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  1. Titre de l'album : Princesse puncheuse tome 4 Scenariste de l'album : Nana Otori Dessinateur de l'album : Sora Hoonoki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : La Tournée de la Sainte Terre, ce rituel qui protège le Paristan, a commencé. Scarlett et ses amis accompagnent sainte Diana dès la procession de départ quand un attentat au canon se produit. C'est la panique ! Il y a de nombreux blessés ! Scarlett devra jouer de ses poings pour déjouer le plan machiavélique de ceux qui veulent empêcher la Tournée de se dérouler sereinement ! « C'est l'heure de faire la fête... Une fête sanglante, bien sûr ! » Critique : Et bim encore une baffe ! et boum encore un rapprochement entre notre héroïne et le prince. Voilà le résumé du déroulé de ce tome 4. Bon, j'exagère beaucoup le trait. Surtout que ce tome 4 est plein de surprise avec une évolution du rôle de notre princesse puncheuse vers quelque chose de plus centrale et justifiant un certain nombre d'événements passés. Mais reste que toute cette histoire est un prétexte intéressant à faire avancer une histoire d'amour de plus en plus visible entre Scarlet et le prince. Une série sympathique qui se lit toujours avec beaucoup de plaisir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/princesse-puncheuse-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Mushoku tensei tome 19

    Grrr décidément cet arc tout pourri sur les problèmes d'érections de notre héros a vraiment gâché la série. A un tel point que même ce bon tome peine à nous redonner le sourire. Car ce tome est bon. Il repart sur notre trame principale, nous montrant les progrès D'Erin, nous reparlant de notre méchant surpuissant et faisant intervenir les sœurs de Rudeus. Sœurs qui dynamisent la vie de couple de notre héros, mais mettent surtout l'accent sur la famille de Rudeus dont la recherche est le centre de notre histoire. En gros un bon tome qui, après le précédent, continue de tenter de relancer une intrigue que les 7 tomes précédents ont mise à mal. Le chemin risque d'être long mais au moins, on le prend dans le bon sens. Ceux qui auront résisté à la traversée du désert seront content.
  3. Titre de l'album : Mushoku tensei tome 19 Scenariste de l'album : Rifujin Na Magonote Dessinateur de l'album : Yuka Fujikawa Coloriste : Yuka Fujikawa Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : On pardonne encore moins facilement une faute lorsqu'elle est commise par un membre de sa famille. "Je me suis donné du mal ! Pourquoi c'est Norn qui est récompensée ?" Louiseld a accompagné les petites soeurs Greyrat jusqu'à la nouvelle demeure de Rudeus et de Sylphy. Les retrouvailles sont enjouées, mais il est déçu d'apprendre qu'Eris et Rudeus se sont séparés.Aisha et Norn commencent leur nouvelle vie chez leur frère, qui cherche à leur assurer le meilleur avenir possible. Il leur propose de passer l'examen d'entrée à l'Académie de Lanoa, mais... Critique : Grrr décidément cet arc tout pourri sur les problèmes d'érections de notre héros a vraiment gâché la série. A un tel point que même ce bon tome peine à nous redonner le sourire. Car ce tome est bon. Il repart sur notre trame principale, nous montrant les progrès D'Erin, nous reparlant de notre méchant surpuissant et faisant intervenir les sœurs de Rudeus. Sœurs qui dynamisent la vie de couple de notre héros, mais mettent surtout l'accent sur la famille de Rudeus dont la recherche est le centre de notre histoire. En gros un bon tome qui, après le précédent, continue de tenter de relancer une intrigue que les 7 tomes précédents ont mise à mal. Le chemin risque d'être long mais au moins, on le prend dans le bon sens. Ceux qui auront résisté à la traversée du désert seront content. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mushoku-tensei-tome-19?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Titre de l'album : Kengan omega tome 5 & 6 Scenariste de l'album : Yabako Sandrovich Dessinateur de l'album : Daromeon Coloriste : Daromeon Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Alors que les combattants commencent à se rassembler... la "vermine " sort de l'ombre dans laquelle elle était tapie... Un combat de qualité attend le jeune Ryûki Gaoh et Seishû Akoya, un combattant de top niveau ! Du côté de l'Association Kengan, on s'active pour recruter un à un des candidats pour la grande compétition contre le Rengoku. Tandis que Kôga affiche clairement des progrès grâce à son entraînement, une mystérieuse organisation surnommée "la Vermine" entre en contact avec Kazuo Yamashita... Critique : Pffff c'est suite de Kengan Ashura n'en finit plus de surprendre ! En plus de nous livrer des combats épiques, elle complexifie encore l'histoire avec l'apparition de "La Vermine", le méchant que l'on a entre aperçu à la fin de la série précédente. Un méchant qui était déjà à l'œuvre, dans l'ombre dans la première série, et dont l'intervention permet de remettre en perspective des actions du tournoi Kengan... mais aussi permet la réapparition de personnages que l'on pensait perdu à jamais. Ajoutez à cela le début du tournoi contre Rengoku et vous aurez deux tomes passionnants avec une palme pour le 5 qui finit sur un cliffhanger de dingue. Encore ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kengan-omega-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Kengan omega tome 5 & 6

    Pffff c'est suite de Kengan Ashura n'en finit plus de surprendre ! En plus de nous livrer des combats épiques, elle complexifie encore l'histoire avec l'apparition de "La Vermine", le méchant que l'on a entre aperçu à la fin de la série précédente. Un méchant qui était déjà à l'œuvre, dans l'ombre dans la première série, et dont l'intervention permet de remettre en perspective des actions du tournoi Kengan... mais aussi permet la réapparition de personnages que l'on pensait perdu à jamais. Ajoutez à cela le début du tournoi contre Rengoku et vous aurez deux tomes passionnants avec une palme pour le 5 qui finit sur un cliffhanger de dingue. Encore !
