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  1. poseidon2

    Kingdom tome 67 & 68

    Rhaaa mais à chaque fois que je reprends Kingdom, je me dis que je vais m'ennuyer ou que je vais me lasser... et en fait pas du tout ! Ces deux tomes nous livrent le début de la fin du combat entre Kanki et Riboku. Un combat de stratège hors pair ! Si Shin n'est que peu partie prenante, les deux stratèges se rendent coup pour coup, et les pions tombent les uns après les autres. On sait bien que dans Kingdom aucun personnage n'est à l'abri... mais la, c'est une grosse purge des deux cotés. Une bataille décisive qui prendra fin dans le tome suivant et qui laissera des traces !
  2. Nickad

    Tokugawa monkeys tome 1

    Tokugawa Monkeys se déroule sur fond de trame historique : on se rapproche de la fin du shogunat et certaines factions d’habitants cherchent à renverser le pouvoir. C’est aussi la période où les étrangers ont commencé à arriver au Japon et où le gouvernement hésitait à ouvrir le pays au reste du monde. Donc au niveau des dates et des événements, cela colle à peu près. Il reste quelques incertitudes concernant la faction appelée « Tengu » qui, si l’on regarde les livres d’histoire, était contre l’arrivée des étrangers, ce qui semble être le contraire dans le manga ! (Bon, je ne suis pas historienne donc je ne m’appesantirai pas plus sur le sujet). Il faut juste retenir le contexte général de l’époque : une période de troubles coincée entre un shogun peu apprécié et une ouverture à l’extérieure avec l’arrivée de nouvelles technologies. Suzu Kaneko, une jeune fille maniant le sabre, débarque à Edo dans l’espoir de retrouver et d’éliminer l’assassin de son père. Elle se retrouve prise en otage par le groupe de rebelles Tengu et rencontre deux sœurs qui vont l’aider : la première a perdu la vue et l’ouïe suite à d’anciennes tortures mais elle sait très bien se battre, la seconde l’accompagne pour la guider au travers de vibrations. Très vite, Suzu va rejoindre ce second groupe : les mashiras, une escouade secrète au service du shogun ! Tokugawa Monkeys est un manga d’action où la violence est omniprésente, les affrontements sont brutaux et il est impossible de vraiment prendre parti. Que ce soit du côté des Tengus ou des Mashiras, il y a beaucoup de zone d’ombre et de secrets et le bien fondé de leurs agissements n’est pas toujours prouvé. Les Tengus se battent soi-disant pour le bien-être du peuple mais n’hésitent pas à tuer des innocents, les Mashiras défendent la capitale mais sont au service d’un shogun plutôt corrompu. Au milieu il y a le personnage de Suzu qui n’est pas très douée et on se demande vraiment ce qu’elle fait dans l’histoire, la suite nous éclairera sûrement ! Le graphisme est efficace et les scènes d’action sont dynamiques. Concernant le récit en lui-même il est difficile de se prononcer complétement, il y a des éléments prometteurs, surtout une révélation finale qui pourrait bien amener une autre dimension au manga. A suivre.
  3. Titre de l'album : Tokugawa monkeys tome 1 Scenariste de l'album : FUJITA Kakuji Dessinateur de l'album : FUJITA Kakuji Coloriste : Editeur de l'album : ChattoChatto Note : Résumé de l'album : L'ère du Shogunat arrive t'il à son terme? Les inégalités s'installent, les conflits se multiplient et la corruption est partout. Les Tengu, un groupe armé désirant mettre fin à l'oppression du shogunat est opposé aux Mashira, des agents au service de celui-ci. Kaneno, une jeune femme venue dans la ville d'Edo afin d'assouvir une vengeance personnelle, va finir par se voir enrôlée chez les tengu et embarquée dans ce conflit qui pourrait bien mener à la fin d'une ère. Critique : Tokugawa Monkeys se déroule sur fond de trame historique : on se rapproche de la fin du shogunat et certaines factions d’habitants cherchent à renverser le pouvoir. C’est aussi la période où les étrangers ont commencé à arriver au Japon et où le gouvernement hésitait à ouvrir le pays au reste du monde. Donc au niveau des dates et des événements, cela colle à peu près. Il reste quelques incertitudes concernant la faction appelée « Tengu » qui, si l’on regarde les livres d’histoire, était contre l’arrivée des étrangers, ce qui semble être le contraire dans le manga ! (Bon, je ne suis pas historienne donc je ne m’appesantirai pas plus sur le sujet). Il faut juste retenir le contexte général de l’époque : une période de troubles coincée entre un shogun peu apprécié et une ouverture à l’extérieure avec l’arrivée de nouvelles technologies. Suzu Kaneko, une jeune fille maniant le sabre, débarque à Edo dans l’espoir de retrouver et d’éliminer l’assassin de son père. Elle se retrouve prise en otage par le groupe de rebelles Tengu et rencontre deux sœurs qui vont l’aider : la première a perdu la vue et l’ouïe suite à d’anciennes tortures mais elle sait très bien se battre, la seconde l’accompagne pour la guider au travers de vibrations. Très vite, Suzu va rejoindre ce second groupe : les mashiras, une escouade secrète au service du shogun ! Tokugawa Monkeys est un manga d’action où la violence est omniprésente, les affrontements sont brutaux et il est impossible de vraiment prendre parti. Que ce soit du côté des Tengus ou des Mashiras, il y a beaucoup de zone d’ombre et de secrets et le bien fondé de leurs agissements n’est pas toujours prouvé. Les Tengus se battent soi-disant pour le bien-être du peuple mais n’hésitent pas à tuer des innocents, les Mashiras défendent la capitale mais sont au service d’un shogun plutôt corrompu. Au milieu il y a le personnage de Suzu qui n’est pas très douée et on se demande vraiment ce qu’elle fait dans l’histoire, la suite nous éclairera sûrement ! Le graphisme est efficace et les scènes d’action sont dynamiques. Concernant le récit en lui-même il est difficile de se prononcer complétement, il y a des éléments prometteurs, surtout une révélation finale qui pourrait bien amener une autre dimension au manga. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokugawa-monkeys?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    White night bitter porn

