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  1. Titre de l'album : W0rldtr33 tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Fernando Blanco Coloriste : Fernando Blanco Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En 1999, Gabriel et ses amis ont découvert une architecture secrète sous le voile d'Internet : l'Undernet. Ils y ont répertorié leur exploration sur un forum qu'ils ont créé, et baptisé W0rldtr33. Puis ils en ont perdu le contrôle. Quelqu'un s'est introduit dans W0rldtr33, et a inondé l'Undernet de contenus hyperviolents, propageant son emprise néfaste comme une traînée de poudre sur quiconque y pose les yeux. Au prix de grands sacrifices personnels, Gabriel et les autres pensaient avoir définitivement scellé l'Undernet. Ils avaient tort. Et aujourd'hui leur plus grande peur à un nom : PH34R. Critique : En voilà une histoire surprenante. En effet au vu du résumé, je m'attendais à un thriller informatique ou à une dérive type "Terminator" mais je ne m'attendais pas à... un thriller horrifique. Et c'est pourtant bien ce que l'on a. Si le fond d'informatique et d'anticipation est bien présent, on a un bien un premier tome qui est essentiellement un tome qui ressort par l'angoisse qu'il procure. La folie meurtrière des gens "infectés" par l'undernet est super violente et bien mise en image. Notre tueuse en série a beau être nue, ce plus ses meurtres que son physique qui choque...Un vrai thriller ou le monde plonge dans l'horreur. Cette critique de la dérive extrémiste des réseaux sociaux, dont l'acquisition par Musk de twitter est le début, est assez frappante. Comme si James tyrion IV avait mixé orange mécanique et instagram, secoué le tout et voir ce qu'il pouvait en sortir comme horreur. Le récit est bien mené avec des courtes parties dans le futur qui ajoutent à notre questionnement autant qu'elles nous promettent un scenario plus ambitieux que celui imaginé en lisant le résumé. En bref un premier tome angoissant qui lance un thriller intriguant qui révéla l'ensemble de son potentiel dans les prochains tomes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/w0rldtr33-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Starving Revelation tome 1 Scenariste de l'album : Yuu Kuraishi Dessinateur de l'album : Kazu Inabe Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Après avoir frôlé l'extinction, le monde semble vivre dans une paix toute relative. Désormais, les Humains vouent un culte sans limite à des êtres sacrés, les Grands Amahito, pour lesquels ils se sacrifient de leur plein gré ! C'est dans ce contexte que Hiroki, lycéen timide et sans histoire, prend soudainement conscience de la mauvaise tournure que sont en train de prendre les événements, alors que sa meilleure amie, Yuzu, a été choisie pour servir de pitance aux Grands Amahito... L'heure du réveil a sonné ! Critique : Avez-vous lu Starving anonymous ? Si oui, Starving Revelation en est une suite lointaine qui reprend certains éléments contextuels. Si non, ce n’est pas grave, cette nouvelle série du duo Kazu Inabe (dessin) et Kengo Mizutani (scénario) peut se lire indépendamment. Une nouvelle fois les auteurs nous emmènent vers l’inconnu et encore une fois, il faut s’attendre à du fantastique horrifique qui peut naviguer facilement entre grotesque et gore. Ce qui est certain c’est que l’œuvre ne laisse pas de marbre ! Nous voici donc sur Terre à une époque moderne où les humains se sont soumis à des déités appelées « les grands Amahito » et pour qui ils sont prêts à s’offrir en sacrifice ! Et « prêts » est un piètre mot, non, il n’y a pas d’honneur plus important que de se faire dévorer par ces divinités et chacun fait ce qu’il faut pour être « ramassé ». Ceux qui craignent la mort sont considérés comme anormaux et ceux qui se posent des questions à propos de ces rites sont traités comme des parias. Mais le plus intéressant dans cette histoire, c’est la façon dont l’être humain peut devenir fanatique et sans merci quand il s’agit d’agir au nom d’un « être supérieur ». Cette façon de tout donner et de tout excuser quand il s’agit de religion. Tout cela n’est pas sans rappeler certaines sectes… Il y a donc matière à penser et à discuter sur ce sujet. Mais vous pouvez aussi vous en tenir au premier niveau de lecture, celui de jeunes qui vont essayer de survivre dans ce monde absurde et horrifique (on parle quand même de sacrifices humains). A lire pour les amateurs du genre. Pour public averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/starving-revelation-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Starving Revelation tome 1

