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  1. The_PoP

    Latah

    La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo.
  2. Deuxième album de la série Les grandes batailles de chars après la bataille des Ardennes dans le froid et la neige, la bataille d'El Alamein se déroule dans la chaleur du désert. Cette nouvelle série prend des contextes historiques intenses en combat pour mettre en scène des équipages de chars. Le tank Cruiser MK VI, crusader II est à l'honneur dans cet album. Le scénariste Thierry Lamy met en place une rivalité entre un gradé et le lieutenant en chef de l'équipage d'un char. L'atmosphère des batailles en plein désert est palpable à la lecture de cet album. Les dessins sont réalisés par Alessio Cammardella dans un style réaliste. Elia Bonetti dessine toutes les magnifiques couvertures de la série. L’album se termine avec un cahier documentaire pour obtenir plus d’informations sur cette bataille et le char mis en avant. El Alamein réussi à convaincre davantage avec les tensions entre les hommes gradés et leurs décisions stratégiques mais aussi grâce aux liens d’amitiés unissant les soldats anglais à bord du char. Deux autres albums sont déjà prévus prochainement avec les batailles de Koursk et La Marne.
  3. Titre de l'album : Les grandes batailles de chars - El Alamein - De sable et de sang Scenariste de l'album : Thierry Lamy Dessinateur de l'album : Alessio Cammardella Coloriste : Maxflan Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : 1er juillet 1942. La guerre du désert fait rage. Le 20 juin, les troupes italo-allemandes du maréchal Rommel ont bousculé la 8ème armée britannique à Tobrouk. Après une retraite peu glorieuse à travers la Libye et l’Égypte, les Anglais se retranchent derrière une ligne de défense hâtivement montée entre El Alamein au nord et le désert de Qattara au sud. Le général Auchinleck, commandant de la 8e armée, se sait en mauvaise posture. Rommel bénéficie d'une réputation d'adversaire coriace et audacieux auprès de ses propres troupes qui ont le moral au plus bas. Auchinleck s'attend à ce que «le renard du désert» profite de sa victoire pour tenter de percer ses positions. Mais après des mois de guerre sous un climat étouffant, ce sont deux armées épuisées qui se font face avant l'ultime affrontement... Critique : Deuxième album de la série Les grandes batailles de chars après la bataille des Ardennes dans le froid et la neige, la bataille d'El Alamein se déroule dans la chaleur du désert. Cette nouvelle série prend des contextes historiques intenses en combat pour mettre en scène des équipages de chars. Le tank Cruiser MK VI, crusader II est à l'honneur dans cet album. Le scénariste Thierry Lamy met en place une rivalité entre un gradé et le lieutenant en chef de l'équipage d'un char. L'atmosphère des batailles en plein désert est palpable à la lecture de cet album. Les dessins sont réalisés par Alessio Cammardella dans un style réaliste. Elia Bonetti dessine toutes les magnifiques couvertures de la série. L’album se termine avec un cahier documentaire pour obtenir plus d’informations sur cette bataille et le char mis en avant. El Alamein réussi à convaincre davantage avec les tensions entre les hommes gradés et leurs décisions stratégiques mais aussi grâce aux liens d’amitiés unissant les soldats anglais à bord du char. Deux autres albums sont déjà prévus prochainement avec les batailles de Koursk et La Marne. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batailles-chars-el-alamein-de-sable-et-de-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Les grandes batailles de chars est une nouvelle série qui débute aux éditions Glénat avec deux albums qui sortent simultanément, Les Ardennes et El Alamein. Cet album se déroule durant la bataille des Ardennes pendant la seconde mondiale à bord du Panther Ausf. G, Panzer V. Dobbs commence son récit en 1944, alors qu'Hitler tente de reprendre le contrôle du port d'Anvers. Cependant la situation pour les soldats allemands se complique et la défaite se fait déjà ressentir. L’histoire prend la bataille des Ardennes comme décors mais se focalise sur le char Panzer V et son équipage. Les dessins sont de qualité pour décrire la guerre durant l'hiver et les hommes à bout de force se droguent pour trouver le courage de se battre dans des frigos sur chenilles. Un dossier documentaire de Stéphane Dubreuil vient compléter l'histoire avec davantage d'informations sur les batailles mais aussi sur le char. Les amateurs de récits de guerre et de chars trouveront leur compte avec cette nouvelle série. Les machines de guerres sont très tendances actuellement dans les récits de guerre en bande dessinée.