    Rui est un jeune pharmacien qui ne croit pas en l’amour, il enchaine les conquêtes d’un soir. C’est comme ça qu’il rencontre Takumi, un jeune homme qui a décidé de se saouler pour oublier les moqueries concernant sa virginité. Rui décide de prendre les choses en mains, une nuit sans conséquence enfin c’est ce qu’il croyait car Takumi est bien décidé à faire partie de sa vie et va tout faire pour le séduire ! Cette histoire est vraiment mignonne ! Bon il y a des scènes de sexe (pour public averti donc), mais la relation entre les deux protagonistes est vraiment douce et agréable. Il y a le récalcitrant à l’amour qui en réalité ne demande qu’à aimer et qui ne peut pas résister au regard de Takumi. Et puis il y a le débutant en amour, extrêmement sincère qui vit les plus beaux moments de sa vie et qui ne compte pas laisser cette chance passer. Le dessin est également tout en douceur, un trait arrondi et fin qui plaira sans aucun doute. Un joli moment de lecture à déguster.
  5. Titre de l'album : White night bitter porn Scenariste de l'album : NOBANA Saori Dessinateur de l'album : NOBANA Saori Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Rui Narushima, un jeune pharmacien, poursuit les conquêtes sans lendemains. Un soir, il tombe sur un jeune homme soûl du nom de Takumi Takanashi, échoué au bar où il a l'habitude d'aller. La raison de son mal-être ? Les moqueries de ses amis concernant sa virginité. Ni une, ni deux, Rui le prend sous le bras en direction d'un hôtel. Quelle n'est pas sa surprise quand il voit débarquer Takanashi à son lieu de travail quelques jours plus tard pour lui déclarer sa flamme ! Ce dernier ne lésine pas sur les moyens : observation constante et avances plus que poussées, les actions de Takanashi finiront-elles par atteindre ce bourreau des cœurs ? Critique : Rui est un jeune pharmacien qui ne croit pas en l’amour, il enchaine les conquêtes d’un soir. C’est comme ça qu’il rencontre Takumi, un jeune homme qui a décidé de se saouler pour oublier les moqueries concernant sa virginité. Rui décide de prendre les choses en mains, une nuit sans conséquence enfin c’est ce qu’il croyait car Takumi est bien décidé à faire partie de sa vie et va tout faire pour le séduire ! Cette histoire est vraiment mignonne ! Bon il y a des scènes de sexe (pour public averti donc), mais la relation entre les deux protagonistes est vraiment douce et agréable. Il y a le récalcitrant à l’amour qui en réalité ne demande qu’à aimer et qui ne peut pas résister au regard de Takumi. Et puis il y a le débutant en amour, extrêmement sincère qui vit les plus beaux moments de sa vie et qui ne compte pas laisser cette chance passer. Le dessin est également tout en douceur, un trait arrondi et fin qui plaira sans aucun doute. Un joli moment de lecture à déguster. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/white-night-bitter-porn?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Butareba tome 1

