Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'comics'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Le meilleur des mondes Scenariste de l'album : Fred Fordham Dessinateur de l'album : Fred Fordham Coloriste : Fred Fordham Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Le chef-d’œuvre d’Aldous Huxley, Le Meilleur des Mondes, “L’une des œuvres dystopiques les plus prophétiques du XXe siècle” (Wall Street Journal), pour la première fois adapté en roman graphique. Publié pour la première fois en 1932, Le Meilleur des Mondes est l’une des œuvres les plus vénérées et les plus profondes de la littérature du XXe siècle. Abordant les thèmes de l’hédonisme et du contrôle, de l’humanité, de la technologie et de l’influence, le classique d’Aldous Huxley est un reflet et un avertissement pour l’époque à laquelle il a été écrit, mais reste terriblement pertinent aujourd’hui. Critique : Fred Fordham se charge de l'adaptation revisitée du meilleur des mondes d’Aldous Huxley, en bande dessinée avec une pagination importante, dans un format plus petit et à la couverture souple. On retrouve un peu le style ainsi que le design de la série tv qui était sorti il y a quelques temps. Pour l'histoire, dans une cité futuriste avec des innovations scientifiques importantes, la population est contrôlée depuis la naissance. Ainsi on affecte un rôle et un titre à chaque nouvel enfant. Plus tard, les jeunes adultes vivent dans un univers étrange en prenant des drogues de synthèses pour modifier les émotions. On suit la destinée de Lénina et d'Henry Foster au milieu de toute cette population docile et conditionnée. Les dessins sont de qualité pour dépeindre ce monde futuriste. Cette adaptation plaira autant aux lecteurs connaissant l'œuvre d'origine qu'aux lecteurs désirant découvrir ce monument de science-fiction. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-meilleur-des-mondes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Quelques mois seulement après la sortie du premier Assassin's creed valhalla intitulé Le chant de gloire, on retrouve la même équipe artistique pour ce nouvel épisode, Les mythes oubliés. Alexander Freed se penche sur l'histoire Assassin's creed Valhalla, l'Aube du Ragnarök qui est le premier DLC du jeu, une extension du jeu vidéo d'origine. La guerre semble imminente entre les neuf royaumes, Baldr le héros de cette aventure et fils d'Odin va s'associer à Loki le frère ennemi de Thor. On retrouve bien l'ambiance du jeu vidéo dans un aventure pleine de combat dans une ambiance vikings. Comme pour le premier épisode, on pourra reprocher une pagination trop courtes avec trois chapitres. Les dessins sont dans un style classique pour des comics grand public. Une fois de plus, les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte surtout s’ils ont eu l'occasion de jouer à ce DLC, ou ils pourront découvrir l'histoire qui les attendent en y jouant. Les autres lecteurs ne seront pas perdus avec cette histoire qui reste ouvertes pour les non joueurs.
  3. Titre de l'album : Assassin's creed Valhalla - Les mythes oubliés Scenariste de l'album : Alexander Freed Dessinateur de l'album : Martín Tunica Coloriste : Michael Atiyeh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Accompagnez Baldr, fils d'Odin, dans sa quête pour forger une paix durable entre les neuf royaumes ! La guerre est sur le point d'éclater entre les deux royaumes voisins de Muspelheim et Svartalfheim, et Surtr, le seigneur des Muspels, rassemble son armée de géants du feu. Déterminé à empêcher un tel bain de sang, Baldr, fils d'Odin et dieu de la lumière, demande l'aide du grand dieu fallacieux, Loki. Loki trahira-t-il Baldr et le reste des Æsir ? Ou Baldr gagnera-t-il le coeur de la fille de Surtr et forgera-t-il une paix durable entre les neuf royaumes ? Critique : Quelques mois seulement après la sortie du premier Assassin's creed valhalla intitulé Le chant de gloire, on retrouve la même équipe artistique pour ce nouvel épisode, Les mythes oubliés. Alexander Freed se penche sur l'histoire Assassin's creed Valhalla, l'Aube du Ragnarök qui est le premier DLC du jeu, une extension du jeu vidéo d'origine. La guerre semble imminente entre les neuf royaumes, Baldr le héros de cette aventure et fils d'Odin va s'associer à Loki le frère ennemi de Thor. On retrouve bien l'ambiance du jeu vidéo dans un aventure pleine de combat dans une ambiance vikings. Comme pour le premier épisode, on pourra reprocher une pagination trop courtes avec trois chapitres. Les dessins sont dans un style classique pour des comics grand public. Une fois de plus, les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte surtout s’ils ont eu l'occasion de jouer à ce DLC, ou ils pourront découvrir l'histoire qui les attendent en y jouant. Les autres lecteurs ne seront pas perdus avec cette histoire qui reste ouvertes pour les non joueurs. Autres infos : Editions : Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/assassin-s-creed-valhalla-les-mythes-oublies?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Troisième tome du retour de Sandman sur le devant de la scène et premier tome après le retour du nouveau maitre dans son royaume. Donc premier tome "standard" et un standard qui fait un peu bizarre. En effet, ce tome 3 est une aventure indépendante quelque peu "standard". Alors c'est très joli et on retrouve nos héros dont notre petit elfe de l'époque de Dream. Et si cet attachement aux passifs ravira les fans du premier cycle, comme on peut l'appeler maintenant, il ne masquera pas non plus le fait que cette aventure est "marginale". Surtout en rapport aux grandes manœuvres de la fin du cycle précédent et au retour de Daniel. Reste que ce "tome 3" est une lecture agréable et plaira à tous les fans, leur permettant de mieux appréhender le nouveau roi du rêve.
