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  1. Nickad

    Hellbound - l'enfer tome 2 (fin)

    4 ans après le châtiment public de Park Jeong Ja la secte Neo Veritas a pris de l’ampleur et s’est associée avec les pointes de flèches. Il est désormais difficile d’aller contre leurs opinions en public ou même de vivre sa vie comme on l’entend de peur de passer pour un hérétique et d’être passé à tabac. Quant à ceux qui ont reçu une damnation, s’ils ne se dénoncent pas pour que leur châtiment soit filmé, leur famille est prise pour cible. Heureusement, un groupe essaye de les aider. Hellbound est un manga résolument destiné à un public adulte, d’abord parce qu’il y a de la violence mais surtout par son propos : une réflexion sur le bien et le mal, les péchés et la dérive du fanatisme religieux. C’est percutant, effrayant même, bien sûr il y a le côté damnation et la façon dont le châtiment est exécuté mais c’est surtout l’attitude des humains qui est effroyable avec une montée d’intolérance et de haine. Certes, il faut prendre un peu de temps dans la lecture pour bien appréhender le propos mais c’est un très bon scénario servi par un graphisme réaliste notamment sur le rendu des traits de personnages qui situe bien l’action en Corée. Je n’ai pas vu la série mais le manga m’en a donné l’envie. A lire.
  2. Titre de l'album : Hellbound - l'enfer tome 2 (fin) Scenariste de l'album : SANG-HO Yeon Dessinateur de l'album : KYU-SOK Choi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Des hommes censés être honnêtes reçoivent un message mystérieux leur annonçant qu'il leur reste peu de temps à vivre avant d'être conduits en Enfer. À l'heure dite, des créatures apparaissent, ne laissant que des corps calcinés derrière eux ! Qui tire les ficelles de ce théâtre macabre ? Critique : 4 ans après le châtiment public de Park Jeong Ja la secte Neo Veritas a pris de l’ampleur et s’est associée avec les pointes de flèches. Il est désormais difficile d’aller contre leurs opinions en public ou même de vivre sa vie comme on l’entend de peur de passer pour un hérétique et d’être passé à tabac. Quant à ceux qui ont reçu une damnation, s’ils ne se dénoncent pas pour que leur châtiment soit filmé, leur famille est prise pour cible. Heureusement, un groupe essaye de les aider. Hellbound est un manga résolument destiné à un public adulte, d’abord parce qu’il y a de la violence mais surtout par son propos : une réflexion sur le bien et le mal, les péchés et la dérive du fanatisme religieux. C’est percutant, effrayant même, bien sûr il y a le côté damnation et la façon dont le châtiment est exécuté mais c’est surtout l’attitude des humains qui est effroyable avec une montée d’intolérance et de haine. Certes, il faut prendre un peu de temps dans la lecture pour bien appréhender le propos mais c’est un très bon scénario servi par un graphisme réaliste notamment sur le rendu des traits de personnages qui situe bien l’action en Corée. Je n’ai pas vu la série mais le manga m’en a donné l’envie. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-hellbound-l-enfer-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Kengan ashura t13-14

    Ça y est le premier tour du Kengan Ashura est terminé ! Et il se termine en apothéose sur ces deux tomes ci avec en clou du spectacle celui que tout le monde redoute : Le croc ! Et ce combat tient toute ces promesses. SI le premier combat est encore un combat bizarre avec un docteur tiré de the Rocky Horror Show, ce dernier combat st un vrai combat intense avec de la lutte, de la boxe et des combattants d'un niveau exceptionnel ! Le combat est dense, plein de rebondissement et nous montre un Croc qui fait froid dans le dos. En bref un combat qui clôture à merveille cette première phase et nous lance vers des combats encore plus ardus. Rien de nouveau sous le soleil de Kengan Ashura : ça se bat de façon violente et ça ne lâche rien. Le seul bémol ici est qu'on est uniquement centré sur les combats et que malheureusement on n'a pas trop d'affaire entre les patrons en coulisse. Affaires qui sont le sel de ces combats et rompent la monotonie.