  5. Titre de l'album : Les grandes batailles de chars - Les Ardennes - Lâchez les fauves Scenariste de l'album : Dobbs Dessinateur de l'album : Fabrizio Fiorentino Coloriste : Maxflan Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Après le revers de 1944, avec le débarquement de Normandie et la libération de Paris, les forces armées allemandes adoptent une campagne particulièrement défensive. Dans ce contexte de regroupement de ses forces, Hitler s’entête contre l’avis de certains de ses conseillers dans un plan de contre-offensive pour s’emparer du port d’Anvers et rééditer ainsi la campagne victorieuse de 1940 : fin décembre, un groupe d’armées se projette dans le plus grand secret à travers les Ardennes et provoque panique et confusion chez les Alliés. Eisenhower mobilise alors le plus rapidement possible blindés et parachutistes. Perdu dans la forêt et le brouillard glacé, un chef de char allemand et l’équipage de son Panther vont devoir agir, malgré l’ennemi tout proche et les difficultés de communication et de ravitaillement. Le blindage et la supériorité du canon de l’engin feront-ils le poids face à l’omnipotence de l’adversaire et l’hostilité du terrain d’opération ? Critique : Les grandes batailles de chars est une nouvelle série qui débute aux éditions Glénat avec deux albums qui sortent simultanément, Les Ardennes et El Alamein. Cet album se déroule durant la bataille des Ardennes pendant la seconde mondiale à bord du Panther Ausf. G, Panzer V. Dobbs commence son récit en 1944, alors qu'Hitler tente de reprendre le contrôle du port d'Anvers. Cependant la situation pour les soldats allemands se complique et la défaite se fait déjà ressentir. L’histoire prend la bataille des Ardennes comme décors mais se focalise sur le char Panzer V et son équipage. Les dessins sont de qualité pour décrire la guerre durant l'hiver et les hommes à bout de force se droguent pour trouver le courage de se battre dans des frigos sur chenilles. Un dossier documentaire de Stéphane Dubreuil vient compléter l'histoire avec davantage d'informations sur les batailles mais aussi sur le char. Les amateurs de récits de guerre et de chars trouveront leur compte avec cette nouvelle série. Les machines de guerres sont très tendances actuellement dans les récits de guerre en bande dessinée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batailles-chars-ardennes-lachez-les-fauves?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Jusqu'à Raqqa - Un combattant français avec les Kurdes contre Daech Scenariste de l'album : André Hébert Dessinateur de l'album : Nicolas Otéro Coloriste : 1ver2anes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : André Hébert, jeune Français parti combattre l'État islamique aux côtés des Kurdes de Syrie, livre un témoignage capital sur l'un des pires conflits de ce début de siècle. Son engagement le conduira au coeur de l'ultime bataille dans les ruines de la capitale des djihadistes. Le journal de guerre à couper le souffle d'un militant internationaliste. Critique : André Hébert est le pseudonyme d'un jeune français qui milite pour différentes causes en participant à des manifestations ou en écrivant des articles pour un journal distribué à la sortie des facs. Les événements médiatisés autour des Kurdes de Syrie avec leur appel à tous les révolutionnaires du monde entier pour venir les aider à combattre daesh vont bouleverser sa vie. André Hébert est investi par cet appel et décide de partir en inventant un travail fictif pour le compte d'une ONG pour sa famille. Ce roman graphique documentaire revient sur cette décision et comment en l'espace d'une journée André Hébert quitte le confort de son existence pour aider les Kurdes à combattre daesh à Raqqa, la capitale syrienne de l'état Islamique. Après trois semaines d'entrainement sur le terrain, il rejoint YPG, les Unités de Défenses du Peuple. Cet album est très intense et on se retrouve au cœur des combats et du quotidien des soldats du bataillon international. Les soldats doivent attendre, être sur leur garde et se méfier de tous les kamikazes djihadistes. Les dessins de Nicolas Otéro sont excellents dans un style très réaliste. Le parcours de ce combattant français avec les kurdes contre les soldats de daesh est impressionnant, émouvant et très fort. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jusqu-a-raqqa-un-combattant-francais-avec-les-kurdes-contre-daech?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. André Hébert est le pseudonyme d'un jeune français qui milite pour différentes causes en participant à des manifestations ou en écrivant des articles pour un journal distribué à la sortie des facs. Les événements médiatisés autour des Kurdes de Syrie avec leur appel à tous les révolutionnaires du monde entier pour venir les aider à combattre daesh vont bouleverser sa vie. André Hébert est investi par cet appel et décide de partir en inventant un travail fictif pour le compte d'une ONG pour sa famille. Ce roman graphique documentaire revient sur cette décision et comment en l'espace d'une journée André Hébert quitte le confort de son existence pour aider les Kurdes à combattre daesh à Raqqa, la capitale syrienne de l'état Islamique. Après trois semaines d'entrainement sur le terrain, il rejoint YPG, les Unités de Défenses du Peuple. Cet album est très intense et on se retrouve au cœur des combats et du quotidien des soldats du bataillon international. Les soldats doivent attendre, être sur leur garde et se méfier de tous les kamikazes djihadistes. Les dessins de Nicolas Otéro sont excellents dans un style très réaliste. Le parcours de ce combattant français avec les kurdes contre les soldats de daesh est impressionnant, émouvant et très fort.