  6. Titre de l'album : Heart program tome 1 Scenariste de l'album : NAKAMURA Hinata Dessinateur de l'album : NAKAMURA Hinata Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Kyû USAMI vit seul avec sa mère. Un jour d'été, il voit débarquer chez lui un robot qui ressemble à s'y méprendre à une jeune fille. Cette créature est venue étudier l'âme humaine, et le jeune Kyû va rapidement se rendre compte qu'on peut facilement tomber amoureux d'un être pourtant dépourvu de coeur... Critique : La collection Moonlight nous propose toujours des histoires pleines d’émotions avec des graphismes délicats. Hinata Nakamura, découverte avec son titre De l’autre côté de l’horizon, revient avec Heart program, une série en 4 volumes. Dans un japon moderne mais pas très éloigné de notre époque, arrive dans les foyers des androïdes, afin qu’ils puissent s’adapter au mieux aux humains, ils doivent passer plusieurs années dans une famille d’accueil pour développer leurs sentiments. C’est ainsi que Ichiko, un robot jeune fille, débarque chez Kyû, un adolescent vivant seul avec sa mère. Ce dernier est très réticent quant à l’arrivée d’un robot chez lui mais peu à peu, il la laisse entrer dans sa vie. L’histoire est un peu classique, des sentiments se développent chez Kyû, mais également chez Ichiko qui ne sait pas encore bien identifier ce qu’elle ressent. Il y a aussi l’amie d’enfance, amoureuse, qui va commencer à être jalouse et tout un tas de préjugés sur les androïdes « ce n’est qu’un robot, elle ne ressent rien… ». Bref le développement semble être couru d’avance. Cependant, la narration est plutôt bien faite et le dessin est très rond et empli de douceur. On sent une légère mélancolie ambiante ainsi que le bourgeonnement des premiers émois. Un premier tome sympathique. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/heart-program-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Genesis tomes 9 et 10

    Comme je n’ai pas trouvé d’anciennes critiques sur ce manga, je me permets de vous faire un court résumé de la série. Résumé : Au cours d’une promenade, un groupe de 7 étudiants en anthropologie découvrent au fond d’une grotte des peintures rupestres non répertoriées mais suite à un éboulement, ils trouvent une autre sortie et se retrouve en pleine préhistoire. Ne sachant pas d’abord où ils sont, ils sont vite obligés de se rendre à l’évidence quand ils voient des mammouths. Mais quand ils se font attaquer par des hommes de Neandertal, la réalité les rattrape, il faut à présent apprendre à survivre : trouver à manger, s’abriter et surtout se défendre. Si pour la majorité d’entre eux, il est difficile d’accepter les faits et encore plus difficile de s’acclimater à ce nouvel environnement ; Taiga, un garçon un peu timoré, va vite trouver sa place. C’est grâce à lui et son nouveau courage que la petite troupe va aller cohabiter avec les homo-sapiens et afin d’améliorer leur quotidien et se faire accepter, ils se servent de leurs connaissances et modifient quelque peu l’ordre des choses. Seulement, d’autres événements leurs font penser que l’histoire a déjà déviée : les néandertaliens qui auraient dû disparaitre au profit des homo-sapiens se sont organiser en armée et comptent exterminer tous les autres peuples, les colorés et les sang-mêlé comme ils disent. Forcément, l’introduction de nouveaux procédés (apprivoiser un loup, inventer la roue, faire un four et construire des armes en métal…) changent le passé. Un personnage se permet d’ailleurs de faire la morale aux autres en leur rappelant que changer le passé changera forcément leur futur et qu’ils ne pourront peut-être pas rentrer chez eux. A part lui, les autres ont pleinement conscience que rentrer n’est plus une option, ils sont là pour une bonne raison et cette raison arrive justement au tome 9 : bien avant eux, un groupe de militaires nazis s’étaient déjà égarés à la préhistoire et l’un d’entre eux a suggéré de mener à bien leur mission : appliquer l’idéologie nazi « imposer au monde un peuple et une nation uniques ». Mon avis : Si le retour dans le temps n’est pas forcément une nouveauté dans les récits, cette incursion en préhistoire est particulièrement bien faite. Nous n’avons pas des personnages qui vont réussir facilement, ils vont apprendre, douloureusement parfois, à vivre dans un milieu primitif. Il y a d’un côté l’apprentissage de la vie à cette époque avec de nombreux détails et de l’autre côté, les conséquences de leur présence sur leur environnement avec la question obligatoire : a-t-on le droit de changer le passé ? Il y a donc une partie historique et culturelle mais en plus des réflexions psychologiques comme le fait d’être obligé de tuer quand on vient d’une