    Avez-vous lu Starving anonymous ? Si oui, Starving Revelation en est une suite lointaine qui reprend certains éléments contextuels. Si non, ce n’est pas grave, cette nouvelle série du duo Kazu Inabe (dessin) et Kengo Mizutani (scénario) peut se lire indépendamment. Une nouvelle fois les auteurs nous emmènent vers l’inconnu et encore une fois, il faut s’attendre à du fantastique horrifique qui peut naviguer facilement entre grotesque et gore. Ce qui est certain c’est que l’œuvre ne laisse pas de marbre ! Nous voici donc sur Terre à une époque moderne où les humains se sont soumis à des déités appelées « les grands Amahito » et pour qui ils sont prêts à s’offrir en sacrifice ! Et « prêts » est un piètre mot, non, il n’y a pas d’honneur plus important que de se faire dévorer par ces divinités et chacun fait ce qu’il faut pour être « ramassé ». Ceux qui craignent la mort sont considérés comme anormaux et ceux qui se posent des questions à propos de ces rites sont traités comme des parias. Mais le plus intéressant dans cette histoire, c’est la façon dont l’être humain peut devenir fanatique et sans merci quand il s’agit d’agir au nom d’un « être supérieur ». Cette façon de tout donner et de tout excuser quand il s’agit de religion. Tout cela n’est pas sans rappeler certaines sectes… Il y a donc matière à penser et à discuter sur ce sujet. Mais vous pouvez aussi vous en tenir au premier niveau de lecture, celui de jeunes qui vont essayer de survivre dans ce monde absurde et horrifique (on parle quand même de sacrifices humains). A lire pour les amateurs du genre. Pour public averti.
  4. Titre de l'album : Le déviant - un conte de noël tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Josh Hixson Coloriste : Josh Hixson Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 1972, Milwaukee. Alors que la neige tombe à gros flocons, un père Noël avide de sang commet des atrocités inimaginables sur des adolescents. Cinquante ans plus tard, un jeune écrivain tourmenté interviewe ce soi-disant "tueur déviant", qui, après des décennies derrière les barreaux, continue de clamer son innocence. Et alors que les festivités de Noël approchent à grands pas, le passé retrouve le chemin des cheminées, portant dans sa hotte une hache aiguisée... Critique : Bon alors j'ai eu du mal à me décider pour cet album. J'ai eu du mal à mettre une note parce que ce genre n'est vraiment pas pour moi. C'est un vrai récit d'horreur autour du thème de Noël. Un récit qui donne envie de se retourner dans les couloirs. Un récit de Noël et Halloween mélangé... super dérangeant ! James Tyrion IV nous montre ici l'étendu de son talent en s'attaquant à un genre nouveau pour lui : le thriller horrifique. Et il y est tellement bon que j'ai été glacé par cette lecture, oscillant entre l'envie de lire la suite pour connaitre l mystère derrière ce tueur en série et celui de vomir à l'idée de croiser un père noël un peu trop grand... C'est donc surement excellent si vous adorez les récits de ce genre.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-deviant-un-conte-de-noel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Bon alors j'ai eu du mal à me décider pour cet album. J'ai eu du mal à mettre une note parce que ce genre n'est vraiment pas pour moi. C'est un vrai récit d'horreur autour du thème de Noël. Un récit qui donne envie de se retourner dans les couloirs. Un récit de Noël et Halloween mélangé... super dérangeant ! James Tyrion IV nous montre ici l'étendu de son talent en s'attaquant à un genre nouveau pour lui : le thriller horrifique. Et il y est tellement bon que j'ai été glacé par cette lecture, oscillant entre l'envie de lire la suite pour connaitre l mystère derrière ce tueur en série et celui de vomir à l'idée de croiser un père noël un peu trop grand... C'est donc surement excellent si vous adorez les récits de ce genre....
  6. Nickad

    Tombes

    Titre de l'album : Tombes Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Une vieille bâtisse abandonnée habitée par un passé sanglant, une étrange femme recluse qui trouble le sommeil de son jeune voisin, un monstre marin tout droit surgi des abysses, un tunnel maudit qui plonge ses visiteurs dans d'hypnotisantes ténèbres, des sculptures qui prennent vie dans une sinistre fonderie, un village sombre et isolé dont les habitants semblent tous exsangues... Critique : Dernier recueil d’histoires courtes de Junji Ito sorti aux éditions Mangetsu. Si les livres de cette collection sont toujours très soignés avec une préface et un épilogue des plus intéressants, on regrettera de ne pas avoir que des nouvelles histoires. Certaines ont déjà été publiées dans d’autres recueils, on a un peu l’impression de se faire avoir sur le contenu… Heureusement, il y en a aussi de nouvelles à commencer par la première : La ville funéraire qui nous entraine autour de rites funéraires dans une petite ville, rites qu’il vaut mieux suivre au risque d’être maudit ! Parmi les autres, on appréciera Le Tunnel avec sa portée métaphysique, Idées noires et Sculptures en bronze qui mettent en avant les vils sentiments qui peuvent animer l’être humain. Cependant, certaines nouvelles n’ont pas vraiment de fin et se finissent en « eau de boudin » comme le dit l’expression. Je ne suis pas contre les histoires courtes, certaines sont très efficaces mais un peu plus de structure ne serait pas mal venu sur certaines comme Le QG, il n’y a rien de plus frustrant que d’être laissé en plan !! Comme dans chaque recueil du maitre, certains récits sont plus intéressants que d’autres. Tombes n’aborde pas seulement le thème de la mort mais plutôt de la sépulture ou de ce qui arrive après la fin. Sur ce point le choix des histoires est réussi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tombes-9782382815274?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Tombes

