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  1. Kevin Nivek

    Chakipu

    C'est une bien curieuse parution dans la catalogue Jungle que ce Chakipu ! Dans un style graphique mâtiné de South park, les auteurs nous exposent sous forme de scénettes la relation ambigüe entre un ado et son chat. Le "je t'aime moi non plus" se dévoile au fil des pages avec des manigances bien souvent ridicules mais porteuses d'un message éducatif. En alternant pages BD et d'autres plus littéraires avec des petits textes explicatifs sur les intentions de Chakipu, la scénariste Sophie Souid donne de la cohérence et une fluidité dans les rapports qu'entretiennent Sylvère et son chat patibulaire mais presque ! Elle fait évoluer leurs liens selon les aléas de la vie. Ainsi, notre adolescent Sylvère se met à fréquenter une jolie fille nommée Petra, rendant Chakipu fou de jalousie car l'attention de son maître s'en trouve déportée. Il va mettre au point une série de subterfuges loufoques, aidé d'un bande de pieds nickelés à 4 pattes, pour mettre à mal cette idylle naissante. Les situations rocambolesques s'enchainent sous le trait simple et rond de Thomas Hjorthaab, illustrateur de livres pour enfants et travaillant dans l'animation. Cela se sent à travers son découpage très "dessin animé" et une expressivité des visages confondante ! Un bel exemple d'humour noir au second degré d'un chat bien décidé à utiliser ses 9 vies pour parvenir à ses fins !
  2. Kevin Nivek

