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  1. On le sait , JD Morvan est passionné par le Japon et sa culture depuis de nombreuses années . En parallèle à la magnifique série retraçant la vie de Madeleine la résistante , il réalise cette adaptation d'un roman de Thomas Raucat publié en 1924 suite à sa mission en terre japonaise . Durant ces 128 pages à l'aquarelle douce et élégante de Roberto Melis , vous allez vivre un véritable choc des cultures . Quand ils ne portent pas de jugement sur les us des occidentaux , tellement éloignés des moeurs locales , les japonais dévoilent leur culture et ce sens exacerbé de l'honneur à travers de multiples situations . La place de la femme en société , des enfants (selon leur sexe) , la sexualité , les rapports hiérarchiques professionnels , bref , c'est une véritable introspection de leurs coutumes que l'européen découvre . L'honneur , le déshonneur , ces considérations peuvent paraître stupides du prisme occidental , mais vous découvrirez toute l'importance qu'elles revêtent dans ce pays où hiérarchie et respect ne sont pas de vains mots . Le passage avec le chef de gare est tellement révélateur , je vous invite grandement à le lire 😉 Alors , certes , nous sommes dans le Japon des années 20 , mais je doute que le conflit mondial à venir ainsi que les progrès technologiques et autres mondialisations viennent perturber cet équilibre si harmonieux 100 ans plus tard . Ils sont attachés à leurs traditions et l'on comprend pourquoi à la fin de l'album et cette amourette surprise , si riche en enseignements . Je ne peux que recommander ce one-shot si bien écrit , dessiné et pourvu d'un sens du découpage cinématographique totalement immersif . Pour peu que le pays du soleil levant vous intéresse 😉 .
  2. Titre de l'album : L'honorable partie de campagne Scenariste de l'album : Jean-David Morvan - Thomas Raucat Dessinateur de l'album : Roberto Melis Coloriste : Roberto Melis Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Tokyo, 1922, l'Exposition universelle bat son plein avec la grande attraction de l'année : un hydroplane. Un Européen aborde deux jeunes Japonaises et propose à la plus jolie d'aller visiter l'île d'Enoshima. Mais un homme qui passe par là y voit l'occasion de briller socialement et se précipite sur l'Occidental : nul autre que lui-même n'aura le plaisir de montrer Enoshima à « l'honorable étranger » et il l'attendra à la gare, accompagné de quelques amis. Pour avoir les coudées franches, l'étranger décide de prendre un autre train que son hôte japonais encombrant... Mais il aura beau faire : les mille et une complications de la vie nippone vont se jeter en travers de ses projets galants. Critique : On le sait , JD Morvan est passionné par le Japon et sa culture depuis de nombreuses années . En parallèle à la magnifique série retraçant la vie de Madeleine la résistante , il réalise cette adaptation d'un roman de Thomas Raucat publié en 1924 suite à sa mission en terre japonaise . Durant ces 128 pages à l'aquarelle douce et élégante de Roberto Melis , vous allez vivre un véritable choc des cultures . Quand ils ne portent pas de jugement sur les us des occidentaux , tellement éloignés des moeurs locales , les japonais dévoilent leur culture et ce sens exacerbé de l'honneur à travers de multiples situations . La place de la femme en société , des enfants (selon leur sexe) , la sexualité , les rapports hiérarchiques professionnels , bref , c'est une véritable introspection de leurs coutumes que l'européen découvre . L'honneur , le déshonneur , ces considérations peuvent paraître stupides du prisme occidental , mais vous découvrirez toute l'importance qu'elles revêtent dans ce pays où hiérarchie et respect ne sont pas de vains mots . Le passage avec le chef de gare est tellement révélateur , je vous invite grandement à le lire 😉 Alors , certes , nous sommes dans le Japon des années 20 , mais je doute que le conflit mondial à venir ainsi que les progrès technologiques et autres mondialisations viennent perturber cet équilibre si harmonieux 100 ans plus tard . Ils sont attachés à leurs traditions et l'on comprend pourquoi à la fin de l'album et cette amourette surprise , si riche en enseignements . Je ne peux que recommander ce one-shot si bien écrit , dessiné et pourvu d'un sens du découpage cinématographique totalement immersif . Pour peu que le pays du soleil levant vous intéresse 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-honorable-partie-de-campagne/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    Shamisen

