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  1. Titre de l'album : Les récits d'Obana Scenariste de l'album : ONO Fuyumi Dessinateur de l'album : KATO Kazue Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Après leur emménagement dans de vieilles maisons traditionnelles japonaises, des propriétaires se retrouvent confrontés à d'étranges manifestations surnaturelles. Alors que les ouvriers du bâtiment se révèlent incapables de résoudre ces problèmes, Obana, un artisan pas comme les autres, est appelé à l'aide. Capable de saisir les émotions des esprits hantant un lieu, il permet aux vivants de partager leur nouvelle demeure avec les morts... Critique : A l’origine des Récits d’Obana se trouve Fuyumi ONO, une romancière qui a déjà remporté plusieurs prix littéraires notamment pour sa série Les Douze Royaumes. Les récits d’Obana, originellement composé de 3 livres, ont été adaptés en manga par la non moins célèbre Kazue KATO, l’autrice de Blue Exorcist. Le recueil est composé de 6 récits qui mettent en scène des personnes normales confrontées à des phénomènes paranormaux, souvent liés à la présence d’une âme en peine (un fantôme). On verra ainsi une porte qui s’ouvre toute seule, des pleurs d’enfant dans un garage, des bruits de pas dans un grenier, un jardin où les plantes dépérissent, une femme en deuil les jours de pluie ou encore la présence d’un petit vieux qui se cache dans une maison. A chaque chapitre, on commence par découvrir la situation qui est toujours liée à un lieu d’habitation, puis en dernier lieu arrive Obana, un bricoleur spécialisé dans les travaux d’entretien et d’amélioration qui propose une solution. Ce dernier ne fait pas d’exorcisme, il aménage le lieu pour pouvoir répondre à la fois à la demande de son client mais aussi à celle de l’esprit qui est présent. Kazue KATO nous propose un joli crayonné, plus mature et sombre que dans Blue Exorcist, elle joue sur les ombres et les trames pour faire ressortir les angoisses sans jamais tomber dans l’horreur. La narration est intéressante, contrairement à d’autres mangas « fantomatiques » où souvent on a soit l’élimination de l’esprit soit l’horreur sans autre objectif que de générer de l’effroi, Les récits d’Obana offre une autre possibilité, celle de faire cohabiter les différents protagonistes. Ces six histoires sont prenantes et donnent même l’envie d’y retourner. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-recits-d-obana-artisan-de-l-etrange?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série.
  3. Titre de l'album : Mon fils semble avoir été réincarné dans un autre monde tome 4 Scenariste de l'album : KANEMOTO Dessinateur de l'album : SHIBATA Hikari Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Dis-moi comment faire pour retrouver mon fils, maintenant qu'il est parti dans un autre monde. " La seule chose que je veux t'entendre dire, c'est que Taïga est mort. Et tu vas le faire devant ce qu'il reste de lui. " Mio est terrifiée par l'apparition soudaine de son mari. Elle retourne auprès de Dobara, mais une dernière confrontation, laide et violente, approche à grands pas. Est-ce la fin pour tous les deux ?! Une aventure humaine drôle et touchante d'une mère déterminée, qui refuse de faire le deuil de son fils disparu. Série terminée en 5 tomes Critique : La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-fils-semble-avoir-ete-reincarne-dans-un-autre-monde-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre.
  5. Titre de l'album : Quality assurance in another world tome 1 Scenariste de l'album : SATO Masamichi Dessinateur de l'album : SATO Masamichi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Nikola, jeune habitante d'un paisible petit village, voit soudain débouler dans les prés d'énormes dragons ! Terrifiée, elle est secourue par Haga, un homme qui semble mener de mystérieuses recherches. Ce que Nikola ignore, c'est que Haga n'est autre qu'un testeur, coincé dans le jeu qu'il était censé débugger... Et qu'elle-même n'est qu'un PNJ ! De plus, si Haga est dévoué à son travail, ce n'est pas le cas de tous ses collègues... Critique : Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quality-assurance-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Death's game tome 1 Scenariste de l'album : LEE Wongsik Dessinateur de l'album : GGULCHAN Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Après une longue période de chômage, d'échecs amoureux et problème financiers, Choi Yijae prend la décision de mettre fin à ses jours. Au moment de se tuer, il défie la Mort et se réveille alors dans un avion, avec un visage différent. Une femme se présente alors à lui comme étant la Mort en personne ! Se disant insultée, elle décide de le punir en le condamnant à mourir... jusqu'à ce qu'il soit capable de l'éviter. Critique : Choi Yijae a raté sa vie, plus jeune il se voyait déjà avec un bon travail, un bon salaire, une copine… la réussite quoi. Or il n’en est rien, à 30 ans passé il est toujours chômeur et sa copine est partie. Lorsqu’il reçoit une réponse négative à son dernier entretien