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  1. alx23

    Out of body

    Titre de l'album : Out of body Scenariste de l'album : Peter Milligan Dessinateur de l'album : Inaki Miranda Coloriste : Eva De La Cruz Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Dan Collins se réveille paralysé à l’hôpital et apprend qu’il a été attaqué et laissé pour mort. Il se trouve maintenant dans un état végétatif permanent, et est maintenu en vie grâce à des machines. Il ne peut ni bouger ni communiquer, mais d’une manière ou d’une autre, il doit découvrir qui voulait sa mort, avant de désactiver son assistance respiratoire. Critique : Peter Milligan nous propose une intrigue intéressante en partant de différentes idées proches comme la projection astrale, l'occultisme et la vie après la mort. La projection astrale est une méthode qui permet de dissocier le corps d'une personne et son esprit pour se déplacer ou explorer. L'auteur explique le concept en préface et son expérience personnelle. Out of Body pourrait être comparable à une enquête policière depuis le monde des esprits pour comprendre comment le héros se retrouve dans le coma suite à une agression. On remonte le temps et l'enquête où les personnages proche du héros nous permettent de comprendre et trouver le coupable. Dans cette mission, le héros est aidé par une femme ayant des capacités pour voir le monde des esprits. L'idée est originale et bien amenée pour un one shot prenant. La partie graphique de Miranda est classique dans un style réaliste malgré les thématiques fantastiques rencontrées dans l'histoire. Les couleurs et les visions psychédéliques sont bien réussies avec beaucoup de couleurs pour accompagner le héros. Out of body est une bonne lecture avec beaucoup de rebondissements puisque l'on tâtonne autant que le héros dans son enquête sur lui-même. L'album se termine avec une galerie de couvertures alternatives, des explications et des bonus. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/out-of-body/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    Out of body