  4. Titre de l'album : Kengan ashura t13-14 Scenariste de l'album : Sandrovich Yabako Dessinateur de l'album : Daromeon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : L'université Teito. Fondée comme une simple école la 4e année de la période Tenwa (1684), cette institution est devenue la première université nationale du Japon durant la 10e année de l'ère Meiji (1877). Depuis, elle est régulièrement première du classement des meilleurs établissements d'enseignement d'Asie. Toute l'élite du pays y est formée. Palmarès KENGAN : 1827 victoires et 842 défaites. ET SI TU ME FAISAIS LE PLAISIR... DE MOURIR ? MUJI TV. Chaîne hertzienne fondée en 1957 qui possède aujourd'hui 30 antennes locales dans tout le pays. C'est le sponsor offi ciel de la fédération de MMA Ultimate Fight, dont elle diffuse les combats. Palmarès KENGAN : 748 victoires et 103 défaites.TU VAS VOIR DE QUOI SONT CAPABLES LES HOMMES !! Critique : Ça y est le premier tour du Kengan Ashura est terminé ! Et il se termine en apothéose sur ces deux tomes ci avec en clou du spectacle celui que tout le monde redoute : Le croc ! Et ce combat tient toute ces promesses. SI le premier combat est encore un combat bizarre avec un docteur tiré de the Rocky Horror Show, ce dernier combat st un vrai combat intense avec de la lutte, de la boxe et des combattants d'un niveau exceptionnel ! Le combat est dense, plein de rebondissement et nous montre un Croc qui fait froid dans le dos. En bref un combat qui clôture à merveille cette première phase et nous lance vers des combats encore plus ardus. Rien de nouveau sous le soleil de Kengan Ashura : ça se bat de façon violente et ça ne lâche rien. Le seul bémol ici est qu'on est uniquement centré sur les combats et que malheureusement on n'a pas trop d'affaire entre les patrons en coulisse. Affaires qui sont le sel de ces combats et rompent la monotonie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kengan-ashura-tome-13?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Chacun ses gouts tome 4

    Ao et Haru continue leur colocation et leur découverte de l’autre : le fait que Haru se dévalorise parce qu’elle est une otaku et qui dit « otaku » dit personne qui n’est pas à la mode, qui est « répugnante », le petit côté boudeur de Ao quand Haru lui fait défaut…. On découvre aussi leur entourage et plus particulièrement celui de Ao avec la rencontre avec son amie d’enfance et une collègue de travail sous son charme. Ce qu’il y a de bien dans ce manga, c’est le côté positif. Chaque personnage, ou même plus généralement humain, a des blessures du passé, plus ou moins importantes, chacun a des points positifs et négatifs. La combinaison de nos deux protagonistes permet à chaque fois de discuter des situations et d’en ressortir le meilleur, cela finit toujours bien en gardant l’aspect le plus positif. Et même si Haru et Ao n’ont pas des personnalités que l’on croise tous les jours, au point de pouvoir s’y identifier, les situations évoquées sont celles du quotidien et peuvent nous permettre d’en tirer une leçon. Chacun ses gouts est un manga bienveillant, avec une grande bouffée d’optimisme, qui nous présente des tranches de vie simples et nous apprend à profiter du quotidien. Carpe diem comme on dit.