d’embauche, ses derniers espoirs s’envolent… Lui qui n’a pas eu la vie dont il rêvait décide d’y mettre fin en se disant que ça au moins, il le fera comme il l’entend : en se jetant du haut d’un gratte-ciel. Mais la Mort intervient, qu’il meure, soit ! Mais qu’il se moque d’elle en disant qu’elle n’est qu’un vulgaire outil, ce n’est pas tolérable ! Elle décide donc de le punir en lui faisant subir 13 tragiques destins (13 autres morts). En plus d’une punition, c’est aussi un jeu car il va pouvoir intervenir pour changer le cours du destin ; s’il y arrive, il pourra continuer à vivre dans la peau de cette nouvelle personne. Death’s game propose un concept intéressant avec la personnification de La Mort qui est vexée et qui compte bien faire comprendre à Choi Yijae qu’elle n’est pas qu’un moyen pour arriver ailleurs mais qu’elle est une grande figure qui doit être crainte et surtout ne pas être prise à la légère ! Le personnage principal va donc expérimenter toute sorte de situations, certaines inéluctables comme être un passager d’un avion sur le point d’exploser en vol et d’autres où il pourra agir comme lorsqu’il se trouve dans la peau d’un adolescent harcelé. Seulement, ses décisions ont aussi des conséquences, il va devoir apprendre à mieux gérer ses actions. La série est terminée en 66 chapitres, disponibles sur Webtoon sous le titre Mort Imminente. Le webtoon est plutôt plaisant bien qu’on se demande parfois à quoi servent les chapitres très courts. Il y a peut-être un cheminement philosophique visant à nous faire comprendre que la vie est précieuse et que la mort peut surgir à n’importe quel moment…. J’espère avoir la réponse par la suite. En attendant, Death’s game se lit bien il est agréable graphiquement et plutôt intéressant. Vous pouvez vous laisser tenter ! Extrait Pour information, le webtoon a été adapté en drama. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/death-s-game-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Peleliu tome 8

    Titre de l'album : Peleliu tome 8 Scenariste de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Dessinateur de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Le soldat Tamaru et quelques-uns de ses camarades sont en plein doute. Ayant récupéré des magazines américains dans les poubelles de ces derniers, ils sont tombés sur des articles célébrant la fin de la guerre et la reddition du Japon. Mais est-ce la vérité ? Ou un mensonge de propagande pour les faire sortir de leur cachette ? Le Japon ne peut pas perdre. Le Japon ne se rend pas. Le Japon disparaîtra et les Japonais se sacrifieront plutôt que se couvrir du déshonneur de la reddition. Ainsi ont été élevés les soldats japonais depuis le début de la guerre. Ainsi les officiers supérieurs motivent-ils leurs troupes au plus fort des combats. Critique : C’est l’histoire de soldats japonais durant la seconde guerre mondiale pendant la bataille contre les américains sur l’ile de Peleliu. Le manga est une fiction inspirée de faits réels ; l’objectif de l’auteur est de montrer le quotidien de ces soldats au moment des bombardements et ensuite pendant l’occupation américaine. Les soldats coupés de toute communication et ayant perdus leurs supérieurs doivent se débrouiller tant bien que mal pour survivre et maintenir la ligne de défense. Dans ce 8ème volume et avec le retour des insulaires, les soldats se demandent si la guerre est finie, n’ayant d’autres informations que ce qu’ils trouvent dans le camp américain, le doute est omniprésent. Peleliu est à la fois un manga historique et un manga de guerre, le graphisme est assez enfantin avec des personnages tous ronds. Cela permet aux lecteurs de se concentrer sur les évènements (trouver de la nourriture, des abris, se cacher des ennemis, lutter contre les maladies…) et ne pas se focaliser sur les horreurs. Une très bonne approche pour apprendre l’histoire sans la subir, au travers de ces simples soldats, on comprend la mentalité japonaise et l’acharnement à ne pas vouloir capituler même quand tout espoir semble perdu. Une très bonne série. Autres infos : Edition VEGA Dupuis Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/peleliu-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Game of familia tome 8

    Toujours dans leur quête de rechercher des alliés pour combattre les Dead Mells, Sasae et sa familia entendent parler de « dragon », des êtres surpuissants qui se seraient réincarner dans ce monde. Hélas ces dragons ne sont pas toujours bienveillants et certains ont même causé de grandes guerres par le passé. Il est temps d’envoyer une équipe de reconnaissance pour savoir ce qu’il en est mais cette mission réserve une surprise de taille. Début d’un nouvel « arc » dans Game of Familia avec un tome qui met en place de nouveaux personnages. Si ce tome de transition n’est pas exceptionnel, il permet de donner un aperçu de la suite, une suite qui risque fort d’entrainer notre Familia dans une situation extrême et un conflit interne. Voilà qui changera un peu des combats habituels et qui permettra de pimenter un peu l’histoire.