    Chakipu

    Titre de l'album : Chakipu Scenariste de l'album : Sophie Souid Dessinateur de l'album : Thomas Hjorthaab Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : On a toujours besoin d'un coupable. Et quand on n'a pas de frère et soeur, le chat est la cible idéale ! En effet, il ne peut pas rapporter ou se venger... Le jeune Sylvère l'a bien compris, et son Chakipu en fait les frais. Lassé d'être le bouc émissaire, Chakipu décide de prendre les choses en main. Il rassemble les habitants à quatre pattes du quartier, ainsi qu'une souris morte, et tente de se venger de son maître... avec des résultats plus comiques que dramatiques. La vengeance n'est pas chose facile, surtout que Chakipu aime secrètement Sylvère. Ou du moins, il adore le détester. Critique : C'est une bien curieuse parution dans la catalogue Jungle que ce Chakipu ! Dans un style graphique mâtiné de South park, les auteurs nous exposent sous forme de scénettes la relation ambigüe entre un ado et son chat. Le "je t'aime moi non plus" se dévoile au fil des pages avec des manigances bien souvent ridicules mais porteuses d'un message éducatif. En alternant pages BD et d'autres plus littéraires avec des petits textes explicatifs sur les intentions de Chakipu, la scénariste Sophie Souid donne de la cohérence et une fluidité dans les rapports qu'entretiennent Sylvère et son chat patibulaire mais presque ! Elle fait évoluer leurs liens selon les aléas de la vie. Ainsi, notre adolescent Sylvère se met à fréquenter une jolie fille nommée Petra, rendant Chakipu fou de jalousie car l'attention de son maître s'en trouve déportée. Il va mettre au point une série de subterfuges loufoques, aidé d'un bande de pieds nickelés à 4 pattes, pour mettre à mal cette idylle naissante. Les situations rocambolesques s'enchainent sous le trait simple et rond de Thomas Hjorthaab, illustrateur de livres pour enfants et travaillant dans l'animation. Cela se sent à travers son découpage très "dessin animé" et une expressivité des visages confondante ! Un bel exemple d'humour noir au second degré d'un chat bien décidé à utiliser ses 9 vies pour parvenir à ses fins ! Autres infos : Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chakipu-9782822244800/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Nonolulu tome 1 - L'île super perdue Scenariste de l'album : Paule BATTAULT Dessinateur de l'album : Loïc MEHEE Coloriste : Loïc MEHEE Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Après le naufrage de leur bateau, Nonolulu et ses amis ont trouvé refuge sur une île paradisiaque et complètement déserte. Leurs parents leur envoient régulièrement des bouteilles avec des messages : ils arrivent les chercher, qu’ils ne fassent pas de bêtises en attendant ! C’est mal connaître Nonolulu qui, bien trop contente d’avoir une nouvelle vie sans parents, compte bien profiter des plaisirs de cette île fabuleuse, en entraînant ses copains dans toutes ses idées farfelues. Au programme : manger des kilos de bananes bien sucrées, faire une collection de coquillages bizarres et percer le mystère de la grotte qui parle. Critique : Nonolulu c’est un peu Robinson Crusoé version enfant et avec plus d’humour ou plutôt Deux ans de vacances, une aventure sur une ile perdue où des enfants se retrouvent seuls sans les parents. Il ne faut surtout pas chercher la vraisemblance de l’histoire surtout quand on voit un enfant bâtir une cabane en bois ou quand la communication avec les parents se déroulent via des bouteilles jetées à la mer ! Il faut aborder ce livre avec ses yeux d’enfants comme lorsque l’on joue aux super héros, aux pirates, à l’aventurier. C’est vraiment dans cet état d’esprit que les auteurs ont créé cette histoire, un divertissement avant tout ! La construction du livre est assez simple : on a le contexte général, celui d’enfants échoués sur une île déserte où ils doivent se débrouiller pour survivre. Et puis, il y a les saynètes, les petites anecdotes de leur quotidien : des petites histoires allant de 1 à 3 pages ayant chacune une chute humoristique. Si le livre est évidemment fait pour les enfants en mettant en avant leurs préoccupations et leur niveau culturel, il n’est pas déplaisant pour les adultes et il est souvent amusant. Ils n’apprécieront peut-être pas toutes les histoires mais le livre ne leur ai pas vraiment destiné ! Quant à Nonolulu, c’est la petite rebelle du groupe, celle qui n’en fait qu’à sa tête, qui n’est pas vraiment fiable et à travers laquelle on peut imaginer toutes les bêtises. Ainsi, elle ne mangera que des bananes, se fera passer pour un requin, adoptera un putois et surtout aura toujours le bon mot pour plaisanter et faire rire son auditoire. Au final, on a une sympathique BD jeunesse plaine d’aventures qui plaira assurément aux enfants. Autres infos : Editions AUZOU Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nonolulu c’est un peu Robinson Crusoé version enfant et avec plus d’humour ou plutôt Deux ans de vacances, une aventure sur une ile perdue où des enfants se retrouvent seuls sans les parents. Il ne faut surtout pas chercher la vraisemblance de l’histoire surtout quand on voit un enfant bâtir une cabane en bois ou quand la communication avec les parents se déroulent via des bouteilles jetées à la mer ! Il faut aborder ce livre avec ses yeux d’enfants comme lorsque l’on joue aux super héros, aux pirates, à l’aventurier. C’est vraiment dans cet état d’esprit que les auteurs ont créé cette histoire, un divertissement avant tout ! La construction du livre est assez simple : on a le contexte général, celui d’enfants échoués sur une île déserte où ils doivent se débrouiller pour survivre. Et puis, il y a les saynètes, les petites anecdotes de leur quotidien : des petites histoires allant de 1 à 3 pages ayant chacune une chute humoristique. Si le livre est évidemment fait pour les enfants en mettant en avant leurs préoccupations et leur niveau culturel, il n’est pas déplaisant pour les adultes et il est souvent amusant. Ils n’apprécieront peut-être pas toutes les histoires mais le livre ne leur ai pas vraiment destiné ! Quant à Nonolulu, c’est la petite rebelle du groupe, celle qui n’en fait qu’à sa tête, qui n’est pas vraiment fiable et à travers laquelle on peut imaginer toutes les bêtises. Ainsi, elle ne mangera que des bananes, se fera passer pour un requin, adoptera un putois et surtout aura toujours le bon mot pour plaisanter et faire rire son auditoire. Au final, on a une sympathique BD jeunesse plaine d’aventures qui plaira assurément aux enfants.
  5. poseidon2

