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  1. Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus.
  2. Titre de l'album : We only find them when they are dead Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : On n'oublie jamais la première fois que l'on voit un Dieu. Les Dieux sont toujours magnifiques. Et les Dieux sont toujours morts.2367, aux confins de la galaxie. Dans ce futur lointain, l'humanité a épuisé toutes ses ressources et doit sa survie à l'exploitation de dieux morts flottant dans l'espace, dont les cadavres gigantesques servent désormais de matière première. Le Vihan II est l'un des nombreux vaisseaux nécropsiques qui arpentent le cosmos dans l'espoir de trouver ces divinités providentielles. Mais Georges Malik, son capitaine, nourrit une obsession: pourquoi les dieux ne se révèlent-ils que lorsqu'ils sont morts? Pour tenter de s'émanciper de ce système gangréné par les inégalités et la pauvreté,tout l'équipage s'embarque alors dans un périple sous haute tension à la recherche d'un dieu vivant. Al Ewing (Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo (Tortues Ninjas & Power Rangers) livrent avec We Only Find Them When They're Dead un space opera grandiose d'une beauté à couper le souffle. Un premier tome accrocheur et unique en son genre, tout à la fois politique et mystique. « Un space opera à l'univers unique et très prometteur.» Mighty !« Embarquez-moi tout de suite ! »Jason Aaron (Thor, Avengers, Star Wars...)«Un univers graphique emballant avec des couleurs lumineuses et parfaites.» Comicstories Critique : Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus. Autres infos : Très très original Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-1-le-voyageur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Ed Brubaker et Sean Phillips sont devenus les deux auteurs référence de polars en comics avec leur excellente série Criminal. Après deux tomes hors-séries de Cirminal dans un format plus petit en pagination, le duo revient avec un album double et quelques trois cents pages de bonheur. En effet, Ed Brubaker avait déjà dans l'idée depuis une quinzaine d'années de revenir sur la jeunesse de personnages clés de Criminal. Avec ce hors-série Un été cruel, on revient sur la jeunesse de Ricky Lawless et de son père Teeg mais aussi de Leo Patterson et son père Tommy pour le plus grand plaisir des lecteurs de la première heure de Criminal. Brubaker maitrise les codes du genre pour nous emporter dans une intrigue prenante et très sombre pour le casse du siècle avec une équipe de choc mais aussi de loser. Les deux pères de famille gangster et leurs fils qui suivent le même chemin vont croisés la destinée d'une femme fatale qui manipule les gens autour d'elle. Brubaker ajoute à son histoire un détective privé dépassé par la situation pour parfaire son histoire. On croisera également d'autres personnages connus de la série comme la Grogne. Pour la partie graphique, on ne peut qu'être admiratif du travail de Sean Phillips, les deux derniers chapitres confirmeront son talent leur du braquage et des scènes d'action sans trop de parole pour profiter des dessins. Son fils Jacob assure les couleurs depuis quelques tomes déjà dans un style qui convient à merveille. Je ne pensais pas être autant surpris avec un nouvel épisode de Criminal tant la série état déjà parfaite et surtout après autant de tomes.
  4. Titre de l'album : Criminal - hors série - Un été cruel Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au cours de l'été 1988, Teeg Lawless met au point le plus gros braquage de sa carrière. Mais Ricky, le fils de Teeg, et ses amis, s'engagent sur la même voie que leurs pères, et cela va devenir le pire été de leur vie. Un Été cruel est une épopée où la tragédie se transmet de génération en génération. Chef-d'oeuvre des maîtres noirs les plus célèbres de l'industrie, Brubaker et Phillips. Critique : Ed Brubaker et Sean Phillips sont devenus les deux auteurs référence de polars en comics avec leur excellente série Criminal. Après deux tomes hors-séries de Cirminal dans un format plus petit en pagination, le duo revient avec un album double et quelques trois cents pages de bonheur. En effet, Ed Brubaker avait déjà dans l'idée depuis une quinzaine d'années de revenir sur la jeunesse de personnages clés de Criminal. Avec ce hors-série Un été cruel, on revient sur la jeunesse de Ricky Lawless et de son père Teeg mais aussi de Leo Patterson et son père Tommy pour le plus grand plaisir des lecteurs de la première heure de Criminal. Brubaker maitrise les codes du genre pour nous emporter dans une intrigue prenante et très sombre pour le casse du siècle avec une équipe de choc mais aussi de loser. Les deux pères de famille gangster et leurs fils qui suivent le même chemin vont croisés la destinée d'une femme fatale qui manipule les gens autour d'elle. Brubaker ajoute à son histoire un détective privé dépassé par la situation pour parfaire son histoire. On croisera également d'autres personnages connus de la série comme la Grogne. Pour la partie graphique, on ne peut qu'être admiratif du travail de Sean Phillips, les deux derniers chapitres confirmeront son talent leur du braquage et des scènes d'action sans trop de parole pour profiter des dessins. Son fils Jacob assure les couleurs depuis quelques tomes déjà dans un style qui convient à merveille. Je ne pensais pas être autant surpris avec un nouvel épisode de Criminal tant la série état déjà parfaite et surtout après autant de tomes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/criminal-hors-serie-un-ete-cruel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Pulp

