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  1. Kevin Nivek

    Le fantôme de Canterville

    Je connaissais comme tout le monde Le portrait de Dorian Gray , et j'ai découvert avec plaisir une autre facette de l'immense talent du romancier britannique dans ces deux contes . Tout d'abord , Le fantôme de Canterville , où comment un américain ayant fait fortune se cherche un patronyme prestigieux en achetant les yeux fermés un vieux manoir anglais . La critique des "self made men" du nouveau continent est aisée , le "yankee" n'a assurément pas le flegme britannique , ni cette éducation stricte so british . Il en va de même pour sa famille qui découvre ce château avec plaisir et se moque éperdument des turpitudes d'un fantôme hantant les lieux . On savoure les échecs patents de pauvre hère , incapable d'effrayer les membres de la famille . La situation prendra une autre tournure , vous le saurez en vous plongeant dans ce récit aux notes humoristiques . Vient ensuite Le crime de Lord Arthur Saville ! Au cours d'une soirée mondaine , ce Lord vient à se faire lire les lignes de la main et le pire lui est prédit . S'en suit une quête ubuesque pour tenter d'échapper à cette malédiction . Je ne vous dévoile pas l'intrigue mais sachez que l'on s'amuse aussi en lisant les aventures de ce Lord ! Pour illustrer tout ceci , l'octogénaire Marcelé use de son trait charbonneux , tout en noir et blanc . C'est un style particulier qui peut rebuter de prime abord , j'en conviens . Mais plus on avance dans le récit de son compère Rodolphe , et plus cette vague crayonnée prend son sens en imageant parfaitement l'époque et les lieux . Détail amusant sur Oscar Wilde : avant que son homosexualité soit révélée avec pertes et fracas en 1895 , il avait fréquenté Florence Balcombe , qui fut ensuite l'épouse d'un autre grand auteur : Bram Stoker . Un petit monde 😉
  2. Titre de l'album : Le fantôme de Canterville Scenariste de l'album : Rodolphe , Oscar Wilde Dessinateur de l'album : Marcelé Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Angleterre 1890, un riche américain achète le manoir de Canterville. L'ancien propriétaire le prévient que le fantôme d'un de ses ancêtres hante les lieux. L'Américain ne s'en laisse pas conter et le malheureux fantôme aura bien de la peine à retrouver la paix. D'Oscar Wilde on connait le Portrait de Dorian Gray, il est également l'auteur de contes fantastiques évoquant châteaux hantés, revenants terrifiants, et autres malédictions, le tout avec une ironie dans la meilleure tradition britannique. Les meilleurs de ces récits ont pour titre Le Fantôme de Canterville et Le Crime de Lord Arthur Savile. Mêlant à leur tour fantastique et humour noir via le dessin volontiers gothique de Marcelé, Rodolphe et lui revisitent ces chefs d'oeuvre en offrant une version aussi grinçante que jubilatoire. Critique : Je connaissais comme tout le monde Le portrait de Dorian Gray , et j'ai découvert avec plaisir une autre facette de l'immense talent du romancier britannique dans ces deux contes . Tout d'abord , Le fantôme de Canterville , où comment un américain ayant fait fortune se cherche un patronyme prestigieux en achetant les yeux fermés un vieux manoir anglais . La critique des "self made men" du nouveau continent est aisée , le "yankee" n'a assurément pas le flegme britannique , ni cette éducation stricte so british . Il en va de même pour sa famille qui découvre ce château avec plaisir et se moque éperdument des turpitudes d'un fantôme hantant les lieux . On savoure les échecs patents de pauvre hère , incapable d'effrayer les membres de la famille . La situation prendra une autre tournure , vous le saurez en vous plongeant dans ce