  5. Titre de l'album : Sandman : Dreaming - Waking hours Scenariste de l'album : G. Willow Wilson Dessinateur de l'album : Nick Robles Coloriste : Nick Robles Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'une des responsabilités les plus lourdes du maître du Songe est la création de cauchemars, ces entités capables d'exposer nos plus profondes angoisses. Morphée souhaitait faire de Ruine, le rêve de l'échec catastrophique, son chef-d'oeuvre. Mais chaque création avance son lot de conséquences inattendues. Aussi, lorsque le cauchemar tombe amoureux de la première rêveuse croisant son chemin, il entraîne dans son sillage. Critique : Troisième tome du retour de Sandman sur le devant de la scène et premier tome après le retour du nouveau maitre dans son royaume. Donc premier tome "standard" et un standard qui fait un peu bizarre. En effet, ce tome 3 est une aventure indépendante quelque peu "standard". Alors c'est très joli et on retrouve nos héros dont notre petit elfe de l'époque de Dream. Et si cet attachement aux passifs ravira les fans du premier cycle, comme on peut l'appeler maintenant, il ne masquera pas non plus le fait que cette aventure est "marginale". Surtout en rapport aux grandes manœuvres de la fin du cycle précédent et au retour de Daniel. Reste que ce "tome 3" est une lecture agréable et plaira à tous les fans, leur permettant de mieux appréhender le nouveau roi du rêve. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-the-dreaming-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Rorschach

    Titre de l'album : Rorschach Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Jorge Fornés Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Cela fait 35 ans qu'Ozymandias a téléporté un monstre tentaculaire sur New York, tuant des milliers de personnes et détruisant une fois pour toutes la confiance du public dans ses protecteurs. Depuis cette catastrophe, Rorschach est devenue une icône culturelle fascinante, symptôme d'un monde en perte de repères. Lors de la tentative d'assassinat d'un candidat populiste, on abat un homme portant le masque de Rorschach. Qui est l'homme derrière le masque, et surtout quelles étaient ses motivations ? L'inspecteur chargé de découvrir la véritable identité du tueur abattu s'engage alors dans une enquête qui l'entraîne dans un méandre de conspirations, d'invasions extraterrestres, de bienfaiteurs en disgrâce, de visions mystiques et même de bandes dessinées. Contenu vo : Rorschach #1-12. Critique : Décidément, en plus d'être bon, Tom King devient prolifique. Pour le plaisir du plus grand nombre, il reste sur un format one-shot qui part d'une figure du comics connus pour en faire une histoire global et accessible à tous ceux... qui aime les comics aux scenarios travaillés et à la mise en page originale. Et, encore une fois, ce Rorschach coche toutes les cases : Le scénario est très bon et change des habituels de Tom King. Ici par de psychologie du héros. C'est un pur polar à l'ancienne. Un polar dans l'univers de Watchmen mais un vrai polar. Un assassinat déjoué. Des tueurs qui semblent être des fous. Le meilleur des enquêteurs mis sur leurs traces pour être sûr qu'il n'y a rien de plus… et qui part dans une enquête à tiroir des plus surprenantes. Ce qui est aussi marquant dans ce Rorschach, c'est le travail de mise en page. On passe de chapitre complet qui ne sont que des récits de correspondances, à un autre chapitre, on suit trois récits parallèles, coloriés avec trois couleurs et présentant des scènes quasiment identiques, et on finit par un subtil mélange des époques où les cases entre passés et présent se mêlent habilement en fonction des pensées de notre enquêteur. Encore un sublime travail pour le maitre des one shot en comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rorschach?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Rorschach

    Décidément, en plus d'être bon, Tom King devient prolifique. Pour le plaisir du plus grand nombre, il reste sur un format one-shot qui part d'une figure du comics connus pour en faire une histoire global et accessible à tous ceux... qui aime les comics aux scenarios travaillés et à la mise en page originale. Et, encore une fois, ce Rorschach coche toutes les cases : Le scénario est très bon et change des habituels de Tom King. Ici par de psychologie du héros. C'est un pur polar à l'ancienne. Un polar dans l'univers de Watchmen mais un vrai polar. Un assassinat déjoué. Des tueurs qui semblent être des fous. Le meilleur des enquêteurs mis sur leurs traces pour être sûr qu'il n'y a rien de plus… et qui part dans une enquête à tiroir des plus surprenantes. Ce qui est aussi marquant dans ce Rorschach, c'est le travail de mise en page. On passe de chapitre complet qui ne sont que des récits de correspondances, à un autre chapitre, on suit trois récits parallèles, coloriés avec trois couleurs et présentant des scènes quasiment identiques, et on finit par un subtil mélange des époques où les cases entre passés et présent se mêlent habilement en fonction des pensées de notre enquêteur. Encore un sublime travail pour le maitre des one shot en comics.
