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  1. Subaru et Togo sont à présent ensembles. Les parents de Subaru s’inquiètent un peu de cette relation, non pas parce qu’il sort avec un homme mais plus car l’appartement de Togo n’est pas vraiment fait pour les personnes en fauteuil roulant et ils ont peur que Subaru ne se blesse. Au même moment Togo cherche en nouveau logement dans l’espoir d’emménager avec Subaru. La romance entre les protagonistes se poursuit et elle est toute mignonne. La rencontre avec les parents de Subaru permet au lecteur de prendre conscience de certaines difficultés de la vie de tous les jours pour les personnes à mobilité réduite. Le manga parle de cette situation avec beaucoup de simplicité sans jamais tomber dans l’apitoiement, cela le manga agréable à lire et cela permet également de ne pas cataloguer les gens handicapés. C’est juste une romance pure et sincère avec quelques aménagements et de beaux moments à vivre.
  2. Titre de l'album : Après avoir regardé le ciel étoilé tome 2 (fin) Scenariste de l'album : KIDA Bisco Dessinateur de l'album : KIDA Bisco Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Subaru est designer et se déplace en fauteuil roulant. Il doit créer le design d'une brochure pour un spectacle en planétarium en collaboration avec son photographe favori, Togo. Une fois son travail terminé, Subaru se rend à l'avant-première du projet et se retrouve face à Togo. Ils admirent ensemble le ciel étoilé, et Subaru sent son coeur battre la chamade... Critique : Subaru et Togo sont à présent ensembles. Les parents de Subaru s’inquiètent un peu de cette relation, non pas parce qu’il sort avec un homme mais plus car l’appartement de Togo n’est pas vraiment fait pour les personnes en fauteuil roulant et ils ont peur que Subaru ne se blesse. Au même moment Togo cherche en nouveau logement dans l’espoir d’emménager avec Subaru. La romance entre les protagonistes se poursuit et elle est toute mignonne. La rencontre avec les parents de Subaru permet au lecteur de prendre conscience de certaines difficultés de la vie de tous les jours pour les personnes à mobilité réduite. Le manga parle de cette situation avec beaucoup de simplicité sans jamais tomber dans l’apitoiement, cela le manga agréable à lire et cela permet également de ne pas cataloguer les gens handicapés. C’est juste une romance pure et sincère avec quelques aménagements et de beaux moments à vivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apres-avoir-regarde-le-ciel-etoile-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Strelitzia

    Tao a toujours rêvé de devenir un hôte dans un club comme son idole Jin. Il arrive à être embauché dans le même club mais ce dernier n’exerce plus. Il rencontre alors Chika qui va lui apprendre les ficelles du métier. Comme j’avais prévu de faire une semaine boy’s love pour Noël comme en Asie, c’est une fête pour les amoureux, j’ai lu un certain nombre de yaoi avant de les chroniquer (une douzaine). Celui-là fait partie, hélas pour lui, de ceux dont je ne me souvenais plus deux semaines après la lecture… il a fallu que je le feuillette à nouveau pour savoir de quoi il parlait. En soi, il n’est pas mal fait, la lecture est fluide, le scenario tient la route et le dessin est agréable. Mais il est assez quelconque, les personnages n’ont pas de grandes ambitions, il n’y a pas grand-chose en dehors de la relation entre les deux protagonistes et même dans ce domaine, il n’y a pas de surprise.
  4. Nickad

    Strelitzia

    Titre de l'album : Strelitzia Scenariste de l'album : YUITSU Dessinateur de l'album : YUITSU Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Tao passe un entretien d'embauche pour travailler dans le club d'hôtes où son idole, Jin, travaillait auparavant. L'entretien ne se passe pas sans accrocs, mais à sa grande surprise, Tao est embauché et commence à travailler comme hôte. L'homme qui s'occupe de le former s'appelle Chika : c'est également celui qui lui a fait passer l'entretien. Lorsque Chika annonce à Tao qu'il n'a pas le moindre sex-appeal, celui-ci décide de suivre ses conseils pour devenir plus désirable, et de travailler dur pour être à la hauteur de Jin... Mais tout change lorsqu'il se rend compte que Chika et Jin sont la même personne ! Critique : Tao a toujours rêvé de devenir un hôte dans un club comme son idole Jin. Il arrive à être embauché dans le même club mais ce dernier n’exerce plus. Il rencontre alors Chika qui va lui apprendre les ficelles du métier. Comme j’avais prévu de faire une semaine boy’s love pour Noël comme en Asie, c’est une fête pour les amoureux, j’ai lu un certain nombre de yaoi avant de les chroniquer (une douzaine). Celui-là fait partie, hélas pour lui, de ceux dont je ne me souvenais plus deux semaines après la lecture… il a fallu que je le feuillette à nouveau pour savoir de quoi il parlait. En soi, il n’est pas mal fait, la lecture est fluide, le scenario tient la route et le dessin est agréable. Mais il est assez quelconque, les personnages n’ont pas de grandes ambitions, il n’y a pas grand-chose en dehors de la relation entre les deux protagonistes et même dans ce domaine, il n’y a pas de surprise. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/strelitzia?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Roses et champagne tome 1

