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  1. Nickad

    Mes cents contes mortels tome 2

    C’est parti pour la deuxième vague des contes, à nouveau 10 courtes histoires horrifiques racontées par un petit garçon. Les histoires sont inégales, je dirai qu’il y en a 3 intéressantes les autres étant plutôt anecdotiques, le problème surtout c’est qu’il n’y a pas vraiment de conclusion, on reste souvent sur notre faim. Du coup, même s’il y a parfois de bonnes idées, ce format très court n’est pas toujours convaincant. En ce qui concerne le petit garçon, on voit dans ces quelques pages de début et fin de chapitres, un peu de son quotidien et on commence à comprendre que sa volonté d’aller au bout des cent contes pour provoquer une catastrophe est motivée par un contexte social difficile. Pour ceux qui aime sentir monter la tension des histoires d’horreur, cette série n’est pas faite pour vous. Pour les autres, pourquoi pas pour mettre de l’ambiance et passer le temps ; et encore on n’est pas vraiment terrifié bien que certains passages soient en peu dégoutants…
  2. Titre de l'album : Mes cents contes mortels tome 2 Scenariste de l'album : MATONO Anji Dessinateur de l'album : MATONO Anji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Convoquant les plus grands maîtres du genre, Anji Matono livre une anthologie d'horreur particulièrement efficace. Sans plus attendre, laissez-vous contaminer par les ambiances uniques qui suintent à travers les pages de ce manga... "Tic tac, tic tac'... C'est le bruit de l'horloge et du temps qui passe. Et plus Yûma lit ses contes mortels, plus il prend le risque de s'exposer à un funeste destin. Mais la tentation est trop grande pour ce garçon aux idées suicidaires... Après tout, mourir, n'est-ce pas ce qu'il recherche dans le fond ? Critique : C’est parti pour la deuxième vague des contes, à nouveau 10 courtes histoires horrifiques racontées par un petit garçon. Les histoires sont inégales, je dirai qu’il y en a 3 intéressantes les autres étant plutôt anecdotiques, le problème surtout c’est qu’il n’y a pas vraiment de conclusion, on reste souvent sur notre faim. Du coup, même s’il y a parfois de bonnes idées, ce format très court n’est pas toujours convaincant. En ce qui concerne le petit garçon, on voit dans ces quelques pages de début et fin de chapitres, un peu de son quotidien et on commence à comprendre que sa volonté d’aller au bout des cent contes pour provoquer une catastrophe est motivée par un contexte social difficile. Pour ceux qui aime sentir monter la tension des histoires d’horreur, cette série n’est pas faite pour vous. Pour les autres, pourquoi pas pour mettre de l’ambiance et passer le temps ; et encore on n’est pas vraiment terrifié bien que certains passages soient en peu dégoutants… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cents-contes-mortels-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Country diary tome 1