  9. Titre de l'album : Game of familia tome 8 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le dernier pays est gouverné par les " réincarnés " ! L'arc du dragon maléfique de Hilmzeld commence !! Grâce à sa confiance en sa Familia, Sasae a pu vaincre Ode Seeker et signer un accord de paix avec l'État magique de Laiknel. Des quatre grands pays du continent, le seul à lui être encore opposé est Hilmzeld, un État instable régi par des " dragons ", nom donné aux êtres humains réincarnés du même monde que Sasae. Adulés comme des dieux, ces dragons peuvent aussi bien faire régner la paix que faire couler le sang à Hilmzeld selon leur tempérament. Sugar et ses camarades sont ainsi envoyées en mission de repérage afin de découvrir quel est le caractère du dernier dragon né, mais la rencontre avec ce dernier révèle une chose inattendue... Critique : Toujours dans leur quête de rechercher des alliés pour combattre les Dead Mells, Sasae et sa familia entendent parler de « dragon », des êtres surpuissants qui se seraient réincarner dans ce monde. Hélas ces dragons ne sont pas toujours bienveillants et certains ont même causé de grandes guerres par le passé. Il est temps d’envoyer une équipe de reconnaissance pour savoir ce qu’il en est mais cette mission réserve une surprise de taille. Début d’un nouvel « arc » dans Game of Familia avec un tome qui met en place de nouveaux personnages. Si ce tome de transition n’est pas exceptionnel, il permet de donner un aperçu de la suite, une suite qui risque fort d’entrainer notre Familia dans une situation extrême et un conflit interne. Voilà qui changera un peu des combats habituels et qui permettra de pimenter un peu l’histoire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Confidences nostalgiques tome 1

    Confidences nostalgiques est un recueil de petites histoires autour d’une même thématique : des histoires d’amour perdues. C’est la nostalgie du premier amour, le récit de rencontres, de séparations, l’ambition de la nouveauté et des premiers émois qui donnent des ailes et qui font penser que tout est possible. Des jeunes femmes reviennent sur leur passé et nous dévoilent des amours perdues qu’elles chérissent encore. Il y a les relations qui s’étiolent avec le temps ou avec la distance, celles qui finissent car les amants n’ont pas les mêmes objectifs, celle où parfois l’amitié dérape… Chaque histoire est agréable à lire, différente, belle dans sa narration et son graphisme. Ce sont des pages de vies qui se tournent sans lendemain et qui nous laisse un peu dans le même état : c’était bien tant qu’on était dans l’histoire mais maintenant que le livre est fini, il faut passer à autre chose. Je doute un peu du potentiel de relecture.
  11. Titre de l'album : Confidences nostalgiques tome 1 Scenariste de l'album : Tomata TAGAWA Dessinateur de l'album : Tomata TAGAWA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Une fois arrivés à l’âge adulte, quel regard portons-nous sur nos amours de jeunesse ? Qu’elles aient été tendres ou difficiles, joyeuses ou tristes, enrichissantes ou teintées de regrets, elles finissent inlassablement par se rappeler à notre bon souvenir. Entrez dans l’intimité de jeunes adultes prêts à vous livrer les secrets de leurs relations passées... Critique : Confidences nostalgiques est un recueil de petites histoires autour d’une même thématique : des histoires d’amour perdues. C’est la nostalgie du premier amour, le récit de rencontres, de séparations, l’ambition de la nouveauté et des premiers émois qui donnent des ailes et qui font penser que tout est possible. Des jeunes femmes reviennent sur leur passé et nous dévoilent des amours perdues qu’elles chérissent encore. Il y a les relations qui s’étiolent avec le temps ou avec la distance, celles qui finissent car les amants n’ont pas les mêmes objectifs, celle où parfois l’amitié dérape… Chaque histoire est agréable à lire, différente, belle dans sa narration et son graphisme. Ce sont des pages de vies qui se tournent sans lendemain et qui nous laisse un peu dans le même état : c’était bien tant qu’on était dans l’histoire mais maintenant que le livre est fini, il faut passer à autre chose. Je doute un peu du potentiel de relecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/confidences-nostalgiques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    L'amie de ma fille tome 7 (fin)

    Fin de l'aventure et petite déception me concernant. Le tome précédent avait été super intéressant avec une mise sur le tapis de la question "légal" du rapport possible entre mineure et majeure. J'espérais que ce tome 7 continue dans ce sens , quitte à prendre le risque de nous livrer une fin qui ne nous plaise pas.... Et bien il se trouve qu'en fait notre auteur a choisi de ne pas prendre de risque et c'est ça qui est un peu dommage. La fin est légèrement trop "consensuelle" à mon gout. Attention, elle n'est pas forcément facile. Mais elle aurait pu être encore plus ambitieuse.