  8. poseidon2

    Saga t10

    Il est de retour le precieuxxxxx !!!!! Voila l'expression de beaucoup de lecteurs de comics. Saga revient enfin. 4 longues années apres la sortie du T9.... le temps qu'il fallait pour surmonter l'épreuve de la mort de Marko, le héros de cette série. Si au final on a trouvé le temp long, cette attente nous permet aussi de mieux nous mettre dans la peau des personnages chez qui il est aussi passé 4 ans. Hazel a maintenant 10 et l'on se retrouve avec plein de nouveautés apparues durant ces quatre années. Mais cela parait normal et c'est bien la la réussite de Bryan K Vaughan : Nous livrer un scenario ou ces 4 années d'attente se sont vraimennt passées dans l'univers de Saga et ou les personnages ont veillit et ont grandit comme leur lecteur. Cela rend la lecture encore plus forte. On se demande bien ce qu'il a pu se passer durant quatre ans? Qui est ce nouveau et étrange personnage qui accompagne Alana? Enormement de question auquels répond (au moins partiellement) Vaughan dans ce tome 10, mais sans oublier l'avbenture de notre famille qui est tout sauf un long fleuve tranquille. 4 ans d'attente mais une attente qui est justifiée au vu du contenu fourni. Vivement le tome 11
  9. poseidon2

    Saga t10

    Titre de l'album : Saga t10 Scenariste de l'album : Brian K. Vaughan Dessinateur de l'album : Fiona Staples Coloriste : Fiona Staples Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alors qu'elle célèbre ses dix ans, Hazel et sa mère Alana parcourent toujours la galaxie clandestinement et parviennent, parfois, à trouver un semblant d'apaisement. Installée dans un havre de paix en forêt, la petite famille tente de maintenir une stabilité, malgré la crise d'adolescence prématurée d'Hazel. Mais une menace bien plus grande que les velléités de résistance liées au jeune âge plane sur la famille. Une fois de plus, la guerre fratricide que se livrent les peuples de l'Univers menace tout équilibre. Critique : Il est de retour le precieuxxxxx !!!!! Voila l'expression de beaucoup de lecteurs de comics. Saga revient enfin. 4 longues années apres la sortie du T9.... le temps qu'il fallait pour surmonter l'épreuve de la mort de Marko, le héros de cette série. Si au final on a trouvé le temp long, cette attente nous permet aussi de mieux nous mettre dans la peau des personnages chez qui il est aussi passé 4 ans. Hazel a maintenant 10 et l'on se retrouve avec plein de nouveautés apparues durant ces quatre années. Mais cela parait normal et c'est bien la la réussite de Bryan K Vaughan : Nous livrer un scenario ou ces 4 années d'attente se sont vraimennt passées dans l'univers de Saga et ou les personnages ont veillit et ont grandit comme leur lecteur. Cela rend la lecture encore plus forte. On se demande bien ce qu'il a pu se passer durant quatre ans? Qui est ce nouveau et étrange personnage qui accompagne Alana? Enormement de question auquels répond (au moins partiellement) Vaughan dans ce tome 10, mais sans oublier l'avbenture de notre famille qui est tout sauf un long fleuve tranquille. 4 ans d'attente mais une attente qui est justifiée au vu du contenu fourni. Vivement le tome 11 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saga-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Mister Miracle

    Titre de l'album : Mister Miracle Scenariste de l'album : Varian Johnson Dessinateur de l'album : Daniel Isles Coloriste : Daniel Isles Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : SYNDROME DE STOCKHOLM À APOKOLIPS. Étudiant à Apokolips, dirigée d'une main de fer par Lord Darkseid, Scott Free n'aspire qu'à une chose : s'enfuir pour se rendre sur la planète Terre. Le plan d'évasion de Scott Free est bien ficelé, mais un événement inattendu bouleverse ses calculs. En effet, tomber amoureux de la chef des Furies féminines, Big Barda, justement chargée de veiller à ce qu'il ne s'échappe jamais, n'est pas pour faciliter les choses. Critique : J'ai connu mister miracle au travers de l'analyse de Tom King. Autant, vous dire que ce n'est pas là que l'on peut vraiment dire qu'on pourrait connaitre les bases d'un personnage, alors même que je trouve que c'est un des meilleurs comics des 10 dernières années. J'avais donc besoin d'un peu d'historique et ce tome de Mister Miracle tombe à pique. Car il nous décrit l'enfance de Scott Free AVANT qu'il ne devienne Mister Miracle. Enfin si on peut parler d'enfance quand c'est à Apokolips. Ce tome est une vraie belle histoire. Sans être un sommet comme ont pu l'être Wonder woman ou encore le Batgirl. Mais un super histoire quand même. Bien rythmée, avec des personnages attachants et un univers de plus dépaysant, ce comic est un vrai comics pour tout le monde, sans besoin d'un quelconque historique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mister-miracle-the-great-escape?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Mister Miracle

