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  1. The_PoP

    Vivre à en mourir

    Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement.
  2. Titre de l'album : Vivre à en mourir Scenariste de l'album : Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Jeanne Puchol Coloriste : Laurence Croix Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vivre à en mourir conte le destin de Marcel Rayman, ce jeune juif polonais pacifiste, qui, face à l'abomination nazie, prendra les armes auprès de Missak Manoukian et d'autres résistants. Pendant deux éprouvantes années, durant lesquelles il verra sa famille déportée, Marcel Rayman fait l'apprentissage de la clandestinité, de la « guérilla urbaine », de la mort, de la peur… et de la trahison. Son visage apparaîtra sur l'infamante Affiche Rouge, propagande de l'occupant destinée à discréditer les actions de la résistance parisienne. Critique : Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vivre-a-en-mourir-vivre-a-en-mourir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Spirou - L'espoir malgré tout - Tome 4 - Quatrième Partie Scenariste de l'album : Emile Bravo Dessinateur de l'album : Emile Bravo Coloriste : Fanny Benoît Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Alors que les Alliés ont débarqué en Normandie, Fantasio s'apprête à faire sauter un train transportant une unité blindée nazie. Spirou l'arrête juste à temps : c'est un train de déportés ! Et il est même persuadé d'avoir entendu Felix l'appeler d'un wagon ! C'est finalement Spip qui fera sauter le train allemand, vengeant ainsi la mort de Madeleine, la femme qui avait fait entrer Fantasio en Résistance et dont il était tombé amoureux. Quatre semaines plus tard, les Anglais sont à Bruxelles et Spirou n'a qu'une hâte : s'assurer qu'il s'est trompé et que Felix et Felka, ses amis peintres juifs allemands, sont sains et saufs. Mais les nouvelles dramatiques s'accumulent. Et le retour des déportés, l'épuration, les exactions des résistants de la dernière heure vont révéler encore bien des failles dans l'humanisme de certains des vainqueurs... Suite et la fin de ce passionnant roman sur la Seconde Guerre mondiale vue par les yeux d'un adolescent ingénu et humaniste et d'un zazou inconscient. Critique : Conclusion attendue de l'immense Spirou vu par Emile Bravo. Alors attention les grincheux, on est loin de la pagination des précédents. La conclusion est ici rapide. Et logique. Tout s'est mis en place, et la seconde guerre mondiale étant un genre bien rodé, surtout la partie occupation/libération on ne sera guère surpris de cette fin. Il n'en reste pas moins que philosophiquement c'est toujours aussi riche, les choix des personnages sont humains avant tout et même le personnage de Fantasio, contrepoint permanent de la "sagesse" de Spirou gagne en épaisseur. Graphiquement c'est toujours aussi réussi. Si globalement on peut se demander pourquoi la parution ne s'est pas faite sur 3 tomes vu la pagination et le contenu de cette conclusion, je ne peux que vous conseiller de lire ces 4 tomes de Spirou tant ils sont désormais devenus des classiques de la bd franco belge. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spirou-l-espoir-malgre-tout-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Conclusion attendue de l'immense Spirou vu par Emile Bravo. Alors attention les grincheux, on est loin de la pagination des précédents. La conclusion est ici rapide. Et logique. Tout s'est mis en place, et la seconde guerre mondiale étant un genre bien rodé, surtout la partie occupation/libération on ne sera guère surpris de cette fin. Il n'en reste pas moins que philosophiquement c'est toujours aussi riche, les choix des personnages sont humains avant tout et même le personnage de Fantasio, contrepoint permanent de la "sagesse" de Spirou gagne en épaisseur. Graphiquement c'est toujours aussi réussi. Si globalement on peut se demander pourquoi la parution ne s'est pas faite sur 3 tomes vu la pagination et le contenu de cette conclusion, je ne peux que vous conseiller de lire ces 4 tomes de Spirou tant ils sont désormais devenus des classiques de la bd franco belge.