    Une nouvelle production du duo Brubaker et Phillips est toujours un moment marquant dans le monde des comics. Avec Pulp, les auteurs nous offrent une intrigue sur deux époques de la vie d'un ancien truand qui a connu l'ouest sauvage en 1892 avec les duels au révolver et la seconde époque avec ce même homme mais vieilli dans le New-York des années 30. Ed Brubaker n'est plus à présenter avec ses nombreux récits épiques sur les braqueurs comme sa série Criminal mais aussi ses nombreuses histoires sur les super-héros, comme Captain America. Avec Pulp, Brubaker revient aux sources avec une histoire de truands au grand cœur. Le récit est prenant avec l'utilisation des méthodes du polar pour embarquer le lecteur dans une histoire originale. Sean Phillips confirme une fois de plus son talent pour mettre en image des récits différents. Il est amusant de voir son style sur des planches de western. Son fils Jacob apporte une touche intéressante aux dessins avec des styles différents suivant l'époque suivie. Je vous recommande fortement la lecture de Pulp, un one shot court mais à petit prix qui ne demande aucune connaissance des autres titres de Brubaker et Phillips. Pour information en juin, les éditions Delcourt proposeront Un été cruel dans la série Criminal et Texas blood avec Jacob Phillips au scénario.
  6. alx23

    Pulp

    Titre de l'album : Pulp Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Max Winters, un écrivain de Pulps dans les années 1930 à New York, est entraîné dans une histoire qui rappelle celles qu'il écrit pour cinq cents le mot - des histoires mettant en scène un hors-la-loi du Far West qui rend justice à coups de revolver. Max sera-t-il aussi efficace que ses héros face à des braqueurs de banque, des espions nazis et des ennemis issus de son passé ? Critique : Une nouvelle production du duo Brubaker et Phillips est toujours un moment marquant dans le monde des comics. Avec Pulp, les auteurs nous offrent une intrigue sur deux époques de la vie d'un ancien truand qui a connu l'ouest sauvage en 1892 avec les duels au révolver et la seconde époque avec ce même homme mais vieilli dans le New-York des années 30. Ed Brubaker n'est plus à présenter avec ses nombreux récits épiques sur les braqueurs comme sa série Criminal mais aussi ses nombreuses histoires sur les super-héros, comme Captain America. Avec Pulp, Brubaker revient aux sources avec une histoire de truands au grand cœur. Le récit est prenant avec l'utilisation des méthodes du polar pour embarquer le lecteur dans une histoire originale. Sean Phillips confirme une fois de plus son talent pour mettre en image des récits différents. Il est amusant de voir son style sur des planches de western. Son fils Jacob apporte une touche intéressante aux dessins avec des styles différents suivant l'époque suivie. Je vous recommande fortement la lecture de Pulp, un one shot court mais à petit prix qui ne demande aucune connaissance des autres titres de Brubaker et Phillips. Pour information en juin, les éditions Delcourt proposeront Un été cruel dans la série Criminal et Texas blood avec Jacob Phillips au scénario. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pulp?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Adventureman

    Allez hop, je tiens mon chouchou de ce début d'année, et à mon avis de cette année tout court. Que cela soit dit, j'adore le travail de Terry Dodson depuis Songes. Mais quel plaisir de le voir mettre son immense talent au service d'une histoire ambitieuse et d'un scénariste de talent : Matt Fraction (connu surtout pour son travail chez Marvel)... D'un point de vue éditorial on sent qu'ils se sont laissé beaucoup de libertés et c'est tant mieux. Bravo à Glénat d'être allé chercher cette perle. Côté scénario, prenez tout ce que vous aimez dans les vieux Pulp fantastiques, rajoutez y une belle pincée d'Onirisme, une actualisation prenante, des personnages qui déclenchent de l'empathie, des supers méchants très réussi, et un découpage des scènes absolument à couper le souffle et vous obtenez ce qui sera l'un des titres de l'année je pense. Certes il y a du texte et c'est un petit peu verbeux parfois, le début de l'histoire semble aussi un peu fouilli, mais le potentiel d'une grande histoire est clairement présent, et vu l'audace et la réussite de ce premier opus, je n'attendrais pas le second pour y mettre 5 étoiles. Je vous aurais prévenu, pour ma part je tire un très grand coup de chapeau à M. Dodson et Fraction. Si vous me lisez, merci, merci, merci. J'ai adoré.
  8. The_PoP