    Peter Milligan nous propose une intrigue intéressante en partant de différentes idées proches comme la projection astrale, l'occultisme et la vie après la mort. La projection astrale est une méthode qui permet de dissocier le corps d'une personne et son esprit pour se déplacer ou explorer. L'auteur explique le concept en préface et son expérience personnelle. Out of Body pourrait être comparable à une enquête policière depuis le monde des esprits pour comprendre comment le héros se retrouve dans le coma suite à une agression. On remonte le temps et l'enquête où les personnages proche du héros nous permettent de comprendre et trouver le coupable. Dans cette mission, le héros est aidé par une femme ayant des capacités pour voir le monde des esprits. L'idée est originale et bien amenée pour un one shot prenant. La partie graphique de Miranda est classique dans un style réaliste malgré les thématiques fantastiques rencontrées dans l'histoire. Les couleurs et les visions psychédéliques sont bien réussies avec beaucoup de couleurs pour accompagner le héros. Out of body est une bonne lecture avec beaucoup de rebondissements puisque l'on tâtonne autant que le héros dans son enquête sur lui-même. L'album se termine avec une galerie de couvertures alternatives, des explications et des bonus.
  3. Avant dernier tome de cette collection centrée sur les Avengers par ordre chronologique , avec cette fois les Dark avengers de Norman Osborn ! L'ancien Bouffon vert repenti , se retrouve missionné par le gouvernement US pour créer et diriger une nouvelle équipe . Les cataclysmes Civil war et World war Hulk , ayant divisés nos héros historiques . L'histoire va donc suivre le recrutement de "vilains" pour incarner les rôles tenus jusqu'à présent par les illustres "gentils" en reprenant même les costumes identiques . En froid avec son père Wolverine , Daken endosse la combinaison jaune par exemple . Mais durant ce casting de choix , un conflit passé entre la fée Morgane et Dr Doom va venir perturber l'humanité et la nouvelle équipe va devoir prouver ses talents sous les feux des projecteurs , ainsi que des critiques appuyées des anciens costumés comme Hawkeye . Bendis alterne les phases présent/passé durant le récit , rendant l'immersion du lecteur progressive . Le dessin moderne de Deodato , typique des années 2000 et plus , donne une impression numérique , mais reste détaillé et dynamique de par son découpage . Il a travaillé sur Iron man et même sur le run de Hickman dans les décades suivantes , mais ce sera pour un ultime tome de cette passionnante saga des Avengers !
  4. Titre de l'album : Avengers - La collection anniversaire tome 5 - Dark Avengers Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : Mike Deodato Jr , Will Conrad Coloriste : Rain Beredo Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : À la suite de Civil War et de Secret Invasion, le peuple américain n'a plus confiance en ses héros, il croit maintenant en Norman Osborn, le Bouffon Vert, que le monde entier assimile à un sauveur depuis qu'il a abattu la reine des Skrulls en direct à la télévision. Le nouveau directeur du S.H.I.E.L.D. crée alors sa propre équipe d'Avengers. Dans les rôles de Spidey, Wolverine et Miss Marvel, Osborn recrute Venom, Daken et Opale. Osborn lui-même devient Iron Patriot, un mélange d'Iron Man et de Captain America. Arès et Sentry complètent cette équipe violente et instable, chargée de veiller sur le monde. La plus grande équipe de l'univers Marvel fête ce mois-ci ses soixante ans, et pour célébrer cet anniversaire, Panini Comics leur offre une collection à petit prix, en six volumes. Les lecteurs et fans de l'équipe la plus célèbre du MCU, partageront les sagas les plus emblématiques des plus grands héros de la Terre, pilotés par les plus grands artistes de la Maison des Idées ! Critique : Avant dernier tome de cette collection centrée sur les Avengers par ordre chronologique , avec cette fois les Dark avengers de Norman Osborn ! L'ancien Bouffon vert repenti , se retrouve missionné par le gouvernement US pour créer et diriger une nouvelle équipe . Les cataclysmes Civil war et World war Hulk , ayant divisés nos héros historiques . L'histoire va donc suivre le recrutement de "vilains" pour incarner les rôles tenus jusqu'à présent par les illustres "gentils" en reprenant même les costumes identiques . En froid avec son père Wolverine , Daken endosse la combinaison jaune par exemple . Mais durant ce casting de choix , un conflit passé entre la fée Morgane et Dr Doom va venir perturber l'humanité et la nouvelle équipe va devoir prouver ses talents sous les feux des projecteurs , ainsi que des critiques appuyées des anciens costumés comme Hawkeye . Bendis alterne les phases présent/passé durant le récit , rendant l'immersion du lecteur progressive . Le dessin moderne de Deodato , typique des années 2000 et plus , donne une impression numérique , mais reste détaillé et dynamique de par son découpage . Il a travaillé sur Iron man et même sur le run de Hickman dans les décades suivantes , mais ce sera pour un ultime tome de cette passionnante saga des Avengers ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avengers-la-collection-anniversaire-tome-5/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Avengers - La collection anniversaire tome 4 - Ultron unlimited Scenariste de l'album : Kurt Busiek Dessinateur de l'album : George Perez Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Ultron