    Titre de l'album : Butareba tome 1 Scenariste de l'album : SAKAI Takuma Dessinateur de l'album : MINAMI , TÔSAKA Asagi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Un étudiant nerd et ennuyeux perd conscience après avoir mangé du foie de porc cru. Quand il rouvre les yeux, il se rend compte qu'il s'est réincarné dans un autre monde... et dans le corps d'un cochon ! Alors qu'il se roule dans la boue de sa porcherie, il est secouru par Jess, une fille capable de lire dans les pensées des gens. Finalement, la vie de porc n'a pas l'air si mal... Critique : Attention ne fuyez pas tout de suite en voyant qu’il s’agit d’un isekai et donnez-vous la peine d’en apprendre un peu plus. La première impression de Butareba est celle d’un isekai un peu loufoque avec un petit côté coquin. Un « otaku à lunettes maigrichon » a fini changé en cochon dans un autre monde après avoir mangé du porc cru ; un transfert original mais pourquoi pas, après tout on peut faire ce que l’on veut dans un récit. Mr Cochon (on ne saura jamais son vrai nom) a beaucoup de fantasmes et n’hésite pas à en parler, enfin à y penser, ces pensées sont d’ailleurs présentes sous forme de narration. Dans ce nouveau monde, il reçoit l’aide de Jess, une yesma : une servante qui peut utiliser la magie et qui est au service d’une famille. Jess est capable de lire dans les pensées. On va donc avoir des interactions entre Jess et Mr Cochon mais comme elle peut lire toutes les pensées, M Cochon va mettre en place un système de bulles (dans le manga, dans l’anime, il change de voix) afin que Jess puisse différencier les paroles qui lui sont destinées de celles qui sont purement de la réflexion. Jess est une gentille fille et elle a tendance à prendre au 1er degré toutes les pensées. Vous pensez bien que M Cochon a des idées parfois perverses et que ce sont purement des fantasmes. Le manga joue d’ailleurs beaucoup sur l’apparence du héros sous forme de cochon et ses envies un peu cochonnes ! Afin de trouver un moyen de retrouver son corps et de rentrer dans son monde, Mr Cochon doit se rendre à la capitale, le seul endroit où il y aurait de grands magiciens, et Jess décide de l’accompagner. Bon derrière cette apparente légèreté, l’histoire est bien plus intéressante et profonde. Je vous spoile un peu afin que vous compreniez que ce manga n’est pas qu’une comédie et loin de là même. Les yesmas sont à la fois très recherchées et très méprisées, les habitants n’ont par exemple pas le droit de les aider et arrivées à un certain âge elles doivent entreprendre un voyage vers la capitale. Il y a donc beaucoup de mystères autour des yesmas, leurs origines, leurs pouvoirs, leurs conditions de vie, leurs voyages… En plus d’un graphisme des plus agréables et de certains passages humoristiques, Butareba c’est une histoire qui devient complexe et qui sait entretenir le mystère. Adapté d’un light novel (qui a remporté un prix), la série est également disponible sur Crunchyroll : 5 mangas en cours et 12 épisodes. Un manga à découvrir sans vous arrêter au 1er tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butareba-tome-1-ou-l-histoire-de-l-homme-devenu-cochon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Butareba tome 1

    Attention ne fuyez pas tout de suite en voyant qu’il s’agit d’un isekai et donnez-vous la peine d’en apprendre un peu plus. La première impression de Butareba est celle d’un isekai un peu loufoque avec un petit côté coquin. Un « otaku à lunettes maigrichon » a fini changé en cochon dans un autre monde après avoir mangé du porc cru ; un transfert original mais pourquoi pas, après tout on peut faire ce que l’on veut dans un récit. Mr Cochon (on ne saura jamais son vrai nom) a beaucoup de fantasmes et n’hésite pas à en parler, enfin à y penser, ces pensées sont d’ailleurs présentes sous forme de narration. Dans ce nouveau monde, il reçoit l’aide de Jess, une yesma : une servante qui peut utiliser la magie et qui est au service d’une famille. Jess est capable de lire dans les pensées. On va donc avoir des interactions entre Jess et Mr Cochon mais comme elle peut lire toutes les pensées, M Cochon va mettre en place un système de bulles (dans le manga, dans l’anime, il change de voix) afin que Jess puisse différencier les paroles qui lui sont destinées de celles qui sont purement de la réflexion. Jess est une gentille fille et elle a tendance à prendre au 1er degré toutes les pensées. Vous pensez bien que M Cochon a des idées parfois perverses et que ce sont purement des fantasmes. Le manga joue d’ailleurs beaucoup sur l’apparence du héros sous forme de cochon et ses envies un peu cochonnes ! Afin de trouver un moyen de retrouver son corps et de rentrer dans son monde, Mr Cochon doit se rendre à la capitale, le seul endroit où il y aurait de grands magiciens, et Jess décide de l’accompagner. Bon derrière cette apparente légèreté, l’histoire est bien plus intéressante et profonde. Je vous spoile un peu afin que vous compreniez que ce manga n’est pas qu’une comédie et loin de là même. Les yesmas sont à la fois très recherchées et très méprisées, les habitants n’ont par exemple pas le droit de les aider et arrivées à un certain âge elles doivent entreprendre un voyage vers la capitale. Il y a donc beaucoup de mystères autour des yesmas, leurs origines, leurs pouvoirs, leurs conditions de vie, leurs voyages… En plus d’un graphisme des plus agréables et de certains passages humoristiques, Butareba c’est une histoire qui devient complexe et qui sait entretenir le mystère. Adapté d’un light novel (qui a remporté un prix), la série est également disponible sur Crunchyroll : 5 mangas en cours et 12 épisodes. Un manga à découvrir sans vous arrêter au 1er tome !
  8. Nickad