    Le duo d'auteurs brésiliens nous offre une balade onirique apaisante et poétique , bercée par la douce musique du shamisen retentissant . Il est impossible de classer cet ovni que publie les éditions Ankama ! Roman graphique , comte poétique et fantastique , biographie (librement inspirée de l'histoire de Haru Kobayashi ) ? N'y voyez pas un défaut , bien au contraire , c'est osé et pertinent de la part de Tiago Minamisawa, car on suit la vie de cette musicienne , pauvre et aveugle , dans un Japon rural , ancré dans ces traditions séculaires . Il se dégage une certaine quiétude en tournant les pages . Un véritable voyage philosophique , imagé avec talent par Guilherme Petreca . Son aquarelle est époustouflante , les flocons de neige semblent vouloir sortir des pages , le vent se matérialise sous vos yeux , les fleurs jaillissent avec un jeu de couleurs sublime , on est sur une patte graphique de très haut niveau . Il faut souligner aussi le travail éditorial d'Ankama qui a imprimé sur un papier épais et jauni , parfois ponctué de défauts ou d'usure du temps . Cela confère au récit une authenticité et l'impression pour le lecteur d'entrer de plein pied dans l'histoire japonaise avec un grand H . A travers l'odyssée de Haru (printemps en japonais) , sa rencontre avec des "yokai" , sa musique distillée dans les campagnes nippones dans une mélancolie sublime , on entrevoit des pans de la culture locale tels que : sérénité , croyances divines , réserve de sentiments , respect des traditions ... Si l'on est amateur (ou pas) de culture japonaise , je ne peux que vous inciter à la lecture de petit bijou graphique orchestré de main de maître pour un scénariste et un dessinateur de talent . Je souhaite les retrouver très rapidement 🙂
  4. Kevin Nivek

    Shamisen

    Titre de l'album : Shamisen Scenariste de l'album : Tiago Minamisawa Dessinateur de l'album : Guilherme Petreca Coloriste : Guilherme Petreca Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Japon, XXe siècle. Haru, une musicienne itinérante jouant du shamisen - instrument traditionnel japonais -, devient célèbre tant son art et la beauté de son chant touchent en plein coeur les habitants de la région. Durant son périple, elle parvient à séduire un kappa, l'un des yokai les plus célèbres du Japon, qui lui offre la clé de la dimension divine. En reprenant son chemin, Haru rencontrera alors les protagonistes emblématiques de la mythologie et du folklore japonais. Ce conte, directement inspiré de la vie de la célèbre goze Haru Kobayashi (1900-2005), explore les thèmes de la beauté et de la liberté à travers l'art, ainsi que le pouvoir de la musique folklorique, génératrice de l'identité culturelle nippone. Critique : Le duo d'auteurs brésiliens nous offre une balade onirique apaisante et poétique , bercée par la douce musique du shamisen retentissant . Il est impossible de classer cet ovni que publie les éditions Ankama ! Roman graphique , comte poétique et fantastique , biographie (librement inspirée de l'histoire de Haru Kobayashi ) ? N'y voyez pas un défaut , bien au contraire , c'est osé et pertinent de la part de Tiago Minamisawa, car on suit la vie de cette musicienne , pauvre et aveugle , dans un Japon rural , ancré dans ces traditions séculaires . Il se dégage une certaine quiétude en tournant les pages . Un véritable voyage philosophique , imagé avec talent par Guilherme Petreca . Son aquarelle est époustouflante , les flocons de neige semblent vouloir sortir des pages , le vent se matérialise sous vos yeux , les fleurs jaillissent avec un jeu de couleurs sublime , on est sur une patte graphique de très haut niveau . Il faut souligner aussi le travail éditorial d'Ankama qui a imprimé sur un papier épais et jauni , parfois ponctué de défauts ou d'usure du temps . Cela confère au récit une authenticité et l'impression pour le