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  1. VladNirky

    Renaissance T3 - Permafrost

    La Renaissance est à la fois une période de l'histoire et un mouvement artistique. Cette époque marque la fin du Moyen Âge et le début des Temps modernes (tm). Et cette description convient fort bien à la série. Ce 3è tome signe donc la fin du 1er cycle et une suite de 3 tomes est annoncée par Fréd Duval. Et en faisant un peu de prospective avec le titre de la série, je pense que la suite sera plus optimiste. Même si l'histoire démontre que les évolutions techniques ne sont pas suivies d'évolution morales. ^^ Vous retrouvez donc dans ce T3 les personnages attachants, que sont Swänn et Sätie les 2 aliens de Näkän, jeunes mariés et visiblement un peu perdus, que l'on suit depuis leur débarquement sur Terre. Non pas que les autres personnages ne soient pas attachants, mais plutôt que l'histoire qu'on nous raconte est vue à travers leur yeux. Les autres personnages passent donc un peu au second plan. Les deux militaires viennent en aide à la Terre malgré elle, façon mission paix et santé car une sorte de confédération alien nommée "Le complexe" semble penser qu'elle ne peut pas s'en sortir seule faute de vision à long terme et à court terme de gestion des ressources. Mais est ce sans arrière pensée pour tous les participants de cette assemblée ? Il faudra lire le T3 pour le savoir > < En fait ce 1er cycle ressemble à une mission des casques bleus de l'ONU qui traversait les informations il n'y a encore pas si longtemps. Difficile de se placer au milieu d'un conflit ou d'un problème majeur sans casse. De plus l'actualité a rattrapé la série qui aborde beaucoup de sujets. Rappelons que le T1 commence par la description d'une grippe mortelle très contagieuse, des problèmes graves de montée des eaux (Paris est sous les eaux façon méga crue 1910 dès les 1ères cases du T1) et des IA devenues hostiles au genre humain font des massacres. Mais la série aborde aussi, outre les thématiques écologiques récentes, des problèmes de budget. La guerre coute chère ! Et un peu du fonctionnement politique des démocraties occidentales que l'on connait... Ces aliens sont décidément très humains. Les sujets abordés sont nombreux (même le mur de Trump fait une apparition). Au delà du débarquement sur la Terre, qui ressemble aussi à un début de colonisation tant le niveau technologique est avancé par rapport aux locaux et les raisons invoquées résonnent de bons sentiments, c'est en tout cas un plaisir de retrouver les aventures de nos groupes de personnages, à la recherche des raisons de cette situation. Ce 3e tome va ainsi dénouer les nombreuses questions posées par le début du cycle. Et c'est une bonne chose, même si ça peut sembler rapide. Personnellement je me demandais bien comment on allait clôturer en 1 seul tome à la fin du T2. Alors le dénouement est total ? pas tout à fait. Il reste quelques questions en suspens. De quoi remplir largement un second cycle je pense. Visuellement c'est très beau. Cette série est véritablement une démonstration technique d'Emem (aidé pour le Design par Fred Blanchard). C'est beau, c'est varié. C'est sur plusieurs environnements à travers les albums. C'est aussi épaulé par des effets spéciaux de temps à autre pour un arrière plan ici ou là par exemple mais c'est beau. Que ce soit aux États-Unis, à Paris, en passant par Créteil ou la campagne du Vexin et une planète lointaine... Les environnements sont très variés et réussis. Tout comme les 3 couvertures. J'ai dit que c'était beau ? C'est un vrai plaisir de se promener du regard dans les cases et les couvertures. Par contre, ce n'est pas une lecture très joyeuse ou optimiste, et globalement la rare éclaircie proposée par un des personnages avec son traducteur qui déconne (à la Jar Jar Binks) est fermée par les auteurs au passage. Du coup on reste sur un certain niveau de pessimiste global jusqu'à la toute fin... On peut aussi se demander aussi ou sont les représentants humains... Grands absents sauf de manière anecdotique au démarrage.... Où sont présidents, organisations mondiales et dictateurs divers et variés ? Curieux, mais pourquoi pas. Cet aspect renforce encore l'aspect colonisateur du coup. Car on ne voit que le côté gentil colonisateur. Cet aspect me rappelle la série V des années 80.... La suite devrait être pleine de surprises. Au final, c'est un très bon patchwork de SF diverses et de sujets politiques actuels dans un superbe écrin. Ne boudons pas notre plaisir, et je pense que ce sera encore mieux aux relectures. 🙂