  13. Titre de l'album : L'amie de ma fille tome 7 (fin) Scenariste de l'album : Asami Hagiwara Dessinateur de l'album : Asami Hagiwara Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Alors, nous avons volé la lune. Adieu, Kôsuke. Tels furent les derniers mots de Koto Kisaragi avant de partir. Si je pars à sa recherche, je pourrai sauver cette personne chère à mon coeur. Mais si je pars, je blesserai une autre personne chère à mon coeur. Tout n'est pas zéro ou cent. Tout n'est pas noir ou blanc. Dans ce dégradé de nuances allant de la normalité à l'anormalité, comment savoir où placer le curseur ? Critique : Fin de l'aventure et petite déception me concernant. Le tome précédent avait été super intéressant avec une mise sur le tapis de la question "légal" du rapport possible entre mineure et majeure. J'espérais que ce tome 7 continue dans ce sens , quitte à prendre le risque de nous livrer une fin qui ne nous plaise pas.... Et bien il se trouve qu'en fait notre auteur a choisi de ne pas prendre de risque et c'est ça qui est un peu dommage. La fin est légèrement trop "consensuelle" à mon gout. Attention, elle n'est pas forcément facile. Mais elle aurait pu être encore plus ambitieuse. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-amie-de-ma-fille-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Death's game tome 1

    Choi Yijae a raté sa vie, plus jeune il se voyait déjà avec un bon travail, un bon salaire, une copine… la réussite quoi. Or il n’en est rien, à 30 ans passé il est toujours chômeur et sa copine est partie. Lorsqu’il reçoit une réponse négative à son dernier entretien d’embauche, ses derniers espoirs s’envolent… Lui qui n’a pas eu la vie dont il rêvait décide d’y mettre fin en se disant que ça au moins, il le fera comme il l’entend : en se jetant du haut d’un gratte-ciel. Mais la Mort intervient, qu’il meure, soit ! Mais qu’il se moque d’elle en disant qu’elle n’est qu’un vulgaire outil, ce n’est pas tolérable ! Elle décide donc de le punir en lui faisant subir 13 tragiques destins (13 autres morts). En plus d’une punition, c’est aussi un jeu car il va pouvoir intervenir pour changer le cours du destin ; s’il y arrive, il pourra continuer à vivre dans la peau de cette nouvelle personne. Death’s game propose un concept intéressant avec la personnification de La Mort qui est vexée et qui compte bien faire comprendre à Choi Yijae qu’elle n’est pas qu’un moyen pour arriver ailleurs mais qu’elle est une grande figure qui doit être crainte et surtout ne pas être prise à la légère ! Le personnage principal va donc expérimenter toute sorte de situations, certaines inéluctables comme être un passager d’un avion sur le point d’exploser en vol et d’autres où il pourra agir comme lorsqu’il se trouve dans la peau d’un adolescent harcelé. Seulement, ses décisions ont aussi des conséquences, il va devoir apprendre à mieux gérer ses actions. La série est terminée en 66 chapitres, disponibles sur Webtoon sous le titre Mort Imminente. Le webtoon est plutôt plaisant bien qu’on se demande parfois à quoi servent les chapitres très courts. Il y a peut-être un cheminement philosophique visant à nous faire comprendre que la vie est précieuse et que la mort peut surgir à n’importe quel moment…. J’espère avoir la réponse par la suite. En attendant, Death’s game se lit bien il est agréable graphiquement et plutôt intéressant. Vous pouvez vous laisser tenter ! Extrait Pour information, le webtoon a été adapté en drama.
  15. Nickad

    My dear detective tome 1

    Ah, je vais commencer par la partie qui m’a un peu frustrée : l’autrice prend la peine de faire un personnage féminin fort dans un Japon où les femmes ne travaillaient quasiment pas et encore moins dans un domaine policier. On a une femme qui s’est affranchie des préjugés, qui a tenue tête à sa famille pour devenir détective puisqu’entrer dans la police était impossible et on lui affuble un « fils de » touche à touche qui lui permet de résoudre des enquêtes ! Pourquoi ? Certes, notre héroïne, Mitsuko, reste douée, elle est d’ailleurs la meilleure détective de son agence mais on a un peu l’impression qu’elle passe au second plan avec l’arrivée de Saku. Bien sûr le duo fonctionne, cela permet aussi de mettre en avant certaines caractéristiques sociales de l’époque (début du XXe siècle) comme la place de la femme dans la société et à montrer le combat de Mitsuko contre les préjugés. De son côté le personnage de Saku, un jeune qui va aussi à l’encontre de sa famille et qui cherche à découvrir le monde par ses propres moyens (dans la mesure du possible), apporte d’autres visions sur cette société nippone. My dear detective est une histoire à plusieurs niveaux, au travers d’enquêtes policières intéressantes et plutôt bien menées, on découvre aussi un aspect historique et social et surtout on a un duo complice, un peu comme Sherlock Holmes et Watson, qui navigue entre humour et séduction. C’est un début de série prometteur, agréable à lire et à regarder. A suivre.