est de retour ! Le terrible robot créé par l'Avenger Hank Pym a pris le contrôle des médias du monde entier, et détruit la Slorénie, un petit pays d'Europe de l'Est. Les Avengers doivent mener la contre-attaque mais cette fois, Captain America, Thor, Wonder Man, la Sorcière Rouge et les autres seront-ils de taille ? La plus grande équipe de l'univers Marvel fête ce mois-ci ses soixante ans, et pour célébrer cet anniversaire, Panini Comics leur offre une collection à petit prix, en six volumes. Les lecteurs et fans de l'équipe la plus célèbre du MCU, partageront les sagas les plus emblématiques des plus grands héros de la Terre, pilotés par les plus grands artistes de la Maison des Idées ! Critique : Créé en 1968 par John Buscema et Roy Thomas , Ultron est revenu à la mode dans les années 90 suite à la l'omniprésence robotique au cinéma . Terminator , Robocop , Matrix etc ... Kurt Busiek , le prolifique et talentueux scénariste relance donc le super-vilain en le mettant aux prises avec les Avengers dans son run dessiné par feu Georges Perez . L'équipe composée de Captain America , Thor , Iron man , Wonder man , Vision et Wanda , intègre deux jeunes , Firestar et Justice en complément . Ils se voient contraint d'intervenir suite à la destruction d'un petit pays des balkans : la Slorénie . Ultron a un plan pour assoir sa domination sur l'homme , mais pas que 😉 ! C'est là que les talents scénaristiques de Kurt Busiek peuvent s'exposer et surprendre le lecteur . Le robot maléfique et son armure en adamantium prévoit de kidnapper des membres de l'équipe mais aussi un ancien adversaire des héros : le Moissonneur . Ajoutez à cela la présence de Alkhema qui vient jouer les troubles-fêtes et vous aurez un récit complet truffé d'actions et de rebondissements . Il est à noter la réussite un peu facile et spontanée des héros dans un final ,assez raccourcis par rapport au développement de l'histoire . il reste agréable de retrouver le trait de Georges Perez (mort à 67 ans en 2022) tellement typique des comics Marvel de ces années . Les cases de combats ne sont pas trop chargées , et si on peut lui reprocher certains visages , il signe des planches plutôt réussies et pas avares en détails . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ultron-unlimited-avengers-la-collection-anniversaire-tome-4/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Créé en 1968 par John Buscema et Roy Thomas , Ultron est revenu à la mode dans les années 90 suite à la l'omniprésence robotique au cinéma . Terminator , Robocop , Matrix etc ... Kurt Busiek , le prolifique et talentueux scénariste relance donc le super-vilain en le mettant aux prises avec les Avengers dans son run dessiné par feu Georges Perez . L'équipe composée de Captain America , Thor , Iron man , Wonder man , Vision et Wanda , intègre deux jeunes , Firestar et Justice en complément . Ils se voient contraint d'intervenir suite à la destruction d'un petit pays des balkans : la Slorénie . Ultron a un plan pour assoir sa domination sur l'homme , mais pas que 😉 ! C'est là que les talents scénaristiques de Kurt Busiek peuvent s'exposer et surprendre le lecteur . Le robot maléfique et son armure en adamantium prévoit de kidnapper des membres de l'équipe mais aussi un ancien adversaire des héros : le Moissonneur . Ajoutez à cela la présence de Alkhema qui vient jouer les troubles-fêtes et vous aurez un récit complet truffé d'actions et de rebondissements . Il est à noter la réussite un peu facile et spontanée des héros dans un final ,assez raccourcis par rapport au développement de l'histoire . il reste agréable de retrouver le trait de Georges Perez (mort à 67 ans en 2022) tellement typique des comics Marvel de ces années . Les cases de combats ne sont pas trop chargées , et si on peut lui reprocher certains visages , il signe des planches plutôt réussies et pas avares en détails .
  7. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Reborn - Tome 1 - Renaissance Scenariste de l'album : Sophie Campbell Dessinateur de l'album : Sophie Campbell Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans le nouveau monde des Tortues ninja !Après les événements cataclysmiques de New York, ville en guerre, des changements radicaux s'opèrent dans le fief des Tortues : de nouvelles factions ennemies apparaissent, et les alliés se font rares. Nos héros découvrent que pour survivre, la coopération est plus essentielle que jamais, mais lorsqu'ils se retrouvent séparés, Old Hob décide de combler le vide du pouvoir avec des mutants uniques en leur genre : Zanna, Champi et Zink ! Une nouvelle ère passionnante commence pour les Tortues, scénarisée et illustrée par la talentueuse Sophie Campbell (Wet Moon, Shadoweyes, Jem and the Holograms...). « Les Tortues ninja entrent dans une nouvelle ère mais restent au sommet... On aurait bien du mal à trouver un comics actuel mieux conçu que celui-ci. » ComicBook.com« Campbell offre une narration visuelle de premier ordre. Ses dessins font littéralement partie des meilleurs parmi les publications du moment. » Word of the Nerd Online Critique : Quel pied ! Sincèrement je me suis régalé à lire les histoires de ces tortues. Voici un reboot qui a de l'allure, de la continuité, tout en se débarrassant de pas mal des choses encombrants le premier long run. On retrouve nos tortues dans le dur, avec des problématiques plus terre à terre et qui nous lient plus fortement