un avide lecteur. Désemparé, Bruce est désireux néanmoins de surmonter son trauma mais se voit poursuivi par une mystérieuse forme noire prenant vie. Un être d'ombre qui n'est pas loin de ressembler à... une chauve-souris humaine ! Contenu vo : Batman: Creature of the Night #1-4. Critique : Mais qu'est-ce que c'est que ça ??????? C’est vraiment ce que je me suis demandé au début de ma lecture. Aussi bien graphiquement qu'en terme de narration j'ai cru que j'avais choppé un cross over entre Kill or be Killed et Batman. Plus orienté Kill or be Killed en fait. Pour tout dire j'ai été regardé si je ne me trompais pas et si Kurt Busiek n'était pas l'auteur de Kill or be Killed. Car on retrouve dans ce Batman l'aspect "folie"/possession de Kill or be killed mais aussi l'aspect très mature et violent. Même graphiquement on n’est pas très loin ! Et donc forcément vu que j'ai aimé Kill or be Killed ben.... j'ai vraiment aimé cet extraterrestre Batmanesque. Car c'est bien un extraterrestre qui pourrait être sur Batman ou sur n'importe quel héros au final tellement l’intérêt n'est pas sur le côté héros. En effet l’intérêt est, comme Kill or be Killed, sur la psychologie de Bruce Wainwright et la dualité entre lui et son double sombre. La gestion de l'histoire (toujours très proche de l'autre) est vraiment super bien pensée et on est tenu en haleine sur la folie de notre héros jusqu'au bout. Un excellent one shot qui est plus un polar qu'un Batman. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-creature-de-la-nuit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Batman : Creature de la nuit

    Mais qu'est-ce que c'est que ça ??????? C’est vraiment ce que je me suis demandé au début de ma lecture. Aussi bien graphiquement qu'en terme de narration j'ai cru que j'avais choppé un cross over entre Kill or be Killed et Batman. Plus orienté Kill or be Killed en fait. Pour tout dire j'ai été regardé si je ne me trompais pas et si Kurt Busiek n'était pas l'auteur de Kill or be Killed. Car on retrouve dans ce Batman l'aspect "folie"/possession de Kill or be killed mais aussi l'aspect très mature et violent. Même graphiquement on n’est pas très loin ! Et donc forcément vu que j'ai aimé Kill or be Killed ben.... j'ai vraiment aimé cet extraterrestre Batmanesque. Car c'est bien un extraterrestre qui pourrait être sur Batman ou sur n'importe quel héros au final tellement l’intérêt n'est pas sur le côté héros. En effet l’intérêt est, comme Kill or be Killed, sur la psychologie de Bruce Wainwright et la dualité entre lui et son double sombre. La gestion de l'histoire (toujours très proche de l'autre) est vraiment super bien pensée et on est tenu en haleine sur la folie de notre héros jusqu'au bout. Un excellent one shot qui est plus un polar qu'un Batman.
  8. poseidon2

    Joker - Fini de rire

    Dans le cadre de l'été spécial Joker, Urban réédite deux titres phares des années 90 : Saint d'esprit et l'avocat du diable. Et si graphiquement on voit que le trait est un peu vieillot (quoi que sur l'avocat du diable ça passe très bien), au niveau du scénario, on est vraiment dans des histoires super innovantes qu'il se faut d'avoir lu si on aime le personnage du Joker. En effet le premier ne présente rien de moins qu'un Joker complètement perdu après enfin réussi (pense-t-il) à tuer sa Némésis. Le deuxième nous montre lui un Joker condamné à la peine de mort... à tort. Ce deuxième est particulièrement sympa car il montre enfin l'après "capture par Batman". Le procès, la plaidoirie de la folie, les jurés, les intimidations... tout ce que l'on ne voit pas d'habitude. En bref Urban réédite là deux très bonnes histoires autour du Joker qui permettra aux nouveaux fans de parfaire leur culture DC.