    Voici un webtoon étonnant : il ne faut ni se fier à la couverture ni à son titre, je me demande encore après avoir lu toute la série pourquoi un tel titre a été choisi… Bref vous l’aurez compris entre ma note et le fait que j’ai tout lu montre que ce 1er tome m’a emballé !! Jeong Iwon est un jeune avocat coréen qui s’est rendu en Russie pour exaucer le dernier vœu de sa mère, en attendant de retrouver son père, il aide des voisins aux prises avec un élu peu honnête. C’est là qu’il rencontre César, surnommé le « tsar », le futur dirigeant du clan mafieux Sergueïev. César est immédiatement attiré par Iwon et comme il a un peu de mal à l’attire dans ses filets, il n’hésite pas à lui promettre des preuves et des indices pour le faire avance dans son procès. En plus du jeu de chat et de la souris entre les deux hommes, ou plutôt entre deux fauves, on a des intrigues politiques et des luttes de clans mafieux. L’originalité du webtoon se trouve dans le lieu où se déroule l’histoire : en Russie, on découvre ainsi l’intransigeance des mafieux, la loi du milieu et le froid nordique. C’est également parti pour une flopée de noms biens slaves et des hommes bien bâtis ! La relation entre les deux personnages prend son temps et c’est tant mieux ! Il n’y a pas de scène osée dans ce 1er tome, car le développement du scénario s’oriente tout autant sur la situation entre les clans, sur le dossier en justice et sur leur relation. Les 3 éléments se combinent bien et sont bien équilibrés. Un avertissement cependant sur la suite de la série, il y a un passage plus tard (vers le chapitre 40) qui n’est pas à mettre entre toutes les mains. Roses et champagne a su nous surprendre de la meilleure façon qu’il soit en nous proposant un scénario original et complexe. Il est en plus servi par un graphisme soigné et une édition de qualité. De quoi nous mettre l’eau à la bouche ! La série principale devrait compter 4 volumes. Il existe ensuite des histoires annexes qui sont toujours en cours.
  6. Titre de l'album : Roses et champagne tome 1 Scenariste de l'album : ZIG Dessinateur de l'album : Ttung Gae Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : A Moscou, l'avocat Jeong Iwon lutte dans un procès sans merci. Son seul espoir, un allié inattendu : César Alexandrovitch Sergueiev, héritier d'un groupe de la mafia. Entre les deux hommes, un jeu tortueux se met rapidement en place. Entre violence, complots et désir, lequel sera le premier à céder à son attirance brûlante ? Critique : Voici un webtoon étonnant : il ne faut ni se fier à la couverture ni à son titre, je me demande encore après avoir lu toute la série pourquoi un tel titre a été choisi… Bref vous l’aurez compris entre ma note et le fait que j’ai tout lu montre que ce 1er tome m’a emballé !! Jeong Iwon est un jeune avocat coréen qui s’est rendu en Russie pour exaucer le dernier vœu de sa mère, en attendant de retrouver son père, il aide des voisins aux prises avec un élu peu honnête. C’est là qu’il rencontre César, surnommé le « tsar », le futur dirigeant du clan mafieux Sergueïev. César est immédiatement attiré par Iwon et comme il a un peu de mal à l’attire dans ses filets, il n’hésite pas à lui promettre des preuves et des indices pour le faire avance dans son procès. En plus du jeu de chat et de la souris entre les deux hommes, ou plutôt entre deux fauves, on a des intrigues politiques et des luttes de clans mafieux. L’originalité du webtoon se trouve dans le lieu où se déroule l’histoire : en Russie, on découvre ainsi l’intransigeance des mafieux, la loi du milieu et le froid nordique. C’est également parti pour une flopée de noms biens slaves et des hommes bien bâtis ! La relation entre les deux personnages prend son temps et c’est tant mieux ! Il n’y a pas de scène osée dans ce 1er tome, car le développement du scénario s’oriente tout autant sur la situation entre les clans, sur le dossier en justice et sur leur relation. Les 3 éléments se combinent bien et sont bien équilibrés. Un avertissement cependant sur la suite de la série, il y a un passage plus tard (vers le chapitre 40) qui n’est pas à mettre entre toutes les mains. Roses et champagne a su nous surprendre de la meilleure façon qu’il soit en nous proposant un scénario original et complexe. Il est en plus servi par un graphisme soigné et une édition de qualité. De quoi nous mettre l’eau à la bouche ! La série principale devrait compter 4 volumes. Il existe ensuite des histoires annexes qui sont toujours en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/roses-et-champagne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Voici un nouveau spin-off de Goblin Slayer, celui-ci se déroulant 10 ans avant les événements de la série principale. On suit un groupe d’aventuriers débutants se rendant dans la cité érigée au-dessus du labyrinthe de la mort où se trouverait la source du mal. Si avec le temps beaucoup d’aventuriers se cantonnent aux premiers étages du donjon pour récupérer des richesses, quelques-uns ont encore la volonté de vouloir conquérir le donjon pour aller tuer le boss de fin. C’est le cas des personnages de ce spin-off. Arrivés à 3, ils font la connaissance, dans ces deux premiers tomes, des 3 autres membres qui formeront leur équipe. Le manga commence par les évènements de la fin puis qu’il montre un extrait du combat final, on revient ensuite sur le cheminement qui les as emmenés à ce stade. Le scénario est assez sombre et le graphisme rend bien l’ambiance de dark fantasy, il est détaillé, un peu chargé parfois mais il fait bien ressortir le climat inquiétant du donjon et les combats. Côté scénario, le côté sombre ressort très bien avec l’éphémérité de la vie des aventuriers et les réflexions des personnages qui sont conscients que tout peut basculer à n’importe quel moment. Je m’inquiète plus sur la durée de la série, à la fin du tome 2, l’escalier menant au 3eme niveau du donjon vient tout juste d’être découvert. Quand on sait que le boss final se trouve au dernier niveau et que souvent il y a 100 niveaux dans un donjon, je crains que le manga ne dure longtemps… En dehors de cette inquiétude, on a un bon scénario de dark fantasy même s’il n’est pas vraiment original. Le graphisme y a une part belle et apporte une réelle immersion dans l’histoire, reste à savoir si le déroulement va trainer en longueur ou sera aller à l’essentiel. A suivre.
  8. Plus que 2 tomes.... plus que deux tomes en sortie de ces deux-ci avant de conclure notre histoire. Deux tomes amenés magistralement par ces tomes 23 et 24 qui nous montre le combat prenant lieux au mont saint michel. COMbat opposant les Shirogane renégat O à l'équipe de Masaru. Une équipe qui se renforce intelligemment via le comportement des premiers automates fabriqués par Francine. Un comportement intelligent qui nous montre que Kazuhiro Fujita maitrise absolument toute son histoire en renvoyant les automates de Francine vers l'état qu'avait réussi à trouver leur maitresse lors de la naissance d'Eleonore. Ces deux tomes nous livrent les derniers des combats en "solitaire" de nos amis nous lançant vers l'explication finale dans les tomes 25 et 26. Explication finale entre Masaru et Faceless mais aussi entre Masaru, Eleonore et....Narumi. Je dois bien avouer que je ne sais quelles explications me font le plus peurs…
  9. Titre de l'album : Karakuri circus - perfect edition tome 23 & 24 Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Georges, Ashihana... Que les combats commencent ! Les combats se multiplient autour du centre de recherche où se trouve Harry, le dernier espoir de l'humanité. De puissants ennemis se présentent face à Minxia, Georges et Ashihana... Blessés les uns après les autres, ils finissent par s'effondrer... Tandis que Narumi affronte Blom Blom Low, contre qui ses techniques semblent n'avoir aucun effet ! Critique : Plus que 2 tomes.... plus que deux tomes en sortie de ces deux-ci avant de conclure notre histoire. Deux tomes amenés magistralement par ces tomes 23 et 24 qui nous montre le combat prenant lieux au mont saint michel. COMbat opposant les Shirogane renégat O à l'équipe de Masaru. Une équipe qui se renforce intelligemment via le comportement des premiers automates fabriqués par Francine. Un comportement intelligent qui nous montre que Kazuhiro Fujita maitrise absolument toute son histoire en renvoyant les automates de Francine vers l'état qu'avait réussi à trouver leur maitresse lors de la naissance d'Eleonore. Ces deux tomes nous livrent les derniers des combats en "solitaire" de nos amis nous lançant vers l'explication finale dans les tomes 25 et 26. Explication finale entre Masaru et Faceless mais aussi entre Masaru, Eleonore et....Narumi. Je dois bien avouer que je ne sais quelles explications me font le plus peurs… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-24-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Radiant t18