    Moi je, quarantaine

    Aude Picault nous revient avec un album sur son passage à la quarantaine. Quarantaine qui veut que l'on essaye encore de tout faire partout sans vraiment prendre son temps. Elle nous décrit son quotidien de maman surbookée. Maman qui essaye toujours de tout gérer et qui finit au bord du burn out. Si le point de vue très féminin de l'album pourrait rebuter certaines personnes, j'ai trouvé, personnellement, cela facilement transposable. Je me suis retrouvé dans cette vie pleine d'engagement que ce soit vis-à-vis des enfants, des activités extra travail ou du travail lui-même. Je suis juste content d'avoir des enfants plus jeune et donc de plus profiter de cette période avec des échanges plus constructifs avec mes grands enfants 🙂 Une vie à 200 à l'heure dont on ne profite pas vraiment si on ne prend pas le temps de lever le pied. Graphiquement, on est dans du pur Aude Picault : des strips très expressif pour une artiste qui se met à nu.
  6. Titre de l'album : Moi je, quarantaine Scenariste de l'album : Aude Picault Dessinateur de l'album : Aude Picault Coloriste : Aude Picault Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Vivre la quarantaine pour Aude Picault, c'est se rebeller contre l'inexorable routine quotidienne, l'usure du couple, les inévitables contraintes familiales et donc professionnelles, sans compter l'éco-politico-anxiété galopante... Mais la quarantaine, c'est aussi cet âge où l'on apprend à s'accepter tel que l'on est et à trouver son chemin ! Critique : Aude Picault nous revient avec un album sur son passage à la quarantaine. Quarantaine qui veut que l'on essaye encore de tout faire partout sans vraiment prendre son temps. Elle nous décrit son quotidien de maman surbookée. Maman qui essaye toujours de tout gérer et qui finit au bord du burn out. Si le point de vue très féminin de l'album pourrait rebuter certaines personnes, j'ai trouvé, personnellement, cela facilement transposable. Je me suis retrouvé dans cette vie pleine d'engagement que ce soit vis-à-vis des enfants, des activités extra travail ou du travail lui-même. Je suis juste content d'avoir des enfants plus jeune et donc de plus profiter de cette période avec des échanges plus constructifs avec mes grands enfants 🙂 Une vie à 200 à l'heure dont on ne profite pas vraiment si on ne prend pas le temps de lever le pied. Graphiquement, on est dans du pur Aude Picault : des strips très expressif pour une artiste qui se met à nu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-je-quarantaine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Les fesses à Bardot Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Gael Séjourné Coloriste : Gael Séjourné Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une photo censurée et un village en émoi. Trougnac est un petit village paisible rythmé par les conversations au Café des Sports, les messes dominicales et les séances de cinéma à l'Eden, juste à côté de l'église. Rien d'extraordinaire ne s'y produit jamais. Jusqu'au jour où un inconnu, Conrad Knapp, s'y arrête. L'homme est un repéreur de décors chargé de trouver le village qui servira de cadre au prochain film de Brigitte Bardot et de Jean Gabin. Et pour preuve, il a en sa possession une photo de la scène censurée du film d'Autant-Lara, En cas de malheur, où la célèbre actrice montre ses fesses. Les habitants vont alors l'héberger, le nourrir, le choyer et tout mettre en oeuvre pour le convaincre de choisir leur village. Critique : Ah que j'aime cette atmosphère, de campagne, de Gabin, Fernandel et Bardot, de petits escrocs, de jolis dialogues et quelques oeillades un brin polissonnes. C'est un bel hommage à ce cinéma qui m'a beaucoup fait rêver grâce à mon papa. Forcément le lecteur de bd franco belge moyen n'étant plus tout jeune, je ne suis pas le seul à qui cela va parler... Alors attention ce n'est pas au niveau de truculence des vieux fourneaux hein, mais entre le dessin plutôt léché de Gael Séjourné, les références aux classiques du cinéma français et le côté franchouillard plaisant, on passe un vrai bon moment. Bon le héros reste un peu fade à mon goût mais qu'importe, les seconds rôles relève le niveau sans soucis. A lire si vous avez envie d'un brin de nostalgie, de quelques rires, et de nappes à carreaux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-fesses-a-bardot/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Les fesses à Bardot