  9. Titre de l'album : Joker - Fini de rire Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le Joker est enfin parvenu à ses fins : il a tué Batman au cours d'un duel explosif ! Mais à présent que son plus cher ennemi n'est plus que lui reste-t-il à faire de ses journées ? Ainsi, l'ancien Clown Prince du Crime devient Joe Kerr, un simple citoyen de Gotham, et ne tarde pas à tomber amoureux. Mais l'ancien maniaque est-il véritablement devenu sain d'esprit ? Contenu vo : Contient : Legends of the Dark Knight #65-68, Joker: Devil's Advocate . Critique : Dans le cadre de l'été spécial Joker, Urban réédite deux titres phares des années 90 : Saint d'esprit et l'avocat du diable. Et si graphiquement on voit que le trait est un peu vieillot (quoi que sur l'avocat du diable ça passe très bien), au niveau du scénario, on est vraiment dans des histoires super innovantes qu'il se faut d'avoir lu si on aime le personnage du Joker. En effet le premier ne présente rien de moins qu'un Joker complètement perdu après enfin réussi (pense-t-il) à tuer sa Némésis. Le deuxième nous montre lui un Joker condamné à la peine de mort... à tort. Ce deuxième est particulièrement sympa car il montre enfin l'après "capture par Batman". Le procès, la plaidoirie de la folie, les jurés, les intimidations... tout ce que l'on ne voit pas d'habitude. En bref Urban réédite là deux très bonnes histoires autour du Joker qui permettra aux nouveaux fans de parfaire leur culture DC. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-fini-de-rire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Prez

    Titre de l'album : Prez Scenariste de l'album : Russell Mark Dessinateur de l'album : Ben Cldwell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Beth Ross est la première adolescente élue Présidente des États-Unis. Dans un pays où n'importe quelle corporation peut se présenter à la présidence, où les plus pauvres peuvent désormais louer leur corps pour afficher les pubs de leurs sponsors et où les tacos sont désormais livrés par drones, le seul espoir serait cette gamine de 19 ans découverte sur Twitter. La question n'est cependant pas de savoir si elle aura les épaules assez larges pour assurer ses nouvelles responsabilités mais si le système politique américain est prêt à passer au crible de cette fausse ingénue. Critique : Rhhhaaaa on parle des français mais il semblerait bien qu'il y ait des choses qu'on ne peut pas faire aux états Unis dont la première est bien de se foutre la gueule du pays lui-même et de ses dérives trop nombreuses pour être listées. En effet c'est la deuxième fois que sort Prez et pour la deuxième fois sa parution est raccourcie. Encore dans les années 70 on pouvait l'imaginer mais en 2019. Avant de lire ce Prez je pensais tout simplement que le comic serait moyen voir mauvais. Mais en fait pas du tout. Les dessins sont très bons (dans le style à la mode aux US genre the Weatherman, Black science etc...) et le scénario pour le moins... enormissime en forme de critique au vitriol de tous ce qui ne va pas aux US. Des armes, en passant par les lobbies, le règne des puissants, les différentes fractures sociales, du système de santé défaillant.... Et si d'un point de vue européens c'est délicieux plein de personnages hyper caricaturaux, il semblerait que ce "reboot" de Prez n'ait pas plus outre atlantique car la série qui devait compter 12 numéros n'en compte que 6... Ce qui joue forcement sur la qualité du dernier chapitre avec une fin un peu précipité et surtout une ouverture qui ne verra jamais le jour. Il faut donc se dire qu'être plus ambitieux (en termes de critique ouverte des problématiques de société) que Vaughan et son excellent Ex Machina ne semble pas encore être possible. C'est bien triste car j'aurai aimé voir notre Prez reprendre l'initiative comme dit ! Cette intégrale reste donc une excellente lecture mais qui aurait formé un ensemble encore plus sympa si l'histoire avait été au bout des idées des auteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/prez?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Prez

    Rhhhaaaa on parle des français mais il semblerait bien qu'il y ait des choses qu'on ne peut pas faire aux états Unis dont la première est bien de se foutre la gueule du pays lui-même et de ses dérives trop nombreuses pour être listées. En effet c'est la deuxième fois que sort Prez et pour la deuxième fois sa parution est raccourcie. Encore dans les années 70 on pouvait l'imaginer mais en 2019. Avant de lire ce Prez je pensais tout simplement que le comic serait moyen voir mauvais. Mais en fait pas du tout. Les dessins sont très bons (dans le style à la mode aux US genre the Weatherman, Black science etc...) et le scénario pour le moins... enormissime en forme de critique au vitriol de tous ce qui ne va pas aux US. Des armes, en passant par les lobbies, le règne des puissants, les différentes fractures sociales, du système de santé défaillant.... Et si d'un point de vue européens c'est délicieux plein de personnages hyper caricaturaux, il semblerait que ce "reboot" de Prez n'ait pas plus outre atlantique car la série qui devait compter 12 numéros n'en compte que 6... Ce qui joue forcement sur la qualité du dernier chapitre avec une fin un peu précipité et surtout une ouverture qui ne verra jamais le jour. Il faut donc se dire qu'être plus ambitieux (en termes de critique ouverte des problématiques de société) que Vaughan et son excellent Ex Machina ne semble pas encore être possible. C'est bien triste car j'aurai aimé voir notre Prez reprendre l'initiative comme dit ! Cette intégrale reste donc une excellente lecture mais qui aurait formé un ensemble encore plus sympa si l'histoire avait été au bout des idées des auteurs.