    Adventureman

    Titre de l'album : Adventureman Scenariste de l'album : Matt Fraction Dessinateur de l'album : Terry Dodson Coloriste : Terry & Rachel Dodson Editeur de l'album : Glenat - Comics Note : Résumé de l'album : Les vrais héros ne disparaissent jamais. Tic. Toc. Tic. Toc... L'horloge sonne l'heure fatidique de l'affrontement final entre Adventureman et son rival, le Baron Bizarre. Accompagnés de leurs frères et soeurs d'armes, héros et vilains déploient leurs forces dans un duel titanesque, digne d'une bataille olympienne. Mais tout cela est vain, car la règle est implacable: les héros vont gagner, le bien va l'emporter... Le bien l'emporte toujours. Pourtant cette fois, Adventureman est vaincu. Le Baron Bizarre a gagné. Tombée de rideau? Dans le monde réel, Tommy ferme le dernier roman de la saga Adventureman et s'indigne auprès de Claire, sa mère. Comment une telle histoire peut ainsi s'achever? La réponse : la suite n'existe pas. C'est du moins la conviction de Claire jusqu'au jour où une mystérieuse femme lui confie une édition inédite des récits d'Adventureman... Hommage vibrant aux récits d'aventures pulp, Matt Fraction et Terry Dodson délivrent dans les pages d'Adventureman, un condensé de fun et d'action terriblement moderne. Un voyage nostalgique et décomplexé au cours duquel une héroïne charismatique se laisse embarquer par une intrigue où s'entremêlent fiction et réalité. Critique : Allez hop, je tiens mon chouchou de ce début d'année, et à mon avis de cette année tout court. Que cela soit dit, j'adore le travail de Terry Dodson depuis Songes. Mais quel plaisir de le voir mettre son immense talent au service d'une histoire ambitieuse et d'un scénariste de talent : Matt Fraction (connu surtout pour son travail chez Marvel)... D'un point de vue éditorial on sent qu'ils se sont laissé beaucoup de libertés et c'est tant mieux. Bravo à Glénat d'être allé chercher cette perle. Côté scénario, prenez tout ce que vous aimez dans les vieux Pulp fantastiques, rajoutez y une belle pincée d'Onirisme, une actualisation prenante, des personnages qui déclenchent de l'empathie, des supers méchants très réussi, et un découpage des scènes absolument à couper le souffle et vous obtenez ce qui sera l'un des titres de l'année je pense. Certes il y a du texte et c'est un petit peu verbeux parfois, le début de l'histoire semble aussi un peu fouilli, mais le potentiel d'une grande histoire est clairement présent, et vu l'audace et la réussite de ce premier opus, je n'attendrais pas le second pour y mettre 5 étoiles. Je vous aurais prévenu, pour ma part je tire un très grand coup de chapeau à M. Dodson et Fraction. Si vous me lisez, merci, merci, merci. J'ai adoré. Autres infos : Comics pulp Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adventureman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Pffff que c'est dur de parler de Bitter Root, tellement j'ai adoré ce premier opus, alors même qu'il a été plutôt encensé par la critique tandis que les ventes du premier opus se sont révélées très décevantes. Dur, dur d'y voir clair la dedans. Et ce tome 2 ne va clairement mettre personne d'accord. Disons le clairement le parti pris de la narration est de volontairement foutre le bordel dans le fil de l'histoire qui jusqu'ici était plutôt classique. Mélange d'époques sans dates repères, chronologies et lieux fouillis, personnages multiples et liés les uns aux autres, pouah, la première lecture de ce Bitter Root va vous retourner la tête. Même l'arbre généalogique réussi à être inutilement tordu. Et pour ma part je ne peux que trouver ça dommage. Dommage car c'est de mon point de vue clairement inutile, tant le propos de fond est génial, la mise en scène réussie, et les graphismes, comme souvent inégaux dans les comics, globalement super originaux et cohérents avec l'oeuvre. Cet artifice