  6. Titre de l'album : Chacun ses gouts tome 4 Scenariste de l'album : MACHITA Dessinateur de l'album : MACHITA Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Haru craque pour un bijou qu'elle aperçoit. Ao est content de découvrir une nouvelle facette de Haru et l'invite à faire du shopping, mais Haru refuse catégoriquement sous prétexte que si une personne comme elle se fait belle, c'est répugnant. Ao ne veut plus que Haru se dévalorise et il va lui faire une proposition... Critique : Ao et Haru continue leur colocation et leur découverte de l’autre : le fait que Haru se dévalorise parce qu’elle est une otaku et qui dit « otaku » dit personne qui n’est pas à la mode, qui est « répugnante », le petit côté boudeur de Ao quand Haru lui fait défaut…. On découvre aussi leur entourage et plus particulièrement celui de Ao avec la rencontre avec son amie d’enfance et une collègue de travail sous son charme. Ce qu’il y a de bien dans ce manga, c’est le côté positif. Chaque personnage, ou même plus généralement humain, a des blessures du passé, plus ou moins importantes, chacun a des points positifs et négatifs. La combinaison de nos deux protagonistes permet à chaque fois de discuter des situations et d’en ressortir le meilleur, cela finit toujours bien en gardant l’aspect le plus positif. Et même si Haru et Ao n’ont pas des personnalités que l’on croise tous les jours, au point de pouvoir s’y identifier, les situations évoquées sont celles du quotidien et peuvent nous permettre d’en tirer une leçon. Chacun ses gouts est un manga bienveillant, avec une grande bouffée d’optimisme, qui nous présente des tranches de vie simples et nous apprend à profiter du quotidien. Carpe diem comme on dit. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chacun-ses-gouts-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Alors que Slam Dunk Star Edition vient de finir et que Shaman King tire sur sa fin, Kana nous relance une série d'un manga culte des années 80 : Yu yu Hasusho. Yu yu Hasusho c'est le premier manga à succès de l'auteur de Hunter x Hunter. C’est un manga terminé en 19 tomes (donc 10 tomes en Star édition si tout va bien) qui nous raconte l'histoire d'un gamin qui devient enquêteurs d'affaires impliquant des démons. Si le côté "shinigami" à la bleach est tout sauf nouveau, on doit se dire enlisant ce manga que c'est surement lui qui a démocratisé le genre. Concernant le manga en lui-même, je ne vous cacherais pas que les dessins sont vraiment old school. Plus que dans Shaman King. Mais par conter on retrouve avec plaisir un manga d'une époque où l'histoire évoluait rapidement. Pas de perte de temps ou d'histoires parallèles. Notre histoire avance à un rythme soutenu et on a la une histoire qui, sur un manga à succès actuel, serait délayé sur bien plus de tome. On se retrouve donc à être vraiment embarqué dans cette histoire et l'on suit avec plaisir ce héros très manichéen à la vision de la vie facile : ça me plait je suis à fond derrière. Ça ne me plait pas je castagne. Un manga qui mérite d'être re découvert !
  8. Titre de l'album : Yuyu Hasusho Star Edition - t1 et2 Scenariste de l'album : Yoshihiro Togashi Dessinateur de l'album : Yoshihiro Togashi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Yûsuke est un jeune homme malpoli, téméraire et parfois violent. On le craint dans toute la ville. Mais un beau jour, contre toute attente, il vole au secours d'un enfant, se fait percuter par une voiture à la place du jeune garçon et il perd la vie. Une fois arrivé dans l'autre monde, Yûsuke ne manque pas de se faire remarquer et se dispute avec le Roi Enma. Yûsuke se voit proposer de passer une épreuve qui lui permettrait peut-être de ressusciter. Mais de quoi pourrait-il bien s'agir ? Critique : Alors que Slam Dunk Star Edition vient de finir et que Shaman King tire sur sa fin, Kana nous relance une série d'un manga culte des années 80 : Yu yu Hasusho. Yu yu Hasusho c'est le premier manga à succès de l'auteur de Hunter x Hunter. C’est un manga terminé en 19 tomes (donc 10 tomes en Star édition si tout va bien) qui nous raconte l'histoire d'un gamin qui devient enquêteurs d'affaires impliquant des démons. Si le côté "shinigami" à la bleach est tout sauf nouveau, on doit se dire enlisant ce manga que c'est surement lui qui a démocratisé le genre. Concernant le manga en lui-même, je ne vous cacherais pas que les dessins sont vraiment old school. Plus que dans Shaman King. Mais par conter on retrouve avec plaisir un manga d'une époque où l'histoire évoluait rapidement. Pas de perte de temps ou d'histoires parallèles. Notre histoire avance à un rythme soutenu et on a la une histoire qui, sur un manga à succès actuel, serait délayé sur bien plus de tome. On se retrouve donc à être vraiment embarqué dans cette histoire et l'on suit avec plaisir ce héros très manichéen à la vision de la vie facile : ça me plait je suis à fond derrière. Ça ne me plait pas je castagne. Un manga qui mérite d'être re découvert ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yuyu-hakusho-star-edition-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Butterfly beast II tome 1