  5. Titre de l'album : Amours fragiles tome 9 - Crépuscule Scenariste de l'album : Philippe Richelle Dessinateur de l'album : Jean-Michel Beuriot Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : 1945 - L'Armée rouge est aux portes de Berlin. Le 8 mai, le IIIe Reich capitule. Après son affectation à l'Est et son long séjour à Beelitz, Martin rentre dans sa ville natale qui, comme la plupart des villes allemandes, n'est plus qu'un champ de ruines. La population vit dans des conditions misérables : manque de nourriture, de médicaments, conditions sanitaires déplorables... Des individus peu scrupuleux profitent de la situation... Apparue dans le magazine (À SUIVRE) en 1997, la saga Amours Fragiles, saluée par la critique et le public, a reçu plusieurs récompenses prestigieuses. Avec ce 9ème épisode, Beuriot et Richelle nous livrent la fin très attendue de l'une des séries les plus marquantes de ces vingt dernières années. Critique : C'est la conclusion d'une saga débutée en 2001 que Beuriot et Richelle nous offrent pour cette rentrée littéraire décidément bien chargée ! Martin peut enfin rentrer chez lui , dans un village bombardé par les forces alliées . Les auteurs nous immergent dans ce microcosme de façon pointilleuse . Les intérieurs sont soignés , idem pour les proportions , j'aurais un léger reproche sur le traitement des visages , notamment des bouches et nez parfois de travers , mais cela reste de la ligne claire d'une grande qualité ; toujours au service de l'histoire et d'une documentation historique très précise . Les procès des anciens nazis ou autres "collabos" , les difficultés pour retrouver un travail et surtout pour se nourrir dans une Allemagne sous domination . Le marché noir s'impose chez les survivants avec toutes les risques que cela incombe . C'est une plongée en abysse dans ce monde "d'après" ! Pour certains protagonistes , il n'est pas simple de vivre avec un passé trouble et les auteurs attachent de l'importance au développement psychologique des personnages . Ils dépeignent un monde nuancé , où tout n'est pas blanc ou noir . Il réside dans cet épilogue un sentiment d'intemporalité . C'est une conclusion riche en émotions et révélations , qui comblera les plus patients ayant attendu cet épilogue depuis plus de 20 ans . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amours-fragiles-tome-9-crepuscule/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. C'est la conclusion d'une saga débutée en 2001 que Beuriot et Richelle nous offrent pour cette rentrée littéraire décidément bien chargée ! Martin peut enfin rentrer chez lui , dans un village bombardé par les forces alliées . Les auteurs nous immergent dans ce microcosme de façon pointilleuse . Les intérieurs sont soignés , idem pour les proportions , j'aurais un léger reproche sur le traitement des visages , notamment des bouches et nez parfois de travers , mais cela reste de la ligne claire d'une grande qualité ; toujours au service de l'histoire et d'une documentation historique très précise . Les procès des anciens nazis ou autres "collabos" , les difficultés pour retrouver un travail et surtout pour se nourrir dans une Allemagne sous domination . Le marché noir s'impose chez les survivants avec toutes les risques que cela incombe . C'est une plongée en abysse dans ce monde "d'après" ! Pour certains protagonistes , il n'est pas simple de vivre avec un passé trouble et les auteurs attachent de l'importance au développement psychologique des personnages . Ils dépeignent un monde nuancé , où tout n'est pas blanc ou noir . Il réside dans cet épilogue un sentiment d'intemporalité . C'est une conclusion riche en émotions et révélations , qui comblera les plus patients ayant attendu cet épilogue depuis plus de 20 ans .
  7. Titre de l'album : La vengeance de Zaroff Scenariste de l'album : Sylvain Runberg & François Miville-Deschênes Dessinateur de l'album : François Miville-Deschênes Coloriste : François Miville-Deschênes Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis dix ans qu'il y a élu domicile, les États-Unis n'ont pas été à la hauteur des attentes de Zaroff. Quelques criminels, des vagabonds... menu gibier, bien indigne du plus grand chasseur du monde. Mais l'oncle Sam lui offre un nouveau terrain de chasse : sa Russie natale, envahie par les Nazis. Zaroff devra y retrouver une physicienne perdue au beau milieu de ces prédateurs du IIIe Reich, dont la sauvagerie n'a d'égale que la sienne. Car plus le jeu est dangereux, plus Zaroff le devient... Critique : Le premier opus des crimes de Zaroff dans la collection Signé m'avait fait très forte impression à l'époque. Dessin soigné, histoire menée tambour battante, personnage hors du commun, cette chasse à l'homme m'avait alors beaucoup plu. Alors imaginez quand j'ai appris qu'il y aurait une suite sous forme d'un nouveau one-shot dans la même collection et avec les