  2. Titre de l'album : Androïdes - Tome 10 - Darwin Scenariste de l'album : Alain Brion Dessinateur de l'album : Alain Brion Coloriste : Alain Brion Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : An 2073. La situation du monde est devenue dramatique. Tandis que sur la Lune des scientifiques attendent leur rapatriement, un astéroïde dévaste la Terre. L'androïde Darwin envoyé sur place devra trouver un moyen de les sauver. Il découvrira que la planète a basculée dans l'anarchie. Sur la Lune des morts suspectes surviennent et la poignée de survivants sombre dans la paranoïa. Critique : Une fois fini cette lecture, je vous avoue que je savais que j'avais déjà lu quelque chose de cet auteur. Après recherches, Alain Brion est aussi l'un des auteurs des Chroniques d'Excalibur, une série que j'avais démarrée dans ma jeunesse. Pourquoi je vous raconte mon inculture de départ ? Pour vous montrer que le traitement graphique remarquable de cet album m'a poussé à en chercher l'auteur, et à en reconnaitre le trait. Oui c'est évidemment particulier et stylisé, mais je trouve que cela fonctionne à merveille sur un univers de science fiction. Ceux qui me lisent régulièrement savent que je suis souvent un peu dur avec les dessinateurs/scénaristes qui réalisent leur bd seuls. Je trouve souvent que l'un des deux aspects devient un point faible. Ici ce n'est pas le cas. Du tout. Le scénario est brillant, enthousiasmant, haletant. Le déroulement est logique mais pourtant on brûle de lire la page d'après. Les personnages sont plutôt réussis, les retournements de situation sont bien pensés. On a de la grande histoire, avec de petites histoires qui s'entremêlent. C'est parfait. Le tout en one shot. Alors pourquoi simplement 4,5/5 ? Simplement car l'histoire est parfaitement réalisée mais qu'elle n'est pas si originale que cela. C'est le temps qui me dira si ce Darwin restera dans ma mémoire à une place de choix ou non. Mais quoiqu'il en soit c'est déjà une réussite. Surtout pour cette série de one shots Androïdes qui présentait jusqu'à présent des tomes certes de qualité mais pas toujours mémorables. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/androides-tome-10-darwin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Androïdes - Tome 10 - Darwin

    Une fois fini cette lecture, je vous avoue que je savais que j'avais déjà lu quelque chose de cet auteur. Après recherches, Alain Brion est aussi l'un des auteurs des Chroniques d'Excalibur, une série que j'avais démarrée dans ma jeunesse. Pourquoi je vous raconte mon inculture de départ ? Pour vous montrer que le traitement graphique remarquable de cet album m'a poussé à en chercher l'auteur, et à en reconnaitre le trait. Oui c'est évidemment particulier et stylisé, mais je trouve que cela fonctionne à merveille sur un univers de science fiction. Ceux qui me lisent régulièrement savent que je suis souvent un peu dur avec les dessinateurs/scénaristes qui réalisent leur bd seuls. Je trouve souvent que l'un des deux aspects devient un point faible. Ici ce n'est pas le cas. Du tout. Le scénario est brillant, enthousiasmant, haletant. Le déroulement est logique mais pourtant on brûle de lire la page d'après. Les personnages sont plutôt réussis, les retournements de situation sont bien pensés. On a de la grande histoire, avec de petites histoires qui s'entremêlent. C'est parfait. Le tout en one shot. Alors pourquoi simplement 4,5/5 ? Simplement car l'histoire est parfaitement réalisée mais qu'elle n'est pas si originale que cela. C'est le temps qui me dira si ce Darwin restera dans ma mémoire à une place de choix ou non. Mais quoiqu'il en soit c'est déjà une réussite. Surtout pour cette série de one shots Androïdes qui présentait jusqu'à présent des tomes certes de qualité mais pas toujours mémorables.
  4. The_PoP

    Thorgal - Tome 40 - Tupilaks

    Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï !
  5. Titre de l'album : Thorgal - Tome 40 - Tupilaks Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaétan Geroges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour dans le vaisseau de ses origines, Thorgal doit affronter Néokora, une intelligence artificielle déterminée à restaurer le règne atlante... Critique : Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-40-tupilaks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Avatar - Le destin de Tsu'tey

    Alors que la sortie du deuxième film Avatar arrive bientôt au cinéma, les éditions Delcourt nous proposent ce one shot centralisé sur le personnage de Tsu'tey durant le premier film. Ainsi on découvre ce grand guerrier qui s'oppose à la venue de Jake Sully auprès de son peuple. Il est jaloux de Jake quand Neytiri s'accouple avec lui. On peut suivre sa destinée et son caratère mis de côté lors du film. D'ailleurs une scène coupée du film est présente dans la première histoire ce cet album. Pour la partie graphique, Jan Duursema le dessinateur de Star wars Legacy réalise des dessins magnifiques, très proche et fidèle au trait des personnages du film avec un encrage de Dan Parsons. Une seconde histoire courte termine cet album sur Jake Sully qunad il parvient à dompter et monter le grand Leonoptryx. Douglas Wheatley le dessinateur de Star wars Dark times dessine les planches de cette histoire avec beaucoup de maitrise. L’album se termine sur une galerie d’illustrations de Wheatley. Cet album est parfait pour se remettre dans l'univers du film Avatar comme il suit la trame du premier film, une dizaine d'autres one shot sont prévus. Les fans du film seront comblés par cet album et les autres à sortir pour poursuivre l’immersion dans l’univers d’Avatar.