    J'ai connu mister miracle au travers de l'analyse de Tom King. Autant, vous dire que ce n'est pas là que l'on peut vraiment dire qu'on pourrait connaitre les bases d'un personnage, alors même que je trouve que c'est un des meilleurs comics des 10 dernières années. J'avais donc besoin d'un peu d'historique et ce tome de Mister Miracle tombe à pique. Car il nous décrit l'enfance de Scott Free AVANT qu'il ne devienne Mister Miracle. Enfin si on peut parler d'enfance quand c'est à Apokolips. Ce tome est une vraie belle histoire. Sans être un sommet comme ont pu l'être Wonder woman ou encore le Batgirl. Mais un super histoire quand même. Bien rythmée, avec des personnages attachants et un univers de plus dépaysant, ce comic est un vrai comics pour tout le monde, sans besoin d'un quelconque historique.
  12. Si je regarde pas mal d'animé, j'avoue que l coté loufoque des séries animés DC m'a toujours laissé de marbre. Étant plus lecteur, j'ai voulu essayer la version papier… et je n'aurai pas dû. Je n'aurais pas dû parce que, premièrement, c'est la suite directe de la série. Donc, je n'ai pas compris le début. En plus la version papier est surement très fidèle au dessin animé ce qui fait que j'ai retrouvé ce qu'i ne me plaisait pas : les blagues potache pour enfants, Gordon en méchant débile, les méchants pas vraiment méchants..... Bref ce comics n'était pas pour moi. Mais je pense qu'il ravira les fans de la série animé. Je les laisserai donc juger à ma place 😛
  13. Titre de l'album : Harley Quinn the animated series tome 1 - The eat. bang ! kill. tour Scenariste de l'album : Tee Franklin Dessinateur de l'album : Max Sarin Coloriste : Max Sarin Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Harley & Ivy ont pris la route pour la virée du siècle ! Fuyant Gotham City après une cérémonie de mariage particulièrement désastreuse, Harley Quinn et Poison Ivy doivent impérativement semer un commissaire Gordon particulièrement à cran. Alors qu'Ivy se prend à regretter d'avoir laissé Kiteman au pied de l'autel, Harley promet à sa partenaire un remède radical à son état "post-marium" ! Contenu vo : HARLEY QUINN: THE ANIMATED SERIES—THE EAT. BANG. KILL TOUR #1-6. Critique : Si je regarde pas mal d'animé, j'avoue que l coté loufoque des séries animés DC m'a toujours laissé de marbre. Étant plus lecteur, j'ai voulu essayer la version papier… et je n'aurai pas dû. Je n'aurais pas dû parce que, premièrement, c'est la suite directe de la série. Donc, je n'ai pas compris le début. En plus la version papier est surement très fidèle au dessin animé ce qui fait que j'ai retrouvé ce qu'i ne me plaisait pas : les blagues potache pour enfants, Gordon en méchant débile, les méchants pas vraiment méchants..... Bref ce comics n'était pas pour moi. Mais je pense qu'il ravira les fans de la série animé. Je les laisserai donc juger à ma place 😛 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harley-quinn-animated-series-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Red room est un titre à ne pas mettre en toutes les mains par sa thématique gore et très trash. Pour information, ce titre est interdit à la diffusion dans cinq pays. Je connaissais des interdictions pour les films mais pas pour les comics. Ed Piskor explique avoir été bercé par les auteurs d'horreur comme Stephen King, Clive Barker et bien autres encore dans le domaine de l'horreur mais aussi des films de genre à l'époque des magasins de location de films. L'auteur a pris le temps de réaliser ce titre choquant entre deux autres productions. Pour l'histoire, les red room sont des snuff movie réalisés en live où des tueurs en série se donnent en public devant des caméras sur un site du dark net. Ainsi, des gens peuvent suivre les exécutions ou tortures en échanges de paiement en bitcoins. Ce phénomène de red room est une légende urbaine du dark web et Piskor exploite à fond l’idée. Les lecteurs peuvent s'attendre à des histoires très violentes, en même temps la couverture en donne un bon aperçu. Les dessins de Piskor sont en noir et blanc avec des dégradés de gris, l'auteur explique ses influences de dessinateurs dans la préface. Le style est semi-réaliste avec des personnages souvent déformés ou avec des défauts exagérés. L'album se termine avec des bonus commentés par Piskor, une galerie d’illustrations et la première version de la première histoire en crayonné pour comparer. Vous l'aurez compris Red room est le titre le plus trash que j'ai eu l'occasion de lire, encore plus que la référence Crossed. Red room est réservé à un public plus qu'averti !