  12. poseidon2

    Integrale Before Watchmen T1

    Ah Watchmen.... quand on parle d'une oeuvre majeure du comic on réfléchit toujours à ce que l'on va dire. Alors quand on ajoute, 30 ans plus tard, des pages à la mythologie, il faut faire très attention à ce que l'on fait. Et c'est ce qui m'avait fait peur avec les "before watchmen". La possibilité d'égratigner le mythe. Je me suis penché sur l’intégrale après les bons retours sur les albums seuls et aussi en ayant vu la liste des artistes qui se prêtaient aux jeu : de Azzarello à Darwin Cooke en passant par Steve Rude. Que des noms connus qui m'ont fait franchir le pas. Et j'ai bien fait. Mais je dis bien J'AI bien fait. En effet ce before Watchmen est aussi indispensable qu'inutile. Il n'a quasiment rien à voir avec les Watchmen de Gibbons et Moore en fait. Les auteurs se basent sur des brides d'infos disséminés dans Watchmen pour recréer la mythologie des personnages d'avant l'époque de Watchmen : les Minutemen. Ces mini-histoires sur des personnages du passés sont donc vraiment anecdotiques et, si elles restent bien réalisées et sympatiques à lire, surtout la première de Darwin Cooke sur la création de Minutemen, elles n'apportent rien à Watchmen. On se retrouve donc avec des histoires dans un univers connus qui vont entourer la légende mais sans ne rien lui apporter. Bref un indispensable pour les fans qui voudront tout savoir sur Watchmen mais un très dispensable pour tout ceux qui aiment Watchmen comme un autre comics.
  13. Titre de l'album : Integrale Before Watchmen T1 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Au début des années 1940, la mode des aventuriers costumés frappait les Etats-Unis, incitant plusieurs individus à porter le masque afin de rendre la justice. Parmi eux, le Comédien, le Hibou, le Spectre Soyeux, Capitaine Métropolis, le Juge Masqué, l'Homme-Insecte, la Silhouette et Bill Dollar se sont regroupés en une organisation, les Minutemen, qui inspirera une génération plus tard les Watchmen. Critique : Ah Watchmen.... quand on parle d'une oeuvre majeure du comic on réfléchit toujours à ce que l'on va dire. Alors quand on ajoute, 30 ans plus tard, des pages à la mythologie, il faut faire très attention à ce que l'on fait. Et c'est ce qui m'avait fait peur avec les "before watchmen". La possibilité d'égratigner le mythe. Je me suis penché sur l’intégrale après les bons retours sur les albums seuls et aussi en ayant vu la liste des artistes qui se prêtaient aux jeu : de Azzarello à Darwin Cooke en passant par Steve Rude. Que des noms connus qui m'ont fait franchir le pas. Et j'ai bien fait. Mais je dis bien J'AI bien fait. En effet ce before Watchmen est aussi indispensable qu'inutile. Il n'a quasiment rien à voir avec les Watchmen de Gibbons et Moore en fait. Les auteurs se basent sur des brides d'infos disséminés dans Watchmen pour recréer la mythologie des personnages d'avant l'époque de Watchmen : les Minutemen. Ces mini-histoires sur des personnages du passés sont donc vraiment anecdotiques et, si elles restent bien réalisées et sympatiques à lire, surtout la première de Darwin Cooke sur la création de Minutemen, elles n'apportent rien à Watchmen. On se retrouve donc avec des histoires dans un univers connus qui vont entourer la légende mais sans ne rien lui apporter. Bref un indispensable pour les fans qui voudront tout savoir sur Watchmen mais un très dispensable pour tout ceux qui aiment Watchmen comme un autre comics. Autres infos : Pour les fan de Watchmen Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/before-watchmen-integrale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Série: Watchmen Dessinateur: Gibbons Scénariste: Moore A. Genre: Mythe Editeur: urban Comics L'acheter sur