  16. Titre de l'album : My dear detective tome 1 Scenariste de l'album : ITO Natsumi Dessinateur de l'album : ITO Natsumi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Après Sherlock Holmes et Hercule Poirot, découvrez Mitsuko Hoshino, la première femme détective du Japon ! À la fin des années 20, le Japon est en pleine mutation, mais les femmes ont toujours du mal à se faire une place dans le monde du travail. Mitsuko a malgré tout réussi à trouver un emploi qui lui va comme un gant : c'est la meilleure détective de son agence, à Ginza, en plein cœur de Tokyo ! Adultères, personnes disparues... aucune affaire ne l'effraie. Son intelligence et son instinct sont ses principaux atouts, sans parler de son courage, qui lui permet d'affronter les remarques désobligeantes des tenants d'une société patriarcale. Lors d'une pause bien méritée dans un café, la jeune femme est abordée par un élégant serveur du nom de Saku, qui lui confie une étonnante mission : retrouver la propriétaire d'une chaussure ornée d'un véritable diamant ! Le garçon, autant intrigué par l'affaire que par la détective, l'épaule dans son enquête. Celle-ci mène à un homme qui cache un lourd secret... Et il n'est pas le seul ! En effet, Saku appartient à l'une des plus riches familles de la capitale. Mais, pour lui, assister Mitsuko vaut toutes les expériences du monde ! Le travail ne manque pas pour la première femme détective du Japon ! Sous le glamour du quartier chic de Ginza se cachent drames et surprises... Avec élégance et dynamisme, Natsumi Ito nous embarque dans le quotidien d'un duo à l'énergie contagieuse qui brise les codes de la société ! Critique : Ah, je vais commencer par la partie qui m’a un peu frustrée : l’autrice prend la peine de faire un personnage féminin fort dans un Japon où les femmes ne travaillaient quasiment pas et encore moins dans un domaine policier. On a une femme qui s’est affranchie des préjugés, qui a tenue tête à sa famille pour devenir détective puisqu’entrer dans la police était impossible et on lui affuble un « fils de » touche à touche qui lui permet de résoudre des enquêtes ! Pourquoi ? Certes, notre héroïne, Mitsuko, reste douée, elle est d’ailleurs la meilleure détective de son agence mais on a un peu l’impression qu’elle passe au second plan avec l’arrivée de Saku. Bien sûr le duo fonctionne, cela permet aussi de mettre en avant certaines caractéristiques sociales de l’époque (début du XXe siècle) comme la place de la femme dans la société et à montrer le combat de Mitsuko contre les préjugés. De son côté le personnage de Saku, un jeune qui va aussi à l’encontre de sa famille et qui cherche à découvrir le monde par ses propres moyens (dans la mesure du possible), apporte d’autres visions sur cette société nippone. My dear detective est une histoire à plusieurs niveaux, au travers d’enquêtes policières intéressantes et plutôt bien menées, on découvre aussi un aspect historique et social et surtout on a un duo complice, un peu comme Sherlock Holmes et Watson, qui navigue entre humour et séduction. C’est un début de série prometteur, agréable à lire et à regarder. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-dear-detective-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Le goût des fraises tome 1

    Pendant l’hospitalisation de son grand-père, Sara va le remplacer dans son travail : la récolte des fraises. Elle est aidée par Minori, un homme de 13 ans son ainé. Très vite, chacun est attiré par l’autre mais Minori étant très stoïque, il ne laisse pas transparaitre ses émotions. La communication est d’autant plus compliquée à cause de leurs différences d’page, chacun pense que l’autre n’est pas intéressé. Cette romance est trop mignonne ! Alors on peut aussi y trouver quelques idées plus sérieuses, notamment la lutte contre les préjugés sur la différence d’âge, sur les hommes qui aiment ce qui est sucré… Mais ce n’est clairement pas le propos, non ici, c’est fleurs bleues et étoiles dans les yeux : Une romance tout en douceur pleine de maladresse et de pureté. Ça me fait d’ailleurs un peu penser à The ice guy & the cool girl, des histoires toutes douces pleines de bons sentiments et sans arrière-pensée ! C’est le genre de récit qui se lit tout seul et qui fait sourire, un petit moment de bonheur ! A noter : il y a une planche de stickers à l'intérieur du tome 1 et une opération spéciale en librairie pour avoir un sachet de graines à planter !