    Ah que j'aime cette atmosphère, de campagne, de Gabin, Fernandel et Bardot, de petits escrocs, de jolis dialogues et quelques oeillades un brin polissonnes. C'est un bel hommage à ce cinéma qui m'a beaucoup fait rêver grâce à mon papa. Forcément le lecteur de bd franco belge moyen n'étant plus tout jeune, je ne suis pas le seul à qui cela va parler... Alors attention ce n'est pas au niveau de truculence des vieux fourneaux hein, mais entre le dessin plutôt léché de Gael Séjourné, les références aux classiques du cinéma français et le côté franchouillard plaisant, on passe un vrai bon moment. Bon le héros reste un peu fade à mon goût mais qu'importe, les seconds rôles relève le niveau sans soucis. A lire si vous avez envie d'un brin de nostalgie, de quelques rires, et de nappes à carreaux.
  9. Résumé : Very Bad Ping - Premier set est la première BD humoristique autour de la petite balle blanche de ping-pong. Elle conte les histoires, sous forme de gags, de 4 potes qui jouent en Départementale 4 au club du Villemoizy Tennis de Table et qui essaient tant bien que mal de ne pas descendre en Départementale 5... Le style est franco-belge, avec 1 gag = 1 planche. Des coups bas, des jurons volent autant que les raquettes : bienvenue dans les arcanes du ping-pong amateur ! 👉 www.verybadping.com 👉 www.facebook.com/VeryBadPing 👉 www.instagram.com/verybadping Dossier de presse.pdf
  10. Titre de l'album : Les vieux fourneaux tome 8 - Graines de voyous Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Paul Cauuet Coloriste : Paul Cauuet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : C'est l'été, Montcoeur est sec comme un 49,3. La canicule est telle qu'on voit même le fond de l'étang la Gibelette ! Du jamais-vu. Pourtant, ce n'est pas la météo qui va empêcher Sophie d'organiser une fête pour les 60 ans du « Loup en slip ». L'occasion de se replonger dans les souvenirs et de dépoussiérer quelques vieilles photos. Le loup en Slip, dans le coin, c'est pas rien. Naturellement, Pierrot fait le déplacement, mais voilà, est-ce la chaleur ? Il semblerait que le vieil anar se tape une crise de foi en arrivant au bled. Fraichement descendu du bus, les radicalisés du bar La Chope le retrouvent à l'église à se poncer les rotules sous la croix. Pour le groupe, ça ne fait aucun doute: Pierrot est à deux doigts de caner. Pendant ce temps, dans la plantation de pommes, un octogénaire se lance dans le MMA. On se met à craindre le pire, et on a bien raison. Critique : Ah enfin ! Enfin un retour aux sources des Vieux fourneaux. En effet tous les tomes qui se focalisaient sur "Ni yeux ni maitre" ou tombait dans la caricature trop ridicule de nos petits vieux m'avaient lassé. Et bien celui-ci revient à ce qui m'avait vraiment plu dans les premiers : un coté nostalgique et très humains d'une bande de copains qui font des conneries, sans aller jusqu'aux revendications militantes. Ici on a le droit aux conneries d'une bande de potes... enfin de leurs conneries de jeunes ! Entre nostalgie et amitiés, ce tome nous rappel que les vieux fourneaux n'ont pas bâti leur succès uniquement sur les loufoqueries de Pierrot mais aussi (et surtout d'après moi) sur la camaraderie et l'esprit d'équipe de nos anciens. Une remise en avant de belles valeurs salutaire pour une série qui commençait à tomber dans la redite Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-vieux-fourneaux-tome-8-graines-de-voyous?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Ah enfin ! Enfin un retour aux sources des Vieux fourneaux. En effet tous les tomes qui se focalisaient sur "Ni yeux ni maitre" ou tombait dans la caricature trop ridicule de nos petits vieux m'avaient lassé. Et bien celui-ci revient à ce qui m'avait vraiment plu dans les premiers : un coté nostalgique et très humains d'une bande de copains qui font des conneries, sans aller jusqu'aux revendications militantes. Ici on a le droit aux conneries d'une bande de potes... enfin de leurs conneries de jeunes ! Entre nostalgie et amitiés, ce tome nous rappel que les vieux fourneaux n'ont pas bâti leur succès uniquement sur les loufoqueries de Pierrot mais aussi (et surtout d'après moi) sur la camaraderie et l'esprit d'équipe de nos anciens. Une remise en avant de belles valeurs salutaire pour une série qui commençait à tomber dans la redite
  12. poseidon2

    Myrtis t3 (fin)

    Je fais partis de gens qui avaient été un peu sceptiques lors de la lecture du premier tome de Myrtis. Je fais maintenant partie des gens qui se rendent compte qu'ils ont eu tort ! Ce tome trois est super savoureux et clôture exactement comme il faut cette minisérie : énormément d'humour avec des gaffes dignes de Gaston, le caractère de Myrtis qui est toujours aussi "naturel" et un empilement de "what the fuck" surprise rendant le tout vraiment très drôle. Elsa Brants réussi même à rendre Myrtis vraiment émouvante, entre deux scènes loufoques. Le petit plus qui augmente l'intérêt global de cette minisérie et fait de cette trilogie un cadeau de Noël parfait pour les fans d'histoire rigolote !
  13. poseidon2

    Myrtis t3 (fin)