récit aux notes humoristiques . Vient ensuite Le crime de Lord Arthur Saville ! Au cours d'une soirée mondaine , ce Lord vient à se faire lire les lignes de la main et le pire lui est prédit . S'en suit une quête ubuesque pour tenter d'échapper à cette malédiction . Je ne vous dévoile pas l'intrigue mais sachez que l'on s'amuse aussi en lisant les aventures de ce Lord ! Pour illustrer tout ceci , l'octogénaire Marcelé use de son trait charbonneux , tout en noir et blanc . C'est un style particulier qui peut rebuter de prime abord , j'en conviens . Mais plus on avance dans le récit de son compère Rodolphe , et plus cette vague crayonnée prend son sens en imageant parfaitement l'époque et les lieux . Détail amusant sur Oscar Wilde : avant que son homosexualité soit révélée avec pertes et fracas en 1895 , il avait fréquenté Florence Balcombe , qui fut ensuite l'épouse d'un autre grand auteur : Bram Stoker . Un petit monde 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-fantome-de-canterville-9782493343451/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Et hop une nouvelle série Soleil. Et quand elle s'appelle Guerres & Dragons, forcément on est plutôt sur une lecture fantastique plaisir que sur du rigoureux. Qu'à cela ne tienne, ici le concept est simple : imaginons la bataille d'angleterre si des dragons s'en mêlaient. Oui le pitch est simpliste, mais la période historique suffisamment riche pour permettre de raconter une histoire. Alors attention, il s'agit à priori si j'ai bien compris d'une série en 4 épisodes se déroulant pour la plupart dans des époques et des lieux différents. Leurs point communs : une guerre d'ampleur et l'intervention des dragons. Nicolas Jarry a bien trop de métier pour essayer de creuser trop profond la question de l'existence de ces dragons, de leur arrivée, de leurs liens avec les humains. Ce n'est pas l'objet ici, et cela serait probablement casse gueule. Donc il nous demande d'accepter cet état de fait pour mieux nous parler du destin d'une famille pendant cette bataille d'angleterre. Tant mieux, c'est bien fait. Il faut dire aussi que les planches de Vax sont très très réussies je trouve dans le style désormais facilement reconnaissable des séries Soleil. Rien de novateur, mais des couleurs vives et nuancées qui viennent cette fois-ci rendre les planches encore plus dynamiques et exaltantes. Bravo M. Powell.
  4. Titre de l'album : Guerres et dragons - Tome 1 - La bataille d'Angleterre Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Vax Coloriste : Vincent Powell Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 1940. Hitler souhaite un traité de non-agression avec l'Angleterre qui rejette la proposition. L'armée allemande s'apprête à déferler sur les côtes britanniques défendues par la Royal Air Force. Tandis qu'un dragon cherche à se lier à elle, Alexandra doit fuir vers les USA avec son frère. Alors que leur navire s'éloigne, ils sont attaqués par deux dragons allemands. Critique : Et hop une nouvelle série Soleil. Et quand elle s'appelle Guerres & Dragons, forcément on est plutôt sur une lecture fantastique plaisir que sur du rigoureux. Qu'à cela ne tienne, ici le concept est simple : imaginons la bataille d'angleterre si des dragons s'en mêlaient. Oui le pitch est simpliste, mais la période historique suffisamment riche pour permettre de raconter une histoire. Alors attention, il s'agit à priori si j'ai bien compris d'une série en 4 épisodes se déroulant pour la plupart dans des époques et des lieux différents. Leurs point communs : une guerre d'ampleur et l'intervention des dragons. Nicolas Jarry a bien trop de métier pour essayer de creuser trop profond la question de l'existence de ces