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  1. alx23

    Télépathes

    Le scénariste J. Michael Straczynski s'est forgé une bonne réputation avec d'excellents titres comme Midnight nation ou Rising star et sans compter ses nombreux récits de super-héros. Donc je reste toujours à l'écoute de ses nouveaux titres surtout quand il s'associe au dessinateur Steve Epting à qui l'on doit des incontournables comme Velvet ou Captain America, le soldat d'hiver. Les deux auteurs nous proposent un récit qui mélange fantastique et SF. En effet, suite perturbation électromagnétique dû à une éruption solaire, une partie non négligeable de la population mondiale se retrouve avec des dons télépathiques. La transition se fait dans le désordre totale puisqu'une demi-heure après l'évènement, les télépathes lisent dans les pensées de ceux dénués de pouvoirs. Très vite une course poursuite à la recherche d'autres compétences se fait et deux groupes de personnes s’affrontent avec des pouvoirs pendant que le gouvernement tente de comprendre et commence à prendre des mesures pour gérer la situation de crise. La partie graphique de Steve Epting est parfaite, son style est très réaliste et convient bien sur ce genre de récit. Ce premier tome regroupe les six premiers chapitres de l'histoire avec beaucoup d’action en attendant la suite à venir.
  2. alx23

    Télépathes

    Titre de l'album : Télépathes Scenariste de l'album : J. Michael Straczynski Dessinateur de l'album : Steve Epting Coloriste : Brian Reber Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : QUAND AUCUN SECRET NE PEUT ÊTRE CACHÉ, TOUT LE MONDE EST EN DANGER ! Dès les premières manifestations de ces nouveaux pouvoirs, la société s'effondre littéralement. Un policier et un condamné à mort vont devoir s'allier pour éviter le chaos, et l'avenir dépendra de la confiance qui peut s'instaurer entre eux. Critique : Le scénariste J. Michael Straczynski s'est forgé une bonne réputation avec d'excellents titres comme Midnight nation ou Rising star et sans compter ses nombreux récits de super-héros. Donc je reste toujours à l'écoute de ses nouveaux titres surtout quand il s'associe au dessinateur Steve Epting à qui l'on doit des incontournables comme Velvet ou Captain America, le soldat d'hiver. Les deux auteurs nous proposent un récit qui mélange fantastique et SF. En effet, suite perturbation électromagnétique dû à une éruption solaire, une partie non négligeable de la population mondiale se retrouve avec des dons télépathiques. La transition se fait dans le désordre totale puisqu'une demi-heure après l'évènement, les télépathes lisent dans les pensées de ceux dénués de pouvoirs. Très vite une course poursuite à la recherche d'autres compétences se fait et deux groupes de personnes s’affrontent avec des pouvoirs pendant que le gouvernement tente de comprendre et commence à prendre des mesures pour gérer la situation de crise. La partie graphique de Steve Epting est parfaite, son style est très réaliste et convient bien sur ce genre de récit. Ce premier tome regroupe les six premiers chapitres de l'histoire avec beaucoup d’action en attendant la suite à venir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/telepathes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Les chimères de vénus - Tome 2

    Alain Ayroles continue de nous immerger dans l'univers imaginé par Alex Alice. Ce n'est pas peu dire que ces deux là ce sont bien trouvé tant l'on pourrait penser que cet univers là a bien été pensé pour laisser libre court à l'amour d'Ayrolles pour la poésie, la culture et le fantastique. Jolis mots, dialogues ciselés et comme à son habitude une pincée de Jules Vernes, une goutte de poésie, et du parfum d'imaginaire. Comment ne pas ravir ainsi nos âmes d'enfants conservées dans un coin de notre mémoire ? Reste que si le premier tome m'avait très franchement emballé, la jolie surprise faisant alors pleinement son effet, ce tome-ci m'a laissé un parfum différent. Pas une déception non, tant il est à la hauteur du premier, mais un parfum de nostalgie de De Cape et de crocs qui s'est poursuivi des mots jusqu'à la plume du dessinateur, qui s'il n'est pas Masbou, n'en a pas moins un trait qui ne peut qu'y faire penser. Si la surprise n'est plus, la qualité est là, et l'intrigue fait ce qu'elle nous avait promis, elle nous emporte dans une aventure aux confins de l'imaginaire et de la poésie. Promesse tenue donc. J'ai donc bien aimé ce tome 2. C'est très très bon, et cela plaira probablement un peu moins à tout le monde que ce qu'a pu faire Alex Alice sur les deux premiers cycles, mais cela reste très bien, pour peu que l'on souhaite vivre cette nouvelle épopée humaniste et romantique.