    Pour les 10 ans de radiant, Tony Valente nous offre le début d'un tout nouveau cycle. Et qui dit nouveau cycle dit un tome d'apaisement ou nos héros pansent leurs plaies et se découvre un objectif impérieux : celui d'empêcher Seth de mettre en place son plan de fin du monde. SI je n'aime que moyennement les tomes de transitions, je dois bien avouer que Radiant en avait besoin ! En effet, la fin de dernier cycle était intense, longue et globalement compliquée. On prend donc ce tome de repos comme nos héros : un moment pour se remettre les idées aux clairs et souffler un peu en essayant de bien comprendre les répercussions des combats à venir. Un tome qui montre qu'il est parfois de bon gout de se reposer
  11. poseidon2

    Radiant t18

    Titre de l'album : Radiant t18 Scenariste de l'album : Tony Valente Dessinateur de l'album : Tony Valente Coloriste : Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Alors que l'affrontement contre les Domitors fait rage, Seth parvient à expulser Piodon du champ de bataille. Profitant de la cohue, Grimm, Ocoho, Diabal et Lupa s'échappent, emportant Seth inconscient. En chemin, ils récupèrent Doc et Mélie qui est parvenue à accomplir le rituel qui la lie à son Némésis. Une fois en sécurité, Lupa révèle qu'Adhès veut soumettre le monde au jugement dernier. Seth jure alors de contrer le plan ''Tartaros''. Critique : Pour les 10 ans de radiant, Tony Valente nous offre le début d'un tout nouveau cycle. Et qui dit nouveau cycle dit un tome d'apaisement ou nos héros pansent leurs plaies et se découvre un objectif impérieux : celui d'empêcher Seth de mettre en place son plan de fin du monde. SI je n'aime que moyennement les tomes de transitions, je dois bien avouer que Radiant en avait besoin ! En effet, la fin de dernier cycle était intense, longue et globalement compliquée. On prend donc ce tome de repos comme nos héros : un moment pour se remettre les idées aux clairs et souffler un peu en essayant de bien comprendre les répercussions des combats à venir. Un tome qui montre qu'il est parfois de bon gout de se reposer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/radiant-tome-18?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Petits secrets entre collègues

    Ayakawa et Yamagishi sont comme chien et chat au travail, ils se disputent sans arrêt et se sentent obligés d’être en compétition avec l’autre. Dans leur vie privée, c’est tout le contraire, ces deux-là sont en couple, le distingué Ayakawa se comporte comme un enfant gâté et le froid Yamagishi sait se montrer attentionné et entreprenant. Le titre du manga ne cachait pas grand-chose à l’histoire et il ne faut pas non plus y chercher des rebondissements à n’en plus finir. Tout tient dans un postulat simple, un couple qui travaille au même endroit et qui cache leur relation. Quoi de mieux alors pour brouiller les pistes que de se chamailler ouvertement ? Si cette attitude est en partie volontaire, leurs comportements ne sont pas complétement artificiels et reflètent des facettes de leur personnalité. Si l’histoire n’est pas désagréable, elle ne présente pas non plus une grande originalité et l’aspect « gamin » d’ Ayakawa est un peu surfait. Un manga distrayant à lire pour passer le temps.
  13. Titre de l'album : Petits secrets entre collègues Scenariste de l'album : NIKUYA Inui Dessinateur de l'album : NIKUYA Inui Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le responsable des ventes, Ayakawa, et le designer, Yamagishi, s'entendent comme chien et chat. Un jour, Ayakawa apprend d'un de ses collègues que Yamagishi a un amant au sein de l'entreprise... Mais il est l'amant en question ! Arriveront-ils à garder leur relation secrète ? Critique : Ayakawa et Yamagishi sont comme chien et chat au travail, ils se disputent sans arrêt et se sentent obligés d’être en compétition avec l’autre. Dans leur vie privée, c’est tout le contraire, ces deux-là sont en couple, le distingué Ayakawa se comporte comme un enfant gâté et le froid Yamagishi sait se montrer attentionné et entreprenant. Le titre du manga ne cachait pas grand-chose à l’histoire et il ne faut pas non plus y chercher des rebondissements à n’en plus finir. Tout tient dans un postulat simple, un couple qui travaille au même endroit et qui cache leur relation. Quoi de mieux alors pour brouiller les pistes que de se chamailler ouvertement ? Si cette attitude est en partie volontaire, leurs comportements ne sont pas complétement artificiels et reflètent des facettes de leur personnalité. Si l’histoire n’est pas désagréable, elle ne présente pas non plus une grande originalité et l’aspect « gamin » d’ Ayakawa est un peu surfait. Un manga distrayant à lire pour passer le temps. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/petits-secrets-entre-collegues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Scramblues