dragons, de leur arrivée, de leurs liens avec les humains. Ce n'est pas l'objet ici, et cela serait probablement casse gueule. Donc il nous demande d'accepter cet état de fait pour mieux nous parler du destin d'une famille pendant cette bataille d'angleterre. Tant mieux, c'est bien fait. Il faut dire aussi que les planches de Vax sont très très réussies je trouve dans le style désormais facilement reconnaissable des séries Soleil. Rien de novateur, mais des couleurs vives et nuancées qui viennent cette fois-ci rendre les planches encore plus dynamiques et exaltantes. Bravo M. Powell. Autres infos : Script Doctor : David Courtois Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Deuxième tome de notre dytique sur les nécromants et une bonne fin d'histoire. Porté par les dessins très dynamiques et colorés de Tina Valentino, Olivier Gay nous livre l'un de ses meilleurs scenarios. Les surprises sont nombreuses et les cartes globalement bien cachées nous offrant de vrais rebondissements et surprises. Un peu plus sérieux que les maléfices du Danthrakon, ce deuxième tome de Necromants nous offre la fin d'une vraie belle aventure fantastique qui vient se placer très haut dans les dytiques de Drakoo. À offrir à tout fan de fantastique, surtout que pour la sortie de ce tome deux, un écran avec les deux tomes est aussi proposé :
  6. Titre de l'album : Nécromants tome 2 - Le plan de Montserrat Scenariste de l'album : Olivier Gay Dessinateur de l'album : Tina Valentino Coloriste : Tina Valentino Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Le conte des mille et une vies. Acher est l'un des nécromants les plus faibles du royaume. Il s'est lié aux fantômes d'un guerrier incompétent, d'un érudit gâteux et d'une danseuse du ventre évaporée. Pourtant, il semblerait qu'il soit le seul à pouvoir arrêter un terrible sorcier revenant... c'est pas gagné !Désormais, les enjeux sont clairs - mais les motivations des héros le sont moins. Qui ment, qui dit la vérité ? Voici la confrontation finale entre le plus puissant des archimages et la plus rusée des stratèges.Et, comme d'habitude, Acher est en plein milieu. Critique : Deuxième tome de notre dytique sur les nécromants et une bonne fin d'histoire. Porté par les dessins très dynamiques et colorés de Tina Valentino, Olivier Gay nous livre l'un de ses meilleurs scenarios. Les surprises sont nombreuses et les cartes globalement bien cachées nous offrant de vrais rebondissements et surprises. Un peu plus sérieux que les maléfices du Danthrakon, ce deuxième tome de Necromants nous offre la fin d'une vraie belle aventure fantastique qui vient se placer très haut dans les dytiques de Drakoo. À offrir à tout fan de fantastique, surtout que pour la sortie de ce tome deux, un écran avec les deux tomes est aussi proposé : Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/necromants-tome-2-le-plan-de-montserrat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. J'ai beaucoup aimé la lecture facile de ce conte fantastique aux accents d'Etrange Noël de M. Jack. Les enjeux sont vite compréhensibles, et on est porté dans le tourbillon d'aventures que va connaitre Christopher pour découvrir ce qui est arrivé à sa petite sœur. Sur le thème du deuil, l'histoire évite de trop s'appesantir sur la tristesse pour nous faire découvrir plutôt un monde féérique et plus étrange qu'horrifiant. Les dessins de Margaux Saltel sont tout en rondeurs et grâce à la colorisation très dynamique on retrouve vite une impression de dessin animé, signe d'une certaine réussite dans le dynamisme des cases et des visages. C'est le premier tome d'un futur joli conte pour enfants qui je le pense va encore nous apporter son lot de surprises.