lecteur d'entrer de plein pied dans l'histoire japonaise avec un grand H . A travers l'odyssée de Haru (printemps en japonais) , sa rencontre avec des "yokai" , sa musique distillée dans les campagnes nippones dans une mélancolie sublime , on entrevoit des pans de la culture locale tels que : sérénité , croyances divines , réserve de sentiments , respect des traditions ... Si l'on est amateur (ou pas) de culture japonaise , je ne peux que vous inciter à la lecture de petit bijou graphique orchestré de main de maître pour un scénariste et un dessinateur de talent . Je souhaite les retrouver très rapidement 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shamisen/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    Shiki

    C'est une véritable découverte des éditions Payotrivages , que cette jeune auteure Rosalie Stroesser ! Son trait "ligne claire" aux accents de manga est étonnant et remarquable . Sous ses airs épurés , son dessin fourmille de détails dans les cases et on tourne les pages avec avidité . Cette première oeuvre est une réussite en tous points .Réussir à accrocher le lecteur en exposant ses voyages au Japon dénote un talent certain . Car au delà de ce qu'elle découvre , elle nous livre son analyse et ses pensées . Nous la suivons pas à pas dans son quotidien , et tout ne se déroule pas exactement comme voulu , ou prévu par la jeune femme amoureuse du Japon : Voyages "sac à dos" , nuits à la belle étoile , hôtes avec des réactions surprenantes parfois mais vues sous le prisme occidental , jobs intérimaires ponctués de rencontres marquées par la différence de culture ; tout ce qu'elle a vécu s'offre à nos yeux émerveillés par cette grâce du dessin et de la mise en scène . Je n'ose vous raconter ses découvertes (bonnes et mauvaises) car tout l'intérêt du livre repose sur ses impressions , ses joies et ses peines . 4 saisons pour 4 chapitres . Tel une coccinelle , posez-vous sur l'épaule de Rosalie et suivez la au pays du soleil levant ,vous découvrirez une artiste libre , passionnée , courageuse et téméraire . Grande voyageuse , elle a vécu en Nouvelle-Zélande deux ans après ses escapades nippones . J'ai déjà hâte de lire ses aventures au pays du long nuage blanc 🙂 . Un coup de coeur pour cette première oeuvre qui en appelle d'autres !
  6. Kevin Nivek

    Shiki

    Titre de l'album : Shiki Scenariste de l'album : Rosalie Stroesser Dessinateur de l'album : Rosalie Stroesser Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : " Comment raconter en quelques phrases cette année si dense ? Comment expliquer cette relation particulière, toute en contradictions, que j'ai développée avec le Japon ? Ce mélange incohérent d'attirance et de rejet ? " Octobre 2015. Rosalie, une jeune dessinatrice française passionnée par les mangas des années 70, s'envole pour le Japon. Elle ne sait pas vraiment ce qu'elle va y chercher, peut-être avant tout la beauté. D'une expérience de wwoofing à Oishi à son premier job dans un bar de Tokyo en passant par une escapade à Kyoto, ce voyage d'un an se fait parcours initiatique. Un livre à la beauté magnétique. Critique : C'est une véritable découverte des éditions Payotrivages , que cette jeune auteure Rosalie Stroesser ! Son trait "ligne claire" aux accents de manga est étonnant et remarquable . Sous ses airs épurés , son dessin fourmille de détails dans les cases et on tourne les pages avec avidité . Cette première oeuvre est une réussite en tous points .Réussir à accrocher le lecteur en exposant ses voyages au Japon dénote un talent certain . Car au delà de ce qu'elle découvre , elle nous livre son analyse et ses pensées . Nous la suivons pas à pas dans son quotidien , et tout ne se déroule pas exactement comme voulu , ou prévu par la jeune femme amoureuse du Japon : Voyages "sac à dos" , nuits à la belle étoile , hôtes avec des réactions surprenantes parfois mais vues sous le prisme occidental , jobs intérimaires ponctués de rencontres marquées par la différence de culture ; tout ce qu'elle a vécu s'offre à nos yeux émerveillés par cette grâce du dessin et de la mise en scène . Je n'ose vous raconter ses découvertes (bonnes et mauvaises) car tout l'intérêt du livre repose sur ses impressions , ses joies et ses peines . 