  7. Titre de l'album : Avatar - Le destin de Tsu'tey Scenariste de l'album : Sherri L. Smith Dessinateur de l'album : Jan Duursema, Douglas Wheatley & Dan Parsons Coloriste : Wes Dzioba Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Depuis sa première rencontre avec Jake Sully à son acceptation de la Dernière Ombre , la vie de Tsu'tey a pris un chemin auquel il n'était pas préparé, et dont le film AVATAR de James Cameron ne dévoilait qu'une partie. Retour à Pandora pour y suivre le récit de cette fable écologique et de cette charge anti-impérialiste, racontée du point de vue de Tsu'tey, le guerrier de la tribu Omatikaya. Critique : Alors que la sortie du deuxième film Avatar arrive bientôt au cinéma, les éditions Delcourt nous proposent ce one shot centralisé sur le personnage de Tsu'tey durant le premier film. Ainsi on découvre ce grand guerrier qui s'oppose à la venue de Jake Sully auprès de son peuple. Il est jaloux de Jake quand Neytiri s'accouple avec lui. On peut suivre sa destinée et son caratère mis de côté lors du film. D'ailleurs une scène coupée du film est présente dans la première histoire ce cet album. Pour la partie graphique, Jan Duursema le dessinateur de Star wars Legacy réalise des dessins magnifiques, très proche et fidèle au trait des personnages du film avec un encrage de Dan Parsons. Une seconde histoire courte termine cet album sur Jake Sully qunad il parvient à dompter et monter le grand Leonoptryx. Douglas Wheatley le dessinateur de Star wars Dark times dessine les planches de cette histoire avec beaucoup de maitrise. L’album se termine sur une galerie d’illustrations de Wheatley. Cet album est parfait pour se remettre dans l'univers du film Avatar comme il suit la trame du premier film, une dizaine d'autres one shot sont prévus. Les fans du film seront comblés par cet album et les autres à sortir pour poursuivre l’immersion dans l’univers d’Avatar. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avatar-destin-tsu-tey?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Outlaws t1 : le cartel des cimes Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Éric Chabbert Coloriste : Éric Chabbert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Premier épisode du spin-off d'Orbital, via l'aventure de la sœur de Caleb, hors-la-loi luttant contre les mafias extraterrestres. Espace confédéré. Année 2779. Un vaisseau mené par le commandant Grello arrive en vue de l'Astroport de Lugmila. À son bord : un chargement de clandestins échappés de leurs planètes respectives, qui se voient forcés de travailler six mois pour le terrible cartel des Cimes, mafia qui a organisé leur passage. Parmi ces hors-la-loi, une mystérieuse humaine, représentante d'une race honnie pour être la dernière à avoir intégré la Confédération. Taciturne et têtue, elle va se trouver au cœur d'une incroyable lutte de pouvoir d'où le cartel des Cimes pourrait ne pas sortir gagnant. Mais elle, peut-être... Après Orbital, créé en duo avec Serge Pellé, Sylvain Runberg nous offre son envers avec Outlaws, série autonome permettant d'explorer de l'intérieur des mafias galactiques ressemblant étrangement aux nôtres. Space opera, critique sociétale, polar et portrait d'une jeune femme furieusement indépendante : un futur classique, porté par le remarquable dessin d'Éric Chabbert. Critique : 3 années après le denier tomes de la série mère, quel plaisir de retrouver l'univers futuriste de Sylvain Runberg. Cette ambiance de space opéra avec ces multiples planètes, ces espèces toutes différentes et les humains comme derniers arrivés dans ce grand monde..... un régal. Et pour ne pas perdre le lecteur, Sylvain Runberg nous parle d'un personnage qu'on à déjà vu : la sœur de Caleb. Soeur dont on savait qu'elle avait pris une trajectoire radicalement différente de celle de son frère, mais dont l passé restait flou. Ce passé nous est raconté ici, et de bien belle façon, qu'Éric Chabbert prend la relève de Serge Pelé pour nous livrer un sublime dessin "à l'ancienne" dirait-on maintenant (on sent la couleur directe sur le papier). Pour ceux qui n'auraient pas lu orbital... ben, c'est mal d'abord... mais vous pouvez quand même vous lancer dans Outlaws sans soucis car la lecture ne nécessite pas du tout de savoir qui est Caleb. Vous risquez juste d'avoir envie d'investir dans la série mère ne fin de tome 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/outlaws-tome-1-le-cartel-des-cimes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. 3 années après le denier tomes de la série mère, quel plaisir de retrouver l'univers futuriste de Sylvain Runberg. Cette ambiance de space opéra avec ces multiples planètes, ces espèces toutes différentes et les humains comme derniers arrivés dans ce grand monde..... un régal. Et pour ne pas perdre le lecteur, Sylvain Runberg nous parle d'un personnage qu'on à déjà vu : la sœur de Caleb. Soeur dont on savait qu'elle avait pris une trajectoire radicalement différente de celle de son frère, mais dont l passé restait flou. Ce passé nous est raconté ici, et de bien belle façon, qu'Éric Chabbert prend la relève de Serge Pelé pour nous livrer un sublime dessin "à l'ancienne" dirait-on maintenant (on sent la couleur directe sur le papier). Pour ceux qui n'auraient pas lu orbital... ben, c'est mal d'abord... mais vous pouvez quand même vous lancer dans Outlaws sans soucis car la lecture ne nécessite pas du tout de savoir qui est Caleb. Vous risquez juste d'avoir envie d'investir dans la série mère ne fin de tome 🙂
