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  1. Titre de l'album : Belfort et Lupin tome 1 - SOS carpe diem Scenariste de l'album : Lesdeuxpareilles Dessinateur de l'album : T. J. Stehly Coloriste : T. J. Stehly Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Encore une journée agitée à Versailles ! Le roi attend la visite de l'ambassadeur du chah de Perse et il a bien l'intention d'émerveiller son invité avec le spectacle des fontaines des jardins du château. Mais près des bassins, c'est la panique. Il n'y a plus d'eau ! Belfort et son compagnon Lupin sont très inquiets pour leurs amis, les carpes Antras et Diem, dont les œufs doivent bientôt éclore. Ils appellent donc Gazette, la petite souris, à la rescousse. Cette dernière va leur dévoiler les secrets de l'apprivoisement en eau à Versailles. Mais le temps presse ! L'eau continue de baisser et toute la famille de carpes est en danger ! Heureusement, Belfort et Lupin vont pouvoir compter sur tous les animaux de la ménagerie pour les aider. Un dossier pédagogique sur les fontaines du château de Versailles complète cette aventure déjantée de Belfort et Lupin. [Album labellisé château de Versailles] La série animée Belfort et Lupin est quant à elle disponible sur la plateforme Okoo et sur France 4. Critique : Comme souvent avec ces adaptations de dessins animés, je ne connais absolument pas la source première… donc je ne jugerais pas donc pas l'adaptation mais bien la BD d'aventure animalière jeunesse. Pour tout vous résumer : ma fille de 10 ans a trouvé ça bien même si un peu rapidement lu. C'est ce qui se dégage de cette lecture : Une aventure pour les petits lecteurs. On est ici sur une bd qui plaira aux jeunes, amateurs du dessin animés ou non. Tout est fait pour plaire dans cette histoire : des animaux tous gentils entre eux, une aventure trépidante mais ne mettant en jeu que les fontaines du jardin, les clichés des animaux respectés pour des blagues simples mais efficace et un côté éducatif présent mais pas pénible. Porté par un dessin simple, très orienté télé, et des couleurs lumineuses, cette BD ravira donc les parents (pour leurs enfants) autant que les jeunes enfants eux mêmes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/belfort-et-lupin-tome-1-sos-carpe-diem?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Comme souvent avec ces adaptations de dessins animés, je ne connais absolument pas la source première… donc je ne jugerais pas donc pas l'adaptation mais bien la BD d'aventure animalière jeunesse. Pour tout vous résumer : ma fille de 10 ans a trouvé ça bien même si un peu rapidement lu. C'est ce qui se dégage de cette lecture : Une aventure pour les petits lecteurs. On est ici sur une bd qui plaira aux jeunes, amateurs du dessin animés ou non. Tout est fait pour plaire dans cette histoire : des animaux tous gentils entre eux, une aventure trépidante mais ne mettant en jeu que les fontaines du jardin, les clichés des animaux respectés pour des blagues simples mais efficace et un côté éducatif présent mais pas pénible. Porté par un dessin simple, très orienté télé, et des couleurs lumineuses, cette BD ravira donc les parents (pour leurs enfants) autant que les jeunes enfants eux mêmes.
  3. Titre de l'album : Les sœurs Grémillet tome 7 - Le dragon d'or Scenariste de l'album : Giovanni Di Gregorio Dessinateur de l'album : Alessandro Barbucci Coloriste : Alessandro Barbucci Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : On a volé le Dragon d'or, la petite statue du parc devant laquelle s'est formé le Club des 3 sœurs ! La famille Grémillet lance donc l'enquête, malgré des journées très remplies ! Car Cassiopée participe à un concours de nouvelles - dont elle va profiter pour raconter sa recherche du Dragon d'or dans un récit médiéval - pendant que Sarah se consacre à un tournoi de hockey et que Lucille veut adopter un adorable chiot. Ces quêtes seront-elles couronnées de succès ? Pas sûr... Mais n'est-ce pas de l'échec que naît souvent l'apprentissage de la vie ? Di Gregorio et Barbucci reviennent avec un album parlant subtilement des concepts d'échec et de résilience, mais avec une narration résolument novatrice, entre vie réelle et récit médiéval ! Critique : J'aime quand les auteurs de séries rectifient le tir et apprennent de leurs "erreurs". Après un tome 5 un peu décevant, le tome 6 était déjà "mieux", par là j'entends plus orienté famille et relation entre les sœurs que sur une enquête fantastique. Et bien ce tome 7 renoue complètement avec le charme des premiers tomes des sœurs Gremillets. On retrouve une véritable complicité entre les sœurs. Une relation familiale qui sert de carcan à l'histoire qu'écrit Cassiopée. Histoire qui nous montre le regard qu'elle porte sur ces sœurs, héroïnes de son univers. La dualité graphique entre la vie réelle et le récit de Cassiopée donne un souffle d'aventure étonnant à ce tome et permet à Alessandro Barbucci de faire étage de toute sa classe dans un univers différent. Un tome 7 quasi parfait pour l'une des séries majeures du renouveau de la BD jeunesse Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-soeurs-gremillet-tome-7-le-dragon-d-or?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. J'aime quand les auteurs de séries rectifient le tir et apprennent de leurs "erreurs". Après un tome 5 un peu décevant, le tome 6 était déjà "mieux", par là j'entends plus orienté famille et relation entre les sœurs que sur une enquête fantastique. Et bien ce tome 7 renoue complètement avec le charme des premiers tomes des sœurs Gremillets. On retrouve une véritable complicité entre les sœurs. Une relation familiale qui sert de carcan à l'histoire qu'écrit Cassiopée. Histoire qui nous montre le regard qu'elle porte sur ces sœurs, héroïnes de son univers. La dualité graphique entre la vie réelle et le récit de Cassiopée donne un souffle d'aventure étonnant à ce tome et permet à Alessandro Barbucci de faire étage de toute sa classe dans un univers différent. Un tome 7 quasi parfait pour l'une des séries majeures du renouveau de la BD jeunesse