    Titre de l'album : Scramblues Scenariste de l'album : MARCH Mame Dessinateur de l'album : MARCH Mame Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec comme métaphore la question de la création artistique, mame march développe une histoire pleine de sincérité. Ses personnages, au fil des pages, apprendront à exprimer leur voix la plus authentique, et ce, pour notre plus grand plaisir. Kurosaki aime la musique depuis son enfance. Devenu adulte, il travaille en tant que graphiste dans une agence de design. Sa carrière ne semble pas décoller et il a bien du mal à créer des visuels qui plaisent aux clients. Mais quand, un jour, son entreprise se voit confier la mission de réaliser la pochette d'album d'un chanteur populaire, Kurosaki croit y voir une opportunité d'allier passion et travail. Problème : le client, Eddie Astley, est un artiste particulièrement difficile à satisfaire... Entre concerts, frustrations et secrets du passé, ces deux-là arriveront-ils à s'entendre ? Critique : Kurosaki est graphiste, il doit réaliser un projet pour le prochain album d’Eddie Asley, un musicien célèbre tant par son talent que pour son exigence. La rencontre entre ces deux hommes ne va pas se dérouler de la meilleure façon possible. Mais peu à peu, Kurosaki, passionné depuis tout jeune par la musique va arriver à s’immiscer dans l’univers d’Eddie et le toucher par sa sincérité. Derrière la rencontre, le manga met à l’honneur la composition musicale et le graphisme. Que ce soit pour l’un comme pour l’autre, deux métiers où l’imagination et l’art prédominent, le scénario met bien en valeur le processus créatif. Il y a évidemment la manière de composer, d’arriver à coucher sur partitions les idées que l’on a en tête mais aussi la gestion, comme pour l’écrivain, de la page blanche. A côté de ça, il y a le métier de graphiste, celui qui doit mettre en forme les idées d’autrui tout en faisant un objet (publicitaire, affiche…) qui attire l’attention et qui est percutant. En plus de devoir trouver des idées, le graphiste doit en plus pouvoir s’immerger dans ce que veut son interlocuteur sans vraiment le connaître. C’est finalement grâce à son envie de faire un produit parfait que Kurosaki se rapproche d’Eddie et que des liens se créent. Cependant ce n’est pas forcément ce que l’on retiendra du manga. Ce que l’histoire offre au lecteur c’est une force et une volonté : aller au bout de ce que l’on veut entreprendre, ne pas se laisser démoraliser et aussi s’ouvrir aux autres. Scramblues nous embarque avec lui dans une histoire plaisante et convaincante, on aurait aimé pourtant un peu plus de magie graphiquement parlant : il y a de très bons passages notamment dans les décors et le rendu des concerts mais cela manque parfois de finesse au niveau des personnages. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/scramblues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Scramblues

    Kurosaki est graphiste, il doit réaliser un projet pour le prochain album d’Eddie Asley, un musicien célèbre tant par son talent que pour son exigence. La rencontre entre ces deux hommes ne va pas se dérouler de la meilleure façon possible. Mais peu à peu, Kurosaki, passionné depuis tout jeune par la musique va arriver à s’immiscer dans l’univers d’Eddie et le toucher par sa sincérité. Derrière la rencontre, le manga met à l’honneur la composition musicale et le graphisme. Que ce soit pour l’un comme pour l’autre, deux métiers où l’imagination et l’art prédominent, le scénario met bien en valeur le processus créatif. Il y a évidemment la manière de composer, d’arriver à coucher sur partitions les idées que l’on a en tête mais aussi la gestion, comme pour l’écrivain, de la page blanche. A côté de ça, il y a le métier de graphiste, celui qui doit mettre en forme les idées d’autrui tout en faisant un objet (publicitaire, affiche…) qui attire l’attention et qui est percutant. En plus de devoir trouver des idées, le graphiste doit en plus pouvoir s’immerger dans ce que veut son interlocuteur sans vraiment le connaître. C’est finalement grâce à son envie de faire un produit parfait que Kurosaki se rapproche d’Eddie et que des liens se créent. Cependant ce n’est pas forcément ce que l’on retiendra du manga. Ce que l’histoire offre au lecteur c’est une force et une volonté : aller au bout de ce que l’on veut entreprendre, ne pas se laisser démoraliser et aussi s’ouvrir aux autres. Scramblues nous embarque avec lui dans une histoire plaisante et convaincante, on aurait aimé pourtant un peu plus de magie graphiquement parlant : il y a de très bons passages notamment dans les décors et le rendu des concerts mais cela manque parfois de finesse au niveau des personnages.
  16. poseidon2