  8. Titre de l'album : Le royaume d'après - Tome 1 - Le crépuscule Scenariste de l'album : Marc Dubuisson Dessinateur de l'album : Margaux Saltel Coloriste : Margaux Saltel Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Christopher vit avec son père et sa petite soeur Mary depuis que sa mère est morte en lui donnant naissance. Lorsqu'un soir Mary est enlevée par une créature effrayante, Christopher va devoir prendre son courage à deux mains pour tenter de la sauver. Aidé par Morrigan, vieille dame étrange et excentrique, il va tout faire pour la retrouver et embarque pour le Royaume d'Après, un monde surnaturel où se retrouvent les âmes des morts... Critique : J'ai beaucoup aimé la lecture facile de ce conte fantastique aux accents d'Etrange Noël de M. Jack. Les enjeux sont vite compréhensibles, et on est porté dans le tourbillon d'aventures que va connaitre Christopher pour découvrir ce qui est arrivé à sa petite sœur. Sur le thème du deuil, l'histoire évite de trop s'appesantir sur la tristesse pour nous faire découvrir plutôt un monde féérique et plus étrange qu'horrifiant. Les dessins de Margaux Saltel sont tout en rondeurs et grâce à la colorisation très dynamique on retrouve vite une impression de dessin animé, signe d'une certaine réussite dans le dynamisme des cases et des visages. C'est le premier tome d'un futur joli conte pour enfants qui je le pense va encore nous apporter son lot de surprises. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-royaume-d-apres-tome-1-le-ceepuscule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    La Venise des Louves

    Rhhhaaa pourquoi les bonnes histoires sont souvent trop courtes ? Ou alors est ce parce que l'histoire est bonne que l'on en voudrait plus ? C'est clairement le cas ici. Le background derrière l'histoire de nos louves est juste magique. Innovant, intéressant et bien pensé, on aurait quasiment aimé avoir un one shot sur chacune des louves tellement il y a de pistes à explorer. Car, et sans trop en dire ce qui gâcherait la surprise, l'univers imaginé par XXX est très bon. On mélange de fantastique, horreur et cape et épée détonnant. Le mix semble improbable, mais se trouve être très bon et bien mis en avant par le dessin subtil de Emanuele Contarini. Trop bien je dirais. Car le seul défaut de cet album est bien de nous laisser sur notre faim. L'histoire est bien conclue.... mais on aurait préféré qu'elle ne le soit pas et que l'on prenne plus de temps pour détailler les passer de ces dames, de notre héros ou encore de l'ile. Une bonne lecture mais ou il y avait de quoi faire une excellente série. Dommage
  10. Titre de l'album : La Venise des Louves Scenariste de l'album : Aurelie Wellenstein Dessinateur de l'album : Emanuele Contarini Coloriste : Emanuele Contarini Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Dans une Venise de fantasy ravagée par des attentats surréalistes, un rescapé et ses alliées dissimulées sous des masques de loup cherchent à comprendre qui sont les terroristes qui ont détruit leur vie. L'archipel des Gabbiani était un bel endroit avant que l'une de ses îles ne soit brusquement coupée des autres. De celle qu'on surnomme désormais « l'île noire » viennent de mystérieux gondoliers. Ils sillonnent les canaux, exigeant des impôts exorbitants, et si les habitants ne se soumettent pas, un attentat ravage leurs quartiers de bombes surréalistes qui déforment, dispersent, désagrègent ou effacent leurs victimes.Renzo, pianiste surdoué, a vu son bras effacé lors d'un attentat. Il a rassemblé autour de lui quatre femmes, elles aussi victimes de la bombe. Ils forment une nouvelle famille, une meute, cinq doigts d'une main d'acier. Cachés sous des masques de loup, ils n'ont qu'un objectif : accoster sur l'île noire en quête de vengeance... et de sens. Critique : Rhhhaaa pourquoi les bonnes histoires sont souvent trop courtes ? Ou alors est ce parce que l'histoire est bonne que l'on en voudrait plus ? C'est clairement le cas ici. Le background derrière l'histoire de nos louves est juste magique. Innovant, intéressant et bien pensé, on aurait quasiment aimé avoir un one shot sur chacune des louves tellement il y a de pistes à explorer. Car, et sans trop en dire ce qui gâcherait la surprise, l'univers imaginé par XXX est très bon. On mélange de fantastique, horreur et cape et épée détonnant. Le mix semble improbable, mais se trouve être très bon et bien mis en avant par le dessin subtil de Emanuele Contarini. Trop bien je dirais. Car le seul défaut de cet album est bien de nous laisser sur notre faim. L'histoire est bien conclue.... mais on aurait préféré qu'elle ne le soit pas et que l'on prenne plus de temps pour détailler les passer de ces dames, de notre héros ou encore de l'ile. Une bonne lecture mais ou il y avait de quoi faire une excellente série. Dommage Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-venise-des-louves?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Sangdragon

    Retour aux sources du fantastique pour ce nouveau one shot Dupuis pour le jeune public : On revient aux chevaliers, aux dragons et à une héroïne pleine de caractère. Un retour aux sources dynamique porté par un dessin simple mais vraiment raccord au scenario qui cherche à ne pas trop compliquer les choses. En effet, c'est l'objectif de nos auteurs : faire un album original, orienté pour les jeunes lecteurs et sur un thème peut être trop sous-coté chez les plus jeunes. Et c'est une vraie réussite. Le mix prend bien, l'aventure est sympathique, dense et globalement prenante. Une réussite pour les plus jeunes lecteurs.