donc n'apporte rien, et retire inutilement un plaisir de lecture qui aurait pu être tellement parfait. Bon voilà, j'ai bien râlé, bien ronchonné. Mais en vrai c'est presque toujours aussi bon. Et j'attends beaucoup de ma relecture. Et oui il s'avère qu'une fois passé la difficulté de rentrer de nouveau dans l'histoire et d'appréhender la cohérence narrative, cette lecture nous prend une nouvelle fois aux tripes pour ne plus nous lâcher avant la dernière page. Voilà, on ne sera pas tous d'accord sur Bitter Root, mais il faudra vous y frotter au moins une fois pour voir si comme moi vous trouverez ça génial, ou si comme certains de mes amis BDphiles, vous trouverez ça quelconque.
  10. Titre de l'album : Bitter Root - Tome 2 - Rage et rédemption Scenariste de l'album : Chuck Brown &David F. Walker Dessinateur de l'album : Sanford Greene Coloriste : Sofie Dodgson & Sanford Greene Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Vainqueur de l'Eisner Award 2020 de la meilleure série régulière. Nommé au Eisner Award 2019 de la meilleure nouvelle série. Chasser les monstres est une affaire familiale pour les Sangerye. De génération en génération, ils ont combattu les Jinoos, d'horribles créatures nées de la haine. Mais ils doivent désormais faire face à une menace bien différente : les redoutables Inzondos, un nouveau type de monstre engendré par le deuil et les traumatismes. Tandis qu'une légion d'âmes torturées s'abat sur Harlem, les Sangerye vont encore devoir se battre pour sauver le monde... avant que leur propre souffrance ne les transforme eux aussi ! Récompensés par le prestigieux Eisner Award de la meilleure série régulière, David F. Walker, Chuck Brown et Sanford Greene poursuivent le combat de la famille Sangerye dans le Harlem des années 1920 à coups de scènes d'action grandioses et de métaphores limpides dont la puissance résonne aujourd'hui tout autant qu'en 1924. Critique : Pffff que c'est dur de parler de Bitter Root, tellement j'ai adoré ce premier opus, alors même qu'il a été plutôt encensé par la critique tandis que les ventes du premier opus se sont révélées très décevantes. Dur, dur d'y voir clair la dedans. Et ce tome 2 ne va clairement mettre personne d'accord. Disons le clairement le parti pris de la narration est de volontairement foutre le bordel dans le fil de l'histoire qui jusqu'ici était plutôt classique. Mélange d'époques sans dates repères, chronologies et lieux fouillis, personnages multiples et liés les uns aux autres, pouah, la première lecture de ce Bitter Root va vous retourner la tête. Même l'arbre généalogique réussi à être inutilement tordu. Et pour ma part je ne peux que trouver ça dommage. Dommage car c'est de mon point de vue clairement inutile, tant le propos de fond est génial, la mise en scène réussie, et les graphismes, comme souvent inégaux dans les comics, globalement super originaux et cohérents avec l'oeuvre. Cet artifice donc n'apporte rien, et retire inutilement un plaisir de lecture qui aurait pu être tellement parfait. Bon voilà, j'ai bien râlé, bien ronchonné. Mais en vrai c'est presque toujours aussi bon. Et j'attends beaucoup de ma relecture. Et oui il s'avère qu'une fois passé la difficulté de rentrer de nouveau dans l'histoire et d'appréhender la cohérence narrative, cette lecture nous prend une nouvelle fois aux tripes pour ne plus nous lâcher avant la dernière page. Voilà, on ne sera pas tous d'accord sur Bitter Root, mais il faudra vous y frotter au moins une fois pour voir si comme moi vous trouverez ça génial, ou si comme certains de mes amis BDphiles, vous trouverez ça quelconque. Autres infos : Quand Ghost Buster rencontre Malcolm X dans le Harlme des années 20. Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bitter-root-tome-2-la-rage-et-la-redemption?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Once en future T2