    Dernier recueil d’histoires courtes de Junji Ito sorti aux éditions Mangetsu. Si les livres de cette collection sont toujours très soignés avec une préface et un épilogue des plus intéressants, on regrettera de ne pas avoir que des nouvelles histoires. Certaines ont déjà été publiées dans d’autres recueils, on a un peu l’impression de se faire avoir sur le contenu… Heureusement, il y en a aussi de nouvelles à commencer par la première : La ville funéraire qui nous entraine autour de rites funéraires dans une petite ville, rites qu’il vaut mieux suivre au risque d’être maudit ! Parmi les autres, on appréciera Le Tunnel avec sa portée métaphysique, Idées noires et Sculptures en bronze qui mettent en avant les vils sentiments qui peuvent animer l’être humain. Cependant, certaines nouvelles n’ont pas vraiment de fin et se finissent en « eau de boudin » comme le dit l’expression. Je ne suis pas contre les histoires courtes, certaines sont très efficaces mais un peu plus de structure ne serait pas mal venu sur certaines comme Le QG, il n’y a rien de plus frustrant que d’être laissé en plan !! Comme dans chaque recueil du maitre, certains récits sont plus intéressants que d’autres. Tombes n’aborde pas seulement le thème de la mort mais plutôt de la sépulture ou de ce qui arrive après la fin. Sur ce point le choix des histoires est réussi.
  8. poseidon2

    W0rldtr33 tome 1

    En voilà une histoire surprenante. En effet au vu du résumé, je m'attendais à un thriller informatique ou à une dérive type "Terminator" mais je ne m'attendais pas à... un thriller horrifique. Et c'est pourtant bien ce que l'on a. Si le fond d'informatique et d'anticipation est bien présent, on a un bien un premier tome qui est essentiellement un tome qui ressort par l'angoisse qu'il procure. La folie meurtrière des gens "infectés" par l'undernet est super violente et bien mise en image. Notre tueuse en série a beau être nue, ce plus ses meurtres que son physique qui choque...Un vrai thriller ou le monde plonge dans l'horreur. Cette critique de la dérive extrémiste des réseaux sociaux, dont l'acquisition par Musk de twitter est le début, est assez frappante. Comme si James tyrion IV avait mixé orange mécanique et instagram, secoué le tout et voir ce qu'il pouvait en sortir comme horreur. Le récit est bien mené avec des courtes parties dans le futur qui ajoutent à notre questionnement autant qu'elles nous promettent un scenario plus ambitieux que celui imaginé en lisant le résumé. En bref un premier tome angoissant qui lance un thriller intriguant qui révéla l'ensemble de son potentiel dans les prochains tomes.
  9. Nickad

    PTSD Radio tome 1

    Voici le manga annoncé comme étant un renouveau du genre horreur. PTSD radio concerne une fréquence particulière, celle du surnaturel sur laquelle trottent les esprits, fantômes et autres créatures étranges. La construction du livre est assez déroutante au début, on a une succession de courts chapitres qui ont tous un aspect fantastique, plus ou moins inquiétants et qui ne semblent pas avoir de chute. Puis des personnages récurrents reviennent et s’entrecroisent avec d’autres et semblent parfois complétement indépendants. Ce qui est sûr c’est qu’il y a quelque chose, une sorte de dieu qui intervient si on le dérange, si on ne suit pas les coutumes ou si on les dérange. Un dieu « qui n’a que faire du bien ou du mal » et qui n’est animé que par la soif des sacrifices. Ces chapitres sont comme des indices nous permettant d’en savoir plus et de comprendre certains fonctionnements. Pourtant les enchainements semblent encore chaotiques ; on ne sait pas si ce sont les pièces d’un seul puzzle ou si ce sera juste des bribes d’histoires liées à une seule cause. PTSD radio a donc une narration assez étrange, on ne sait pas trop où l’on va. Quant à la partie horreur, on a quelques dessins inquiétants mais pas assez pour nous faire ressentir de l’effroi ni nous dégoûter. Il faudra attendre le 2eme tome pour se faire une opinion plus détaillée.
  10. Nickad