mêmes auteurs aux manettes. On retrouve donc notre Comte sanguinaire tranquillement et discrêtement installé aux Etats Unis où il passe le temps jusqu'à ce que la guerre nécessite ses services. Le monde est en pleine seconde guerre mondiale, et autant dire que le Nazi va être une proie plus qu'intéressante pour notre comte. Les dessins sont toujours superbes et si l'histoire se révèle moins impactante je trouve que le premier tome, on la dévore avec grand plaisir. Les amateurs du premier tome y trouveront largement leur compte. Attention cependant aux âmes fragiles, c'est toujours aussi malsain et immoral. Côté dessin, François Miville-Deschênes reprend son travail du premier opus avec presque le même brio. Je dis presque car les personnages et les décors m'avaient semblé plus flamboyants dans le premier tome, mais c'est peut être lié également au côté froid de cette aventure un brin glacée. Ceci dit je fais la fine bouche car comme souvent dans la collection signé, le travail graphique reste de très haut de gamme. C'est vraiment bien. Autres infos : Le retour de Zaroff Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zaroff-tome-2-la-vengeance-de-zaroff?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    La vengeance de Zaroff

    Le premier opus des crimes de Zaroff dans la collection Signé m'avait fait très forte impression à l'époque. Dessin soigné, histoire menée tambour battante, personnage hors du commun, cette chasse à l'homme m'avait alors beaucoup plu. Alors imaginez quand j'ai appris qu'il y aurait une suite sous forme d'un nouveau one-shot dans la même collection et avec les mêmes auteurs aux manettes. On retrouve donc notre Comte sanguinaire tranquillement et discrêtement installé aux Etats Unis où il passe le temps jusqu'à ce que la guerre nécessite ses services. Le monde est en pleine seconde guerre mondiale, et autant dire que le Nazi va être une proie plus qu'intéressante pour notre comte. Les dessins sont toujours superbes et si l'histoire se révèle moins impactante je trouve que le premier tome, on la dévore avec grand plaisir. Les amateurs du premier tome y trouveront largement leur compte. Attention cependant aux âmes fragiles, c'est toujours aussi malsain et immoral. Côté dessin, François Miville-Deschênes reprend son travail du premier opus avec presque le même brio. Je dis presque car les personnages et les décors m'avaient semblé plus flamboyants dans le premier tome, mais c'est peut être lié également au côté froid de cette aventure un brin glacée. Ceci dit je fais la fine bouche car comme souvent dans la collection signé, le travail graphique reste de très haut de gamme. C'est vraiment bien.
  9. Kevin Nivek

    Justes parmi les nations

    L'éditeur monégasque Plein Vent publie un premier tome centré sur un réseau de résistants dans Nice et ses environs . Une histoire passionnante et d'un réalisme assez effroyable car elle situe le contexte de l'occupation de façon précise et détaillée . La trame narrative se compose d'un échange entre David un homme âgé racontant son histoire à deux enfants , et nous alternons ses phases de récit avec celles du passé où David est un enfant durant le conflit . S'appuyant sur des documents authentiques , les auteurs réalisent un travail de reconstitution remarquable . A travers l'architecture locale (Nice et les villages avoisinants) , les costumes , les noms de personnes ayant réellement existé , et bien-sûr le contexte historique avec la présence des allemands , des italiens , mais aussi des français "collabos" ; c'est tout un pan de l'histoire de l'occupation dans le sud de la France qui s'offre à nous . On découvre ainsi un clergé cachant des enfants au sein des monastères , mais aussi et c'est assez surprenant , le consul général italien dont l'épouse est de confession juive, qui va oeuvrer pour exfiltrer des juifs en Afrique du nord .On apprend surtout les origines de la création du "réseau Marcel" initié par Moussa Abadi et Odette Rosenstock , qui va sauver des centaines d'enfants . Etant donnée la densité des échanges et d'informations, les cases sont chargées en texte ! Explications , dialogues et pensées jalonnent le récit et peuvent parfois "encombrer" les pages . C'est très verbal , les 64 pages ne se lisent pas rapidement comme une BD "normale" . Mais peut-on le reprocher tellement le sujet est lourd ? Il en va de même pour le dessin qui se met au service de la grande histoire , il se veut réaliste et précis . L'importante galerie de personnages est reconnaissable , c'est assurément un atout . Les couleurs sont un peu trop "numériques" , mais cela amène une netteté à l'image et nous offre de belles reconstitutions architecturales ou de l'arrière pays niçois . A noter des annexes sur les noms des "justes parmi les nations" en fin d'album ainsi qu'un texte du fils de Simone Veil , président du Comité français pour Yad Vashem .
