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  1. Titre de l'album : Thorgal Saga - Wendigo Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Corentin Rouge Coloriste : Walter & Corentin Rouge Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Naviguant vers leurs terres depuis le pays Qâ, Thorgal, Aaricia et Jolan se retrouvent pris au beau milieu du conflit qui oppose le Peuple de l'Eau et celui de la Forêt. Leurs divinités respectives sont maintenant déchaînées, et rien ne pourra plus entraver le chaos de la guerre. Sauf, peut-être, une flèche taillée dans l'Arbre de Vie, tirée sur le redoutable Wendigo. Pour sauver Aaricia, enceinte et blessée, Thorgal n'a d'autre choix que de prendre parti et de se compromettre une nouvelle fois dans la folie des hommes. Critique : Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus). Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-tome-2-wendigo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Thorgal Saga - Wendigo

    Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus).
  3. poseidon2

    Wakhan

    Titre de l'album : Wakhan Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Brice Cossu | Alexis Sentenac Coloriste : Brice Cossu | Alexis Sentenac Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Paris, 1889, alors que l'exposition universelle bat son plein, un mystérieux tueur en série sévit dans les hauteurs de la tour Eiffel, joyau de la capitale française. Le gouvernement tente d'étouffer l'affaire pour ne pas perturber les célébrations, nuire aux affaires en cours ou pire encore, fermer définitivement le monument qui ne fait déjà pas l'unanimité du gotha parisien. La jeune inspectrice Éléonore Kowalski va devoir compter sur l'aide de Jules Castignac, une nouvelle recrue fraîchement diplômée et un tantinet excentrique si elle veut débusquer le coupable avant que la malédiction de la grande dame de Paris ne fasse les choux gras de la presse à scandale. Plutôt que de suivre les recommandations de son irascible supérieur hiérarchique, Éléonore va suivre son instinct et embarquer son nouveau collègue dans une traque à mille à l'heure au coeur de la ville lumière. Des sombres ruelles au Jardin d'Éden, un claque* tout ce qu'il y a de plus distingué, en passant par Notre-Dame, nos valeureux policiers vont découvrir un lien étrange entre les meurtres et une créature divine. Une créature baptisée... Wahkan. Un récit d'aventure et de genre mené tambour battant par Brice Cossu et Alexis Sentenac, deux auteurs vedettes de Dupuis et co-dessinateurs de Goldorak, associés au prolifique scénariste Maxe L'Hermenier. * maison close. Critique : En voilà une bd qui m'a fait énormément envie : Un dessin dynamique, un univers steampunk et un one shot ! Tout pour me plaire et.... c'est peut-être pour ça que j'ai été un poil déçu. Attention ! Cette BD est un bon one shot qui ravira les 12-17 ans. On y retrouve une aventure dynamique, deux personnages haut en couleurs et qui flirtent mais surtout une aventure très "cinématographique" et pleine de rebondissements. Alors qu'est-ce qui m'a déçu ? Et bien je trouve que ce one shot est trop "superficiel" pour un adulte. Par superficiel, je ne veux pas dire que l'histoire est bâclée. Juste que nos auteurs n'ont pas le volume de page nécessaire pour développer suffisamment les petites lignes de l'histoire. L'exemple typique est la fin qui clôt l'histoire mais le fait trop vite, laissant l'action prendre le pas sur les relations entre les différents protagonistes. Et c'est un peu dommage, car cela laisse cette histoire au niveau des "histoires pour ado" la ou elle pourrait être bien plus au vu de l'univers inventé. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wahkan?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Wakhan