  10. Titre de l'album : Phobos - Tome 2 - La règle du jeu Scenariste de l'album : Victor Dixen Dessinateur de l'album : Eduardo Francisco Coloriste : Chiara di Francia Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Douze astronautes. Douze joueurs. Douze perdants. Ils misent le tout pour le tout. Propulsés de l'anonymat à la gloire internationale, les douze prétendants du programme Genesis sont sur le point d'atteindre Mars et de choisir leur partenaire pour la vie. Alors que la fin du speed-dating approche, la pression monte et les masques tombent. Elle ne sait plus quelle carte jouer. Léonor, la prétendante française, est rattrapée par ce jeu auquel elle ne voulait pas participer. Mais la règle est faussée et les prétendants risquent d'être tous perdants - ce qui est vraiment sur la table, c'est leur survie à tous... Même si la partie vire au jeu de massacre, il est trop tard pour arrêter. Saga romanesque best-seller couronnée de prix et traduite dans plusieurs langues dont l'anglais, Phobos est un thriller de science-fiction en apesanteur, mariant romance spatiale et course pour la survie. Phobos est aujourd'hui adapté en bande dessinée par son maître d'oeuvre, Victor Dixen, et par le brillant artiste brésilien Eduardo Francisco. La Règle du jeu est le tome 2 de la série de bande-dessinée. Critique : Chronique signée par @Kevin Nivek Un plaisir coupable . C'est ainsi que je perçois cette aventure après avoir lu les 2 tomes . Oui , The_pop a raison de mentionner l'aspect "teenager" avec ces questionnements parfois puérils des protagonistes . Je rappelle que cela concerne des jeunes gens de 18 ans lancés à la conquête de Mars , on peut donc pardonner ces excès juvéniles dans leurs comportements . Passé ce détail qui persiste dans ce second tome , il est toujours aussi plaisant de suivre les pérégrinations de nos jeunes "lofteurs" . On en apprend plus sur les secrets des uns et des autres , les masques tombent ; dans l'espace mais aussi sur terre où les organisateurs de cette aventure spatiale vont voir l'étau se resserrer autour d'eux . Je n'en dis pas plus , mais vous n'êtes pas au bout de vos surprises . C'est bien pour cela que je mentionne un plaisir coupable , on a hâte de lire la suite , car l'orbite de Mars approche et avec tous ces secrets révélés , le suspens est très bien ménagé . On sent que l'écrivain veille au grain sur son oeuvre littéraire . il est bien aidé par le dessin de Eduardo Francisco qui reste sur la très bonne note du tome 1 et nous gratifie de très belles planches , dynamiques , les regards perçants empreints de mensonges dissimulés , ou pas ! Les scènes dans le fameux globe de verre , lieu de rendez-vous des tourtereaux sont très bien réalisées , on sent les effets de l'apesanteur sur les vêtements ainsi que les coupes de cheveux . C'est aussi un des (nombreux) intérêts de cette BD , les nombreuses références techniques que l'on apprend sur le voyage dans l'espace ainsi que les contraintes liées . Je ne suis absolument pas fan de télé réalité , mais ayant été bien intrigué par le premier , je ne peux que vous conseiller d'approfondir avec celui-ci , on a très hâte de les voir arriver (ou pas) sur Mars . D'autant qu'avec un dessinateur de cette trempe , les paysages rouges seraient prometteurs ! Autres infos : Public ado - adultes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phobos-tome-2-la-regle-du-jeu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Chronique signée par @Kevin Nivek Un plaisir coupable . C'est ainsi que je perçois cette aventure après avoir lu les 2 tomes . Oui , The_pop a raison de mentionner l'aspect "teenager" avec ces questionnements parfois puérils des protagonistes . Je rappelle que cela concerne des jeunes gens de 18 ans lancés à la conquête de Mars , on peut donc pardonner ces excès juvéniles dans leurs comportements . Passé ce détail qui persiste dans ce second tome , il est toujours aussi plaisant de suivre les pérégrinations de nos jeunes "lofteurs" . On en apprend plus sur les secrets des uns et des autres , les masques tombent ; dans l'espace mais aussi sur terre où les organisateurs de cette aventure spatiale vont voir l'étau se resserrer autour d'eux . Je n'en dis pas plus , mais vous n'êtes pas au bout de vos surprises . C'est bien pour cela que je mentionne un plaisir coupable , on a hâte de lire la suite , car l'orbite de Mars approche et avec tous ces secrets révélés , le suspens est très bien ménagé . On sent que l'écrivain veille au grain sur son oeuvre littéraire . il est bien aidé par le dessin de Eduardo Francisco qui reste sur la très bonne note du tome 1 et nous gratifie de très belles planches , dynamiques , les regards perçants empreints de mensonges dissimulés , ou pas ! Les scènes dans le fameux globe de verre , lieu de rendez-vous des tourtereaux sont très bien réalisées , on sent les effets de l'apesanteur sur les vêtements ainsi que les coupes de cheveux . C'est aussi un des (nombreux) intérêts de cette BD , les nombreuses références techniques que l'on apprend sur le voyage dans l'espace ainsi que les contraintes liées . Je ne suis absolument pas fan de télé réalité , mais ayant été bien intrigué par le premier , je ne peux que vous conseiller d'approfondir avec celui-ci , on a très hâte de les voir arriver (ou pas) sur Mars . D'autant qu'avec un dessinateur de cette trempe , les paysages rouges seraient prometteurs !
