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  1. Titre de l'album : The prism - Tome 2 Scenariste de l'album : Matteo de Longis Dessinateur de l'album : Matteo de Longis Coloriste : Matteo de Longis Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : À la surface de la Terre, des espaces immenses sont recouverts par le S.O.T.W. (Smoke On The Water). Ce phénomène, lié à la pollution sonore, efface la vie là où il passe... La seule option pour le contenir vient d'une mégacorporation dont l'objectif est d'envoyer dans l'espace un supergroupe de rock pour enregistrer un album. Le projet «The Prism» vise à réunir les meilleurs musiciens pour sauver la vie sur Terre et enrayer le S.O.T.W. La suite narre les exploits des «REC missions» sur les différentes planètes du système solaire et révèle l'histoire et les motivations de chaque musicien, ici, celles de Dorian. Batteur d'origine ukrainienne, il jouait avec son frère à Odessa jusqu'à ce que n'éclate la guerre entre l'Ukraine et la Russie, bouleversant ainsi leurs vies. Critique : Après une premier tome introductif situant le contexte et présentant brièvement les personnages, l'auteur complet Matteo de Longis aborde la suite aux confins de l'espace. En effet, le "vaisseau-guitarre" transportant l'équipe de techniciens et musiciens censés sauver le monde du SOTW est sur le point d'entrer en orbite de Mercure, première étape du voyage stellaire musical. L'histoire aborde en parallèle le passé de Dorian le batteur ukrainien. On y suit ses concerts clandestins sous la menace d'une invasion russe (encore oui 🙂 ), puis le conflit russo-ukrainien une fois bien établi avec un danger omniprésent perturbant leur quotidien. Il va puiser dans ce passé et y trouver des ressources pour atteindre une sorte de trans musicale lui permettant de réaliser les objectifs fixés sur le sol mercurien. Car oui, ils se posent sur Mercure et entame leur tournée interplanétaire, où comment sauver l'humanité au son du rock ! Mais sous des températures extrêmes et la menace de météorites, le danger rôde telle l'invasion russe passée, avec des conséquences, inattendues 😉 L'auteur semble axer les tomes sur la présentation d'un des protagonistes tout en ajoutant des éléments de récit faisant avancer l'histoire principale. Il manie toujours aussi bien le découpage et innove avec des onomatopées "sonores" permettant au lecteur d'imaginer facilement un son approprié. C'est véritablement une expérience de lecture. Les couleurs sont "flashies" et immersives, à l'image des nombreux effets spéciaux lumineux. Il n'hésite pas à présenter des plans larges ou des pages entières, renforçant l'immensité spatiale. Il invente le "space-rock" remplaçant le space-opéra ! Je vous laisse découvrir quelle sera la prochaine destination de notre équipage et sur qui il sera centré 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-prism-tome-2-red-shift/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    The prism - Tome 2

    Après une premier tome introductif situant le contexte et présentant brièvement les personnages, l'auteur complet Matteo de Longis aborde la suite aux confins de l'espace. En effet, le "vaisseau-guitarre" transportant l'équipe de techniciens et musiciens censés sauver le monde du SOTW est sur le point d'entrer en orbite de Mercure, première étape du voyage stellaire musical. L'histoire aborde en parallèle le passé de Dorian le batteur ukrainien. On y suit ses concerts clandestins sous la menace d'une invasion russe (encore oui 🙂 ), puis le conflit russo-ukrainien une fois bien établi avec un danger omniprésent perturbant leur quotidien. Il va puiser dans ce passé et y trouver des ressources pour atteindre une sorte de trans musicale lui permettant de réaliser les objectifs fixés sur le sol mercurien. Car oui, ils se posent sur Mercure et entame leur tournée interplanétaire, où comment sauver l'humanité au son du rock ! Mais sous des températures extrêmes et la menace de météorites, le danger rôde telle l'invasion russe passée, avec des conséquences, inattendues 😉 L'auteur semble axer les tomes sur la présentation d'un des protagonistes tout en ajoutant des éléments de récit faisant avancer l'histoire principale. Il manie toujours aussi bien le découpage et innove avec des onomatopées "sonores" permettant au lecteur d'imaginer facilement un son approprié. C'est véritablement une expérience de lecture. Les couleurs sont "flashies" et immersives, à l'image des nombreux effets spéciaux lumineux. Il n'hésite pas à présenter des plans larges ou des pages entières, renforçant l'immensité spatiale. Il invente le "space-rock" remplaçant le space-opéra ! Je vous laisse découvrir quelle sera la prochaine destination de notre équipage et sur qui il sera centré 😉
  3. Titre de l'album : The song about green tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Yan Gao Dessinateur de l'album : Yan Gao Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : À Taïwan, Lu et Nanjun se rencontrent au sortir de l’adolescence autour de leur passion commune pour la culture japonaise, de Haruki Murakami aux grandes figures de la pop. Subtile chronique douce-amère d’un premier amour qui vibre entre Taïwan et Tokyo, The Song about Green séduit par sa maturité graphique et sa justesse. Critique : Qu'est-ce que c'est beau. Dans tous les sens du terme. Graphiquement, et n'en déplaise à l'auteure, à en croire ces dires en fin d'histoire, c'est superbe. Les émotions sont d'un naturel rare dans les mangas courant et les paysages subliment. Mais il n'y a pas que graphiquement que c'est beau. L'histoire elle-même l'est tout aussi. Elle respire la vérité. Pas de surenchère de sentiment, pas d'étalage de sentiment... rien de plus que les premiers émois d'une jeune fille timide et sa découverte d'un musicien , part sa musique, l'aide à sortir de sa coquille et à s'assumer. Rien de grandiloquent. Rien d'extravagant. Juste la vie d'une jeune fille à un âge compliqué. Rien de plus. Mais ce n'était pas nécessaire. Une très belle histoire qui se s'apprécie et se lisant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/song-about-green-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    The song about green tome 1 & 2