    Dans une petite ville de campagne, Usa décide d’acheter une vieille bicoque afin de la rénover et d’en faire son atelier. Hélas, il est devancé par un citadin, ancien professeur qui ne connait absolument rien ni personne mais qui a décidé de vivre en harmonie avec la nature et de cultiver ses fruits et légumes. Usa décide de l’aider à rénover sa baraque et à lui faire découvrir la ville. Graphiquement parlant, je trouve le dessin un peu léger et un peu approximatif aussi par moment. Côté scénario, l’historie est gentille, avec ce citadin qui découvre la campagne, on obtient une belle image de la vie rurale entre l’entraide des habitants, la simplicité de la vie et le charme des anciennes maisons un peu traditionnelles. Là où on est un peu frustré, c’est la relation entre les personnages ; c’est sans doute parce que l’on est habitué à voir un peu de sentiments (ou plus) dans les yaois que l’on a une certaine attente dès qu’un nouveau titre parait. Ici, on ne sait absolument rien de leurs sentiments, tout ce que l’on voit c’est une amitié et des moments de partage. En réalité Country diary porte bien son nom, c’est une tranche de vie d’une petite campagne simple, agréable et sans prétention.
  4. Titre de l'album : Country diary tome 1 Scenariste de l'album : Aya Isino Dessinateur de l'album : Aya Isino Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Prenez le temps de ralentir pour savourer au calme Country Diary, un manga rural qui nous invite à profiter des petits riens de la vie et à admirer la beauté de la nature. Kurumizawa a quitté son poste de professeur pour s'installer à la campagne, dans le Nord du Japon. Ne connaissant rien à la vie rurale, il doit pourtant apprendre à s'adapter, en commençant par rénover la vieille maison qu'il vient d'acheter. Heureusement, il peut compter sur l'aide d'Usa, un artisan local qui le prend sous son aile. L'ex-citadin pourrait vite prendre goût aux plaisirs simples de son nouveau quotidien... Critique : Dans une petite ville de campagne, Usa décide d’acheter une vieille bicoque afin de la rénover et d’en faire son atelier. Hélas, il est devancé par un citadin, ancien professeur qui ne connait absolument rien ni personne mais qui a décidé de vivre en harmonie avec la nature et de cultiver ses fruits et légumes. Usa décide de l’aider à rénover sa baraque et à lui faire découvrir la ville. Graphiquement parlant, je trouve le dessin un peu léger et un peu approximatif aussi par moment. Côté scénario, l’historie est gentille, avec ce citadin qui découvre la campagne, on obtient une belle image de la vie rurale entre l’entraide des habitants, la simplicité de la vie et le charme des anciennes maisons un peu traditionnelles. Là où on est un peu frustré, c’est la relation entre les personnages ; c’est sans doute parce que l’on est habitué à voir un peu de sentiments (ou plus) dans les yaois que l’on a une certaine attente dès qu’un nouveau titre parait. Ici, on ne sait absolument rien de leurs sentiments, tout ce que l’on voit c’est une amitié et des moments de partage. En réalité Country diary porte bien son nom, c’est une tranche de vie d’une petite campagne simple, agréable et sans prétention. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/country-diary-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Kingdom tome 69

    Nonnnnnnnnnnnn On a beau savoir que dans ce genre d'opposition l'un des deux généraux tomberait mais, ça reste toujours très épique et très intense. Surtout quand cela concerne un personnage central depuis quasiment la moitié des tomes passés. En tout cas cela rebat beaucoup de carte et remet au cœur de l'intrigue la stratégie de Qin mais aussi Shin et son unité. Une super fin d'arc qui nous lance vers une partie différente, mais permettant de changer un peu les acteurs en présence ce qui nous évitera de nous lasser.
  6. poseidon2

    Kingdom tome 69

    Titre de l'album : Kingdom tome 69 Scenariste de l'album : Yasuhisa Hara Dessinateur de l'album : Yasuhisa Hara Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Les troupes de Qin, désireuses de conquérir l'opulente ville de Kantan, progressent rapidement dans les profondeurs de l'État de Zhao, en direction de la cité de Gian. Leur marche se trouve tout à coup entravée par le génie tactique de Riboku qui paraît décidément avoir toujours un coup d'avance et qui réussit à asséner des dégâts considérables aux armées de Qin. Au moment où Kanki et son état-major se retrouvent acculés, l'ancien bandit devenu Grand Général choisit d'abattre sa dernière carte et de lancer toutes ses forces dans un ultime assaut contre le brillant stratège de Zhao... Critique : Nonnnnnnnnnnnn On a beau savoir que dans ce genre d'opposition l'un des deux généraux tomberait mais, ça reste toujours très épique et très intense. Surtout quand cela concerne un personnage central depuis quasiment la moitié des tomes passés. En tout cas cela rebat beaucoup de carte et remet au cœur de l'intrigue la stratégie de Qin mais aussi Shin et son unité. Une super fin d'arc qui nous lance vers une partie différente, mais permettant de changer un peu les acteurs en présence ce qui nous évitera de nous lasser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kingdom-tome-69?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    La romance du marionnettiste

