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  1. Les guerres d'arran c'est le règlement de compte que tout le monde attendait dans les terres d'Arran depuis la fin du cycle sur Lah'saa. Autant vous dire que les fans ne passent pas à côté. Pour ma part, j'y prends beaucoup de plaisir, même s'il faut reconnaître qu'on aimerait que nos héros ne soient peut être pas tous du même côté. Cela aurait gagné en profondeur, en enjeux et en émotions je pense, car là, ça finit un peu par faire un gros jeux de massacre entre des héros toujours en pseudo mauvaise posture, mais finalement tellement forts qu'ils massacrent leurs adversaires humains anonymes... On aurait pu aller vers une histoire plus mature, ou adulte. Même si ça aurait probablement choqué les fans 🙂 Bon la galerie de personnages et les retrouvailles avec tous les persos de la saga ça reste une belle madeleine de Proust. Cette fois-ci on retrouve donc Myth, Kronan, Ora et Athé'non entre autres. Côté narration rien de neuf donc puisque Nicolas Jarry use des mêmes recettes que Jean Luc Istin à savoir quelques scènes d'actions et de dialogues entre de grandes phases de narration en voix off à travers les pensées du narrateur choisi pour cet épisode. Je trouve qu'on y perd un peu, mais vu la densité de l'univers et l'ambition du scénario, c'est ici je crois un peu un passage obligé. Attention toutefois, cet opus est quand même bien verbeux. Les dessins de Yerofieieva sont dans l'esprit de la série, mais ils ne sont pas les plus détaillés ou les plus fins que l'on y a vu. La colorisation de J. Nanjan ne parvient pas à ramener plus de finesse à l'ensemble, qui se lit malgré ce que j'en dis très bien. Les scènes d'actions sont claires, et les personnages bien réussis. On sent toutefois que le dénouement approche. Les forces convergent 🙂
  2. Titre de l'album : Guerres d'Arran - Tome 3 - La bataille de Torunn Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Alina Yerofieieva Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à l'immense horde assanide, Kronan hésite entre l'honneur ou la raison, le combat ou la fuite. Tandis que les elfes Bleus de Port-Vogue, jusqu'alors préservés, se retrouvent assiégés par une immense flotte de navires yrlanais, à l'Ouest, une nouvelle légion d'hommes et de Golems assiègent les Elfes de la forêt de Torunn, repoussant toujours plus loin les Sylvains menés par la reine Ora... Critique : Les guerres d'arran c'est le règlement de compte que tout le monde attendait dans les terres d'Arran depuis la fin du cycle sur Lah'saa. Autant vous dire que les fans ne passent pas à côté. Pour ma part, j'y prends beaucoup de plaisir, même s'il faut reconnaître qu'on aimerait que nos héros ne soient peut être pas tous du même côté. Cela aurait gagné en profondeur, en enjeux et en émotions je pense, car là, ça finit un peu par faire un gros jeux de massacre entre des héros toujours en pseudo mauvaise posture, mais finalement tellement forts qu'ils massacrent leurs adversaires humains anonymes... On aurait pu aller vers une histoire plus mature, ou adulte. Même si ça aurait probablement choqué les fans 🙂 Bon la galerie de personnages et les retrouvailles avec tous les persos de la saga ça reste une belle madeleine de Proust. Cette fois-ci on retrouve donc Myth, Kronan, Ora et Athé'non entre autres. Côté narration rien de neuf donc puisque Nicolas Jarry use des mêmes recettes que Jean Luc Istin à savoir quelques scènes d'actions et de dialogues entre de grandes phases de narration en voix off à travers les pensées du narrateur choisi pour cet épisode. Je trouve qu'on y perd un peu, mais vu la densité de l'univers et l'ambition du scénario, c'est ici je crois un peu un passage obligé. Attention toutefois, cet opus est quand même bien verbeux. Les dessins de Yerofieieva sont dans l'esprit de la série, mais ils ne sont pas les plus détaillés ou les plus fins que l'on y a vu. La colorisation de J. Nanjan ne parvient pas à ramener plus de finesse à l'ensemble, qui se lit malgré ce que j'en dis très bien. Les scènes d'actions sont claires, et les personnages bien réussis. On sent toutefois que le dénouement approche. Les forces convergent 🙂 Autres infos : Storyboard de Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    La guerre des amazones

    Voici un one shot sur une période assez méconnue de notre histoire européenne : les guerres de bohème du roi charlemagne. Les auteurs y rajoutent une dose de Fantasy et de mysticisme. Ce one shot est particulier car si la lecture en est agréable, je crois que le rythme de narration est trop rapide pour une histoire assez ambitieuse, du coup on a parfois l'impression de sauter un peu du coq à l'âne, et de perdre des pans de l'histoire en route, cela donne finalement une histoire dont on a du mal à saisir la finalité. Les dessins de Guillermo Gonzalez Escalada sont parfois très beau, mais parfois aussi un peu confus au niveau des visages de ces personnages, parfois difficiles à identifier. Dommage car l'ensemble est intéressant et forme un tout plutôt agréable à lire, sur une histoire que l'on n'a pas déjà entendu mille fois...