BDFugue Résumé : Le comédien est mort. La police a conclu à un crime crapuleux. Rorschach n'est pas du même avis. Trop de détails troublant, trop de personne s'en prenant aux anciens héros costumés.... Mais "who is watching the watchmen?" Mais cette histoire de meurtre est bien loin de faire la une des journaux. Car dans le monde se prépare quelque chose de bien plus terrifiant, de bien plus global. En effet la guerre froide dégénère et le monde entier sans arriver..... L'holocauste nucléaire. Alors les inquiétudes de Rorschach paraissent bien pauvre aux yeux de ces ex compagnons.... à tord ou à raison. Nous cherchions depuis quelques semaines à changer un peu les news. Nous nous sommes donc dis que présenter, à de plus jeunes lecteurs, ou à de nouveaux lecteurs, nos coups de coeurs et incontournables, pourrait être intéressant. Pour avoir des repères sur se qu'il faut absolument lire. Et comment, avec l'actualité brulante du film, trouver meilleur incontournable que "Watchmen". Car plus qu'un incontournable de 1001BD, c'est surtout un incontournable tout court. C'est le comic qui a été salué comme "la réponse du monde du comic aux grands romans du vingtième siècle". Seul, à ma connaissance, comic faisant partis des 100 meilleurs histoires du <i>Times</i> à ce jour. Qu'est ce qui rend "Watchmen" si incontournable me direz vous ? Tout d'abord le fait qu'il soit la plus grande oeuvre de Alan Moore. Et Mr Moore n'est pas n'importe qui. C’est l'auteur de V pour Vandetta, La ligues des gentlemen extraordinaire, Top 10, Promethea et j'en passe. Et en lisant Watchmen on se rend rapidement compte du talent de conteur de Moore. La mise en place de l'histoire, les présentations successives des personnages, le voile qui se lève petit à petit et la fin en apothéose sont passionnants ! Les personnages sont quand à eux très bien décris mais surtout très recherchés. Le personnage de Rorschach étant particulièrement bien fait malgré la difficulté de mettre en scène un homme qui est à la limite entre la psychose et le génie. Et il en va de même pour Dr Manhattan, Ozymandias et les autres ..... Tous cela sublimés par une réflexion très approfondis sur la société américaine des années 80, qui peux aisément se transfigurer à notre époque, et une fin ..... De toute beauté ! Le dessin de Gibbons est quand à lui bien adapté au scénario. Un poil vieillot mais collant bien à l'univers sombre et décadent de l'Amérique des années Nixon. Un véritable incontournable de la littérature américaine, à lire de toute urgence…Ou à relire de toute urgence. Note : Poseidon2 qui surveille les Watchmen
  15. poseidon2

    Harleen

    Titre de l'album : Harleen Scenariste de l'album : Stjepan Šejic Dessinateur de l'album : Stjepan Šejic Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après des études mouvementées qui ont entamé sa confiance en elle, la jeune psychologue Harleen Quinzel pense enfin avoir décroché le poste de ses rêves en étant embauchée à l'Asile d'Arkham afin d'apporter son soutien et son expertise aux plus grands criminels de Gotham. Mais il est un être au sein de cet asile qui va à la fois faire chavirer son esprit et son coeur : le Joker ! Petit à petit, Harleen va se laisser séduire puis sombrer dans un abîme de folie y laissant à tout jamais son innocence et ses illusions perdues. Contenu vo : Harleen #1-3. Critique : Somptueux.... c'est le premier mot qui vient quand on voit la couverture. Somptueux graphiquement mais aussi au niveau de sa conception. Cette image reflette à elle seule toute la dictotomie du personnage d'Harleen Quinzel : Une intelligence au service de la folie. Avec une couverture tellement belle on se dit que l'interieur sera forcement moins bon, comme souvent dans l'univers du Comic. Et