    Gilbert est un commandant de l’armée adversaire, ayant perdu la guerre et ayant été capturé, il est condamné à mort. Mais Chris, un homme influent du pays, le réclame pour une expérience, il souhaite transférer son âme dans l’une de ses marionnettes. Car Chris est un inventeur de génie, il a construit de nombreux automates qui ont défait l’armée adversaire. Côté scénario il n’y a pas beaucoup de développements, quasiment toute l’histoire se déroule entre Gilbert et Chris, il y a bien quelques aléas par ci par là mais rien qui ne prenne vraiment de l’importance à part peut-être quand Gilbert retrouve momentanément ses anciens compagnons. Entre eux la relation est la suivante : Gilbert ne veut pas devenir une marionnette et propose de compenser Chris d’une autre façon, il doit se rendre utile et n’a que son physique pour lui. Chris n’a d’intérêt que pour ses créations mais veut que Gilbert soit consentant pour donner son âme afin que le transfert se passe au mieux. Peu à peu la proximité aidant, ils vont s’attacher l’un à l’autre. Une conclusion des plus classiques… C’est un peu dommage que le scénario ne soit pas plus travaillé car on a des personnages principaux forts et un concept de marionnettes intéressant et surtout un très beau graphisme qu’on aurait aimé admirer un peu plus longtemps.
  8. Titre de l'album : La romance du marionnettiste Scenariste de l'album : Hatoba Kogarashi Dessinateur de l'album : Hatoba Kogarashi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Juste avant d'être exécuté, Gilbert, chevalier saint et commandant des troupes ayant perdu la guerre, est sauvé par Chris, un marionnettiste du pays ennemi. Chris veut en réalité transférer l'âme de Gilbert dans un automate, ce que ce dernier refuse. Seulement, Chris lui donne un ultimatum : "Choisis. Devenir une de mes poupées, ou mourir ?". Gilbert lui propose alors de devenir son esclave sexuel à la place... Son corps est ainsi stimulé chaque nuit, se laissant envahir petit à petit par le plaisir... Critique : Gilbert est un commandant de l’armée adversaire, ayant perdu la guerre et ayant été capturé, il est condamné à mort. Mais Chris, un homme influent du pays, le réclame pour une expérience, il souhaite transférer son âme dans l’une de ses marionnettes. Car Chris est un inventeur de génie, il a construit de nombreux automates qui ont défait l’armée adversaire. Côté scénario il n’y a pas beaucoup de développements, quasiment toute l’histoire se déroule entre Gilbert et Chris, il y a bien quelques aléas par ci par là mais rien qui ne prenne vraiment de l’importance à part peut-être quand Gilbert retrouve momentanément ses anciens compagnons. Entre eux la relation est la suivante : Gilbert ne veut pas devenir une marionnette et propose de compenser Chris d’une autre façon, il doit se rendre utile et n’a que son physique pour lui. Chris n’a d’intérêt que pour ses créations mais veut que Gilbert soit consentant pour donner son âme afin que le transfert se passe au mieux. Peu à peu la proximité aidant, ils vont s’attacher l’un à l’autre. Une conclusion des plus classiques… C’est un peu dommage que le scénario ne soit pas plus travaillé car on a des personnages principaux forts et un concept de marionnettes intéressant et surtout un très beau graphisme qu’on aurait aimé admirer un peu plus longtemps. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-romance-du-marionnettiste?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Suite de ce triptyque adapté de la nouvelle de Lovecratf , parue en 1929 et considérée comme l'une des histoires au coeur du mythe de Cthulhu . Oui , vous m'avez bien lu , il s'agit du tome 2 nous laissant sur une fin pleine de suspens et un peu frustrante pour le lecteur . Le premier volume nous avait fait découvrir la petite ville de Dunwich et sa famille maudite , les Whateley . Wilbur l'enfant mystérieux , quitte le nid suite aux événements lus en amont , en direction de l'université de Miskatonic afin de parfaire ses connaissances sur le Nécronomicon , cet ouvrage mystérieux n'ayant pas livré tous ses secrets . Sa croissance folle par rapport à son âge ,son faciès étrange ainsi que l'odeur nauséabonde qui l'accompagne ne cessent de surprendre les personnes l'ayant connu . Quelles sont ses intentions ? D'autant que de sombres incidents se produisent à Dunwich : des vaches effrayées ou réduites en bouillie , des traces de pas aux proportions gigantesques et au profil totalement inconnu ,ou encore des grondements effrayants venant de la colline avoisinante ! L'épouvante ne nous quitte pas en feuilletant ces pages , le trait "photographique" de Tanabe revêt des aspects organiques sur certaines planches . Les visages horrifiés des protagonistes semblent nous transpercer , autant que ces jeux de regards appuyés et inquiétants au possible . Les moments plongés dans l'obscurité sont de toute beauté , l'auteur réalise des jeux de lumières incroyables . L'éclairage de la lampe torche vous semblera bien léger pour découvrir ce que cachent les recoins . Presque 100 ans après , les récits de Lovecraft ne cessent de nous surprendre , dans un monde culturel où l'exercice est de plus en plus difficile ! Cette collection magnifiquement éditée rentre de façon définitive dans les must-have des BDthèques !