  18. Titre de l'album : Le goût des fraises tome 1 Scenariste de l'album : IRONO Dessinateur de l'album : IRONO Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Une comédie romantique qui vous fera rougir comme une fraise?! Sara, une étudiante de 20 ans, remplace temporairement son grand-père dans l'exploitation de fraises familiale, avec l'aide de Minori Sugiura, un producteur de 33 ans. D'abord effrayée par son nouveau collègue, Sara va découvrir une facette inattendue de lui, donnant naissance à des sentiments... De son côté, Minori est sous le charme, mais peine à exprimer ce qu'il ressent pour la jeune femme... Un amour pur qui frappe en plein cœur ! Une comédie romantique innocente malgré l'écart d'âge entre les personnages, et qui a beaucoup fait parler d'elle sur les réseaux Critique : Pendant l’hospitalisation de son grand-père, Sara va le remplacer dans son travail : la récolte des fraises. Elle est aidée par Minori, un homme de 13 ans son ainé. Très vite, chacun est attiré par l’autre mais Minori étant très stoïque, il ne laisse pas transparaitre ses émotions. La communication est d’autant plus compliquée à cause de leurs différences d’page, chacun pense que l’autre n’est pas intéressé. Cette romance est trop mignonne ! Alors on peut aussi y trouver quelques idées plus sérieuses, notamment la lutte contre les préjugés sur la différence d’âge, sur les hommes qui aiment ce qui est sucré… Mais ce n’est clairement pas le propos, non ici, c’est fleurs bleues et étoiles dans les yeux : Une romance tout en douceur pleine de maladresse et de pureté. Ça me fait d’ailleurs un peu penser à The ice guy & the cool girl, des histoires toutes douces pleines de bons sentiments et sans arrière-pensée ! C’est le genre de récit qui se lit tout seul et qui fait sourire, un petit moment de bonheur ! A noter : il y a une planche de stickers à l'intérieur du tome 1 et une opération spéciale en librairie pour avoir un sachet de graines à planter ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-gout-des-fraises-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Genesis tomes 9 et 10

    Comme je n’ai pas trouvé d’anciennes critiques sur ce manga, je me permets de vous faire un court résumé de la série. Résumé : Au cours d’une promenade, un groupe de 7 étudiants en anthropologie découvrent au fond d’une grotte des peintures rupestres non répertoriées mais suite à un éboulement, ils trouvent une autre sortie et se retrouve en pleine préhistoire. Ne sachant pas d’abord où ils sont, ils sont vite obligés de se rendre à l’évidence quand ils voient des mammouths. Mais quand ils se font attaquer par des hommes de Neandertal, la réalité les rattrape, il faut à présent apprendre à survivre : trouver à manger, s’abriter et surtout se défendre. Si pour la majorité d’entre eux, il est difficile d’accepter les faits et encore plus difficile de s’acclimater à ce nouvel environnement ; Taiga, un garçon un peu timoré, va vite trouver sa place. C’est grâce à lui et son nouveau courage que la petite troupe va aller cohabiter avec les homo-sapiens et afin d’améliorer leur quotidien et se faire accepter, ils se servent de leurs connaissances et modifient quelque peu l’ordre des choses. Seulement, d’autres événements leurs font penser que l’histoire a déjà déviée : les néandertaliens qui auraient dû disparaitre au profit des homo-sapiens se sont organiser en armée et comptent exterminer tous les autres peuples, les colorés et les sang-mêlé comme ils disent. Forcément, l’introduction de nouveaux procédés (apprivoiser un loup, inventer la roue, faire un four et construire des armes en métal…) changent le passé. Un personnage se permet d’ailleurs de faire la morale aux autres en leur rappelant que changer le passé changera forcément leur futur et qu’ils ne pourront peut-être pas rentrer chez eux. A part lui, les autres ont pleinement conscience que rentrer n’est plus une option, ils sont là pour une bonne raison et cette raison arrive justement au tome 9 : bien avant eux, un groupe de militaires nazis s’étaient déjà égarés à la préhistoire et l’un d’entre eux a suggéré de mener à bien leur mission : appliquer l’idéologie nazi « imposer au monde un peuple et une nation uniques ». Mon avis : Si le retour dans le temps n’est pas forcément une nouveauté dans les récits, cette incursion en préhistoire est particulièrement bien faite. Nous n’avons pas des personnages qui vont réussir facilement, ils vont apprendre, douloureusement parfois, à vivre dans un milieu primitif. Il y a d’un côté l’apprentissage de la vie à cette époque avec de nombreux détails et de l’autre côté, les conséquences de leur présence sur leur environnement avec la question obligatoire : a-t-on le droit de changer le passé ? Il y a donc une partie historique et culturelle mais en plus des réflexions psychologiques comme le fait d’être obligé de tuer quand on vient d’une époque où c’est considéré comme un meurtre… Je reste sceptique sur l’arrivée des nazis. N’importe quel autre groupe perdu dans la partie néandertalienne aurait eu le même effet ou presque : afin d’éviter la fin de leur peuple, ils auraient quand même dû migrer vers le sud pour éviter l’extinction due à la période glaciaire et donc affronter les autres peuples en place. Je ne suis pas sûre que le fait qu’il s’agisse de nazis apporte une plus-value à l’histoire, la suite répondra peut-être à cette question. Malgré son graphisme particulier qui souffre parfois de disproportions dans l’anatomie des personnages, Genesis est une série très intéressante et assez prenante, une fois lancé dans la lecture, il est difficile de s’arrêter. Je luis met une note globale de 4.5/5 avec cependant une baisse sur ces deux derniers tomes avec ce léger changement d’orientation qui fait que nous ne sommes plus uniquement dans un récit de survie.