  12. poseidon2

    Elecboy t3 : La data croix

    Amis fan de SF, arrêtez tout ce que vous faites séance tenante ! Le tome 3 d'Elecboy est sortie et il ravira les fans de SF. Post apo, Android, Deux ex machina, bataille pour l'eau... il y a tout ce qu'il vous faut dans ce tome 3 qui est excellent. Si les deux premiers montaient en puissance, celui-ci nous en met plein la vue avec un niveau graphique déments et une histoire de SF super ambitieuse. Le scénario nous promet une suite dantesque. Le décalage entre les humains et les machines semble le même qu'entre des fourmis et un humain et notre humain semble ne pas être content. J'ai du mal à ne pas trop révéler d'information. Sachez juste que si vous êtes fans de SF, vous n'avez pas le droit de passer à côté d'Elecboy !
  13. Titre de l'album : Elecboy t3 : La data croix Scenariste de l'album : Jaouen Dessinateur de l'album : Jaouen Coloriste : Jaouen Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En 2122, le monde d'avant a disparu depuis longtemps. Le jeune Joshua vit dans une communauté, quelque part en Amérique du Nord. Il s'interroge sur ses origines et tente de trouver sa place dans cette nouvelle société, en proie à la brutalité et à la sauvagerie. Aujourd'hui, l'heure de la révélation est enfin arrivée. Rejeté par les siens à cause de sa différence - Joshua est en réalité un androïde -, il est recueilli par une femme masquée : la Grande Ordonnatrice. Cette femme énigmatique lui annonce qu'elle va lui ouvrir les portes d'un passé oublié. Joshua apprend alors comment les humains, il y a de cela un siècle, ont découvert le transhumanisme et donné naissance à l'homo deus. Avant de sombrer dans la violence et le chaos, préludes à la fin de leur civilisation... Troisième tome d'une saga d'anticipation en quatre albums, teintée de Dune et d'Akira, servie par le graphisme somptueux et l'imaginaire flamboyant de Jaouen Salaün Critique : Amis fan de SF, arrêtez tout ce que vous faites séance tenante ! Le tome 3 d'Elecboy est sortie et il ravira les fans de SF. Post apo, Android, Deux ex machina, bataille pour l'eau... il y a tout ce qu'il vous faut dans ce tome 3 qui est excellent. Si les deux premiers montaient en puissance, celui-ci nous en met plein la vue avec un niveau graphique déments et une histoire de SF super ambitieuse. Le scénario nous promet une suite dantesque. Le décalage entre les humains et les machines semble le même qu'entre des fourmis et un humain et notre humain semble ne pas être content. J'ai du mal à ne pas trop révéler d'information. Sachez juste que si vous êtes fans de SF, vous n'avez pas le droit de passer à côté d'Elecboy ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elecboy-tome-3-la-data-croix?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - La perfection du cercle Scenariste de l'album : Xavier Besse Dessinateur de l'album : Xavier Besse Coloriste : Xavier Besse Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 227 avant JC, époque des Royaumes combattants. Ying Zheng, roi de la dynastie Qin, veut unifier la Chine. S'il prouve qu'il connaît le langage du Ciel et en comprend les desseins, il les mènera tous vers un avenir meilleur. Grâce à un tout nouveau mode de calcul de données à grande échelle, le savant Jing Ke va lui enseigner ce langage qui réside dans la forme la plus parfaite au monde, le cercle. Critique : Les adaptations des nouvelles de l'auteur à succès Liu Cixin se poursuivent avec ce cinquième tome, sur la perfection du cercle. Xavier Besse se charge de l'adaptation de l'histoire pour le format bande dessinée et également des dessins. Avec la perfection du cercle, nous découvrons la dynastie Qin en Chine, au temps féodal au contraire des premiers tomes qui nous plongeaient dans le futur, comme souvent avec les récits de science-fiction. Un mystérieux savant et mathématicien va sauver le roi d'un attentat pour lui dévoiler un immense secret. Le roi Ying Zheng convoque toute une assemblée de savants pour déterminer l'importance du secret en question. Le sauveur affirme qu'avec des travaux importants il pourrait réaliser un cercle parfait et découvrir le langage du ciel. Les dessins de Xavier Besse sont de qualité avec des planches de textes pour expliquer les informations du récit initial, qui ralentissent la fluidité lors de la lecture. On retrouve la page à déplier pour former un panorama sur trois pages qui est la touche de la série. La finalité de ce tome apportera la subtilité à cette histoire de guerre