époque où c’est considéré comme un meurtre… Je reste sceptique sur l’arrivée des nazis. N’importe quel autre groupe perdu dans la partie néandertalienne aurait eu le même effet ou presque : afin d’éviter la fin de leur peuple, ils auraient quand même dû migrer vers le sud pour éviter l’extinction due à la période glaciaire et donc affronter les autres peuples en place. Je ne suis pas sûre que le fait qu’il s’agisse de nazis apporte une plus-value à l’histoire, la suite répondra peut-être à cette question. Malgré son graphisme particulier qui souffre parfois de disproportions dans l’anatomie des personnages, Genesis est une série très intéressante et assez prenante, une fois lancé dans la lecture, il est difficile de s’arrêter. Je luis met une note globale de 4.5/5 avec cependant une baisse sur ces deux derniers tomes avec ce léger changement d’orientation qui fait que nous ne sommes plus uniquement dans un récit de survie.
  8. Titre de l'album : Genesis tomes 9 et 10 Scenariste de l'album : MORI Kouji Dessinateur de l'album : MORI Kouji Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Alors qu'ils se promènent dans la campagne australienne, Taiga et ses amis découvrent une grotte où sont peintes des fresques rupestres très anciennes. La joie de cette découverte est de courte durée car un tremblement de terre les enferme dans la grotte. Trouvant néanmoins une sortie, les jeunes gens découvrent qu’ils ont été transportés en pleine Préhistoire, à l'époque de l'affrontement entre hommes de Neandertal et Homo sapiens. Mammouths, crocodiles géants, meutes de loups géants... Chaque mammifère est une menace pour leur survie. Pourront-ils dépasser leurs habitudes et retrouver l'instinct animal qui leur permettra de vivre ? Critique : Comme je n’ai pas trouvé d’anciennes critiques sur ce manga, je me permets de vous faire un court résumé de la série. Résumé : Au cours d’une promenade, un groupe de 7 étudiants en anthropologie découvrent au fond d’une grotte des peintures rupestres non répertoriées mais suite à un éboulement, ils trouvent une autre sortie et se retrouve en pleine préhistoire. Ne sachant pas d’abord où ils sont, ils sont vite obligés de se rendre à l’évidence quand ils voient des mammouths. Mais quand ils se font attaquer par des hommes de Neandertal, la réalité les rattrape, il faut à présent apprendre à survivre : trouver à manger, s’abriter et surtout se défendre. Si pour la majorité d’entre eux, il est difficile d’accepter les faits et encore plus difficile de s’acclimater à ce nouvel environnement ; Taiga, un garçon un peu timoré, va vite trouver sa place. C’est grâce à lui et son nouveau courage que la petite troupe va aller cohabiter avec les homo-sapiens et afin d’améliorer leur quotidien et se faire accepter, ils se servent de leurs connaissances et modifient quelque peu l’ordre des choses. Seulement, d’autres événements leurs font penser que l’histoire a déjà déviée : les néandertaliens qui auraient dû disparaitre au profit des homo-sapiens se sont organiser en armée et comptent exterminer tous les autres peuples, les colorés et les sang-mêlé comme ils disent. Forcément, l’introduction de nouveaux procédés (apprivoiser un loup, inventer la roue, faire un four et construire des armes en métal…) changent le passé. Un personnage se permet d’ailleurs de faire la morale aux autres en leur rappelant que changer le passé changera forcément leur futur et qu’ils ne pourront peut-être pas rentrer chez eux. A part lui, les autres ont pleinement conscience que rentrer n’est plus une option, ils sont là pour une bonne raison et cette raison arrive justement au tome 9 : bien avant eux, un groupe de militaires nazis s’étaient déjà égarés à la préhistoire et l’un d’entre eux a suggéré de mener à bien leur mission : appliquer l’idéologie nazi « imposer au monde un peuple et une nation uniques ». Mon avis : Si le retour dans le temps n’est pas forcément une nouveauté dans les récits, cette incursion en préhistoire est particulièrement bien faite. Nous n’avons pas des personnages qui vont réussir facilement, ils vont apprendre, douloureusement parfois, à vivre dans un milieu primitif. Il y a d’un côté l’apprentissage de la vie à cette époque avec de nombreux détails et de l’autre côté, les conséquences de leur présence sur leur environnement avec la question obligatoire : a-t-on le droit de changer le passé ? Il y a donc une partie historique et culturelle mais en plus des réflexions psychologiques comme le fait d’être obligé de tuer quand on vient d’une époque où c’est considéré comme un meurtre… Je reste sceptique sur l’arrivée des nazis. N’importe quel autre groupe perdu dans la partie néandertalienne aurait eu le même