    PTSD Radio tome 1

    Titre de l'album : PTSD Radio tome 1 Scenariste de l'album : Masaaki Nakayama Dessinateur de l'album : Masaaki Nakayama Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Captez-vous l'étrange fréquence de PTSD Radio ? L'horreur rampe, glisse et se tapit dans le noir. Elle vous tire par les cheveux, elle vous happe comme le vide, elle se transmet comme un virus et s'infiltre par tous les pores de votre vie. Vous pouvez toujours refermer le livre... mais il sera déjà trop tard Critique : Voici le manga annoncé comme étant un renouveau du genre horreur. PTSD radio concerne une fréquence particulière, celle du surnaturel sur laquelle trottent les esprits, fantômes et autres créatures étranges. La construction du livre est assez déroutante au début, on a une succession de courts chapitres qui ont tous un aspect fantastique, plus ou moins inquiétants et qui ne semblent pas avoir de chute. Puis des personnages récurrents reviennent et s’entrecroisent avec d’autres et semblent parfois complétement indépendants. Ce qui est sûr c’est qu’il y a quelque chose, une sorte de dieu qui intervient si on le dérange, si on ne suit pas les coutumes ou si on les dérange. Un dieu « qui n’a que faire du bien ou du mal » et qui n’est animé que par la soif des sacrifices. Ces chapitres sont comme des indices nous permettant d’en savoir plus et de comprendre certains fonctionnements. Pourtant les enchainements semblent encore chaotiques ; on ne sait pas si ce sont les pièces d’un seul puzzle ou si ce sera juste des bribes d’histoires liées à une seule cause. PTSD radio a donc une narration assez étrange, on ne sait pas trop où l’on va. Quant à la partie horreur, on a quelques dessins inquiétants mais pas assez pour nous faire ressentir de l’effroi ni nous dégoûter. Il faudra attendre le 2eme tome pour se faire une opinion plus détaillée. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ptsd-radio-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Sweet home tomes 6 et 7

    Et oui j’ai un peu de retard sur cette série mais comme le tome 9 vient de sortir, il est temps d’aller voir ce qui s’est passé. On avait laissé Hyeon-Su en plein cheminements dans les étages pour aller sauver les deux enfants. Après bien des péripéties (des montres et des combats), le groupe arrive enfin à l’appartement et afin de faciliter les transports, un petit groupe redescend au rez-de-chaussée pour remettre en route les ascenseurs mais une surprise les attend et elle n’est pas bonne. Les jours se suivent et se ressemblent pour les habitants de l’immeuble, la question du ravitaillement commence à se poser, il va falloir sortir de la résidence. Mais l’aventure n’est pas le facteur le plus intéressant du récit et plus j’avance dans la lecture plus je me dis qu’il y a un message de la part de l’auteur. Si on regarde de plus près les raisons qui transforment les humains en monstres et les discours des survivants on ne peut s’empêcher de penser que Sweet Home serait comme une métaphore de la dépression. Ceux qui se transforment se laissent aller aux sentiments qu’ils refoulent depuis longtemps, que ce soit des ambitions ratées, des rancœurs ou des regrets. Il n’y a que des aspects plutôt négatifs. A côté de ça, le discours pour combattre les montres se rapproche d’encouragements et de positivité. Ce n’est que mon analyse mais Sweet Home est plus un thriller psychologique imagé qu’un réel livre d’horreur. La preuve est que Hyeon-Su arrive à contrôler le monstre qui est en lui en faisant sa propre introspection. Et comme le rythme du récit est plutôt lent, cela laisse tout le temps au lecteur d’aller chercher ce 2eme niveau de lecture. Une lecture à suivre.
  12. Titre de l'album : Sweet home tomes 6 et 7 Scenariste de l'album : KIM Carnby Dessinateur de l'album : HWANG Youngchan Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Alors qu'ils progressent dans la cage d'escalier, Hyeon-Su et Sang-Wook tombent à nouveau sur le monstre aux tentacules... Ils essaient de l'abattre, mais leur adversaire mute et devient encore plus dangereux ! Ils sont sauvés in extremis par Yu-Ri et le vieux Gil-Seop, deux résidents qui avaient trouvé refuge au dixième étage et qui décident de les accompagner pour aller chercher Du-Shik. Hélas, sur le chemin qui mène à son appartement, une autre créature fait obstacle : debout, tête contre le mur, elle semble assoupie. Hyeon-Su et Gil-Seop parviennent à passer sans la réveiller. Critique : Et oui j’ai un peu de retard sur cette série mais comme le tome 9 vient de sortir, il est temps d’aller voir ce qui s’est passé. On avait laissé Hyeon-Su en plein cheminements dans les étages pour aller sauver les deux enfants. Après bien des péripéties (des montres et des combats), le groupe arrive enfin à l’appartement et afin de faciliter les transports, un petit groupe redescend au rez-de-chaussée pour remettre en route les ascenseurs mais une surprise les attend et elle n’est pas bonne. Les jours se suivent et se ressemblent pour les habitants de l’immeuble, la question du ravitaillement commence à se poser, il va falloir sortir de la résidence. Mais l’aventure n’est pas le facteur le plus intéressant du récit et plus j’avance dans la lecture plus je me dis qu’il y a un message de la part de l’auteur. Si on regarde de plus près les raisons qui transforment les humains en monstres et les discours des survivants on ne peut s’empêcher de penser que Sweet Home serait comme une métaphore de la dépression. Ceux qui se transforment se laissent aller aux sentiments qu’ils refoulent depuis longtemps, que ce soit des ambitions ratées, des rancœurs ou des regrets. Il n’y a que des aspects plutôt négatifs. A côté de ça, le discours pour combattre les montres se rapproche d’encouragements et de positivité. Ce n’est que mon analyse mais Sweet Home est plus un thriller psychologique imagé qu’un réel livre d’horreur. La preuve est que Hyeon-Su arrive à contrôler le monstre qui est en lui en faisant sa propre introspection. Et comme le rythme du récit est plutôt lent, cela laisse tout le temps au lecteur d’aller chercher ce 2eme niveau de lecture. Une lecture à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Smile tome 1