  15. Titre de l'album : Red room tome 1 - Le réseau antisocial Scenariste de l'album : Ed Piskor Dessinateur de l'album : Ed Piskor Coloriste : Ed Piskor Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Goblin est un dérangé qui diffuse sur sa chaîne des actes de tortures innommables à l'abri dans les zones d'ombre du Dark Web. Son public le soutient à coup de Bitcoin et de commentaires salaces. Davis Fairfield, lui, enterre sa femme et sa cadette renversées par un ivrogne et se retrouve en charge de sa dernière fille, Brianna. Vous n'êtes pas prêts pour cette Amérique dépeinte par Ed Piskor... Critique : Red room est un titre à ne pas mettre en toutes les mains par sa thématique gore et très trash. Pour information, ce titre est interdit à la diffusion dans cinq pays. Je connaissais des interdictions pour les films mais pas pour les comics. Ed Piskor explique avoir été bercé par les auteurs d'horreur comme Stephen King, Clive Barker et bien autres encore dans le domaine de l'horreur mais aussi des films de genre à l'époque des magasins de location de films. L'auteur a pris le temps de réaliser ce titre choquant entre deux autres productions. Pour l'histoire, les red room sont des snuff movie réalisés en live où des tueurs en série se donnent en public devant des caméras sur un site du dark net. Ainsi, des gens peuvent suivre les exécutions ou tortures en échanges de paiement en bitcoins. Ce phénomène de red room est une légende urbaine du dark web et Piskor exploite à fond l’idée. Les lecteurs peuvent s'attendre à des histoires très violentes, en même temps la couverture en donne un bon aperçu. Les dessins de Piskor sont en noir et blanc avec des dégradés de gris, l'auteur explique ses influences de dessinateurs dans la préface. Le style est semi-réaliste avec des personnages souvent déformés ou avec des défauts exagérés. L'album se termine avec des bonus commentés par Piskor, une galerie d’illustrations et la première version de la première histoire en crayonné pour comparer. Vous l'aurez compris Red room est le titre le plus trash que j'ai eu l'occasion de lire, encore plus que la référence Crossed. Red room est réservé à un public plus qu'averti ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-room-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Far cry - Le rite initiatique

    Far cry est un monument dans le monde des jeux vidéo avec le sixième épisode de la série qui est sortie dernièrement. Ce comics revient justement sur le personnage de Far cry 6, d'Anton Castillo surnommé El presidente et son fils, le jeune Diego. Le scénariste Bryan Edward Hill met en un place un rite de passage à l'âge adulte pour le jeune Diego par son père. Il va lui raconter l'histoire de trois personnages et de leur choix qui ont eu des conséquences désastreuses pour eux. Ainsi, on apprend un peu plus sur les méchants de la série et leur parcours qui les a amenés à devenir des truands. Le premier chapitre présente Vaas Montenegro, il est e personnage emblématique de Far Cry 3, ensuite Pagan Min le méchant de Far cry 4 et pour finir Joseph Seed de Far cry 5. Bien évidement les références et autres anecdotes parleront davantage aux joueurs de Far cry, les autres ne comprendront pas l'intérêt du comics. Les dessins de Geraldo Borges sont de qualité et l'on retrouve bien l'atmosphère des jeux vidéo. Far cry 6 était dans e top 10, des jeux les plus vendus lors de sa sortie et représente 50 millions de joueurs de Far cry. Le rite initiatique est réservé à ses nombreux joueurs.