bien non. Non et non. Stjepan Šejic nous livre un véritable récital. Graphiquement c'est une tuerie du début à la fin... Et donc au final "c'est juste un beau recueil d'illustration ? "me demanderont les lecteurs saoulés par l'omniprésence-présence de ce personnage "secondaire" du monde DC. Et bien... meme pas. Stjepan Šejic nous livre la première vrai histoire d'Haley Quinn depuis... fiouuu depuis un baille. Ici il n'est pas question d'une Harley Quinn gentille/méchante un peu bébête et sexy qui inondes les sorties et les écrans. Non la on parle de la jeune femme psychologue fraichement diplomée qui pense sincerement pouvoir aider les criminels à revenir dans le droit chemin. Stjepan Šejic nous livre une vrai auto psychanalyse du personnage. Via une voie off, le personnage d'Harleen décrypte sa lente descente aux enfers. Descente guidée par le maitre des lieux : Monsieur J. Entre manipulation du joker, véritable amour et relation interdite, Stjepan Šejic nous livre un récit complet et complexe sur un personnage qui gagne une densité impressionnante au point d'être vraiment l'objet de toutes les attentions. Bref Stjepan Šejic a prit son temps mais nous a livré un album superbe qui, à L'instar du Luthor de Azzarello, met en avant un personnages méchant tout en le traitant de facon sérieuse et réfléchit. Et sur un personnage publique et délurée commme Harley Quinn, ca fait un bien fou 🙂 Merci monsieur Stjepan Šejic PS: Attention tout de même, les lecteurs de comics qui espère des combats, des colants partout et un sauvetage de Gotham, vous risquez d'etre déçu. Autres infos : C'est qu'on l'aime comme ca la petite Harleen Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harleen?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Harleen

    Somptueux.... c'est le premier mot qui vient quand on voit la couverture. Somptueux graphiquement mais aussi au niveau de sa conception. Cette image reflette à elle seule toute la dictotomie du personnage d'Harleen Quinzel : Une intelligence au service de la folie. Avec une couverture tellement belle on se dit que l'interieur sera forcement moins bon, comme souvent dans l'univers du Comic. Et bien non. Non et non. Stjepan Šejic nous livre un véritable récital. Graphiquement c'est une tuerie du début à la fin... Et donc au final "c'est juste un beau recueil d'illustration ? "me demanderont les lecteurs saoulés par l'omniprésence-présence de ce personnage "secondaire" du monde DC. Et bien... meme pas. Stjepan Šejic nous livre la première vrai histoire d'Haley Quinn depuis... fiouuu depuis un baille. Ici il n'est pas question d'une Harley Quinn gentille/méchante un peu bébête et sexy qui inondes les sorties et les écrans. Non la on parle de la jeune femme psychologue fraichement diplomée qui pense sincerement pouvoir aider les criminels à revenir dans le droit chemin. Stjepan Šejic nous livre une vrai auto psychanalyse du personnage. Via une voie off, le personnage d'Harleen décrypte sa lente descente aux enfers. Descente guidée par le maitre des lieux : Monsieur J. Entre manipulation du joker, véritable amour et relation interdite, Stjepan Šejic nous livre un récit complet et complexe sur un personnage qui gagne une densité impressionnante au point d'être vraiment l'objet de toutes les attentions. Bref Stjepan Šejic a prit son temps mais nous a livré un album superbe qui, à L'instar du Luthor de Azzarello, met en avant un personnages méchant tout en le traitant de facon sérieuse et réfléchit. Et sur un personnage publique et délurée commme Harley Quinn, ca fait un bien fou 🙂 Merci monsieur Stjepan Šejic PS: Attention tout de même, les lecteurs de comics qui espère des combats, des colants partout et un sauvetage de Gotham, vous risquez d'etre déçu.