    Dog & scum tome 1

    Tranche de vie, romance, drame ? On ne sait pas trop où l’on va après la lecture de ce 1er tome… L’éditeur annonce un thriller, de la manipulation, de la trahison mais pour le moment ce n’est pas ce qui ressort. De temps en temps une image, une phrase viennent semer le trouble, on sait que l’histoire n’est pas si simple sans savoir de quoi il retourne exactement. C’est une histoire qui commence de façon assez banale : trois amis de lycée, deux garçons et une fille trainent souvent ensemble, deux d’entre eux forment un couple, la fille la plus belle et le garçon le plus populaire à qui tout réussi. A côté, il y a Haruma, l’ami d’enfance, celui que personne ne remarque, qui n’arrivera jamais 1er quels que soient les efforts qu’il fournit, celui qui est amoureux de la copine de son ami… Quelques années plus tard, le travail et la distance physique les ont séparés, Haruma pense encore de temps en temps à ses amis mais sans plus, il a toujours dans le cœur son amour pour la belle Reika mais fait avec. Mais un jour, le hasard la remet sur sa route et une opportunité se présente. Mais est-ce vraiment un hasard ? Ce 1er tome est un constat : une présentation des personnages, un aperçu de leurs relations passées et une vue de la situation dans laquelle ils se trouvent aujourd’hui. Les premiers signes d’un drame apparaissent, rien n’est dit clairement mais il y a des indices. Il est donc difficile pour le moment de juger le manga, on est intrigué et il y a suffisamment de suspense pour vouloir aller plus loin.
  9. Nickad