  4. Titre de l'album : La guerre des amazones Scenariste de l'album : Stéphane Piatzszek Dessinateur de l'album : Guillermo Gonzalez Escalada Coloriste : Guillermo Gonzalez Escalada & Inaki Holgado & Nicolas Begue Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Krok, roi de Bohème, se prépare à affronter le fils de Charlemagne. Il cède la charge du royaume à la plus sage de ses filles, Libussa. La jeune reine entre en résistance, guidée par les puissantes visions de sa soeur, Téta, soutenue par la détermination des femmes demeurées au château. Et par le courage de ses guerrières, dont l'une la trouble profondément, Vlasta aux longs cheveux blancs. Critique : Voici un one shot sur une période assez méconnue de notre histoire européenne : les guerres de bohème du roi charlemagne. Les auteurs y rajoutent une dose de Fantasy et de mysticisme. Ce one shot est particulier car si la lecture en est agréable, je crois que le rythme de narration est trop rapide pour une histoire assez ambitieuse, du coup on a parfois l'impression de sauter un peu du coq à l'âne, et de perdre des pans de l'histoire en route, cela donne finalement une histoire dont on a du mal à saisir la finalité. Les dessins de Guillermo Gonzalez Escalada sont parfois très beau, mais parfois aussi un peu confus au niveau des visages de ces personnages, parfois difficiles à identifier. Dommage car l'ensemble est intéressant et forme un tout plutôt agréable à lire, sur une histoire que l'on n'a pas déjà entendu mille fois... Autres infos : Collection Quadrants aux éditions Soleil Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-guerre-des-amazones/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Thorgal Saga - Wendigo

    Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus).
  6. Titre de l'album : Thorgal Saga - Wendigo Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Corentin Rouge Coloriste : Walter & Corentin Rouge Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Naviguant vers leurs terres depuis le pays Qâ, Thorgal, Aaricia et Jolan se retrouvent pris au beau milieu du conflit qui oppose le Peuple de l'Eau et celui de la Forêt. Leurs divinités respectives sont maintenant déchaînées, et rien ne pourra plus entraver le chaos de la guerre. Sauf, peut-être, une flèche taillée dans l'Arbre de Vie, tirée sur le redoutable Wendigo. Pour sauver Aaricia, enceinte et blessée, Thorgal n'a d'autre choix que de prendre parti et de se compromettre une nouvelle fois dans la folie des hommes. Critique : Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus). Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-tome-2-wendigo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Voici la conclusion de cette mini série en 4 tomes, parallèle à la série des maitres inquisiteurs en 6 tomes et se déroulant dans l'univers imaginé par le prolifique J-L Istin. Soyons honnête cette série lorgnait sur le succès de l'univers des terres d'arran, et malheureusement elle n'a pas forcément rencontré le même lot de fans. Il faut dire que Soleil avec son rythme de parution dantesque sur ces deux univers a peut être cannibalisé ses propres clients. Ce tome 4 vient donc nous brosser un nouveau portrait d'un jeune assassin en devenir. Malheureusement l'histoire peine à décoller de cette sensation de déjà lu qui une fois qu'elle vous a attrapé ne vous lâche guère. Le personnage est intéressant, mais le destin du héros ne parvient pas à nous captiver plus que cela et l'ensemble a du mal à s'inscrire dans des enjeux plus grandioses de l'univers créé. La trame globale est un peu en dessous de ce que nous avaient offerts les premiers tomes. Le dessin de Victor Drujiniu est plutôt bon, même si peut être un petit peu froid encore, on est sur ce qui se fait de très bien sur cette série, au niveau du grand frère des terres d'arran. Les affamés de fantasy médiévale, ou ceux qui ne veulent pas se lancer dans la série fleuve des terres d'arran s'y retrouveront avec plaisir avec ces aventures dans le monde d'Oscitan.