  4. Titre de l'album : Les chimères de vénus - Tome 2 Scenariste de l'album : Alain Ayroles Dessinateur de l'album : Etienne Jung Coloriste : Thierry Leprévost Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1874, au coeur de l'âge de l'éther. Les empires terrestres se disputent le contrôle du système solaire. Sur Vénus, le poète Aurélien d'Hormont, évadé des bagnes de Napoléon III, s'enfonce toujours plus loin dans l'inconnu en compagnie d'étranges créatures amphibies. De son côté, l'actrice Hélène Martin redouble de courage et d'ingéniosité pour se frayer un chemin sur cette planète hostile et retrouver son amant hors-la-loi. Bravant l'Océan déchaîné et ses inquiétants abysses, Hélène embarque en direction de l'Île Magnétique. Aventurières intrépides, forçats à la dérive, entités télépathes, croiseur britannique, sous-marin français... toutes et tous semblent inexorablement attirés par ces inaccessibles rivages où se dressent les vestiges d'une mystérieuse civilisation. Critique : Alain Ayroles continue de nous immerger dans l'univers imaginé par Alex Alice. Ce n'est pas peu dire que ces deux là ce sont bien trouvé tant l'on pourrait penser que cet univers là a bien été pensé pour laisser libre court à l'amour d'Ayrolles pour la poésie, la culture et le fantastique. Jolis mots, dialogues ciselés et comme à son habitude une pincée de Jules Vernes, une goutte de poésie, et du parfum d'imaginaire. Comment ne pas ravir ainsi nos âmes d'enfants conservées dans un coin de notre mémoire ? Reste que si le premier tome m'avait très franchement emballé, la jolie surprise faisant alors pleinement son effet, ce tome-ci m'a laissé un parfum différent. Pas une déception non, tant il est à la hauteur du premier, mais un parfum de nostalgie de De Cape et de crocs qui s'est poursuivi des mots jusqu'à la plume du dessinateur, qui s'il n'est pas Masbou, n'en a pas moins un trait qui ne peut qu'y faire penser. Si la surprise n'est plus, la qualité est là, et l'intrigue fait ce qu'elle nous avait promis, elle nous emporte dans une aventure aux confins de l'imaginaire et de la poésie. Promesse tenue donc. J'ai donc bien aimé ce tome 2. C'est très très bon, et cela plaira probablement un peu moins à tout le monde que ce qu'a pu faire Alex Alice sur les deux premiers cycles, mais cela reste très bien, pour peu que l'on souhaite vivre cette nouvelle épopée humaniste et romantique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chimeres-de-venus-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Silver coin Tome 1

    Titre de l'album : Silver coin Tome 1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky, Jeff Lemire, Ed Brisson, Michael Walsh & Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Michael Walsh Coloriste : Michael Walsh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Une malédiction doit se nourrir...C’est l’histoire d’une mystérieuse pièce d’argent qui passe de main en main depuis des siècles, de la Nouvelle Angleterre puritaine aux terres ravagées de 2467… Critique : Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu. Autres infos : Edition : Huginn & Muninn Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-silver-coin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Silver coin Tome 1

    Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu.