  20. Titre de l'album : Genesis tomes 9 et 10 Scenariste de l'album : MORI Kouji Dessinateur de l'album : MORI Kouji Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Alors qu'ils se promènent dans la campagne australienne, Taiga et ses amis découvrent une grotte où sont peintes des fresques rupestres très anciennes. La joie de cette découverte est de courte durée car un tremblement de terre les enferme dans la grotte. Trouvant néanmoins une sortie, les jeunes gens découvrent qu’ils ont été transportés en pleine Préhistoire, à l'époque de l'affrontement entre hommes de Neandertal et Homo sapiens. Mammouths, crocodiles géants, meutes de loups géants... Chaque mammifère est une menace pour leur survie. Pourront-ils dépasser leurs habitudes et retrouver l'instinct animal qui leur permettra de vivre ? Critique : Comme je n’ai pas trouvé d’anciennes critiques sur ce manga, je me permets de vous faire un court résumé de la série. Résumé : Au cours d’une promenade, un groupe de 7 étudiants en anthropologie découvrent au fond d’une grotte des peintures rupestres non répertoriées mais suite à un éboulement, ils trouvent une autre sortie et se retrouve en pleine préhistoire. Ne sachant pas d’abord où ils sont, ils sont vite obligés de se rendre à l’évidence quand ils voient des mammouths. Mais quand ils se font attaquer par des hommes de Neandertal, la réalité les rattrape, il faut à présent apprendre à survivre : trouver à manger, s’abriter et surtout se défendre. Si pour la majorité d’entre eux, il est difficile d’accepter les faits et encore plus difficile de s’acclimater à ce nouvel environnement ; Taiga, un garçon un peu timoré, va vite trouver sa place. C’est grâce à lui et son nouveau courage que la petite troupe va aller cohabiter avec les homo-sapiens et afin d’améliorer leur quotidien et se faire accepter, ils se servent de leurs connaissances et modifient quelque peu l’ordre des choses. Seulement, d’autres événements leurs font penser que l’histoire a déjà déviée : les néandertaliens qui auraient dû disparaitre au profit des homo-sapiens se sont organiser en armée et comptent exterminer tous les autres peuples, les colorés et les sang-mêlé comme ils disent. Forcément, l’introduction de nouveaux procédés (apprivoiser un loup, inventer la roue, faire un four et construire des armes en métal…) changent le passé. Un personnage se permet d’ailleurs de faire la morale aux autres en leur rappelant que changer le passé changera forcément leur futur et qu’ils ne pourront peut-être pas rentrer chez eux. A part lui, les autres ont pleinement conscience que rentrer n’est plus une option, ils sont là pour une bonne raison et cette raison arrive justement au tome 9 : bien avant eux, un groupe de militaires nazis s’étaient déjà égarés à la préhistoire et l’un d’entre eux a suggéré de mener à bien leur mission : appliquer l’idéologie nazi « imposer au monde un peuple et une nation uniques ». Mon avis : Si le retour dans le temps n’est pas forcément une nouveauté dans les récits, cette incursion en préhistoire est particulièrement bien faite. Nous n’avons pas des personnages qui vont réussir facilement, ils vont apprendre, douloureusement parfois, à vivre dans un milieu primitif. Il y a d’un côté l’apprentissage de la vie à cette époque avec de nombreux détails et de l’autre côté, les conséquences de leur présence sur leur environnement avec la question obligatoire : a-t-on le droit de changer le passé ? Il y a donc une partie historique et culturelle mais en plus des réflexions psychologiques comme le fait d’être obligé de tuer quand on vient d’une époque où c’est considéré comme un meurtre… Je reste sceptique sur l’arrivée des nazis. N’importe quel autre groupe perdu dans la partie néandertalienne aurait eu le même effet ou presque : afin d’éviter la fin de leur peuple, ils auraient quand même dû migrer vers le sud pour éviter l’extinction due à la période glaciaire et donc affronter les autres peuples en place. Je ne suis pas sûre que le fait qu’il s’agisse de nazis apporte une plus-value à l’histoire, la suite répondra peut-être à cette question. Malgré son graphisme particulier qui souffre parfois de disproportions dans l’anatomie des personnages, Genesis est une série très intéressante et assez prenante, une fois lancé dans la lecture, il est difficile de s’arrêter. Je luis met une note globale de 4.5/5 avec cependant une baisse sur ces deux derniers tomes avec ce léger changement d’orientation qui fait que nous ne sommes plus uniquement dans un récit de survie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/genesis-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Pumpkin night tomes 2 et 3