    Titre de l'album : Myrtis t3 (fin) Scenariste de l'album : Elsa Brants Dessinateur de l'album : Elsa Brants Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Myrtis, Belle jeune fille, princesse pourrie gâtée, capricieuse, autoritaire, impulsive, et égocentrique refuse de quitter son rôle d’enfant gâtée pour devenir une épouse dévouée. Elle préfère renoncer à ses privilèges et fuir son futur mari pour rester libre. Critique : Je fais partis de gens qui avaient été un peu sceptiques lors de la lecture du premier tome de Myrtis. Je fais maintenant partie des gens qui se rendent compte qu'ils ont eu tort ! Ce tome trois est super savoureux et clôture exactement comme il faut cette minisérie : énormément d'humour avec des gaffes dignes de Gaston, le caractère de Myrtis qui est toujours aussi "naturel" et un empilement de "what the fuck" surprise rendant le tout vraiment très drôle. Elsa Brants réussi même à rendre Myrtis vraiment émouvante, entre deux scènes loufoques. Le petit plus qui augmente l'intérêt global de cette minisérie et fait de cette trilogie un cadeau de Noël parfait pour les fans d'histoire rigolote ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/myrtis-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Stranger trucs Scenariste de l'album : Antoine Piers Dessinateur de l'album : Anthony Mondolini Coloriste : Novy Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : L’univers de Stranger Things parodié en BD Awkwards, Indiana. Sa mairie. Son marché. Son lycée technique. Sa faille interdimensionnelle conçue dans un laboratoire secret. Sa piscine olympique… Critique : Au tour de la série phare Netflix de subir la vision parodique de l'éditeur jungle, voici donc Stranger trucs ! Je dois bien avouer que l'exercice peine à me convaincre sur cette libre adaptation ! Autant je m'étais marré sur Spiderlouze, Star-naze et Bat-mad, ici j'ai bien eu du mal à esquisser un sourire. Certains gags me sont même restés incompris, faute de références j'imagine. Pourtant j'ai vu cette série, excellente au demeurant, mais je l'ai vue en anglais ! Ce serait peut-être la source d'incompréhension sur certains passages avec des jets d'humour sur le doublage réalisé en français de la saga ? Certes les dessins sont de bonne facture, dans la lignée des autres parutions de ce registre, avec de jolies couleurs, mais le contenu m'a semblé trop juste avec des chutes soit incomprises, soit "faiblardes" 😞 . Navré pour Antoine Piers qui avait réalisé un travail plus convainquant sur La terre du milieu mais un peu sur la gauche; je crains que cet opus ne finisse vite aux oubliettes. A voir s'il trouve un autre public, ceci dit ma fille de 17 ans qui a vu et revu la saga en vost aussi, n'a pas ressenti une grande vague de rires la traverser lors de sa lecture 😞 . Amateurs de la série, essayez, tentez le coup, mais si vous êtes fan de culture pop et de parodies, jetez un oeil aux autres sorties du catalogue Jungle qui sont plus équilibrées et sonnent juste en humour 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stranger-trucs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Kevin Nivek

    Stranger trucs

    Au tour de la série phare Netflix de subir la vision parodique de l'éditeur jungle, voici donc Stranger trucs ! Je dois bien avouer que l'exercice peine à me convaincre sur cette libre adaptation ! Autant je m'étais marré sur Spiderlouze, Star-naze et Bat-mad, ici j'ai bien eu du mal à esquisser un sourire. Certains gags me sont même restés incompris, faute de références j'imagine. Pourtant j'ai vu cette série, excellente au demeurant, mais je l'ai vue en anglais ! Ce serait peut-être la source d'incompréhension sur certains passages avec des jets d'humour sur le doublage réalisé en français de la saga ? Certes les dessins sont de bonne facture, dans la lignée des autres parutions de ce registre, avec de jolies couleurs, mais le contenu m'a semblé trop juste avec des chutes soit incomprises, soit "faiblardes" 😞 . Navré pour Antoine Piers qui avait réalisé un travail plus convainquant sur La terre du milieu mais un peu sur la gauche; je crains que cet opus ne finisse vite aux oubliettes. A voir s'il trouve un autre public, ceci dit ma fille de 17 ans qui a vu et revu la saga en vost aussi, n'a pas ressenti une grande vague de rires la traverser lors de sa lecture 😞 . Amateurs de la série, essayez, tentez le coup, mais si vous êtes fan de culture pop et de parodies, jetez un oeil aux autres sorties du catalogue Jungle qui sont plus équilibrées et sonnent juste en humour 😉 .
  16. Kevin Nivek