4 saisons pour 4 chapitres . Tel une coccinelle , posez-vous sur l'épaule de Rosalie et suivez la au pays du soleil levant ,vous découvrirez une artiste libre , passionnée , courageuse et téméraire . Grande voyageuse , elle a vécu en Nouvelle-Zélande deux ans après ses escapades nippones . J'ai déjà hâte de lire ses aventures au pays du long nuage blanc 🙂 . Un coup de coeur pour cette première oeuvre qui en appelle d'autres ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sochira/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Touristes à la Havane Scenariste de l'album : Edo Brenes Dessinateur de l'album : Edo Brenes Coloriste : Edo Brenes Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Points de vue sur la situation actuelle à Cuba Arturo et Ivannia viennent passer leurs vacances à La Havane. Comme tous les touristes, ils tombent vite sous le charme de la ville et de ses habitants malgré les petites déconvenues du contrôle à l'aéroport, du change de devises un peu louche ou du manque d'Internet pour donner des nouvelles à leur famille. Loin de se contenter de ces anecdotes pittoresques, ils vont chercher à comprendre au fil des rencontres la réalité de ce pays sous le vernis écaillé... Les histoires des Cubains qui croisent leur chemin se mêlent ainsi au récit pour en faire un puissant portrait choral de Cuba aujourd'hui. Critique : La notion de vernis écaillé n'a jamais semblé autant appropriée pour décrire Cuba . C'est ce que vous allez découvrir aux côtés de Ivannia et Arturo , le couple costaricain venu découvrir ce pays et surtout sa capitale : La Havane . N'ayant pas eu la chance (ou pas) de visiter cette île des Caraïbes , j'ai donc découvert ce microcosme toujours sous embargo américain , à travers les yeux de ce couple costaricain , mais pas que ! L'auteur a eu l'intelligence de mélanger le voyage touristique et le quotidien des locaux . Ainsi l'on découvre leur arrivée avec les difficultés logistiques liées à un pays sous-développé : présence de 2 monnaies avec une pour les touristes et une pour les cubains , pas d'internet , difficultés de joindre le monde extérieur , grande rareté des produits usuels de consommation etc .... Problèmes économiques auxquels s'ajoute l'obédience communiste , où obscurantisme et délation font loi . Les cubains ont certes la gratuité de soins ( avec le peu de médicaments dont ils disposent) , mais ont aussi des tickets de rationnement ainsi qu'une paye générique liée à leur profession , un revenu vous l'imaginez bien , très faible même pour les personnes diplômés ! Bien entendu , le rêve des jeunes est de partir pour "Yuma" , le nom qu'ils donnent aux Etats-Unis , les plus vieux ayant digéré la propagande communiste se contentent de ce qu'ils ont et se félicitent du peu d'avantages dont ils disposent . On découvre donc tous ces aspects "locaux" sous les yeux ébahis du jeune couple , ET , des turpitudes des havanais avec leurs problématiques personnelles . Le fil conducteur étant presque la décision d'un jeune cubain de partir ou pas pour Miami sur un radeau de fortune ! Nous découvrons tout ce petit monde s'agiter sous la plume de Edo Brenes , qui avait déjà réalisé un travail similaire sur Bons baisers de Limon , une introspection sur sa vie et son pays le Costa Rica . Son trait semi-réaliste fourmille de détails et il use d'un minimum de couleurs pour imager la vision d'une ville restée la même , sans ambition et sans entretien . Tout est ébréché , délavé , usé , "écaillé" ... Peut-on espérer une note d'espoir pour ce pays et ses habitants ? Vous le découvrirez en lisant cet épais roman graphique au fil narratif très soigneux et surprenant dans sa conclusion . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/touristes-a-la-havane/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Kevin Nivek

    Touristes à la Havane