  7. Titre de l'album : Marécage t1 : Sombra Scenariste de l'album : Antonio Zurera Dessinateur de l'album : Antonio Zurera Coloriste : Hiroyuki Ooshima Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le Marécage. Un territoire maudit, aux contours indéfinis, peuplé d'étranges créatures. Un territoire dangereusement inhospitalier, où l'on n'envoie que les pires criminels. Mais un territoire où Ariston Bergère, capitaine de la Garde du Palais royal de Palantia, va dissimuler Ysaut, bébé héritier du trône au centre de trop de complots. Une mission courageuse et louable. Mais qui va très vite mal tourner. Car la princesse mourra... À moins qu'il ne se trouve un moyen de garder vivant son nom... De quoi pousser ses nombreux ennemis à sortir de l'ombre pour une terrible traque, dans laquelle sera prise une mystérieuse aventurière masquée : Sombra... Quand un maître du design et du dessin animé compose un univers de fantasy animalière convoquant la puissance du Loisel de La Quête de l'oiseau du temps, il est recommandé de bien s'accrocher à son fauteuil avant toute lecture... Attention : choc graphique ! Critique : Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marecage-tome-1-sombra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Marécage t1 : Sombra

    Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique.
  9. Titre de l'album : Hellboy & B.P.R.D. tome 7 - Le retour d'Effie Kolb Scenariste de l'album : Mike Mignola Dessinateur de l'album : Adam Hughes, Matt Smith, Zach Howard & Tiernen Trevallion Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy est de retour aux côtés des membres du BPRD pour affronter des fantômes et des démons. Pour cela, il nous entraîne des Appalaches à la Russie, en passant par la France et le sud des États-unis. Critique : Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-et-bprd-tome-7-le-retour-d-effie-kolb/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série.
  11. Titre de l'album : Odah et Dako - Tome 1 - Les maîtres du flow Scenariste de l'album : Benj Dessinateur de l'album : Valeria Orlando Coloriste : Nicole Feliziani Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Odah et Dako vivent sur leur île suspendue, vaste continent peuplé de créatures en tout genre. Ils ne rêvent que de maîtriser leur flow, pouvoir capable de transformer les mots en éléments magiques, et gagner le grand tournoi qui se déroulera dans la capitale. Mais arrivés dans la grande cité, rien ne se passe pas comme prévu : trois sorcières maléfiques jettent un sort aux deux héros... Critique : Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte. Autres infos : BD tirée de la chaîne youtube Odah & Dako Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/odah-et-dako-tome-1-les-maitres-du-flow?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte.
  13. Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple.
  14. Titre de l'album : Les héricornes - Tome 1 - L'appel de la déesse Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Véronica Alvarez Coloriste : Véronica Alvarez Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tous les cent ans, l'héritière du royaume de Lémuria doit se rendre au temple de la Déesse pour lui demander sa protection, et formuler un voeu personnel. Le chemin sera long mais la princesse Céleste peut compter sur les armes de Lémuria et sur sa licorne. Ce qu'elle ignore encore, en revanche, c'est que son glorieux destin n'a rien d'unique. Elle le partagera avec quatre autres « Héricornes », les héritières aux licornes. Le nombre fera-t-il la force ou engendrera-t-il la division...? Critique : Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple. Autres infos : BD Jeunesse - Petit format Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-hericornes-tome-1-l-appel-de-la-deesse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Abaddon - Tome 1 - Sinaï

    Bon, Christophe Bec au scénario d'une nouvelle série chez Soleil qui va nous parler de l'humanité face à un challenge extraterrestre/divin, c'est pas vraiment d'une rare fraicheur. Et ceux qui me connaissent savent que finalement je n'en suis pas vraiment friand, les séries trainant bien trop à mon goût et les univers graphiques étant rarement marquants. Du coup ma note de 4 est plutôt remarquable quand on part avec ces à priori là. Mais je peux tout vous expliquer. Petit 1 : le dessin de Robert Carey est très bon. Les personnages ont de l'allure, certains de leurs visages sont bien travaillés, on n'est pas dans la non personnification que je reproche souvent aux bd d'anticipation/science fiction. Les doubles pages ont des plans super sympas, il y a quand même du détail et la colorisation est réussie en nous rendant bien les différentes atmosphères où se déroule le récit. Secundo : C'est annoncé en 3 tomes. Et il faut dire qu'il se passe déjà beaucoup beaucoup de choses dans ce tome 1, sans pour autant que cela parte dans tous les sens. Le mystère n'est probablement pas aussi épais que sur ses séries habituelles. Bon point, on a l'impression donc que l'auteur sait où il va et qu'on y sera aussi très vite. Ce qui profite aussi au plaisir de lecture et à la fluidité du récit, ça avance, et c'est bien construit, c'est donc très agréable. Tertio : La narration sur deux périodes est bien dosée, on imagine assez vite ce qui a pu se passer entre les deux, nous laissant suffisamment de questions pour conserver notre intérêt, mais pas trop pour ne pas nous noyer. Bref, je vous conseille cet Abaddon qui m'a l'air bien partit pour mettre d'accord les fans du travail de M. Christophe Bec avec les amateurs de BD en tous genre.