    Tokyo aliens tome 5

    Cinquième tome de Tokyo Alien et tome qui clôturera très surement mon suivi de ce manga. En effet, ce tome 5 est 'trop' comme les précédents. Il est graphiquement sublime, il n'y a rien à dire là-dessus, mais il ne nous apprend que très peu de chose. En fait, on a vraiment l'impression que l'ensemble du scenario de ces 5 tomes auraient pu tenir en un seul. On n'en sait toujours pas plus sur le père de notre héros. On apprend un petit truc, mais dont on se doutait, mais sur le reste, on n'apprend rien du tout.... et à la longue ca devient ennuyant. La première page du tome 6 n'étant pas vraiment engageante, je pense arrêter ici une série qui cochait pourtant toutes les cases pour me plaire au démarrage. Dommage
  17. Titre de l'album : Tokyo aliens tome 5 Scenariste de l'album : Naoe Dessinateur de l'album : Naoe Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Akira accompagne Reiji pour intercepter un alien introduit illégalement sur Terre par des trafiquants, mais la bête les attaque, blessant gravement Akira. Reiji ne lève pas le petit doigt jusqu'à ce qu'il remarque ce que la cible se déchaîne !! quels sont les secrets que cache le plus redoutable combattant de l'AMO...? Critique : Cinquième tome de Tokyo Alien et tome qui clôturera très surement mon suivi de ce manga. En effet, ce tome 5 est 'trop' comme les précédents. Il est graphiquement sublime, il n'y a rien à dire là-dessus, mais il ne nous apprend que très peu de chose. En fait, on a vraiment l'impression que l'ensemble du scenario de ces 5 tomes auraient pu tenir en un seul. On n'en sait toujours pas plus sur le père de notre héros. On apprend un petit truc, mais dont on se doutait, mais sur le reste, on n'apprend rien du tout.... et à la longue ca devient ennuyant. La première page du tome 6 n'étant pas vraiment engageante, je pense arrêter ici une série qui cochait pourtant toutes les cases pour me plaire au démarrage. Dommage Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokyo-aliens-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : L'eau retourne toujours à la mer tome 1 Scenariste de l'album : TAJIMA Retto Dessinateur de l'album : TAJIMA Retto Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Intégrant un lycée loin de chez lui, Naotatsu part vivre chez son oncle, plus proche. Mais lorsqu'il arrive à la gare c'est Sakaki, une parfaite inconnue, qui vient le chercher. Plus étonnant encore, il découvre qu'elle est la colocataire de son oncle, et que deux autres inconnus partageront son nouveau foyer. C'est pour lui le début d'une cohabitation étonnante, et à vivre aux côtés de gens si différents, à découvrir leur histoire et leur intimité, il apprendra à s'adapter, à comprendre et à grandir.. Critique : Naotatsu va aller habiter chez son oncle pour se rapprocher de son nouveau lycée. Il découvre que ce dernier vit dans une pension avec des personnages pour le moins intrigants. Il y a notamment une jeune femme du nom de Sakaki qui ne lui déplait pas bien qu’elle soit plus âgée. Cet environnement est nouveau pour lui, non seulement il vit loin de ses parents mais en plus avec plein d’adultes inconnus. C’est au cours d’un repas de bienvenue que Naotatsu entend une conversation qui pourrait bien changer sa relation avec Sakaki. Au début du livre, j’avais l’impression d’être dans une tranche de vie gentillette mais sans plus. Et puis, certaines phrases parsèment des indices sur un événement passé, certains voudraient en parler, d’autres non mais tous semblent être concernés même Naotatsu qui vient d’arriver dans le foyer. Le manga parle de relations humaines, ce sont des rencontres, des séparations, des drames parfois. Naotatsu hésite entre s’immiscer pour en savoir plus ou respecter le silence. Dans ce nouvel environnement, il va grandir, apprendre la vie, les relations, se trouver et trouver les autres. L’histoire se déroule calmement, peu à peu. Ce n’est pas vraiment un drame, juste une tranche de vie avec des événements courants et des sentiments humains racontés avec justesse et sincérité. Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-eau-retourne-toujours-a-la-mer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Naotatsu va aller habiter chez son oncle pour se rapprocher de son nouveau lycée. Il découvre que ce dernier vit dans une pension avec des personnages pour le moins intrigants. Il y a notamment une jeune femme du nom de Sakaki qui ne lui déplait pas bien qu’elle soit plus âgée. Cet environnement est nouveau pour lui, non seulement il vit loin de ses parents mais en plus avec plein d’adultes inconnus. C’est au cours d’un repas de bienvenue que Naotatsu entend une conversation qui pourrait bien changer sa relation avec Sakaki. Au début du livre, j’avais l’impression d’être dans une tranche de vie gentillette mais sans plus. Et puis, certaines phrases parsèment des indices sur un événement passé, certains voudraient en parler, d’autres non mais tous semblent être concernés même Naotatsu qui vient d’arriver dans le foyer. Le manga parle de relations humaines, ce sont des rencontres, des séparations, des drames parfois. Naotatsu hésite entre s’immiscer pour en savoir plus ou respecter le silence. Dans ce nouvel environnement, il va grandir, apprendre la vie, les relations, se trouver et trouver les autres. L’histoire se déroule calmement, peu à peu. Ce n’est pas vraiment un drame, juste une tranche de vie avec des événements courants et des sentiments humains racontés avec justesse et sincérité. Série finie en 3 tomes.
  20. Nickad