  17. Titre de l'album : Far cry - Le rite initiatique Scenariste de l'album : Bryan Edward Hill Dessinateur de l'album : Geraldo Borges Coloriste : Michael Atiyeh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Le jeune Diego Castillo vient d'avoir treize ans, mais cet anniversaire signifie plus qu'une simple célébration - pour le fils unique d'El Presidente, Antón Castillo, c'est un rite initiatique. Antón emmène Diego vivre une aventure qui lui apprendra d'importantes leçons sur le leadership. Leçons qui commencent toutes par des récits édifiants au sujet d'autres hommes célèbres : Vaas Montenegro, un pirate ; Pagan Min, un dictateur ; et Joseph Seed, un prédicateur. À l'écoute de ces leçons, Diego sera-t-il capable d'accepter son destin ? Un récit sur les difficultés que pose l'héritage familial. Critique : Far cry est un monument dans le monde des jeux vidéo avec le sixième épisode de la série qui est sortie dernièrement. Ce comics revient justement sur le personnage de Far cry 6, d'Anton Castillo surnommé El presidente et son fils, le jeune Diego. Le scénariste Bryan Edward Hill met en un place un rite de passage à l'âge adulte pour le jeune Diego par son père. Il va lui raconter l'histoire de trois personnages et de leur choix qui ont eu des conséquences désastreuses pour eux. Ainsi, on apprend un peu plus sur les méchants de la série et leur parcours qui les a amenés à devenir des truands. Le premier chapitre présente Vaas Montenegro, il est e personnage emblématique de Far Cry 3, ensuite Pagan Min le méchant de Far cry 4 et pour finir Joseph Seed de Far cry 5. Bien évidement les références et autres anecdotes parleront davantage aux joueurs de Far cry, les autres ne comprendront pas l'intérêt du comics. Les dessins de Geraldo Borges sont de qualité et l'on retrouve bien l'atmosphère des jeux vidéo. Far cry 6 était dans e top 10, des jeux les plus vendus lors de sa sortie et représente 50 millions de joueurs de Far cry. Le rite initiatique est réservé à ses nombreux joueurs. Autres infos : Editions : Black River Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/far-cry-le-rite-initiatique?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    King Spawn Tome 1

    Spawn fête ses trente ans cette année 2022 et Todd McFarlane le créateur de Hellspawn a encore beaucoup d'idées pour la suite de sa série. Le premier numéro de King Spawn a remporté un énorme succès lors de sa parution aux Etats-Unis, on attendait avec impatience de pouvoir le découvrir en français. Cet album débute avec un prologue qui permet de faire la transition entre la série renaissance et les nouvelles séries autour de Spawn. On retrouve ensuite les six premiers chapitres de King Spawn et un interlude avec Miss Spawn. Deux autres séries spin-offs sortiront prochainement dont Gunslinger et The scortched. Pour revenir à King spawn, Todd McFarlane s'associe avec Sean Lewis pour l'écriture en remettant plusieurs personnages emblématiques de la série sur le devenant de la scène aussi bien les amis que les ennemis du Spawn. On croisera entre autres Sam & Twitch, Kincaid ou Jason Wynn. Pour la partie graphique, Jim Chung réalise le prologue avec un mélange du style de dessins de McFarlane de l'époque remis au goût du jour. Javi Fernandez réalise les six chapitres de King Spawn et redonne une identité à la série, le rendu final est tout simplement magnifique. Marcio Takara dessine le prélude dans un style plus classique. L'album se termine sur des bonus et interviews des auteurs mais aussi une galerie de couvertures alternatives. King Spawn réussie à relancer la série avec beaucoup d'intérêt, on n’a pas le temps de s’ennuyer et les dessins sont excellents comme d’habitude sur l’univers de Spawn.
  19. alx23

    King Spawn Tome 1

    Titre de l'album : King Spawn Tome 1 Scenariste de l'album : Sean Lewis & Todd McFarlane Dessinateur de l'album : Jim Chung, Javi Fernandez & Marcio Takara Coloriste : Andrew Dalhouse & Fco Plascencia Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au fil des années, Spawn s'est libéré des contraintes imposées par l'Enfer et les Cieux en les renvoyant dos-à-dos. Il est devenu de facto le Roi des Enfers ! Critique : Spawn fête ses trente ans cette année 2022 et Todd McFarlane le créateur de Hellspawn a encore beaucoup d'idées pour la suite de sa série. Le premier numéro de King Spawn a remporté un énorme succès lors de sa parution aux Etats-Unis, on attendait avec impatience de pouvoir le découvrir en français. Cet album débute avec un prologue qui permet de faire la transition entre la série renaissance et les nouvelles séries autour de Spawn. On retrouve ensuite les six premiers chapitres de King Spawn et un interlude avec Miss Spawn. Deux autres séries spin-offs sortiront prochainement dont Gunslinger et The scortched. Pour revenir à King spawn, Todd McFarlane s'associe avec Sean Lewis pour l'écriture en remettant plusieurs personnages emblématiques de la série sur le devenant de la scène aussi bien les amis que les ennemis du Spawn. On croisera entre autres Sam & Twitch, Kincaid ou Jason Wynn. Pour la partie graphique, Jim Chung réalise le prologue avec un mélange du style de dessins de McFarlane de l'époque remis au goût du jour. Javi Fernandez réalise les six chapitres de King Spawn et redonne une identité à la série, le rendu final est tout simplement magnifique. Marcio Takara dessine le prélude dans un style plus classique. L'album se termine sur des bonus et interviews des auteurs mais aussi une galerie de couvertures alternatives. King Spawn réussie à relancer la série avec beaucoup d'intérêt, on n’a pas le temps de s’ennuyer et les dessins sont excellents comme d’habitude sur l’univers de Spawn. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/king-spawn-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. VladNirky