    C’est gore, répugnant, horrible, écœurant et encore gore. Bref un vrai « délice » pour les yeux ! Mieux vaut avoir le cœur bien accroché quand vous lisez cette série. Si le second tome est dans la lignée du 1er, où il y a une surenchère de moments dégoutants, on est surpris dans ce 3e tome d’y trouver autre chose qu’une vulgaire vengeance. Oui, il y a de la dénonciation et cela ne se limite pas qu’au harcèlement scolaire ! On y parle de corruption et surtout d’un manque absolu de morale. Quand Kazuya demande les raisons d’un tel harcèlement et qu’on lui répond « y’a pas besoin de raison pour harceler quelqu’un ! On le fait parce que c’est marrant c’est tout ! » on sent que l’auteur souhaite marquer les esprits et c’est surtout la fin du tome 3 qui nous laisse penser que le manga porte peut-être un message. Il reste néanmoins, comme je l’avais souligné dans la chronique du 1er tome, un gros problème de réalisme. Autant les histoires de harcèlement et corruption sont plausibles, autant il y a des éléments complétement improbables qui ont tendance à nous sortir du récit (comme le fait par exemple que l’on laisse des scalpels et une multitude de seringues à la portée d’un malade dans une chambre d’hôpital…). Je comprends que l’objectif du manga soit de marquer les esprits mais je ne suis pas sûre que cela serve vraiment le propos si réellement il y a une volonté de faire passer un message. Quoi qu’il en soit, le livre est A RESERVER A UN PUBLIC ADULTE !
  22. Titre de l'album : Pumpkin night tomes 2 et 3 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima - Gussan Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kazuya finit par apprendre la vérité au sujet de l'incident qui a défiguré Naoko lors d'une nuit d'Halloween. Mais maintenant que la lumière est faite sur les raisons qui poussent la jeune fille à se venger, Kazuya et elle sont confrontés à une force contre laquelle même la police ne peut lutter...Au moment où Naoko passe de prédatrice à proie, elle reconnaît être l'invincible Pumpkin Night, qui apparaît au cœur de la nuit noire. Tandis qu'Halloween approche, une nouvelle menace s'avance dans les ténèbres...Un récit sanguinaire pour les amateurs de slasher movie, à ne pas mettre entre toutes les mains ! Critique : C’est gore, répugnant, horrible, écœurant et encore gore. Bref un vrai « délice » pour les yeux ! Mieux vaut avoir le cœur bien accroché quand vous lisez cette série. Si le second tome est dans la lignée du 1er, où il y a une surenchère de moments dégoutants, on est surpris dans ce 3e tome d’y trouver autre chose qu’une vulgaire vengeance. Oui, il y a de la dénonciation et cela ne se limite pas qu’au harcèlement scolaire ! On y parle de corruption et surtout d’un manque absolu de morale. Quand Kazuya demande les raisons d’un tel harcèlement et qu’on lui répond « y’a pas besoin de raison pour harceler quelqu’un ! On le fait parce que c’est marrant c’est tout ! » on sent que l’auteur souhaite marquer les esprits et c’est surtout la fin du tome 3 qui nous laisse penser que le manga porte peut-être un message. Il reste néanmoins, comme je l’avais souligné dans la chronique du 1er tome, un gros problème de réalisme. Autant les histoires de harcèlement et corruption sont plausibles, autant il y a des éléments complétement improbables qui ont tendance à nous sortir du récit (comme le fait par exemple que l’on laisse des scalpels et une multitude de seringues à la portée d’un malade dans une chambre d’hôpital…). Je comprends que l’objectif du manga soit de marquer les esprits mais je ne suis pas sûre que cela serve vraiment le propos si réellement il y a une volonté de faire passer un message. Quoi qu’il en soit, le livre est A RESERVER A UN PUBLIC ADULTE ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours.
  24. Titre de l'album : La sainte déchue et son fervent protecteur tome 1 Scenariste de l'album : HINOKAGE Sora Dessinateur de l'album : AKEKO Suzu , CHUM Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Bannie, mais désormais libre ? Fréméa commence une nouvelle vie aux côtés de son fidèle chevalier ! Fréméa est la sainte du royaume de Justitia. Ce n'est qu'une fois tous les cent ans que l'une d'entre elles voit le jour. En tant qu'élue de ce centenaire, elle n'a que très peu de liberté, et en compagnie de son fidèle chevalier, Roland, elle guérit le peuple de tous les maux qui l'accablent. Un jour, une rumeur circule selon laquelle Fréméa est une usurpatrice. Elle se retrouve alors bannie du royaume. Cependant une nouvelle vie pleine de liberté s'offre désormais à elle, aux côtés de son fervent protecteur Roland, qui est le seul à croire en la jeune femme. Une histoire douce et paisible d'une sainte en exil et de son chevalier protecteur ! Critique : Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-sainte-dechue-et-son-fervent-protecteur-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Le palais des assassins tome 1

    Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait
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