    Miam le retour de mon comics arthurien. Surtout le retour de Dan Mora. Car on peu dire sans aucune honte que le trait de Dan Mora fait pour 60% de l'interet de ce comic. C'est somptueux avec des couleurs super vives et un bestiaire de folie. Franchement ca dépote ! Mais ne vous inquietez pas les 40% de scénario sont toujours aussi sympas. Notre Duncan est toujours autant perdu. A l'inverse le mysère globale derrière cette invasion de monstre se disperse petite à petit. Pour ne pas finir trop rapidement son histoire, Kieron Gillen renforce le coté litteraire en allant chercher une légende hors de l'épopée Arthurienne pour nous presenter le personnage de Beowulf. Personnage pas forcement très connu en france donc un peu plus difficile d'acces mais personnage servant surtout de support à la partie principale du récit : les manigances de Merlin. Manigances qui me font dire, encore une fois, qu'il faudrait relire à minima un résumé de l'ensemble de l'épopée d'Arthur pour encore plus apprécier ce comics. Ce que je ferais sans nul doute avant le troisième et dernier tome.
  12. Titre de l'album : Once en future T2 Scenariste de l'album : Kieron Gillen Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Bien que Bridgette et Duncan ont empêché Arthur de récupérer le Graal, leurs actions ont accidentellement provoqué la ruine de L'Autre Monde, permettant à de nouvelles légendes et personnages de faire leur apparition - et leurs problèmes aussi. Lorsqu'un casque est volé au British Museum, Bridgette et Duncan sont confrontés à un nouveau challenge de taille : un monstre et sa mère. Critique : Miam le retour de mon comics arthurien. Surtout le retour de Dan Mora. Car on peu dire sans aucune honte que le trait de Dan Mora fait pour 60% de l'interet de ce comic. C'est somptueux avec des couleurs super vives et un bestiaire de folie. Franchement ca dépote ! Mais ne vous inquietez pas les 40% de scénario sont toujours aussi sympas. Notre Duncan est toujours autant perdu. A l'inverse le mysère globale derrière cette invasion de monstre se disperse petite à petit. Pour ne pas finir trop rapidement son histoire, Kieron Gillen renforce le coté litteraire en allant chercher une légende hors de l'épopée Arthurienne pour nous presenter le personnage de Beowulf. Personnage pas forcement très connu en france donc un peu plus difficile d'acces mais personnage servant surtout de support à la partie principale du récit : les manigances de Merlin. Manigances qui me font dire, encore une fois, qu'il faudrait relire à minima un résumé de l'ensemble de l'épopée d'Arthur pour encore plus apprécier ce comics. Ce que je ferais sans nul doute avant le troisième et dernier tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/once-and-future-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Paul Jenkins presente Hellblazer t1 Scenariste de l'album : Paul Jenkins Dessinateur de l'album : Sean Philipps Coloriste : Sean Philipps Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans les contrées sauvages de l'Australie, John Constantine est sur le point d'effectuer son premier voyage dans le Tjukurrtjanu, le « temps du rêve invisible » qui permet de relier tous les points du temps et de l'espace dans l'univers en perpétuel mouvement. Il a pour objectif d'entrer en contact avec « Le Serpent Arc en ciel », un dieu aborigène , mais ce dernier n'essaierait-il pas de le faire chanter ? Contenu vo : #89-107. Critique : Voila du Hellblazer comme je l'aime 🙂 Si on n'atteint pas le niveau d'un Mike Carey, on est quand même dans du Hellblazer pur et dur : En Angleterre, une vie dissolue au possible et une très forte interaction avec le diable, dieu et les autres entités qui se croient plus malins que le plus roublard des héros du monde du comics. Et pourtant le diable n'est pas loin de réussir son coup dans ce tome un où John tombe vraiment à court de solution. C'est quand il tombe le plus bas qu'il est le plus inventif et qu'il nous montre que la roublardise est l'élément essentiel à tout bon magicien. Un tome qui sent bien l'Angleterre pré Tatcher, une Angleterre des quartiers désœuvrés et de la bière bon marché qui colle parfaitement avec le style Hellblazer. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/paul-jenkins-presente-hellblazer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Voila du Hellblazer comme je l'aime 🙂 Si on n'atteint pas le niveau d'un Mike Carey, on est quand même dans du Hellblazer pur et dur : En Angleterre, une vie dissolue au possible et une très forte interaction avec le diable, dieu et les autres entités qui se croient plus malins que le plus roublard des héros du monde du comics. Et pourtant le diable n'est pas loin de réussir son coup dans ce tome un où John tombe vraiment à court de solution. C'est quand il tombe le plus bas qu'il est le plus inventif et qu'il nous montre que la roublardise est l'élément essentiel à tout bon magicien. Un tome qui sent bien l'Angleterre pré Tatcher, une Angleterre des quartiers désœuvrés et de la bière bon marché qui colle parfaitement avec le style Hellblazer.
  15. A Paris-manga, il y a les interviews prévues avec un timing bien défini et il y a les discussions au coin d’une table, c’est ce qui s’est passé avec Niko Henrichon, discussion d’autant plus facile quand on parle la même langue ! Je vous propose de retrouver quelques tenants de notre conversation mais comme je n’ai fait aucun enregistrement ni pris aucune note, ce ne sera pas sous la forme d’interview. Niko est canadien, il a commencé sa carrière en travaillant sur des comics, en anglais, c’est lors de la sortie de Barnum qu’il se fait un nom dans la profession et tout à coup c’est devenu plus simple pour lui et il s’est vu proposer plein de projets : il travaille pour DC Comics et Marvel, notamment sur Doctor Strange. En 2016, on lui propose de dessiner les Méta-Barons, une telle opportunité de travail avec Jodorowsky ne se refuse pas, il met alors vraiment un pied dans la bd dite franco-belge. Il faut savoir que sur une BD comme Fang, les auteurs ne touchent que 10% du prix de vente, à se partager bien sûr, il faut donc beaucoup vendre pour avoir un revenu correct. Aujourd’hui il habite en France avec sa famille et après 20 ans de carrière, il peut enfin choisir ses projets et se permettre d’en refuser. Il m’a gentiment expliqué en passant le système des commissions : il s’agit de commander une illustration directement à l’auteur lors des conventions notamment, l’acheteur choisit le format et ce qu’il souhaite avoir, ce système représente une bonne partie des revenus du dessinateur. La dédicace du jour (avec dessin) sera gratuite mais il me dit que cela risque de ne pas durer. Pour la petite histoire Niko ne connaissait pas Paris-manga et Sci-Fi show, c’est l’un de ses amis, auteur de comics également qui lui a proposé de l’accompagner. L’ami en question n’est pas venu et Niko se sentait un peu isolé, heureusement il a retrouvé des connaissances sur place ! Par contre, il n’était pas prêt à affronter le froid qui régnait dans le hall le 1er jour, un comble pour un canadien ! Je remercie Niko Henrichon pour ce moment de partage et pour le message qu’il a laissé pour 1001BD. Niko_Henrichon_dec_2022_p.mp4
  16. poseidon2