  5. Titre de l'album : Le cercle des intrépides tome 1 - L'épée de Zgangver Scenariste de l'album : Marc Dubuisson Dessinateur de l'album : Massimo Di Leo Coloriste : Massimo Di Leo Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Notre récit commence par une chanson de geste : "Il était une fois, dans le royaume d'Enégaur, un prince très ambitieux... " D'après la légende, quiconque s'empare de la légendaire épée de Zgangver devient automatiquement monarque incontestable et incontesté... C'est ainsi que le prince devint roi... A présent, le roi règne avec fermeté mais son épée, abîmée au combat, a besoin d'être réparée. Ses gardes emportent l'objet précieux chez Eriol, le forgeron du village, mais celui-ci doit s'absenter, et il confie la suite des opérations à sa fille Devane, l'héroïne de notre histoire. Malheureusement, un ptérodactyle farfelu passé par là dérobe l'épée et s'envole vers l'inconnu. Devane part à sa poursuite avec ses amis Korwin et Nikki. Ensemble, ils formeront le cercle des Intrépides ! Sur leur route, ils rencontreront des créatures aussi absurdes que drôles, comme ce gaillard qui se sectionne lui-même les membres pour se donner en spectacle, ou encore cette colonie de vers géants qui vénère un dieu des bas-fonds, un gros malabar qui joue au bandit de grand chemin, sans parler des doryphores parieurs ou des tricératops loucheurs. Après une série de quiproquos et de situations rocambolesques, les amis remettront-ils la main sur l'épée inestimable ? Critique : Dupuis enchaine les BD jeunesses d'aventure. Le cercle des intrépides est la nouvelle en date. Avec un petit coté humoristique en plus. On retrouve une aventure avec 3 petits jeunes embarqués dans une chasse au trésor pleine d'action et de rebondissement. Le coté anthropomorphe est bien utilisé, permettant l'introduction de blague contextuelle sympathique rendant l'aventure plaisante meme si pas super originale. Bien que résolument orienté pour les enfants, ce coté humoristique plaira surement aux plus grands. Dans la lignée des séries jeunesses Dupuis des dernières années Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-cercle-des-intrepides-tome-1-l-epee-de-zgangver?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Dupuis enchaine les BD jeunesses d'aventure. Le cercle des intrépides est la nouvelle en date. Avec un petit coté humoristique en plus. On retrouve une aventure avec 3 petits jeunes embarqués dans une chasse au trésor pleine d'action et de rebondissement. Le coté anthropomorphe est bien utilisé, permettant l'introduction de blague contextuelle sympathique rendant l'aventure plaisante meme si pas super originale. Bien que résolument orienté pour les enfants, ce coté humoristique plaira surement aux plus grands. Dans la lignée des séries jeunesses Dupuis des dernières années
  7. Titre de l'album : Les mondes perdus tome 2 - La danseuse d'Angkor Vat Scenariste de l'album : Aucha Dessinateur de l'album : Isabelle Lemaux-Piedfert Coloriste : Isabelle Lemaux-Piedfert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Peu après les fêtes de Noël, Amy quitte Londres pour l'Indochine. Son père est appelé en renfort sur le site de fouilles archéologiques d'Angkor Vat. Après un long voyage en bateau qu'elle a la chance de partager avec Eliott, son ami d'enfance, Amy termine seule le trajet jusqu'au Cambodge. Elle est alors accueillie par Sophal, une jeune danseuse, et Maenong, une adorable éléphante. Si les premiers jours vont être consacrés aux fouilles et aux recensements des trésors du site, rapidement, Amy va découvrir qu'ici aussi les trafiquants d'antiquités sévissent et qu'il faut à tout prix les arrêter. La curiosité et la soif de justice d'Amy vont lui attirer bien des ennuis... Critique : Deuxième tome des mondes perdus et suite de la quete d'Amy de l'Atlantide. Quête qui l'emmène dans un endroit radicalement différent, faisant de ce tome deux un one shot dans la vie d'Amy plus que la suite du premier tome. Certes, on retrouve Amy et son père et leurs quêtes de liens "tenus" entre les ruines et l'Atlantide, mais tout le reste change. Exit (enfin presque) l'amoureux d'Amérique du sud et place aux nouveaux copains d'asie. L'histoire est encore une fois très sympathique, même si un peu dépendante avec la première, et est portée par une mise en image magnifique d'Isabelle Lemaux-Piedfert qui nous montre encore une fois que la littérature jeunesse permet de faire de belles choses. L'ouvrage lui même est aussi très beau et l'ensemble a ravi ma fille. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-mondes-perdus-tome-2-la-danseuse-d-angkor-vat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Deuxième tome des mondes perdus et suite de la quete d'Amy de l'Atlantide. Quête qui l'emmène dans un endroit radicalement différent, faisant de ce tome deux un one shot dans la vie d'Amy plus que la suite du premier tome. Certes, on retrouve Amy et son père et leurs quêtes de liens "tenus" entre les ruines et l'Atlantide, mais tout le reste change. Exit (enfin presque) l'amoureux d'Amérique du sud et place aux nouveaux copains d'asie. L'histoire est encore une fois très sympathique, même si un peu dépendante avec la première, et est portée par une mise en image magnifique d'Isabelle Lemaux-Piedfert qui nous montre encore une fois que la littérature jeunesse permet de faire de belles choses. L'ouvrage lui même est aussi très beau et l'ensemble a ravi ma fille.