    Souriez, souriez, souriez et le bonheur sera à votre portée !! Enfin pas pour tout le monde car autour de la secte baptisée « église du sourire éternel » bien des mystères se cachent et bien des disparitions aussi. C’est sur une de leur photo que le journaliste Yûshi Kamome reconnait son épouse, il compte bien s’infiltrer pour la retrouver mais plus il se renseigne et plus les personnes dans son entourage lui disent de s’éloigner de cette église. Arrivera-t-il à faire illusion sans laisser de plumes ? Le personnage de Yûshi est loin d’être charismatique et c’est peut-être là le principal défaut de cette histoire car on n’a pas vraiment envie de l’accompagner dans sa recherche. La secte est elle aussi peu avenante et les dessins de ses membres souriant ou riant aux éclats sont un peu glauques. La raison qui a poussé sa femme a intégré l’église du sourire éternel est parfaitement justifiée et ne représente pas une attente scénaristique. Tout ça pour dire que les différents éléments composant cette histoire n’incitent pas vraiment à se plonger dans la lecture. Enfin au début. Car peu à peu, ce qui pourrait apparaitre comme un banal fait divers se corse, la présence de la secte se fait plus dangereuse, plus énigmatique, la tension monte et le thriller se met en place. En même temps, l’auteur nous montre tous les dangers d’un endoctrinement, les lavages de cerveaux, l’influence de la communauté et l’emprise psychologique qui en résulte. On a à la fois une enquête policière et une étude sociétale qui deviennent de plus en plus intéressantes au fil des pages. Et puis il y a un chapitre final surprenant qui nous laisse perplexe, assez pour avoir envie de lire le prochain tome.
  14. Nickad