à elles. C'est un tome d'introduction, et forcément, la part belle est faite à leur reconstruction, mais cela ne les rend que plus proches de nous. On perd moins de temps avec des persos secondaires, et on les voit gagner en maturité en affrontant le deuil. A la manière de Last Ronin, on se sert d'un univers que l'on connait pour nous proposer un début d'histoire différent, et quelque part plus mature, tout comme nos tortues. Tant mieux. J'espère simplement que la suite de ce reborn les emmènera plutôt à affronter des menaces communes de leur monde bouleversé et non des menaces extraterrestre ou divines, car je pense que c'est là que cette série peut nous conquérir définitivement. Graphiquement même constat, c'est réussi, peut être parfois un peu trop épuré, mais globalement très constant, lisible et beau. Je me suis régalé. Chapeau Mme Sophie Campbell. Autres infos : d'après la série originale de K. Eastman et T. Waltz Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-reborn-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Quel pied ! Sincèrement je me suis régalé à lire les histoires de ces tortues. Voici un reboot qui a de l'allure, de la continuité, tout en se débarrassant de pas mal des choses encombrants le premier long run. On retrouve nos tortues dans le dur, avec des problématiques plus terre à terre et qui nous lient plus fortement à elles. C'est un tome d'introduction, et forcément, la part belle est faite à leur reconstruction, mais cela ne les rend que plus proches de nous. On perd moins de temps avec des persos secondaires, et on les voit gagner en maturité en affrontant le deuil. A la manière de Last Ronin, on se sert d'un univers que l'on connait pour nous proposer un début d'histoire différent, et quelque part plus mature, tout comme nos tortues. Tant mieux. J'espère simplement que la suite de ce reborn les emmènera plutôt à affronter des menaces communes de leur monde bouleversé et non des menaces extraterrestre ou divines, car je pense que c'est là que cette série peut nous conquérir définitivement. Graphiquement même constat, c'est réussi, peut être parfois un peu trop épuré, mais globalement très constant, lisible et beau. Je me suis régalé. Chapeau Mme Sophie Campbell.
  9. Titre de l'album : Hellboy tome 18 - Le club de la lanterne d'argent Scenariste de l'album : Michael Mignola & Chris Roberson Dessinateur de l'album : Matthew Dow Smith & Ben Stenbeck Coloriste : Michelle Madsen Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy découvre pour la première fois l'histoire du célèbre Club de La Lanterne d'argent ! Son oncle, et ancien membre de ce club très fermé, Simon Bruttenholm, raconte qu'il comptait dans ses rangs Sir Edward Grey (Witchfinder), Sarah Jewell, Lady Bai et le Major Singh, alors qu'ils enquêtaient sur les événements mystérieux à Londres vers la fin du 19e siècle... Critique : Michael Mignola s'associe au scénariste Chris Roberson un habitué de l'univers étendu de Hellboy, avec ses nombreuses participations à des récits du B.P.R.D. ou Witchfinder. Les deux auteurs maitrisent leur sujet et nous ont concocté cet album comme un recueil de cinq récits courts. Avec l'introduction du Club de la Lanterne d'argent, on découvre les membres qui combattent et côtoient le fantastique. Sir Edward Grey joue un rôle essentiel dans ce club si bien que l'on a l'impression de lire un tome de la série Witchfinder. Hellboy ne fait que des apparitions en début et fin de chapitre sans apporter de réel intérêt. Les histoires sont bien mais seront vite oubliées sauf celle avec Yad Tovich, le chasseur de loup-garou que l'on connait déjà d'un autre récit d'Hellboy. Matthew Dow Smith et Ben Stenbeck se chargent de la partie graphique dans un style classique. Pour une fois, Dave Stewart ne gère pas les couleurs, cela contribue au rendu différent par rapport à d'habitude. L'album se termine avec des explications sur les étapes de réalisation de planches. Ce tome 18 est un peu décevant puisque l'on ne s'attend pas à suivre Sir Edward Grey mais Hellboy, un tome assez basique et pas indispensable. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-tome-18-la-lanterne-d-argent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Michael Mignola s'associe au scénariste Chris Roberson un habitué de l'univers étendu de Hellboy, avec ses nombreuses participations à des récits du B.P.R.D. ou Witchfinder. Les deux auteurs maitrisent leur sujet et nous ont concocté cet album comme un recueil de cinq récits courts. Avec l'introduction du Club de la Lanterne d'argent, on découvre les membres qui combattent et côtoient le fantastique. Sir Edward Grey joue un rôle essentiel dans ce club si bien que l'on a l'impression de lire un tome de la série Witchfinder. Hellboy ne fait que des apparitions en début et fin de chapitre sans apporter de réel intérêt. Les histoires sont bien mais seront vite oubliées sauf celle avec Yad Tovich, le chasseur de loup-garou que l'on connait déjà d'un autre récit d'Hellboy. Matthew Dow Smith et Ben Stenbeck se chargent de la partie graphique dans un style classique. Pour une fois, Dave Stewart ne gère pas les couleurs, cela contribue au rendu différent par rapport à d'habitude. L'album se termine avec des explications sur les étapes de réalisation de planches. Ce tome 18 est un peu décevant puisque l'on ne s'attend pas à suivre Sir Edward Grey mais Hellboy, un tome assez basique et pas indispensable.
  11. The_PoP

