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  1. Kevin Nivek

    Golden west

    Titre de l'album : Golden west Scenariste de l'album : Christian Rossi Dessinateur de l'album : Christian Rossi Coloriste : Christian Rossi Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Banni de son peuple pour conjurer une malédiction, le novice apache Woan doit apprendre à survivre. Après avoir affronté, seul, à la frontière nord-ouest du Mexique, les épreuves des éléments naturels et des passions humaines, le jeune homme croise la route d'un guerrier dont les faits d'armes et la spiritualité ont marqué l'Histoire des Etats-Unis et la légende dorée de l'Ouest : Geronimo ! En nous faisant revivre l'ultime élan de résistance d'une civilisation en péril, Christian Rossi donne à lire son oeuvre la plus personnelle et la plus inspirée Critique : Bercé par les westerns vus dans son enfance , notamment ceux de John Ford , Christian Rossi a été marqué par cette époque , ces gueules , cette société et ces paysages hors du temps . Les indiens y tenaient bien souvent les mauvais rôles , aussi il a décidé de leur donner leurs lettres de noblesse à travers cette histoire magnifiquement illustrée . Sur les vastes étendues désertiques , aux canyons et autres formations rocheuses monolithiques du Colorado et du Nouveau-Mexique , il nous offre les ultimes soubresauts des apaches et du contingent indien en général . Son trait lumineux aux couleurs chaudes , sublime cette ambiance crépusculaire . Car oui , Geronimo incarne le résistant en chef d'une "nation" indienne bousculée sur ses propres terres et invitée à aller voir ailleurs , dans des réserves dépourvues de sols fertiles . Il dépeint une société indienne en phase avec la nature , et respectueuse de son environnement . On y découvre des apaches pris en tenaille entre mexicains au sud et tuniques bleues au nord-est . Il alterne avec brio les phases d'action et celles plus intimistes où les indiens se livrent pleinement entre eux ou à leur dieu Ussen . La notion de dialogue est omniprésente , ils seraient presque les parents d'une forme de psychanalyse ! Le parcours de Woan qui est le héros de cette histoire est un formidable écho à cette civilisation . Banni de son peuple , il se recrée dans la solitude en communiant avec l'environnement sauvage et naturel . Ses monologues impriment cette notion de dialogue tellement culturelle chez les indiens . Cela permet aussi à Christian Rossi de nous offrir sa palette graphique somptueuse . Chaque page tournée est une ode aux grand espaces et à l'art du dessin . A ce niveau , c'est de l'Art , incontestablement . Si vous désirez chevaucher aux côtés de Woan et Geronimo au beau milieu de Monument Valley , cette remarquable aventure est faite pour vous ! Mais il serait réducteur de la conseiller uniquement aux amateurs de western tant l'histoire est belle , au diapason avec ce dessin subtil et lumineux . Bravo Monsieur Rossi ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/golden-west/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Golden west

    Bercé par les westerns vus dans son enfance , notamment ceux de John Ford , Christian Rossi a été marqué par cette époque , ces gueules , cette société et ces paysages hors du temps . Les indiens y tenaient bien souvent les mauvais rôles , aussi il a décidé de leur donner leurs lettres de noblesse à travers cette histoire magnifiquement illustrée . Sur les vastes étendues désertiques , aux canyons et autres formations rocheuses monolithiques du Colorado et du Nouveau-Mexique , il nous offre les ultimes soubresauts des apaches et du contingent indien en général . Son trait lumineux aux couleurs chaudes , sublime cette ambiance crépusculaire . Car oui , Geronimo incarne le résistant en chef d'une "nation" indienne bousculée sur ses propres terres et invitée à aller voir ailleurs , dans des réserves dépourvues de sols fertiles . Il dépeint une société indienne en phase avec la nature , et respectueuse de son environnement . On y découvre des apaches pris en tenaille entre mexicains au sud et tuniques bleues au nord-est . Il alterne avec brio les phases d'action et celles plus intimistes où les indiens se livrent pleinement entre eux ou à leur dieu Ussen . La notion de dialogue est omniprésente , ils seraient presque les parents d'une forme de psychanalyse ! Le parcours de Woan qui est le héros de cette histoire est un formidable écho à cette civilisation . Banni de son peuple , il se recrée dans la solitude en communiant avec l'environnement sauvage et naturel . Ses monologues impriment cette notion de dialogue tellement culturelle chez les indiens . Cela permet aussi à Christian Rossi de nous offrir sa palette graphique somptueuse . Chaque page tournée est une ode aux grand espaces et à l'art du dessin . A ce niveau , c'est de l'Art , incontestablement . Si vous désirez chevaucher aux côtés de Woan et Geronimo au beau milieu de Monument Valley , cette remarquable aventure est faite pour vous ! Mais il serait réducteur de la conseiller uniquement aux amateurs de western tant l'histoire est belle , au diapason avec ce dessin subtil et lumineux . Bravo Monsieur Rossi !
  3. The_PoP

    Jeremiah Johnson - Chapitre IV

    Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal.
  4. Titre de l'album : Jeremiah Johnson - Chapitre IV Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jack Jadson Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après la mort de femme folle, Jeremiah réunit une bande de trappeurs sanguinaires pour se venger de ses assassins. Les bandidos vont écumer la plaine sans faire de prisonniers, collectionnant les scalps dans un déchaînement de violence. Critique : Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeremiah-johnson-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel.
  6. Titre de l'album : Yakari - Tome 42 - La colère de Thathanka Scenariste de l'album : Xavier Giacometti Dessinateur de l'album : Derib Coloriste : Rebekah Paulovitch Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un peu trop désireux de prouver sa valeur à ses amis, Graine-de-Bison a pris des risques inconsidérés, et fait une très mauvaise chute. Pour sauver son esprit, Yakari décide de demander de l'aide à l'animal-totem de son ami. Le seul problème, c'est qu'il s'agit de Thathanka, le terrible bison ! Et, tout comme Graine-de-Bison, il est impétueux et têtu. Yakari parviendra-t-il à convaincre le fougueux animal de pardonner ses défauts à ce jeune papoose qui lui ressemble un peu trop…? Critique : Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yakari-tome-42-la-colere-de-thathanka/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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