  8. Titre de l'album : Les maitres assassins - Tome 4 - Malgérian Scenariste de l'album : Sylvain Cordurié Dessinateur de l'album : Victor Drujiniu Coloriste : Erwan Seure Le Bihan & Victor Drujiniu Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Un seigneur des Soupirs a autrefois loué les services des Maîtres Assassins contre le prix de leur choix. Et ce prix, c'était son fils cadet, Armant de Lanslet. Quand la guilde réclame son dû, Armant est associé à trois jeunes gens. Il suit l'entraînement qui fera d'eux des tueurs et prend la tête du groupe pour leur première mission. Désormais, il n'est plus Armant de Lanslet. Il est Malgerian. Critique : Voici la conclusion de cette mini série en 4 tomes, parallèle à la série des maitres inquisiteurs en 6 tomes et se déroulant dans l'univers imaginé par le prolifique J-L Istin. Soyons honnête cette série lorgnait sur le succès de l'univers des terres d'arran, et malheureusement elle n'a pas forcément rencontré le même lot de fans. Il faut dire que Soleil avec son rythme de parution dantesque sur ces deux univers a peut être cannibalisé ses propres clients. Ce tome 4 vient donc nous brosser un nouveau portrait d'un jeune assassin en devenir. Malheureusement l'histoire peine à décoller de cette sensation de déjà lu qui une fois qu'elle vous a attrapé ne vous lâche guère. Le personnage est intéressant, mais le destin du héros ne parvient pas à nous captiver plus que cela et l'ensemble a du mal à s'inscrire dans des enjeux plus grandioses de l'univers créé. La trame globale est un peu en dessous de ce que nous avaient offerts les premiers tomes. Le dessin de Victor Drujiniu est plutôt bon, même si peut être un petit peu froid encore, on est sur ce qui se fait de très bien sur cette série, au niveau du grand frère des terres d'arran. Les affamés de fantasy médiévale, ou ceux qui ne veulent pas se lancer dans la série fleuve des terres d'arran s'y retrouveront avec plaisir avec ces aventures dans le monde d'Oscitan. Autres infos : D'après l'univers imaginé par J-L Istin Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-maitres-assassins-tome-4-malgerian?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Ah je dois bien reconnaitre que ce tome 4 de gagner la guerre m'a fait saliver et qu'il fut l'un des premiers à être lu lors de mon dernier arrivage de belles bd. Pourquoi ? parce que cette série a de belles qualités. D'abord le roman dont elle est l'adaptation est diablement bon. Moins médiatisé que Game of Throne mais autrement plus cohérent. Ensuite parce que les personnages crèvent les pages tellement ils sont vivants et humains. Enfin parce que l'univers présenté est suffisamment fantasy pour autoriser les auteurs à laisser libre court à leur imagination. Et à ce jeu là, Frédéric Genêt est diablement efficace. Sobre et réaliste, son dessin se prête merveilleusement bien aux intrigues de Ciudalia. Mais ne parlons pas plus de la série elle même et attardons nous sur ce tome 4. Qu'on soit bien clairs, il s'agit d'une respiration dans la série, après 3 tomes de forte densité. Ici notre Benvenuto préféré va pouvoir souffler un peu, mais aussi se dévoiler tout en plaçant les pions pour un prochain tome qui s'annonce explosif. Pour le dessin ? C'est de Monsieur Genêt et si vous avez aimé les 3 premiers bon, vous n'avez pas de raison raisonnable de douter 🙂 Gagner la guerre reste l'une de mes références en série en cours médiévale fantasy sérieuse et ce n'est pas prêt de changer je le crains même si ce tome ne sera pas dans les plus mémorables parus à ce jour.