    Smile tome 1

    Titre de l'album : Smile tome 1 Scenariste de l'album : MITEI Hattori Dessinateur de l'album : MITEI Hattori Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Yûshi Kamome, un journaliste free-lance fauché, peine à retrouver du sens à sa vie depuis le départ de son épouse, Megumi. Mais la visite de deux femmes venues prêcher pour une certaine « Église du Sourire Éternel » va changer le cours de son existence. D'abord réticent à les écouter, un détail finit par l'interpeller : sur la brochure, il aperçoit son ex-femme, pourtant portée disparue...Yûshi se retrouve plongé dans une quête de plus en plus angoissante, alors que des cadavres sont retrouvés le visage mutilé, entièrement nus... Critique : Souriez, souriez, souriez et le bonheur sera à votre portée !! Enfin pas pour tout le monde car autour de la secte baptisée « église du sourire éternel » bien des mystères se cachent et bien des disparitions aussi. C’est sur une de leur photo que le journaliste Yûshi Kamome reconnait son épouse, il compte bien s’infiltrer pour la retrouver mais plus il se renseigne et plus les personnes dans son entourage lui disent de s’éloigner de cette église. Arrivera-t-il à faire illusion sans laisser de plumes ? Le personnage de Yûshi est loin d’être charismatique et c’est peut-être là le principal défaut de cette histoire car on n’a pas vraiment envie de l’accompagner dans sa recherche. La secte est elle aussi peu avenante et les dessins de ses membres souriant ou riant aux éclats sont un peu glauques. La raison qui a poussé sa femme a intégré l’église du sourire éternel est parfaitement justifiée et ne représente pas une attente scénaristique. Tout ça pour dire que les différents éléments composant cette histoire n’incitent pas vraiment à se plonger dans la lecture. Enfin au début. Car peu à peu, ce qui pourrait apparaitre comme un banal fait divers se corse, la présence de la secte se fait plus dangereuse, plus énigmatique, la tension monte et le thriller se met en place. En même temps, l’auteur nous montre tous les dangers d’un endoctrinement, les lavages de cerveaux, l’influence de la communauté et l’emprise psychologique qui en résulte. On a à la fois une enquête policière et une étude sociétale qui deviennent de plus en plus intéressantes au fil des pages. Et puis il y a un chapitre final surprenant qui nous laisse perplexe, assez pour avoir envie de lire le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/smile-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Green Class - Tome 5 - Dernier Sacrifice Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : L'heure est grave : les Shoggoths viennent d'activer la quatrième stèle des grands anciens. Et s'ils parviennent à la cinquième et dernière, c'en est fini de l'humanité. Un futur que Naïa est prête à tout pour éviter. Pour empêcher que d'autres souffrent comme son frère Noah. Pour sauver ce qui reste. Mais tout le monde ne l'entend pas de la même oreille : être humain n'est-il pas un pêché en soi ? Beth, pour sa part, est prête à payer la rédemption au prix fort... Fût-ce ses amis d'hier. Critique : Commençons à parler de ce dernier tome de green class en saluant le job de l'éditeur : 72 pages de super qualité, une série un peu jeunesse mais moderne et intéressante pour adultes terminée en 5 tomes, des couv sublimes à la vue et au touché, et un dessin hyper dynamique, le tout pour moins de 15€, bah je dis chapeau bas. Le scénario est toujours aussi original, même si là forcément on est sur sa conclusion et que les nouveautés sont forcément moins marquantes. Je suis toujours stupéfait par le chemin pris par cette bd après un premier tome original mais classique dans son déroulement, et le coup de pelle dans la gueule du lecteur avec les sauts narratifs du second tome qui m'ont bien perdu à l'époque. Aujourd'hui encore, il faut que je relise une nouvelle fois l'ensemble pour mieux saisir les pièces du puzzle qui s'est dessiné dans les deux derniers tomes. Rayon critique je note juste l'évolution très très (trop?) rapide de nos héros en pro de la survie là où des escouades de forces spéciales se font décimer comme des idiots. C'est un peu facile, m'enfin, je pinaille. Côté dessin, si les fonds des cases sont souvent un peu trop nues pour que l'on s'extasie dessus, du côté du mouvement, de la mise en scène et du dynamisme du bazar, on touche à ce qui se fait de mieux dans le genre, reprenant donc au passage quelques codes du manga et comics qui amènent beaucoup de fluidité à l'ensemble. David Tako gère aussi à merveille ses visages et ses personnages, qui ont le mérite de se distinguer en terme de look et de personnalités de ce qu'on a déjà lu cent fois. Et puis cette couv' texturée.... Miam. bref si vous ne connaissez pas Green class, lancez vous. En dehors d'un tome 2 qui va vous laissé un peu dubitatif niveau scénario, la suite confirmera que c'est du tout bon, et finie en 5 tomes. bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-5-dernier-sacrifice/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Survival - Tome 1 - Warm Springs Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Valerio Giangiordano Coloriste : Stefania Aquaro Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Des alpinistes chevronnés partent à l'assaut du Mont Jefferson, en Oregon. Ils vont croiser la route d'inquiétants chasseurs lourdement armés auxquels ils apprennent qu'ils ne feront que traverser la réserve indienne de Warm Springs. Mais un évènement tragique survient et une traque sanglante s'engage bientôt sur les hauts sommets... Critique : Nouvelle série de one shot concept aux éditions Soleil, Survival va nous présenter sur chaque tome un scénario complet différent ayant pour point commun de nous présenter une histoire de survie. Ce premier tome démarre avec une expédition de montagnards qui au détour d'un drame malheureux va se retrouver pris en chasse par un autre groupe. Survie donc, et jeu de massacre sans pitié vont alterner entre les pages pour nous mener à une conclusion surprenante et haletante. Il y a un peu de "Duel" et de "Clifhanger" dans ce final sur les étendues de haute montagne présenté ici. Malheureusement les motivations des différents protagonistes sont un peu légères, et les 56 pages passent un peu trop vite, sans vraiment nous marquer à l'exception des scènes de morts. Le dessin de Valerio Giangiordano est très bon pour tout ce qui touche aux mises en scènes et aux paysages, mais de mon goût, il pêche un peu sur les visages, trop lisses à mon goût. Survival est une bonne nouvelle série de bd pour les adeptes de Survival justement et de jeux de massacre en conditions extrêmes ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/survival-warm-springs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Commençons à parler de ce dernier tome de green class en saluant le job de l'éditeur : 72 pages de super qualité, une série un peu jeunesse mais moderne et intéressante pour adultes terminée en 5 tomes, des couv sublimes à la vue et au touché, et un dessin hyper dynamique, le tout pour moins de 15€, bah je dis chapeau bas. Le scénario est toujours aussi original, même si là forcément on est sur sa conclusion et que les nouveautés sont forcément moins marquantes. Je suis toujours stupéfait par le chemin pris par cette bd après un premier tome original mais classique dans son déroulement, et le coup de pelle dans la gueule du lecteur avec les sauts narratifs du second tome qui m'ont bien perdu à l'époque. Aujourd'hui encore, il faut que je relise une nouvelle fois l'ensemble pour mieux saisir les pièces du puzzle qui s'est dessiné dans les deux derniers tomes. Rayon critique je note juste l'évolution très très (trop?) rapide de nos héros en pro de la survie là où des escouades de forces spéciales se font décimer comme des idiots. C'est un peu facile, m'enfin, je pinaille. Côté dessin, si les fonds des cases sont souvent un peu trop nues pour que l'on s'extasie dessus, du côté du mouvement, de la mise en scène et du dynamisme du bazar, on touche à ce qui se fait de mieux dans le genre, reprenant donc au passage quelques codes du manga et comics qui amènent beaucoup de fluidité à l'ensemble. David Tako gère aussi à merveille ses visages et ses personnages, qui ont le mérite de se distinguer en terme de look et de personnalités de ce qu'on a déjà lu cent fois. Et puis cette couv' texturée.... Miam. bref si vous ne connaissez pas Green class, lancez vous. En dehors d'un tome 2 qui va vous laissé un peu dubitatif niveau scénario, la suite confirmera que c'est du tout bon, et finie en 5 tomes. bravo.
  18. The_PoP