    Qu'est-ce que c'est beau. Dans tous les sens du terme. Graphiquement, et n'en déplaise à l'auteure, à en croire ces dires en fin d'histoire, c'est superbe. Les émotions sont d'un naturel rare dans les mangas courant et les paysages subliment. Mais il n'y a pas que graphiquement que c'est beau. L'histoire elle-même l'est tout aussi. Elle respire la vérité. Pas de surenchère de sentiment, pas d'étalage de sentiment... rien de plus que les premiers émois d'une jeune fille timide et sa découverte d'un musicien , part sa musique, l'aide à sortir de sa coquille et à s'assumer. Rien de grandiloquent. Rien d'extravagant. Juste la vie d'une jeune fille à un âge compliqué. Rien de plus. Mais ce n'était pas nécessaire. Une très belle histoire qui se s'apprécie et se lisant !
  5. Mon oncle est une star de K-pop est une version moderne du conte de fée où la bonne fée marraine exauce votre vœu le plus cher, sauf qu’ici le vœu se fait via une application et la fée est une I.A. ! Nous voici donc avec Lee Woo-jin, 28 ans, qui n’a pas été épargné par la vie : son frère et sa belle-sœur sont décédés lors d’un accident laissant une petite fille, son père est mort peu après et sa mère est malade. Il n’a pas pu poursuivre ses études et enchaine les petits boulots pour subvenir aux besoins de sa famille. Autant dire qu’il a laissé tomber ses rêves depuis longtemps !! C’est ainsi qu’un soir de déprime, il répond à un questionnaire sur l’application « star.com » et voit arriver une petite sphère (matérialisation de l’I.A.) qui va l’aider à réaliser son rêve : devenir une star !! On pourrait penser que la situation est un peu trop cheatée et que l’I.A. va tout faire à sa place. Détrompez-vous ! Même si l’I.A. agit un peu sur son physique elle ne fait pas tout et Woo-Jin s’entraine beaucoup à chanter et ne ménage pas ses efforts. Et ce sera l’intérêt principal de la série : nous permettre d’entrer dans les coulisses de la K-pop et découvrir comment se fabrique une star. On ne va pas se mentir, l’histoire est aussi de la pure distraction destinée à faire rêver les amateurs de shojo et de K-pop. Le récit ne manque pas d’humour, on appréciera notamment la transformation de Woo-jin qui n’a aucun sens de la mode !! Côté graphisme, on aurait aimé que le dessin des planches soit aussi beau que celui de la couverture mais hélas, il est un peu plus quelconque, ce qui ne gêne pas la lecture. Un bon premier tome agréable à lire pour une série à suivre.
  6. Titre de l'album : Mon oncle est une star de Kpop tome 1 Scenariste de l'album : HUH Wonjin Dessinateur de l'album : NOPNI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Le rêve de Woo-jin s'est brisé le jour où son frère et sa belle-sœur sont morts dans un accident. Son père a succombé à la tristesse, le laissant en charge de sa mère malade et de sa jeune nièce. Contraint de prendre un job alimentaire, tout change quand il répond à un spam qui lui promet de l'aider à rejoindre le monde des stars de Kpop ! Il n'est jamais trop tard pour réaliser son rêve ! Critique : Mon oncle est une star de K-pop est une version moderne du conte de fée où la bonne fée marraine exauce votre vœu le plus cher, sauf qu’ici le vœu se fait via une application et la fée est une I.A. ! Nous voici donc avec Lee Woo-jin, 28 ans, qui n’a pas été épargné par la vie : son frère et sa belle-sœur sont décédés lors d’un accident laissant une petite fille, son père est mort peu après et sa mère est malade. Il n’a pas pu poursuivre ses études et enchaine les petits boulots pour subvenir aux besoins de sa famille. Autant dire qu’il a laissé tomber ses rêves depuis longtemps !! C’est ainsi qu’un soir de déprime, il répond à un questionnaire sur l’application « star.com » et voit arriver une petite sphère (matérialisation de l’I.A.) qui va l’aider à réaliser son rêve : devenir une star !! On pourrait penser que la situation est un peu trop cheatée et que l’I.A. va tout faire à sa place. Détrompez-vous ! Même si l’I.A. agit un peu sur son physique elle ne fait pas tout et Woo-Jin s’entraine beaucoup à chanter et ne ménage pas ses efforts. Et ce sera l’intérêt principal de la série : nous permettre d’entrer dans les coulisses de la K-pop