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  1. Dans un contexte actuel où le manga se porte bien, voire très bien même, on a vu l’arrivée de plusieurs nouvelles maison d’édition, nous avons rencontré Aurélien Martinez et Jérémy Touzet, co-fondateurs de Mahô éditions pour en savoir un peu plus sur leur fonctionnement, leurs motivations et surtout savoir ce qu’ils pouvaient apporter de nouveau sur ce marché déjà bien rempli. La rencontre Aurélien et Jérémy se sont rencontrés sur leur lieu de travail à Kana home vidéo, ils ont très vite remarqué qu’ils avaient la même passion pour le manga et qu’ils partageaient l’envie de monter leur propre maison d’édition. Après de longs mois de préparation, Mahô a vu le jour en novembre 2019, leur premier titre « les enfants de Gorre », light novel de Sylvain Ferrieu est sorti le 26 juin 2020. (La crise sanitaire étant passée par là) La ligne éditoriale Leur ligne éditoriale n’est pas tournée vers un genre particulier mais vers une aide et un soutien à la création. La France est le 3eme consommateur de manga dans le monde, pourtant l’état ne fait rien pour développer ce média et n’apporte pas ou peu d’aide à la création. Mahô souhaite soutenir les auteurs français, puis, pourquoi pas ensuite s’ouvrir à l’international. Il faut savoir qu’accompagner un auteur dans le processus de création est une vraie prise de position, et de risque. Acheter et traduire une licence peut coûter jusqu’à 4 fois moins cher que de publier une œuvre originale ; surtout qu’ils souhaitent accompagner leurs auteurs à la japonaise : il ne s’agit pas seulement de publier le livre mais d’être présent tout au long du processus de création, coacher, donner son avis du début à la fin, faire les corrections. En plus, lancer un auteur inconnu du public est toujours une source de danger surtout dans le domaine du manga ou les préjugés estiment qu’il n’y a que les auteurs japonais qui méritent le détour. (Les mangas coréens et chinois comment à être reconnus mais ça n’a pas toujours été le cas.) Mahô se positionne donc sur le créneau d’assistance à la création française pour les light novel et le manga, créneau peu exploité actuellement. Le choix des œuvres Ils reçoivent entre 5 à 10 manuscrits par semaine (mangas ou romans), le choix se fait en fonction de la cohérence de l’histoire, de la qualité de l’écriture, du dessin. Ce dernier point est primordial pour les mangas, car il y a une concurrence internationale et la communauté du manga exige de l’excellence. Pour les titres étrangers, Aurélien et Jérémy font une veille permanente surtout dans les magazines de prépublication mais aussi à travers les réseaux sociaux. L’objectif est de trouver la perle rare : un titre qui a du potentiel mais qui n’est pas encore très connu Comment publie-t-on un manga japonais ? En ce qui concerne l’acquisition de droits, les maison d’édition font des offres ne portant pas que sur le côté financier mais surtout sur le projet de communication et de publicité autour de l’œuvre. En effet, pour les japonais, le plus important c’est la renommée et toute la publicité qui pourra être faite (affichage, PLV, stands, possibilité de faire venir l’auteur pour des séances de dédicaces…). La communication est indispensable, il faut gagner en visibilité pour donner envie aux libraires d’acheter le titre. Les réseaux sociaux et sites spécialisé ont donc leur rôle à jouer. Les séances de dédicaces permettent également de meilleures ventes et c’est d’autant plus facile à faire avec des auteurs français ! Concernant le light novel (Le light novel est un roman destiné à un public adolescent, il est généralement composé de paragraphes courts et de dialogues et ils sont garnies d’illustrations type manga.) Au Japon, le schéma classique de publication est le suivant : le light novel est d’abord publié, puis le 1er tome du manga qui correspond en général à la moitié du roman, puis le tome 2 du roman… et parfois le jeu video associé. En France, le light novel n’est pas encore très répandu, il est souvent traité comme un roman jeunesse alors qu’il aurait plutôt sa place au rayon manga. En ce qui concerne le light novel français, par exemple pour les enfants de Gorre, Mahô éditions a décidé de le faire illustrer par un sud-coréen vivant au Japon Navigavi, ce qui a permis une meilleure communication autour du projet. L’essor du webtoon La progression des webtoon n’est pas une menace pour le manga, celui-ci n’est pas encore à son apogée et même si le nombre de titres proposés est important, le nombre d’acheteurs a également augmenté. Les enfants du club Dorothée (premiers mangas diffusés en France) ont à présent des enfants qui atteignent l’âge adulte et qui représentent un nouveau lectorat. Les objectifs Aujourd’hui, Mahô éditions c’est 3 personnes, dont une responsable de communication dont l’installation au Japon a été retardée à cause de la crise sanitaire. Sa position sur place permettra de faciliter les échanges entre les éditeurs et les ayant-droits. En 2021, comme tous les éditeurs Mahô a souffert de la crise du papier et de la saturation chez les imprimeries ; ils ont quand même sorti les lights novel de Mynoghra, 86 Eighty six (tome 2 prévu le 8 juillet), Berserk of gluttony et son adaptation en manga (critique ici). Pour 2022, il y a la sortie du one shot Contes merveilleux du printemps qui marque le retour de l’auteur de 9 lives man (critique ici), la suite du manga berserk of gluttony, et les tomes suivants des light novels Les Enfants de Gorre, Minoghra et 86.