  10. Titre de l'album : Justes parmi les nations Scenariste de l'album : Serge Scotto, Eric Stoffel, Yvon Bertorello Dessinateur de l'album : Frédéric Allali , Michel Espinosa Coloriste : Bruno Pradelle Editeur de l'album : Plein vent Note : Résumé de l'album : Durant la seconde guerre mondiale, de nombreuses personnes, au péril de leur propre vie, ont secouru et sauvé des Juifs persécutés : ces héros de l’ombre, ce sont les « Justes parmi les Nations » ! Critique : L'éditeur monégasque Plein Vent publie un premier tome centré sur un réseau de résistants dans Nice et ses environs . Une histoire passionnante et d'un réalisme assez effroyable car elle situe le contexte de l'occupation de façon précise et détaillée . La trame narrative se compose d'un échange entre David un homme âgé racontant son histoire à deux enfants , et nous alternons ses phases de récit avec celles du passé où David est un enfant durant le conflit . S'appuyant sur des documents authentiques , les auteurs réalisent un travail de reconstitution remarquable . A travers l'architecture locale (Nice et les villages avoisinants) , les costumes , les noms de personnes ayant réellement existé , et bien-sûr le contexte historique avec la présence des allemands , des italiens , mais aussi des français "collabos" ; c'est tout un pan de l'histoire de l'occupation dans le sud de la France qui s'offre à nous . On découvre ainsi un clergé cachant des enfants au sein des monastères , mais aussi et c'est assez surprenant , le consul général italien dont l'épouse est de confession juive, qui va oeuvrer pour exfiltrer des juifs en Afrique du nord .On apprend surtout les origines de la création du "réseau Marcel" initié par Moussa Abadi et Odette Rosenstock , qui va sauver des centaines d'enfants . Etant donnée la densité des échanges et d'informations, les cases sont chargées en texte ! Explications , dialogues et pensées jalonnent le récit et peuvent parfois "encombrer" les pages . C'est très verbal , les 64 pages ne se lisent pas rapidement comme une BD "normale" . Mais peut-on le reprocher tellement le sujet est lourd ? Il en va de même pour le dessin qui se met au service de la grande histoire , il se veut réaliste et précis . L'importante galerie de personnages est reconnaissable , c'est assurément un atout . Les couleurs sont un peu trop "numériques" , mais cela amène une netteté à l'image et nous offre de belles reconstitutions architecturales ou de l'arrière pays niçois . A noter des annexes sur les noms des "justes parmi les nations" en fin d'album ainsi qu'un texte du fils de Simone Veil , président du Comité français pour Yad Vashem . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-justes-parmi-les-nations-tome-1-les-reseaux-de-la-liberte/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    Johnny Red - The Hurricane

    Et Boum ! Amateurs de BD d'aviation ou de seconde guerre mondiale, nostalgiques des dessins des séries des années 70, connaisseurs de Johnny Red, ou simplement curieux lecteurs de bons comics Indépendants, je ne peux que vous conseiller cet excellent Johhny Red. Oui c'est avant tout un hommage à peine déguisé. Oui probablement que les très fins connaisseurs de Johnny Red y trouveront une partie de réédite d' histoires connues. Mais fichtre, pour eux comme pour les autres, quelle claque cela risque d'être. Comme le Goldorak sorti il y a peu, ce récit s'adresse finalement aussi bien aux initiés qu'aux autres. Et c'est tant mieux. Notons qu'en plus l'édition est parfaite avec ces compléments d'Histoire sur cette partie pas forcément la plus connue de la seconde guerre mondiale par nous Français, sa couverture reliée avec une tranche tissu et ses nombreux compléments. Le dessin de Heith Burns est au diapason de l'histoire âpre, réaliste mais héroïque que nous sert Garth Ennis. Combats aériens à couper le souffle, personnages, tout est bon. Le tout nous est d'ailleurs servi par Komics Initiative Allez hop, ça file sous le sapin direct un cadeau comme celui-ci !
  12. Titre de l'album : Johnny Red - The Hurricane Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Heith Burns Coloriste : Jason Wordie Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : En 2015, sur un petit aérodrome du Suffolk, Tony Iverson découvre la carcasse d'un avion de modèle Hawker Hurricane MKII, en piteux état et en provenance d'Allemagne. Seulement, il apprend très vite que le spécimen n'est pas d'origine et a subi quelques modifications... Curieux, Tony part en quête de réponses et son parcours le conduit en Russie. Là-bas, un vieil homme lui évoque la bataille de Stalingrad. Ce dernier était membre d'une unité de pilotes basée dans la région et obéissait aux ordres d'un britannique nommé... Critique : Et Boum ! Amateurs de BD d'aviation ou de seconde guerre mondiale, nostalgiques des dessins des séries des années 70, connaisseurs de Johnny Red, ou simplement curieux lecteurs de bons comics Indépendants, je ne peux que vous conseiller cet excellent Johhny Red. Oui c'est avant tout un hommage à peine déguisé. Oui probablement que les très fins connaisseurs de Johnny Red y trouveront une partie de réédite d' histoires connues. Mais fichtre, pour eux comme pour les autres, quelle claque cela risque d'être. Comme le Goldorak sorti il y a peu, ce récit s'adresse finalement aussi bien aux initiés qu'aux autres. Et c'est tant mieux. Notons qu'en plus l'édition est parfaite avec ces compléments d'Histoire sur cette partie pas forcément la plus connue de la seconde guerre mondiale par nous Français, sa couverture reliée avec une tranche tissu et ses nombreux compléments. Le dessin de Heith Burns est au diapason de l'histoire âpre, réaliste mais héroïque que nous sert Garth Ennis. Combats aériens à couper le souffle, personnages, tout est bon. Le tout nous est d'ailleurs servi par Komics Initiative Allez hop, ça file sous le sapin direct un cadeau comme celui-ci ! Autres infos : Un classique incontournable Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/johnny-red-the-hurricane?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. The_PoP