  10. Titre de l'album : Gagner la guerre - Tome 4 - La marche franche Scenariste de l'album : Frédéric Genêt Dessinateur de l'album : Frédéric Genêt Coloriste : Frédéric Genêt Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Il y a bien longtemps, il a été un enfant. Et l'élève du plus grand artiste de Ciudalia. Il présentait des dispositions évidentes pour la peinture mais Benvenuto Gesufal a fait d'autres choix. Il a fait du meurtre son Art et, aujourd'hui, il n'est plus qu'un détail de la grande toile des choses. Un détail que beaucoup souhaitent effacer car il sait trop de choses, a fait couler trop de sang. À présent traqué de toutes parts, dans le monde physique et mental, Benvenuto a-t-il encore une chance de s'en sortir… ? Critique : Ah je dois bien reconnaitre que ce tome 4 de gagner la guerre m'a fait saliver et qu'il fut l'un des premiers à être lu lors de mon dernier arrivage de belles bd. Pourquoi ? parce que cette série a de belles qualités. D'abord le roman dont elle est l'adaptation est diablement bon. Moins médiatisé que Game of Throne mais autrement plus cohérent. Ensuite parce que les personnages crèvent les pages tellement ils sont vivants et humains. Enfin parce que l'univers présenté est suffisamment fantasy pour autoriser les auteurs à laisser libre court à leur imagination. Et à ce jeu là, Frédéric Genêt est diablement efficace. Sobre et réaliste, son dessin se prête merveilleusement bien aux intrigues de Ciudalia. Mais ne parlons pas plus de la série elle même et attardons nous sur ce tome 4. Qu'on soit bien clairs, il s'agit d'une respiration dans la série, après 3 tomes de forte densité. Ici notre Benvenuto préféré va pouvoir souffler un peu, mais aussi se dévoiler tout en plaçant les pions pour un prochain tome qui s'annonce explosif. Pour le dessin ? C'est de Monsieur Genêt et si vous avez aimé les 3 premiers bon, vous n'avez pas de raison raisonnable de douter 🙂 Gagner la guerre reste l'une de mes références en série en cours médiévale fantasy sérieuse et ce n'est pas prêt de changer je le crains même si ce tome ne sera pas dans les plus mémorables parus à ce jour. Autres infos : D'après le roman de Jaworski Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gagner-la-guerre-tome-4-la-marche-franche?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Legende - Tome 8 - De mains de femmes Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Stéphane Collignon Coloriste : Natalia Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tristan de Halsbourg a disparu... et sa disparition a fait de lui une légende. Une légende qui pèse sur ceux qu'il a laissé derrière lui : sa soeur Ombeline, devenue duchesse, ainsi que son mari, Alexandre de Hauteterre mais aussi sur Judith qui s'est exilée et rejette l'idée d'un compagnon - tant est forte, dans sa mémoire, l'image de celui qu'elle aurait pu aimer. Critique : Cette chronique a été réalisée à partir du pdf de lecture. Des différences de ressentis et de perception peuvent donc se révéler avec l'édition papier. Décidément depuis la reprise de la série de Swolf par un nouveau cycle avec un nouveau duo d'auteur, le rythme de parution s'accélère. Si le dernier tome était un bon tome de relance, il ne m'avait pas non plus totalement convaincu. Ce tome-ci, une nouvelle fois de qualité ne va pas nécessairement lever tous mes doutes, mais il a le mérite de proposer une vraie consistance dans ses récits. En effet, même si je ne comprends toujours pas le fait d'avoir scindé en deux les personnages et leurs aventures, ce Tome 8 de Légende nous propose enfin une vraie réflexion sur l'usage du pouvoir et de la violence pour une fois peu manichéenne. Et tant mieux, car si Légende sous Swolf avait consacré la lutte des justes contre les maudits, il convenait