  17. Titre de l'album : Wonder Woman : Guerre et amour t1 Scenariste de l'album : G. Willow Wilson Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Envoyé en mission secrète dans le pays de Durovnie pour le compte de l'armée américaine, Steve Trevor se retrouve bien vite en mauvaise posture et y est fait prisonnier. Venue en renfort afin de le libérer, Wonder Woman ne se doute pas que cette incursion dans un pays étranger va la voir à nouveau réunie avec son demi-frère Arès, mystérieusement transformé. Ce dernier choque d'ailleurs Diana par sa proposition : l'ancien dieu de la guerre désire à présent aider la justicière dans son combat contre toute forme de tyrannie. Mais peut-on vraiment faire confiance au père de toutes les guerres ? Critique : Ça aurait pu être une idée sympa : Un problème à Themyscira fait descendre sur terre tout l'Olympe ce qui met pas mal Diana dans l'embarras car elle se retrouve avec Ares, et les autres dieux et demi dieux, sur les bras. Ça aurait donc pu donner quelque chose d'assez épique... Mais voilà pas du tout en fait. Pas du tout. Tout d'abord parce que les dieux décris dans ce tome ne sont pas vraiment crédibles. Arès est aussi irrationnel que versatile. Aphrodite aussi gentille qu'inutile et le bestiaire plutôt lourdingue. Bref des invités qui auraient pu être des invités de marques et qui se retrouve être les boulets de l'histoire. Etant des boulets cette histoire manquante considérablement de méchants. Diana est en mode pleurnicheuse et à besoin d’une thérapie de couple... bref ce n'est pas la bonne histoire. Pour ne pas tout jeter, les passages avec Giganta sont plutôt sympa et la fin promet un tome 2 plus intéressant... m'enfin ce n’est pas bien difficile. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-guerre-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Ça aurait pu être une idée sympa : Un problème à Themyscira fait descendre sur terre tout l'Olympe ce qui met pas mal Diana dans l'embarras car elle se retrouve avec Ares, et les autres dieux et demi dieux, sur les bras. Ça aurait donc pu donner quelque chose d'assez épique... Mais voilà pas du tout en fait. Pas du tout. Tout d'abord parce que les dieux décris dans ce tome ne sont pas vraiment crédibles. Arès est aussi irrationnel que versatile. Aphrodite aussi gentille qu'inutile et le bestiaire plutôt lourdingue. Bref des invités qui auraient pu être des invités de marques et qui se retrouve être les boulets de l'histoire. Etant des boulets cette histoire manquante considérablement de méchants. Diana est en mode pleurnicheuse et à besoin d’une thérapie de couple... bref ce n'est pas la bonne histoire. Pour ne pas tout jeter, les passages avec Giganta sont plutôt sympa et la fin promet un tome 2 plus intéressant... m'enfin ce n’est pas bien difficile.
  19. Titre de l'album : Diana, princesse des amazones Scenariste de l'album : Dean Hale Dessinateur de l'album : Shannon Hale / Victoria Ying Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À onze ans, Diana mène une vie paisible sur l'île de Themyscira où elle est née, aux côtés d'une mère aimante, la reine Hippolyte, et de ses nombreuses « tantes ». Mais la petite fille est enfant unique dans ce paradis isolé, au coeur de l'océan, et la solitude commence à lui peser. Pour tromper le temps, la jeune Diana décide alors de suivre l'exemple de sa mère – sans trop y croire - qui la façonna dans la glaise, et de se modeler une amie avec qui elle pourrait vivre et partager les aventures les plus folles. Elle n'aurait jamais imaginé que son rêve puisse devenir réalité. Contenu vo : Diana: Princess of the Amazons TPB. Critique : C'est très rigolo. Car la première personne qui a attrapé ce comic à la maison... c’est ma fille de "presque" 6 ans. Celle qui ne sait pas lire (même si on la soupçonne de nous cacher un truc). Comme quoi la couverture de ce nouveau numéro d'Urban Kids est vraiment réussie. Et l’intérieur aussi. SI j'avais été un peu déçu par le Shazam pour petit, ce Diana est, lui, parfait pour les jeunes lecteurs. La présentation de notre princesse est succincte (mais de toute façon les gosses n'en ont que faire) et laisse place à une vraie histoire d'une petit fille pas comme les autres. Et une belle histoire. Une histoire que comprendront toutes les petites filles du monde. Les illustrations sont belles et pas trop "compliquée". L'histoire finie bien et est prenante. La bonne lecture comics pour les 6-8 ans ! Autres infos : Pour 6-8 ans Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/diana-princesse-des-amazones?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Diana, princesse des amazones

    C'est très rigolo. Car la première personne qui a attrapé ce comic à la maison... c’est ma fille de "presque" 6 ans. Celle qui ne sait pas lire (même si on la soupçonne de nous cacher un truc). Comme quoi la couverture de ce nouveau numéro d'Urban Kids est vraiment réussie. Et l’intérieur aussi. SI j'avais été un peu déçu par le Shazam pour petit, ce Diana est, lui, parfait pour les jeunes lecteurs. La présentation de notre princesse est succincte (mais de toute façon les gosses n'en ont que faire) et laisse place à une vraie histoire d'une petit fille pas comme les autres. Et une belle histoire. Une histoire que comprendront toutes les petites filles du monde. Les illustrations sont belles et pas trop "compliquée". L'histoire finie bien et est prenante. La bonne lecture comics pour les 6-8 ans !