    En voilà une bd qui m'a fait énormément envie : Un dessin dynamique, un univers steampunk et un one shot ! Tout pour me plaire et.... c'est peut-être pour ça que j'ai été un poil déçu. Attention ! Cette BD est un bon one shot qui ravira les 12-17 ans. On y retrouve une aventure dynamique, deux personnages haut en couleurs et qui flirtent mais surtout une aventure très "cinématographique" et pleine de rebondissements. Alors qu'est-ce qui m'a déçu ? Et bien je trouve que ce one shot est trop "superficiel" pour un adulte. Par superficiel, je ne veux pas dire que l'histoire est bâclée. Juste que nos auteurs n'ont pas le volume de page nécessaire pour développer suffisamment les petites lignes de l'histoire. L'exemple typique est la fin qui clôt l'histoire mais le fait trop vite, laissant l'action prendre le pas sur les relations entre les différents protagonistes. Et c'est un peu dommage, car cela laisse cette histoire au niveau des "histoires pour ado" la ou elle pourrait être bien plus au vu de l'univers inventé.
  5. Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction
  6. Titre de l'album : La vieille Anglaise et le continent Scenariste de l'album : Valérie Mangin Dessinateur de l'album : Stefano Martino Coloriste : Stefano Martino Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Un thriller abyssal ! Des scientifiques ont mis au point la transmnèse : le transfert de l'esprit dans un nouveau corps. Lorsque Ann Kelvin, mourante, se voit proposer la possibilité de migrer dans un grand cachalot, elle n'hésite pas longtemps. Cette éco-activiste qui place ses idéaux au-delà de sa propre vie espère ainsi sauver des espèces maritimes menacées par la pêche et la chasse en inoculant un virus hautement transmissible aux cétacés. Épidémie bénigne pour les baleines, mais pandémie aux effets secondaires délétères pour l'espèce humaine qui continuerait d'en consommer.Des profondeurs abyssales à l'immensité spectaculaire des eaux glacées de l'Antarctique, Ann va faire de nombreuses et dangereuses rencontres. Mais le plus redoutable des prédateurs reste l'Homme : des privilégiés ont détourné la transmnèse à leur profit... Critique : Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vieille-anglaise-et-le-continent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Suicide squad : Blaze Scenariste de l'album : Simon Spurrier Dessinateur de l'album : Aaron Campbell Coloriste : Aaron Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un méta-humain avec les pouvoirs de Superman, mais dépourvu de toute humanité, a été lâché sur le monde. Pour stopper ce fléau, Harley Quinn, Peacemaker, Captain Boomerang et King Shark sont missionner pour baby-sitter — et au besoin exécuter — cinq nouvelles recrues mortelles au sein de la Suicide Squad ; cinq créatures sacrifiables nées d'une expérience gouvernementale secrète du nom de Blaze. Ils sont dotés d'incroyables pouvoirs... étonnamment transmissibles. Et quand un membre de l'équipe meurt, les autres deviennent plus puissants. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer... ? Contenu vo : Suicide Squad : Blaze #1-3. Critique : Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suicide-squad-blaze?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Suicide squad : Blaze

    Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année
  9. Titre de l'album : Issunboshi - Le petit Samouraï Scenariste de l'album : Ryan Lang Dessinateur de l'album : Ryan Lang Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans un Japon féodal où le mythe et le folklore sont réels, un démon décide de reforger une arme ancienne très puissante pour conquérir le monde. La légende dit que seul un véritable guerrier sans peur pourra l'arrêter. Au même moment, sur une autre île, naît Issunboshi, un jeune garçon d'à peine quelques centimètres de haut. Malgré sa petite taille, il suit l'entrainement pour devenir samouraï. Et si c'était sur ses petites épaules que reposait le sort du monde ? Issunboshi, par les choix qu'il va faire, nous rappelle qu'on ne nait pas héros, on trouve le courage d'en devenir un. Critique : Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/issunboshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Issunboshi - Le petit Samouraï

    Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi.
  11. poseidon2

    Terukan boys (one shot)

    Un one shot dans le manga c'est toujours compliqué. On a tellement l'habitude de séries à rallonge que voir une histoire condensée sur un seul tome fait un peu peur. Mais ce Terukan Boys se sort plutôt très bien des griffes du code du manga. il nous livre une histoire touchante ou les changements dans la vie de nos trois jeunes adultes prennent le pas sur l'aspect casse à proprement parlé. On a plus une critique du passage à l'âge adulte et des choix difficile qui doivent être fait parfois pour se permettre d'avancer. Une bien belle lecture qui n'en fait trop et réussi à rester très humaine.
  12. Titre de l'album : Terukan boys (one shot) Scenariste de l'album : Yu Nakahara Dessinateur de l'album : Yu Nakahara Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Trois trentenaires, qui font face aux difficultés de la vie, vont... braquer 30 millions de yens?! C'est le moment de prendre le plus grand pari de notre existence !À l'époque du lycée, Satoshi, Ryôhei et Kôta ont formé leur groupe de rock: les Terukan Boys. Aujourd'hui trentenaires, les trois compères ont choisi des voies différentes, mais font tous face à des difficultés qui leur semblent insurmontables.Un jour, ils découvrent au détour d'un magazine que Hamada, un ancien camarade du lycée, s'est lancé dans le monde de l'IT, les technologies de l'information. Mais ce qu'ils ignorent c'est que cela va changer leur destin à tout jamais! Critique : Un one shot dans le manga c'est toujours compliqué. On a tellement l'habitude de séries à rallonge que voir une histoire condensée sur un seul tome fait un peu peur. Mais ce Terukan Boys se sort plutôt très bien des griffes du code du manga. il nous livre une histoire touchante ou les changements dans la vie de nos trois jeunes adultes prennent le pas sur l'aspect casse à proprement parlé. On a plus une critique du passage à l'âge adulte et des choix difficile qui doivent être fait parfois pour se permettre d'avancer. Une bien belle lecture qui n'en fait trop et réussi à rester très humaine. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terukan-boys?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Dark Ages

    Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la.....
  14. poseidon2

    Dark Ages

    Titre de l'album : Dark Ages Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Coello Coloriste : Coello Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Que se passe-t-il quand les super-héros perdent ? Le Gardien apparaît tout à coup, annonçant aux héros de la Terre que la planète vit ses derniers instants. Leurs efforts ne servent à rien, tout ce qui fonctionne à l'électricité tombe en panne et le monde tel que nous le connaissons est plongé dans l'obscurité. Sept ans plus tard, les héros existent toujours mais les vilains se sont organisés, sous la houlette d'Apocalypse ! Cette année, Marvel multiplie les évènements qui pourraient constituer à eux seuls un crossover, mais qui sont contenus dans des mini-séries dédiées. L'intégralité de cette saga, qui rassemble les plus grands héros Marvel face à une menace inédite, est donc recueillie ici. Critique : Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-ages?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Jesse James

    Titre de l'album : Jesse James Scenariste de l'album : Chris Regnault & Dobbs Dessinateur de l'album : Chris Regnault Coloriste : Chris Regnault Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Le bandit bien-aimé.Missouri, 1863. En pleine guerre de Sécession, la ferme des James est saccagée par une patrouille nordiste. Leur brutalité marque au fer rouge le jeune Jesse, qui n'aspire plus qu'à se venger! Fervent partisan de la cause du Sud, il rejoint les Bushwackers de «Bloody Bill» Anderson dans leur guérilla meurtrière, apprenant à piller, voler et tuer sous couvert d'une morale viciée par le traumatisme de la guerre civile. Au rétablissement de la paix, la rancoeur, le sentiment d'injustice et l'humiliation de la défaite le précipitent dans une carrière criminelle. Dans une surenchère de la violence, les quinze années qui suivent voient s'enchaîner les braquages de banques, les attaques de trains et de diligences, les règlements de comptes et les chevauchées sauvages... Jesse, son frère Frank et leur gang sont devenus les ennemis publics numéro un d'un pays qui peine à panser ses blessures, une partie de l'opinion sudiste voyant en lui un héros populaire, une sorte de justicier au grand coeur s'en prenant aux nantis pour venger l'honneur des vaincus.Christophe Regnault et Dobbs reprennent habilement les codes classiques du genre pour nous offrir un western dense et violent servi par une mise en scène puissante à l'atmosphère crépusculaire. Accompagné par l'historien Farid Ameur, spécialiste de la conquête de l'Ouest américain, ils nous entraînent, dans un fracas de sabots, sur les pas d'une figure légendaire qui n'a pas fini de fasciner les esprits. Critique : Forcément un Western en BD moi ça me fait toujours frétiller, alors l'arrivée du duo d'éditeurs Glénat / Fayard pour nous livrer des autobiographies des célébrités du Far West sérieuses mais sous forme dynamiques en BD ça m'intéresse. D'autant plus que Soleil avec un pitch quasi similaire m'avait laissé sur ma faim avec sa série des Western Legends. Ce premier tome consacré à Jesse James sera suivi très rapidement par celui sur Wild Bill Hickok. La couverture de ce Jesse James est pour le moins très alléchante et en tous cas une franche réussite à l'oeil. Je ne connaissais pas le travail de Chris Regnault jusqu'ici mais j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir son trait, qui s'il convient fort bien à de la bd "sérieuse" semi historique, a à mon avis beaucoup de potentiel sur d'autres genres. Bref on est sur de la belle et bonne bd qui vous rappellera parfois notre cher Mike Steve Blueberry. Du très bon. Le scénario, qui reste très biographique évidemment est une belle réussite du genre également, arrivant à nous garder dynamique et captivé malgré de nécessaires passage descriptifs et narratifs un peu plus figés. Vous l'aurez compris j'ai beaucoup aimé ce Jesse James. Autres infos : Avec la participation du conseiller historique Farid Ameur Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jesse-james-228640?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. The_PoP