    Bat mad

    Titre de l'album : Bat mad Scenariste de l'album : Lapuss' , Synne Dessinateur de l'album : Liroy Coloriste : Liroy Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : La parodie hilarante et irrévérencieuse du chevalier noir Je suis la nuit. Je suis les ténèbres. Je suis la justice qui se cache dans l'ombre de l'obscurité de la nuit noire, là où la visibilité est presque nulle en raison d'un manque flagrand de sources lumineuses... Je suis Batmâle. Critique : La collection fort sympathique des parodies de grandes sagas ou héros version "Jungle" s'enrichit d'une nouvelle victime en la personne du chevalier noir lui même : Batman, ou plutôt Batmâle ^^. Dans ce format strips en couverture souple, vous vous poilerez des (més)aventures du héros dans sa ville de Krotham. Oui, comme dans toute parodie, les noms sont modifiés pour notre plus grand plaisir 🙂 Le commissaire Gordon devient Guinness, Catwoman : Catmeuf, Robin : Ropine... Une succession de sobriquets loufoques et amusants ! Les sketchs sont bien trouvés et alternent nouveautés et références aux comics/films/dessins-animés pour les plus initiés du héros encapé. Mais rassurez-vous, même sans avoir la réf vous sourirez en lisant ces situations ubuesques et réellement drôles. Les dessins en mode cartoon sont idéalement réalisés pour le propos. Des éléments corporels légèrement disproportionnés, des arrières-plans au service du gag, des cases simples d'autres ne s'épargnant aucun détails, bref c'est une panoplie complète du dessinateur Liroy délaissant Esope le loup ( éditeur Les 3 AS) pour le justicier masqué. J'oubliais, pensez durant la lecture à bien regarder le "bat-signal" , il pourrait bien vous réserver des surprises 😉 . Un des meilleurs opus de cette collection qui rejoint Star-naze et Galère of thrones, entre autres 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bat-mad/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Kevin Nivek

    Bat mad

    La collection fort sympathique des parodies de grandes sagas ou héros version "Jungle" s'enrichit d'une nouvelle victime en la personne du chevalier noir lui même : Batman, ou plutôt Batmâle ^^. Dans ce format strips en couverture souple, vous vous poilerez des (més)aventures du héros dans sa ville de Krotham. Oui, comme dans toute parodie, les noms sont modifiés pour notre plus grand plaisir 🙂 Le commissaire Gordon devient Guinness, Catwoman : Catmeuf, Robin : Ropine... Une succession de sobriquets loufoques et amusants ! Les sketchs sont bien trouvés et alternent nouveautés et références aux comics/films/dessins-animés pour les plus initiés du héros encapé. Mais rassurez-vous, même sans avoir la réf vous sourirez en lisant ces situations ubuesques et réellement drôles. Les dessins en mode cartoon sont idéalement réalisés pour le propos. Des éléments corporels légèrement disproportionnés, des arrières-plans au service du gag, des cases simples d'autres ne s'épargnant aucun détails, bref c'est une panoplie complète du dessinateur Liroy délaissant Esope le loup ( éditeur Les 3 AS) pour le justicier masqué. J'oubliais, pensez durant la lecture à bien regarder le "bat-signal" , il pourrait bien vous réserver des surprises 😉 . Un des meilleurs opus de cette collection qui rejoint Star-naze et Galère of thrones, entre autres 🙂
  18. poseidon2

    Dad tome 11 - Flashbacks

    En voila une idée qu'elle est bonne ! Quand on commence à avoir fait le tour des blagues familiales, qui obligent à garder les enfants "jeunes" car à la maison, pourquoi ne pas se retourner sur les épisodes que nous ne connaissons pas du passé de notre famille ? C'est ca la bonne idée ! Et c'est bien foutu. Un petit trop centré sur Panda à mon gout (ou il aurait fallut 3 tomes) mais très rigolo. La petite Panda est magique et Ondine très rigolote. Roxane entre peu en compte (quand je vous disais qu'il manquait un tome) et bébérenice nous dévoile.... ses origines ! On rigole bien tout au long d'un album qui nous surprend dans une série que l'on pensait ne plus pouvoir le faire.
  19. Titre de l'album : Dad tome 11 - Flashbacks Scenariste de l'album : Nob Dessinateur de l'album : Nob Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Les souvenirs, c'est souvent ce que l'on a de plus précieux... Ce qui n'empêche pas de les partager ! La preuve par cinq, avec Dad et ses quatre filles, qui dans le tome 11 de leurs aventures vous offrent d'irrésistibles instantanés de leurs jeunes années. Retrouvez donc Dad jeune père, accompagné de Panda, Ondine, Roxane et Bébérénice d'abord toutes bébés, avant que les années ne les emmènent jusqu'à l'âge où vous les aviez découvertes dans le tome 1 ! Au programme, comme toujours : amour et humour. Mais surtout énormément d'émotion en découvrant les premières années de cette famille qui, l'air de rien, est un peu devenue la nôtre. D'ailleurs, après ce tome 11, vous n'aurez plus qu'une envie : revisiter vos souvenirs de lecture en reprenant toute la série ! Critique : En voila une idée qu'elle est bonne ! Quand on commence à avoir fait le tour des blagues familiales, qui obligent à garder les enfants "jeunes" car à la maison, pourquoi ne pas se retourner sur les épisodes que nous ne connaissons pas du passé de notre famille ? C'est ca la bonne idée ! Et c'est bien foutu. Un petit trop centré sur Panda à mon gout (ou il aurait fallut 3 tomes) mais très rigolo. La petite Panda est magique et Ondine très rigolote. Roxane entre peu en compte (quand je vous disais qu'il manquait un tome) et bébérenice nous dévoile.... ses origines ! On rigole bien tout au long d'un album qui nous surprend dans une série que l'on pensait ne plus pouvoir le faire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dad-tome-11-flashbacks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Magical quadra tomes 1 & 2