  21. Titre de l'album : Wonder Woman : Legendary Scenariste de l'album : De Liz Dessinateur de l'album : De Liz Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Née du désir profond de la reine Hippolyte d'avoir un enfant, Diana vit ses premières années entre quatre murs, elle que l'effronterie et l'inépuisable curiosité poussent pourtant sans cesse vers le monde extérieur. Les obligations liées à son rang et la destinée que les amazones ont semblent-elles déjà tout tracé pour elle ne lui conviennent pas. Elle en est convaincue, son avenir est ailleurs, et sa rencontre avec le pilote Steve Trevor ne fera que confirmer son ressenti. Car même le coeur de la légendaire Wonder Woman n'échappe pas à l'adage : il a ses raisons que la raison ignore, et il est prêt à la mener jusqu'au bout du monde ! Critique : MMMhhhh il y a un truc qui me gêne dans ce Wonder Woman legendary.... Pas les dessins qui sont globalement très bon. Non ce qui me gêne c'est.... que, à l'instar de Black Canary, ce comic n'a rien de très "Link". Par la j''entend rien de très "roman graphique" comme le veut la collection Urban. En fait cette histoire n'est ni plus ni moins que l'histoire de base de Wonder woman. Mise dans un nouveau format. Format qui ne doit pas forcement être celui de base d'ailleurs. En effet les textes sont écris tout petit et certain sont écrits en jaune sur blanc ou rouge sur noir ce qui n'aide pas à la lecture et laisse penser que tous ces textes étaient originellement écris plus gros... Niveau histoire, comme je le disais, on suit (presque) exactement la version classique. Celle qu'on a vue dans le film globalement. Une version sans réel surprise ni réel coté "roman graphique" avec très peu d'introspection du personnage à contrario de l'excellent "Super Girl : Being super" sorti en même temps. En bref uns bonne histoire pour qui ne connait pas le personnage et a des bons yeux. Une lecture par forcement obligatoire pour tout le reste.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-legendary?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Wonder Woman : Legendary

    MMMhhhh il y a un truc qui me gêne dans ce Wonder Woman legendary.... Pas les dessins qui sont globalement très bon. Non ce qui me gêne c'est.... que, à l'instar de Black Canary, ce comic n'a rien de très "Link". Par la j''entend rien de très "roman graphique" comme le veut la collection Urban. En fait cette histoire n'est ni plus ni moins que l'histoire de base de Wonder woman. Mise dans un nouveau format. Format qui ne doit pas forcement être celui de base d'ailleurs. En effet les textes sont écris tout petit et certain sont écrits en jaune sur blanc ou rouge sur noir ce qui n'aide pas à la lecture et laisse penser que tous ces textes étaient originellement écris plus gros... Niveau histoire, comme je le disais, on suit (presque) exactement la version classique. Celle qu'on a vue dans le film globalement. Une version sans réel surprise ni réel coté "roman graphique" avec très peu d'introspection du personnage à contrario de l'excellent "Super Girl : Being super" sorti en même temps. En bref uns bonne histoire pour qui ne connait pas le personnage et a des bons yeux. Une lecture par forcement obligatoire pour tout le reste....
  23. poseidon2

    Justice league / Black Hammer

    A force de faire des clins d'oeils aux plus grands héros du comics, un crossover ne pouvait que voir le jour. Et le fait qu'il soit avec les personnages DC est un bon choix. En effet le ton sombre de l'univers DC actuel correspond bien à l'histoire de Black Hammer. Je me demandais sincerement comment Jeff lemire allait pouvoir trouver une facon de meler les deux univers. Et bien il a encore une fois supris son monde : Il n'y a, au début, aucune explication sauf un mec en valise qui echange les deux équipes. La ou c'est une bonne idée, c'est que cela laisse beaucoup de place à l'incompréhension et à la recherche de qui et pourquoi. Mais cela laisse surtout la possibilité aux personnages forts en gueule de Black Hammer de bacher à tout va les membres restant de la ligue de justice. 😄 Coté ligue de justice prise aux piège de la ferme... je vous laisserais découvrir qui a pris le role de qui mais les choix sont savoureux 🙂 On pourra juste regretter deux choses sur ce cross over: sa taille premièrement. En effet la mayonnaise prend bien et on aurait aimé une histoire plus poussée. Ensuite si la résolution est crédible et pas mal pensée, elle en reste pour moi un peu facile. Je vous encourage à le lire pour en discuter avec moi 🙂 Pour résumé, c'est un album qui plaira aux fans, dont je fais parti, de la série Black hammer mais aura du mal à plaire aux autres.