  9. Titre de l'album : Outlaws tome 2 - Les rivages de Midaluss Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Éric Chabbert Coloriste : Éric Chabbert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Espace confédéré. Année 2779. Kristina, jeune clandestine humaine obligée de travailler pour les passeurs galactiques qui l'ont fait voyager illégalement, va devoir apprendre à survivre sur une planète inconnue. Et à se faire sa place. Planète Drenn. Midaluss, immense cité balnéaire où quartiers riches et bidonvilles aliens coexistent, non sans difficultés. La violence peut éclater à chaque instant, sans prévenir. C'est là que Kristina et son nouveau compagnon de route, Zachary, ont décidé de se lancer dans une carrière de voleurs de véhicules de luxe. Mais alors qu'ils doivent faire face à une compétition féroce avec d'autres gangs, les événements de Kessmo, lié au Clan des Cimes, ne vont pas tarder à les rattraper. Et le sang, alien comme humain, risque de couler à nouveau. Critique : Deuxième tome très attendu que celui-ci, 2 ans après un premier tome bien accueillis pour ce spin off d'Orbital. Et second tome dans la lignée du premier avec l'histoire de la petite soeur Kristina, la petite soeur de Caleb. Une histoire un tout petit peu trop "facile" qui se retrouve, étonnamment, assez rapidement dans l'ombre de celle de son frère...alors même que ce n'est censé être qu'un clin d'œil et un lien avec la série mère. En effet cette histoire de vol de vaisseaux spatiaux pour la revente tire trop en longueur et même si elle fait le lien avec l'histoire du premier tome, elle peine à faire plus que nous divertir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/outlaws-tome-2-les-rivages-de-midaluss?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Hooky tome 4

    Titre de l'album : Hooky tome 4 Scenariste de l'album : Míriam Bonastre Tur Dessinateur de l'album : Míriam Bonastre Tur Coloriste : Míriam Bonastre Tur Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Toujours à la recherche du roi William mais empruntant deux chemins différents, Dani et Dorian, les jumeaux sorciers, s'apprêtent à affronter de terribles dangers. Dani, accompagnée de Marc, Nico et la princesse Aisha, va en effet croiser de dangereuses sirènes. Alors que Dorian, flanqué de Monica, rejoint pour sa part leur frère Damien, qui les avait abandonnés enfants pour de mystérieuses raisons... Nos héros survivront-ils à leur dangereuse quête, alors que leurs propres parents semblent plus que jamais décidés à les en empêcher ? Critique : Si j'écoutais mes enfants, ca serait LA BD de l'année. Ils ont ADORE ! comme rarement... On peut donc déjà dire que l'objectif de ce tome 4 est réussi. Plaire à un public jeunesse avec une aventure qui n'en finit plus, des amourettes qui ne se font pas vraiment et des personnages que l'on connait par cœur. Par contre mon côté adulte me fera dire que c'est quand même... un peu allonger la sauce. Alors oui, on retrouve nos charmants personnages, on retrouve nos couples qui ne s'assument pas.... mais on a un peu l'impression que l'histoire aurait pu finir dans le tome d'avant mais que le succès a poussé notre auteure à en faire plus. Alors c'est toujours agréable hein.... mais il faudrait que ca finisse un jour... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hooky-tome-4?srsltid=AfmBOoopM73eObrqp8fXZ_dDZxwobhWtsYF2f9J6bpbfFLA3RtzPV8_7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Hooky tome 4

    Si j'écoutais mes enfants, ca serait LA BD de l'année. Ils ont ADORE ! comme rarement... On peut donc déjà dire que l'objectif de ce tome 4 est réussi. Plaire à un public jeunesse avec une aventure qui n'en finit plus, des amourettes qui ne se font pas vraiment et des personnages que l'on connait par cœur. Par contre mon côté adulte me fera dire que c'est quand même... un peu allonger la sauce. Alors oui, on retrouve nos charmants personnages, on retrouve nos couples qui ne s'assument pas.... mais on a un peu l'impression que l'histoire aurait pu finir dans le tome d'avant mais que le succès a poussé notre auteure à en faire plus. Alors c'est toujours agréable hein.... mais il faudrait que ca finisse un jour...