    Je ne suis pas une grande amatrice des magical girls, j’ai sans doute passer l’âge… Pourtant j’ai été agréablement surprise par ce manga ! Il faut dire que même s’il y a des midinettes se battant naïvement contre des sorcières, elles ne sont pas au centre du récit. Car voilà, si la magical girl bat le grand méchant (ou plutôt la grande méchante ici), elle ne se préoccupe pas trop des conséquences. La sorcière a souvent des sbires ou des familiers puissants et il faut faire le ménage. C’est là qu’interviennent l’équipe des magical quadra : des magiciens méconnus du grand public qui ont parfois de pouvoirs plus importants que ceux de la magical girl ! Et parmi eux, il y a monsieur Tanaka avec ses allures d’employé de bureau bedonnant. Le ton est donné : Magical quadra parodie le genre mais de façon intelligente. Il n’y a pas des enchaînements de gags parfois lourds mais un véritable scénario avec des superhéros qui œuvrent dans l’ombre. En même temps, la magical girl est remise à sa place en la reléguant au rang de jolie vitrine. Il y a cependant une question qui demeure : lorsque M Tanaka utilise sa baguette pour se transformer, il apparaît comme une jeune magical girl, aurait-il fallu garder son apparence d’employé de bureau avec une jupette et un nœud dans les cheveux ??? Le débat est ouvert. Au final, on a une série sympathique et distrayante mélangeant humour et action. A découvrir !
  21. Titre de l'album : Magical quadra tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Maki Dessinateur de l'album : Nemumi Haiba Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Afin de lutter contre les Sorcières, ennemies de l'humanité, le marché du travail des Magical Girls s'est fortement développé. En plus de combattre le mal, ces jeunes filles sont devenues de véritables icônes publiques et enchaînent interviews et promotions de produits. Mais il est des monstres contre lesquels elles ne font pas le poids, et c'est à ce moment-là que des mages d'un tout autre niveau prennent le relais : les Hommes d'âge mûr magiques ! Efficaces et redoutables, ils sont tenus cachés pour des raisons d'images : loin de la jeune et jolie influenceuse sexy, le Magical Quadra est un vieux, bedonnant et à moitié chauve... Critique : Je ne suis pas une grande amatrice des magical girls, j’ai sans doute passer l’âge… Pourtant j’ai été agréablement surprise par ce manga ! Il faut dire que même s’il y a des midinettes se battant naïvement contre des sorcières, elles ne sont pas au centre du récit. Car voilà, si la magical girl bat le grand méchant (ou plutôt la grande méchante ici), elle ne se préoccupe pas trop des conséquences. La sorcière a souvent des sbires ou des familiers puissants et il faut faire le ménage. C’est là qu’interviennent l’équipe des magical quadra : des magiciens méconnus du grand public qui ont parfois de pouvoirs plus importants que ceux de la magical girl ! Et parmi eux, il y a monsieur Tanaka avec ses allures d’employé de bureau bedonnant. Le ton est donné : Magical quadra parodie le genre mais de façon intelligente. Il n’y a pas des enchaînements de gags parfois lourds mais un véritable scénario avec des superhéros qui œuvrent dans l’ombre. En même temps, la magical girl est remise à sa place en la reléguant au rang de jolie vitrine. Il y a cependant une question qui demeure : lorsque M Tanaka utilise sa baguette pour se transformer, il apparaît comme une jeune magical girl, aurait-il fallu garder son apparence d’employé de bureau avec une jupette et un nœud dans les cheveux ??? Le débat est ouvert. Au final, on a une série sympathique et distrayante mélangeant humour et action. A découvrir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magical-quadra-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Show-ha shoten tome 5