  24. Titre de l'album : Justice league / Black Hammer Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Michael Walsh Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Venant de mondes différents, la Ligue de Justice et les champions oubliés de Spiral City étaient amenés à ne jamais se rencontrer. Mais lorsque qu'un mystérieux voyageur temporel croise leur chemin, tout bascule. Les anciens héros de Spiral City se retrouvent sur Terre-2 tandis que Batman, Superman, Wonder Woman et le reste de la Ligue atterrissent dans la paisible ferme des compagnons d'armes du héros disparu Black Hammer. Si les héros ont échangé leurs places, les problèmes restent bien les mêmes ! Critique : A force de faire des clins d'oeils aux plus grands héros du comics, un crossover ne pouvait que voir le jour. Et le fait qu'il soit avec les personnages DC est un bon choix. En effet le ton sombre de l'univers DC actuel correspond bien à l'histoire de Black Hammer. Je me demandais sincerement comment Jeff lemire allait pouvoir trouver une facon de meler les deux univers. Et bien il a encore une fois supris son monde : Il n'y a, au début, aucune explication sauf un mec en valise qui echange les deux équipes. La ou c'est une bonne idée, c'est que cela laisse beaucoup de place à l'incompréhension et à la recherche de qui et pourquoi. Mais cela laisse surtout la possibilité aux personnages forts en gueule de Black Hammer de bacher à tout va les membres restant de la ligue de justice. 😄 Coté ligue de justice prise aux piège de la ferme... je vous laisserais découvrir qui a pris le role de qui mais les choix sont savoureux 🙂 On pourra juste regretter deux choses sur ce cross over: sa taille premièrement. En effet la mayonnaise prend bien et on aurait aimé une histoire plus poussée. Ensuite si la résolution est crédible et pas mal pensée, elle en reste pour moi un peu facile. Je vous encourage à le lire pour en discuter avec moi 🙂 Pour résumé, c'est un album qui plaira aux fans, dont je fais parti, de la série Black hammer mais aura du mal à plaire aux autres. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-black-hammer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Batman universe t0 Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : Alex Maleev / Nick Derington Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En tentant d'empêcher le vol d'un oeuf de grande valeur par le Sphinx, Batman ne va pas tarder à embarquer dans une aventure qui va l'emmener à travers l'espace et le temps. En effet, l'oeuf en question possède des pouvoirs surnaturels et le commanditaire du Sphinx, Vandal Savage, tient absolument à le récupérer. Le Chevalier Noir devra faire appel à de nombreux alliés dont Green Lantern et le chasseur de primes du Far-West Jonah Hex ! Contenu vo : Batman Universe # ; "Citizen Wayne" (Batman Chronicles #21) ; "I Know" (Detective Comics #1000) Critique : Apres une sortie de confinement ou on a eu droit à un énorme lot de comics pour adultes avec la grosse avancer de la saga Métal, les DCeased et autre. L'été chez Urban est, elle, l'occasion de donner la part belle aux autres collections. Entre des Urban Kids, des Urban link (à venir), voici venir un Batman pour nouveau lecteur. Une vision très simple de l'univers DC. Un peu comme on pouvait en lire dans les années 90. Ici on ne se pose pas de question métaphysique et il n'est pas question de Crise alors même que cela pourrait être le cas. Malgré une histoire qui amènera Batman dans le passé, sur des mondes différents et qui le fera côtoyer ce qu'il se fait de mieux en héros, les dialogues restent simples et accessibles (avec une vraie touche d'humour très sympa) et les problématiques scientifique et compliqué, chère à Scott Snyder par exemple, sont, elles, complètement misent de cotés. Brian Bendis nous livre une histoire pour jeune lecteur et / ou débutant en DCU. Rien n'est compliqué, il y a de l'action, des rebondissements et des personnages haut en couleurs. Un vrai bon divertissement pour les vacances ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-universe-tome-0?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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