  12. Titre de l'album : Julie Wood - saison 2 tome 1 - Mortel rodéo Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Claudio Stassi Coloriste : Claudio Stassi Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : ^La jeune Julie Wood vit avec ses deux frères, Indy et Phil, chez leur oncle Chris, garagiste les ayant recueillis depuis la mort de leurs parents. Addict au Flat Track ? discipline de moto cross par laquelle elle espère percer sur les circuits pro ? Julie traîne avec ses potes motards, mais aussi sur les réseaux sociaux, où elle poste des vidéos à l'adresse de sa communauté. Mais ce quotidien plein de rêves et de runs se trouve soudain chahuté par la visite de deux policiers. Car un certain Mason Green, motard assassiné au cours d'un rodéo urbain à Los Angeles, avait sur son portable un étrange message, où il était question de la famille Wood. Peut-être de quoi éclairer la disparition des parents de Julie sous un jour nouveau... Retrouvez Julie Wood, la mythique motarde de Jean Graton, pour un nouveau tour de piste, dans un reboot aussi moderne que respectueux ! Pelaez, à l'aise dans tous les registres, conjugue le background codifié par Jean Graton à un polar moderne. Le réputé Claudio Stassi donne, lui, une tonicité graphique impeccable à ce reboot ! Critique : Avec les générations d'auteurs qui s'en vont, viennent les tentations très "marvelienne" de rebooter des séries à succès, avec le risque que l'histoire ne soit plus vraiment actuelle. C'est le cas avec les séries de Jean Graton. Après Michel Vaillant qui "survit" à son créateur, c'est au tour de Julie Wood de voir ses aventures redémarrer et nous fournir une saison 2 qui n'est rien de plus qu'un reboot. Et si le nouveau Michel Vaillant a trouvé son public, j'ai un peu plus peur pour ce Julie Wood. En effet le scenario est assez convenu et l'histoire a tendance à courir deux chevaux en même temps. Deux chevaux radicalement différents ! Et je trouve que les deux histoires en parallèle ne match pas très bien. J'aurais largement préféré que l'o se concentre soit sur les courses, soit sur l'enquête... Enfin non surtout sur les courses. Je n'ai jamais trouvé crédibles les justifications de la volonté d'implication dans une enquête criminelle. Cela colle moyennement au personnage la ou par contre les courses de voitures, dans le monde machiste des "engins à moteurs" et des réseaux sociaux, est plutôt bien fait. Bref un début de série qui s'éparpille un peu trop pour me passionner. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/julie-wood-saison-2-tome-1-mortel-rodeo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Avec les générations d'auteurs qui s'en vont, viennent les tentations très "marvelienne" de rebooter des séries à succès, avec le risque que l'histoire ne soit plus vraiment actuelle. C'est le cas avec les séries de Jean Graton. Après Michel Vaillant qui "survit" à son créateur, c'est au tour de Julie Wood de voir ses aventures redémarrer et nous fournir une saison 2 qui n'est rien de plus qu'un reboot. Et si le nouveau Michel Vaillant a trouvé son public, j'ai un peu plus peur pour ce Julie Wood. En effet le scenario est assez convenu et l'histoire a tendance à courir deux chevaux en même temps. Deux chevaux radicalement différents ! Et je trouve que les deux histoires en parallèle ne match pas très bien. J'aurais largement préféré que l'o se concentre soit sur les courses, soit sur l'enquête... Enfin non surtout sur les courses. Je n'ai jamais trouvé crédibles les justifications de la volonté d'implication dans une enquête criminelle. Cela colle moyennement au personnage la ou par contre les courses de voitures, dans le monde machiste des "engins à moteurs" et des réseaux sociaux, est plutôt bien fait. Bref un début de série qui s'éparpille un peu trop pour me passionner.