    Le démon et le serpent

    En sortant de prison, Kiryû, yakuza découvre que son clan a été dissous et en plus il renverse Kyôhei, un homme à tout faire. Il décide donc de prendre ses responsabilités et de travailler à sa place le temps que ce dernier se remette de ses blessures. Kiryû se retrouve loin de son univers habituel, il va devoir promener un chien, faire du jardinage… plein de petits boulots différents. Contrairement à ce que Kyôhei pensait, le yakuza s’adapte bien, sait faire plein de choses et il est même prêt à lui faciliter la vie de toutes les façons possibles ! Le décalage entre les deux personnages s’efface peu à peu, sans vraiment le vouloir, chacun commence à avoir sa place dans la vie de l’autre. Le scénario ne met pas spécialement en avant leur relation, cela se fait petit à petit en suivant leur quotidien. Il y a aussi de l’action, des mystères et une bonne quantité de tranche de vie. Tout cela s’équilibre parfaitement pour former un manga intéressant et agréable à lire. On aurait même aimé en avoir un peu plus !
  21. Titre de l'album : Le démon et le serpent Scenariste de l'album : YUITSU Dessinateur de l'album : YUITSU Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kiryû est quelqu'un de malchanceux. Après plusieurs années passées en prison à cause d'une agression commise par quelqu'un de plus haut gradé que lui dans son clan yakuza, alors qu'il s'attendait à être récompensé en sortant, il découvre au moment de sa libération que son clan a disparu. Pour ne rien arranger, les déveines s'accumulent dans sa vie, jusqu'au jour où il renverse quelqu'un avec sa voiture... La victime, Kyôhei Mita, travaille en tant qu'homme à tout faire. Pour s'excuser de l'avoir renversé, Kiryû décide de prendre soin de lui en faisant son travail à sa place pendant que Kyôhei a le bras dans le plâtre. Mais petit à petit, une étrange attirance naît entre les deux hommes... Critique : En sortant de prison, Kiryû, yakuza découvre que son clan a été dissous et en plus il renverse Kyôhei, un homme à tout faire. Il décide donc de prendre ses responsabilités et de travailler à sa place le temps que ce dernier se remette de ses blessures. Kiryû se retrouve loin de son univers habituel, il va devoir promener un chien, faire du jardinage… plein de petits boulots différents. Contrairement à ce que Kyôhei pensait, le yakuza s’adapte bien, sait faire plein de choses et il est même prêt à lui faciliter la vie de toutes les façons possibles ! Le décalage entre les deux personnages s’efface peu à peu, sans vraiment le vouloir, chacun commence à avoir sa place dans la vie de l’autre. Le scénario ne met pas spécialement en avant leur relation, cela se fait petit à petit en suivant leur quotidien. Il y a aussi de l’action, des mystères et une bonne quantité de tranche de vie. Tout cela s’équilibre parfaitement pour former un manga intéressant et agréable à lire. On aurait même aimé en avoir un peu plus ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-demon-et-le-serpent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Lorsqu’il était enfant, Hiroto a eu une très forte fièvre qui l’a conduit à récupérer les souvenirs de sa vie antérieure ; souvenirs douloureux où il a connu un amour sincère et passionné qui s’est mal terminé. Ayant été séparé de son ancien amant prématurément, il pense pouvoir le retrouver dans cette nouvelle vie. Quand cela arrive enfin, il est partagé, d’un côté il voudrait que ce dernier se souvienne de lui afin de pouvoir se retrouver et de l’autre il appréhende ces retrouvailles : lui reprochera-t-il son ancienne vie ? Tout comme Hiroto je suis assez partagée sur le scénario. Si on ne considère que l’histoire d’amour, on pourrait effectivement voir ça comme une très belle histoire d’amour intemporelle où les amants se retrouvent dans chacune de leur réincarnation, un amour qui transcende le temps et l’espace. Seulement, il y a le passé, la façon dont leur histoire a pris fin. Il y a la culpabilité d’Hiroto, il y a les sentiments de Mika, ce qu’il a ressenti à l’époque. Et puis sa condition actuelle, c’est un garçon normal qui n’a aucun souvenir du passé. Alors faut-il à tout prix forcer le destin ? Hiroto a-t-il le droit de s’immiscer dans la vie d’un autre pour sa propre satisfaction ? N’est-ce pas un peu égoïste ? Au moins, le manga pousse à une certaine réflexion... En dehors de ça, le graphisme est plutôt agréable et l’histoire est cohérente. J’aurai aimé un peu plus d’interactions et de réflexions au moment des retrouvailles, le dénouement est un peu rapide.