effet ou presque : afin d’éviter la fin de leur peuple, ils auraient quand même dû migrer vers le sud pour éviter l’extinction due à la période glaciaire et donc affronter les autres peuples en place. Je ne suis pas sûre que le fait qu’il s’agisse de nazis apporte une plus-value à l’histoire, la suite répondra peut-être à cette question. Malgré son graphisme particulier qui souffre parfois de disproportions dans l’anatomie des personnages, Genesis est une série très intéressante et assez prenante, une fois lancé dans la lecture, il est difficile de s’arrêter. Je luis met une note globale de 4.5/5 avec cependant une baisse sur ces deux derniers tomes avec ce léger changement d’orientation qui fait que nous ne sommes plus uniquement dans un récit de survie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/genesis-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Pumpkin night tomes 2 et 3

    C’est gore, répugnant, horrible, écœurant et encore gore. Bref un vrai « délice » pour les yeux ! Mieux vaut avoir le cœur bien accroché quand vous lisez cette série. Si le second tome est dans la lignée du 1er, où il y a une surenchère de moments dégoutants, on est surpris dans ce 3e tome d’y trouver autre chose qu’une vulgaire vengeance. Oui, il y a de la dénonciation et cela ne se limite pas qu’au harcèlement scolaire ! On y parle de corruption et surtout d’un manque absolu de morale. Quand Kazuya demande les raisons d’un tel harcèlement et qu’on lui répond « y’a pas besoin de raison pour harceler quelqu’un ! On le fait parce que c’est marrant c’est tout ! » on sent que l’auteur souhaite marquer les esprits et c’est surtout la fin du tome 3 qui nous laisse penser que le manga porte peut-être un message. Il reste néanmoins, comme je l’avais souligné dans la chronique du 1er tome, un gros problème de réalisme. Autant les histoires de harcèlement et corruption sont plausibles, autant il y a des éléments complétement improbables qui ont tendance à nous sortir du récit (comme le fait par exemple que l’on laisse des scalpels et une multitude de seringues à la portée d’un malade dans une chambre d’hôpital…). Je comprends que l’objectif du manga soit de marquer les esprits mais je ne suis pas sûre que cela serve vraiment le propos si réellement il y a une volonté de faire passer un message. Quoi qu’il en soit, le livre est A RESERVER A UN PUBLIC ADULTE !
  10. Titre de l'album : Pumpkin night tomes 2 et 3 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima - Gussan Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kazuya finit par apprendre la vérité au sujet de l'incident qui a défiguré Naoko lors d'une nuit d'Halloween. Mais maintenant que la lumière est faite sur les raisons qui poussent la jeune fille à se venger, Kazuya et elle sont confrontés à une force contre laquelle même la police ne peut lutter...Au moment où Naoko passe de prédatrice à proie, elle reconnaît être l'invincible Pumpkin Night, qui apparaît au cœur de la nuit noire. Tandis qu'Halloween approche, une nouvelle menace s'avance dans les ténèbres...Un récit sanguinaire pour les amateurs de slasher movie, à ne pas mettre entre toutes les mains ! Critique : C’est gore, répugnant, horrible, écœurant et encore gore. Bref un vrai « délice » pour les yeux ! Mieux vaut avoir le cœur bien accroché quand vous lisez cette série. Si le second tome est dans la lignée du 1er, où il y a une surenchère de moments dégoutants, on est surpris dans ce 3e tome d’y trouver autre chose qu’une vulgaire vengeance. Oui, il y a de la dénonciation et cela ne se limite pas qu’au harcèlement scolaire ! On y parle de corruption et surtout d’un manque absolu de morale. Quand Kazuya demande les raisons d’un tel harcèlement et qu’on lui répond « y’a pas besoin de raison pour harceler quelqu’un ! On le fait parce que c’est marrant c’est tout ! » on sent que l’auteur souhaite marquer les esprits et c’est surtout la fin du tome 3 qui nous laisse penser que le manga porte peut-être un message. Il reste néanmoins, comme je l’avais souligné dans la chronique du 1er tome, un gros problème de réalisme. Autant les histoires de harcèlement et corruption sont plausibles, autant il y a des éléments complétement improbables qui ont tendance à nous sortir du récit (comme le fait par exemple que l’on laisse des scalpels et une multitude de seringues à la portée d’un malade dans une chambre d’hôpital…). Je comprends que l’objectif du manga soit de marquer les esprits mais je ne suis pas sûre que cela serve vraiment le propos si réellement il y a une volonté de faire passer un message. Quoi qu’il en soit, le livre est A RESERVER A UN PUBLIC ADULTE ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours.