et découvrir comment se fabrique une star. On ne va pas se mentir, l’histoire est aussi de la pure distraction destinée à faire rêver les amateurs de shojo et de K-pop. Le récit ne manque pas d’humour, on appréciera notamment la transformation de Woo-jin qui n’a aucun sens de la mode !! Côté graphisme, on aurait aimé que le dessin des planches soit aussi beau que celui de la couverture mais hélas, il est un peu plus quelconque, ce qui ne gêne pas la lecture. Un bon premier tome agréable à lire pour une série à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-oncle-est-une-star-de-kpop-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : The prism - Tome 1 Scenariste de l'album : Matteo de Longis Dessinateur de l'album : Matteo de Longis Coloriste : Matteo de Longis Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : La Terre, dans un futur proche. La pollution sonore menace de détruire la planète. Et si le dernier espoir de l'humanité était le rock ? A la surface de la Terre, des espaces immenses sont recouverts par le Sotw. Ce phénomène, lié à la pollution sonore, efface la vie où il passe... et son terrain de jeu s'accroît sans cesse. La dernière option pour le contenir provient d'une immense mégacoporation : il s'agit d'envoyer dans l'espace un supergroupe de rock pour un concert hors du commun. Tel est l'objectif du projet Prisme, visant à réunir les meilleurs musiciens de la planète pour sauver la vie sur Terre et enrayer le Sotw. Sauf qu'il n'est pas si simple de créer une osmose entre les talents, même lorsque l'enjeu est immense... Matteo de Longis nous plonge avec son incroyable virtuosité graphique dans une ambitieuse et envoûtante épopée du rock spatial. Critique : Matteo de Longis se lance enfin dans le grand bain en tant qu'auteur complet avec une aventure spatiale rock n'roll ! Une pollution sonore enrayant la vie nommée le sotw ( smoke on the water) , comme un clin d'oeil à l'une des plus grandes chansons rock de tous les temps , se déploie de façon inquiétante et empirique à la surface de la planète terre . La solution ? Un son venu des confins de l'espace , le son d'une chanson et d'accords parfaits pouvant stopper cette atteinte virale menaçante . Cet objectif ne sera atteint qu'avec les meilleurs musiciens du monde . 5 femmes et hommes choisis par un consortium , qui devront travailler de concert et offrir à la terre une chanson "libératrice" ! Barbara Canepa déjà co-illustratrice sur Skydoll dirige cette collection de l'éditeur Oxymore et laisse à son confrère Matteo de Longis une grande latitude . On retrouve ce trait rond caractéristique , aux influences "manga" , avec une palette de couleurs vives et numériques . Une performance graphique de haute volée , au service d'un découpage dynamique et emprunté lui aussi aux productions nippones , avec par exemple des gros plans sur les visages des protagonistes amplifiant leurs réactions . L'italien ne cache pas son admiration pour le mangaka Yusuke Murata (One-Punch-Man) et s'inspire de son style dans les phases d'action , donnant ainsi de la vitesse et du mouvement au récit . L'ensemble aurait des allures d'un mélange du style de Buchet (Sillage) et Murata , un style réaliste franco-belge aux rondeurs japonaises , embelli par des couleurs éclatantes . Vous l'aurez compris , il sera difficile de ne pas être emballé par le dessin de cet ouvrage magnifiquement relié . L'histoire en revanche peine à convaincre , les personnages sont caricaturaux et cette fameuse pollution sonore n'est que très peu décrite , idem pour cette éventuelle solution "space-rock" venue de la lune . L'auteur s'est évidemment fait plaisir en amateur de musique , en illustrant le vaisseau spatial en forme de guitare électrique et en utilisant la musique comme remède à cette terrible atteinte planétaire .On sent un soucis du détail et l'envie de bien faire . Il a présenté les personnages , situé le contexte , il va falloir dorénavant donner un peu plus de profondeur à l'histoire 😉 . Continuez mr De Longis , vous êtes sur la bonne voie , the show must go on !! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-prism-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Kevin Nivek