    Les récits d'Obana

    A l’origine des Récits d’Obana se trouve Fuyumi ONO, une romancière qui a déjà remporté plusieurs prix littéraires notamment pour sa série Les Douze Royaumes. Les récits d’Obana, originellement composé de 3 livres, ont été adaptés en manga par la non moins célèbre Kazue KATO, l’autrice de Blue Exorcist. Le recueil est composé de 6 récits qui mettent en scène des personnes normales confrontées à des phénomènes paranormaux, souvent liés à la présence d’une âme en peine (un fantôme). On verra ainsi une porte qui s’ouvre toute seule, des pleurs d’enfant dans un garage, des bruits de pas dans un grenier, un jardin où les plantes dépérissent, une femme en deuil les jours de pluie ou encore la présence d’un petit vieux qui se cache dans une maison. A chaque chapitre, on commence par découvrir la situation qui est toujours liée à un lieu d’habitation, puis en dernier lieu arrive Obana, un bricoleur spécialisé dans les travaux d’entretien et d’amélioration qui propose une solution. Ce dernier ne fait pas d’exorcisme, il aménage le lieu pour pouvoir répondre à la fois à la demande de son client mais aussi à celle de l’esprit qui est présent. Kazue KATO nous propose un joli crayonné, plus mature et sombre que dans Blue Exorcist, elle joue sur les ombres et les trames pour faire ressortir les angoisses sans jamais tomber dans l’horreur. La narration est intéressante, contrairement à d’autres mangas « fantomatiques » où souvent on a soit l’élimination de l’esprit soit l’horreur sans autre objectif que de générer de l’effroi, Les récits d’Obana offre une autre possibilité, celle de faire cohabiter les différents protagonistes. Ces six histoires sont prenantes et donnent même l’envie d’y retourner. A lire.
  10. Titre de l'album : Les récits d'Obana Scenariste de l'album : ONO Fuyumi Dessinateur de l'album : KATO Kazue Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Après leur emménagement dans de vieilles maisons traditionnelles japonaises, des propriétaires se retrouvent confrontés à d'étranges manifestations surnaturelles. Alors que les ouvriers du bâtiment se révèlent incapables de résoudre ces problèmes, Obana, un artisan pas comme les autres, est appelé à l'aide. Capable de saisir les émotions des esprits hantant un lieu, il permet aux vivants de partager leur nouvelle demeure avec les morts... Critique : A l’origine des Récits d’Obana se trouve Fuyumi ONO, une romancière qui a déjà remporté plusieurs prix littéraires notamment pour sa série Les Douze Royaumes. Les récits d’Obana, originellement composé de 3 livres, ont été adaptés en manga par la non moins célèbre Kazue KATO, l’autrice de Blue Exorcist. Le recueil est composé de 6 récits qui mettent en scène des personnes normales confrontées à des phénomènes paranormaux, souvent liés à la présence d’une âme en peine (un fantôme). On verra ainsi une porte qui s’ouvre toute seule, des pleurs d’enfant dans un garage, des bruits de pas dans un grenier, un jardin où les plantes dépérissent, une femme en deuil les jours de pluie ou encore la présence d’un petit vieux qui se cache dans une maison. A chaque chapitre, on commence par découvrir la situation qui est toujours liée à un lieu d’habitation, puis en dernier lieu arrive Obana, un bricoleur spécialisé dans les travaux d’entretien et d’amélioration qui propose une solution. Ce dernier ne fait pas d’exorcisme, il aménage le lieu pour pouvoir répondre à la fois à la demande de son client mais aussi à celle de l’esprit qui est présent. Kazue KATO nous propose un joli crayonné, plus mature et sombre que dans Blue Exorcist, elle joue sur les ombres et les trames pour faire ressortir les angoisses sans jamais tomber dans l’horreur. La narration est intéressante, contrairement à d’autres mangas « fantomatiques » où souvent on a soit l’élimination de l’esprit soit l’horreur sans autre objectif que de générer de l’effroi, Les récits d’Obana offre une autre possibilité, celle de faire cohabiter les différents protagonistes. Ces six histoires sont prenantes et donnent même l’envie d’y retourner. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-recits-d-obana-artisan-de-l-etrange?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série.
  12. Titre de l'album : Mon fils semble avoir été réincarné dans un autre monde tome 4 Scenariste de l'album : KANEMOTO Dessinateur de l'album : SHIBATA Hikari Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Dis-moi comment faire pour retrouver mon fils, maintenant qu'il est parti dans un autre monde. " La seule chose que je veux t'entendre dire, c'est que Taïga est mort. Et tu vas le faire devant ce qu'il reste de lui. " Mio est terrifiée par l'apparition soudaine de son mari. Elle retourne auprès de Dobara, mais une dernière confrontation, laide et violente, approche à grands pas. Est-ce la fin pour tous les deux ?! Une aventure humaine drôle et touchante d'une mère déterminée, qui refuse de faire le deuil de son fils disparu. Série terminée en 5 tomes Critique : La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-fils-semble-avoir-ete-reincarne-dans-un-autre-monde-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre.
  14. Titre de l'album : Quality assurance in another world tome 1 Scenariste de l'album : SATO Masamichi Dessinateur de l'album : SATO Masamichi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Nikola, jeune habitante d'un paisible petit village, voit soudain débouler dans les prés d'énormes dragons ! Terrifiée, elle est secourue par Haga, un homme qui semble mener de mystérieuses recherches. Ce que Nikola ignore, c'est que Haga n'est autre qu'un testeur, coincé dans le jeu qu'il était censé débugger... Et qu'elle-même n'est qu'un PNJ ! De plus, si Haga est dévoué à son travail, ce n'est pas le cas de tous ses collègues... Critique : Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quality-assurance-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Love coach tome 1

    Ah j’ai eu peur, les premières pages étaient similaires à deux mangas assez récents : une jeune femme part du boulot à 18H pétantes pour aller jouer en ligne !! Heureusement, la suite s’oriente différemment et on ne passe pas notre lecture à regarder la protagoniste en train de jouer dès qu’elle le peut ! Eiko, bientôt la trentaine n’a que très peu de relations sociales, en fait c’est une geek. Dès qu’elle sort du boulot elle passe son temps à jouer. Elle n’a jamais réussi à s’intégrer dans les différents groupes, que ce soit à l’école comme au travail, elle n’a jamais eu de flirt non plus. Le jour où elle apprend que sa meilleure amie ne pourra plus jouer comme avant car elle va se marier, cela lui met un coup au moral. Là-dessus arrive une collaboration inter entreprise avec un beau jeune homme de 23 ans qui finit par lui proposer, après quelques verres, de lui donner des leçons en amour. Finalement Love Coach est une comédie romantique avec tout ce qu’il faut là où il faut : de l’innocence, du romantisme, de la séduction, des rougissements, de la légèreté et des personnages qui vont vite aller vers un schéma classique. C’est néanmoins très bien fait, avec un scénario agréable (et pas trop de jeu vidéo) et un graphisme tout en rondeur qui est plaisant à regarder. Une belle romance qui commence…
  16. Nickad