  12. Titre de l'album : La sainte déchue et son fervent protecteur tome 1 Scenariste de l'album : HINOKAGE Sora Dessinateur de l'album : AKEKO Suzu , CHUM Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Bannie, mais désormais libre ? Fréméa commence une nouvelle vie aux côtés de son fidèle chevalier ! Fréméa est la sainte du royaume de Justitia. Ce n'est qu'une fois tous les cent ans que l'une d'entre elles voit le jour. En tant qu'élue de ce centenaire, elle n'a que très peu de liberté, et en compagnie de son fidèle chevalier, Roland, elle guérit le peuple de tous les maux qui l'accablent. Un jour, une rumeur circule selon laquelle Fréméa est une usurpatrice. Elle se retrouve alors bannie du royaume. Cependant une nouvelle vie pleine de liberté s'offre désormais à elle, aux côtés de son fervent protecteur Roland, qui est le seul à croire en la jeune femme. Une histoire douce et paisible d'une sainte en exil et de son chevalier protecteur ! Critique : Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-sainte-dechue-et-son-fervent-protecteur-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Le palais des assassins tome 1

    Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait
  14. Titre de l'album : Le palais des assassins tome 1 Scenariste de l'album : IORI Tabasa Dessinateur de l'album : IORI Tabasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Plus facile d'assassiner ses ennemis que de se faire des amis ! Karin vient d'entrer comme apprentie servante au quartier des femmes du palais impérial. Dans ce lieu à part, elle espère réaliser son voeu de toujours : se faire des amies ! Fille du haut fonctionnaire le plus craint de l'empire et considérée comme le bras armé de son conspirateur de père, elle a toute sa vie vécu isolée. Même si elle est experte dans l'art de l'assassinat, elle n'aspire qu'à une vie normale ! Pourtant, les efforts qu'elle fournit pour se rapprocher de ses camarades sont vains, car la peur qu'elle inspire fait d'elle une paria... Un soir de tempête, alors qu'elle est au bord du désespoir, un garçon s'approche pour lui offrir son parapluie avant de disparaître... Ce n'est autre que l'empereur lui-même ! Ce geste d'amitié inattendu redonne courage à la jeune fille, qui jure de prouver sa reconnaissance. L'occasion ne tarde pas : elle débusque un assassin infiltré qui cherche à atteindre le petit monarque et l'élimine grâce à ses talents cachés ! Tant de gens veulent la perte du souverain... mais Karin se promet de le protéger dans l'ombre ! Comment fraterniser dans un nid de vipères ? Le Palais des assassins vous entraîne dans l'univers d'une héroïne aussi habile au combat que maladroite en amitié ! Critique : Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-palais-des-assassins-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Heart program tome 1

    La collection Moonlight nous propose toujours des histoires pleines d’émotions avec des graphismes délicats. Hinata Nakamura, découverte avec son titre De l’autre côté de l’horizon, revient avec Heart program, une série en 4 volumes. Dans un japon moderne mais pas très éloigné de notre époque, arrive dans les foyers des androïdes, afin qu’ils puissent s’adapter au mieux aux humains, ils doivent passer plusieurs années dans une famille d’accueil pour développer leurs sentiments. C’est ainsi que Ichiko, un robot jeune fille, débarque chez Kyû, un adolescent vivant seul avec sa mère. Ce dernier est très réticent quant à l’arrivée d’un robot chez lui mais peu à peu, il la laisse entrer dans sa vie. L’histoire est un peu classique, des sentiments se développent chez Kyû, mais également chez Ichiko qui ne sait pas encore bien identifier ce qu’elle ressent. Il y a aussi l’amie d’enfance, amoureuse, qui va commencer à être jalouse et tout un tas de préjugés sur les androïdes « ce n’est qu’un robot, elle ne ressent rien… ». Bref le développement semble être couru d’avance. Cependant, la narration est plutôt bien faite et le dessin est très rond et empli de douceur. On sent une légère mélancolie ambiante ainsi que le bourgeonnement des premiers émois. Un premier tome sympathique. Extrait
  16. Nickad

    JK Haru tome 5

    Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend.