    The prism - Tome 1

    Matteo de Longis se lance enfin dans le grand bain en tant qu'auteur complet avec une aventure spatiale rock n'roll ! Une pollution sonore enrayant la vie nommée le sotw ( smoke on the water) , comme un clin d'oeil à l'une des plus grandes chansons rock de tous les temps , se déploie de façon inquiétante et empirique à la surface de la planète terre . La solution ? Un son venu des confins de l'espace , le son d'une chanson et d'accords parfaits pouvant stopper cette atteinte virale menaçante . Cet objectif ne sera atteint qu'avec les meilleurs musiciens du monde . 5 femmes et hommes choisis par un consortium , qui devront travailler de concert et offrir à la terre une chanson "libératrice" ! Barbara Canepa déjà co-illustratrice sur Skydoll dirige cette collection de l'éditeur Oxymore et laisse à son confrère Matteo de Longis une grande latitude . On retrouve ce trait rond caractéristique , aux influences "manga" , avec une palette de couleurs vives et numériques . Une performance graphique de haute volée , au service d'un découpage dynamique et emprunté lui aussi aux productions nippones , avec par exemple des gros plans sur les visages des protagonistes amplifiant leurs réactions . L'italien ne cache pas son admiration pour le mangaka Yusuke Murata (One-Punch-Man) et s'inspire de son style dans les phases d'action , donnant ainsi de la vitesse et du mouvement au récit . L'ensemble aurait des allures d'un mélange du style de Buchet (Sillage) et Murata , un style réaliste franco-belge aux rondeurs japonaises , embelli par des couleurs éclatantes . Vous l'aurez compris , il sera difficile de ne pas être emballé par le dessin de cet ouvrage magnifiquement relié . L'histoire en revanche peine à convaincre , les personnages sont caricaturaux et cette fameuse pollution sonore n'est que très peu décrite , idem pour cette éventuelle solution "space-rock" venue de la lune . L'auteur s'est évidemment fait plaisir en amateur de musique , en illustrant le vaisseau spatial en forme de guitare électrique et en utilisant la musique comme remède à cette terrible atteinte planétaire .On sent un soucis du détail et l'envie de bien faire . Il a présenté les personnages , situé le contexte , il va falloir dorénavant donner un peu plus de profondeur à l'histoire 😉 . Continuez mr De Longis , vous êtes sur la bonne voie , the show must go on !!
  9. Titre de l'album : Amy Winehouse en BD Scenariste de l'album : Tony Lourenco , Elsa Gambin Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Avec son timbre de voix unique, Amy Winehouse s'est rapidement imposée comme l'une des figures de la soul britannique de ce début du XXIe siècle. Raflant toutes les récompenses sur son passage après l'immense Back to Black, sa carrière a été une explosion dans le monde de la musique. Une explosion trop brève. Multipliant les addictions et d'une santé mentale fragile, Amy s'éteint prématurément, laissant derrière elle une oeuvre mémorable. Découvrez dans ce Docu-BD, entre planches de bande dessinée et pages documentaires, la vie mouvementée de cette artiste au style si reconnaissable, qui résonne encore aujourd'hui partout dans le monde. Critique : Impossible de rédiger mon avis sur cet excellent documentaire sur Amy Winehouse , sans écouter l'album phare : Back to black ! Le 23 juillet 2011 elle entrait dans le cercle des regrettés "club des 27" , avec Janis Joplin entre autres et un certain Kurt Cobain . Les éditions Petitàpetit consacreront un nouvel opus de cette collection sur le chanteur de Nirvana , très bientôt 😉 . Mais revenons à la diva anglaise née dans la banlieue londonienne le 14 septembre 1983 . On y découvre son enfance bercée par une famille passionnée de musique , le père chantant du Sinatra et lui vouant un culte . Elle ne manque pas d'amour mais très vite on aperçoit une adolescente avec un caractère trempé dans l'acier , et une volonté d'arriver à ses fins à toute épreuve . Le divorce de ses parents sonnera comme un compte à rebours enclenché vers son funeste sort . Ses débuts dans des écoles de musique , ses amies , ses amours , ses beuveries , puis son grand amour : Blake . Lui aussi précipitera la chanteuse vers des horizons funèbres . Le succès débutant et s'accentuant , on aperçoit deux trajectoires s'opposant : une reconnaissance musicale et un talent inouï , mais une santé vacillante sous les effets des drogues et alcools consommés à outrance . Une fois de plus , ce format "Docu-BD" fonctionne à merveille , avec un collectif de dessinateurs posant leur style sur les différents moments de sa vie . Dans cette chronologie , interviennent des double-pages avec images d'archives , revues de presse , et autres textes complétant les pages BD précédentes . C'est précis , vivant et incroyablement bien documenté . Vous saurez tout sur la diva anglaise et cette voix qui nous manquera à jamais . "Love is a losing game" , "Rehab" , "back to Black" , résonnent en nous pour toujours et à jamais . Un biopic sortira au cinéma le 24 avril . Mais en attendant , vous pouvez réviser avec ce très beau livre à la somptueuse couverture signée par Benjamin Blaco-Martinez ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amy-winehouse-en-bd/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Amy Winehouse en BD