féodal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-la-perfection-du-cercle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Les adaptations des nouvelles de l'auteur à succès Liu Cixin se poursuivent avec ce cinquième tome, sur la perfection du cercle. Xavier Besse se charge de l'adaptation de l'histoire pour le format bande dessinée et également des dessins. Avec la perfection du cercle, nous découvrons la dynastie Qin en Chine, au temps féodal au contraire des premiers tomes qui nous plongeaient dans le futur, comme souvent avec les récits de science-fiction. Un mystérieux savant et mathématicien va sauver le roi d'un attentat pour lui dévoiler un immense secret. Le roi Ying Zheng convoque toute une assemblée de savants pour déterminer l'importance du secret en question. Le sauveur affirme qu'avec des travaux importants il pourrait réaliser un cercle parfait et découvrir le langage du ciel. Les dessins de Xavier Besse sont de qualité avec des planches de textes pour expliquer les informations du récit initial, qui ralentissent la fluidité lors de la lecture. On retrouve la page à déplier pour former un panorama sur trois pages qui est la touche de la série. La finalité de ce tome apportera la subtilité à cette histoire de guerre féodal.
  16. La fin du tryptique des 3 fantômes de Tesla était plus qu'attendu par les amateurs de la série, et ils étaient nombreux, notamment sur notre site. Le tome 1 avait en effet été plus que remarqué avec son univers Steampunk magnifiquement mis en image par Guilhem Bec. Si le tome 2 avait parfois déçu quelques lecteurs avec son scénario très ambitieux, le tome 3 risque de réconcilier une bonne partie de ce beau monde puisque le scénario ici nous livre son dénouement à la fois logique, mais aussi rythmé et bien amené. Les explications fournies devraient suffire aux dubitatifs, et le tout clôture comme il se doit cette trilogie qui aura ravi les amateurs de Steampunk.
  17. Titre de l'album : Les trois fantômes de Tesla - Tome 3 - Les héritiers du rayon Scenariste de l'album : Richard Marazano Dessinateur de l'album : Guilhem Bec Coloriste : Richard Marazano Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les forces japonaises déchaînent une pluie de robots sur New York, mais en réalité, c'est un autre combat qui se joue. Héritier des fantômes de Tesla et des grands scientifiques de son temps, Travis doit empêcher Edison et ses alliés nazis de faire basculer le monde dans un nouvel âge d'obscurantisme. Pour cela, il reçoit l'aide inattendue de son « pater ex machina ». Ensemble, père et fils parviendront-ils à écrire une conclusion heureuse à cette uchronie politico-scientifique ? Critique : La fin du tryptique des 3 fantômes de Tesla était plus qu'attendu par les amateurs de la série, et ils étaient nombreux, notamment sur notre site. Le tome 1 avait en effet été plus que remarqué avec son univers Steampunk magnifiquement mis en image par Guilhem Bec. Si le tome 2 avait parfois déçu quelques lecteurs avec son scénario très ambitieux, le tome 3 risque de réconcilier une bonne partie de ce beau monde puisque le scénario ici nous livre son dénouement à la fois logique, mais aussi rythmé et bien amené. Les explications fournies devraient suffire aux dubitatifs, et le tout clôture comme il se doit cette trilogie qui aura ravi les amateurs de Steampunk. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-trois-fantomes-de-tesla-tome-3-les-heritiers-du-rayon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : We only find them when they're dead - Tome 2 - Les voleurs Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : 2414. Cinquante ans se sont écoulés depuis la mission funeste du Vihaan II. L'univers a changé radicalement, partagé entre les Moissonneurs et les Adorateurs. Jason Hauer, le dernier membre survivant de l'équipage du capitaine Malik, mène une vie de prisonnier. Quand l'ambassadrice des Mondes Internes vient négocier la paix entre les deux clans, Jason se retrouve au coeur d'une machination impliquant son ancien capitaine d'une façon qui dépasse l'entendement... Tout juste auréolé du titre de meilleur lancement pour un indé HiComics, We Only Find Them When They're Dead, de Al Ewing(Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo(Tortues Ninjas & Power Rangers), est de retour avec un deuxième tome crucial pour Malik et son équipage. Critique : Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-2-les-voleurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier.
