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  1. Difficile d'échapper au phénomène The Witcher en ce moment, entre série TV et jeux vidéos à succès, l'oeuvre de Dark Fantasy d'Andrzej Sapkowski a connu ses dernières années un grand succès. Je l'avoue fort simplement j'ai découvert The Witcher par le troisième opus vidéoludique, fort réussi pour le coup. Ce qui m'a naturellement donné envie de lire les romans. Et j'avoue que là j'ai été un peu désappointé par la narration et l'écriture de l'oeuvre originelle. Assumons le, je trouvais le jeux vidéo bien mieux écris. Soit. La série, qui a repris le fil du roman a souffert également de cette trame narrative très spécifique à ce roman. C'est donc avec un brin d'appréhension que je me suis lancé dans ce comics, tiré directement d'une des nouvelles d'Andrzej Sapkowski. Hors rassurez vous tout de suite, le parti pris ici est de nous livrer un Witcher bien plus facile d'accès que le roman ou la série TV et se concentrant (pour le moment ?) sur le gagne pain de notre héros Geralt De Riv. L'intrigue donc en one shot est savoureuse pour tous les amateurs de l'univers de The Witcher, mais aussi accessible pour ceux qui en viendraient à le découvrir. Le dessin de Jonas Scharf est sublime et merveilleusement adapté à cette Dark Fantasy, et la colorisation de José Villarrubia est plus que réussie. Seul bémol et regret pour moi, la faible pagination (48 pages) correspondant certes à un prix de lancement adapté en conséquence de 9,9€ mais présentant le défaut de nous livrer une histoire trop courte. Suffisante donc pour les amateurs de Geralt De Riv, mais qui risque de laisser sur un goût de vraiment trop peu les autres. Si je comprend fort bien le choix fort fait à ce sujet par Hi Comics au vu de la crise que traverse le comics en France, je ne peux toutefois en tant que lecteur que déplorer cette pagination courte... et attendre le prochain tome avec grande impatience. Et si j'ai un souhait : ne serait-il pas possible de nous livrer par la bd un nouvel arc inédit et bien plus conséquent des aventures du Witcher ? A noter que la couverture de la version classique de The WItcher a été réalisée par Kai Carpenter, et qu'une édition collecto de luxe en noir et blanc est également prévue, et qu'elle semble plus que très jolie 🙂
  2. Titre de l'album : La forêt du temps - Tome 1 - Les enfants de la pierre Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Mateo Guerrero Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au coeur d'un village hors du temps, Max, Miléva et les autres jeunes élèves du Vénérable ont mis l'éternité à profit pour développer leur intellect, sans limites. Mais cette stase érudite prend fin le jour où une mystérieuse adulte dérobe une partie du cristal qui les protégeait de l'écoulement du temps. Si rien n'est fait, ce dernier reprendra ses droits, et se fera payer les intérêts. Pour empêcher cela, une petite équipe s'aventure hors du village, à la recherche de la voleuse. Leur érudition suffira-t-elle à les protéger de cette fuite du temps qu'on appelle la Vie ? Critique : Eh eh eh, qu'est-ce que ça fait plaisir d'être surpris par une BD. Parce qu'en dehors de la jolie couverture, il faut reconnaitre que je n'attendais comme d'habitude rien d'une bd orientée "enfants". Oui je suis parfois un vieux con. Et là, et bien, pages après pages, je me fais happer, j'essaye de comprendre, je m'attache, bref, je suis immergé dans cette aventure. Je referme la bd. Et je reregarde plus attentivement le nom des auteurs. On a donc Tristan Roulot, scénariste de beaucoup de belles découvertes bd récentes à commencer par Le Convoyeur mais aussi, Psykoparis, ou les Chroniques Diplomatiques. Et à ses côtés on retrouve Mateo Guerrero, dessinateur récent entre autre de la série Jacob Kayne que j'ai tant apprécié. Bon effectivement quand des auteurs confirmés en bande dessinée adultes se lancent dans la bd jeunesse, à priori c'est pas pour nous sortir Un petit Spirou. Paris réussi donc avec cette forêt du temps qui mêle habilement enfants, adolescents, magie, adultes, mystères et aventure pour nous offrir un tome des plus réjouissant, que les parents liront aussi avidement que leurs enfants à chaque nouveau tome, j'en fais le paris. Ce n'est peut être pas le nouvel Harry Potter, mais c'est fichtrement bien foutu quand même. Autres infos : A ne pas manquer de 7 à 77 ans. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-foret-du-temps-tome-1-les-enfants-de-la-pierre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Eh eh eh, qu'est-ce que ça fait plaisir d'être surpris par une BD. Parce qu'en dehors de la jolie couverture, il faut reconnaitre que je n'attendais comme d'habitude rien d'une bd orientée "enfants". Oui je suis parfois un vieux con. Et là, et bien, pages après pages, je me fais happer, j'essaye de comprendre, je m'attache, bref, je suis immergé dans cette aventure. Je referme la bd. Et je reregarde plus attentivement le nom des auteurs. On a donc Tristan Roulot, scénariste de beaucoup de belles découvertes bd récentes à commencer par Le Convoyeur mais aussi, Psykoparis, ou les Chroniques Diplomatiques. Et à ses côtés on retrouve Mateo Guerrero, dessinateur récent entre autre de la série Jacob Kayne que j'ai tant apprécié. Bon effectivement quand des auteurs confirmés en bande dessinée adultes se lancent dans la bd jeunesse, à priori c'est pas pour nous sortir Un petit Spirou. Paris réussi donc avec cette forêt du temps qui mêle habilement enfants, adolescents, magie, adultes, mystères et aventure pour nous offrir un tome des plus réjouissant, que les parents liront aussi avidement que leurs enfants à chaque nouveau tome, j'en fais le paris. Ce n'est peut être pas le nouvel Harry Potter, mais c'est fichtrement bien foutu quand même.