    Impossible de rédiger mon avis sur cet excellent documentaire sur Amy Winehouse , sans écouter l'album phare : Back to black ! Le 23 juillet 2011 elle entrait dans le cercle des regrettés "club des 27" , avec Janis Joplin entre autres et un certain Kurt Cobain . Les éditions Petitàpetit consacreront un nouvel opus de cette collection sur le chanteur de Nirvana , très bientôt 😉 . Mais revenons à la diva anglaise née dans la banlieue londonienne le 14 septembre 1983 . On y découvre son enfance bercée par une famille passionnée de musique , le père chantant du Sinatra et lui vouant un culte . Elle ne manque pas d'amour mais très vite on aperçoit une adolescente avec un caractère trempé dans l'acier , et une volonté d'arriver à ses fins à toute épreuve . Le divorce de ses parents sonnera comme un compte à rebours enclenché vers son funeste sort . Ses débuts dans des écoles de musique , ses amies , ses amours , ses beuveries , puis son grand amour : Blake . Lui aussi précipitera la chanteuse vers des horizons funèbres . Le succès débutant et s'accentuant , on aperçoit deux trajectoires s'opposant : une reconnaissance musicale et un talent inouï , mais une santé vacillante sous les effets des drogues et alcools consommés à outrance . Une fois de plus , ce format "Docu-BD" fonctionne à merveille , avec un collectif de dessinateurs posant leur style sur les différents moments de sa vie . Dans cette chronologie , interviennent des double-pages avec images d'archives , revues de presse , et autres textes complétant les pages BD précédentes . C'est précis , vivant et incroyablement bien documenté . Vous saurez tout sur la diva anglaise et cette voix qui nous manquera à jamais . "Love is a losing game" , "Rehab" , "back to Black" , résonnent en nous pour toujours et à jamais . Un biopic sortira au cinéma le 24 avril . Mais en attendant , vous pouvez réviser avec ce très beau livre à la somptueuse couverture signée par Benjamin Blaco-Martinez !
  11. Titre de l'album : Les derniers jours de Robert Johnson Scenariste de l'album : Frantz Duchazeau Dessinateur de l'album : Frantz Duchazeau Coloriste : Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Années 1930, un homme, la vingtaine, mi vagabond, mi dandy, sillonne les routes poussiéreuses du Mississippi avec pour seuls bagages une guitare acoustique et une bouteille de vin. Malgré son jeune âge, il semble porter sur les épaules tout le poids du monde, traînant derrière lui comme un boulet de forçat un passé déjà trop douloureux : l'abandon d'un père, une enfance passée dans les champs de coton, sous la surveillance un beau-père violent, puis la mort en couches de l'amour de sa vie ... Qui peut douter qu'il s'agit de Robert Johnson, l'auteur de « Sweet Home Chicago», et que, de ses souffrances, il tire un blues à nul autre pareil ? Disséminant sa musique encore méconnue de ville en ville, dans un Sud raciste, Johnson a rendez-vous avec sa gloire en une date et en un lieu : la scène du Carnegie Hall, à New York, où des producteurs qui croient en son talent l'attendent impatiemment. Mais son autodestruction est à la hauteur de son talent : immense. Arrivera-t-il à destination ? Critique : Grand initiateur du "club des 27" (artistes décédés à l'âge de 27 ans : Cobain , Winehouse , Basquiat , Morrison , Hendrix entre autres) , Robert Johnson a brûlé la vie par les deux bouts . Je dois avouer ma méconnaissance du guitariste de blues , mort en 1938 , mais ayant influencé de nombreux musiciens par la suite . Frantz Duchazeau avait déjà démontré ses talents de conteur avec Le rêve de Meteor Slim , sur la vie imaginaire d'un guitariste de blues taillant la route à la rencontre du monde . Il recommence ici avec un véritable artiste en dévoilant sa (courte) vie dans un méli-mélo de planches passées et présentes . Là réside le seul bémol de ce roman graphique volumineux : ces alternances temporelles sans aucun moyen d'identifier l'époque en place , si ce n'est le contexte et les personnages . Car le trait de Duchazeau , aussi remarquable soit-il sur les paysages et descriptions des villes d'époque ; souffre en revanche d'un manque de finesse sur les visages . Rassurez-vous , il délivre ceci dit des planches remarquables dans un noir et blanc "crayonné" puissant et vivace . La trame principale suit donc Robert Johnson qui décide de partir à New-York pour un concours musical , sans savoir que durant son périple , deux personnes le recherchent pour justement le mener à cette compétition . Quelle ironie de voir ce pauvre ère déambuler dans la campagne américaine du sud , sans le sou , dormant à la belle étoile et cherchant de la nourriture et de l'alcool dans les petites villes traversées . Dans les années 30 de ce pays , le racisme est omniprésent avec des pancartes de ségrégation et autres pendaisons sauvages initiées par le Ku Klux Klan . On ressent à travers ces pages , les difficultés éprouvées par la population noire à cette époque . Tout au long du récit , vous découvrirez aussi une autre quête jalonnant la vie de Robert Johnson , une recherche sur son passé et ce qui le rend tel qu'il est : un alcoolique et un guitariste touché par la grâce de Dieu (mais pas que 😉 ) . Un scénario riche et un dessin contemplatif . J'avais découvert le talent de Duchazeau dans son crépusculaire Les vaincus , depuis , le natif d'Angoulême ne cesse de progresser ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-derniers-jours-de-robert-johnson/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Grand initiateur du "club des 27" (artistes décédés à l'âge de 27 ans : Cobain , Winehouse , Basquiat , Morrison , Hendrix entre autres) , Robert Johnson a brûlé la vie par les deux bouts . Je dois avouer ma méconnaissance du guitariste de blues , mort en 1938 , mais ayant influencé de nombreux musiciens par la suite . Frantz Duchazeau avait déjà démontré ses talents de conteur avec Le rêve de Meteor Slim , sur la vie imaginaire d'un guitariste de blues taillant la route à la rencontre du monde . Il recommence ici avec un véritable artiste en dévoilant sa (courte) vie dans un méli-mélo de planches passées et présentes . Là réside le seul bémol de ce roman graphique volumineux : ces alternances temporelles sans aucun moyen d'identifier l'époque en place , si ce n'est le contexte et les personnages . Car le trait de Duchazeau , aussi remarquable soit-il sur les paysages et descriptions des villes d'époque ; souffre en revanche d'un manque de finesse sur les visages . Rassurez-vous , il délivre ceci dit des planches remarquables dans un noir et blanc "crayonné" puissant et vivace . La trame principale suit donc Robert Johnson qui décide de partir à New-York pour un concours musical , sans savoir que durant son périple , deux personnes le recherchent pour justement le mener à cette compétition . Quelle ironie de voir ce pauvre ère déambuler dans la campagne américaine du sud , sans le sou , dormant à la belle étoile et cherchant de la nourriture et de l'alcool dans les petites villes traversées . Dans les années 30 de ce pays , le racisme est omniprésent avec des pancartes de ségrégation et autres pendaisons sauvages initiées par le Ku Klux Klan . On ressent à travers ces pages , les difficultés éprouvées par la population noire à cette époque . Tout au long du récit , vous découvrirez aussi une autre quête jalonnant la vie de Robert Johnson , une recherche sur son passé et ce qui le rend tel qu'il est : un alcoolique et un guitariste touché par la grâce de Dieu (mais pas que 😉 ) . Un scénario riche et un dessin contemplatif . J'avais découvert le talent de Duchazeau dans son crépusculaire Les vaincus , depuis , le natif d'Angoulême ne cesse de progresser !
  13. Titre de l'album : Critique par une ado : Bocchi the rock ! tome 1 Scenariste de l'album : Aki Hamazi Dessinateur de l'album : Aki Hamazi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : T'as du mal à parler aux gens ? Alors fais du rock !!! Le plus hype des mangas de musique du moment, pour toutes les personnes solitaires !!! Hitori Gotô, alias Bocchi , est une jeune fille solitaire qui adore la guitare. Elle se contentait d'en jouer seule chez elle jusqu'à ce qu'une succession d'événements la fasse rencontrer Nijika Ijichi, qui l'invite dans son groupe de rock, Les Attaches . Mais Hitori pourra-t-elle vraiment se débrouiller dans un groupe, elle qui n'a jamais osé jouer devant les autres jusqu'à présent ?! Critique : Critique par @TheOtaku : STOP ! Avant toutes choses, laissez-moi vous préciser que ce manga est assez galère à lire, oui oui oui bien sur vous savez comment lire un manga, mais laissez-moi douter pour celui-ci. Sachez que mon père a du abandonné tellement ça l'a perturbé et pourtant lui aussi lit beaucoup de manga, alors non vous ne savez pas lire celui-ci (sauf si vous êtes une exception). Car ce manga est fait de petites vignettes et que chaque vignette se lise dans le sens japonais soit de haut en bas puis de droite à gauche contrairement aux mangas dont on a l’habitude qui se lise de droite à gauche puis de haut en bas (j’espère que je ne vous ai pas perdu). Bocchi the rock! c'est l'histoire d'une petite qui se met à la guitare pour paraitre classe et avoir l'occasion de sociabiliser bien que cela ne soit pas une réussite. On suit les histoires courtes de la vie de Bocchi qui de fils en aiguilles va finir par intégrer un groupe de musique. Les dessins sont plutôt mignons et les histoires assez amusantes, mais personnellement, je n'ai pas beaucoup aimé. Je trouve que les blagues ne sont pas si drôles que ça mais surtout que ça devient looong au bout d'un moment. J'ai l'habitude de vous dire que ce genre de manga est bon pour le repos mais ici ce n'est même pas le cas à cause du sens de lecture ... Il est tout à fait possible (même grandement) que mon jugement soit affecté par la difficulté de lecture mais après tout je dois vous donner mon avis sur le manga et pas l'histoire . SI cela ne vous demotive pas ... allez y Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bocchi-the-rock-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Critique par @TheOtaku : STOP ! Avant toutes choses, laissez-moi vous préciser que ce manga est assez galère à lire, oui oui oui bien sur vous savez comment lire un manga, mais laissez-moi douter pour celui-ci. Sachez que mon père a du abandonné tellement ça l'a perturbé et pourtant lui aussi lit beaucoup de manga, alors non vous ne savez pas lire celui-ci (sauf si vous êtes une exception). Car ce manga est fait de petites vignettes et que chaque vignette se lise dans le sens japonais soit de haut en bas puis de droite à gauche contrairement aux mangas dont on a l’habitude qui se lise de droite à gauche puis de haut en bas (j’espère que je ne vous ai pas perdu). Bocchi the rock! c'est l'histoire d'une petite qui se met à la guitare pour paraitre classe et avoir l'occasion de sociabiliser bien que cela ne soit pas une réussite. On suit les histoires courtes de la vie de Bocchi qui de fils en aiguilles va finir par intégrer un groupe de musique. Les dessins sont plutôt mignons et les histoires assez amusantes, mais personnellement, je n'ai pas beaucoup aimé. Je trouve que les blagues ne sont pas si drôles que ça mais surtout que ça devient looong au bout d'un moment. J'ai l'habitude de vous dire que ce genre de manga est bon pour le repos mais ici ce n'est même pas le cas à cause du sens de lecture ... Il est tout à fait possible (même grandement) que mon jugement soit affecté par la difficulté de lecture mais après tout je dois vous donner mon avis sur le manga et pas l'histoire . SI cela ne vous demotive pas ... allez y
  15. poseidon2