  10. Titre de l'album : Les chefs d'oeuvre de Lovecraft - L'abomination de Dunwich tome 2 Scenariste de l'album : Gou Tanabe - Lovecraft Dessinateur de l'album : Gou Tanabe Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le vieux Whateley est inquiet. Il sent sa fin proche et paraît de plus en plus terrifié par les cris des engoulevents qui se massent autour de sa ferme... L'ancien ne tarde pas à rendre son dernier soupir, laissant sa fille Lavinia seule avec l'étrange enfant qu'elle a mis au monde. Le jeune Wilbur grandit à une vitesse phénoménale et semble chaque jour un peu moins humain... La mère qui se montrait si fière de lui commence à le craindre, puis disparaît. Il est temps pour le garçon de quitter la demeure familiale en direction d'Arkham, où sommeille le terrible ouvrage qui lui permettra d'accomplir son destin... Critique : Suite de ce triptyque adapté de la nouvelle de Lovecratf , parue en 1929 et considérée comme l'une des histoires au coeur du mythe de Cthulhu . Oui , vous m'avez bien lu , il s'agit du tome 2 nous laissant sur une fin pleine de suspens et un peu frustrante pour le lecteur . Le premier volume nous avait fait découvrir la petite ville de Dunwich et sa famille maudite , les Whateley . Wilbur l'enfant mystérieux , quitte le nid suite aux événements lus en amont , en direction de l'université de Miskatonic afin de parfaire ses connaissances sur le Nécronomicon , cet ouvrage mystérieux n'ayant pas livré tous ses secrets . Sa croissance folle par rapport à son âge ,son faciès étrange ainsi que l'odeur nauséabonde qui l'accompagne ne cessent de surprendre les personnes l'ayant connu . Quelles sont ses intentions ? D'autant que de sombres incidents se produisent à Dunwich : des vaches effrayées ou réduites en bouillie , des traces de pas aux proportions gigantesques et au profil totalement inconnu ,ou encore des grondements effrayants venant de la colline avoisinante ! L'épouvante ne nous quitte pas en feuilletant ces pages , le trait "photographique" de Tanabe revêt des aspects organiques sur certaines planches . Les visages horrifiés des protagonistes semblent nous transpercer , autant que ces jeux de regards appuyés et inquiétants au possible . Les moments plongés dans l'obscurité sont de toute beauté , l'auteur réalise des jeux de lumières incroyables . L'éclairage de la lampe torche vous semblera bien léger pour découvrir ce que cachent les recoins . Presque 100 ans après , les récits de Lovecraft ne cessent de nous surprendre , dans un monde culturel où l'exercice est de plus en plus difficile ! Cette collection magnifiquement éditée rentre de façon définitive dans les must-have des BDthèques ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-abomination-de-dunwich-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Shôri Kobayashi et ses potes sont des geeks, ils friment beaucoup dans les jeux en ligne mais dans la réalité, ce sont un peu les parias de la classe. Ils restent entre eux en espérant un jour se faire remarquer par la plus belle fille de l’école et rasent les murs quand ils croisent les voyous du lycée voisin. Mais un jour, ils reçoivent une notification de mise à jour de leur jeu, des monstres débarquent dans la réalité ! Après en avoir battu un, leur niveau augmente, Shôri peut à présent défendre la fille qu’il aime et mettre une raclée au voyou. Seulement voilà, ils ne sont pas les seuls à évoluer et à comprendre la manière de le faire. Pour une fois, les héros ne sont pas transportés dans un jeu ou autre monde mais le jeu débarque dans la réalité ! Tout à coup, des fenêtres pop-up de statut avec les niveaux et les compétences arrivent et nos geeks, plus habitués que d’autres, vont enfin pouvoir réaliser leur rêve de devenir des héros. Le concept est plutôt sympathique mais l’histoire est bourrée de clichés ! Les trois garçons sont des caricatures d’adolescents accro aux jeux qui fantasment sur les filles. Et les « méchants » sont assez intelligents pour profiter aussi du système. Au passage, on a le droit à un aspect de la décadence humaine : l’utilisation à mauvais escient de ces nouveaux pouvoirs, tout un sujet dont on ne débattra pas dans cette histoire ! Ce premier tome ne m’a pas vraiment convaincue, attendons la suite.