    Rick & Morty - Il était une fois

    On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables.
  12. Titre de l'album : Rick & Morty - Il était une fois Scenariste de l'album : Sam Maggs Dessinateur de l'album : Sarah Stern & Emett Helen Coloriste : Sarah Stern Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Rick et Morty entrent dans un monde à vous faire GRIMacer... un monde de contes de fées inversé !Lorsque Morty doit réviser un examen, Rick lui propose d'utiliser sa dernière invention pour intégrer complètement les connaissances de son manuel Avalonia : Mauvaises histoires pour mauvais enfants. Mais les choses tournent mal lorsque Rick et Morty sont tous deux entraînés à l'intérieur du livre et sont contraints de vivre une aventure dans un univers miroir des contes de Grimm, complètement tordu et bien loin des adaptations édulcorées qu'on connaît ! Critique : On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rick-morty-il-etait-une-fois/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. The_PoP

    Rain

    Titre de l'album : Rain Scenariste de l'album : Jo Hill & David M. Booher Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : À Boulder dans le Colorado, le ciel est dégagé et Honeysuckle Speck ne pourrait pas être plus heureuse. En cette journée d'aout ensoleillée, elle emménage enfin avec sa petite amie Yolanda. Mais quand le rêve tourne au cauchemar et que des nuages sombres s'accumulent libérant une pluie de clous qui déchiquettent la peau de ceux qui ne sont pas protégés, leur monde vole littéralement en éclat.RAIN donne de la vie à la progression de cet événement apocalyptique, alors que le déluge de clous se répand à travers le pays et le monde, menaçant tout ce que les jeunes amoureuses Honeysuckle et Yolanda chérissent.L'adaptation captivante de la novella de Joe Hill, acclamée par la critique et best-seller du New York Times, par le scénariste David M. Booher (Canto), la dessinatrice Zoe Thorogood (The Impending Blindness of Billie Scott), et le coloriste Chris O'Halloran (Ha-Ha). Critique : Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics. Autres infos : D'après la novella de Joe Hill Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Rain

    Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics.
  15. alx23

    Lodger

    David Lapham s'est construit une solide réputation de scénariste de polar avec Stray Bullets, dont cinq intégrales sont déjà disponibles aux éditions Delcourt. Avec Lodger, l'auteur s'associe à sa femme pour écrire l'histoire, elle produisait également Stray Bullets. Ce one shot nous propose de suivre la destinée tragique de Ricky Toledo, une jeune femme en quête de vengeance. L'histoire se sépare en deux parties entre le passé avec des flashbacks pour comprendre la situation et la partie présente en suivant le parcours de cette femme accompagnée de son meilleur ami, un Smith & Wesson. Au travers de ce polar, on découvre une histoire d'amour très étrange tout au long de l'album avec un côté bien déjanté et sombre. L'ambiance est pesante durant ce road-trip dans les campagnes américaine. Si vous connaissez Stray Bullets, vous avez une bonne vision des dessins. Le trait de l'auteur est réaliste et en noir et blanc. Dans la continuité de sa série de polars, Lodger nous présente des tranches de vie désespérées avec tous les codes du genre et des rebondissement surprenants.
  16. alx23