  2. Titre de l'album : In these words' stories & Father Figure Scenariste de l'album : Guilt Pleasure Dessinateur de l'album : Guilt Pleasure Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Retrouvez dans In These Words'Stories + Father Figure trois préquelles de In These Words avec en bonus le roman Father Figure ! Découvrez le passé du docteur Asano Katsuya de In These Words au travers de la série de trois préquelles : Katsuya vient d´être employé par l'État de New York et y rencontre le détective David Krause à Manhattan. Succombera-t-il aux charmes du détective ? Father Figure : Uriel Blackstone, un jeune veuf, vivait une existence simple et tranquille jusqu'à ce qu´il tombe sur un inconnu dans son immeuble. Ce dernier s'introduit alors dans sa vie avec une étrange familiarité. Uriel l'ignore encore, mais une partie de son passé qu´il a oubliée est en train de le rattraper. Critique : Le livre est composé de 3 chapitres inédits sur la vie des personnages du manga In these words et d’une nouvelle écrite par les mêmes auteures. Tout d’abord, la partie manga n’aura vraiment un intérêt que pour ceux qui connaissent In These words, il s’agit d’un thriller psychologique yaoi : Katsuya Asano est un jeune profiler qui enquête sur un tueur en série. Il lui arrive de faire des cauchemars où un homme lui inflige des sévices, mais en réalité, il se pourrait bien que ces rêves n’en soient pas. Le manga est très complexe, d’une part parce qu’on ne sait jamais dans quel ordre les événements se sont déroulés, que l’on navigue entre rêve et réalité et que graphiquement les personnages sont parfois très proches (volontairement d’ailleurs pour perturber encore plus le lecteur). C’est un manga très intéressant qui demande vraiment plusieurs lectures et même comme ça, il est difficile à comprendre car les auteures aiment semer le doute. C’est un manga angoissant et violent mais qui reste en mémoire. Les 3 chapitres ici sont des aspects de la vie de Katsuya et David et n’ont pas d’influence sur l’histoire principale si ce n’est de mieux comprendre la relation entre les deux hommes. Le roman illustré Father Figure parle d’un jeune policier qui élabore tout un plan pour entrer en contact avec l’un de ses voisins et faire partie de sa vie. Sauf que son envie tourne à l’obsession et il développe une forme d’amour non conventionnel. Il est étonnant de voir qu’il y a une vraie différence entre lire un manga yaoi et un roman yaoi, cela vient sans doute de la description des scènes osées, certes le graphisme est parfois très explicite mais le roman apporte une profondeur supplémentaire dans les intentions et les sentiments. Il est très bien écrit et les illustrations sont très belles. C’est cru, violent même et à réserver à un public Adulte Averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-these-words-stories-father-figure?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Le livre est composé de 3 chapitres inédits sur la vie des personnages du manga In these words et d’une nouvelle écrite par les mêmes auteures. Tout d’abord, la partie manga n’aura vraiment un intérêt que pour ceux qui connaissent In These words, il s’agit d’un thriller psychologique yaoi : Katsuya Asano est un jeune profiler qui enquête sur un tueur en série. Il lui arrive de faire des cauchemars où un homme lui inflige des sévices, mais en réalité, il se pourrait bien que ces rêves n’en soient pas. Le manga est très complexe, d’une part parce qu’on ne sait jamais dans quel ordre les événements se sont déroulés, que l’on navigue entre rêve et réalité et que graphiquement les personnages sont parfois très proches (volontairement d’ailleurs pour perturber encore plus le lecteur). C’est un manga très intéressant qui demande vraiment plusieurs lectures et même comme ça, il est difficile à comprendre car les auteures aiment semer le doute. C’est un manga angoissant et violent mais qui reste en mémoire. Les 3 chapitres ici sont des aspects de la vie de Katsuya et David et n’ont pas d’influence sur l’histoire principale si ce n’est de mieux comprendre la relation entre les deux hommes. Le roman illustré Father Figure parle d’un jeune policier qui élabore tout un plan pour entrer en contact avec l’un de ses voisins et faire partie de sa vie. Sauf que son envie tourne à l’obsession et il développe une forme d’amour non conventionnel. Il est étonnant de voir qu’il y a une vraie différence entre lire un manga yaoi et un roman yaoi, cela vient sans doute de la description des scènes osées, certes le graphisme est parfois très explicite mais le roman apporte une profondeur supplémentaire dans les intentions et les sentiments. Il est très bien écrit et les illustrations sont très belles. C’est cru, violent même et à réserver à un public Adulte Averti.