  12. poseidon2

    Sangdragon

    Titre de l'album : Sangdragon Scenariste de l'album : Bedu Dessinateur de l'album : Bedu Coloriste : Bedu Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans les hautes terres d'Ergwad, le roi Arthmel vient de mourir, laissant son trône au brutal prince Oghor. Ce dernier, craignant de se voir évincé par sa soeur, la princesse Hélia, la fait emprisonner. Son seul crime ? Que la Pyrize, une pierre mystérieuse, l'ait désignée responsable de l'éveil du dragon qui va ravager le royaume... Hélia, rebelle et fougueuse, va s'évader, emportant la Pyrize. Accompagnée de Yoyo, de la race des Khtolls, elle va se diriger vers Kohrmor, la terre des dragons, afin de combattre la terrible créature menaçant son peuple. Elle n'est dorénavant plus princesse. Mais guerrière ! Et elle ira jusqu'au bout d'elle-même, de tous les dangers, de toutes les surprises que lui réserve sa quête. On a trop vite réduit Bédu aux célèbres Psys ! Car après Hugo, ce grand auteur renoue avec une heroic fantasy à la fois raffinée et populaire, pour un album déjà incontournable. Critique : Retour aux sources du fantastique pour ce nouveau one shot Dupuis pour le jeune public : On revient aux chevaliers, aux dragons et à une héroïne pleine de caractère. Un retour aux sources dynamique porté par un dessin simple mais vraiment raccord au scenario qui cherche à ne pas trop compliquer les choses. En effet, c'est l'objectif de nos auteurs : faire un album original, orienté pour les jeunes lecteurs et sur un thème peut être trop sous-coté chez les plus jeunes. Et c'est une vraie réussite. Le mix prend bien, l'aventure est sympathique, dense et globalement prenante. Une réussite pour les plus jeunes lecteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangdragon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango...
  14. Titre de l'album : Lonesome - Tome 4 - Le territoire du sorcier Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Yves Swolfs Coloriste : Jackie de Gennaro Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Elijah était venu à New York pour régler ses comptes, il en est reparti avec une famille exhumée des sables du temps et de la mémoire. Mais ni lui ni sa soeur, Miss Lyle, agente des Pinkerton, n'ont pu confronter le responsable de toutes leurs infortunes : leur père, le sénateur Dawson. Et ce dernier a trouvé refuge au beau milieu des bois sur les terres de Cromley, un cultiste redouté. Pour avoir enfin droit à leur réunion de famille, il leur faudra défier le diable en personne ! Critique : Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonesome-tome-4-le-territoire-du-sorcier-9782808210256?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂
  16. Titre de l'album : Ophélia et les abysses - tome 1 Scenariste de l'album : Hans Jorgen Sandnes Dessinateur de l'album : Hans Jorgen Sandnes Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Ophélia emménage dans la petite ville côtière de Saltvik. Elle va y vivre avec sa nouvelle famille d'accueil, joyeuse et sportive. Mais la jeune fifille se lie d'amitié avec son voisin, Bernard, un pêcheur avec qui elle partage une fascination pour les créatures sous-marines. Ophélia préfère discuter de cryptozoologie plutôt que de se suspendre à un mur d'escalade. Un soir, par la fenêtre, Ophélia aperçoit une forme étrange. Quelle est donc cette créature qui se dissimule dans la mer ? Aurait-elle un rapport avec le garçon ayant récemment disparu après avoir plongé à l'eau ? Critique : L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ophelia-et-les-abysses-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Rebis