    Survival - Tome 1 - Warm Springs

    Nouvelle série de one shot concept aux éditions Soleil, Survival va nous présenter sur chaque tome un scénario complet différent ayant pour point commun de nous présenter une histoire de survie. Ce premier tome démarre avec une expédition de montagnards qui au détour d'un drame malheureux va se retrouver pris en chasse par un autre groupe. Survie donc, et jeu de massacre sans pitié vont alterner entre les pages pour nous mener à une conclusion surprenante et haletante. Il y a un peu de "Duel" et de "Clifhanger" dans ce final sur les étendues de haute montagne présenté ici. Malheureusement les motivations des différents protagonistes sont un peu légères, et les 56 pages passent un peu trop vite, sans vraiment nous marquer à l'exception des scènes de morts. Le dessin de Valerio Giangiordano est très bon pour tout ce qui touche aux mises en scènes et aux paysages, mais de mon goût, il pêche un peu sur les visages, trop lisses à mon goût. Survival est une bonne nouvelle série de bd pour les adeptes de Survival justement et de jeux de massacre en conditions extrêmes !
  19. Titre de l'album : Nephilims - Tome 2 - Hurlements Scenariste de l'album : David Dusa & Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Stéphane Créty Coloriste : Elvire De Cock Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au Smithsonian Institute, on n'a plus aucune nouvelle de l'expédition scientifique partie dans les Monts Ozarks, sur les traces d'une race de géants qui aurait existé en Amérique du Nord. Et l'armée a d'autres sudistes à fouetter, car la guerre de sécession fait rage... Seul à présent, Kennicott décide de se rendre sur place pour retrouver ses amis et collègues. Il ignore que ces derniers sont coincés au beau milieu d'une poudrière où les humains se déchirent au gré d'alliances de fortune. Entre régiment Confédéré, troupe afro-américaine nordistes et Amérindiens, la violence fait rage alors que les « grands anciens » entendent bien prendre part au conflit. Critique : Nephilims est une série que j'apprécie pas mal même si j'ai l'impression qu'elle passe relativement inaperçue. C'est dommage car le croisement entre l'univers fantastique à tendance Lovecraftienne et le Western est plus qu'intéressant. Un parfum d'horreur et de violence permanente habite ces pages, et on se rend bien compte que parmis tous les personnages présentés, tous n'arriveront pas au bout du troisième tome. Ce joyeux jeux de massacre où personne ne semble susceptible d'être épargné ou d'être le héros est plutôt rafraichissant, dans un décor et à une période historique habituellement usée jusqu'à la corde par le genre Western. Bon ça finit par ressembler un peu à un joyeux foutoir ou on s'y perd parfois un petit peu, sans la moindre chance d'avoir un temps de repos ou de calme pour développer plus le propos, mais ce n'est pas le sujet ici. Il faut reconnaitre que les jolis dessins aident beaucoup, car oui Stéphane Créty n'en est pas à son coup d'essai sur les bd d'aventures punchy et rythmées dans des univers riches puisqu'il est bien connu des amateurs pour ses incursions dans l'univers des terres d'arran, et plus récemment pour son travail sur Hurlevent. En bref, on ne s'ennuie pas, la colorisation est réussie, l'ambiance aussi, et finalement pour une série en 3 tomes c'est très bien pour les amateurs qui y trouveront largement leur compte. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nephilims-tome-2-hurlements?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Nephilims - Tome 2 - Hurlements