de donner un second souffle à tout cela. Et surtout de donner un peu d'ampleur au personnage de Tristan. Reste que les aventures narrées dans son fiefs avec ses anciens personnages secondaires se révèlent finalement aussi intéressantes que celle de notre mystérieux héros, même si plus classiques. La grosse claque de ce tome 8 c'est que je me suis demandé si les planches n'étaient pas presque plus belles que sur la série originale. Et quand on sait en quelle estime je tiens le travail de Maitre Swolf, c'est un vrai compliment. C'est souvent très réussi et fin, et en série d'aventure/action se déroulant au moyen âge, c'est vraiment dans le haut du panier des productions actuelles. Bravo donc à Stéphane Collignon et à Natalya Marques pour leur travail sur le dessin et la colorisation. Chapeau bas. On sent qu'une fois le tome d'adaptation passé, et l'héritage des personnages de Swolf assimilé, les auteurs ont su faire évoluer l'ensemble. J'espère que sur le prochain tome les auteurs auront le temps d'améliorer un petit peu les détails sur certaines cases secondaires, mais c'est vraiment histoire de pinailler. Pour tout vous dire graphiquement, cela m'a beaucoup fait penser au travail réalisé sur la série Samouraï et notamment sur sa reprise après le départ de M. Genêt. A noter que c'est bien Yves Swolfs qui a réalisé la couverture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legende-tome-8-de-mains-de-femmes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Cette chronique a été réalisée à partir du pdf de lecture. Des différences de ressentis et de perception peuvent donc se révéler avec l'édition papier. Décidément depuis la reprise de la série de Swolf par un nouveau cycle avec un nouveau duo d'auteur, le rythme de parution s'accélère. Si le dernier tome était un bon tome de relance, il ne m'avait pas non plus totalement convaincu. Ce tome-ci, une nouvelle fois de qualité ne va pas nécessairement lever tous mes doutes, mais il a le mérite de proposer une vraie consistance dans ses récits. En effet, même si je ne comprends toujours pas le fait d'avoir scindé en deux les personnages et leurs aventures, ce Tome 8 de Légende nous propose enfin une vraie réflexion sur l'usage du pouvoir et de la violence pour une fois peu manichéenne. Et tant mieux, car si Légende sous Swolf avait consacré la lutte des justes contre les maudits, il convenait de donner un second souffle à tout cela. Et surtout de donner un peu d'ampleur au personnage de Tristan. Reste que les aventures narrées dans son fiefs avec ses anciens personnages secondaires se révèlent finalement aussi intéressantes que celle de notre mystérieux héros, même si plus classiques. La grosse claque de ce tome 8 c'est que je me suis demandé si les planches n'étaient pas presque plus belles que sur la série originale. Et quand on sait en quelle estime je tiens le travail de Maitre Swolf, c'est un vrai compliment. C'est souvent très réussi et fin, et en série d'aventure/action se déroulant au moyen âge, c'est vraiment dans le haut du panier des productions actuelles. Bravo donc à Stéphane Collignon et à Natalya Marques pour leur travail sur le dessin et la colorisation. Chapeau bas. On sent qu'une fois le tome d'adaptation passé, et l'héritage des personnages de Swolf assimilé, les auteurs ont su faire évoluer l'ensemble. J'espère que sur le prochain tome les auteurs auront le temps d'améliorer un petit peu les détails sur certaines cases secondaires, mais c'est vraiment histoire de pinailler. Pour tout vous dire graphiquement, cela m'a beaucoup fait penser au travail réalisé sur la série Samouraï et notamment sur sa reprise après le départ de M. Genêt. A noter que c'est bien Yves Swolfs qui a réalisé la couverture.
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