  4. Je dois bien avouer que les dernières productions Soleil m'ont plutôt plu, malheureusement cet Ouroboros est je trouve passé à côté du sujet. C'est diificile à expliquer car l'histoire en soi n'est pas mauvaise, les dessins de Ceyles (dessinateur de la série des Slohka à partir du tome 4) sont loin d'être vilains et présente quelques cases plutôt réussies. La gestion des couleurs est peut être pour moi un peu trop simple mais c'est un ressenti personnel. Par contre le positionnement de la bd m'interroge. On est à priori sur une cible d'un public jeune, mais l'histoire n'est je trouve ni assez dynamique ni sur des enjeux suffisamment clairs pour cette cible. De même l'histoire est globalement ambitieux mais cela interroge du coup pour un diptyque. Je n'ai pas été franchement convaincu par ma lecture d'Ouroboros.
  5. Titre de l'album : Ouroboros - Tome 1 - L'amulette de Saladin Scenariste de l'album : Olivier Pinard & Ceyles Dessinateur de l'album : Ceyles Coloriste : Lou Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans le désert, des bédouins veillent sur Xiao, un petit garçon dont les oracles prédisent qu'il provoquera la chute de la Reine des Dragons, sa mère. Aman, aventurier charismatique et énigmatique, a volé l'amulette de Saladin qui contient l'élixir qui permettra à Xiao de vaincre sa moitié dragon et de sauver le monde. Mais le vol de l'amulette a réveillé des êtres aux pouvoirs surnaturels... Critique : Je dois bien avouer que les dernières productions Soleil m'ont plutôt plu, malheureusement cet Ouroboros est je trouve passé à côté du sujet. C'est diificile à expliquer car l'histoire en soi n'est pas mauvaise, les dessins de Ceyles (dessinateur de la série des Slohka à partir du tome 4) sont loin d'être vilains et présente quelques cases plutôt réussies. La gestion des couleurs est peut être pour moi un peu trop simple mais c'est un ressenti personnel. Par contre le positionnement de la bd m'interroge. On est à priori sur une cible d'un public jeune, mais l'histoire n'est je trouve ni assez dynamique ni sur des enjeux suffisamment clairs pour cette cible. De même l'histoire est globalement ambitieux mais cela interroge du coup pour un diptyque. Je n'ai pas été franchement convaincu par ma lecture d'Ouroboros. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ouroboros-tome-1-l-amulette-de-saladin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Freak's squeele - Funérailles - Tome 7 Scenariste de l'album : Florent Maudoux Dessinateur de l'album : Florent Maudoux Coloriste : Florent Maudoux Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : La série arrive à un tournant dans ce tome 7. Les fils de Spartacus sont séparés par les événements alors que Scipio doit gérer une guerre civile qui déchire REM, Pretorius devenu Funérailles se retrouve bombardé, sans le vouloir, gourou d'une secte millénariste. La XIIIème légion devra faire appel à ses meilleurs éléments pour venir en aide aux jumeaux qui sont à deux doigts d'emprunter les chemins qui mènent aux secrets les plus intimes de REM la grande, la puissante... La folle. Critique : Et voici la seconde grosse parution du label 619, passé depuis peu aux éditions Rue de Sèvres. En effet un nouveau tome dans l'univers de Freak's Squeele, même s'il ne s'agit "que" du spin-off sur Funérailles, cela reste un évènement. Ce tome 7 prend directement place à la suite du tome 6 et nous replonge dans l'univers déjanté, mêlant les genre de manière hyper créative de Florent Maudoux. Je ne connais à vrai dire que peu de séries aussi originales que Freak's Squeele et le spin off sur Funérailles n'est évidemment pas en reste. Nous parlant aussi bien de notre quotidien que d'un monde fantastique Florent Maudoux réussit l'exploit de conjuguer nos problématiques