    Oh que c'est bien Rebis. Une belle histoire de sorcières, de différence, et de quête de soi dans un moyen âge tenté par l'obscurantisme. Parfois dramatique, souvent positif, c'est une magnifique histoire portée par un dessin sublime et élégant. Les influences du dessins sont riches, on se croit parfois dans un Myasaki, les images semblent en mouvement, les personnages semblent vivre et les paysages sortir du livre. On en prend plein les mirettes, surtout qu'il ne s'agit que d'une influence, bien digérée, et intégrée à un dessin plus européen. Un régal. La colorisation est au diapason du trait, et apporte un gros plus avec ces couleurs lumineuses mais douces. L'histoire aurait pu être plus marquante, ou plus dramatique, mais finalement, on en ressort presque apaisé, et c'est une belle lecture, de celles qui enrichissent un peu l'âme mais aussi les réflexions. Bref, je vous le recommande, ce n'est peut être pas la bd la plus marquante de cette année, mais vous passerez un moment de lecture d'une grande douceur.
  18. The_PoP

    Rebis

    Titre de l'album : Rebis Scenariste de l'album : Irène Marchesini Dessinateur de l'album : Carlotta Dicataldo Coloriste : Claudia Migliaccio Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : En plein Moyen-Âge, Martino a eu le malheur de naître atteint d'albinisme au beau milieu d'une communauté prompte à purifier toute différence par le feu. Rejeté par son père, harcelé par les autres enfants du village, il va devoir prendre les chemins de traverse. En plein coeur de la forêt, Martino fait la connaissance de Viviana, une « sorcière ». Entre exclus, on se reconnaît. Au sein d'une sororité de femmes mis au ban de la société, le jeune garçon va grandir et se révéler à lui-même pour tenter d'accepter sa différence face à l'intolérance de la société. Critique : Oh que c'est bien Rebis. Une belle histoire de sorcières, de différence, et de quête de soi dans un moyen âge tenté par l'obscurantisme. Parfois dramatique, souvent positif, c'est une magnifique histoire portée par un dessin sublime et élégant. Les influences du dessins sont riches, on se croit parfois dans un Myasaki, les images semblent en mouvement, les personnages semblent vivre et les paysages sortir du livre. On en prend plein les mirettes, surtout qu'il ne s'agit que d'une influence, bien digérée, et intégrée à un dessin plus européen. Un régal. La colorisation est au diapason du trait, et apporte un gros plus avec ces couleurs lumineuses mais douces. L'histoire aurait pu être plus marquante, ou plus dramatique, mais finalement, on en ressort presque apaisé, et c'est une belle lecture, de celles qui enrichissent un peu l'âme mais aussi les réflexions. Bref, je vous le recommande, ce n'est peut être pas la bd la plus marquante de cette année, mais vous passerez un moment de lecture d'une grande douceur. Autres infos : A noter qu'un petit making of est édité en fin d'album. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Kevin Nivek

    La magie d'Oz , tome 3

    Voilà qui conclut le premier cycle des aventures en pays d'Oz pour Dorothée Gale ! Narrés par le nain Rho'Khat dans une taverne en tout début d'album , les événements s'enchainent rapidement pour la jeune femme du Kansas découvrant ses nouveaux pouvoirs . On suit sa progression et celles de ses compagnons , les menant droit vers l'affrontement obligatoire de Zamora , la puissante sorcière . De nombreuses surprises attendent les lecteurs , ainsi que des rebondissements assez surprenants . Cette revisite du célèbre Magicien d'Oz , oeuvre importante dans le paysage littéraire américain est rafraîchissante et moderne . Les femmes occupent le premier plan (et souvent en tenues légères) et le dessin très "informatique" aux couleurs pétantes , opèrent un lifting en profondeur du conte . Il en devient plus "rock'n roll" si vous me permettez l'expression . Je ne suis pas un grand fan de ce type de trait , mais il ravira à coups sûrs les fans de la saga , d'autant qu'il n'est pas impossible d'avoir un nouveau cycle 😉 . Le monde de la cité d'Emeraude a probablement encore des tas de secrets à révéler pour notre troupe émérite . De superbes couvertures se trouvent en annexe de fin d'album .