    Jesse James

    Forcément un Western en BD moi ça me fait toujours frétiller, alors l'arrivée du duo d'éditeurs Glénat / Fayard pour nous livrer des autobiographies des célébrités du Far West sérieuses mais sous forme dynamiques en BD ça m'intéresse. D'autant plus que Soleil avec un pitch quasi similaire m'avait laissé sur ma faim avec sa série des Western Legends. Ce premier tome consacré à Jesse James sera suivi très rapidement par celui sur Wild Bill Hickok. La couverture de ce Jesse James est pour le moins très alléchante et en tous cas une franche réussite à l'oeil. Je ne connaissais pas le travail de Chris Regnault jusqu'ici mais j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir son trait, qui s'il convient fort bien à de la bd "sérieuse" semi historique, a à mon avis beaucoup de potentiel sur d'autres genres. Bref on est sur de la belle et bonne bd qui vous rappellera parfois notre cher Mike Steve Blueberry. Du très bon. Le scénario, qui reste très biographique évidemment est une belle réussite du genre également, arrivant à nous garder dynamique et captivé malgré de nécessaires passage descriptifs et narratifs un peu plus figés. Vous l'aurez compris j'ai beaucoup aimé ce Jesse James.
  17. Titre de l'album : Catwoman, le dernier braquage Scenariste de l'album : Darwyn Cooke / Ed Brubacker Dessinateur de l'album : Darwyn Cooke Coloriste : Darwyn Cooke Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Cela fait longtemps que les larcins de la mystérieuse Catwoman n'ont pas fait la Une des journaux de Gotham. Et pour cause, la rumeur court : la célèbre voleuse serait morte. Pourtant, bien loin de raccrocher les gants, une silhouette continue de parcourir discrètement les toits de la ville en quête de trésors. Alors lorsqu'une amie de son préteur sur gage lui parle d'un train rempli des billets à destination d'un trafic d'héroïne, Selina Kyle y voit le gros coup qui lui permettra peut-être de changer définitivement de vie. Il ne lui reste plus qu'à réunir une équipe de professionnels pour l'épauler dans cette nouvelle aventure, et d'assumer pleinement les conséquences de cet ultime braquage. Critique : Deuxième album qui ressort chez Urban dans le cadre de l'arrivée futur du film The Batman. Si le premier recueil m'avait déçu avec une seule histoire de Darwyn Cooke et les autres par forcement au niveau, cette histoire de Catwoman est, elle, bien meilleure. Meilleure car plus cohérente avec une seule et même histoire du début à la fin. Meilleure aussi car Darwyn Cooke se fait aider par rein de moins que Ed Brubacker pour nous livrer un braquage aux petits oignons. Meilleur aussi surement parce que l'on est lus dans un braquage à l'italienne très sombre que dans un Batman. On suit une Selina tourmenté qui se pose des questions sur sa vie et sur ce qu'elle veut en faire. On évoque aussi la question du bien et de savoir si braquer des "salauds" est mal ou non. Le braquage en lui-même est un grand moment de cinéma si je peux dire. De l'action, des rebondissements et une fin... je vous laisserais voir. Et pour une fois dans un recueil, les histoires ajoutées à l'histoire principale sont vraiment une intro et une conclusion à notre braquage. En gros un bien bel ensemble pour les amateurs de Selina Kyle.... Plus que de Catwoman. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catwoman-le-grand-braquage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Catwoman, le dernier braquage

    Deuxième album qui ressort chez Urban dans le cadre de l'arrivée futur du film The Batman. Si le premier recueil m'avait déçu avec une seule histoire de Darwyn Cooke et les autres par forcement au niveau, cette histoire de Catwoman est, elle, bien meilleure. Meilleure car plus cohérente avec une seule et même histoire du début à la fin. Meilleure aussi car Darwyn Cooke se fait aider par rein de moins que Ed Brubacker pour nous livrer un braquage aux petits oignons. Meilleur aussi surement parce que l'on est lus dans un braquage à l'italienne très sombre que dans un Batman. On suit une Selina tourmenté qui se pose des questions sur sa vie et sur ce qu'elle veut en faire. On évoque aussi la question du bien et de savoir si braquer des "salauds" est mal ou non. Le braquage en lui-même est un grand moment de cinéma si je peux dire. De l'action, des rebondissements et une fin... je vous laisserais voir. Et pour une fois dans un recueil, les histoires ajoutées à l'histoire principale sont vraiment une intro et une conclusion à notre braquage. En gros un bien bel ensemble pour les amateurs de Selina Kyle.... Plus que de Catwoman.
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