actuelles permanentes avec des enjeux héroïques et fantastiques omniprésents, offrant à Freak's Squeele une double ou triple lecture pour peu que l'on prenne le temps d'y songer. Graphiquement ce n'est pas en reste puisque les influences sont nombreuses dans le dessin et les fantaisies imaginées par l'auteur. Ce tome 7 de Funérailles ravira les amateurs de la série, pour les autres, ceux qui sont passés à côté en lui reprochant de partir un peu dans tous les sens, ce n'est pas maintenant qu'ils raccrocheront les wagons: 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/freaks-squeele-funerailles-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Et voici la seconde grosse parution du label 619, passé depuis peu aux éditions Rue de Sèvres. En effet un nouveau tome dans l'univers de Freak's Squeele, même s'il ne s'agit "que" du spin-off sur Funérailles, cela reste un évènement. Ce tome 7 prend directement place à la suite du tome 6 et nous replonge dans l'univers déjanté, mêlant les genre de manière hyper créative de Florent Maudoux. Je ne connais à vrai dire que peu de séries aussi originales que Freak's Squeele et le spin off sur Funérailles n'est évidemment pas en reste. Nous parlant aussi bien de notre quotidien que d'un monde fantastique Florent Maudoux réussit l'exploit de conjuguer nos problématiques actuelles permanentes avec des enjeux héroïques et fantastiques omniprésents, offrant à Freak's Squeele une double ou triple lecture pour peu que l'on prenne le temps d'y songer. Graphiquement ce n'est pas en reste puisque les influences sont nombreuses dans le dessin et les fantaisies imaginées par l'auteur. Ce tome 7 de Funérailles ravira les amateurs de la série, pour les autres, ceux qui sont passés à côté en lui reprochant de partir un peu dans tous les sens, ce n'est pas maintenant qu'ils raccrocheront les wagons: 🙂
  8. Titre de l'album : Sangre - Tome 3 - Hovanne l'irrésolue Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Adrien Floch Coloriste : Claude Guth Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Introduite au manoir de Mermillade, Sangre enquête pour savoir laquelle des jeunes nobles a eu un passé secret de pirate sous l'identité d'Hovanne. Un exercice difficile dans cette société d'oisifs où tout est basé sur le prestige personnel. Critique : Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-3-hovanne-l-irresolue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes.
  10. The_PoP

    Mages - Tome 6 - Yoni

    Les sorties des terres d'Arran s'effectuant souvent de manière groupée pour les séries dérivées de l'univers développé dans Elfes, il faut bien reconnaitre qu'on a beau jeu de les comparer. ET à ce jeu, malheureusement Mages m'a toujours donné l'impression du parent pauvre. Bon soyons honnêtes : il est vrai que j'ai assez peu d'empathie d'une manière générale pour les mages en Heroïc Fantasy, mais je suppose que cela n'explique pas tout. Et là en comparant ce tome avec le dernier Nains et le dernier Orcs et Gobelins et bien... je dois avouer que ça fait mal. Car ce Mage est plutôt pas mal, mais cette comparaison fait ressortir tout ce qui manque pour moi dans cette série. Je n'y ressens pas vraiment de souffle épique, et les personnages et leurs relations entre eux me semblent souvent assez fades. Oui j'ai la dent dure, surtout que ce tome est assez certainement l'un des meilleurs des 6 premiers. On sent que le graphisme a cepêndant été travaillé car c'est plutôt réussi, mais même là encore, je n'y trouve pas autant de qualités qu'aux autres parutions récentes. Bref, ce tome de Mage ravira les fans des Terres d'Arran car il est intrinsèquement plutôt bien. Pour les autres, il n'y a mlaheureusement que peu de chance que ce tome vous fasse changer d'avis sur cette série dérivée là.