  8. Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF.
  9. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Brouillage intégral Scenariste de l'album : Marko Stojanovic Dessinateur de l'album : Maza Coloriste : Desko Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une Troisième Guerre mondiale oppose les membres de l'OTAN à la Russie, un conflit interminable, tactique, technologique et sanglant. Pour gagner du temps en attendant un rassemblement de troupes, le général Levchenko décide d'agir sur le brouillage des transmissions. Les rayonnements solaires, qui influencent la propagation des ondes de surface, pourraient changer l'issue des combats... Critique : Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-brouillage-integral?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Jean-Pierre Pécau poursuit sa série sur les machines de guerre et plus particulièrement le tank B1 Bis avec un lance-flamme installé par les soldats nazis, pour remplacer le canon. Cet album se déroule donc durant la seconde guerre mondiale à l'intérieur du tank avec l'équipe de soldats français et leur nouvelle recrue. Ce dernier a participé à la fabrication de ces machines de guerres avant de prendre part au combat quand son oncle a été exécuté par des nazis. On participe aux combats entre les tanks français et allemands dans les campagnes avec la bataille du village de Stone dans les Ardennes. Jean-Pierre Pécau maitrise les techniques scénaristiques des récits de guerres avec ses nombreuses séries sur ce thème, il insère des anecdotes tout au long de l'album pour accompagner l'histoire du B1Bis et des détails sur le moteur ou l'armement du tank. Un cahier technique sur le descriptif du tank termine l'album comme pour les tomes précédents. Les dessins de Senad Mavric et de Filip Andronik sont de qualité pour dépeindre cette triste période historique. L'histoire est bien construite et on se laisse très vite prendre dans ce récit de guerre avec le fameux tank B1bis.
  11. Titre de l'album : Machines de guerre tome 6 - Le boucher de Stonne : B1bis, la forteresse qui crache le feu Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Senad Mavric & Filip Andronik Coloriste : Jean Verney Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le char français B1bis fut de loin le char le plus redouté des Allemands durant la campagne de France, et une très mauvaise surprise pour eux qui ignoraient son existence. Invulnérable aux canons de leurs chars comme à tous leurs antichars, ils ne pouvaient compter que sur les pièces lourdes pour en venir à bout. Critique : Jean-Pierre Pécau poursuit sa série sur les machines de guerre et plus particulièrement le tank B1 Bis avec un lance-flamme installé par les soldats nazis, pour remplacer le canon. Cet album se déroule donc durant la seconde guerre mondiale à l'intérieur du tank avec l'équipe de soldats français et leur nouvelle recrue. Ce dernier a participé à la fabrication de ces machines de guerres avant de prendre part au combat quand son oncle a été exécuté par des nazis. On participe aux combats entre les tanks français et allemands dans les campagnes avec la bataille du village de Stone dans les Ardennes. Jean-Pierre Pécau maitrise les techniques scénaristiques des récits de guerres avec ses nombreuses séries sur ce thème, il insère des anecdotes tout au long de l'album pour accompagner l'histoire du B1Bis et des détails sur le moteur ou l'armement du tank. Un cahier technique sur le descriptif du tank termine l'album comme pour les tomes précédents. Les dessins de Senad Mavric et de Filip Andronik sont de qualité pour dépeindre cette triste période historique. L'histoire est bien construite et on se laisse très vite prendre dans ce récit de guerre avec le fameux tank B1bis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/machines-de-guerre-le-boucher-de-stonne-b1bis-la-forteresse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    The division - extremis malis