    Renault - Les mains noires

    Je tiens d'emblée à préciser que je ne suis amateur ni d'automobile, ni de documentaires en BD. Et pourtant ce n'est pas une erreur et j'ai bien mis 5 à cette BD. Que je ne peux que vous conseiller. Je l'ai ouverte sans grandes conviction hier soir, un peu claqué. Et je l'ai refermée après un très beau et long temps de lecture. Car oui, les 80 pages sont intenses, pleines de dialogues, et demande une attention certaine pour être appréciées, d'autant que certains découpages de cases peu orthodoxe mais diablement efficaces ne manqueront pas de perturber vos habitudes de lecture. J'ai lu ce Renault comme j'ai lu Il était une fois en France. Et pour moi on est sur la même intensité. Le personnage présenté l'est sans concession, même si l'on ressent beaucoup de tendresse pour leur sujet de la part des auteurs. Louis Renault fut un géant de ce début du siècle, un homme dont le destin a pesé durablement sur la France et sur le monde. Et pourtant jusqu'à hier j'ignorais tout de lui. Le boulot d'historien des deux auteurs est assez fabuleux, et si parfois la fiction ou le romanesque s'invitent dans le traitement de leur sujet, cela sonne globalement juste. Alors quand une BD vous propose de vous instruire sur la grande Histoire de France en vous passionnant autant, chapeau bas.
  14. Titre de l'album : Renault - Les mains noires Scenariste de l'album : Antoine Lapasset Dessinateur de l'album : Benjamin Benéteau Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis le petit atelier au fond du jardin où il bricolait ses premiers moteurs, jusqu'à la création d'un empire si puissant qu'on disait de lui que toute la France s'enrhumait quand son usine toussait, Louis Renault a traversé son époque comme un bolide. Revenir sur la vie de Renault, c'est s'intéresser à la première moitié du XIXe siècle. Cinquante années d'une transformation fulgurante du monde, propulsée par un progrès qui ne veut croire en aucune limite. Mais aussi cinquante années tourmentées de conflits idéologiques majeurs, jalonnées de deux guerres mondiales. Si la première va mener Renault au sommet, la seconde précipitera sa chute. Inventeur, visionnaire, pilote, businessman... On connait sa signature, reste à découvrir l'homme. Critique : Je tiens d'emblée à préciser que je ne suis amateur ni d'automobile, ni de documentaires en BD. Et pourtant ce n'est pas une erreur et j'ai bien mis 5 à cette BD. Que je ne peux que vous conseiller. Je l'ai ouverte sans grandes conviction hier soir, un peu claqué. Et je l'ai refermée après un très beau et long temps de lecture. Car oui, les 80 pages sont intenses, pleines de dialogues, et demande une attention certaine pour être appréciées, d'autant que certains découpages de cases peu orthodoxe mais diablement efficaces ne manqueront pas de perturber vos habitudes de lecture. J'ai lu ce Renault comme j'ai lu Il était une fois en France. Et pour moi on est sur la même intensité. Le personnage présenté l'est sans concession, même si l'on ressent beaucoup de tendresse pour leur sujet de la part des auteurs. Louis Renault fut un géant de ce début du siècle, un homme dont le destin a pesé durablement sur la France et sur le monde. Et pourtant jusqu'à hier j'ignorais tout de lui. Le boulot d'historien des deux auteurs est assez fabuleux, et si parfois la fiction ou le romanesque s'invitent dans le traitement de leur sujet, cela sonne globalement juste. Alors quand une BD vous propose de vous instruire sur la grande Histoire de France en vous passionnant autant, chapeau bas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/renault-les-mains-noires?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Après un tome 1 enlevé qui nous parlait finalement autant des machines que des hommes qui les pilotaient durant la seconde guerre mondiale, ce tome 2 nous présente un avion bien moins connu du grand publi et un théâtre de guerre que l'on a oublié : la guerre civile espagnole à travers le destin tragique d'un pilote russe. On y découvrira de nouveau le destin impitoyable de ses hommes broyés par la guerre et par des idéologies toujours plus dogmatiques transofrmant des idées en système propres à broyer les être humains. Côté combats d'aviation nous serons servis même si le côté pré seconde guerre mondiale impose de présenter des technologies de combat moins performantes. Cette série est en train de devenir intéressante pour les passionnés d'histoire et d'aviation, pour le moment articulée sur des périodes autour de la seconde guerre mondiale, elle nous permet de dessiner les petites histoires derrière la grande, la machine devenant le prétexte, et ça moi j'aime beaucoup. Graphiquement on reste je trouve un léger cran en dessous de ce qui se fait de mieux dans le genre, mais cela reste de très bonne qualité, avec de belles planches et de beaux combats.