    Judee Sill

    Titre de l'album : Judee Sill Scenariste de l'album : Juan Díaz Canalès Dessinateur de l'album : Jesús Alonso Coloriste : Jesús Alonso Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 1979. North Hollywood. Deux policiers découvrent une junkie décédée dans son appartement. Une affaire sordide de plus ? Non. Car la victime est une certaine Judee Sill, étoile filante de la Folk qui connut une brève heure de gloire seventies avant de mystérieusement disparaître dans la nuit de l'anonymat... Enfant révoltée, délinquante récidiviste, droguée et prostituée notoire : Judee fut tout cela et pire parfois. Mais elle fut surtout une musicienne touchée par la grâce, dont le timbre et la personnalité marquèrent de leur doux fer ceux qui l'entendirent et la côtoyèrent. C'est ce destin dramatique, romanesque et musical que vous invitent à remonter Juan Díaz Canales (Blacksad, Corto Maltese) et Jesus Alonso Iglesias, au gré d'un scénario rythmé comme une partition, servi par un dessin restituant comme jamais les années 70 et s'autorisant parfois de sidérantes envolées psychédéliques. Critique : Nouvel album de Canales avec un nouveau compère espagnol. Et nouvel album surprenant. Au vu de la couverture, j'avais vraiment imaginé une histoire délurée au possible alors qu'en fait pas du tout. L'histoire de Judee Sill est plus triste que délurée. Triste car subissant complètement son époque en passant par toutes les étapes des chanteurs des années 60 : les drogues diverses aussi bien que le succès éphémère. Une histoire au final bien triste d'une artiste inconnue sublimement mis en couleur par Alonso Iglesias. Une artiste à découvrir tout comme un duo d'auteur qu'on a envie de revoir travailler ensemble Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/judee-sill?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Judee Sill

    Nouvel album de Canales avec un nouveau compère espagnol. Et nouvel album surprenant. Au vu de la couverture, j'avais vraiment imaginé une histoire délurée au possible alors qu'en fait pas du tout. L'histoire de Judee Sill est plus triste que délurée. Triste car subissant complètement son époque en passant par toutes les étapes des chanteurs des années 60 : les drogues diverses aussi bien que le succès éphémère. Une histoire au final bien triste d'une artiste inconnue sublimement mis en couleur par Alonso Iglesias. Une artiste à découvrir tout comme un duo d'auteur qu'on a envie de revoir travailler ensemble
  17. The_PoP

    Blue in green

    Titre de l'album : Blue in green Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Anand RK Coloriste : John Pearson Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Eisner Awards du Meilleur Artiste MultimédiaJeune prodige du saxophone, Erik Dieter n'a jamais percé et enseigne la musique, loin de sa famille et de ses ambitions passées. De retour dans la maison de son enfance suite à la mort tragique de sa mère, il tombe sur une vieille photographie d'un musicien de jazz dans d'étranges circonstances, et sa vie bascule. Désormais, Erik n'a plus qu'une idée en tête: découvrir l'identité de ce mystérieux saxophoniste. Mais cette quête réveille en lui les démons de son ambition... De clubs de jazz en révélations sur le passé de sa mère, Erik sombre peu à peu dans la folie, obsédé par la poursuite du génie créatif et de la reconnaissance... jusqu'à y laisser son âme? Whiplash meets William Burroughs meets James Baldwin. Ram V (These Savage Shores, The Many Deaths of Laila Starr, Swamp Thing) revient en force avec Blue In Green, thriller horrifique envoûtant et somptueuse ode au jazz. Un graphic novel d'une beauté incomparable porté par le style unique d'Anand RK (Grafity's Wall). Critique : Dur de se prononcer sur cet ouvrage tant partie graphique que scénario sont particuliers. Ce qui est sûr c'est que si vous ne réussissez pas à vous laisser happer par ce drame Faustien sur fond de musique. Moi j'ai bizarrement accroché bien que maudissant régulièrement la partie graphique pour son manque de lisibilité. Le dénouement attendu ne m'a pas spécialement surpris ni bouleversé et pourtant, je crois bien que ce comics va rester sur mes étagères. C'est un OVNI et pour moi une réussite, car justement tout est souvent question d'ambiance. Je comprends ce que Hi Comics a décelé dans cette oeuvre, et pourtant j'aurais du mal à vous expliquer ce qu'elle a de si bien concrètement. Mais j'ai aimé cette lecture, qui m'a happé petit à petit. Une belle BD d'ambiance sur fond de musique pour les amateurs d'arts à la recherche de quelque chose d'un peu différent. Par contre attention, ouvrez là avant de la commander ou de l'acheter car graphiquement elle ne plaira pas à tout le monde. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-in-green?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. The_PoP