  4. Titre de l'album : Ce qu'il reste de nos souvenirs Scenariste de l'album : AMASAWA Natsuki Dessinateur de l'album : SHIROMIZAKANA Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Shû, un lycéen asocial, ramasse un jour une clé USB appartenant à une camarade de classe, Naoka. Après avoir constaté que cette clé contenait un testament, il se met à parler avec la jeune fille... et finit par apprendre qu'elle souffre d'amnésie progressive. Il va alors tout faire pour l'aider à vivre avec son mal, sans se douter qu'ils sont liés par le destin depuis très longtemps... Critique : Un jour Shû Uchimura découvre qu’une de ses camarades de classe Naoko Iiyama souhaite se suicider. Ayant déjà vécu des moments difficiles par le passé, il n’aime pas et ne veut pas se mêler des affaires des autres, cependant, il ne va pas pouvoir faire comme si de rien était et va quand même se rapprocher de la jeune fille. Il découvre qu’elle est atteinte d’une maladie dégénérescente et que son espérance de vie est limitée. L’histoire met en scène deux adolescents aux prises avec la maladie et son destin inéluctable, il y a le point de vue du malade, coincé entre souffrance et désir de vivre des expériences avant qu’il ne soit trop tard et le point de vue du camarade, se demandant ce qu’il pourrait faire pour elle tout en sachant qu’il n’y a rien à faire pour la maladie. Shû est le narrateur, la description de ses sentiments sont bien détaillés, en comprend très bien son cheminement psychologique et l’impact que cela provoque. Les mots sont justes et sincères. Cependant, il y a un rebondissement vers la fin, inutilement compliqué, qui n’apporte rien à l’histoire et qui en plus embrouille un peu le lecteur. Comme c’est mon premier light novel (roman avec illustrations privilégiant les dialogues) je m’attendais à ce qu’il y est plus d’illustrations (avec la couverture, il y en a 2 !), là-dessus je suis un peu déçue, après l’écriture est fluide, un vocabulaire plutôt soutenu mais facilement abordable. C’est une histoire intéressante, sensible, et plutôt bien écrite. Une bonne première expérience ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ce-qu-il-reste-de-nos-souvenirs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Ce qu'il reste de nos souvenirs

    Un jour Shû Uchimura découvre qu’une de ses camarades de classe Naoko Iiyama souhaite se suicider. Ayant déjà vécu des moments difficiles par le passé, il n’aime pas et ne veut pas se mêler des affaires des autres, cependant, il ne va pas pouvoir faire comme si de rien était et va quand même se rapprocher de la jeune fille. Il découvre qu’elle est atteinte d’une maladie dégénérescente et que son espérance de vie est limitée. L’histoire met en scène deux adolescents aux prises avec la maladie et son destin inéluctable, il y a le point de vue du malade, coincé entre souffrance et désir de vivre des expériences avant qu’il ne soit trop tard et le point de vue du camarade, se demandant ce qu’il pourrait faire pour elle tout en sachant qu’il n’y a rien à faire pour la maladie. Shû est le narrateur, la description de ses sentiments sont bien détaillés, en comprend très bien son cheminement psychologique et l’impact que cela provoque. Les mots sont justes et sincères. Cependant, il y a un rebondissement vers la fin, inutilement compliqué, qui n’apporte rien à l’histoire et qui en plus embrouille un peu le lecteur. Comme c’est mon premier light novel (roman avec illustrations privilégiant les dialogues) je m’attendais à ce qu’il y est plus d’illustrations (avec la couverture, il y en a 2 !), là-dessus je suis un peu déçue, après l’écriture est fluide, un vocabulaire plutôt soutenu mais facilement abordable. C’est une histoire intéressante, sensible, et plutôt bien écrite. Une bonne première expérience !
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