  17. Nickad

    JK Haru tome 5

    Titre de l'album : JK Haru tome 5 Scenariste de l'album : HIRATORI Ko Dessinateur de l'album : YAMADA J-Ta Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Cet endroit aussi était un autre monde pour elle. Après un accident de la route, Haru, jeune lycéenne, s'est retrouvée dans un autre monde où elle est contrainte à travailler comme prostituée. Après de nombreuses aventures, elle décide de prendre la place de son aînée, Sikraso, partie en mission dans une caserne militaire. Critique : Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Aujourd'hui le futur tome 1

    On vous le dit, l’année 2024 est placée sous le signe du yuri ! Annoncé à la Y/con, plusieurs éditeurs vont étoffer leur catalogue de girl’s love. Miku a le sens pratique et pas de temps à perdre, alors quand elle annonce à Kyôko, son amie depuis toujours qu’elle aime, elle lui donne deux consignes : « tu peux faire de moi tout ce que tu veux » et « c’est toi qui décideras de tout ce qui me concerne » mais attention Kyôko n’a que jusqu’à la fin du lycée pour se décider ! Après Miku considère que si Kyôko n’a pas accepté leur relation c’est qu’il sera trop tard, elle ne souhaite pas s’éterniser sur des espoirs et compte bien aller de l’avant. Mais Miku est maligne et au bout du compte c’est elle qui tire les ficelles ! Si la thématique principale est une évolution des sentiments et le passage parfois difficile de l’amitié à l’amour, le manga propose aussi une vision réaliste et positive pour prendre sa vie en main et profiter du moment présent. Miku sait ce qu’elle veut et se donne les moyens d’y arriver, pas de façon violente, elle propose, explique, donne des exemples. Peu à peu elle pousse Kyôko à agir, à aller sur des chemins différents. Tous se passe en douceur et cela ressort particulièrement bien dans la narration et dans le graphisme, on a un peu l’impression d’être hors du temps, comme lorsqu’on se prélasse au soleil et que l’on prend le temps de vivre. L’histoire est parfois un peu mielleuse, mélancolique et parfois un peu coquine… et puis par moment, il y a une réflexion qui nous interpelle, une franchise qui nous surprend et qui nous donne envie d’accompagner Miku et Kyôko dans leurs moments de complicité et d’intimité. Un joli début de série.
  19. Titre de l'album : Aujourd'hui le futur tome 1 Scenariste de l'album : YOSHITOMI Akihito Dessinateur de l'album : YOSHITOMI Akihito Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Kyôko et Miku sont amies d’enfance et fréquentent le même lycée. Un beau jour, Miku avoue ses sentiments à Kyôko : des sentiments qui dépassent la simple amitié. Elle n’exige pas de réponse immédiate : Kyôko a jusqu’à la fin du lycée pour décider de son avenir avec Miku. D’ici là, elle est libre d’agir comme elle le souhaite et d’essayer tout ce qu’elle veut avec Miku. C’est le début de nouvelles expériences sentimentales… Critique : On vous le dit, l’année 2024 est placée sous le signe du yuri ! Annoncé à la Y/con, plusieurs éditeurs vont étoffer leur catalogue de girl’s love. Miku a le sens pratique et pas de temps à perdre, alors quand elle annonce à Kyôko, son amie depuis toujours qu’elle aime, elle lui donne deux consignes : « tu peux faire de moi tout ce que tu veux » et « c’est toi qui décideras de tout ce qui me concerne » mais attention Kyôko n’a que jusqu’à la fin du lycée pour se décider ! Après Miku considère que si Kyôko n’a pas accepté leur relation c’est qu’il sera trop tard, elle ne souhaite pas s’éterniser sur des espoirs et compte bien aller de l’avant. Mais Miku est maligne et au bout du compte c’est elle qui tire les ficelles ! Si la thématique principale est une évolution des sentiments et le passage parfois difficile de l’amitié à l’amour, le manga propose aussi une vision réaliste et positive pour prendre sa vie en main et profiter du moment présent. Miku sait ce qu’elle veut et se donne les moyens d’y arriver, pas de façon violente, elle propose, explique, donne des exemples. Peu à peu elle pousse Kyôko à agir, à aller sur des chemins différents. Tous se passe en douceur et cela ressort particulièrement bien dans la narration et dans le graphisme, on a un peu l’impression d’être hors du temps, comme lorsqu’on se prélasse au soleil et que l’on prend le temps de vivre. L’histoire est parfois un peu mielleuse, mélancolique et parfois un peu coquine… et puis par moment, il y a une réflexion qui nous interpelle, une franchise qui nous surprend et qui nous donne envie d’accompagner Miku et Kyôko dans leurs moments de complicité et d’intimité. Un joli début de série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aujourd-hui-le-futur-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages.