  12. Titre de l'album : Level up disaster - divine power tome 1 Scenariste de l'album : UCHIDA Takuya Dessinateur de l'album : UCHIDA Takuya Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Shôri Kobayashi passe sa vie à jouer en ligne pour oublier la réalité. Ce lycéen rêverait d'avoir une influence positive sur le monde, mais le courage lui manque. Un beau matin, pourtant, l'univers subit une étrange mise à jour... Les règles changent, des monstres féroces font irruption dans son quotidien et les losers d'hier deviennent les héros de demain ! Critique : Shôri Kobayashi et ses potes sont des geeks, ils friment beaucoup dans les jeux en ligne mais dans la réalité, ce sont un peu les parias de la classe. Ils restent entre eux en espérant un jour se faire remarquer par la plus belle fille de l’école et rasent les murs quand ils croisent les voyous du lycée voisin. Mais un jour, ils reçoivent une notification de mise à jour de leur jeu, des monstres débarquent dans la réalité ! Après en avoir battu un, leur niveau augmente, Shôri peut à présent défendre la fille qu’il aime et mettre une raclée au voyou. Seulement voilà, ils ne sont pas les seuls à évoluer et à comprendre la manière de le faire. Pour une fois, les héros ne sont pas transportés dans un jeu ou autre monde mais le jeu débarque dans la réalité ! Tout à coup, des fenêtres pop-up de statut avec les niveaux et les compétences arrivent et nos geeks, plus habitués que d’autres, vont enfin pouvoir réaliser leur rêve de devenir des héros. Le concept est plutôt sympathique mais l’histoire est bourrée de clichés ! Les trois garçons sont des caricatures d’adolescents accro aux jeux qui fantasment sur les filles. Et les « méchants » sont assez intelligents pour profiter aussi du système. Au passage, on a le droit à un aspect de la décadence humaine : l’utilisation à mauvais escient de ces nouveaux pouvoirs, tout un sujet dont on ne débattra pas dans cette histoire ! Ce premier tome ne m’a pas vraiment convaincue, attendons la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/level-up-disaster-divine-power-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : No longer allowed in another world tome 1 Scenariste de l'album : NODA Hiroshi Dessinateur de l'album : WAKAMATSU Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Cette nuit-là, un homme et sa bien-aimée se rendent sur l’aqueduc de la rivière Tamagawa afin de mettre fin à leur vie. Mais un camion surgit de nulle part… C’est à ce moment-là que cet homme, écrivain de métier, qui souhaite mourir va commencer à vivre une aventure fantastique dans un autre monde… Critique : Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-longer-allowed-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre.
  15. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 7 Scenariste de l'album : MURATA Kôji Dessinateur de l'album : MURATA Kôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Elle est amoureuse de Tsuyoshi Yowaki, un employé de l'entreprise, et c'est une demoiselle un peu naïve et gauche sur les bords quand il s'agit d'amour ! Leur amour parcourt le ciel d'été et le voyage d'entreprise touche à sa fin !! Quels mots prononcera Hana ?! De plus, le maladroit Tsuyoshi va devoir surmonter une épreuve !! Une comédie romantique mignonne, pleine de rires et de larmes entre une femme d'affaires et son véritable premier amour !!! Critique : Le voyage d’entreprise arrive à sa fin, les aveux se sont multipliés et surtout, surtout il y a enfin la scène du baiser entre Hana et Tsuyoshi ! Ensuite, Tsuyoshi va devoir faire face à la réalité, cela fait plusieurs années qu’il travaille dans l’entreprise et il n’a encore jamais sorti un projet potable, il lui reste 4 mois pour faire ses preuves, sinon il sera muté dans l’usine de production. Bon, ce sera notre dernière critique pour cette série, on va se concentrer sur les nouveautés et les coups de cœur. Hana l’inaccessible reste un manga gentillet, très fleur bleue et très niais par moment. Mais il n’en reste pas moins sympathique, les histoires d’amour sont agréables, les manigances sont gentilles et finalement, tout ce petit monde s’entend plutôt bien même quand il y a de la rivalité. Le point fort de la série reste son graphisme avec une mention particulière pour les expressions du visage qui font bien passer les sentiments. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 7