  14. Titre de l'album : Les mémoires de la Shoah Scenariste de l'album : Annick Cojean | Thea Rojzman Dessinateur de l'album : Tamia Baudouin Coloriste : Tamia Baudouin Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 1942, descente des nazis dans le ghetto de Kovno, en Pologne : son nouveau-né dans les bras, une jeune femme regarde autour d'elle, hagarde. Bessie K : « Je tenais le bébé, et j'ai pris mon manteau, et j'ai emballé le bébé, je l'ai mis sur mon côté gauche car je voyais les Allemands dire "gauche" ou "droite", et je suis passée au travers avec le bébé. Mais le bébé manquait d'air et a commencé à s'étouffer et à pleurer. Alors l'Allemand m'a rappelée, il a dit : "Qu'est-ce que vous avez là ?" Je ne savais pas quoi faire parce que cela allait vite et tout était arrivé si soudainement. Je n'y étais pas préparée (...) Il a tendu son bras pour que je lui tende le paquet ; et je lui ai tendu le paquet. Et c'est la dernière fois que j'ai eu le paquet. » C'est l'un des nombreux témoignages de survivants des camps de la mort recueillis par Annick Cojean, grand reporter au Monde depuis plus de quarante ans. Elle reçoit en 1996 le prix Albert Londres pour Les mémoires de la Shoah. Ces textes magnifiques prennent une nouvelle dimension aujourd'hui avec cette adaptation en bande dessinée de Théa Rojzman et Tamia Baudoin. Une adaptation sensible des textes d'Annick Cojean en partenariat exclusif avec le Prix Albert Londres et le Mémorial de la Shoah. Critique : On le dit souvent mais le devoir de mémoire est important. Se souvenir de l'horreur visuelle des camps de la mort et de la déportation est un sujet fréquemment traité. Par contre, l'impact de la Shoah sur les générations futures le sont peu, alors même que ce sont les générations qui permettront d'éviter que cela ne se reproduise. Et c'est en cela que le reportage d'Annick Cojean, publié dans Le Monde" dans les années 90, est marquant. Il ne traite pas de la Shoah, mais de l'impact de celle-ci sur les enfants de déportés... mais aussi les enfants de nazis. Et ce à une époque où les gens avaient encore du mal à parler de la Shoah. Une époque où il était important d'oublier pour repartir de plus belle, quitte à ne pas écouter ceux qui ont besoin de parler. Et tous ces témoignages sont marquants encore aujourd'hui, 30 ans après, et cela, même si les gens sont plus ouverts à discuter du sujet. Que ce soit les souvenirs des rescapés, de leurs enfants ou même des fils de nazis, qui ont dû vivre(ou pas) avec le poids des péchés de leurs parents, on ne peut qu'être choqué par ce que l'on lit. Ces interviews rendent le récit beaucoup plus humain et beaucoup plus proche de nous, ce qui rend quasiment tangible des horreurs pourtant vieilles de 80 ans. À lire et faire lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-memoires-de-la-shoah?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Les mémoires de la Shoah

    On le dit souvent mais le devoir de mémoire est important. Se souvenir de l'horreur visuelle des camps de la mort et de la déportation est un sujet fréquemment traité. Par contre, l'impact de la Shoah sur les générations futures le sont peu, alors même que ce sont les générations qui permettront d'éviter que cela ne se reproduise. Et c'est en cela que le reportage d'Annick Cojean, publié dans Le Monde" dans les années 90, est marquant. Il ne traite pas de la Shoah, mais de l'impact de celle-ci sur les enfants de déportés... mais aussi les enfants de nazis. Et ce à une époque où les gens avaient encore du mal à parler de la Shoah. Une époque où il était important d'oublier pour repartir de plus belle, quitte à ne pas écouter ceux qui ont besoin de parler. Et tous ces témoignages sont marquants encore aujourd'hui, 30 ans après, et cela, même si les gens sont plus ouverts à discuter du sujet. Que ce soit les souvenirs des rescapés, de leurs enfants ou même des fils de nazis, qui ont dû vivre(ou pas) avec le poids des péchés de leurs parents, on ne peut qu'être choqué par ce que l'on lit. Ces interviews rendent le récit beaucoup plus humain et beaucoup plus proche de nous, ce qui rend quasiment tangible des horreurs pourtant vieilles de 80 ans. À lire et faire lire !