    Les éditions Black river proposent une grande collection de titres provenant des jeux vidéo pour permettre aux lecteurs et joueurs de poursuivre l'aventure avec l'univers étendu par le biais de comics. Après les one shot sur Assassin's creed Valhalla ou Far cry, on retrouve la licence de The division de Tom Clancy. Cet album est une préquel du deuxième volet du jeu the division. On retrouve le héros connus des joueurs, Caleb Dunne qui dirige plusieurs troupes d'élites pour les interventions sur le terrain. The division est une référence dans les jeux en ligne en monde ouvert de tir tactique et d'action-RPG. Les dessins sont bien travaillés avec des décors pour retrouver l'ambiance des jeux. Les trois chapitres proposés dans cet album se centralise sur de l'action comme les joueurs connaissent bien. Les lecteurs jouant à ce jeu seront les premiers intéressés par cette histoire mais il n'est pas nécessaire de connaitre le jeu pour profiter de cet album pour les autres lecteurs.
  13. Titre de l'album : The division - extremis malis Scenariste de l'album : Christopher Emgard Dessinateur de l'album : Fernando Nicolas Baldo Coloriste : Michael Atiyrh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Des mois après qu'une arme biologique ait dévasté New York, les agents de la Division sont les derniers espoirs des États-Unis dont l'unité est en danger. À la suite d'une mission qui a très mal tourné, le partenaire de l'agent Caleb Dunne est assassiné. Dunne se jure de traquer la femme responsable de ce crime odieux, qu'il ne connait que sous le nom de Mantis. Il la poursuit jusqu'à Philadelphie, Fort Meade et finalement Washington D.C. avec l'aide des agents Heather Ward et Brian Johnson. Ensemble, ce nouveau groupe d'agents découvrent un complot aux dimensions tentaculaires, une menace de plus envers une nation sur le point de s'effondrer... Critique : Les éditions Black river proposent une grande collection de titres provenant des jeux vidéo pour permettre aux lecteurs et joueurs de poursuivre l'aventure avec l'univers étendu par le biais de comics. Après les one shot sur Assassin's creed Valhalla ou Far cry, on retrouve la licence de The division de Tom Clancy. Cet album est une préquel du deuxième volet du jeu the division. On retrouve le héros connus des joueurs, Caleb Dunne qui dirige plusieurs troupes d'élites pour les interventions sur le terrain. The division est une référence dans les jeux en ligne en monde ouvert de tir tactique et d'action-RPG. Les dessins sont bien travaillés avec des décors pour retrouver l'ambiance des jeux. Les trois chapitres proposés dans cet album se centralise sur de l'action comme les joueurs connaissent bien. Les lecteurs jouant à ce jeu seront les premiers intéressés par cette histoire mais il n'est pas nécessaire de connaitre le jeu pour profiter de cet album pour les autres lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-division-extremis-malis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Après un tome 1 enlevé qui nous parlait finalement autant des machines que des hommes qui les pilotaient durant la seconde guerre mondiale, ce tome 2 nous présente un avion bien moins connu du grand publi et un théâtre de guerre que l'on a oublié : la guerre civile espagnole à travers le destin tragique d'un pilote russe. On y découvrira de nouveau le destin impitoyable de ses hommes broyés par la guerre et par des idéologies toujours plus dogmatiques transofrmant des idées en système propres à broyer les être humains. Côté combats d'aviation nous serons servis même si le côté pré seconde guerre mondiale impose de présenter des technologies de combat moins performantes. Cette série est en train de devenir intéressante pour les passionnés d'histoire et d'aviation, pour le moment articulée sur des périodes autour de la seconde guerre mondiale, elle nous permet de dessiner les petites histoires derrière la grande, la machine devenant le prétexte, et ça moi j'aime beaucoup. Graphiquement on reste je trouve un léger cran en dessous de ce qui se fait de mieux dans le genre, mais cela reste de très bonne qualité, avec de belles planches et de beaux combats.