    Saga : House of X/ Power of X

    Enfin. Enfin Marvel se decide à mettre un scénariste de renom (et compétent) aux commandes de la maison X-Men. On attendait ca depuis.... allez on va dire House of M et l'arc du messie (certain s'arrêteraient même à House of M). Et ils ont du craquer la tirelire car ce n'est rien de moins de Jonathan Hickman (Black monday murders, Secret Wars, East of West, Mahattan project..) qui reprend les rênes de la maison des mutants. Et comme il a pu le montrer dans East of West, il sait manier avec brio les histories à tiroirs. Le coup de genie sur cette introduction (car oui c'est bien ca), c'est d'utiliser le pouvoir de Moïra MacTaggert (ou d'inventer je n'ai pas bien suivi) pour recréer l'univers Marvel et nous expliquer, de facon cohérente, pourquoi Charles Xavier sort de son éternelle volonté de permettre aux hommes et aux mutants de vivre en harmonie. Le coup du brillant scénariste, c'est de méler les différentes vies de Moira avec l'histoire courante. Histoire courante qui est une des conlusions des ces autres vies. Conclusion qui prend de plus en plus de sens au fur et à mesure que l'on comprend les différentes vies de Moira. Une vrai regale tellement ce scenario fait frétiller nos neurones et surtout nous amène une remise à zero de l'histoire des mutants tel qu'on la connait pour leur permettre de recommencer à Zéro. Qui est de surcroit sublimé par une brochette de dessinateurs de haut vol ! Une lourde et profonde introduction d'un tout nouvel univers X-Men comme on ne l'a pas vu depuis.... l'a-t-on jamais vu ? Tout ce qu'un fan comme moi attendait depuis TROP longtemps. Et maintenant.... plus qu'à lire Dawn of X.
  17. Titre de l'album : Saga : House of X/ Power of X Scenariste de l'album : Jonathan Hickman Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Panini Comics Note : Résumé de l'album : Le monde a changé, l'île de Krakoa est désormais le coeur de la nation mutante. Plongez dans la série qui bouleverse l'univers mutant de manière radicale et magistrale. Critique : Enfin. Enfin Marvel se decide à mettre un scénariste de renom (et compétent) aux commandes de la maison X-Men. On attendait ca depuis.... allez on va dire House of M et l'arc du messie (certain s'arrêteraient même à House of M). Et ils ont du craquer la tirelire car ce n'est rien de moins de Jonathan Hickman (Black monday murders, Secret Wars, East of West, Mahattan project..) qui reprend les rênes de la maison des mutants. Et comme il a pu le montrer dans East of West, il sait manier avec brio les histories à tiroirs. Le coup de genie sur cette introduction (car oui c'est bien ca), c'est d'utiliser le pouvoir de Moïra MacTaggert (ou d'inventer je n'ai pas bien suivi) pour recréer l'univers Marvel et nous expliquer, de facon cohérente, pourquoi Charles Xavier sort de son éternelle volonté de permettre aux hommes et aux mutants de vivre en harmonie. Le coup du brillant scénariste, c'est de méler les différentes vies de Moira avec l'histoire courante. Histoire courante qui est une des conlusions des ces autres vies. Conclusion qui prend de plus en plus de sens au fur et à mesure que l'on comprend les différentes vies de Moira. Une vrai regale tellement ce scenario fait frétiller nos neurones et surtout nous amène une remise à zero de l'histoire des mutants tel qu'on la connait pour leur permettre de recommencer à Zéro. Qui est de surcroit sublimé par une brochette de dessinateurs de haut vol ! Une lourde et profonde introduction d'un tout nouvel univers X-Men comme on ne l'a pas vu depuis.... l'a-t-on jamais vu ? Tout ce qu'un fan comme moi attendait depuis TROP longtemps. Et maintenant.... plus qu'à lire Dawn of X. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/house-of-x-powers-of-x-n-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    By the horns

    En voilà une belle découverte. Belle graphiquement déjà pour tous ceux qui, comme moi, aiment les comics colorés et dynamique. Mais belle surtout par ce que ce "by the horns" est au final by plus qu'un comics "WTF". Au vu du descriptif et de la couverture, on aurait ou imaginer un comics qui surf sur un courant "contre mode" pour ado voulant "lutter contre l'hégémonie de la mode des licornes". Eh bien, il se trouve que ce comics est bien plus que cela. C'est une vraie belle aventure, pas aussi manichéenne ni simpliste qu'il n'y parait. On est assez loin d'un "I hate fairy Land" par exemple. Une belle lecture de détente, porté par des personnages intéressants et un univers rafraichissant. Je lirais bien une suite moi 🙂
  19. poseidon2