    Blue in green

    Dur de se prononcer sur cet ouvrage tant partie graphique que scénario sont particuliers. Ce qui est sûr c'est que si vous ne réussissez pas à vous laisser happer par ce drame Faustien sur fond de musique. Moi j'ai bizarrement accroché bien que maudissant régulièrement la partie graphique pour son manque de lisibilité. Le dénouement attendu ne m'a pas spécialement surpris ni bouleversé et pourtant, je crois bien que ce comics va rester sur mes étagères. C'est un OVNI et pour moi une réussite, car justement tout est souvent question d'ambiance. Je comprends ce que Hi Comics a décelé dans cette oeuvre, et pourtant j'aurais du mal à vous expliquer ce qu'elle a de si bien concrètement. Mais j'ai aimé cette lecture, qui m'a happé petit à petit. Une belle BD d'ambiance sur fond de musique pour les amateurs d'arts à la recherche de quelque chose d'un peu différent. Par contre attention, ouvrez là avant de la commander ou de l'acheter car graphiquement elle ne plaira pas à tout le monde.
  19. Titre de l'album : Sold Out - Tome 2 - Face B Scenariste de l'album : Phil Castaza Dessinateur de l'album : Phil Castaza Coloriste : Phil Castaza Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après s'être retrouvés et avoir reformé un groupe, nos papy rockers n'ont qu'une envie, se produire sur scène. Mais il leur faut une salle et un public. Grace aux réseaux sociaux qu'ils vont devoir apprendre à utiliser, ils prennent conscience que les fans n'ont pas oublié les Flyong Roosters. Le Krakatoa, véritable salle de spectacle bordelaise, leur ouvre ses portes pour un ultime concert... Critique : Oh que cette face B (ce second album) fait du bien. Honnêtement je pensais que le tome 1 ne verrai jamais sa suite tant le succès commercial ne m'a pas paru au rendez-vous de cette sympathique bd de papy rockeur farceurs. Certes le créneau a été brillamment pris par des ténors ces derniers temps : des Vieux fourneaux en passant par Tananarives, les aventures de l'âge d'or en bd ont plutôt eu du succès. Sold Out avait eu du coup plus de mal à exister : un graphisme moins marquant et une narration moins lettrée l'ont fait passer sous les radars, alors même que les personnages donnaient clairement envie d'en lire la suite. C'est chose faite avec ce Face B qui clôture de belle manière ce diptyque qui vous arrachera quelques sourires et vous fera passer un chouette moment. Et c'est déjà pas mal du tout. Autres infos : Troisième âge Rock'n Roll Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sold-out-tome-2-face-b?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Sold Out - Tome 2 - Face B

    Oh que cette face B (ce second album) fait du bien. Honnêtement je pensais que le tome 1 ne verrai jamais sa suite tant le succès commercial ne m'a pas paru au rendez-vous de cette sympathique bd de papy rockeur farceurs. Certes le créneau a été brillamment pris par des ténors ces derniers temps : des Vieux fourneaux en passant par Tananarives, les aventures de l'âge d'or en bd ont plutôt eu du succès. Sold Out avait eu du coup plus de mal à exister : un graphisme moins marquant et une narration moins lettrée l'ont fait passer sous les radars, alors même que les personnages donnaient clairement envie d'en lire la suite. C'est chose faite avec ce Face B qui clôture de belle manière ce diptyque qui vous arrachera quelques sourires et vous fera passer un chouette moment. Et c'est déjà pas mal du tout.
  21. Nickad

    Neko Light Orchestra au Trianon à Paris

    Ces concerts embarquent les spectateurs dans un voyage inoubliable au pays du Soleil-Levant, à travers son cinéma d'animation et ses plus grands compositeurs. Entre chansons en japonais, finesse de l’instrumentation et émotions pures, les spectateurs seront transportés dans un autre monde, qui plaira à toute la famille. Pour faire durer cette excursion, le Neko Light Orchestra propose, pour la première fois à Paris, l'acte 2 du concert 'Echos du Soleil Levant'. NEKO LIGHT ORCHESTRA Neko Light Orchestra est un collectif de 22 musiciens professionnels, créé à Toulouse en 2011. Orchestre de rock mélodique spécialisé dans la ré-interprétation de musiques des Cultures de l'Imaginaire. Le groupe s'illustre dans les univers de la science-fiction et de la fantasy comme le Seigneur des Anneaux, Game of Thrones, les films d'animation d'Hayao Miyazaki… Après des débuts dans des conventions des Cultures de l'Imaginaire et des conventions geek, le groupe a rapidement trouvé sa place dans les salles de cinéma, puis dans les plus grandes salles de spectacles en France et à l'étranger. LE COLLECTIF EN QUELQUES CHIFFRES 22 musiciens professionnels 10 ans de musique, de concerts et de rencontres Plus de 300 concerts Plus de 12 spectacles diférents 2 albumes de compositions : Uchronies musicales SOIRÉE EN DEUX ACTES 17H : 'ECHOS DU SOLEIL LEVANT' - ACTE 1 Concert hommage aux films du maître du cinéma d'animation japonais Hayao Miyazaki (Mon Voisin Totoro, Le Château dans le Ciel, Le Voyage de Chihiro…), aux autres chefs-d'œuvre du Studio Ghibli (Arrietty : Le petit monde des chapardeurs, Le Tombeau des Lucioles…), et à d'autres œuvres majeures comme Akira ou Ghost in the Shell. 21H : 'ECHOS DU SOLEIL LEVANT' - ACTE 2 Toujours en hommage aux films d'animations japonais, le Neko Light Orchestra va offrir une ré-interprétation des musiques de plusieurs chefs-d'œuvre du maître de l'animation Hayao Miyazaki (Nausicäa de la vallée du vent, Le Château ambulant, Kiki la petite sorcière, Ponyo sur la falaise, Le vent se lève, Princesse Monoké), du Studio Ghibli ou encore au travers de medleys des films de Mamoru Hosoda et de Satoshi Kon. Bande annonce
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