  15. Titre de l'album : Warbirds - Tome 2 - I-16 Polikarpov, la mouche de Moscou Scenariste de l'album : Richard D. Nolane Dessinateur de l'album : I.S Fiki Coloriste : Vladimir Davidenko Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Entré en service en 1935, le Polikarpov I-16 soviétique était un chasseur monoplan rapide et maniable. Lors de la Guerre d'Espagne, 276 I-16 équipèrent l'aviation républicaine. Surnommé « Mosca » (la mouche), il y devint une légende et n'y fut dominé à la longue que par le Messerschmitt Bf 109. Le héros de La Mouche de Moscou s'inspire d'as soviétiques engagés dans ce conflit d'une rare violence. Critique : Après un tome 1 enlevé qui nous parlait finalement autant des machines que des hommes qui les pilotaient durant la seconde guerre mondiale, ce tome 2 nous présente un avion bien moins connu du grand publi et un théâtre de guerre que l'on a oublié : la guerre civile espagnole à travers le destin tragique d'un pilote russe. On y découvrira de nouveau le destin impitoyable de ses hommes broyés par la guerre et par des idéologies toujours plus dogmatiques transofrmant des idées en système propres à broyer les être humains. Côté combats d'aviation nous serons servis même si le côté pré seconde guerre mondiale impose de présenter des technologies de combat moins performantes. Cette série est en train de devenir intéressante pour les passionnés d'histoire et d'aviation, pour le moment articulée sur des périodes autour de la seconde guerre mondiale, elle nous permet de dessiner les petites histoires derrière la grande, la machine devenant le prétexte, et ça moi j'aime beaucoup. Graphiquement on reste je trouve un léger cran en dessous de ce qui se fait de mieux dans le genre, mais cela reste de très bonne qualité, avec de belles planches et de beaux combats. Autres infos : Storyboard par Maza Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/warbirds-polikarpov-i-16-la-mouche-de-moscou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Tuskegee ghost tome 1 Scenariste de l'album : Benjamin Von Eckartsberg Dessinateur de l'album : Olivier Dauger Coloriste : Olivier Dauger Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : 1968. L'été de l'amour bat son plein, mais le Sud américain est toujours dominé par la haine. 1942. L'Amérique se bat pour la liberté en Europe et dans le Pacifique, mais tous ses citoyens ne sont pas égaux dans la lutte... Basé sur l'histoire vraie des Tuskegee Airmen, les premiers pilotes noirs de l’armée de l’Air américaine, Tuskegee Ghost peint un drame familial où la violence de la guerre fait écho à celle du racisme. Critique : J'apprécie beaucoup les histoires de Benjamin Von Eckartsberg depuis la chronique des immortels en passant par Gung Ho donc c'est avec plaisir que j'ai découvert sa dernière production, annoncée en deux volumes. L'histoire se scinde en deux parties avec le parcours d'un aviateur afro-américain pendant la seconde guerre mondiale et celui de son fils durant les années hippies. Le père a subi le racisme encore bien présent aux États-Unis à cette époque et souffre d'un traumatisme suite à la guerre. De son côté, son fils souhaite devenir pilote d'avion à son tour. Des scènes de flashbacks des combats aériens sont racontés par la mère ou alors hantent les cauchemars du père. Olivier Dauger gère la partie graphique avec beaucoup de talent et les couleurs numériques assurent un rendu original de grande qualité. On ressent une forte influence par les dessins de Thomas von Kummant qui travaille souvent avec Benjamin Von Eckartsberg. Dauger a déjà dessiné de nombreuses séries d'aviation en tant de guerre et il retranscrit très bien les ambiances et combats. J'ai adoré la lecture de ce premier album que je recommande fortement à tous lecteurs aimant les récits de guerre et d'aviation historique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tuskegee-ghost-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Tuskegee ghost tome 1

    J'apprécie beaucoup les histoires de Benjamin Von Eckartsberg depuis la chronique des immortels en passant par Gung Ho donc c'est avec plaisir que j'ai découvert sa dernière production, annoncée en deux volumes. L'histoire se scinde en deux parties avec le parcours d'un aviateur afro-américain pendant la seconde guerre mondiale et celui de son fils durant les années hippies. Le père a subi le racisme encore bien présent aux États-Unis à cette époque et souffre d'un traumatisme suite à la guerre. De son côté, son fils souhaite devenir pilote d'avion à son tour. Des scènes de flashbacks des combats aériens sont racontés par la mère ou alors hantent les cauchemars du père. Olivier Dauger gère la partie graphique avec beaucoup de talent et les couleurs numériques assurent un rendu original de grande qualité. On ressent une forte influence par les dessins de Thomas von Kummant qui travaille souvent avec Benjamin Von Eckartsberg. Dauger a déjà dessiné de nombreuses séries d'aviation en tant de guerre et il retranscrit très bien les ambiances et combats. J'ai adoré la lecture de ce premier album que je recommande fortement à tous lecteurs aimant les récits de guerre et d'aviation historique.