    Voici donc la suite des aventures de Ochô la kunoichi reconvertie en chasseuse (pour en savoir plus, allez voir la critique de la 1ere saison). Aventures n’est pas vraiment le terme approprié car Ochô n’a pas eu tellement le choix sur son nouveau mode de vie, elle doit éliminer les anciens shinobis qui ont mal tourné, et elle en souffre à chaque fois. Au travers des différentes histoires, on apprend un peu plus à connaître le quartier de Yoshiwara, le « quartier des plaisirs » situé au cœur de Tokyo et qui avait ses propres règles. Et c’est surtout la condition des courtisanes qui est dépeinte, leurs obligations, leurs rangs et leurs sentiments. Car aucune n’était vraiment libre, même celles de haut rang et à moins qu’un riche seigneur rachète leur dette, l’avenir était plutôt limité. Quant aux histoires d’amour, il valait mieux y renoncer. Ce tome est donc axé sur le quotidien de l’équipe de chasseur, l’histoire principale autour du passé d’Ochô n’est pas abordé dans ce tome mais on se doute qu’elle sera dans la suite. En plus d’un graphisme soigné avec une grande précision sur les personnages et décors, le scenario est des plus prenant entre aspect historique et action. Si vous aimez l’époque des samouraïs et ninjas, ce livre est fait pour vous. (en plus l'édition est de belle qualité)
  10. Titre de l'album : Butterfly beast II tome 1 Scenariste de l'album : NAGATE Yuka Dessinateur de l'album : NAGATE Yuka Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : 1636, début de l'ère d'Edo. Ochô a enfin retrouvé Kazuma, son ancien compagnon d'armes, qu'elle s'était juré de traquer. Cependant, ce dernier réussit à lui échapper, la kunoichi ne trouvant la force de l'arrêter. Malgré la paix ambiante, une guerre se prépare en secret dont l'objectif est de renverser le gouvernement en place. Kochô parviendra-t-elle à mettre finaux sombres desseins de son ancien amant ? Passion, crimes et châtiments sont au rendez-vous dans ce drame historique du Japon féodal ! Critique : Voici donc la suite des aventures de Ochô la kunoichi reconvertie en chasseuse (pour en savoir plus, allez voir la critique de la 1ere saison). Aventures n’est pas vraiment le terme approprié car Ochô n’a pas eu tellement le choix sur son nouveau mode de vie, elle doit éliminer les anciens shinobis qui ont mal tourné, et elle en souffre à chaque fois. Au travers des différentes histoires, on apprend un peu plus à connaître le quartier de Yoshiwara, le « quartier des plaisirs » situé au cœur de Tokyo et qui avait ses propres règles. Et c’est surtout la condition des courtisanes qui est dépeinte, leurs obligations, leurs rangs et leurs sentiments. Car aucune n’était vraiment libre, même celles de haut rang et à moins qu’un riche seigneur rachète leur dette, l’avenir était plutôt limité. Quant aux histoires d’amour, il valait mieux y renoncer. Ce tome est donc axé sur le quotidien de l’équipe de chasseur, l’histoire principale autour du passé d’Ochô n’est pas abordé dans ce tome mais on se doute qu’elle sera dans la suite. En plus d’un graphisme soigné avec une grande précision sur les personnages et décors, le scenario est des plus prenant entre aspect historique et action. Si vous aimez l’époque des samouraïs et ninjas, ce livre est fait pour vous. (en plus l'édition est de belle qualité) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butterfly-beast-ii-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    La déchéance d'un homme tome 2

    Yozo Oba continue tant bien que mal sa misérable existence, passant d’une femme à l’autre, se laissant entretenir, buvant plus que de raison, trahi par son « ami », il s’enfonce un peu plus chaque jour, se rapprochant dangereusement de la folie. Le texte de Dazai est d’une grande force, on ressent le cheminement qui mène Yozo vers l’enfer mais ce qui est encore plus surprenant c’est de voir combien Junji Itô lui apporte de la consistance. Il ne se contente pas d’illustrer le récit mais donne vie aux troubles psychiques, aux égarements de l’âme. De toute part, on est assailli des pensées du personnage, à la fois attiré par sa singularité et écœuré par son comportement ; même si lui se cherche ou cherche une place dans ce monde, il n’y a rien de bien à en tirer. On attend impatiemment ce qui le mènera à sa fin, la maladie ou la folie ? Fin au prochain volume.