    By the horns

    Titre de l'album : By the horns Scenariste de l'album : Markisan Naso Dessinateur de l'album : Jason Muhr Coloriste : Jason Muhr Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Elodie déteste les licornes. Depuis plus d'un an, elle consacre sa vie à les traquer et les tuer. Tout ça, car elles sont responsables de la mort de son bien-aimé. Accompagnée de Sajen, un loup, Elodie est en quête de vengeance mais pour faire disparaître les licornes, elle va devoir se jouer d'alliances et combattre des sorciers. Seulement, si les licornes sont la cible d'Elodie, elles sont aussi capables de lui offrir de surpuissants pouvoirs... Critique : En voilà une belle découverte. Belle graphiquement déjà pour tous ceux qui, comme moi, aiment les comics colorés et dynamique. Mais belle surtout par ce que ce "by the horns" est au final by plus qu'un comics "WTF". Au vu du descriptif et de la couverture, on aurait ou imaginer un comics qui surf sur un courant "contre mode" pour ado voulant "lutter contre l'hégémonie de la mode des licornes". Eh bien, il se trouve que ce comics est bien plus que cela. C'est une vraie belle aventure, pas aussi manichéenne ni simpliste qu'il n'y parait. On est assez loin d'un "I hate fairy Land" par exemple. Une belle lecture de détente, porté par des personnages intéressants et un univers rafraichissant. Je lirais bien une suite moi 🙂 Autres infos : Komics Initiative Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/by-the-horns?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Après un excellent premier tome, cette suite était très attendue par de nombreux lecteurs et par chance les éditions 404 comics nous proposent le titre seulement un mois après la sortie ne version originale. L'aventure reprend six ans après les événements du premier épisode, où l'on a assisté à la naissance des super-héros, les palladions. Les enfants élus se sont transformés en adolescent avec des armures pour combattre toutes les créatures, les cénotes mères qui voulaient anéantir le restant de l'humanité. Une fois de plus Roy Miranda et Inaki Miranda surprennent les lecteurs avec une histoire proches de célèbres méchas et Kaijus pour des combats intenses. Les nouveaux héros doivent défendre la métropole en parallèle la relation entre Hototo et Tala a évolué comme les frères et sœurs ont vieilli. Les dessins de Miranda Inaki sont absolument fantastiques pour dépeindre cet univers et les décors dévastés. Les scènes d’action sont dynamiques et très impressionnantes. Les couleurs sont intenses et apportent la touche originale de l’histoire. L'album se termine avec une galerie d'illustrations réalisées par d'autres dessinateurs de comics. En deux tomes, We live s'impose comme une nouvelle référence dans le genre SF dans un monde postapocalyptique, avec des enfants en héros pour sauver ce qui reste de la planète.
  21. Titre de l'album : We live tome 2 - L'ère des Palladions Scenariste de l'album : Roy Miranda & Inaki Miranda Dessinateur de l'album : Miranda Inaki Coloriste : Eva De La Cruz Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Tala et Hototo ont grandi mais la survie de l'enfance a fait place à la responsabilité étouffante de la survie du monde ! Les frères Miranda et toute l'équipe créative de WE LIVE revient pour ce nouveau chapitre de l'histoire de Tala et Hototo et de leur monde terrible. 2090, six ans se sont écoulés depuis le Jour du Salut, lorsque les Palladions avec leurs pouvoirs majestueux sont devenus les protecteurs de l'humanité. Ils sauvèrent les cinq Mégalopoles restantes, assurant l'avenir de l'espèce humaine. Mais rien n'est intangible et l'horizon promet une nouvelle tempête. Critique : Après un excellent premier tome, cette suite était très attendue par de nombreux lecteurs et par chance les éditions 404 comics nous proposent le titre seulement un mois après la sortie ne version originale. L'aventure reprend six ans après les événements du premier épisode, où l'on a assisté à la naissance des super-héros, les palladions. Les enfants élus se sont transformés en adolescent avec des armures pour combattre toutes les créatures, les cénotes mères qui voulaient anéantir le restant de l'humanité. Une fois de plus Roy Miranda et Inaki Miranda surprennent les lecteurs avec une histoire proches de célèbres méchas et Kaijus pour des combats intenses. Les nouveaux héros doivent défendre la métropole en parallèle la relation entre Hototo et Tala a évolué comme les frères et sœurs ont vieilli. Les dessins de Miranda Inaki sont absolument fantastiques pour dépeindre cet univers et les décors dévastés. Les scènes d’action sont dynamiques et très impressionnantes. Les couleurs sont intenses et apportent la touche originale de l’histoire. L'album se termine avec une galerie d'illustrations réalisées par d'autres dessinateurs de comics. En deux tomes, We live s'impose comme une nouvelle référence dans le genre SF dans un monde postapocalyptique, avec des enfants en héros pour sauver ce qui reste de la planète. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-live-l-ere-des-palladions-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Primordial

