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  1. The_PoP

    L'héritière de Pandore

    Difficile de noter un tel ouvrage. Objectivement je n'ai pas passé un moment de lecture génial. Par contre la fin m'a très agréablement poussé à la réflexion. Cette relecture du mythe de Pandore est assurément enrichissante et bienvenue. Par contre il m'a fallut un peu m'accrocher pendant le développement de l'histoire. D'abord les desseins ne m'ont pas emballé plus que cela, même si je ne doute pas que certains les trouveront superbes. Le style est coloré et vif, assez expressif, même si certaines mises en scènes m'ont parues peu claires. Ensuite notre héroïne est parfois un peu énervante, et donc on n'est pas si sûrs d'avoir envie de la suivre, peut être parce qu'elle nous ressemble, en miroir de notre époque. Bref, c'est difficile à dire donc ce que j'en ai pensé car c'est assurément une lecture enrichissante, et c'est appréciable. Je ne vous la recommanderai par contre que si vous appréciez le dessin de Fabio Mancini car sinon vous risquez de passer à côté pendant le développement. Allez donc en librairie vous faire votre opinion.
  2. Titre de l'album : L'héritière de Pandore Scenariste de l'album : Fabio Mancini Dessinateur de l'album : Fabio Mancini Coloriste : Fabio Mancini Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : En réalité, Pandore n'a jamais ouvert le vase. Elle a fondé un culte autour de ce dernier, qu'elle a transmis à ses successeuses. Mais lorsque Clori, jeune prêtresse novice, croit découvrir que son temple n'est qu'une façade pour vendre des objets-souvenirs aux pèlerins, elle se rebelle et décide d'ouvrir le vase. Mal lui en prend : elle devra traquer tous les fléaux de l'Antiquité, de la Violence jusqu'aux Claquettes-Chaussettes. Une épopée mythologique moderne aux couleurs saisissantes, réinterprétant avec humour et anti-conformisme le mythe de Pandore. Critique : Difficile de noter un tel ouvrage. Objectivement je n'ai pas passé un moment de lecture génial. Par contre la fin m'a très agréablement poussé à la réflexion. Cette relecture du mythe de Pandore est assurément enrichissante et bienvenue. Par contre il m'a fallut un peu m'accrocher pendant le développement de l'histoire. D'abord les desseins ne m'ont pas emballé plus que cela, même si je ne doute pas que certains les trouveront superbes. Le style est coloré et vif, assez expressif, même si certaines mises en scènes m'ont parues peu claires. Ensuite notre héroïne est parfois un peu énervante, et donc on n'est pas si sûrs d'avoir envie de la suivre, peut être parce qu'elle nous ressemble, en miroir de notre époque. Bref, c'est difficile à dire donc ce que j'en ai pensé car c'est assurément une lecture enrichissante, et c'est appréciable. Je ne vous la recommanderai par contre que si vous appréciez le dessin de Fabio Mancini car sinon vous risquez de passer à côté pendant le développement. Allez donc en librairie vous faire votre opinion. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-heritiere-de-pandore?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Karakuri circus - perfect edition tome 17-18 Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Dean, Sadayoshi, mais aussi... Le plus terrible des ennemis fait son apparition ! Alors que Masaru revient du long voyage mémoriel au fil duquel il a été confronté au terrible combat qui opposa Shôji, Guy et les habitants de Kuroga à Sadayoshi (Dean), voilà que Guy l'accueille du fil de sa lame, bien décidé à détruire le corps occupé par l'âme de Sadayoshi ! Mais Masaru commence à leur raconter une nouvelle histoire que ni Guy ni Shôji ne semblent connaître... C'est alors que l'identité de celui qui tire les ficelles devient parfaitement claire ! Critique : Ça y est ! Avec ces deux tomes, on sait tout. On connait tous les protagonistes et leurs passés ! Plus de zones d'ombres...., l'occasion pour notre auteur de nous livrer une partie très "shonen" dans une histoire pour l'instant inclassable. Une pause étonnante, mais pas mal venu qui voit Masaru se comporter en jeune "de base" avec, comme dans les shonen, des amis collégiens, un apprentissage, une montée en compétence et un tournoi ! Si cela ralentit considérablement le rythme, mais sert aussi de rampe de lancement vers les derniers tomes. À noter que, coté troupe de cirque, c'est la grande retrouvaille entre Shirogane et Narumi... et une rencontre différente de celle que l'on attendait. Encore une variation dans une histoire décidément hors normes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-17-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Ça y est ! Avec ces deux tomes, on sait tout. On connait tous les protagonistes et leurs passés ! Plus de zones d'ombres...., l'occasion pour notre auteur de nous livrer une partie très "shonen" dans une histoire pour l'instant inclassable. Une pause étonnante, mais pas mal venu qui voit Masaru se comporter en jeune "de base" avec, comme dans les shonen, des amis collégiens, un apprentissage, une montée en compétence et un tournoi ! Si cela ralentit considérablement le rythme, mais sert aussi de rampe de lancement vers les derniers tomes. À noter que, coté troupe de cirque, c'est la grande retrouvaille entre Shirogane et Narumi... et une rencontre différente de celle que l'on attendait. Encore une variation dans une histoire décidément hors normes
  5. poseidon2