  11. Titre de l'album : Mages - Tome 6 - Yoni Scenariste de l'album : Nicolas Jarry & David Courtois Dessinateur de l'album : Giovanni Lorusso Coloriste : Elodie Jacquemoire Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lors de la guerre des goules, les mages runistes de Dumn sont passés maîtres dans la fabrication de Golem. Avec la paix, ces colosses ravageurs s'affrontent désormais dans les arènes faisant la fortune de leur maître. Yoni, 11 ans rêve d'être l'un d'entre eux, mais lors d'une funeste nuit, il devient orphelin. Yoni n'a plus qu'une obsession : réaliser le Golem parfait qui vengera les siens ! Critique : Les sorties des terres d'Arran s'effectuant souvent de manière groupée pour les séries dérivées de l'univers développé dans Elfes, il faut bien reconnaitre qu'on a beau jeu de les comparer. ET à ce jeu, malheureusement Mages m'a toujours donné l'impression du parent pauvre. Bon soyons honnêtes : il est vrai que j'ai assez peu d'empathie d'une manière générale pour les mages en Heroïc Fantasy, mais je suppose que cela n'explique pas tout. Et là en comparant ce tome avec le dernier Nains et le dernier Orcs et Gobelins et bien... je dois avouer que ça fait mal. Car ce Mage est plutôt pas mal, mais cette comparaison fait ressortir tout ce qui manque pour moi dans cette série. Je n'y ressens pas vraiment de souffle épique, et les personnages et leurs relations entre eux me semblent souvent assez fades. Oui j'ai la dent dure, surtout que ce tome est assez certainement l'un des meilleurs des 6 premiers. On sent que le graphisme a cepêndant été travaillé car c'est plutôt réussi, mais même là encore, je n'y trouve pas autant de qualités qu'aux autres parutions récentes. Bref, ce tome de Mage ravira les fans des Terres d'Arran car il est intrinsèquement plutôt bien. Pour les autres, il n'y a mlaheureusement que peu de chance que ce tome vous fasse changer d'avis sur cette série dérivée là. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mages-tome-6-yoni?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Après m'être régalé de la lecture du dernier Tome de Nains tout juuste sorti j'ai enchaîné avec le dernier Orcs et Gobelins. Forcément quand on passe du temps sur les terres d'Arran, on finit quand même par s'y plaire. Alors enchainer avec l'une des plus récentes séries dérivées de l'univers imaginé par Jean Luc Istin, et probablement d'ailleurs l'une de mes préférées, ça ressemble au bonbon de fin de repas, même après un mois de Novembre aux allures de gueuleton de fête de fin d'année. Dur d'y résister. Orcs et Gobelins c'est la série dérivée où les auteurs s'autorisent le plus de choses finalement. Forcément quand les héros sont les méchants habituels, les fans sont moins enclins à la pendaison lorsqu'on profite d'un épisode ou deux pour rendre de beaux hommages à la Pop culture cinématographique. Ainsi on avait eu un épisode aux allures parfois de Ghostbuster, on a évidemment eu l'hommage à Conan et voici désormais le film de Labyrinthe revisité façon Orcs. Vous noterez d'ailleurs que c'est le second scénario signé par M. Peru dont je dis du bien ce mois-ci. Bravo, faire du frais sur des univers aussi revisité c'est toujours louable. Vous l'avez compris, outre un scénario qui m'a beaucoup plu, il faut noter également que la réalisation signée Ma Yi est irréprochable et particulièrement soignée. Au final j'ai une nouvelle fois passé un excellent moment avec cet épisode d'Orcs et Gobelins. Et si le précédent avait été un brin plus fade, force est de constater que la série reste globalement excellente.
  13. Titre de l'album : Orcs et Gobelins - Tome 15 - Lardeur Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Ma Yi Coloriste : Ma Yi Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : S'ils avaient su ce qui les attendait en Terres des Ogres, Lardeur et sa bande de mercenaires ne seraient jamais descendus aussi loin au sud des Terres d'Arran. Mais quand la mort est à vos trousses, et que vous avez déjà tout perdu, que vient le temps d'embrasser la Faucheuse, autant se présenter à elle en véritable cul-vert, le poing serré et la rage au coeur. Critique : Après m'être régalé de la lecture du dernier Tome de Nains tout juuste sorti j'ai enchaîné avec le dernier Orcs et Gobelins. Forcément quand on passe du temps sur les terres d'Arran, on finit quand même par s'y plaire. Alors enchainer avec l'une des plus récentes séries dérivées de l'univers imaginé par Jean Luc Istin, et probablement d'ailleurs l'une de mes préférées, ça ressemble au bonbon de fin de repas, même après un mois de Novembre aux allures de gueuleton de fête de fin d'année. Dur d'y résister. Orcs et Gobelins c'est la série dérivée où les auteurs s'autorisent le plus de choses