  23. Titre de l'album : Our love will last till the end of time Scenariste de l'album : HAIDA Nanako Dessinateur de l'album : HAIDA Nanako Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Hiroto est un jeune étudiant tout ce qu'il y a de plus normal, à ceci près qu'il se souvient de sa vie antérieure, et de l'amour qu'il éprouvait sous l'identité du prince Luke pour un roturier du nom de Mika. Conscient que ce dernier a certainement dû se réincarner lui aussi, il a passé son enfance à le chercher sans succès. Jusqu'au jour où il fait la rencontre de Kô, un autre étudiant de sa fac. Pour lui, aucun doute, Kô est le Mika des temps anciens... Critique : Lorsqu’il était enfant, Hiroto a eu une très forte fièvre qui l’a conduit à récupérer les souvenirs de sa vie antérieure ; souvenirs douloureux où il a connu un amour sincère et passionné qui s’est mal terminé. Ayant été séparé de son ancien amant prématurément, il pense pouvoir le retrouver dans cette nouvelle vie. Quand cela arrive enfin, il est partagé, d’un côté il voudrait que ce dernier se souvienne de lui afin de pouvoir se retrouver et de l’autre il appréhende ces retrouvailles : lui reprochera-t-il son ancienne vie ? Tout comme Hiroto je suis assez partagée sur le scénario. Si on ne considère que l’histoire d’amour, on pourrait effectivement voir ça comme une très belle histoire d’amour intemporelle où les amants se retrouvent dans chacune de leur réincarnation, un amour qui transcende le temps et l’espace. Seulement, il y a le passé, la façon dont leur histoire a pris fin. Il y a la culpabilité d’Hiroto, il y a les sentiments de Mika, ce qu’il a ressenti à l’époque. Et puis sa condition actuelle, c’est un garçon normal qui n’a aucun souvenir du passé. Alors faut-il à tout prix forcer le destin ? Hiroto a-t-il le droit de s’immiscer dans la vie d’un autre pour sa propre satisfaction ? N’est-ce pas un peu égoïste ? Au moins, le manga pousse à une certaine réflexion... En dehors de ça, le graphisme est plutôt agréable et l’histoire est cohérente. J’aurai aimé un peu plus d’interactions et de réflexions au moment des retrouvailles, le dénouement est un peu rapide. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/our-love-will-last-till-the-end-of-time?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Kengan omega tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Yabako Sandrovich Dessinateur de l'album : Daromeon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Deux ans ont passé depuis le Tournoi d'Extermination quand, sorti de nulle part, un homme vient frapper à la porte de la Société Yamashita. Il semble avoir eu vent des Combats Kengan, ces confrontations de combattants par lesquelles de puissantes firmes règlent leurs différends commerciaux... Si ces hommes se battent dans ces arènes illégales, c'est pour une seule et unique raison… devenir plus forts. Beaucoup plus forts qu'ils ne le sont !!! Critique : Franchement, la fin de Kengan Ashura était si intense, avec une mort de Ohma qui aurait fait pleurer n'importe qui, que je n'étais vraiment pas très emballé en apprenant l'arrivée d'une suite. Comment succéder à Ohma ? Comment retrouver l'alchimie entre combat et humour que nous proposait le couple Ohma / Mr Yamashita ? Et bien je dois bien avouer que ces deux premiers tomes ont très rapidement balayé tous mes doutes en nous proposant un hybride parfait entre la suite direct et la nouvelle série. On retrouve avec énormément de plaisir tout nos personnages ayant participé aux combats ultimes, mais avec 2 ans de plus et des status qui ont changé. Le plus impressionnant et qui relance l'aspect rigolo du manga, c'est la position de Monsieur Yamashita dans la nouvelle organisation Kengan. On savoure chacune de ses interventions tout comme chacun des commentaires des autres sur ce petit bonhomme qui ne paye pas de mine. Mais plus qu'un hommage à la précédente série, ce Kengan Omega est bien une série à part entière avec un nouveau héros mais aussi un nouveau tournoi entre les combattants Kengan et une association de combat concurrente. De quoi voir aussi bien des nouveaux que des anciens ayant évolué... le tout dans l'ombre d'Ohma omniprésente. Une vraie réussite pour un super manga de combat qui fait honneur à la série mère ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kengan-omega-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Kengan omega tome 1 & 2