  16. Titre de l'album : Abaddon - Tome 1 - Sinaï Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Robert Carey Coloriste : Vincent Powell Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 2027. Partout dans le monde, des objets mythiques des 5 grandes religions sont découverts. Les pouvoirs de ces artefacts sèment la mort et la panique et les hautes instances religieuses semblent cacher un secret qui pourrait anéantir l'Humanité. Trois générations plus tard. Alors que la société s'est réorganisée, des migrants font route vers Si-Naï, où ils espèrent trouver un dernier refuge. Critique : Bon, Christophe Bec au scénario d'une nouvelle série chez Soleil qui va nous parler de l'humanité face à un challenge extraterrestre/divin, c'est pas vraiment d'une rare fraicheur. Et ceux qui me connaissent savent que finalement je n'en suis pas vraiment friand, les séries trainant bien trop à mon goût et les univers graphiques étant rarement marquants. Du coup ma note de 4 est plutôt remarquable quand on part avec ces à priori là. Mais je peux tout vous expliquer. Petit 1 : le dessin de Robert Carey est très bon. Les personnages ont de l'allure, certains de leurs visages sont bien travaillés, on n'est pas dans la non personnification que je reproche souvent aux bd d'anticipation/science fiction. Les doubles pages ont des plans super sympas, il y a quand même du détail et la colorisation est réussie en nous rendant bien les différentes atmosphères où se déroule le récit. Secundo : C'est annoncé en 3 tomes. Et il faut dire qu'il se passe déjà beaucoup beaucoup de choses dans ce tome 1, sans pour autant que cela parte dans tous les sens. Le mystère n'est probablement pas aussi épais que sur ses séries habituelles. Bon point, on a l'impression donc que l'auteur sait où il va et qu'on y sera aussi très vite. Ce qui profite aussi au plaisir de lecture et à la fluidité du récit, ça avance, et c'est bien construit, c'est donc très agréable. Tertio : La narration sur deux périodes est bien dosée, on imagine assez vite ce qui a pu se passer entre les deux, nous laissant suffisamment de questions pour conserver notre intérêt, mais pas trop pour ne pas nous noyer. Bref, je vous conseille cet Abaddon qui m'a l'air bien partit pour mettre d'accord les fans du travail de M. Christophe Bec avec les amateurs de BD en tous genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/abaddon-tome-1-si-nai?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Lozère apocalypse

    Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note.
  18. Titre de l'album : Lozère apocalypse Scenariste de l'album : Stan Silas Dessinateur de l'album : Stan Silas Coloriste : Stan Silas Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les « alevins » sont surexcités : pour leur douze ans, l'institution qui les a placés en famille d'accueil leur paye un vol vers de super vacances ! Malheureusement, leur avion s'écrase au-dessus de la Lozère et les secours n'arrivent pas. Lorsqu'un groupe d'adolescents mutés en poulets attaque violemment les survivants, ces derniers n'ont d'autre choix que de suivre un renard bipède et loquace. Et ils ne sont vraiment - mais alors vraiment - pas au bout de leurs surprises ! Critique : Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note. Autres infos : Histoire complète prévue en deux tomes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lozere-apocalypse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Seven toi Eternity t4 (fin) : les sources de Zhal Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Jerome Opeña Coloriste : Jerome Opeña Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Véritable salut ou énième manipulation, les sources légendaires de Zhal promises par le Roi Fange à Adam Osidis ont soudainement rebattu les cartes d'un jeu qui semblait pourtant gagné pour le peuple Mosak et le royaume de Zhal. Aussi, Adam fait désormais cavalier seul au côté du Maître des Murmures, chargé du lourd fardeau d'avoir préféré la vie de son pire ennemi à celles de nombreux innocents. L'honneur de la famille Osidis est mis à rude épreuve et l'heure d'affronter son destin est venu pour chacun. Critique : Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seven-to-eternity-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé.