finalement. Forcément quand les héros sont les méchants habituels, les fans sont moins enclins à la pendaison lorsqu'on profite d'un épisode ou deux pour rendre de beaux hommages à la Pop culture cinématographique. Ainsi on avait eu un épisode aux allures parfois de Ghostbuster, on a évidemment eu l'hommage à Conan et voici désormais le film de Labyrinthe revisité façon Orcs. Vous noterez d'ailleurs que c'est le second scénario signé par M. Peru dont je dis du bien ce mois-ci. Bravo, faire du frais sur des univers aussi revisité c'est toujours louable. Vous l'avez compris, outre un scénario qui m'a beaucoup plu, il faut noter également que la réalisation signée Ma Yi est irréprochable et particulièrement soignée. Au final j'ai une nouvelle fois passé un excellent moment avec cet épisode d'Orcs et Gobelins. Et si le précédent avait été un brin plus fade, force est de constater que la série reste globalement excellente. Autres infos : De la bonne fantasy créative et pleine d'hommages Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orcs-et-gobelins-tome-15-lardeur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Nains - Tome 21 - Ulrog de la forge Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Pierre-Denis Goux Coloriste : Julia Pinchuk Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Suite à son refus de servir les intérêts du grand maître de Forge, Ulrog, fils ainé de Redwin, est accusé de trahison. S'il veut sauver sa tête : il doit acquérir une place au conseil de son ordre en remportant le tournoi du meilleur forgeron d'Arran. Pour y parvenir, il a besoin d'un combattant exceptionnel capable de maîtriser son art. Il partira en quête de Jorun, son propre frère. Critique : Et voici qu'approche Novembre et sa désormais traditionnelle fournée d'aventures sur les terres d'Arran. Je ne fais pas vraiment partie de la cohorte de fan absolu de cet univers, mais je reconnais bien volontiers mon plaisir coupable d'y replonger parfois. Evidemment il me manque alors quelques références, mais suivant de relativement près la série tout de même, l'ensemble de l'univers présenté reste impressionnant. Cette fois-ci ce tome 21 de Nains va nous parler des enfants de la légende Redwin et nul doute que les fans vont vraiment apprécier cet épisode. On y retrouve en effet tout ce que j'aime dans cette série : des personnages hauts en couleur, une aventure, de la fantasy et un certain souffle épique. Alors quand en plus le tout est enfin rendu plus nerveux avec un recours plus fréquent aux dialogues qu'aux textes en voix off, on ne peut qu'apprécier. La lecture y est dense, compacte et rythmée comme on l'aime jusque dans les dernières pages, et le tout est rendu passionnant par le trait de plus en plus remarquable de Pierre-Denis Goux. Alors n'hésitez pas, ce tome est issu d'un beau travail de forge ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nains-tome-21-ulrog-de-la-forge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Et voici qu'approche Novembre et sa désormais traditionnelle fournée d'aventures sur les terres d'Arran. Je ne fais pas vraiment partie de la cohorte de fan absolu de cet univers, mais je reconnais bien volontiers mon plaisir coupable d'y replonger parfois. Evidemment il me manque alors quelques références, mais suivant de relativement près la série tout de même, l'ensemble de l'univers présenté reste impressionnant. Cette fois-ci ce tome 21 de Nains va nous parler des enfants de la légende Redwin et nul doute que les fans vont vraiment apprécier cet épisode. On y retrouve en effet tout ce que j'aime dans cette série : des personnages hauts en couleur, une aventure, de la fantasy et un certain souffle épique. Alors quand en plus le tout est enfin rendu plus nerveux avec un recours plus fréquent aux dialogues qu'aux textes en voix off, on ne peut qu'apprécier. La lecture y est dense, compacte et rythmée comme on l'aime jusque dans les dernières pages, et le tout est rendu passionnant par le trait de plus en plus remarquable de Pierre-Denis Goux. Alors n'hésitez pas, ce tome est issu d'un beau travail de forge !
  16. Déjà le second tome pour cette trilogie scénarisée par l'excellent Jean François Di Giorgio (Samouraï) et l'on peut déjà confirmé ce que l'on pressentait malheureusement... Une trilogie aussi ambitieuse avec des tomes standards en pagination, cela risque d'engendrer pas mal de questions sans réponses et de frustration. Reste qu'on en est qu'au second tome et que jusque là, c'est juste bien réussi, l'univers est rafraichissant, et si les codes du genre sont bien maitrisés et apportent peu d'originalité à l'ensemble, le tout forme une petite série sympa, agréable à lire, graphiquement très aboutie et qui jusque là semble rondement menée !