  18. Titre de l'album : La guerre invisible - Tome 3 - L'institut Scenariste de l'album : Franck Giroud & Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Olivier Martin Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Le conflit technologique se poursuit entre les forces occidentales et soviétiques. Au centre de ce combat, le savant allemand Manfred Fürbringer et son expertise inégalée en armement qui donnerait l'avantage immédiat au camp qui saurait utiliser ses talents. Après une première fuite en Egypte ainsi qu'une extradition vers les Etats- Unis, celui-ci se retrouve contre son gré embarqué en direction de l'Argentine. Les agents responsables de cette nouvelle prise de contrôle du savant, cachés derrière leur identité soviétique, sont en fait des membres d'une autre organisation faisant son entrée en scène : le Mossad, qui vient ajouter une nouvelle pierre à la complexité de cette guerre invisible. Ce troisième volet vient clôturer la saga d'espionnage de Frank Giroud, Laurent Galandon et Olivier Martin, éclairage romancé mais réaliste d'un conflit souterrain qui aura duré près de 50 ans. Critique : Quelle étrange série d'espionnage avec ses 3 tomes aux ambiances, protagonistes et univers si différents. Ce tome 3 vient donc la clôturer en nous présentant sous un autre angle encore les protagonistes des enjeux des années après seconde guerre mondiale. Je dois bien reconnaitre que ce troisième tome m'a bien plus passionné que les deux premiers, les enjeux y étant plus troubles mais aussi plus personnels. D'un point de vue scénaristique l'ensemble est une réussite, mais au bout de 3 tomes je dois aussi dire que le dessin d'Olivier Martin ne m'a pas inspiré d'émotions particulières. C'est propre, assez neutre, et si je trouve que ce tome 3 a gagné en fluidité globalement, j'ai quand même eu du mal à m'attacher aux représentations des personnages. Dommage, cette histoire méritait peut être un parti pris graphique plus audacieux et libéré. Ceci étant dit, ce n'est évidemment qu'une affaire de goût car globalement le travail est indéniable et de qualité et les amateurs de bd franc belge ne seront pas en terres inconnues de ce point de vue là. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-guerre-invisible-tome-3-l-institut?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Quelle étrange série d'espionnage avec ses 3 tomes aux ambiances, protagonistes et univers si différents. Ce tome 3 vient donc la clôturer en nous présentant sous un autre angle encore les protagonistes des enjeux des années après seconde guerre mondiale. Je dois bien reconnaitre que ce troisième tome m'a bien plus passionné que les deux premiers, les enjeux y étant plus troubles mais aussi plus personnels. D'un point de vue scénaristique l'ensemble est une réussite, mais au bout de 3 tomes je dois aussi dire que le dessin d'Olivier Martin ne m'a pas inspiré d'émotions particulières. C'est propre, assez neutre, et si je trouve que ce tome 3 a gagné en fluidité globalement, j'ai quand même eu du mal à m'attacher aux représentations des personnages. Dommage, cette histoire méritait peut être un parti pris graphique plus audacieux et libéré. Ceci étant dit, ce n'est évidemment qu'une affaire de goût car globalement le travail est indéniable et de qualité et les amateurs de bd franc belge ne seront pas en terres inconnues de ce point de vue là.
