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  1. Il est des lectures capables de vous transporter littéralement au sein même du récit . 1629 en fait assurément partie . Ne lisez pas ce résumé ou pitch et plongez directement ! La préface de Dorison expliquant ses motivations à utiliser cette histoire , est déjà une plongée vers ces eaux troubles , les eaux noires de l'âme humaine . Ce point de non retour que tout le monde peut franchir à un moment dans sa vie . Je suis entièrement d'accord avec lui à ce sujet , d'ailleurs une très grande partie des horreurs commises par l'humanité ont été réalisées par des personnalités communes in fine . 1629 , où comment l'Homme enjambe la ligne rouge ! Cette préface situant le contexte , nous embarquons à bord du Jakarta et ses 340 âmes , "dans le port d'Amsterdam" . La crasse et la misère côtoient les profits et rentabilités rois et reines de la grande société commerciale hollandaise . Un long voyage sans retour pour un grand nombre des membres d'équipage ,recrutés dans la rue , en prison , peu importe , du moment que ce n'est pas cher et sacrifiable . La puanteur régnant à bord nous est décrite avec précision . Les auteurs ne nous épargnent rien , le trait fin de Montaigne dépeint la vie maritime dans ses moindres recoins . Son découpage est nerveux , il épargne certaines scènes insupportables de punitions mais parvient à cristalliser notre attention avec des cases de transition centrées sur un seul et même personnage éprouvant , subissant cette capacité qu'à l'Homme à s'autodétruire . On tourne les pages avec frénésie et c'est presque un soulagement de les voir arriver à la première escale en Sierra Leone et d'admirer les couleurs turquoises des eaux africaines . Une étincelle dans les ténèbres , qui ne va pas durer . Très vite , rentabilité oblige , on embarque vers le Pacifique et ses courants mortels . A bord , la tension est à son comble , point de retour en arrière . Tout va s'enchaîner dans un maelström de violence et de trahisons en tout genre .C'est avec le souffle coupé que l'on referme l'ouvrage , se demandant jusqu'où, les auteurs , peuvent-ils aller dans le second tome ! Un énorme coup de coeur électrique , stupéfiant , vous remuant les tripes ! Un mot sur l'édition en grand format de Glénat , juste sublime , avec des reflets mordorés , un très bel objet pour une histoire vraie incroyable .
  2. Titre de l'album : 1629 , ou l'effrayante histoire des naufragés du Jakarta . Tome 1 L'apothicaire du diable Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Thimothée Montaigne Coloriste : Thimothée Montaigne Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Inspiré de faits réels, le thriller maritime le plus impitoyable de l’Histoire… 1629, la Compagnie hollandaise des Indes orientales, la plus riche société que l’Histoire ait jamais connue, affrète le Jakarta, fleuron de son immense flotte. Destination : l’Indonésie. Cargaison : assez d’or et de diamants pour corrompre l’empereur de Sumatra. À son bord, plus de 300 personnes issues de la misère ou de la fine fleur des bas-fonds d’Amsterdam. Point commun, aucun d’eux n’aurait jamais mis les pieds à bord de cet enfer flottant s’il n’était désespéré. Attisée par l’or et la violence des officiers, la tentation d’une mutinerie grandit, faisant du Jakarta un véritable baril de poudre. Un homme est prêt à allumer la mèche pour nourrir sa cupidité autant que ses rêves de grandeur : Jéronimus Cornélius. Apothicaire ruiné, recherché par l’Inquisition, il est le numéro deux à bord. Cultivé, intelligent, charismatique, rien ni personne ne semble en mesure d’empêcher son funeste projet de massacre et de prise du pouvoir sur le navire. Personne sauf… une invitée inattendue dans ce voyage effroyable, Lucrétia Hans. Femme de la haute Société, sommée par son mari de le rejoindre en Indonésie, elle doit à sa beauté autant qu’à sa désinvolture de se retrouver aussi proche du commandant du navire que de Jéronimus qui voit en elle un objet de désir et de fascination. Innocente, perdue au milieu de cet enfer sur mer, Lucrétia Hans découvre qu’elle est le dernier rempart contre celui qui est probablement un des pires psychopathes de l’Histoire. Bon voyage… Critique : Il est des lectures capables de vous transporter littéralement au sein même du récit . 1629 en fait assurément partie . Ne lisez pas ce résumé ou pitch et plongez directement ! La préface de Dorison expliquant ses motivations à utiliser cette histoire , est déjà une plongée vers ces eaux troubles , les eaux noires de l'âme humaine . Ce point de non retour que tout le monde peut franchir à un moment dans sa vie . Je suis entièrement d'accord avec lui à ce sujet , d'ailleurs une très grande partie des horreurs commises par l'humanité ont été réalisées par des personnalités communes in fine . 1629 , où comment l'Homme enjambe la ligne rouge ! Cette préface situant le contexte , nous embarquons à bord du Jakarta et ses 340 âmes , "dans le port d'Amsterdam" . La crasse et la misère côtoient les profits et rentabilités rois et reines de la grande société commerciale hollandaise . Un long voyage sans retour pour un grand nombre des membres d'équipage ,recrutés dans la rue , en prison , peu importe , du moment que ce n'est pas cher et sacrifiable . La puanteur régnant à bord nous est décrite avec précision . Les auteurs ne nous épargnent rien , le trait fin de Montaigne dépeint la vie maritime dans ses moindres recoins . Son découpage est nerveux , il épargne certaines scènes insupportables de punitions mais parvient à cristalliser notre attention avec des cases de transition centrées sur un seul et même personnage éprouvant , subissant cette capacité qu'à l'Homme à s'autodétruire . On tourne les pages avec frénésie et c'est presque un soulagement de les voir arriver à la première escale en Sierra Leone et d'admirer les couleurs turquoises des eaux africaines . Une étincelle dans les ténèbres , qui ne va pas durer . Très vite , rentabilité oblige , on embarque vers le Pacifique et ses courants mortels . A bord , la tension est à son comble , point de retour en arrière . Tout va s'enchaîner dans un maelström de violence et de trahisons en tout genre .C'est avec le souffle coupé que l'on referme l'ouvrage , se demandant jusqu'où, les auteurs , peuvent-ils aller dans le second tome ! Un énorme coup de coeur électrique , stupéfiant , vous remuant les tripes ! Un mot sur l'édition en grand format de Glénat , juste sublime , avec des reflets mordorés , un très bel objet pour une histoire vraie incroyable . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/1629-les-naufrages-du-jakarta-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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