  20. La série des adaptations en bande dessinée Les futurs de Liu Cixin se poursuit à un rythme soutenu puisque l'on peut dès maintenant lire le quatrième tome. Sylvain Runberg se charge de l'adaptation de l'histoire la plus prenante depuis le début. On suit dès le départ un tueur à gage de renommé avec des sauts dans le temps en arrière pour revenir sur son enfance et ses choix. En parallèle, les extraterrestres arrivent sur Terre et annoncent avoir créé trois autres planètes identiques à la Terre avec des populations similaires. A ce moment, on suit une autre civilisation sur une autre planète terre. L'intrigue prend beaucoup de densité avec les nouveaux éléments. Une fois de plus la dimension science-fiction prend le dessus sur les actions du tueur. Les dessins de Miki Montllò sont de qualité avec des passages dynamiques lors des scènes d'action. L'auteur réalise une planche sur trois pages à déplier comme pour les tomes précédents afin de donner une vision de paysage ou décor impressionnant. Nourrir l'humanité est le titre le plus aboutie de la série en attendant le prochain tome intitulé La perfection du cercle.
  21. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Nourrir l'humanité Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Miki Montllò Coloriste : Miki Montllò Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Treize des plus riches personnalités du monde engagent un tueur à gages pour éliminer trois personnes parmi les plus pauvres. Hua Tang accepte le contrat mais s'interroge sur leur dangerosité. Est-ce lié aux étranges distributions populaires de sacs remplis de millions ? Ou bien aux extraterrestres qui se font appeler les Dieux et survolent inlassablement notre Terre depuis cinq ans ? Critique : La série des adaptations en bande dessinée Les futurs de Liu Cixin se poursuit à un rythme soutenu puisque l'on peut dès maintenant lire le quatrième tome. Sylvain Runberg se charge de l'adaptation de l'histoire la plus prenante depuis le début. On suit dès le départ un tueur à gage de renommé avec des sauts dans le temps en arrière pour revenir sur son enfance et ses choix. En parallèle, les extraterrestres arrivent sur Terre et annoncent avoir créé trois autres planètes identiques à la Terre avec des populations similaires. A ce moment, on suit une autre civilisation sur une autre planète terre. L'intrigue prend beaucoup de densité avec les nouveaux éléments. Une fois de plus la dimension science-fiction prend le dessus sur les actions du tueur. Les dessins de Miki Montllò sont de qualité avec des passages dynamiques lors des scènes d'action. L'auteur réalise une planche sur trois pages à déplier comme pour les tomes précédents afin de donner une vision de paysage ou décor impressionnant. Nourrir l'humanité est le titre le plus aboutie de la série en attendant le prochain tome intitulé La perfection du cercle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-nourrir-l-humanite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Optic Squad - Tome 3 - Mission New York Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Stéphane Bervas Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Prise au piège et menacée dans ses fonctions, Annette Smith, responsable des Optic Squad, tente de doubler sa hiérarchie corrompue tout en maintenant le fonctionnement de sa section d'élite anti-criminelle. Dans l'impasse, elle n'a d'autre choix que de monter un plan allant à l'encontre du protocole établi de l'organisation, mais nécessaire à sa survie : placer dans le plus grand des secrets sa meilleure recrue, Katryn Horst, sur une mission visant à contrecarrer les plans de ses nouveaux « employeurs ». Les espoirs des Optic Squad reposent sur Katryn qui, envoyée à New York, sa ville natale, se met en parallèle sur la trace de ses parents l'ayant vendue étant enfant... Critique : Oh que voilà une belle et bonne surprise. Optic Squad est une série dans laquelle j'ai toujours conservé de grands espoirs tant elle avait le potentiel de nous régaler. Mais des choix graphiques parfois étranges, un changement de coloriste, des couvertures marquées et un scénario qui peinait à prendre de l'ampleur m'avaient laissé sur ma faim. Balayons donc tout cela avec ce tome 3 qui clôture un premier cycle (ce n'est pas tout à fait officiel, mais pour moi il s'agit bien d'un cycle) plutôt enthousiasmant finalement. Sincèrement j'espère que les auteurs vont désormais confirmer leur galop d'essai dans un nouveau cycle de même qualité, maintenant que dessinateurs et coloristes semblent avoir trouvé leurs marques et pris les mesures de leurs personnages. Les planches sont vraiment réussies avec plus de risques je trouve que ce que l'on déniche habituellement en science fiction. Du côté du scénario on n'a le juste équilibre entre réponses aux questions que l'on se posait, crédibilité et aventure, Runberg n'est pas un débutant et cela se ressent. SI je n'avais qu'une seule chose à dire pour vous convaincre d'essayer ces 3 tomes d'Optic Squad c'est ceci : venez donc découvrir la petite soeur de Carmen Mc Callum ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/optic-squad-tome-3-mission-new-york?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Oh que voilà une belle et bonne surprise. Optic Squad est une série dans laquelle j'ai toujours conservé de grands espoirs tant elle avait le potentiel de nous régaler. Mais des choix graphiques parfois étranges, un changement de coloriste, des couvertures marquées et un scénario qui peinait à prendre de l'ampleur m'avaient laissé sur ma faim. Balayons donc tout cela avec ce tome 3 qui clôture un premier cycle (ce n'est pas tout à fait officiel, mais pour moi il s'agit bien d'un cycle) plutôt enthousiasmant finalement. Sincèrement j'espère que les auteurs vont désormais confirmer leur galop d'essai dans un nouveau cycle de même qualité, maintenant que dessinateurs et coloristes semblent avoir trouvé leurs marques et pris les mesures de leurs personnages. Les planches sont vraiment réussies avec plus de risques je trouve que ce que l'on déniche habituellement en science fiction. Du côté du scénario on n'a le juste équilibre entre réponses aux questions que l'on se posait, crédibilité et aventure, Runberg n'est pas un débutant et cela se ressent. SI je n'avais qu'une seule chose à dire pour vous convaincre d'essayer ces 3 tomes d'Optic Squad c'est ceci : venez donc découvrir la petite soeur de Carmen Mc Callum !