    Kingdom T65-66

    Titre de l'album : Kingdom T65-66 Scenariste de l'album : Yasuhisa Hara Dessinateur de l'album : Yasuhisa Hara Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : En marche vers la bataille décisive ! 233 av. J-C: La conquête du Nord de Zhao L'armée de Qin est parvenue à défaire les troupes du général Kochô, et se trouve désormais à proximité immédiate de Bujô et de Heiyou, les deux dernières villes qui lui barraient la route de la capitale de Zhao. Mais l'ingénieux stratège Riboku, de nouveau aux commandes de l'armée ennemie, parvient à entraver leur marche. Le grand général Ousen et le commandant Shouheikun, contraints de modifier leurs plans, désignent donc un nouvel endroit où devra se tenir l'ultime confrontation entre les deux forces en présence... Critique : Il est de retour ! Oui oui, c'est bien lui ! Le seul et l'unique stratège qui fasse peur au dirigeant de Qin : Riboku ! Ces deux tomes marquent le retour de la stratégie au cœur de la guerre entre Qin et Zhao avec deux visions de la guerre qui s'oppose : celle du stratège Riboku et celle de renard Kanki. Cela donne lieu à une très intéressante bataille, complètement différente de celle que l'on a pris l'habitude de voir. Un regain d'intérêt qui Éts le bienvenu pour une série qui commence à tirer en longueur, surtout sur cette prise de pouvoir de Zhao par Qin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kingdom-tome-65?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Kingdom T65-66

    Il est de retour ! Oui oui, c'est bien lui ! Le seul et l'unique stratège qui fasse peur au dirigeant de Qin : Riboku ! Ces deux tomes marquent le retour de la stratégie au cœur de la guerre entre Qin et Zhao avec deux visions de la guerre qui s'oppose : celle du stratège Riboku et celle de renard Kanki. Cela donne lieu à une très intéressante bataille, complètement différente de celle que l'on a pris l'habitude de voir. Un regain d'intérêt qui Éts le bienvenu pour une série qui commence à tirer en longueur, surtout sur cette prise de pouvoir de Zhao par Qin.
  7. poseidon2

    Pygmalion et la vierge d'Ivoire

    Pour lancer sa collection Mythologies, les éditions Dargaud, qui n'avait pas la leur a contrario de Glénât et Delcourt, ont choisit Serge Le Tendre en tant que scénariste attitré. Serge le tendre s'était déjà fait remarquer sur le sujet avec La gloire d'Héra et Tirésias. Il est accompagné sur cet album (et au moins le suivant, Tirésias) par son compère sur un certain nombre d'album (Le projet Bleiberg, les vestiges de l'aube) Frederic Peynet aux dessins. La particularité du traitement donné à cet albums c'est la présence physique des dieux et déesses dans notre histoire. L'interaction avec les héros de ces tragédies est donc directe ce qui donne un vrai coté fantastique tant au dessin qu'a l'histoire. Ceux qui ne connaissent pas l'histoire de Pygmalion feront donc une belle découverte en lisant ce standard de la dramaturgie grecque. J'attends pour ma part plus du prochain... que je ne connais pas 🙂
  8. Titre de l'album : Pygmalion et la vierge d'Ivoire Scenariste de l'album : Serge Le Tendre Dessinateur de l'album : Frédéric Peynet Coloriste : Frédéric Peynet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le sculpteur Pygmalion éprouve une fascination pour sa création qui représente une jeune femme sous le nom de Galatée. À travers cette oeuvre le sculpteur a façonné un idéal féminin, au point d'en perdre la raison et de tuer son maître... Pygmalion ne remarque pas l'amour que lui voue une autre femme, Agapé, bien réelle, elle. Désespérée face à l'indifférence du sculpteur, elle finira par se donner la mort. Aphrodite, la déesse de l'amour, décide pourtant de donner vie à la sculpture, répondant ainsi au voeu de Pygmalion... Mais il y aura un prix à payer ! Critique : Pour lancer sa collection Mythologies, les éditions Dargaud, qui n'avait pas la leur a contrario de Glénât et Delcourt, ont choisit Serge Le Tendre en tant que scénariste attitré. Serge le tendre s'était déjà fait remarquer sur le sujet avec La gloire d'Héra et Tirésias. Il est accompagné sur cet album (et au moins le suivant, Tirésias) par son compère sur un certain nombre d'album (Le projet Bleiberg, les vestiges de l'aube) Frederic Peynet aux dessins. La particularité du traitement donné à cet albums c'est la présence physique des dieux et déesses dans notre histoire. L'interaction avec les héros de ces tragédies est donc directe ce qui donne un vrai coté fantastique tant au dessin qu'a l'histoire. Ceux qui ne connaissent pas l'histoire de Pygmalion feront donc une belle découverte en lisant ce standard de la dramaturgie grecque. J'attends pour ma part plus du prochain... que je ne connais pas 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pygmalion-et-la-vierge-d-ivoire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Don Vega