  21. Titre de l'album : Karakuri circus - perfect edition tome 25 et 26 (fin) Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le final grandiose d'une épopée enflammée, bourrée d'action et d'automates ! Poursuivis par les automates, le cirque Nakamachi n'a pas d'autre choix que de se battre contre eux ! Grâce à leur protection, nos héros se rapprochent petit à petit du train dans lequel se trouvent Éléonore et Narumi... Porté par l'amour de ses proches, Masaru se dirige quant à lui vers le lieu de l'affrontement final, bien décidé à mettre un terme aux agissements de Faceless ! La plus enflammée des épopées opposant humains et machines touche enfin à sa fin ! Critique : Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-26-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Pandora seven tome 1 Scenariste de l'album : KAYASHIMA Yuta Dessinateur de l'album : KAYASHIMA Yuta Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lia, une jeune humaine élevée par une mère dragon, est la seule de son espèce sur la petite île où elle vit paisiblement entourée de nombreuses créatures fantastiques. Mais ses jours heureux prennent fin quand une armée d'humains sanguinaires débarque pour dévaster son île dans le seul but de récupérer la boîte de Pandore ! Critique : Lia vit tranquillement sur une petite ile isolée du reste du monde, elle est la seule humaine au milieu de 6 autres races, tout le monde s’entend très bien et la grande fête de l’ile est sur le point de débuter quand un vaisseau arrive. Des magiciens et guerriers humains débarquent, détruisent tout sur leur passage afin de trouver la boite de Pandore. Lia voulant sauver sa mère adoptive, fusionne malencontreusement avec la boite. Méchants humains, gentils monstres et boite mythique qui fera basculer le destin du monde, voici les éléments de ce manga. Il y a Lia, une humaine ayant grandie entourée d’affection sur une ile sans haine ni discrimination qui va se retrouver brutalement confrontée à la dure réalité du monde : soif de pouvoirs, abus physique, racisme, violence… La transition entre le début qui semble être une aventure toute mignonne et l’attaque des humains est assez violente, notre héroïne va de désenchantement en désenchantement, même l’espoir de trouver de l’aide auprès d’une sorcière la renvoie au constat amer de n’être jugée que par ses origines sans avoir pu s’exprimer. Il y a un décalage très net entre le graphisme rond du manga et le propos. Côté univers, Pandora seven surfe sur plusieurs vagues, il y a de l’heroic fantasy, de la dark fantasy, un côté science-fiction provenant des équipements humains et parfois un peu de légèreté humoristique. Le manga propose donc une multitude d’éléments variés dans ce 1er tome, pour le moment le mélange fonctionne bien mais certains évènements se déroulent un peu vite. Reste à savoir si l’auteur ne se perdra pas en cours de route, la série est en cours et compte 4 tomes actuellement. A suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pandora-seven-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    My wife has no emotion tome 3

    Troisième tome de my wife has no émotion et tome entièrement tourné autour de leur petit robot d'adoption. Adoption étant le bon terme, car ce tome trois est entièrement tourné autour de la problématique d'avoir un enfant dans une relation entre robot et humain. Mais ce tome trois ne se consacre qu'à cela et délaisse un peu la relation entre nos deux amoureux. Un tome étonnant mais au final un peu lassant...
  24. Titre de l'album : My wife has no emotion tome 3 Scenariste de l'album : Jiro Sugiura Dessinateur de l'album : Jiro Sugiura Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ma femme robotique et moi avons un enfant ! Mina, le robot domestique, et Takuma, l'employé de bureau, forment un couple pour le moins insolite. Mais voilà que la famille s'agrandit avec l'arrivée de Mamoru. Critique : Troisième tome de my wife has no émotion et tome entièrement tourné autour de leur petit robot d'adoption. Adoption étant le bon terme, car ce tome trois est entièrement tourné autour de la problématique d'avoir un enfant dans une relation entre robot et humain. Mais ce tome trois ne se consacre qu'à cela et délaisse un peu la relation entre nos deux amoureux. Un tome étonnant mais au final un peu lassant... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-wife-has-no-emotion-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Avez-vous entendu parler de Webtoon ? Un phénomène qui monte en puissance et très prisé des adolescents ? Pour vous y retrouver un peu, je vous propose de vous éclairer sur le sujet. Origine : Devant la modernisation des téléphones, l’apparition des tablettes, les auteurs ont alors réfléchi à développer une application plus facile à lire surtout dans les transports. C’est ainsi qu’est apparu le webtoon : un webcomic développé pour être lu facilement sur mobile avec une lecture verticale : une case en largeur et un défilement facile avec le pouce, pas besoin de 2 mains ! On peut se tenir à la barre du métro et lire tranquillement ! Les premiers webtoons sont apparus en Corée, la première plateforme en 2003 mais c’est surtout NAVER en 2004 qui a permis sa démocratisation. Hélas pour les français, il faudra attendre 2011 avec l’arrivée de Delitoon pour avoir une plateforme officielle qui présente ces œuvres. Avant, il fallait se contenter de traductions faites par des sites de fans ou des lectures en anglais. Evolution : En 2019, le webtoon explose ! Les plateformes se multiplient (webtoon de Naver, verytoon de Delcourt, webtoon factory de Dupuis, Piccoma du japonais Kakao). La majorité de ces supports fonctionnent de la même façon : quelques épisodes gratuits pour découvrir la série puis un système de « coin » à gagner ou à acheter pour débloquer les chapitres suivants. Ou parfois, il suffit juste d’être patient pour avoir le nouveau chapitre gratuitement (1 semaine en général sur les plateformes webtoon et piccoma). Cet engouement ne passe pas inaperçu et les éditeurs s’activent pour sortir des versions physiques ; des labels ou éditeurs spécifiques apparaissent : Kbooks, VEGA (Dupuis), SIKKU (Michel Lafon), Koyohan (Matin Calme), Nazca, Kotoon, Kamondo books. N’oublions pas les éditeurs qui faisaient déjà quelques parutions de webtoon sans changer de nom : on retrouve Re:life chez Ki-oon et peut-être le 1er à avoir été édité en France, Bâtard et Sweet home chez Ki-oon, Tower of God chez Ototo, Killing Stalking chez Taifu. Format : Pour ceux qui se sont donc déjà lancé dans le webtoon papier, vous avez sûrement remarqué le format et le tarif : un format A5 avec un prix globalement de 15 euros le tome. Pourquoi est-ce si cher me direz-vous ? Tout d’abord, le webtoon est entièrement colorisé, ensuite il faut passer d’une lecture verticale ou tout le dynamisme se retrouve dans les espacements du défilement et les coupures des cases à une lecture (de gauche à droite comme les livres français) à plusieurs vignettes sur une largeur : un gros travail d’adaptation donc qui a un coût ! Pour ce qui est du format, c’est un accord entre les éditeurs pour garder une cohérence. Oui re:life, tower of God, TODAG, DICE sont des petits formats… pour le 1er, il est paru quand le webtoon n’était pas encore à la mode ! Pour les autres, une question de budget peut-être ? Qui est le lecteur type ? Il s’agit de la jeune fille de 17 ans : les garçons ont tendance à rester sur le shonen, alors que les filles lisent de tout. Cela se ressent aussi sur la partie création, sur webtoon factory par exemple, il y a beaucoup d’autrices. Webtoon et censure : En théorie, il n’y a aucune raison de se limiter au niveau des scenarii, seulement voilà, le webtoon est publié en informatique, et passe par des serveurs ou applications qui censurent automatiquement certains contenus. Donc aujourd’hui, les plateformes ne peuvent pas aller au maximum de ce qui est possible et se censurent elles-mêmes pour éviter d’avoir de problèmes. Quelques éditeurs webtoon : Lors de la Japan expo de 2022, a eu lieu une conférence au sujet du webtoon avec quelques acteurs du secteur : Webtoon Factory, Delitoon, Ankama et Koyohan étaient présents. Webtoon factory : Appartient au groupe Dupuis, favorise les webtoons de création française ou européenne. Leur objectif : proposer 60 nouvelles séries par an, cherche à préserver la qualité que ce soit au niveau graphique ou du scenario et aimerait aller plus loin que le webtoon coréen qui est parfois très codifié. Delitoon : Pionner de la plateforme webtoon en France, crée en 2011 par un homme tout seul. En 2017, il y a eu un essor avec un partenariat avec une entreprise coréenne Ankama : Existe depuis 2000 avec les jeux, ils ont déjà une grosse communauté qui les suit. Veulent se lancer dans le webtoon pour être présent sur tous les supports mais ils ont tout à construire sur le sujet. Koyohan : Son objectif est de plaire au plus grand nombre et pour cela reste sur le webtoon coréen Remarques diverses : Comme pour le manga, la grosse difficulté des créations françaises va être de séduire le public français habitué au webtoon coréen L’arrivée de la pandémie du covid a permis un essor du webtoon, des artistes de nombreux pays se sont mis à exploiter ce format, vous pouvez d’ailleurs mettre vos œuvres sur certains de ces sites. Bien sûr, l’un des objectifs serait d’exporter le webtoon français et la reconnaissance ultime serait de le faire connaître en Corée. Si ce projet n’est pas impossible (cf publication de radiant au Japon), cela reste encore compliqué : la Corée reste un pays assez fermé aux influences extérieures. Il y a encore 1 ans, les coréens n’étaient pas conscients de l’importance du webtoon dans le monde, ils ne comprenaient pas pourquoi des éditeurs voulaient en faire des exemplaires papier, maintenant qu’ils ont compris l’achat des droits a augmenté et cela se ressent dans le prix du livre.
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