    Le voyage d’entreprise arrive à sa fin, les aveux se sont multipliés et surtout, surtout il y a enfin la scène du baiser entre Hana et Tsuyoshi ! Ensuite, Tsuyoshi va devoir faire face à la réalité, cela fait plusieurs années qu’il travaille dans l’entreprise et il n’a encore jamais sorti un projet potable, il lui reste 4 mois pour faire ses preuves, sinon il sera muté dans l’usine de production. Bon, ce sera notre dernière critique pour cette série, on va se concentrer sur les nouveautés et les coups de cœur. Hana l’inaccessible reste un manga gentillet, très fleur bleue et très niais par moment. Mais il n’en reste pas moins sympathique, les histoires d’amour sont agréables, les manigances sont gentilles et finalement, tout ce petit monde s’entend plutôt bien même quand il y a de la rivalité. Le point fort de la série reste son graphisme avec une mention particulière pour les expressions du visage qui font bien passer les sentiments.
  17. Nickad

    Rosso

    De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas…
  18. Nickad

    Rosso

    Titre de l'album : Rosso Scenariste de l'album : Gigi Ameno Dessinateur de l'album : Gigi Ameno Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Quand il était petit, la famille de Rosso fut massacrée par un vampire qui le transforma en loup-garou. Pour se venger, il devint enquêteur dans la sixième division de l'unité spéciale de la police, assignée aux affaires impliquant des vampires et des loups-garous. À la demande de ses supérieurs, il se voit contraint de former un nouvel enquêteur, Mikumo. D'abord agacé par Mikumo, Rosso et son nouveau partenaire vont se retrouver dans une situation délicate. Lui qui refuse de boire du sang non-synthétique, il se voit contraint de boire celui de Mikumo pour retrouver la pleine ampleur de ses pouvoirs. Mais cela fait également nôtre en lui un nouveau sentiment inconnu. Critique : De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rosso?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Solo camping for two tome 1

    Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait
  20. Titre de l'album : Solo camping for two tome 1 Scenariste de l'album : DEBATA Yûdai Dessinateur de l'album : DEBATA Yûdai Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Gen est un campeur solitaire. Ce qu'il préfère par-dessus tout est de se retrouver seul dans la nature. Il en profite jusqu'au jour où débarque la tornade Shizuku, une jeune femme qui pratique à merveille l'art de l'incruste. Sa délicieuse cuisine de plein air parviendra-t-elle à le faire changer d'avis ? Découvrez les meilleures recettes en extérieur aux côtés de ce duo chaud bouillant ! Critique : Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-camping-for-two-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. France, XVIIIe siècle, Marie-Jeanne Bertin est coiffeuse dans une ville de province, elle est couturière aussi à ses heures perdues. Elle jouit déjà d’une solide réputation mais elle est aussi consciente que ce n’est pas dans cette ville qu’elle pourra s’accomplir alors elle décide de partir pour Paris. Elle découvre alors la condition des couturières, des petites mains à la renommée, et surtout, elle découvre les tendances de la mode, voyant bien que là d’où elle vient, la mode a déjà un an de retard. Marie est bien décidée à faire ce qu’il faut pour percer et un jour ouvrir sa boutique. La première chose à savoir sur ce manga, c’est qu’il est historique, Rose Bertin a réellement existé ainsi que les autres personnages importants du récit. L’auteur a pris le temps également de se documenter sur l’époque, la mode, les coutumes et la vie parisienne. Un peu comme dans Céline, une vie parisienne (avec un siècle de décalage), le récit nous permet de découvrir d’autres facettes de Paris ainsi que plein de petits métiers. A chaque fin de chapitre, il y a « les petites anecdotes » de l’auteur où il revient sur certains aspects de l’histoire ainsi que sur la création du manga. Mais le manga est aussi l’aventure de Marie-Jeanne, qui prendra le nom de Rose plus tard, son talent, sa ténacité et son parcours. Un bon premier tome intéressant et distrayant.
  22. Titre de l'album : Rose Bertin, la couturière fatale tome 1 Scenariste de l'album : ISOMI Jingetsu Dessinateur de l'album : ISOMI Jingetsu Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Découvrez le destin de la couturière de Marie-Antoinette 1766, Abbeville. Rose Bertin est de loin la meilleure couturière de la ville. Ses robes fluides et confortables font sensation. On loue ses concepts novateurs et sa dextérité hors normes. Mais la jeune femme aspire à mieux. Elle rêve de gloire, de Paris et de devenir la plus grande couturière de France ! La concurrence sera rude pour imposer son style face à sa rivale Marie-Jeanne Bécu, la modiste la plus influente de la capitale. Critique : France, XVIIIe siècle, Marie-Jeanne Bertin est coiffeuse dans une ville de province, elle est couturière aussi à ses heures perdues. Elle jouit déjà d’une solide réputation mais elle est aussi consciente que ce n’est pas dans cette ville qu’elle pourra s’accomplir alors elle décide de partir pour Paris. Elle découvre alors la condition des couturières, des petites mains à la renommée, et surtout, elle découvre les tendances de la mode, voyant bien que là d’où elle vient, la mode a déjà un an de retard. Marie est bien décidée à faire ce qu’il faut pour percer et un jour ouvrir sa boutique. La première chose à savoir sur ce manga, c’est qu’il est historique, Rose Bertin a réellement existé ainsi que les autres personnages importants du récit. L’auteur a pris le temps également de se documenter sur l’époque, la mode, les coutumes et la vie parisienne. Un peu comme dans Céline, une vie parisienne (avec un siècle de décalage), le récit nous permet de découvrir d’autres facettes de Paris ainsi que plein de petits métiers. A chaque fin de chapitre, il y a « les petites anecdotes » de l’auteur où il revient sur certains aspects de l’histoire ainsi que sur la création du manga. Mais le manga est aussi l’aventure de Marie-Jeanne, qui prendra le nom de Rose plus tard, son talent, sa ténacité et son parcours. Un bon premier tome intéressant et distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rose-bertin-la-couturiere-fatale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Land tomes 1 & 2