    Lodger

    Titre de l'album : Lodger Scenariste de l'album : David Lapham & María Lapham Dessinateur de l'album : David Lapham Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ricky Toledo avait quinze ans lorsqu'elle est tombée amoureuse d'un beau et ténébreux vagabond qui louait une chambre dans sa maison familiale. Puis le bellâtre a tué sa mère et fait en sorte que son père soit envoyé en prison pour ce meurtre. Trois ans plus tard, Ricky ne recule devant rien pour se venger. Et la jeune femme brisée est accompagnée de son fidèle compagnon - un Smith et Wesson 45 en or nommé Golddigger... Critique : David Lapham s'est construit une solide réputation de scénariste de polar avec Stray Bullets, dont cinq intégrales sont déjà disponibles aux éditions Delcourt. Avec Lodger, l'auteur s'associe à sa femme pour écrire l'histoire, elle produisait également Stray Bullets. Ce one shot nous propose de suivre la destinée tragique de Ricky Toledo, une jeune femme en quête de vengeance. L'histoire se sépare en deux parties entre le passé avec des flashbacks pour comprendre la situation et la partie présente en suivant le parcours de cette femme accompagnée de son meilleur ami, un Smith & Wesson. Au travers de ce polar, on découvre une histoire d'amour très étrange tout au long de l'album avec un côté bien déjanté et sombre. L'ambiance est pesante durant ce road-trip dans les campagnes américaine. Si vous connaissez Stray Bullets, vous avez une bonne vision des dessins. Le trait de l'auteur est réaliste et en noir et blanc. Dans la continuité de sa série de polars, Lodger nous présente des tranches de vie désespérées avec tous les codes du genre et des rebondissement surprenants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lodger/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Dans la lignée de la sortie du film au cinéma, Urban comics nous sort un tome "introductif" sur le nouveau Blue Beetle. Nouveau, car troisième du nom. Personnage recoupant donc le héros de cinéma. L'histoire est résolument orienté (out comme le héros)à vers un jeune public. Dessins très colorés ayant peu de détails, personnage principal gaffeur cherchant à se faire une place parmi les grands noms des super héros et d'adversaire haut en couleurs. De quoi ravir nos jeunes, mais peut-être un peu moins les lecteurs historiques de DC qui trouveront le scenario trop facile.
  18. Titre de l'album : Blue Beetle - Remise de diplôme Scenariste de l'album : Adrián Gutierrez Dessinateur de l'album : Josh Trujillo Coloriste : Josh Trujillo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le post-bac, c'est pas de la tarte. En plus de devoir mettre hors d'état de nuire un nouveau super-vilain bien décidé à réduire El Paso en poussières, Jaime doit aussi subir la pression de son entourage à propos de ses choix à la sortie du lycée, et celle de la Ligue de Justice qui lui incombe de mettre son costume et ses ambition super-héroïques au placard pour laisser les adultes prendre le relai. Comme si ça ne suffisait pas, le scarabée qui permet à Jaime de se transformer en Blue Beetle commence à subir des interférences alors qu'un autre super-héros, Yellow Beetle, fait surface. Jamie parviendra t-il à trouver l'équilibre entre sa vie privée et sa carrière de super-héros, ou devra t-il pour de bon dire au revoir à Blue Beetle ? Contenu vo : Blue Beetle: Graduation Day #1-6. Critique : Dans la lignée de la sortie du film au cinéma, Urban comics nous sort un tome "introductif" sur le nouveau Blue Beetle. Nouveau, car troisième du nom. Personnage recoupant donc le héros de cinéma. L'histoire est résolument orienté (out comme le héros)à vers un jeune public. Dessins très colorés ayant peu de détails, personnage principal gaffeur cherchant à se faire une place parmi les grands noms des super héros et d'adversaire haut en couleurs. De quoi ravir nos jeunes, mais peut-être un peu moins les lecteurs historiques de DC qui trouveront le scenario trop facile. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-beetle-infinite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. alx23

    20th Century Eightball

    La série La bibliothèque de Daniel Clowes se poursuit pour notre plus grand plaisir avec un classique de l'auteur de comics indépendants. 20th Century Eightball représente les premiers travaux de l'auteur dont certains réalisés durant sa période à l'école d'art, avec toutes ses rencontres ou ses critiques. La plupart des histoires sont courtes et même certaines sur une seule planche. L'humour et la dérision sont bien constante dans différente mise en situation. On reconnait le style de l'auteur à venir, avec des dessins alternants des styles en couleur ou noir et blanc. Le ton est donné dès l'introduction de l'auteur en bande dessinée pour expliquer comment cet album à vue le jour. Je ne connais pas toutes les œuvres de l'auteur mais nous sommes dans un registre complétement différent des autres titres plus long et fantastique ou étrange, tout en conservant une touche particulière de Clowes bien reconnaissable. Cet album conviendra en premier pour les lecteurs suivant tous les sorties de l’auteur et pour posséder toute la collection de Daniel Clowes.
  20. Titre de l'album : 20th Century Eightball Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 20th Century Eightball est un recueil d'histoires courtes issues des 18 premiers fascicules des comics éponymes publiés entre 1989 et 2004, et démontrant la versatilité de l'auteur ainsi que de son talent de satire sociale. Avec ses récits plusieurs fois primés Clowes est reconnu dans le monde et notamment par Chris Ware qui considère le numéro 1 comme le plus grand comic-book de la fin du XXe siècle. Critique : La série La bibliothèque de Daniel Clowes se poursuit pour notre plus grand plaisir avec un classique de l'auteur de comics indépendants. 20th Century Eightball représente les premiers travaux de l'auteur dont certains réalisés durant sa période à l'école d'art, avec toutes ses rencontres ou ses critiques. La plupart des histoires sont courtes et même certaines sur une seule planche. L'humour et la dérision sont bien constante dans différente mise en situation. On reconnait le style de l'auteur à venir, avec des dessins alternants des styles en couleur ou noir et blanc. Le ton est donné dès l'introduction de l'auteur en bande dessinée pour expliquer comment cet album à vue le jour. Je ne connais pas toutes les œuvres de l'auteur mais nous sommes dans un registre complétement différent des autres titres plus long et fantastique ou étrange, tout en conservant une touche particulière de Clowes bien reconnaissable. Cet album conviendra en premier pour les lecteurs suivant tous les sorties de l’auteur et pour posséder toute la collection de Daniel Clowes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes-eightball?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    Friday tome 2