  20. Titre de l'album : La magie d'Oz , tome 3 Scenariste de l'album : Jeff et Kristin Massey Dessinateur de l'album : Antonio Bifulco Coloriste : Hedwin Zaldivar Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Troisième volume de la série, La Magie d'Oz, le règne de la Reine Sorcière clôt ce premier cycle. Le Seigneur de guerre a été mis en déroute et la paix semble de nouveau être revenue au royaume d'OZ, mais pour combien de temps ? Alors que Thorne et ses amis se rallient aux Bons peuples d'Oz, une guerre civile éclate et menace la tranquillité du royaume. Dorothée et ses compagnons devront une nouvelle fois sauver OZ... mais qui sauvera OZ de Dorothée Gale ? Réinterprétation envoûtante et épique du célèbre roman Le Magicien d'Oz, cette série en 3 tomes est une véritable épopée pleine d'aventures et de magie. Critique : Voilà qui conclut le premier cycle des aventures en pays d'Oz pour Dorothée Gale ! Narrés par le nain Rho'Khat dans une taverne en tout début d'album , les événements s'enchainent rapidement pour la jeune femme du Kansas découvrant ses nouveaux pouvoirs . On suit sa progression et celles de ses compagnons , les menant droit vers l'affrontement obligatoire de Zamora , la puissante sorcière . De nombreuses surprises attendent les lecteurs , ainsi que des rebondissements assez surprenants . Cette revisite du célèbre Magicien d'Oz , oeuvre importante dans le paysage littéraire américain est rafraîchissante et moderne . Les femmes occupent le premier plan (et souvent en tenues légères) et le dessin très "informatique" aux couleurs pétantes , opèrent un lifting en profondeur du conte . Il en devient plus "rock'n roll" si vous me permettez l'expression . Je ne suis pas un grand fan de ce type de trait , mais il ravira à coups sûrs les fans de la saga , d'autant qu'il n'est pas impossible d'avoir un nouveau cycle 😉 . Le monde de la cité d'Emeraude a probablement encore des tas de secrets à révéler pour notre troupe émérite . De superbes couvertures se trouvent en annexe de fin d'album . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-magie-d-oz-tome-3-le-regne-de-la-reine-sorciere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Voilà une série dont j'avais raté le premier tome. C'est bien dommage car avec ce tome 2 je découvre une série pour enfants, jeunes ados intelligente et bien pensée. Certes les ficelles scénaristiques sont connues, et ce Castelwitch vous fera penser nécessairement à pas mal de références, mais les mélanges d'idées et de genre mis en oeuvre fonctionnent bien. Les personnages des enfants sont bien pensés, l'univers est riche, et l'intrigue se déroule sans accrocs ni temps mort. Les dialogues sont réussis, et même en adulte j'ai accroché assez vite, alors même que je ne connaissais pas l'univers ou le tome 1. Si je vous dis qu'en plus le prochain tome terminere cette petite série en 3 tomes, il n'y a pas bien de raison de se priver si vous avez des enfants dans votre entourage un peu rêveurs. Le dessin de François Gomes rend le tout sympathique, même si ce n'est peut être pas à la hauteur de la forêt du temps, on reste quand même sur du très bien, et qui plaira aux jeunes mais aussi aux moins jeunes. La colorisation vive dynamise le tout. Voici une série jeunesse qui a le mérite de très bien fonctionner.