  16. Titre de l'album : Tanis tome 1 - Les tombeaux d'Atlantis Scenariste de l'album : Valerie Mangin | Denis Bajram Dessinateur de l'album : Stephane Perger Coloriste : Stephane Perger Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 10 000 ans avant notre ère, vallée du Nil. La jeune Tanis, intouchable à cause de ses cheveux blancs, vit avec l'Ancien, son père adoptif et le chaman du village. Une nuit, avec son seul ami, Sepi, elle se découvre le pouvoir d'ouvrir la pyramide d'Osiris, le dernier roi des Atlantes. Mais en y volant le masque du géant, ils commettent un terrible sacrilège : des rochers de feu s'abattent sur le village. Par miracle, Sepi, revêtu du masque, parvient à arrêter leur chute d'un simple geste. On exulte : Osiris est ressuscité ! Une ère de prospérité et de bonheur semble dès lors s'ouvrir pour la vallée. C'était compter sans les Aryanas, un peuple guerrier venu de la mer. Attirés par le jeune royaume divin, ils y apporteront la peur, la violence, l'esclavage et... l'amour. Critique : Nouvelle série au casting plutot impressionnant : Le couple Bajram/Mangin et Stephane Perger au dessin. Franchement de quoi saliver. Surtout avec une histoire dans un thème pas forcément à la mode : les mythes sur l'Égypte ancienne et ses origines. Des origines qui ont déjà inspiré de grandes sagas comme Stargate (dont j'ai revu le film récemment, hasard du calendrier comme on dit). Et si cette BD répond globalement aux attentes, avec une histoire mi-sf mi-mythologique globalement survitaminé, je ne peux m'empêcher d'avoir un gout de trop peu dans la bouche. Cette BD va trop vite pour dépasser le statut de très bon divertissement. La où il y avait de quoi faire une série dense, avec une héroïne au passé trouble, le retour de dieux qui semblent plus extra terrestre que d'orientation divine et la présence de vikings qui pillent ces cotes reculées. En effet, le personnage de Tanis n'a pas la place "grandir" comme il faut et donc ne réussit pas à émouvoir le lecteur la où il y avait de quoi faire une dramaturgie plus importante... C'est dommage, découper ce tome en deux n'aurait choqué personne tellement il se passe des choses et aurait donné beaucoup plus de profondeur à un scenario dont on a l'impression de n'explorer que le résumé. D'autant plus que les dessins de Stephane Perger sont magnifiques. Sauf si ce tome un n'est qu'une introduction à un scénario bien plus important que ce que j'imagine. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tanis-tome-1-les-tombeaux-d-atlantis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nouvelle série au casting plutot impressionnant : Le couple Bajram/Mangin et Stephane Perger au dessin. Franchement de quoi saliver. Surtout avec une histoire dans un thème pas forcément à la mode : les mythes sur l'Égypte ancienne et ses origines. Des origines qui ont déjà inspiré de grandes sagas comme Stargate (dont j'ai revu le film récemment, hasard du calendrier comme on dit). Et si cette BD répond globalement aux attentes, avec une histoire mi-sf mi-mythologique globalement survitaminé, je ne peux m'empêcher d'avoir un gout de trop peu dans la bouche. Cette BD va trop vite pour dépasser le statut de très bon divertissement. La où il y avait de quoi faire une série dense, avec une héroïne au passé trouble, le retour de dieux qui semblent plus extra terrestre que d'orientation divine et la présence de vikings qui pillent ces cotes reculées. En effet, le personnage de Tanis n'a pas la place "grandir" comme il faut et donc ne réussit pas à émouvoir le lecteur la où il y avait de quoi faire une dramaturgie plus importante... C'est dommage, découper ce tome en deux n'aurait choqué personne tellement il se passe des choses et aurait donné beaucoup plus de profondeur à un scenario dont on a l'impression de n'explorer que le résumé. D'autant plus que les dessins de Stephane Perger sont magnifiques. Sauf si ce tome un n'est qu'une introduction à un scénario bien plus important que ce que j'imagine.
  18. Titre de l'album : Le jour du caillou Scenariste de l'album : Vero Cazot Dessinateur de l'album : Anais Flogny Coloriste : Anais Flogny Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Chaque semaine, la compagnie d'artistes de Mona offre un superbe spectacle d'acrobaties et de musique. Mais depuis quelque temps, Mona n'arrive plus à réussir son numéro d'équilibriste... Et les encouragements de son amoureux Basile n'y changent rien. Mona pense à Eko, son ami de toujours qui a disparu de sa vie. Il y a quelques mois, Eko est parti, n'a plus donné de nouvelles à Mona. Il a continué sa vie ailleurs, loin d'elle, oubliant toutes leurs belles années d'amitié. Pour l'oublier, Mona décide de confier sa peine à un caillou et de le jeter dans une rivière. Mais sans le savoir, elle va plonger Eko dans une boucle temporelle dont lui seul a conscience. Va alors commencer un tout nouveau jeu d'équilibriste... Chaque jour, Mona va jeter le caillou. Et chaque jour, Eko va tout faire pour l'en empêcher. Un titre sensible, qui traite avec mélancolie et pudeur (mais non sans humour) d'un sujet peu exploité et pourtant universel : la rupture amicale. Critique : La dessinatrice de Rivages lointains, l'un de mes coups de cœur de l'année dernière, revient avec un nouveau roman graphique résolument différent. Sous la direction de Vero Cazot, les deux femmes nous livre une aventure très humaine. Une histoire