    Love coach tome 1

    Titre de l'album : Love coach tome 1 Scenariste de l'album : MIASA Rin Dessinateur de l'album : MIASA Rin Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Eiko, une jeune femme célibataire de 29 ans, passionnée de jeux vidéo, se sent de plus en plus seule car toutes ses copines la lâchent les unes après les autres pour se marier. Un beau jour, Koigakubo, un splendide jeune homme, débarque dans sa vie professionnelle. Lors d'une soirée arrosée entre collègues, ce dernier lui fait une proposition étonnante : devenir son coach en amour ! Critique : Ah j’ai eu peur, les premières pages étaient similaires à deux mangas assez récents : une jeune femme part du boulot à 18H pétantes pour aller jouer en ligne !! Heureusement, la suite s’oriente différemment et on ne passe pas notre lecture à regarder la protagoniste en train de jouer dès qu’elle le peut ! Eiko, bientôt la trentaine n’a que très peu de relations sociales, en fait c’est une geek. Dès qu’elle sort du boulot elle passe son temps à jouer. Elle n’a jamais réussi à s’intégrer dans les différents groupes, que ce soit à l’école comme au travail, elle n’a jamais eu de flirt non plus. Le jour où elle apprend que sa meilleure amie ne pourra plus jouer comme avant car elle va se marier, cela lui met un coup au moral. Là-dessus arrive une collaboration inter entreprise avec un beau jeune homme de 23 ans qui finit par lui proposer, après quelques verres, de lui donner des leçons en amour. Finalement Love Coach est une comédie romantique avec tout ce qu’il faut là où il faut : de l’innocence, du romantisme, de la séduction, des rougissements, de la légèreté et des personnages qui vont vite aller vers un schéma classique. C’est néanmoins très bien fait, avec un scénario agréable (et pas trop de jeu vidéo) et un graphisme tout en rondeur qui est plaisant à regarder. Une belle romance qui commence… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-coach-koigakubo-kun-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Fou comme le chapelier