  12. Titre de l'album : La déchéance d'un homme tome 2 Scenariste de l'album : DAZAI Osamu Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Yôzô Ôba souffre énormément du regard que les autres portent sur lui et ne comprend pas le bonheur de son entourage. La solution qu'il finit par trouver pour s'en guérir : se transformer en bouffon. C'est ainsi que s'écoulent ses jours, à se vouer à ce rôle de clown empli de souffrance. « Extérieurement, le sourire ne me quittait pas intérieurement, en revanche, c'était le désespoir. » Critique : Yozo Oba continue tant bien que mal sa misérable existence, passant d’une femme à l’autre, se laissant entretenir, buvant plus que de raison, trahi par son « ami », il s’enfonce un peu plus chaque jour, se rapprochant dangereusement de la folie. Le texte de Dazai est d’une grande force, on ressent le cheminement qui mène Yozo vers l’enfer mais ce qui est encore plus surprenant c’est de voir combien Junji Itô lui apporte de la consistance. Il ne se contente pas d’illustrer le récit mais donne vie aux troubles psychiques, aux égarements de l’âme. De toute part, on est assailli des pensées du personnage, à la fois attiré par sa singularité et écœuré par son comportement ; même si lui se cherche ou cherche une place dans ce monde, il n’y a rien de bien à en tirer. On attend impatiemment ce qui le mènera à sa fin, la maladie ou la folie ? Fin au prochain volume. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-decheance-d-un-homme-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    La déchéance d'un homme tome 1

    La déchéance d’un homme c’est tout d’abord un roman de Osamu Dazai sorti en 1948 où l’auteur s’inspire fortement de sa propre vie pour montrer ses désillusions du monde et surtout du genre humain. On suit la vie d’un homme qui ne sait pas s’affirmer, qui va subir la présence des autres, qui craint plus que tout leur regard et qui va finir par se perdre. Junji Itô en fait ici une adaptation en 3 volumes. Si le scénario suit le roman, Itô nous entraine bien dans son univers. D’abord par son dessin, sa façon très particulière de faire ressortir les émotions (l’effroi, le dégoût, la peur, la lassitude…) de ses personnages, ensuite par son interprétation des hallucinations que vit le personnage principal entre fantastique et horreur. Le rendu des paysages d’époque est superbe, avec le souci du détail mais c’est surtout dans les moments dramatiques que l’on ressent tout le génie de l’auteur avec sa capacité de nous entrainer avec lui. Soulignons aussi le grand retour de Junji Itô chez nos éditeurs avec la sortie des intégrales de Spirale et Gyo chez Delcourt et Tomié prévue en juillet chez Mangetsu.