  17. Titre de l'album : Shaolin - Le chant de la Montagne - Tome 2 Scenariste de l'album : Jean-François Di Giorgio Dessinateur de l'album : Looky Coloriste : Luca Saponti Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le monastère des Trois Royaumes est sur le point de connaître ses heures les plus sombres : par-delà les frontières, une armée de ténèbres se lève, menaçant de tout détruire sur son passage.Jeté au coeur d'un terrible conflit, Nuage Blanc, devra découvrir, pourquoi son propre destin semble étroitement lié à cette bataille sans merci où s'opposent des forces que nul ne l'avait préparé à affronter. Critique : Déjà le second tome pour cette trilogie scénarisée par l'excellent Jean François Di Giorgio (Samouraï) et l'on peut déjà confirmé ce que l'on pressentait malheureusement... Une trilogie aussi ambitieuse avec des tomes standards en pagination, cela risque d'engendrer pas mal de questions sans réponses et de frustration. Reste qu'on en est qu'au second tome et que jusque là, c'est juste bien réussi, l'univers est rafraichissant, et si les codes du genre sont bien maitrisés et apportent peu d'originalité à l'ensemble, le tout forme une petite série sympa, agréable à lire, graphiquement très aboutie et qui jusque là semble rondement menée ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shaolin-tome-2-le-chant-de-la-montagne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. The_PoP

    Solo Leveling - Tome 1

    Etrange histoire que celle du webcomics Solo Leveling, initialement parut sous forme de livre, il a ensuite été adapté avec succès en série webcomics. C'est ce webcomics que l'on pourra découvrir grâce au nouveau label Delcourt : Verytoon que nous avons déjà présenté sur 1001bd. Ici il s'agit donc de la parution papier de ce manga coréen à succès. Il faut le dire d'emblée, je ne suis plus du tout lecteur de manga depuis dix ans, mes références datent un peu, et je ne me suis pas senti emballé particulièrement par le topo initial de cette série. Comme une grosse grosse impression de déjà vu. Et contre toute attente j'ai plutôt passé un bon moment de lecture. Les dessins sont de qualités, les mises en scènes claires, les personnages bien amenés et si l'histoire ne brille pas non plus par son originalité, le tout fonctionne plutôt bien et donnera aux amateurs une nouvelle série papier à suivre et à découvrir. Bon par contre clairement c'est du shonen action fantasy pur jus hein, vous êtes prévenus. Pour ceux qui souhaitent s'en faire une idée plus précise, cela se passe ici : https://www.verytoon.com/serie/solo-leveling/episode/2644
  19. Titre de l'album : Solo Leveling - Tome 1 Scenariste de l'album : Chugong Dessinateur de l'album : Dubu Coloriste : Dubu Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsque d'étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l'humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée entre les griffes des monstres qu'ils ont apportés avec eux. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de chasser. Ces combattants intrépides n'hésitent pas à foncer au coeur des donjons pour combattre les créatures qu'ils abritent. Critique : Etrange histoire que celle du webcomics Solo Leveling, initialement parut sous forme de livre, il a ensuite été adapté avec succès en série webcomics. C'est ce webcomics que l'on pourra découvrir grâce au nouveau label Delcourt : Verytoon que nous avons déjà présenté sur 1001bd. Ici il s'agit donc de la parution papier de ce manga coréen à succès. Il faut le dire d'emblée, je ne suis plus du tout lecteur de manga depuis dix ans, mes références datent un peu, et je ne me suis pas senti emballé particulièrement par le topo initial de cette série. Comme une grosse grosse impression de déjà vu. Et contre toute attente j'ai plutôt passé un bon moment de lecture. Les dessins sont de qualités, les mises en scènes claires, les personnages bien amenés et si l'histoire ne brille pas non plus par son originalité, le tout fonctionne plutôt bien et donnera aux amateurs une nouvelle série papier à suivre et à découvrir. Bon par contre clairement c'est du shonen action fantasy pur jus hein, vous êtes prévenus. Pour ceux qui souhaitent s'en faire une idée plus précise, cela se passe ici : https://www.verytoon.com/serie/solo-leveling/episode/2644 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-leveling-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Gagner la guerre c'est la série qui vous fera sans nul doute aimer la fantasy à la française en BD en attendant qu'un jour soit peut être adapté Le sang des 7 rois en BD. Autant vous dire que j'attendais ce tome avec impatience. Les deux premiers tomes avaient frappés fort, servis de main de maître par le talentueux Frédéric Genêt (connu pour sa série Samouraï notamment). J'adore sa façon de représenter ses personnages, et surtout ses gueules cassées. Ses scènes d'actions et ses paysages ne sont souvent pas en reste, même s'il faut reconnaître que sur ce tome-ci, centré sur des intrigues de palais, certains arrières plans et décors sont parfois un peu vides. Ceci dit retrouver la gueule cassée de Benevenuto reste un plaisir graphique savoureux. L'histoire en elle même est toujours aussi passionnante, même pour ceux qui comme moi ont lu le livre original de Jean-Philippe Jaworski. Monde imaginaire médiéval réaliste, magie discrête, intrigues tortueuses et savoureuses, personnages moralement très discutables, on se rapproche grandement d'un Game of Throne avec moins de personnages mais plus maitrisé. Comme je l'ai dit plus haut, cet opus fait la part belle aux intrigues, mais Benvenuto y garde toute son importance et ses cabotinages. Encore une belle réussite donc, et j'ai hâte d'en lire la suite une nouvelle fois. C'est du très bon !