    Titre de l'album : Don Vega Scenariste de l'album : Pierre Alary Dessinateur de l'album : Pierre Alary Coloriste : Pierre Alary Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Madrid, 1848. Don Vega, héritier d'une riche famille californienne, reçoit une lettre lui annonçant le décès de ses parents. L'auteur du courrier, le père Delgado, l'incite à rentrer " dans les plus brefs délais ". A son retour, Don Vega découvre que le domaine familial est désormais géré par un ancien général, Gomez. Celui-ci s'appuie sur Borrow, une brute sadique et sans scrupules, pour mettre la Californie en coupe réglée en rachetant des terrains à bas prix afin de les revendre plus cher. Des peons ont le courage de se révolter. Le visage couvert d'une cagoule, ils se réclament d'" el Zorro ", un mythe populaire local. Le peuple les voit comme des héros. Don Vega décide de suivre leur exemple : il revêt un costume noir et est bien décidé à faire payer les spoliations commises envers sa famille. La légende de Zorro est en marche... Le personnage de Zorro renaît de ses cendres dans cette relecture enthousiasmante d'un classique de la culture populaire, né en 1919 dans un roman de Johnston McCulley avant d'être immortalisé par le cinéma et la série télévisée de Walt Disney. Critique : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit... et court vers l'aventure au galop !!! Son nom il le signe à la pointe de l'épée... d'un Z qui veut dire Zorro !!!!!!!!!!!!" Mes collègues ici présents vont encore dire que je suis trop gentil. Mais j'assume. Mais même si j'assume je dois nuancer cette note par un facteur majeur dans le cas présent: la nostalgie. Oui oui on a beau avoir fait des milliers de critiques, il est toujours difficile de démêler les sentiments de la critique pure et dure. Surtout quand ça fait appel à des souvenirs joyeux de jeunesses. Des souvenirs de 4 garçons regardant les aventures du vengeur masqué avec leurs parents... Donc peut être que je suis un peu trop gentil sur ce Don Vega. Car effectivement si l'aventure est belle et intense, et les dessins bon (même si un cran en dessous de ceux de Silas Corey), l'histoire n'est pas non plus super originale. On reste sur du classique de Zorro comme on l'a déjà vu au cinéma. Mais pour moi l'essentiel n'est n'ai pas là. L’essentiel est qu'en sortant du tram, une fois la lecture finie, je chantais tout haut : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit..." avec comme seule envie de montrer ça à mes enfants. Et ça, ça vaut bien une demi-étoile de plus ! Autres infos : un cavalier......... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-vega?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Don Vega

    "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit... et court vers l'aventure au galop !!! Son nom il le signe à la pointe de l'épée... d'un Z qui veut dire Zorro !!!!!!!!!!!!" Mes collègues ici présents vont encore dire que je suis trop gentil. Mais j'assume. Mais même si j'assume je dois nuancer cette note par un facteur majeur dans le cas présent: la nostalgie. Oui oui on a beau avoir fait des milliers de critiques, il est toujours difficile de démêler les sentiments de la critique pure et dure. Surtout quand ça fait appel à des souvenirs joyeux de jeunesses. Des souvenirs de 4 garçons regardant les aventures du vengeur masqué avec leurs parents... Donc peut être que je suis un peu trop gentil sur ce Don Vega. Car effectivement si l'aventure est belle et intense, et les dessins bon (même si un cran en dessous de ceux de Silas Corey), l'histoire n'est pas non plus super originale. On reste sur du classique de Zorro comme on l'a déjà vu au cinéma. Mais pour moi l'essentiel n'est n'ai pas là. L’essentiel est qu'en sortant du tram, une fois la lecture finie, je chantais tout haut : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit..." avec comme seule envie de montrer ça à mes enfants. Et ça, ça vaut bien une demi-étoile de plus !
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