    Waouh, celui-là il est bon ! Pourtant, au début de la lecture je le trouvais juste intéressant avec un bon scénario, il y avait de la teneur et beaucoup d’originalité et puis, peu à peu, l’histoire s’étoffe, il y a beaucoup d’éléments qui se mettent en place, beaucoup d’interrogations et en même temps de la réflexion. Et puis, il y a la fin du tome 2 qui interpelle et nous emmène ailleurs. Ensuite, la lecture finie, le livre ne se referme pas complétement, on y pense, on se questionne et on veut savoir la suite. Alors de quoi parle Land ? C’est d’abord la vie d’un territoire, une « seigneurie » avec son dirigeant, sa ville principale, ses hameaux et ses paysans qui mènent une vie simple. Chacun à sa tâche, son métier, sa place. Mais c’est surtout un peuple qui vit constamment selon des croyances et un tas de règles. La « land » se situe au centre de plusieurs montagnes, dans chaque direction se dresse la statue d’un Kami (un dieu), immense, qui scrute tous les faits et gestes des habitants. Et puis c’est l’histoire d’une famille, le père Sutekichi qui vient de perdre son épouse et qui a eu des jumelles, un crime pour cette communauté ! Mais il est tellement loyal aux règles qu’il sacrifie l’une de ses filles au kami (pour suivre la loi) et qu’il se crève les yeux pour expier ce crime. Ensuite il y a sa fille Ann qui se pose beaucoup de questions sur les règles de ce monde et qui se demande sans cesse ce qu’il y a de l’autre côté de la montagne, derrière les kamis, l’endroit que l’on appelle l’Autre Monde. Le peuple vit sans trop se poser de questions, il suit aveuglément les croyances et les coutumes et n’hésite pas à sacrifier son prochain si le dieu est mécontent ou si les présages sont mauvais. Mais il y a toujours des exceptions et Ann est l’un des éléments perturbateurs. Nous qui vivons dans un monde moderne, c’est assez horripilant de voir un peuple prêt à sacrifier son prochain de cette façon, on annonce de mauvaises récoltes, alors éliminons « les anormaux, les monstrueux », les moches… une façon aussi d’éliminer tous les éléments qui pourraient porter atteinte à l’autorité. On sent qu’il y a une raison derrière l’existence de ce territoire comme si quelqu’un voulait les garder à l’écart. C’est d’autant plus flagrant quand on aperçoit rapidement l’Autre Monde. Land est original, possède de nombreuses thématiques, c’est de la tranche de vie limite moyenâgeuse mais c’est aussi de l’aventure, du mystique, un peu de fantastique et de la politique. Tout est très équilibré, très réfléchi et bien construit. Un manga à lire, série finie en 11 tomes. Trailer
  24. Nickad