  21. Titre de l'album : Gagner la guerre - Tome 3 - La mère Patrie Scenariste de l'album : Frédéric Genêt & Jean Philippe Jaworski Dessinateur de l'album : Frédéric Genêt Coloriste : Annelise Sauvêtre & Frédéric Genêt Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Benvenuto est sorti des geôles ressiniennes et il est accueilli en héros à son retour au pays. Profitant de sa convalescence, il observe à distance les complots menés par son maître, le machiavélique Podestat. En surface, le calme semble être revenu à Ciudalia. Mais la tempête approche, Benvenuto le pressent. Bientôt, seuls ses instincts d'assassin pourront lui sauver sa vie. Critique : Gagner la guerre c'est la série qui vous fera sans nul doute aimer la fantasy à la française en BD en attendant qu'un jour soit peut être adapté Le sang des 7 rois en BD. Autant vous dire que j'attendais ce tome avec impatience. Les deux premiers tomes avaient frappés fort, servis de main de maître par le talentueux Frédéric Genêt (connu pour sa série Samouraï notamment). J'adore sa façon de représenter ses personnages, et surtout ses gueules cassées. Ses scènes d'actions et ses paysages ne sont souvent pas en reste, même s'il faut reconnaître que sur ce tome-ci, centré sur des intrigues de palais, certains arrières plans et décors sont parfois un peu vides. Ceci dit retrouver la gueule cassée de Benevenuto reste un plaisir graphique savoureux. L'histoire en elle même est toujours aussi passionnante, même pour ceux qui comme moi ont lu le livre original de Jean-Philippe Jaworski. Monde imaginaire médiéval réaliste, magie discrête, intrigues tortueuses et savoureuses, personnages moralement très discutables, on se rapproche grandement d'un Game of Throne avec moins de personnages mais plus maitrisé. Comme je l'ai dit plus haut, cet opus fait la part belle aux intrigues, mais Benvenuto y garde toute son importance et ses cabotinages. Encore une belle réussite donc, et j'ai hâte d'en lire la suite une nouvelle fois. C'est du très bon ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gagner-la-guerre-tome-3-la-mere-patrie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Coda Omnibus

    Allez un petit rattrapage de l'une des grosses sorties Comics de l'année, plutôt saluée par la critique. Un ami avec lequel je partage pas mal de goûts en comics et bd me l'a prêté en me la conseillant fortement, me vantant les vertus hyper rafraîchissantes de ce one shot de Fantasy. Et moi j'ai mis beaucoup de temps à la finir. Et oui au premier essai, le graphisme a finit de me rebuter au bout de 4 chapitres. Dur. J'essayais et le monde et l'histoire m'attirait, mais le graphisme m'embrouillait beaucoup trop. Trop de confusion, trop de nouveautés, trop de mal à discerner ce qui se passe. Du coup je l'ai reposé. Et puis j'ai persévéré car quand même quand tout le monde dresse les louanges d'une BD il faut parfois insister. Donc j'ai pris le temps de finir pendant ces vacances. Et c'est passé beaucoup mieux. J'avais plus de temps à y consacrer, et puis je me suis habitué. Alors non, clairement même à la fin, je ne suis pas un grand fan du graphisme. Mais c'est original, c'est bien fait, et il y a une vraie cohérence et des choix plutôt sympa. Cela vous plaira ou non, mais cela mérite le coup d'oeil. Dans le même genre de graphismes qui peuvent cliver, Invisible Kingdom m'a fait le même effet. L'histoire par contre se révèle vraiment sympa, sans aucune sensation de déjà vu. C'est original quand même du Steam Punk Post apo en Fantasy. , Même pour un gros lecteur de Fantasy on est proche du jamais lu. Ajoutons à cela que les personnages sont vraiment bien même si l'on met du temps à s'attacher et à comprendre leurs motivations et que le rythme suit une progression logique et super intéressante. . Et puis le propos de fond est puissant et pertinent. Alors pour toutes ces raisons je vous invite à essayer ce Coda Omnibus. Ce n'est clairement pas l'un de mes tops de l'année, mais ça pourrait bien être l'un des vôtres au vu de ses nombreuses qualités et pour peu que vous soyez plus sensible que moi aux graphismes.