d'amitié, d'amour, mais surtout une histoire de choix. Choix qui remplissent notre vie et que l'on doit accepter pour avancer, et même si se sont ceux des autres. C'est le cœur de notre histoire : deux personnages qui se retrouvent coincer dans une boucle temporelle ou ils revivent la même journée. Elle ne s'en souvient pas. Lui oui. Si l'on pourrait reprocher une véritable et longue redondance de ce jour, moi j'aurais tendance à penser que ce grand nombre de boucles permet de bien nous faire comprendre l'évolution de la réflexion d'Eko. Doucement, Eko cesse de lutter contre le côté surnaturel pour réfléchir à la cause, en passant d'une réflexion sur Mona à une réflexion sur lui-même. Une histoire qu'il ne faut pas prendre uniquement comme une histoire feel good sur deux "BFF" car le traitement des personnages secondaires, comme Basile, est tout sauf bâclé et amène une seconde lecture axée sur la limite entre amour et amitié. Une bien belle histoire qui n'épargne personne sans pourtant ne jamais chercher à blesser quelqu'un. Comme la vie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-jour-du-caillou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Le jour du caillou

    La dessinatrice de Rivages lointains, l'un de mes coups de cœur de l'année dernière, revient avec un nouveau roman graphique résolument différent. Sous la direction de Vero Cazot, les deux femmes nous livre une aventure très humaine. Une histoire d'amitié, d'amour, mais surtout une histoire de choix. Choix qui remplissent notre vie et que l'on doit accepter pour avancer, et même si se sont ceux des autres. C'est le cœur de notre histoire : deux personnages qui se retrouvent coincer dans une boucle temporelle ou ils revivent la même journée. Elle ne s'en souvient pas. Lui oui. Si l'on pourrait reprocher une véritable et longue redondance de ce jour, moi j'aurais tendance à penser que ce grand nombre de boucles permet de bien nous faire comprendre l'évolution de la réflexion d'Eko. Doucement, Eko cesse de lutter contre le côté surnaturel pour réfléchir à la cause, en passant d'une réflexion sur Mona à une réflexion sur lui-même. Une histoire qu'il ne faut pas prendre uniquement comme une histoire feel good sur deux "BFF" car le traitement des personnages secondaires, comme Basile, est tout sauf bâclé et amène une seconde lecture axée sur la limite entre amour et amitié. Une bien belle histoire qui n'épargne personne sans pourtant ne jamais chercher à blesser quelqu'un. Comme la vie.
  20. Nouveau tome de JKB et tome un petit trop "facile" à mon gout. Alain Dodier nous livre une enquête toute mignonnette juste à coté de chez Jerome. Une enquête qui sied bien au quotidien de notre détective de proximité mais qui est moins prenante que n'ont pu l'être "le cœur à droite" , "passé recomposé" ou "un chien dans un jeu de quille" par exemple. La fin est un peu trop gentille, le mystère vite éventé et l'absence de Babette comblée par des personnages secondaires un peu trop "la au bon moment" nous livrant une histoire sans réelle tension. En gros, les ficelles ressemblaient plus à des fils de laines qu'à de la soie. Au vu des bonnes critiques reçues par ailleurs, il faudrait que je relise les précédents pour être sûr que ce n'est pas moi qui aie trop vieillis....
  21. Titre de l'album : Jérôme K. Jérôme Bloche tome 29 - Perpétuité Scenariste de l'album : Alain Dodier Dessinateur de l'album : Alain Dodier Coloriste : Alain Dodier Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le quotidien d'un détective privé n'est pas de tout repos. Et du repos justement, Jérôme en manque. Réveillé en pleine nuit par un appel de son fidèle ami Burhan, il va découvrir qu'il doit une fois de plus enquêter sur une étrange disparition. Celle d'un doudou. Celui de Yasmina, venue accompagner sa maman, femme de ménage dans une grande maison bourgeoise et attristée de l'y avoir égaré. Jérôme va rapidement apprendre que l'oncle de Yasmina a lui aussi disparu aux alentours de cette étrange maison. Malgré lui, il se retrouve embarqué dans une enquête qu'il a du mal à prendre au sérieux. Privé de sommeil (et de solex), l'affaire s'annonce difficile... Avec ce nouvel album, Alain Dodier prouve une nouvelle fois sa parfaite maîtrise des codes du polar. Une enquête étonnante avec une conclusion magistrale. Critique : Nouveau tome de JKB et tome un petit trop "facile" à mon gout. Alain Dodier nous livre une enquête toute mignonnette juste à coté de chez Jerome. Une enquête qui sied bien au quotidien de notre détective de proximité mais qui est moins prenante que n'ont pu l'être "le cœur à droite" , "passé recomposé" ou "un chien dans un jeu de quille" par exemple. La fin est un peu trop gentille, le mystère vite éventé et l'absence de Babette comblée par des personnages secondaires un peu trop "la au bon moment" nous livrant une histoire sans réelle tension. En gros, les ficelles ressemblaient plus à des fils de laines qu'à de la soie. Au vu des bonnes critiques reçues par ailleurs, il faudrait que je relise les précédents pour être sûr que ce n'est pas moi qui aie trop vieillis.... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jerome-k-jerome-bloche-tome-29-perpetuite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Spirou et la gorgone bleue Scenariste de l'album : Yann Le Pennetier Dessinateur de l'album : Daniel Henrotin Coloriste : Daniel Henrotin Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Lors d'un reportage sur un groupe « écolo-terroriste », Seccotine découvre que ses activités sont financées par le comte de Champignac, le vieil ami de Spirou et Fantasio ! En prenant le relais de l'enquête, le célèbre duo va se retrouver embarqué à son insu sur un porte-avions dans un combat acharné entre un milliardaire producteur d'engrais chimiques extrêmement polluants et une organisation 100 % féminine qui lutte avec des moyens originaux contre la malbouffe et la pollution des océans. Avec La Gorgone Bleue, Yann et Dany nous livrent une grande aventure humoristique de Spirou qui n'hésite pas à aborder quelques thèmes d'actualité brûlants : écolo-terrorisme, pollution des océans, greenwashing, déontologie médiatique, etc. Critique : Alors la ! Je dois avouer avoir pris une grosse claque. En partie parce que je n'attends jamais trop rien de ces versions "vu par" des différents grandes séries de la BD franco/belges. Mais pas que.... car Dany et Yann nous livrent une superbe histoire qui m'a rappelé les Spirou de mon enfance. Déjà ils sont repris la base des aventures de notre groom : Une aventure rocambolesque ou Spirou et Spip (et Fantasio !) se trouvent mêlés par le plus grand des hasards. Mais on retrouve surtout un second degré de folie. Les réflexions de Spip sont à mourir de rire tout comme le traitement de Fantasio comme une "extension" de Spirou et le fait que cela l'énerve au plus haut point. Et que dire du contexte et des références à l'actualité signée Dany : Le porte-avion uniquement piloté par des Blacks avec le blanc de service qui est forcément un espion, le "méchant" copie de Trump qui retombe toujours sur ces pates, la malbouffe et les gens qui s'en foutent tant qu'il y a un goodies à gagner… Tout un ensemble qui rend la lecture truculente. Et tout ça saupoudré du trait de Dany qui, cela va sans dire, met en avant le personnage de Secotine comme rarement 🙂 bref j'ai adoré et je m'en vais le relire pour trouver des réferences/blagues que j'aurais pu rater ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-spirou-de-dany-et-yann-spirou-et-la-gorgone-bleue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Dad tome 11 - Flashbacks Scenariste de l'album : Nob Dessinateur de l'album : Nob Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Les souvenirs, c'est souvent ce que l'on a de plus précieux... Ce qui n'empêche pas de les partager ! La preuve par cinq, avec Dad et ses quatre filles, qui dans le tome 11 de leurs aventures vous offrent d'irrésistibles instantanés de leurs jeunes années. Retrouvez donc Dad jeune père, accompagné de Panda, Ondine, Roxane et Bébérénice d'abord toutes bébés, avant que les années ne les emmènent jusqu'à l'âge où vous les aviez découvertes dans le tome 1 ! Au programme, comme toujours : amour et humour. Mais surtout énormément d'émotion en découvrant les premières années de cette famille qui, l'air de rien, est un peu devenue la nôtre. D'ailleurs, après ce tome 11, vous n'aurez plus qu'une envie : revisiter vos souvenirs de lecture en reprenant toute la série ! Critique : En voila une idée qu'elle est bonne ! Quand on commence à avoir fait le tour des blagues familiales, qui obligent à garder les enfants "jeunes" car à la maison, pourquoi ne pas se retourner sur les épisodes que nous ne connaissons pas du passé de notre famille ? C'est ca la bonne idée ! Et c'est bien foutu. Un petit trop centré sur Panda à mon gout (ou il aurait fallut 3 tomes) mais très rigolo. La petite Panda est magique et Ondine très rigolote. Roxane entre peu en compte (quand je vous disais qu'il manquait un tome) et bébérenice nous dévoile.... ses origines ! On rigole bien tout au long d'un album qui nous surprend dans une série que l'on pensait ne plus pouvoir le faire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dad-tome-11-flashbacks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Dad tome 11 - Flashbacks

    En voila une idée qu'elle est bonne ! Quand on commence à avoir fait le tour des blagues familiales, qui obligent à garder les enfants "jeunes" car à la maison, pourquoi ne pas se retourner sur les épisodes que nous ne connaissons pas du passé de notre famille ? C'est ca la bonne idée ! Et c'est bien foutu. Un petit trop centré sur Panda à mon gout (ou il aurait fallut 3 tomes) mais très rigolo. La petite Panda est magique et Ondine très rigolote. Roxane entre peu en compte (quand je vous disais qu'il manquait un tome) et bébérenice nous dévoile.... ses origines ! On rigole bien tout au long d'un album qui nous surprend dans une série que l'on pensait ne plus pouvoir le faire.
  25. poseidon2

    Holyland tome 9

    Yuu a gagné ! Mais il n'a pas su s'arrêter et il s'en veut et donc... cogite encore et toujours sur le pourquoi il fait ça, pourquoi il en a besoin et patati et patata..... Bref retour en arrière avec un tome qui est peut-être un des plus ennuyants de la série. En effet, les atermoiements de notre héros étaient touchants au début mais sont globalement pénibles à la longue. Pas vraiment de combat dans ce tome-ci. Juste les hésitations de Yuu.... Sincèrement j'espère que l'histoire va évoluer sur autre chose. En effet il reste 9 tomes avant la fin de la série... et on ne pourra endurer 9 tomes d'aller-retour sur sa recherche de reconnaissance et le pourquoi il a tout le temps envie de se battre.....
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