    Le premier tome de Friday commençait très bien cette trilogie sur deux jeunes enquêteurs dans une petite ville des Etats-Unis avec plusieurs histoires à la limite du surnaturel. Par chance, on n’a pas dû attendre longtemps avant de poursuivre l'intrigue. Cette suite réserve bien des surprises avec une ambiance bien plus sombre et davantage d'action. Friday remonte la piste laissée par son compagnon avec des indices qui apportent de nouvelles questions pour l’instant. Ed Brubaker a semé des indices partout depuis le premier tome que l'on commence seulement à voir et comprendre à la fin de cet album. En même temps, il est impossible de deviner le retournement de situation qui nous attend à la lecture de cet album. La relecture pour le prochain tome n’en sera que meilleure pour capter tous les détails dans les planches. Marcos Martín gère à merveille les dessins de cette série entre ambiance réaliste et côté fantastique avec un monstre inattendu. L'album se termine sur quelques recherches graphiques de l'auteur comme pour le premier tome. Les dessins et l'histoire fonctionnent très bien et l'on ne peut pas abandonner la lecture de cette série avant de l'avoir terminé, l'attente va être maintenant pour connaitre la conclusion avec le prochain tome.
  22. alx23

    Friday tome 2

    Titre de l'album : Friday tome 2 Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Marcos Martin Coloriste : Muntsa Vincente Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Une enquête aux frontières du réel.En revenant à Kings Hill, Friday a retrouvé son meilleur ami Lancelot. Ce petit prodige a toujours su résoudre les affaires étranges de la région. Mais cette fois, il y a laissé sa vie. Alors que Friday est dévastée par le chagrin, pour les autorités, l'affaire est close : c'est un accident. Comment peut-on imaginer pareille sottise ? Lancelot travaillait sur une mystérieuse affaire au moment où Friday a découvert son corps dans leur QG en feu. De toute évidence, on a essayé de le faire taire à jamais. Malgré la douleur, Friday se lance dans une épineuse enquête pour honorer la mémoire de son ami. Hélas les lieux du crime ne livreront aucun indice, tout a été détruit dans l'incendie. Friday repense alors à Fouinard, ce camarade qui avait disjoncté à cause d'une étrange dague juste avant la mort de Lancelot. Et si ces deux affaires étaient liées ? De pistes en pistes, Friday va se heurter à une énigme qui évoque une légende locale tout en essayant de déchiffrer les signes que Lancelot semble lui avoir laissés sur sa route. La jeune femme n'avait pas prévu qu'elle devrait se dresser face à une créature maléfique ! Critique : Le premier tome de Friday commençait très bien cette trilogie sur deux jeunes enquêteurs dans une petite ville des Etats-Unis avec plusieurs histoires à la limite du surnaturel. Par chance, on n’a pas dû attendre longtemps avant de poursuivre l'intrigue. Cette suite réserve bien des surprises avec une ambiance bien plus sombre et davantage d'action. Friday remonte la piste laissée par son compagnon avec des indices qui apportent de nouvelles questions pour l’instant. Ed Brubaker a semé des indices partout depuis le premier tome que l'on commence seulement à voir et comprendre à la fin de cet album. En même temps, il est impossible de deviner le retournement de situation qui nous attend à la lecture de cet album. La relecture pour le prochain tome n’en sera que meilleure pour capter tous les détails dans les planches. Marcos Martín gère à merveille les dessins de cette série entre ambiance réaliste et côté fantastique avec un monstre inattendu. L'album se termine sur quelques recherches graphiques de l'auteur comme pour le premier tome. Les dessins et l'histoire fonctionnent très bien et l'on ne peut pas abandonner la lecture de cette série avant de l'avoir terminé, l'attente va être maintenant pour connaitre la conclusion avec le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/friday-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Le retour de la Justice league Dark après le big event qui a vu l'homme inversé être absorbée par Zatana pour sauver la magie. Et quoi de mieux, pour relancer la franchise, que d'aller chercher un personnage iconique : Merlin. Un Merlin revanchard et blasé qui a bien décidé d'en finir avec l'humanité et les différentes réalités. Cela parle au fan de DC ? Et bien sûr car ce tome sur Merlin rejoint les étranges numéros de Futur State que nous avions lu l'année dernière. On a même le droit... de l'avoir en double. 