  24. The_PoP

    Ce que nous sommes

    Pour être honnête avec vous j'avais initialement mis 3.5 étoiles à Ce que nous sommes. Puis j'ai corrigé car il faut reconnaitre à cette bd son côté enrichissant. Lire Zep dans sa collection parue chez Rue de Sèvres c'est comme lire Timothé Le Boucher ou Mathieu Bablet, une belle source de réflexions bienvenues. En cela cet album est une réussite puisque Zep nous propose des pistes de réflexions à explorer sur ce qui constitue l'humanité. Côté dessin, point de dépaysement si vous avez aimé The End ou Une Histoire d'hommes. C'est bon, c'est humain, visages et personnages sont réussis et travaillés. Je trouve pour ma part les cases un poil trop vides, mais je pense que c'est avant tout un choix narratif, pour laisser les personnages et leur histoire au centre de tout. Côté histoire, je mets un petit bémol toutefois car j'ai reconnu comme un air déjà entraperçu avec The End : la difficulté de proposer une fin aussi intéressante et réussie que le développement qui y amène. Cela fait je pense parti également du propos de cet ouvrage là et philosophiquement j'en comprends le sens mais en lecteur j'ai ressenti une pointe de déception avec peut être un goût de trop peu sur le développement et la conclusion de cette histoire ambitieuse.
  25. Titre de l'album : Ce que nous sommes Scenariste de l'album : Zep Dessinateur de l'album : Zep Coloriste : Zep Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Grâce au projet DataBrain, les humains disposent à la naissance d'un second cerveau numérique où sont directement uploadées des connaissances et des expériences virtuelles plus vraies que nature. Avec de simples programmes à télécharger, apprendre de nouvelles langues ou même assimiler la totalité du savoir de l'humanité n'a jamais été aussi simple et rapide. Du moins si, comme Constant, on en a les moyens. Mais un jour, à la suite d'un piratage informatique, il s'évanouit et se réveille en forêt, loin de la ville protégée, en ayant perdu tout son savoir et ses souvenirs. Démuni, il est recueilli par Hazel, jeune femme vivant en marge de la société, qui va l'aider à se reconstruire et à retrouver son passé. Constant va donc partir sur les traces de son identité réelle et découvrir au passage les facultés extraordinaires de son cerveau... humain. Critique : Pour être honnête avec vous j'avais initialement mis 3.5 étoiles à Ce que nous sommes. Puis j'ai corrigé car il faut reconnaitre à cette bd son côté enrichissant. Lire Zep dans sa collection parue chez Rue de Sèvres c'est comme lire Timothé Le Boucher ou Mathieu Bablet, une belle source de réflexions bienvenues. En cela cet album est une réussite puisque Zep nous propose des pistes de réflexions à explorer sur ce qui constitue l'humanité. Côté dessin, point de dépaysement si vous avez aimé The End ou Une Histoire d'hommes. C'est bon, c'est humain, visages et personnages sont réussis et travaillés. Je trouve pour ma part les cases un poil trop vides, mais je pense que c'est avant tout un choix narratif, pour laisser les personnages et leur histoire au centre de tout. Côté histoire, je mets un petit bémol toutefois car j'ai reconnu comme un air déjà entraperçu avec The End : la difficulté de proposer une fin aussi intéressante et réussie que le développement qui y amène. Cela fait je pense parti également du propos de cet ouvrage là et philosophiquement j'en comprends le sens mais en lecteur j'ai ressenti une pointe de déception avec peut être un goût de trop peu sur le développement et la conclusion de cette histoire ambitieuse. Autres infos : Anticipation et Philosophie Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ce-que-nous-sommes-231004?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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