  20. poseidon2

    Beyond band of brothers (Roman)

    Roman de l'été pour moi avec un récit impressionnant d'homme comme on espère ne plus avoir à en faire, n'en déplaise à l'actualité du moment. Dick Winters nous raconte sa guerre et sa façon de mener ses troupes et de les aider à traverser les différentes épreuves qu'ils rencontrent. N'ayant pas vu la série j'ai beaucoup apprécié ce récit de guerre et les "aventures" de cette compagnie qui fut des presque toutes les grandes batailles. Il est intéressant que nos auteurs nous aient donné des nouvelles des survivants, cela ancre le récit dans le réel. J'ai un peu peur que cela fasse doublon de la série par contre, au vu de la bande-annonce que je viens de voir, mais je vous laisserai juger. Pour revenir à notre cœur de critique, les illustrations de Davide Fabbri sont très belles et mérite leur pleine page.
  21. Titre de l'album : Beyond band of brothers (Roman) Scenariste de l'album : Dick Winters / Cole C. Kingseed Dessinateur de l'album : Davide Fabbri Coloriste : Davide Fabbri Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Mondialement connu depuis la diffusion de la série à succès HBO Band of Borthers produite par Steven Spielberg et Tom Hanks, le Major Dick Winters est un officier de l'US Army et un vétéran de la Seconde Guerre mondiale. Durant ce conflit, il commande la Easy Company du 506e régiment d'infanterie parachutée de la 101e division aéroportée, les Screaming Eagles. Cette compagnie sera de tous les coups durs du front d'Europe occidentale, du débarquement de Normandie à la bataille des Ardennes en passant par l'opération Market-Garden aux Pays-Bas et finira la guerre en occupant le Nid d'aigle d'Hitler, Berchtesgaden. En 2006, accompagné par Cole C. Kingseed, il raconte son parcours militaire et livre les clés du succès d'un bon meneur d'homme. Critique : Roman de l'été pour moi avec un récit impressionnant d'homme comme on espère ne plus avoir à en faire, n'en déplaise à l'actualité du moment. Dick Winters nous raconte sa guerre et sa façon de mener ses troupes et de les aider à traverser les différentes épreuves qu'ils rencontrent. N'ayant pas vu la série j'ai beaucoup apprécié ce récit de guerre et les "aventures" de cette compagnie qui fut des presque toutes les grandes batailles. Il est intéressant que nos auteurs nous aient donné des nouvelles des survivants, cela ancre le récit dans le réel. J'ai un peu peur que cela fasse doublon de la série par contre, au vu de la bande-annonce que je viens de voir, mais je vous laisserai juger. Pour revenir à notre cœur de critique, les illustrations de Davide Fabbri sont très belles et mérite leur pleine page. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beyond-band-of-brothers-les-memoires-de-guerre-du-major-dick-winters?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Comme souvent avec les séries "documentaires" historiques en bd, j'ai un à priori négatif. Le manque de romanesque du genre d'un côté ou la limite inhérente au support en terme d'exhaustivité font que je suis souvent peu emballé. Rajoutez à ça qu'on est souvent bien gâté ces derniers temps du côté des bd et comics sérieux d'aviation et vous comprendrez pourquoi la sortie de Top Gun n'a pas suffit à me faire saliver devant ce Warbirds. Et bien j'ai eu tout faux. C'est super sympa à lire, enrichissant et instructif, et les dessins sont bien réussis. Ce warbirds est bien dosé et nous procure une lecture agréable, et instructive. Le choix de montrer un personnage principal plus que contestable donne un peu d'épaisseur et de relief à ce premier tome de cette nouvelle série. J'ai hâte d'en découvrir les prochains tomes
  23. Titre de l'album : Warbirds - Tome 1 - JU-87G Stuka - Le tueur de tanks Scenariste de l'album : Richard D. Nolane Dessinateur de l'album : Vladimir Davidenko & Aleksandar Sotirovski Coloriste : Vladimir Davidenko Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le nom de Hans Rudel reste lié à celui de l'avion. Soldat allemand le plus décoré, il détient le record mondial de missions durant un conflit. Sa tête fut mise à prix par Staline. Les Alliés refusèrent de lui livrer ce nazi convaincu, mais combattant exemplaire et admiré par ses adversaires. Tueur de tanks ! s'inspire des faits d'armes de ce héros à la face sombre... Critique : Comme souvent avec les séries "documentaires" historiques en bd, j'ai un à priori négatif. Le manque de romanesque du genre d'un côté ou la limite inhérente au support en terme d'exhaustivité