    Une rencontre, une amitié ensuite, des liens qui se resserrent entre le très « droit » Igarashi et le très enjoué Keigo. Si tout semble aller pour le mieux, Keigo a d’étranges penchants et un colocataire encore plus étrange. Igarashi se retrouve malgré lui pris au piège de ses sentiments et va devoir prendre la place qu’on lui laisse dans cette relation déroutante. Attention, ce manga est à réserver à un public adulte et averti, certaines relations sont non consentantes et peuvent choquer. D’une manière générale, ce qui se passe dans la tête des personnages (Keigo et son colocataire) est assez bizarre, voire malsain. Ici, la morale n’a pas sa place, il s’agit d’amour exclusif de la part de l’un qui a entrainé le second sur des pentes dangereuses. Keigo en est conscient, c’est pourquoi il cherche à éloigner Igarashi qui, contrairement à son apparence, est un bon garçon épris de justice et de morale. Le manga porte bien son nom, il y a une folie ambiante et les personnages sont pris dans ce tourbillon. Une curiosité à découvrir en connaissance de cause.
  18. Titre de l'album : Fou comme le chapelier Scenariste de l'album : BONNO Nuis Dessinateur de l'album : BONNO Nuis Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : " Si tu m'aimes, il faut que tu l'acceptes. " Igarashi a pour mauvaise habitude de fourrer son nez dans les affaires des autres... Mais il ne pensait pas que cette fois, cette manie le conduirait à s'immiscer dans la relation étrange de deux colocataires. Critique : Une rencontre, une amitié ensuite, des liens qui se resserrent entre le très « droit » Igarashi et le très enjoué Keigo. Si tout semble aller pour le mieux, Keigo a d’étranges penchants et un colocataire encore plus étrange. Igarashi se retrouve malgré lui pris au piège de ses sentiments et va devoir prendre la place qu’on lui laisse dans cette relation déroutante. Attention, ce manga est à réserver à un public adulte et averti, certaines relations sont non consentantes et peuvent choquer. D’une manière générale, ce qui se passe dans la tête des personnages (Keigo et son colocataire) est assez bizarre, voire malsain. Ici, la morale n’a pas sa place, il s’agit d’amour exclusif de la part de l’un qui a entrainé le second sur des pentes dangereuses. Keigo en est conscient, c’est pourquoi il cherche à éloigner Igarashi qui, contrairement à son apparence, est un bon garçon épris de justice et de morale. Le manga porte bien son nom, il y a une folie ambiante et les personnages sont pris dans ce tourbillon. Une curiosité à découvrir en connaissance de cause. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fou-comme-le-chapelier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Deuxième série de la nouvelle collection Yuri de Meian avec une série bien plus légère que la première. Un peu trop à mon gout. En effet, cette série est quand même "très étirée" en longueur. Si l'histoire est intéressante, elle apparaît pour l'instant assez simple et semble avoir besoin de beaucoup de page pour ne pas raconter grand-chose. C'est agréable et vite lu, mais on se doute de beaucoup de chose rapidement l'histoire n'avance pas au rythme ou on l'espèrerait. À voir ce que la suite nous livrera et j'aimerais me tromper et nous livrer plein de surprises.
  20. Titre de l'album : Notre été éphémère tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Yuama Dessinateur de l'album : Yuama Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Un récit doux et tragique entre deux jeunes filles, le temps d'un été... Shizuku Hoshikawa, une jeune lycéenne asociale, termine enfin de rédiger dans le plus grand secret un roman tragique. S'apprêtant à se débarrasser de ses écrits sans avoir laissé quiconque les lire, elle croise Kaori Asaka, une de ses camarades de classe, qui s'empare de son oeuvre et file sans demander son reste. Shizuku s'attend à ne recevoir que du mépris de la part de Kaori, mais à sa grande surprise, celle-ci lui fait un retour des plus inattendus. La rencontre de deux jeunes filles profondément blessées... Critique : Deuxième série de la nouvelle collection Yuri de Meian avec une série bien plus légère que la première. Un peu trop à mon gout. En effet, cette série est quand même "très étirée" en longueur. Si l'histoire est intéressante, elle apparaît pour l'instant assez simple et semble avoir besoin de beaucoup de page pour ne pas raconter grand-chose. C'est agréable et vite lu, mais on se doute de beaucoup de chose rapidement l'histoire n'avance pas au rythme ou on l'espèrerait. À voir ce que la suite nous livrera et j'aimerais me tromper et nous livrer plein de surprises. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/notre-ete-ephemere-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : Le secret de la souris tome 1 Scenariste de l'album : Yuki SHIRAISHI Dessinateur de l'album : Yuki SHIRAISHI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Il était une fois, un monde anthropomorphique peuplé de créatures hybrides... Dans un système de castes très strict vit Iroha, une petite souris. Alors qu'elle était sur le point d'être vendue comme esclave, la jeune créature est sauvée de justesse par Yakumo, un renard aristocrate. Mais ce fourbe animal a plus d'un tour dans un sac, car ce qu'il désire le plus au monde est d'en faire sa femme... Critique : L’histoire se déroule dans un monde anthropomorphe où la souris est l’espèce la plus basse de l’échelle sociale. Parmi elles, il y a Iroha, une jeune fille qui semble avoir des problèmes de santé et qui ne peut pas vivre sans ses médicaments. Elle finit par être achetée par Yakumo, un renard élégant qui a une bonne position sociale. Ce dernier semble vouloir faire d’Iroha son épouse alors même qu’il batifole allégrement avec le sexe opposé. Pour le moment, nos deux personnages jouent au chat et à la souris, ou plutôt au renard et à la souris J ! Yakumo tire les ficelles et s’amuse des réactions d’Iroha. Cette dernière n’a pas encore compris les raisons de sa présence, elle pense être une esclave et cherche donc à s’enfuir. Le seul élément qui attise notre curiosité c’est son état physique, à quoi servent exactement ses médicaments et que se passera-t-il si elle ne les prend pas ? En dehors de ça et du séduisant renard, ce premier tome n’est pas exceptionnel, il est bien dessiné mais je crains que l’on se dirige vers une histoire d’amour un peu banale. La lecture du prochain tome permettra de mieux définir l’orientation du récit. (Série en cours avec 6 volumes) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-secret-de-la-souris-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Peleliu tome 8

    Titre de l'album : Peleliu tome 8 Scenariste de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Dessinateur de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Le soldat Tamaru et quelques-uns de ses camarades sont en plein doute. Ayant récupéré des magazines américains dans les poubelles de ces derniers, ils sont tombés sur des articles célébrant la fin de la guerre et la reddition du Japon. Mais est-ce la vérité ? Ou un mensonge de propagande pour les faire sortir de leur cachette ? Le Japon ne peut pas perdre. Le Japon ne se rend pas. Le Japon disparaîtra et les Japonais se sacrifieront plutôt que se couvrir du déshonneur de la reddition. Ainsi ont été élevés les soldats japonais depuis le début de la guerre. Ainsi les officiers supérieurs motivent-ils leurs troupes au plus fort des combats. Critique : C’est l’histoire de soldats japonais durant la seconde guerre mondiale pendant la bataille contre les américains sur l’ile de Peleliu. Le manga est une fiction inspirée de faits réels ; l’objectif de l’auteur est de montrer le quotidien de ces soldats au moment des bombardements et ensuite pendant l’occupation américaine. Les soldats coupés de toute communication et ayant perdus leurs supérieurs doivent se débrouiller tant bien que mal pour survivre et maintenir la ligne de défense. Dans ce 8ème volume et avec le retour des insulaires, les soldats se demandent si la guerre est finie, n’ayant d’autres informations que ce qu’ils trouvent dans le camp américain, le doute est omniprésent. Peleliu est à la fois un manga historique et un manga de guerre, le graphisme est assez enfantin avec des personnages tous ronds. Cela permet aux lecteurs de se concentrer sur les évènements (trouver de la nourriture, des abris, se cacher des ennemis, lutter contre les maladies…) et ne pas se focaliser sur les horreurs. Une très bonne approche pour apprendre l’histoire sans la subir, au travers de ces simples soldats, on comprend la mentalité japonaise et l’acharnement à ne pas vouloir capituler même quand tout espoir semble perdu. Une très bonne série. Autres infos : Edition VEGA Dupuis Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/peleliu-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    L'hôtel de tous les plaisirs