    La notion de vernis écaillé n'a jamais semblé autant appropriée pour décrire Cuba . C'est ce que vous allez découvrir aux côtés de Ivannia et Arturo , le couple costaricain venu découvrir ce pays et surtout sa capitale : La Havane . N'ayant pas eu la chance (ou pas) de visiter cette île des Caraïbes , j'ai donc découvert ce microcosme toujours sous embargo américain , à travers les yeux de ce couple costaricain , mais pas que ! L'auteur a eu l'intelligence de mélanger le voyage touristique et le quotidien des locaux . Ainsi l'on découvre leur arrivée avec les difficultés logistiques liées à un pays sous-développé : présence de 2 monnaies avec une pour les touristes et une pour les cubains , pas d'internet , difficultés de joindre le monde extérieur , grande rareté des produits usuels de consommation etc .... Problèmes économiques auxquels s'ajoute l'obédience communiste , où obscurantisme et délation font loi . Les cubains ont certes la gratuité de soins ( avec le peu de médicaments dont ils disposent) , mais ont aussi des tickets de rationnement ainsi qu'une paye générique liée à leur profession , un revenu vous l'imaginez bien , très faible même pour les personnes diplômés ! Bien entendu , le rêve des jeunes est de partir pour "Yuma" , le nom qu'ils donnent aux Etats-Unis , les plus vieux ayant digéré la propagande communiste se contentent de ce qu'ils ont et se félicitent du peu d'avantages dont ils disposent . On découvre donc tous ces aspects "locaux" sous les yeux ébahis du jeune couple , ET , des turpitudes des havanais avec leurs problématiques personnelles . Le fil conducteur étant presque la décision d'un jeune cubain de partir ou pas pour Miami sur un radeau de fortune ! Nous découvrons tout ce petit monde s'agiter sous la plume de Edo Brenes , qui avait déjà réalisé un travail similaire sur Bons baisers de Limon , une introspection sur sa vie et son pays le Costa Rica . Son trait semi-réaliste fourmille de détails et il use d'un minimum de couleurs pour imager la vision d'une ville restée la même , sans ambition et sans entretien . Tout est ébréché , délavé , usé , "écaillé" ... Peut-on espérer une note d'espoir pour ce pays et ses habitants ? Vous le découvrirez en lisant cet épais roman graphique au fil narratif très soigneux et surprenant dans sa conclusion .
  9. jusqu’à
    Les 25 et 26 Février 2023 aura lieu le MAGIC (Monaco Anime Game International Conferences) Un événement entièrement GRATUIT autour de la POP Culture organisé par SHIBUYA PRODUCTIONS et placé sous le patronage de S.A.S. la Princesse Charlene de Monaco Des invités prestigieux à retrouver en dédicaces, tables rondes et conférences : Yoichi TAKAHASHI l’auteur de Captain Tsubasa (Olive et Tom dans la version française) qui a aussi réalisé l’affiche de cette 6e édition Hironobu SAKAGUCHI le père fondateur de la saga Final Fantasy Ayami KOJIMA l’illustratrice et graphiste sur la série Castlevania Koji IGARASHI producteur de jeu vidéo, notamment les titres Castlevania et Bloodstained Thomas PESQUET ingénieur et spationaute français, présent pour la thématique l’espace et la POP culture Stefanie JOOSTEEN mannequin, actrice et chanteuse Nick DUDMAN concepteur d’effets de maquillage et de créatures, il a travaillé notamment sur le personnage de Yoda, sur la saga Harry Potter et sur le 5eme élément. Il sera aussi jury du concours de Cosplay Ronny TURIAF basketteur professionnel, présent pour le thématique la sport et la POP Culture William SIMPSON dessinateur de comics et story-boarder (game of thrones par exemple) DONOVAN jeune magicien alsacien, star des réseaux sociaux et bien d'autres encore... Le MAGIC INTERNATIONAL COSPLAY MAKERS (MICM) L’un des meilleurs concours de cosplay au monde (selon les cosplayeurs internationaux, ce qui n’est pas peu dire…) Avec un jury de professionnels : Nick DUDMAN, REIKA (l’une des plus célèbre cosplayeuse japonaise) et Ryan CID (les gagnant de l’édition 2019) Découvrez de superbes prestations et des costumes uniques, réalisés spécialement pour l’événement, qui ont pu prendre jusqu’à 700 heures de travail Un événement présenté par 3 cosplayeuses professionnelles : Lady Lemon, Horo Von Kaïda et Pichu LE CONCOURS DE MANGA Après une première sélection, retrouvez les 5 finalistes pour l’élection du gagnant qui gagnera la publication de son œuvre dans le magazine Shonen Jump + Un concours qui met en avant les qualités graphiques et scénaristiques. RETROUVEZ TOUTES LES INFORMATIONS SUR LE Site Officiel du MAGIC
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