    Fantastic four, Full circle

    l y a quelques mois , j'ai découvert par hasard la prochaine sortie d'une aventure des FF (4 fantastiques) signée Alex Ross , rien de moins que l'immense artiste américain . Il s'agit de l'association de Marvel comics avec Abrams ComicArts , ce qui donne MarvelArts . On ne saurait donner meilleur nom : Art avec un Auteur tel que Alex 😉 , oui de grands A partout ! il signe des planches époustouflantes , la visite de la zone négative lui permet tous les plaisirs coupables : découpage en diagonales , légères incursions de cases dans une page noire , s'agrandissant ensuite et prenant tout leur sens ; il régale d'ingéniosité . les couleurs sont éclatantes et il parvient à rendre Sue Storm , la femme invisible , visible par le lecteur 🙂 . Il n'est pas nécessaire de connaître toute la mythologie des FF pour lire et apprécier ce one-shot ; mais c'est un plus pour les aficionados car il insert quelques clins d'oeil et easter eggs . L'histoire est une reprise au goût du jour d'un vieux run de Stan Lee et Jack Kirby sur les FF . Un début et une fin . Ce sera visiblement le cas pour les autres sorties MarvelArts , car il est vraisemblablement question d'en faire sur les grands héros Marvel . S'ils sont tous signés Ross , il sera difficile d'y résister ... Alors , un must have dans une collection ? Pas forcément , le récit est court et n'appelle pas à des suites . Je ne le vois pas non plus comme un grand classique en devenir , type Justice ou Marvels . J'ai réalisé cette critique à partir de l'édition collector qui est plus grande que celle de base . Elle me semble tout à fait justifiée , car à un prix correct . Je le garderai en fanboy , je la relirai , mais ça n'en fait pas un must have , d'où ma note de 4/5 Par @Kevin Nivek
  21. Titre de l'album : Fantastic four, Full circle Scenariste de l'album : Alex Ross Dessinateur de l'album : Alex Ross Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Les Fantastiques se retrouvent encerclés par une nuée de parasites envahisseurs. Ces créatures composées d'énergie négative sont venues sur Terre pour posséder des êtres humains. Mais dans quel but ? Qui est derrière cette invasion ? Mister Fantastic, la Femme Invisible, la Chose et la Torche vont devoir voyager en Zone Négative pour trouver la réponse ! Alex Ross, l'incomparable co-créateur de Marvels, Earth X et le dessinateur d'une foule de sublimes couvertures pour la Maison des Idées, prend la plume pour scénariser une aventure inédite de la Première Famille Marvel. Il s'agit de la première association entre la Maison des Idées et Abrams ComicArts : le label MarvelArts. Il proposera des Graphic Novels en format prestige consacrés aux plus grands héros Marvel ! Critique : l y a quelques mois , j'ai découvert par hasard la prochaine sortie d'une aventure des FF (4 fantastiques) signée Alex Ross , rien de moins que l'immense artiste américain . Il s'agit de l'association de Marvel comics avec Abrams ComicArts , ce qui donne MarvelArts . On ne saurait donner meilleur nom : Art avec un Auteur tel que Alex 😉 , oui de grands A partout ! il signe des planches époustouflantes , la visite de la zone négative lui permet tous les plaisirs coupables : découpage en diagonales , légères incursions de cases dans une page noire , s'agrandissant ensuite et prenant tout leur sens ; il régale d'ingéniosité . les couleurs sont éclatantes et il parvient à rendre Sue Storm , la femme invisible , visible par le lecteur 🙂 . Il n'est pas nécessaire de connaître toute la mythologie des FF pour lire et apprécier ce one-shot ; mais c'est un plus pour les aficionados car il insert quelques clins d'oeil et easter eggs . L'histoire est une reprise au goût du jour d'un vieux run de Stan Lee et Jack Kirby sur les FF . Un début et une fin . Ce sera visiblement le cas pour les autres sorties MarvelArts , car il est vraisemblablement question d'en faire sur les grands héros Marvel . S'ils sont tous signés Ross , il sera difficile d'y résister ... Alors , un must have dans une collection ? Pas forcément , le récit est court et n'appelle pas à des suites . Je ne le vois pas non plus comme un grand classique en devenir , type Justice ou Marvels . J'ai réalisé cette critique à partir de l'édition collector qui est plus grande que celle de base . Elle me semble tout à fait justifiée , car à un prix correct . Je le garderai en fanboy , je la relirai , mais ça n'en fait pas un must have , d'où ma note de 4/5 Par @Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fantastic-four-full-circle-ed-collector?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Avec Garth Ennis aux commandes, on peut que s'attendre à une histoire surprenante, provocante ou irrévérencieuse. Dans tous les cas de figure, Ennis réussit toujours à captiver son lectorat avec des histoires originales dont il a le secret depuis longtemps. Le titre une promenade en enfer n'est pas une métaphore comme vous pourrez le découvrir à la lecture de ce thriller horrifique. On va plonger dans une histoire fantastique bien sombre et une introduction intrigante et sans lien apparent pour l’instant avec la suite de l’histoire. On suit l'enquête de deux inspecteurs du FBI appelés en renfort après la disparition de deux autres agents. La narration principale se déroule dans le présent avec l'enquête dans l'entrepôt mais de nombreux passages de flashbacks viennent entrecouper l'action afin de mieux cerner les personnages et de comprendre la situation. La partie graphique de Goran Sudžuka est dans un style classique pour ce genre de comics mais l’auteur gère bien les ambiances. Quelques passages sont assez forts et très bien réalisés. L’attente ne sera pas longue pour lire la suite, puisque le deuxième tome est déjà programmé à la fin du mois d'octobre pour conclure cette histoire très étrange.