    Nephilims est une série que j'apprécie pas mal même si j'ai l'impression qu'elle passe relativement inaperçue. C'est dommage car le croisement entre l'univers fantastique à tendance Lovecraftienne et le Western est plus qu'intéressant. Un parfum d'horreur et de violence permanente habite ces pages, et on se rend bien compte que parmis tous les personnages présentés, tous n'arriveront pas au bout du troisième tome. Ce joyeux jeux de massacre où personne ne semble susceptible d'être épargné ou d'être le héros est plutôt rafraichissant, dans un décor et à une période historique habituellement usée jusqu'à la corde par le genre Western. Bon ça finit par ressembler un peu à un joyeux foutoir ou on s'y perd parfois un petit peu, sans la moindre chance d'avoir un temps de repos ou de calme pour développer plus le propos, mais ce n'est pas le sujet ici. Il faut reconnaitre que les jolis dessins aident beaucoup, car oui Stéphane Créty n'en est pas à son coup d'essai sur les bd d'aventures punchy et rythmées dans des univers riches puisqu'il est bien connu des amateurs pour ses incursions dans l'univers des terres d'arran, et plus récemment pour son travail sur Hurlevent. En bref, on ne s'ennuie pas, la colorisation est réussie, l'ambiance aussi, et finalement pour une série en 3 tomes c'est très bien pour les amateurs qui y trouveront largement leur compte.
  21. alx23

    La nuit de la goule

    Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale.
  22. alx23

    La nuit de la goule

    Titre de l'album : La nuit de la goule Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Francesco Francavilla Coloriste : Francesco Francavilla Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un passionné enquête sur un ancien studio de cinéma qui aurait brûlé et finit par tomber sur ce projet. Il remonte la piste du réalisateur, qui vit reclus dans une maison de retraite. Selon lui, une goule hanterait son hospice, et la découverte d'une vieille bobine de La Nuit de la Goule risque bien de réveiller la bête, que le film soi-disant disparu avait détruit. Critique : Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-nuit-de-la-goule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Gannibal t12

    Pffff j'en étais sûr... j'ai lutté pour attendre le treizième et dernier tome et lire les deux d'affiler, mais j'ai craqué avant ! Alors forcement et bien... il y a un gout de trop peu dans ce tome 12. Mais au final, on ne s'en sort pas si mal que cela, car notre auteur réussit à nous montrer un dernier twist. Une dernière "surprise" pour enlever tout espoir à ceux qui espérait une rédemption quelconque. Si ce twist là est moins marquant (de mon point de vue) et ne restera pas la grosse affaire de ce Gannibal, il n'est pas moins la rampe finale d'un thriller horrifique qui défie les codes !!
  24. poseidon2

    Gannibal t12

    Titre de l'album : Gannibal t12 Scenariste de l'album : Ninomiya Masaki Dessinateur de l'album : Ninomiya Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Pardonne-moi, Shirogane... Perdus dans les déboires de la dernière fête de l'offrande, les Gotô ont choisi la guerre contre l'état japonais. Face à Mashiro donnée en offrande à Lui , le nouveau chef du clan décide enfin d'agir. Les mots d'amour et de tendresse de son fils forceront la réincarnation du dieu Kuru à décider de son propre sort. Cependant, la folie des Gotô pourrait en cacher une autre, encore bien pire ! Critique : Pffff j'en étais sûr... j'ai lutté pour attendre le treizième et dernier tome et lire les deux d'affiler, mais j'ai craqué avant ! Alors forcement et bien... il y a un gout de trop peu dans ce tome 12. Mais au final, on ne s'en sort pas si mal que cela, car notre auteur réussit à nous montrer un dernier twist. Une dernière "surprise" pour enlever tout espoir à ceux qui espérait une rédemption quelconque. Si ce twist là est moins marquant (de mon point de vue) et ne restera pas la grosse affaire de ce Gannibal, il n'est pas moins la rampe finale d'un thriller horrifique qui défie les codes !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    Hotell Tome 1

    Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant. Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts.
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