  16. Titre de l'album : Warbirds - Tome 2 - I-16 Polikarpov, la mouche de Moscou Scenariste de l'album : Richard D. Nolane Dessinateur de l'album : I.S Fiki Coloriste : Vladimir Davidenko Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Entré en service en 1935, le Polikarpov I-16 soviétique était un chasseur monoplan rapide et maniable. Lors de la Guerre d'Espagne, 276 I-16 équipèrent l'aviation républicaine. Surnommé « Mosca » (la mouche), il y devint une légende et n'y fut dominé à la longue que par le Messerschmitt Bf 109. Le héros de La Mouche de Moscou s'inspire d'as soviétiques engagés dans ce conflit d'une rare violence. Critique : Après un tome 1 enlevé qui nous parlait finalement autant des machines que des hommes qui les pilotaient durant la seconde guerre mondiale, ce tome 2 nous présente un avion bien moins connu du grand publi et un théâtre de guerre que l'on a oublié : la guerre civile espagnole à travers le destin tragique d'un pilote russe. On y découvrira de nouveau le destin impitoyable de ses hommes broyés par la guerre et par des idéologies toujours plus dogmatiques transofrmant des idées en système propres à broyer les être humains. Côté combats d'aviation nous serons servis même si le côté pré seconde guerre mondiale impose de présenter des technologies de combat moins performantes. Cette série est en train de devenir intéressante pour les passionnés d'histoire et d'aviation, pour le moment articulée sur des périodes autour de la seconde guerre mondiale, elle nous permet de dessiner les petites histoires derrière la grande, la machine devenant le prétexte, et ça moi j'aime beaucoup. Graphiquement on reste je trouve un léger cran en dessous de ce qui se fait de mieux dans le genre, mais cela reste de très bonne qualité, avec de belles planches et de beaux combats. Autres infos : Storyboard par Maza Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/warbirds-polikarpov-i-16-la-mouche-de-moscou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Qu'est ce que j'aime les bd jeunesses du Lombard. Cette année j'y ai trouvé vraiment de belles choses, aussi agréables à lire pour l'adulte que je suis qu'intéressantes pour les enfants. Ce tome 8 de la série les enfants de la résistance nous confirme que c'est bien une très belle série jeunesse. L'histoire avance bien, le réalisme est toujours de mise, situations et personnages sont complexes et quelques fausses pistes sont agréablement posés, les dilemmes ont le temps de s'installer et on suit nos jeunes héros sur ce chemin Ô combien délicat. Le dessin de Benoît Ers est toujours plein de justesse et de rondeurs sans pour autant trop céder aux facilités, c'est vraiment chouette et propre. J'ai beaucoup aimé.
  18. Titre de l'album : Les enfants de la résistance - Tome 8 - Combattre ou mourir Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Benoît Ers Coloriste : Benoît Ers Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les enfants de la Résistance ont maintes fois manqué mourir pour leurs idées. Cette fois, ils devront risquer leur vie pour la libre circulation de l'information. Ou plutôt la circulation de l'information libre ! En cet été 1943, la nouvelle mission du Lynx est de livrer un stock de papier qui servira à imprimer les journaux de la Résistance... à 250 km de chez eux. Pour cela, ils vont devoir monter tout un réseau. Ce qui implique de prendre le plus grand des risques : faire confiance... Critique : Qu'est ce que j'aime les bd jeunesses du Lombard. Cette année j'y ai trouvé vraiment de belles choses, aussi agréables à lire pour l'adulte que je suis qu'intéressantes pour les enfants. Ce tome 8 de la série les enfants de la résistance nous confirme que c'est bien une très belle série jeunesse. L'histoire avance bien, le réalisme est toujours de mise, situations et personnages sont complexes et quelques fausses pistes sont agréablement posés, les dilemmes ont le temps de s'installer et on suit nos jeunes héros sur ce chemin Ô combien délicat. Le dessin de Benoît Ers est toujours plein de justesse et de rondeurs sans pour autant trop céder aux facilités, c'est vraiment chouette et propre. J'ai beaucoup aimé. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-de-la-resistance-tome-8-combattre-ou-mourir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Comme souvent avec les séries "documentaires" historiques en bd, j'ai un à priori négatif. Le manque de romanesque du genre d'un côté ou la limite inhérente au support en terme d'exhaustivité font que je suis souvent peu emballé. Rajoutez à ça qu'on est souvent bien gâté ces derniers temps du côté des bd et comics sérieux d'aviation et vous comprendrez pourquoi la sortie de Top Gun n'a pas suffit à me faire saliver devant ce Warbirds. Et bien j'ai eu tout faux. C'est super sympa à lire, enrichissant et instructif, et les dessins sont bien réussis. Ce warbirds est bien dosé et nous procure une lecture agréable, et instructive. Le choix de montrer un personnage principal plus que contestable donne un peu d'épaisseur et de relief à ce premier tome de cette nouvelle série. J'ai hâte d'en découvrir les prochains tomes