  22. Titre de l'album : Castelwitch - Tome 2 - Le grand Effaroucheur Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Francois Gomes Coloriste : Sandrine Cordurié Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Irina est nouvelle et depuis le décès de ses parents, elle vit avec sa tante. Irina a un secret : son compagnon est passé du côté sombre de l'imagination, c'est un Maléfic qu'elle parvient difficilement à contrôler. Désespérée, elle demande de l'aide, seul Malo accepte. L'unité du groupe d'adolescents s'en trouve alors menacée tandis que la guerre entre Maléfics et Imaginaires ravage la cité. Critique : Voilà une série dont j'avais raté le premier tome. C'est bien dommage car avec ce tome 2 je découvre une série pour enfants, jeunes ados intelligente et bien pensée. Certes les ficelles scénaristiques sont connues, et ce Castelwitch vous fera penser nécessairement à pas mal de références, mais les mélanges d'idées et de genre mis en oeuvre fonctionnent bien. Les personnages des enfants sont bien pensés, l'univers est riche, et l'intrigue se déroule sans accrocs ni temps mort. Les dialogues sont réussis, et même en adulte j'ai accroché assez vite, alors même que je ne connaissais pas l'univers ou le tome 1. Si je vous dis qu'en plus le prochain tome terminere cette petite série en 3 tomes, il n'y a pas bien de raison de se priver si vous avez des enfants dans votre entourage un peu rêveurs. Le dessin de François Gomes rend le tout sympathique, même si ce n'est peut être pas à la hauteur de la forêt du temps, on reste quand même sur du très bien, et qui plaira aux jeunes mais aussi aux moins jeunes. La colorisation vive dynamise le tout. Voici une série jeunesse qui a le mérite de très bien fonctionner. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/castlewitch-tome-2-le-grand-effaroucheur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Deuxième tome du pays des merveilles avec fin du premier diptyque mais surtout... une annonce de deux autres pour notre plus grand plaisir. En effet, si ce deuxième tome est vraiment très bon avec un mélange du plus réussi entre magie, aventure et charme, il est plus que cela. Ce deuxième tome ouvre l'univers et nous permet d'imaginer les belles histoires à venir. Que ce soit l'histoire des guerres en outre monde, du pays des rêves ou de la création d'une brigade spécial sur les affaires magiques, ce deuxième tome nous présente un univers toujours en mouvement et plein de possibilités, le tout toujours portés par un beau dessin dynamique et coloré. Encore !
  24. Titre de l'album : Le Paris des merveilles tome 2 - Les enchantements d'Ambremer Scenariste de l'album : Étienne Willem d'apres Pierre Pevel Dessinateur de l'album : Étienne Willem Coloriste : Étienne Willem Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans le Paris des Merveilles ! Bienvenue dans le Paris des Merveilles ! Nous sommes en 1909, dans le Paris des Merveilles. Tout en enquêtant sur un trafic d'objets enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, mage et gentleman, a levé une partie du voile sur un secret d'État impliquant l'OutreMonde et la sinistre Reine Noire. En danger de mort, il lui faut tirer cette affaire au clair, aidé pour le meilleur et pour le pire par une vieille connaissance, Isabel de Saint-Gil, fée renégate, espionne et cambrioleuse de haut vol. Critique : Deuxième tome du pays des merveilles avec fin du premier diptyque mais surtout... une annonce de deux autres pour notre plus grand plaisir. En effet, si ce deuxième tome est vraiment très bon avec un mélange du plus réussi entre magie, aventure et charme, il est plus que cela. Ce deuxième tome ouvre l'univers et nous permet d'imaginer les belles histoires à venir. Que ce soit l'histoire des guerres en outre monde, du pays des rêves ou de la création d'une brigade spécial sur les affaires magiques, ce deuxième tome nous présente un univers toujours en mouvement et plein de possibilités, le tout toujours portés par un beau dessin dynamique et coloré. Encore ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-paris-des-merveilles-tome-2-les-enchantements-d-ambremer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes.
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