😞 Concernant le numéro lui même, il est bon mais.... semble étrangement incomplet. En effet la première partie qui nous montre la montée en puissance de Merlin et le désarroi de la Justice League Dark est excellente… mais en suite, on saute étrangement dans les numéros de Future State et on zappe toute la partie "Victoire de Merlin" et occupation de la terre par des forces magiques. J'espère que cette partie de l'histoire sera racontée via des flashbacks dans les prochains numéros de la Justice league Dark.... De toute façon, au vu de la fin, on ne peut pas en rester la
  24. Titre de l'album : Justice League Dark - Le retour de Merlin Scenariste de l'album : Ram V. Dessinateur de l'album : Xermanico Coloriste : Xermanico Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le road-trip de Zatanna et John Constantine au Nouveau-Mexique est interrompu par un incendie d'où émerge une vieille connaissance. À plusieurs kilomètres de là, dans l'antre d'une cité perdue du Pays de Galles, ce sont des flammes tout aussi dévastatrices qui brûlent dans le regard de Merlin, dont le retour fera pâlir chaque membre de la Ligue de Justice. Pour sauver l'humanité, ils devront percer les mystères d'une bibliothèque possédée. Une nouvelle légende serait-elle en train d'être écrite ? Contenu vo : Justice League #59-71 Back-ups + Justice League Dark Annual #1 + Future State Justice League Dark #1-2. Critique : Le retour de la Justice league Dark après le big event qui a vu l'homme inversé être absorbée par Zatana pour sauver la magie. Et quoi de mieux, pour relancer la franchise, que d'aller chercher un personnage iconique : Merlin. Un Merlin revanchard et blasé qui a bien décidé d'en finir avec l'humanité et les différentes réalités. Cela parle au fan de DC ? Et bien sûr car ce tome sur Merlin rejoint les étranges numéros de Futur State que nous avions lu l'année dernière. On a même le droit... de l'avoir en double. 😞 Concernant le numéro lui même, il est bon mais.... semble étrangement incomplet. En effet la première partie qui nous montre la montée en puissance de Merlin et le désarroi de la Justice League Dark est excellente… mais en suite, on saute étrangement dans les numéros de Future State et on zappe toute la partie "Victoire de Merlin" et occupation de la terre par des forces magiques. J'espère que cette partie de l'histoire sera racontée via des flashbacks dans les prochains numéros de la Justice league Dark.... De toute façon, au vu de la fin, on ne peut pas en rester la Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-dark-infinite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    La malédiction de Spawn tome 1

    Avant que les éditions Delcourt récupèrent les droits des comics Spawn en version françaises, les éditions Semic avaient commencé à traduire la série principale ainsi que des hors-séries à la fin des années 90. Fort du succès des derniers épisodes de Spawn sortis et de l’univers étendue, les éditions Delcourt nous proposent maintenant une première intégrale, regroupant onze numéros de la série Curse of Spawn. L'album présente trois histoires sur des personnages emblématiques de la série principale ou inconnus. Alan Mcelroy est le scénariste du film Spanw avant d'écrire Curse of Spawn. On découvre un Hellspawn dans un monde apocalyptique avec des démons surarmés et près à en découdre avec les derniers humains en vie. Les deux inspecteurs Sam & Twitch sont les héros de la seconde histoire dans une enquête prenante et surnaturelle. La dernière histoire revient sur le personnage d'Angela que l'on a déjà croisé plusieurs fois maintenant. Dwayne Turner se charge de la partie graphique dans un style très représentative des années 90 en comics. L'ensemble est bien sombre avec beaucoup de monstres sortant des enfers. Cette première intégrale commence bien pour tous les amateurs de Spawn et pour compléter leur collection avec des titres de qualité avec une nouvelle traduction et un nouveau lettrage.
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