font que je suis souvent peu emballé. Rajoutez à ça qu'on est souvent bien gâté ces derniers temps du côté des bd et comics sérieux d'aviation et vous comprendrez pourquoi la sortie de Top Gun n'a pas suffit à me faire saliver devant ce Warbirds. Et bien j'ai eu tout faux. C'est super sympa à lire, enrichissant et instructif, et les dessins sont bien réussis. Ce warbirds est bien dosé et nous procure une lecture agréable, et instructive. Le choix de montrer un personnage principal plus que contestable donne un peu d'épaisseur et de relief à ce premier tome de cette nouvelle série. J'ai hâte d'en découvrir les prochains tomes Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/warbirds-ju-87g-stuka-le-tueur-de-tanks/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    La grande balade de Petros

    Des récits de guerre et d'occupation, on en a déjà lu pleins. Des récits de guerre vue par les enfants, on en a aussi lu beaucoup. À un tel point que l'on s'imagine que seuls les Français du maquis ont résisté et qu'ils sont les plus grands héros de l'histoire. Cette grande balade de Petros nous montre que ce qui s'est passé chez nous, s'est aussi passé ailleurs. Il nous montre, au travers de la vision d'un petit garçon plein de vie et d'envie, que le peuple grec a subi les mêmes brimades que nous, a été occupé comme nous, a eu son lot de collabos comme nous et surtout... a eu son lot de résistants comme nous. L'écho de ce qu'il s'est passé en Grèce est impressionnant et montre bien, si besoin était, que les forces de l'axe se comportaient de la même façon partout en Europe. L'histoire, si elle est vue au travers des yeux d'un enfant plein d'entrain et d'envie, n'en reste pas moins poignante et difficile. Rien n'est caché à Petros et notre auteur nous fait bien ressentir à quel point les drames sont encore plus marquants pour des enfants qui ne comprennent pas le principe de sacrifice pour le bien commun. Un très beau récit de guerre qui montre que ou qu'elle ait lieux, la guerre produit son lot de désespoir et de haine.
  25. Titre de l'album : La grande balade de Petros Scenariste de l'album : Angeliki Darlasi Dessinateur de l'album : Dimitrios Mastoros Coloriste : Dimitrios Mastoros Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : La grande balade de Petros est un témoignage historique et antifasciste, qui relate les aventures et les jours difficiles d'un gamin de 9 ans (Petros) et de sa famille pendant l'occupation allemande d'Athènes.Le quotidien de la guerre, la terrible famine des grandes villes et les exécutions chroniques, mais également la résistance inventive d'une population qui n'a plus rien à perdre, sont racontés à travers le regard, les rêveries et les interprétations de ce petit garçon qui va être obligé de grandir trop vite...Un récit d'enfance et d'apprentissage sans condescendance, mais avec de l'humour et de la tendresse.Dimitrios Mastoros et Angeliki Darlasi adaptent ce classique de la romancière grecque Alki Zei, militante de gauche et membre active de la résistance sous l'occupation nazie. Critique : Des récits de guerre et d'occupation, on en a déjà lu pleins. Des récits de guerre vue par les enfants, on en a aussi lu beaucoup. À un tel point que l'on s'imagine que seuls les Français du maquis ont résisté et qu'ils sont les plus grands héros de l'histoire. Cette grande balade de Petros nous montre que ce qui s'est passé chez nous, s'est aussi passé ailleurs. Il nous montre, au travers de la vision d'un petit garçon plein de vie et d'envie, que le peuple grec a subi les mêmes brimades que nous, a été occupé comme nous, a eu son lot de collabos comme nous et surtout... a eu son lot de résistants comme nous. L'écho de ce qu'il s'est passé en Grèce est impressionnant et montre bien, si besoin était, que les forces de l'axe se comportaient de la même façon partout en Europe. L'histoire, si elle est vue au travers des yeux d'un enfant plein d'entrain et d'envie, n'en reste pas moins poignante et difficile. Rien n'est caché à Petros et notre auteur nous fait bien ressentir à quel point les drames sont encore plus marquants pour des enfants qui ne comprennent pas le principe de sacrifice pour le bien commun. Un très beau récit de guerre qui montre que ou qu'elle ait lieux, la guerre produit son lot de désespoir et de haine. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-grande-balade-de-petros?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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