  23. Titre de l'album : A walk through hell tome 1 - L'entrepôt Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Goran Sudžuka Coloriste : Andy Clarke Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Les agents spéciaux Shaw et McGregor sont désormais en charge des affaires courantes, et c'est exactement ce que Shaw aime. Elle a presque 40 ans, à la limite de l'épuisement et les souvenirs effroyables de sa dernière enquête la hantent comme des ombres. McGregor, quant à lui, est plus jeune et plus dévoué : il s'accroche à une certaine forme d'idéalisme, quoi que le monde puisse lui faire subir. Lorsque deux de leurs collègues disparaissent dans un entrepôt de Long Beach, Shaw et McGregor sont envoyés pour enquêter. Mais ils sont loin d'imaginer ce qui les attend et les deux agents vont se confronter à une terreur dépassant leurs plus terribles cauchemars, dans un lieu où la nuit pourrait ne jamais se terminer. Critique : Avec Garth Ennis aux commandes, on peut que s'attendre à une histoire surprenante, provocante ou irrévérencieuse. Dans tous les cas de figure, Ennis réussit toujours à captiver son lectorat avec des histoires originales dont il a le secret depuis longtemps. Le titre une promenade en enfer n'est pas une métaphore comme vous pourrez le découvrir à la lecture de ce thriller horrifique. On va plonger dans une histoire fantastique bien sombre et une introduction intrigante et sans lien apparent pour l’instant avec la suite de l’histoire. On suit l'enquête de deux inspecteurs du FBI appelés en renfort après la disparition de deux autres agents. La narration principale se déroule dans le présent avec l'enquête dans l'entrepôt mais de nombreux passages de flashbacks viennent entrecouper l'action afin de mieux cerner les personnages et de comprendre la situation. La partie graphique de Goran Sudžuka est dans un style classique pour ce genre de comics mais l’auteur gère bien les ambiances. Quelques passages sont assez forts et très bien réalisés. L’attente ne sera pas longue pour lire la suite, puisque le deuxième tome est déjà programmé à la fin du mois d'octobre pour conclure cette histoire très étrange. Autres infos : Editions : Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-walk-through-hell-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Celui que tu aimes dans les ténèbres Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Jorge Corona Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ro est une jeune peintre dont les dernières toiles lui ont assuré une renommée naissante. Malheureusement, ses nouvelles créations se font attendre. Aussi, son galeriste lui conseille une retraite au calme, à l'abri du tumulte de la ville. Ro trouve alors une vieille demeure, prétendument hantée, dans laquelle elle retrouvera l'inspiration, et bien plus encore... Critique : La team de Middlewest revient avec une "romance horrifique" des plus réussie. Graphiquement, c'est sublime. Tout ce que j'aime dans le comics moderne. C'est nerveux, colorés ou pas du tout quand il n'y a pas besoin, dynamique et super prenant pour le lecteur. Coté scénario, Scottie Young gère parfaitement la montée en tension. On croit dur comme fer à cet amour improbable, mais inspirant pour notre artiste, jusqu'à..... Un album qui ravira les fans de Scottie Young(dont je fais partie) t les amateurs de frissons. À lire d'une traite, si possible dans la pénombre..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celui-que-tu-aimes-dans-les-tenebres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. La team de Middlewest revient avec une "romance horrifique" des plus réussie. Graphiquement, c'est sublime. Tout ce que j'aime dans le comics moderne. C'est nerveux, colorés ou pas du tout quand il n'y a pas besoin, dynamique et super prenant pour le lecteur. Coté scénario, Scottie Young gère parfaitement la montée en tension. On croit dur comme fer à cet amour improbable, mais inspirant pour notre artiste, jusqu'à..... Un album qui ravira les fans de Scottie Young(dont je fais partie) t les amateurs de frissons. À lire d'une traite, si possible dans la pénombre.....
×
×
  • Créer...