    Je suis un grand fan de Jeff Lemire. Depuis Essex County je pense avoir lu tout qu'il a écrit de non-super héros. Mais je dois avouer que sur ce Primordial, il m'a un peu perdu. Si le travail d'Andrea Sorrentino frôle la perfection, je trouve que Jeff Lemire se repose un peu trop dessus au détriment d'une explication un peu plus sibylline de ce qu'il se passe vraiment. Bien sûr, on comprend l'ensemble de l'histoire, on parle d'un des maitres du scenario quand même. Mais je ne peux m'empêcher de me dire qu'il y a autre chose. J'ai la sensation désagréable d'avoir raté quelque chose à la lecture. Alors cela pousse à la relecture, mais c'est une sensation un peu désagréable.
  23. poseidon2

    Primordial

    Titre de l'album : Primordial Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 1957. L'URSS envoie la chienne Laïka en orbite autour de la Terre. Deux années plus tard, les États-Unis réitèrent l'expérience avec l'envoi de deux singes, Able et Baker. Les morts successives des cobayes des missions Spoutnik 2 et Jupiter scellèrent la fin des programmes russes et américains de conquête de l'espace pour réorienter les efforts des deux empires vers l'armement. Lors du démantèlement d'un projet spatial à Cape Canaveral, un scientifique - le docteur Donald Pembrooke - met cependant la main sur un relevé qui prouverait contre toute attente que les animaux auraient survécu... Contenu vo : Primordial #1-6. Critique : Je suis un grand fan de Jeff Lemire. Depuis Essex County je pense avoir lu tout qu'il a écrit de non-super héros. Mais je dois avouer que sur ce Primordial, il m'a un peu perdu. Si le travail d'Andrea Sorrentino frôle la perfection, je trouve que Jeff Lemire se repose un peu trop dessus au détriment d'une explication un peu plus sibylline de ce qu'il se passe vraiment. Bien sûr, on comprend l'ensemble de l'histoire, on parle d'un des maitres du scenario quand même. Mais je ne peux m'empêcher de me dire qu'il y a autre chose. J'ai la sensation désagréable d'avoir raté quelque chose à la lecture. Alors cela pousse à la relecture, mais c'est une sensation un peu désagréable. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/primordial?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Une soif légitime de vengeance

    Pour un fan de Remender comme moi, les premiers tomes brumeux sont la norme. Mais la.... ben la, je ne pourrais même pas donner de note à ce premier tome. Ou alors si sur le superbe travail de André Araújo qui livre une copie presque parfaite au dessin avec un hommage à Benedict Wong à peine caché. Étrangement, pour une fois, ce n'est pas la complexité de ce qui est présenté qui dérange, c'est la dépendance entière de la cohérence du scénario au d'unième tome. En effet, là, il nous manque un historique majeur. Ce qui fait qu'on ne comprend pas certaines scènes, on ne comprend pas le titre et on se demande à quoi tout cela rime. On a un peu l'impression de lire un tome 2.... Et la qualité du prochain tome fera passer c tome 1 d'excellent thriller à simple chasse à l'homme... Je laisserais donc ma note pour le prochain tome
  25. Titre de l'album : Une soif légitime de vengeance Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : André Araújo Coloriste : André Araújo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Vancouver, de nos jours. Sonny est un homme discret, à la vie tranquille. Lorsqu'il quitte Chinatown pour se rendre à un rendez-vous à quelques kilomètres hors de la ville, une série de menus obstacles - parmi lesquels la pluie, un pigeon agonisant et une bousculade avec un inconnu dans une épicerie - se dressent sur son chemin. Rien de vraiment notable, en somme. Arrivé au lieu de rendez-vous, une maison bourgeoise en pleine campagne, il y découvre une scène dont la violence va radicalement changer le cours de son quotidien sans histoire. Critique : Pour un fan de Remender comme moi, les premiers tomes brumeux sont la norme. Mais la.... ben la, je ne pourrais même pas donner de note à ce premier tome. Ou alors si sur le superbe travail de André Araújo qui livre une copie presque parfaite au dessin avec un hommage à Benedict Wong à peine caché. Étrangement, pour une fois, ce n'est pas la complexité de ce qui est présenté qui dérange, c'est la dépendance entière de la cohérence du scénario au d'unième tome. En effet, là, il nous manque un historique majeur. Ce qui fait qu'on ne comprend pas certaines scènes, on ne comprend pas le titre et on se demande à quoi tout cela rime. On a un peu l'impression de lire un tome 2.... Et la qualité du prochain tome fera passer c tome 1 d'excellent thriller à simple chasse à l'homme... Je laisserais donc ma note pour le prochain tome Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-soif-legitime-de-vengeance-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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