  20. Titre de l'album : Warbirds - Tome 1 - JU-87G Stuka - Le tueur de tanks Scenariste de l'album : Richard D. Nolane Dessinateur de l'album : Vladimir Davidenko & Aleksandar Sotirovski Coloriste : Vladimir Davidenko Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le nom de Hans Rudel reste lié à celui de l'avion. Soldat allemand le plus décoré, il détient le record mondial de missions durant un conflit. Sa tête fut mise à prix par Staline. Les Alliés refusèrent de lui livrer ce nazi convaincu, mais combattant exemplaire et admiré par ses adversaires. Tueur de tanks ! s'inspire des faits d'armes de ce héros à la face sombre... Critique : Comme souvent avec les séries "documentaires" historiques en bd, j'ai un à priori négatif. Le manque de romanesque du genre d'un côté ou la limite inhérente au support en terme d'exhaustivité font que je suis souvent peu emballé. Rajoutez à ça qu'on est souvent bien gâté ces derniers temps du côté des bd et comics sérieux d'aviation et vous comprendrez pourquoi la sortie de Top Gun n'a pas suffit à me faire saliver devant ce Warbirds. Et bien j'ai eu tout faux. C'est super sympa à lire, enrichissant et instructif, et les dessins sont bien réussis. Ce warbirds est bien dosé et nous procure une lecture agréable, et instructive. Le choix de montrer un personnage principal plus que contestable donne un peu d'épaisseur et de relief à ce premier tome de cette nouvelle série. J'ai hâte d'en découvrir les prochains tomes Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/warbirds-ju-87g-stuka-le-tueur-de-tanks/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Out of the Blue

    Titre de l'album : Out of the Blue Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Keith Burns Coloriste : Jason Wordie Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : La Seconde Guerre mondiale est presque terminée, mais personne ne semble l'avoir dit aux Allemands, ainsi que le découvre le pilote de la Royal Air Force, Jamie McKenzie, lorsqu'il est affecté à des frappes maritimes le long de la côte ennemie. Piloter le chasseur-bombardier Mosquito contre des cibles lourdement armées est assez dangereux dans le meilleur des cas, mais après avoir encouru la colère de son commandant, Jamie se voit attribuer le navigateur le plus impopulaire de l'unité, sans parler de l'avion le moins fiable. Pire encore, le commandant semble avoir des vues sur la belle et jeune épouse de Jamie, Beth... Critique : Seconde BD d'aviation pendant la seconde guerre mondiale scénarisée par Garth Ennis lue en peu de temps et une constante : c'est du bon. Garth Ennis maitrise vraiment le genre et nous propose une nouvelle fois une histoire sur fond de guerre mais qui ne nous parle pas que de ça puisqu'il nous livre une histoire d'hommes d'abord mais aussi une histoire d'amour plus que réussie ! Le dessin de Keith Burns, sublimement mis en couleur par Jason Wordie est au diapason de l'histoire et place out of the blue dans ce qui se fait de mieux dans le genre mais plus simplement en comics indé ! Les scénes d'aviation sont sublimes mais les scénes au sol ne sont pas en reste, le tout transpirant des caractères bien affirmés et une âme certaine. un bien beau one shot ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/out-of-the-blue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Out of the Blue

    Seconde BD d'aviation pendant la seconde guerre mondiale scénarisée par Garth Ennis lue en peu de temps et une constante : c'est du bon. Garth Ennis maitrise vraiment le genre et nous propose une nouvelle fois une histoire sur fond de guerre mais qui ne nous parle pas que de ça puisqu'il nous livre une histoire d'hommes d'abord mais aussi une histoire d'amour plus que réussie ! Le dessin de Keith Burns, sublimement mis en couleur par Jason Wordie est au diapason de l'histoire et place out of the blue dans ce qui se fait de mieux dans le genre mais plus simplement en comics indé ! Les scénes d'aviation sont sublimes mais les scénes au sol ne sont pas en reste, le tout transpirant des caractères bien affirmés et une âme certaine. un bien beau one shot !