  21. Titre de l'album : Hellboy tome 17 - Les os des géants Scenariste de l'album : Christopher Golden & Mike Mignola Dessinateur de l'album : Matthew Dow Smith Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy contre les Géants du Givre ! Lorsqu'une découverte surprenante est faite en Suède, le B.P.R.D. envoie Hellboy et Abe Sapien pour enquêter. S'ensuit une aventure pleine de légendes nordiques, de créatures mythiques et émaillée d'une menace qui pourrait détruire non seulement la Terre, mais aussi les Neuf Royaumes de la mythologie nordique ! Critique : On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-tome-17-les-os-des-geants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. On n'avait pas eu droit à de nouvelle histoire d'Hellboy depuis 5 ans, avec le cirque de minuit dessiné par Duncan Fegredo. Hellboy revient donc avec un album adapté du roman écrit par Christopher Golden et Mike Mignola, les deux auteurs collaborent souvent depuis Lord Baltimore. Le récit nous plonge dans la mythologie nordique avec Mjöllnir le célèbre marteau de Thor. Hellboy avec Abe Sapien vont enquêter sur un phénomène étrange qui se déroule en Suède après la découverte d’un cadavre et du marteau. Mignola gère bien les intrigues autour de sa création depuis longtemps, entre fantastique, action, humour et aventure. Matthew Dow Smith le dessinateur de Folklords se charge des dessins avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. L’album e termine sur plusieurs recherches graphiques commentés. C'est avec un plaisir que l'on retrouver Hellboy dans une aventure inédite en compagnie d'Abe Sapien comme à la grande époque du B.P.R.D. Les lecteurs de Hellboy peuvent se rassurer en sachant que le septième tome d'Hellboy & BPRD est programmé pour le mois d'avril. Beaucoup de bonnes actualités pour les lecteurs dans l'univers d'Hellboy.
  23. Ahhhh que ce Last Ronin est bon. Il est indispensable pour les lecteurs habituels du run de Eastman sur TMNT, il est excellent pour les amateurs de tortues Ninja, et il reste très bon pour les amateurs de bon comics en général. Pour moi sa place est à côté du Batman Returns et du Old Man Logan dans l'univers du Comics. C'est pas peu dire. Surtout qu'en plus on évite les idéologies parfois nauséabondes ici 😛 L'histoire de vengeance d'un revenant dans un monde devenu fou est somme toute assez classique, mais elle est diablement une fois encore efficace. Et puis choisir de n'avoir fait survivre qu'une seule Tortue sur les 4 est forcément un gage de qualité narrative. Cette fois-ci elle est adulte, seule et en colère, et je ne vois pas qui pourrait ne pas avoir envie de lire ça. Oubliez les pizzas, les persos ridicules, et les combats gentillet, ici, les auteurs ne vous promettent que du sang et des larmes. La fin des héros c'est quand même souvent sublime et émouvant, et intéressant. Une fin de série quand elle est réussie c'est la même chose, ne ratez pas cet opus, il conjugue les deux à merveille. Graphiquement si certains lecteurs ont trouvé l'ensemble en deçà de leurs attentes, je n'en fait personnellement pas partie, et j'ai un peu de mal à le comprendre car c'est bien, c'est mature et inspiré et les différentes ambiances/époques ont leurs styles propres mais dans un tout cohérent. A noter que malgré le chapitrage c'est la même équipe du début à la fin du run. L'édition de Hi Comics et notamment la couverture a été une nouvelle fois soignée, avec la génèse de ce volume, les recherches sur les personnages, différentes illustrations annexes des auteurs. Cette Tortue là n'est pas prête de quitter ma bibliothèque. Un must. A noter que la note variera pour chaque lecteur en fonction de sa connaissance de l'Univers des tortues, mais qu'en aucun cas, il n'est indispensable d'avoir lu le reste pour apprécier ce tome.