  14. Titre de l'album : La déchéance d'un homme tome 1 Scenariste de l'album : DAZAI Osamu Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Yôzô Ôba souffre énormément du regard que les autres portent sur lui et ne comprend pas le bonheur de son entourage. La solution qu'il finit par trouver pour s'en guérir : se transformer en bouffon. C'est ainsi que s'écoulent ses jours, à se vouer à ce rôle de clown empli de souffrance. « Extérieurement, le sourire ne me quittait pas intérieurement, en revanche, c'était le désespoir. » Critique : La déchéance d’un homme c’est tout d’abord un roman de Osamu Dazai sorti en 1948 où l’auteur s’inspire fortement de sa propre vie pour montrer ses désillusions du monde et surtout du genre humain. On suit la vie d’un homme qui ne sait pas s’affirmer, qui va subir la présence des autres, qui craint plus que tout leur regard et qui va finir par se perdre. Junji Itô en fait ici une adaptation en 3 volumes. Si le scénario suit le roman, Itô nous entraine bien dans son univers. D’abord par son dessin, sa façon très particulière de faire ressortir les émotions (l’effroi, le dégoût, la peur, la lassitude…) de ses personnages, ensuite par son interprétation des hallucinations que vit le personnage principal entre fantastique et horreur. Le rendu des paysages d’époque est superbe, avec le souci du détail mais c’est surtout dans les moments dramatiques que l’on ressent tout le génie de l’auteur avec sa capacité de nous entrainer avec lui. Soulignons aussi le grand retour de Junji Itô chez nos éditeurs avec la sortie des intégrales de Spirale et Gyo chez Delcourt et Tomié prévue en juillet chez Mangetsu. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-decheance-d-un-homme-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc.
  16. Titre de l'album : Arpeggio of blue steel tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : ARK Performance Dessinateur de l'album : ARK Performance Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : 2039 : alors que le réchauffement climatique a fait monter le niveau des océans, les forces navales humaines sont décimées par la mystérieuse «flotte du Brouillard», dont les navires doués d'intelligence empêchent tout déplacement maritime. 17 ans plus tard Iona, avatar de l'un de ces navires, rejoint les forces humaines et s'allie à Gunzo Chihaya. Son aide ne sera pas de trop car le jeune homme, capitaine des corsaires Blue Steel, est engagé par le gouvernement japonais pour une mission qui pourrait enfin permettre à l'humanité de rivaliser avec ses ennemis. Critique : L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arpeggio-of-blue-steel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    My elder sister tome 3

    Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement.
  18. Titre de l'album : My elder sister tome 3 Scenariste de l'album : IIDA Pochi Dessinateur de l'album : IIDA Pochi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Démons comme dieux, sont au-delà du bien et du mal. Malgré son inquiétude, Yuu continue de mener sa vie de famille heureuse aux côtés de Chiyo. Cependant, une menace, difficile à définir, plane... Que peut bien manigancer la dénommée Haru ? Critique : Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-elder-sister-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Entre les lignes tome 3

    Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible.
  20. Titre de l'album : Entre les lignes tome 3 Scenariste de l'album : YAMASHITA Tomoko Dessinateur de l'album : YAMASHITA Tomoko Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L'heure de la rentrée au lycée a sonné pour Asa. Makio est absente lors de la cérémonie d'entrée de sa nièce. Makio ne sera pas une seconde maman pour Asa même si elle l'accompagne dans la vie. Et Asa ne peut s'empêcher de se sentir différentes de ses nouveaux camarades accompagnés par leurs parents. Le journal que sa tante lui a conseillé de tenir l'attend mais elle ne sait pas toujours quoi écrire dans ce tourbillon de sentiments et d'émotions contradictoires qui l'assaillent... Critique : Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-les-lignes-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Fire force t20-21

    Pfffff comme c'est bon. Et comme j'ai bien fait d'écouter mon fiston. J'avais un peu laché l'affaire sur Fire force. Trop de truc à lire, trop de séries en cours.... et il y avait un temp mort. Mon fils m'a seriné durant des jours me disant qu'il fallait que je me remette à jour alors un jour ou j'avais envie de ne pas reflechir je l'ai écouté et j'ai vraiment bien fait. Ces deux tomes sont excellents. Tout bouge ! le grand prédicateur, l'empire, la 8 ieme brigade, les pouvoirs de Shinra et d'Arthur, le capitaine Obi.... tout ! Un rythme de dingue, des combats de folie, des retournements de situations, des personnages qui vont au bout d'eux même et un suspens insoutenable. On ferme ce tome comme on peut fermer les meilleurs tomes des séries de Shonen : avec une furieuse envie de lire la suite ! C'est de la lecture détente mais de la bonne. Une lecture qui nous fait oublier des les premiers pages les soucis du quotidien et qui nous plonge au plein coeur d'une aventure démentielle. J'en veux encore ! et vite !