    Dans cet hôtel de luxe, certains employés portent un badge spécial qui permet au client de la suite Whittaker de demander n’importe quelle faveur. Ryûsen est venu faire passer des entretiens d’embauche, devant le manque de personnel, le concierge en chef Kashiro l’aide. Ryûsen décide de le débaucher et devant le refus de ce dernier, utilise l’avantage du badge. Dans ce one shot, vous aurez deux histoires de couple qui se déroule dans le même hôtel et qui s’entrecroisent. Celui de Ryûsen et Kashiro, le premier étant prêt à tout pour conquérir Kashiro, y compris venir travailler à l’hôtel. Le second, celui du directeur de l’établissement, Ron, un célèbre acteur avec un mystérieux prince arabe. Si l’histoire n’est pas déplaisante, elle souffre parfois d’un manque de développement, notamment concernant l’enquête de police sur les affaires de prostitution. Le graphisme est agréable mais on aurait aimé s’étendre un peu sur le fonctionnement de cette suite très spéciale !
  24. Titre de l'album : L'hôtel de tous les plaisirs Scenariste de l'album : YAN Dessinateur de l'album : YAN Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Ron est un célèbre acteur, et le propriétaire d'un hôtel de luxe au coeur de Londres. Il offre à ses clients les plus fortunés un service spécial : une unique nuit d'amour et de plaisir avec tout membre du personnel porteur d'un badge spécial. Un jour, il reçoit la demande du mystérieux prince arabe Rana, qui souhaite passer cette nuit de volupté avec nul autre que Ron lui-même. Il s'exécute, mais Rana est-il vraiment celui qu'il prétend être ? Parallèlement, Ryûsen, un homme d'affaires de Singapour, bénéficie lui aussi des services spéciaux de l'hôtel avec le concierge en chef, Kashiro. Critique : Dans cet hôtel de luxe, certains employés portent un badge spécial qui permet au client de la suite Whittaker de demander n’importe quelle faveur. Ryûsen est venu faire passer des entretiens d’embauche, devant le manque de personnel, le concierge en chef Kashiro l’aide. Ryûsen décide de le débaucher et devant le refus de ce dernier, utilise l’avantage du badge. Dans ce one shot, vous aurez deux histoires de couple qui se déroule dans le même hôtel et qui s’entrecroisent. Celui de Ryûsen et Kashiro, le premier étant prêt à tout pour conquérir Kashiro, y compris venir travailler à l’hôtel. Le second, celui du directeur de l’établissement, Ron, un célèbre acteur avec un mystérieux prince arabe. Si l’histoire n’est pas déplaisante, elle souffre parfois d’un manque de développement, notamment concernant l’enquête de police sur les affaires de prostitution. Le graphisme est agréable mais on aurait aimé s’étendre un peu sur le fonctionnement de cette suite très spéciale ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-hotel-de-tous-les-plaisirs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Game of familia tome 8

    Toujours dans leur quête de rechercher des alliés pour combattre les Dead Mells, Sasae et sa familia entendent parler de « dragon », des êtres surpuissants qui se seraient réincarner dans ce monde. Hélas ces dragons ne sont pas toujours bienveillants et certains ont même causé de grandes guerres par le passé. Il est temps d’envoyer une équipe de reconnaissance pour savoir ce qu’il en est mais cette mission réserve une surprise de taille. Début d’un nouvel « arc » dans Game of Familia avec un tome qui met en place de nouveaux personnages. Si ce tome de transition n’est pas exceptionnel, il permet de donner un aperçu de la suite, une suite qui risque fort d’entrainer notre Familia dans une situation extrême et un conflit interne. Voilà qui changera un peu des combats habituels et qui permettra de pimenter un peu l’histoire.
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