    Land tomes 1 & 2

    Titre de l'album : Land tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : YAMASHITA Kazumi Dessinateur de l'album : YAMASHITA Kazumi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Ici, les habitants meurent toujours à l'âge de 50 ans... »Dans une communauté appelée « Notre Monde », les Kamis, dieux protecteurs géants, surveillent étroitement leurs habitants qui les craignent plus que tout. Soumis à des coutumes strictes, Sutekichi est contraint de sacrifier l'une de ses jumelles pour préserver le village de la sécheresse. Huit ans plus tard, Ann mène une vie insouciante en compagnie de son père et de sa tante. Mais la jeune fille désire en savoir plus sur « l'Autre Monde », un univers inconnu et inaccessible, situé au-delà des montagnes. Elle est alors prête à tout pour découvrir ce qui se cache au-delà des hauteurs, quitte à braver les interdits...Véritable chef-d'œuvre fantastique et philosophique de l'autrice Kazumi Yamashita, Land est une série en 11 tomes lauréat du 25e grand Prix Osamu Tezuka de 2021. Critique : Waouh, celui-là il est bon ! Pourtant, au début de la lecture je le trouvais juste intéressant avec un bon scénario, il y avait de la teneur et beaucoup d’originalité et puis, peu à peu, l’histoire s’étoffe, il y a beaucoup d’éléments qui se mettent en place, beaucoup d’interrogations et en même temps de la réflexion. Et puis, il y a la fin du tome 2 qui interpelle et nous emmène ailleurs. Ensuite, la lecture finie, le livre ne se referme pas complétement, on y pense, on se questionne et on veut savoir la suite. Alors de quoi parle Land ? C’est d’abord la vie d’un territoire, une « seigneurie » avec son dirigeant, sa ville principale, ses hameaux et ses paysans qui mènent une vie simple. Chacun à sa tâche, son métier, sa place. Mais c’est surtout un peuple qui vit constamment selon des croyances et un tas de règles. La « land » se situe au centre de plusieurs montagnes, dans chaque direction se dresse la statue d’un Kami (un dieu), immense, qui scrute tous les faits et gestes des habitants. Et puis c’est l’histoire d’une famille, le père Sutekichi qui vient de perdre son épouse et qui a eu des jumelles, un crime pour cette communauté ! Mais il est tellement loyal aux règles qu’il sacrifie l’une de ses filles au kami (pour suivre la loi) et qu’il se crève les yeux pour expier ce crime. Ensuite il y a sa fille Ann qui se pose beaucoup de questions sur les règles de ce monde et qui se demande sans cesse ce qu’il y a de l’autre côté de la montagne, derrière les kamis, l’endroit que l’on appelle l’Autre Monde. Le peuple vit sans trop se poser de questions, il suit aveuglément les croyances et les coutumes et n’hésite pas à sacrifier son prochain si le dieu est mécontent ou si les présages sont mauvais. Mais il y a toujours des exceptions et Ann est l’un des éléments perturbateurs. Nous qui vivons dans un monde moderne, c’est assez horripilant de voir un peuple prêt à sacrifier son prochain de cette façon, on annonce de mauvaises récoltes, alors éliminons « les anormaux, les monstrueux », les moches… une façon aussi d’éliminer tous les éléments qui pourraient porter atteinte à l’autorité. On sent qu’il y a une raison derrière l’existence de ce territoire comme si quelqu’un voulait les garder à l’écart. C’est d’autant plus flagrant quand on aperçoit rapidement l’Autre Monde. Land est original, possède de nombreuses thématiques, c’est de la tranche de vie limite moyenâgeuse mais c’est aussi de l’aventure, du mystique, un peu de fantastique et de la politique. Tout est très équilibré, très réfléchi et bien construit. Un manga à lire, série finie en 11 tomes. Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/land-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Witch family tome 4

    Une critique de @Y_Kanzaki Honnêtement, je ne sais pas quoi penser de ce tome… Les histoires sont sympathiques mais pas hilarantes, le scénario se renouvelle mais n’est pas extraordinaire. Les personnages sont toujours sympathiques et amusants, et - à mon grand bonheur- Viola n’est pas trop présente. J’aurais néanmoins voulu une évolution dans les relations entre les personnages (Alyssa et Fennel par exemple). La seule scène assez amusante est celle où Auri, le père d’Alyssa, prodigue des conseils en amour. Un quatrième volet sympathique mais sans plus, qui montre les limites et l’essoufflement de la série.
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