  22. Titre de l'album : Fire force t20-21 Scenariste de l'album : Atsushi Ohkubo Dessinateur de l'album : Atsushi Ohkubo Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L'église du Saint-Soleil s'est alliée avec le Grand Prédicateur, et le capitaine Ôbi de la 8e brigade a été emprisonné. Afin de sauver leur capitaine, Shinra et ses camarades, poursuivis par l'empire, vont s'introduire dans la grande prison de Fuchû avec l'aide du mystérieux Joker. Mais le capitaine Barns de la 1re brigade et les Exterminateurs, des experts en combat contre les détenteurs de pouvoirs, les attendent de pied ferme ! Face à Barns, le plus puissant adversaire qu'il ait jamais affronté, Shinra va devoir montrer que l'entraînement suivi à Asakusa a porté ses fruits ! Critique : Pfffff comme c'est bon. Et comme j'ai bien fait d'écouter mon fiston. J'avais un peu laché l'affaire sur Fire force. Trop de truc à lire, trop de séries en cours.... et il y avait un temp mort. Mon fils m'a seriné durant des jours me disant qu'il fallait que je me remette à jour alors un jour ou j'avais envie de ne pas reflechir je l'ai écouté et j'ai vraiment bien fait. Ces deux tomes sont excellents. Tout bouge ! le grand prédicateur, l'empire, la 8 ieme brigade, les pouvoirs de Shinra et d'Arthur, le capitaine Obi.... tout ! Un rythme de dingue, des combats de folie, des retournements de situations, des personnages qui vont au bout d'eux même et un suspens insoutenable. On ferme ce tome comme on peut fermer les meilleurs tomes des séries de Shonen : avec une furieuse envie de lire la suite ! C'est de la lecture détente mais de la bonne. Une lecture qui nous fait oublier des les premiers pages les soucis du quotidien et qui nous plonge au plein coeur d'une aventure démentielle. J'en veux encore ! et vite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fire-force-tome-21?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Tower of God tome 4

    Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon).
  24. Titre de l'album : Tower of God tome 4 Scenariste de l'album : SIU Dessinateur de l'album : SIU Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Pour celles et ceux qui réussissent à atteindre son sommet, il n’est aucun désir que la Tour de Dieu ne puisse exaucer. Seulement, combien y parviennent ? Pour le protéger, Bam a été contraint de parier le Mars Noir avec Anak. Khun, Rak et lui n’ont plus d’autres choix que de gagner le jeu de la couronne... Leur entrée en scène s’est bien passée puisqu’ils se sont emparés du précieux couvre-chef. Toutefois, Khun l’a immédiatement rejeté entre leurs ennemis en se moquant d’eux, excitant leur colère ! Qu’a-t-il en tête ? Critique : Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tower-of-god-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Ces deux tomes marquent la fin de l’épisode du « désastre », quelques combats mais surtout des révélations sur le passé d’Akira, de Yuri, de Mion, des observateurs... On commence à comprendre quels sont les objectifs d’un tel jeu. Mais surtout il y a une conversation entre Akira et Kumagiri sur la confiance : qu’est-ce que c’est et comment l’accorder/l’obtenir. Cela va avoir des conséquences sur Akira qui va devoir se remettre en cause mais cela va lui permettre d’évoluer. Tout en ayant toujours beaucoup d’action, le manga gagne en profondeur, Akira et Otomo ne sont pas là par hasard (entre autre). Et s’il y a parfois des longueurs, le manga continue à être intéressant d’autant plus qu’il est servi par un graphisme adéquate, dynamique et détaillé. On continuera donc de le lire.
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