  23. Et voici le second tome de cette trilogie d'aventure teintée de fantastique sur fond de montée du nazisme et du début de la seconde guerre mondiale avec en toile de fond évidemment le penchant pour les théories mystiques et les recherches archéologiques menées par l'Ahnenerbe pour le compte des Nazis. Ma première chronique n'avait pas montré un grand enthousiasme pour cette série, inspirée d'un ouvrage que je ne connaissais pas. Il faut cependant bien reconnaitre que comme sur Arkham Mysteries parut récemment Richard D Nolane fait des merveilles au scénario en nous livrant une aventure fantastique réussie dont le rythme maitrisé et l'ambiance sont un point fort. Il faudra toutefois faire attention à nous livrer une conclusion propre dans le dernier tome pour ne pas nous laisser sur une déception. Côté graphique c'est très chouette et relativement inspiré, et cela colle plutôt bien à l'histoire tout en restant dans le style un peu universel des productions estampillées Soleil. A noter quand même l'irrégularité de certaines cases, dont des visages parfois un peu figés. Amateurs de fantastique, d'aventure et de seconde guerre mondiale, je ne peux que vous le recommander.
  24. Titre de l'album : Le château des millions d'années - Tome 2 - Depuis la nuit des temps Scenariste de l'album : Richard D. Nolane Dessinateur de l'album : Zeljko Vladetic Coloriste : Hugo Sebastian Facio Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Été 1939, derniers jours de la paix. De plus en plus mal à l'aise face au régime nazi qu'il sert, traqué par des entités non-humaines et les services secrets britanniques depuis son départ en bateau du Liban, Friedrich Saxhäuser s'efforce de ramener à temps en Allemagne la stupéfiante technologie du Château des Millions d'Années. Mais une poursuite à mort s'engage bientôt avec la Royal Navy... Critique : Et voici le second tome de cette trilogie d'aventure teintée de fantastique sur fond de montée du nazisme et du début de la seconde guerre mondiale avec en toile de fond évidemment le penchant pour les théories mystiques et les recherches archéologiques menées par l'Ahnenerbe pour le compte des Nazis. Ma première chronique n'avait pas montré un grand enthousiasme pour cette série, inspirée d'un ouvrage que je ne connaissais pas. Il faut cependant bien reconnaitre que comme sur Arkham Mysteries parut récemment Richard D Nolane fait des merveilles au scénario en nous livrant une aventure fantastique réussie dont le rythme maitrisé et l'ambiance sont un point fort. Il faudra toutefois faire attention à nous livrer une conclusion propre dans le dernier tome pour ne pas nous laisser sur une déception. Côté graphique c'est très chouette et relativement inspiré, et cela colle plutôt bien à l'histoire tout en restant dans le style un peu universel des productions estampillées Soleil. A noter quand même l'irrégularité de certaines cases, dont des visages parfois un peu figés. Amateurs de fantastique, d'aventure et de seconde guerre mondiale, je ne peux que vous le recommander. Autres infos : Adaptation du roman de Stéphane Przybylski Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chateau-des-millions-d-annees-tome-2-depuis-la-nuit-des-temps?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Le merlu tome 2 - Les routes du sang Scenariste de l'album : Thierry Dubois Dessinateur de l'album : Jérome Phalippou Coloriste : Patrick Larme Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Décembre 1941, Pearl Harbor vient d'être attaqué par l'aviation japonaise. Le monde s'enfonce un peu plus dans une guerre mondiale. Georges Colin a disparu depuis plusieurs moi, tué par l'armée allemande ? Marie-Jeanne n'y croit pas... Mais résignée, elle s'est mariée à Jean-Claude, sympathisant actif de l'occupant, afin de faire cesser les ennuis pour son père. Pendant ce temps, le transport doit continuer et les entreprises Colin et Leduc survivent tant bien que mal... Et quelques part, un certain Merlu s'active dans le maquis... Critique : Sorti au mois de mai il s'agit du second tome de ce drame historique ayant pour théâtre la seconde guerre mondiale et plus particulièrement la période d'occupation allemande de la France. Le Merlu est une bd assez classique dans sa trame et dans sa réalisation mais néanmoins réalisée très soigneusement et sans grand défauts. Pour les amateurs de l'époque et des drames historiques je ne peux que la recommander tant personnages et scénario sont bien amenés. Les dessins de Jérome Phalippou et les couleurs de Patrick Larme rendent bien la période. Les visages et les expressions bien sculptées permettent de s'immerger dans les luttes des personnages et la fin du tome arrive plus vite qu'on ne le veut, e qui est plutôt bon signe pour un tome de 56 pages quand même. Ce tome 2 reprend l'intrigue à la suite du tome 1 et nous développe simplement les petites histoires de nos héros dans la Grande Histoire. Gageons que les prochains tomes seront aussi bien réalisés mais je fais confiance au auteurs et au éditions Paquet pour cela. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-merlu-tome-2-les-routes-du-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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