    Ahah surprise ! Ce tome 5 de SHow-Ha Shoten nous offre non pas un mais deux compétitions. La fin de la compétition embryonnée dans le tome précédent mais surtout un "concours" contre les champions en titre de l'humour ! Champion en titre que nos auteurs ont eu le bon gout de faire.. Exécrables. De quoi enfin avoir une cible à abattre pour nos amoureux des jeux de mots ! Et cela arrive pile au bon moment ! On commençait tout juste à se dire que les tournois entre copain, c'était cool, mais qu'il nous fallait plus. Maintenant, on a un ennemi à abattre ! De quoi nous préparer un Koshien du Rire des plus dynamique.
  23. Titre de l'album : Show-ha shoten tome 5 Scenariste de l'album : Akinaric Asakura Dessinateur de l'album : Takeshi Obata Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Azemichi et Taiyô prennent part à la coupe Hiyama, qui rassemble des humoristes amateurs et des comiques indépendants ! L es vainqueurs obtiendront des conseils du professeur Hiyama en personne. Jusqu'à présent, tous les duos qui ont gagné cette compétition ont remporté le Kôshien du rire quelques semaines plus tard. Des duos au talent indiscutable comme les "Shiba Inus en tournée mondiale" et "Pantoufle de verre brisée" participent également à cette bataille préliminaire du Kôshien du rire !! Voici le cinquième volume de l'histoire de deux jeunes gens qui luttent de toutes leurs forces pour réaliser leur rêve en devenant les rois de la comédie ! Critique : Ahah surprise ! Ce tome 5 de SHow-Ha Shoten nous offre non pas un mais deux compétitions. La fin de la compétition embryonnée dans le tome précédent mais surtout un "concours" contre les champions en titre de l'humour ! Champion en titre que nos auteurs ont eu le bon gout de faire.. Exécrables. De quoi enfin avoir une cible à abattre pour nos amoureux des jeux de mots ! Et cela arrive pile au bon moment ! On commençait tout juste à se dire que les tournois entre copain, c'était cool, mais qu'il nous fallait plus. Maintenant, on a un ennemi à abattre ! De quoi nous préparer un Koshien du Rire des plus dynamique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/show-ha-shoten-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Voici le tome de conclusion de l'arc narratif de la quête du bâton de Saule après plusieurs épisodes d'aventure. Chouette idée que d'introduire un arc plus long à l'univers des schtroumpfs, plus habitués aux one shots, cela permet un meilleur dépaysement et une plus grande fantaisie je trouve. Le duo de scénaristes s'en sort d'ailleurs très bien, alternant aventures et scènes plus comiques, tout en conservant un ton bon enfant qui réjouira les plus petits. Le studio Peyo s'assure que l'univers graphique est parfaitement respecté et mis en œuvre par ses auteurs, aucune surprise de ce côté là, si ce n'est des couleurs plus chatoyantes peut être que sur la série principale. Finalement c'est toujours un plaisir, et cette mini série parallèle du "village des filles" est pour moi au niveau de son illustre grand frère, ne boudons donc pas notre plaisir.
  25. Titre de l'album : Les schtroumpfs et le village des filles - Tome 7 - Le pays des pierres schtroumpfantes Scenariste de l'album : Luc Parthoens & Thierry Culliford Dessinateur de l'album : Laurent Cagniat Coloriste : Paolo Maddaleni Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Longue fut la route qui mène au pays des Pierres schtroumpfantes, mais Menthe, Tempête et Bouton d'Or y parviennent enfin, flanquées du Schtroumpf à Lunettes qui se demande encore ce qu'il est venu schtroumpfer dans cette galère. Parce que, non, nos héroïnes et leur méthodique ami ne sont pas au bout de leurs peines. Parviendront-elles à trouver la source magique pour y tremper le bâton de Saule ? Rien n'est moins sûr... Critique : Voici le tome de conclusion de l'arc narratif de la quête du bâton de Saule après plusieurs épisodes d'aventure. Chouette idée que d'introduire un arc plus long à l'univers des schtroumpfs, plus habitués aux one shots, cela permet un meilleur dépaysement et une plus grande fantaisie je trouve. Le duo de scénaristes s'en sort d'ailleurs très bien, alternant aventures et scènes plus comiques, tout en conservant un ton bon enfant qui réjouira les plus petits. Le studio Peyo s'assure que l'univers graphique est parfaitement respecté et mis en œuvre par ses auteurs, aucune surprise de ce côté là, si ce n'est des couleurs plus chatoyantes peut être que sur la série principale. Finalement c'est toujours un plaisir, et cette mini série parallèle du "village des filles" est pour moi au niveau de son illustre grand frère, ne boudons donc pas notre plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-schtroumpfs-le-village-des-fillles-tome-7-le-pays-des-pierres-schtroumpfantes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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