    Franchement, la fin de Kengan Ashura était si intense, avec une mort de Ohma qui aurait fait pleurer n'importe qui, que je n'étais vraiment pas très emballé en apprenant l'arrivée d'une suite. Comment succéder à Ohma ? Comment retrouver l'alchimie entre combat et humour que nous proposait le couple Ohma / Mr Yamashita ? Et bien je dois bien avouer que ces deux premiers tomes ont très rapidement balayé tous mes doutes en nous proposant un hybride parfait entre la suite direct et la nouvelle série. On retrouve avec énormément de plaisir tout nos personnages ayant participé aux combats ultimes, mais avec 2 ans de plus et des status qui ont changé. Le plus impressionnant et qui relance l'aspect rigolo du manga, c'est la position de Monsieur Yamashita dans la nouvelle organisation Kengan. On savoure chacune de ses interventions tout comme chacun des commentaires des autres sur ce petit bonhomme qui ne paye pas de mine. Mais plus qu'un hommage à la précédente série, ce Kengan Omega est bien une série à part entière avec un nouveau héros mais aussi un nouveau tournoi entre les combattants Kengan et une association de combat concurrente. De quoi voir aussi bien des nouveaux que des anciens ayant évolué... le tout dans l'ombre d'Ohma omniprésente. Une vraie réussite pour un super manga de combat qui fait honneur à la série mère !
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