  24. Titre de l'album : The Last Ronin - Teenage Mutant Ninja Turtles Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Peter Laird & Tom Waltz Dessinateur de l'album : Esau & Isaac Escorza Coloriste : Luis Antonio Delgado Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Qui est le dernier Ronin ? Le clan Hamato n'est plus et les Foot règnent sur un New York post-apocalyptique ravagé par les guerres civiles... mais le dernier survivant de la fratrie des Tortues rôde dans l'ombre. Hantée par les fantômes des tragédies passées, la mystérieuse Tortue se lance dans une mission désespérée pour venger l'honneur de sa famille disparue. Par les cocréateurs légendaires Kevin Eastman et Peter Laird, accompagnés de Tom Waltz, scénariste de la série principale, découvrez l'histoire finale des Tortues Ninja ! Un best-seller du New York Times Critique : Ahhhh que ce Last Ronin est bon. Il est indispensable pour les lecteurs habituels du run de Eastman sur TMNT, il est excellent pour les amateurs de tortues Ninja, et il reste très bon pour les amateurs de bon comics en général. Pour moi sa place est à côté du Batman Returns et du Old Man Logan dans l'univers du Comics. C'est pas peu dire. Surtout qu'en plus on évite les idéologies parfois nauséabondes ici 😛 L'histoire de vengeance d'un revenant dans un monde devenu fou est somme toute assez classique, mais elle est diablement une fois encore efficace. Et puis choisir de n'avoir fait survivre qu'une seule Tortue sur les 4 est forcément un gage de qualité narrative. Cette fois-ci elle est adulte, seule et en colère, et je ne vois pas qui pourrait ne pas avoir envie de lire ça. Oubliez les pizzas, les persos ridicules, et les combats gentillet, ici, les auteurs ne vous promettent que du sang et des larmes. La fin des héros c'est quand même souvent sublime et émouvant, et intéressant. Une fin de série quand elle est réussie c'est la même chose, ne ratez pas cet opus, il conjugue les deux à merveille. Graphiquement si certains lecteurs ont trouvé l'ensemble en deçà de leurs attentes, je n'en fait personnellement pas partie, et j'ai un peu de mal à le comprendre car c'est bien, c'est mature et inspiré et les différentes ambiances/époques ont leurs styles propres mais dans un tout cohérent. A noter que malgré le chapitrage c'est la même équipe du début à la fin du run. L'édition de Hi Comics et notamment la couverture a été une nouvelle fois soignée, avec la génèse de ce volume, les recherches sur les personnages, différentes illustrations annexes des auteurs. Cette Tortue là n'est pas prête de quitter ma bibliothèque. Un must. A noter que la note variera pour chaque lecteur en fonction de sa connaissance de l'Univers des tortues, mais qu'en aucun cas, il n'est indispensable d'avoir lu le reste pour apprécier ce tome. Autres infos : Cowabunga ! Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-last-ronin-tortues-ninja?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Lord Gravestone - Tome 2 - Le dernier loup d'alba Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Nicolas Sinner Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand le chasseur devient la proie. Mordu par la stryge qui a tué son père, John Gravestone pourrait bien devenir une créature des ténèbres si ce démon venait à parachever son oeuvre. Pour le protéger, son oncle Théophile et son fidèle Tibbett organisent sa fuite vers les terres écossaises de son enfance. Mais malgré leurs efforts, la vampire Camilla reste inexorablement proche de sa proie. Le destin des Gravestone va-t-il se jouer dans la relation ambiguë qui commence à se nouer entre John et Camilla ? Tandis que Tibbett dévoile son vrai visage, la situation pourrait prendre un tournant des plus inattendus. Récit à l'atmosphère sombre et gothique, Lord Gravestone mêle écriture moderne et fable vampirique en puisant aux sources du genre. En plaçant leur oeuvre chronologiquement en amont du célèbre Dracula de Bram Stoker, à l'époque prévictorienne, Jérôme Le Gris et Nicolas Siner imaginent un univers esthétique où le mythe se fond dans une relecture de Roméo et Juliette. Un récit épique et fascinant au coeur de l'épais brouillard anglais. Critique : Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-gravestone-tome-2-les-hauts-loups-d-alba?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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