  23. The_PoP

    Coda Omnibus

    Titre de l'album : Coda Omnibus Scenariste de l'album : Simon Spurrier Dessinateur de l'album : Matias Bergara Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Comics Note : Résumé de l'album : Un barde rusé, une turbulente licorne et un destin exceptionnel. Oyez, oyez, le seigneur Noir a gagné ! La magie a été quasiment éradiquée de ce monde fantastique autrefois magnifique et majestueux. Dans cette contrée désolée, un mystérieux barde du nom de Hum, un homme de peu de parole qui marmonne plus facilement son prénom qu'il ne répond aux questions d'autrui, est en quête d'un remède pour sauver l'âme de sa bien-aimée, accompagné dans son périple par une licorne mutante au tempérament aussi fougueux qu'imprévisible. Si le barde doit sa survie à son bon esprit, il est bien en peine de prévoir les réactions de sa monture et encore moins de l'issue du combat qui l'attend. Emporté malgré lui dans la tourmente, Hum devra choisir au mieux ses alliés pour faire triompher le bien et remettre de l'ordre dans cet étrange monde en déliquescence. Critique : Allez un petit rattrapage de l'une des grosses sorties Comics de l'année, plutôt saluée par la critique. Un ami avec lequel je partage pas mal de goûts en comics et bd me l'a prêté en me la conseillant fortement, me vantant les vertus hyper rafraîchissantes de ce one shot de Fantasy. Et moi j'ai mis beaucoup de temps à la finir. Et oui au premier essai, le graphisme a finit de me rebuter au bout de 4 chapitres. Dur. J'essayais et le monde et l'histoire m'attirait, mais le graphisme m'embrouillait beaucoup trop. Trop de confusion, trop de nouveautés, trop de mal à discerner ce qui se passe. Du coup je l'ai reposé. Et puis j'ai persévéré car quand même quand tout le monde dresse les louanges d'une BD il faut parfois insister. Donc j'ai pris le temps de finir pendant ces vacances. Et c'est passé beaucoup mieux. J'avais plus de temps à y consacrer, et puis je me suis habitué. Alors non, clairement même à la fin, je ne suis pas un grand fan du graphisme. Mais c'est original, c'est bien fait, et il y a une vraie cohérence et des choix plutôt sympa. Cela vous plaira ou non, mais cela mérite le coup d'oeil. Dans le même genre de graphismes qui peuvent cliver, Invisible Kingdom m'a fait le même effet. L'histoire par contre se révèle vraiment sympa, sans aucune sensation de déjà vu. C'est original quand même du Steam Punk Post apo en Fantasy. , Même pour un gros lecteur de Fantasy on est proche du jamais lu. Ajoutons à cela que les personnages sont vraiment bien même si l'on met du temps à s'attacher et à comprendre leurs motivations et que le rythme suit une progression logique et super intéressante. . Et puis le propos de fond est puissant et pertinent. Alors pour toutes ces raisons je vous invite à essayer ce Coda Omnibus. Ce n'est clairement pas l'un de mes tops de l'année, mais ça pourrait bien être l'un des vôtres au vu de ses nombreuses qualités et pour peu que vous soyez plus sensible que moi aux graphismes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coda-omnibus?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Les 5 Terres - tome 5 - L'objet de votre haine Scenariste de l'album : Lewelyn Dessinateur de l'album : Jérôme Lereculey Coloriste : Dimitris Martinos Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Tandis qu’Astrelia est ramenée contre son gré à Angleon, le roi Mederion a fait enfermer les étudiants qui étaient venus discuter avec lui librement. Non seulement cette décision révolte Terys et le Conseil, mais elle décide également les étudiants les plus révolutionnaires à passer à l’action. Tandis que les uns pansent leurs blessures, les autres se déchirent dans une cité devenue le théâtre d’affrontements intimes de plus en plus violents. Critique : Les 5 terre me laissent encore une fois dans une espèce d'ambiguité difficile à expliquer. Le travail réalisé est remarquable. Graphiquement c'est superbe, très propre. La mise en scène est réussie, l'histoire est chouette. Mais au bout de 5 tomes je ne sais toujours pas si j'aime vraiment cette série. J'ai clairement envie de lire la suite à la fin de ce tome. Mais je n'en ressort rien de vraiment marquant et le manque d'empathie que je ressent pour les personnages et leurs enjeux me gêne un peu finalement. Objectivement j'apprécie plus des séries qui ont pourtant moins de qualités d'écriture. C'est complexe à expliquer, essayez la en tous cas si vous n'avez jamais ouvert un tome. Peut être que je deviens simplement difficile avec les années... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-5-terres-tome-5-l-objet-de-votre-haine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Les 5 terre me laissent encore une fois dans une espèce d'ambiguité difficile à expliquer. Le travail réalisé est remarquable. Graphiquement c'est superbe, très propre. La mise en scène est réussie, l'histoire est chouette. Mais au bout de 5 tomes je ne sais toujours pas si j'aime vraiment cette série. J'ai clairement envie de lire la suite à la fin de ce tome. Mais je n'en ressort rien de vraiment marquant et le manque d'empathie que je ressent pour les personnages et leurs enjeux me gêne un peu finalement. Objectivement j'apprécie plus des séries qui ont pourtant moins de qualités d'écriture. C'est complexe à expliquer, essayez la en tous cas si vous n'avez jamais ouvert un tome. Peut être que je deviens simplement difficile avec les années...
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