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  1. Titre de l'album : Pumpkin Night tome 1 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Ce soir, Asumi Nakatani a gagné une nouvelle followeuse sur les réseaux sociaux : la mystérieuse Pumpkin Night. Peu de temps après, elle reçoit une menace de mort... avant d'être sauvagement assassinée, le soir même, par une jeune fille avec une citrouille en guise de masque. Kazuya, à l'autre bout du fil, reçoit lui aussi un avertissement. Ses amis et lui seront les suivants ! Serait-ce une simple coïncidence ? Une fois qu'elle vous a pris pour cible, impossible d'échapper à Pumpkin Night... Rien ni personne ne pourra l'empêcher d'assouvir sa soif de vengeance !Un récit sanguinaire pour les amateurs de slasher movie, à ne pas mettre entre toutes les mains ! Critique : Cette nouvelle série Mangetsu ne vous laissera pas de marbre. Ou vous aimerez ou vous détesterez, c’est le genre de série qui ne fait pas consensus. Pourquoi ? Car elle tranche dans le vif, ne fait pas dans la demi-mesure et vous prend aux tripes dès la 1ère page ! Un massacre sanglant dès le début, des cranes fracassés, des viscères éparpillés… de quoi vous soulevez le cœur ! Car Pumpkin night est le surnom d’une jeune fille étrange cachée sous un masque de citrouille, une jeune fille internée suite aux maltraitances du harcèlement scolaire, une jeune fille qui veut se venger et qui se moque d’entrainer des innocents dans sa quête. Est-ce qu’elle était déjà dérangée préalablement ? C’est une possibilité qui n’est pas avérée dans ce 1er tome (la série est en cours avec 7 tomes sortis au Japon). Ce qui est sûr, c’est qu’elle souhaite s’amuser en se vengeant, faire des vues sur youtube au passage en faisant du grand spectacle. Il y a cependant un point qui me dérange légèrement : la plausibilité des situations. Autant dans un manga comme Denjin N, la mise en scène des meurtres était acceptable car on était dès le début dans un genre fantastique. Ici, les capacités physiques de Pumpkin Night et la force qu’elle met pour passer au travers des os me semble improbable. On n’est pas dans un contexte « possible » de vengeance comme on l’était dans Revenge classroom. Le manga est profondément violent, choquant et parfois écœurant mais dans le genre horrifique, il fait son travail et le fait bien. Le graphisme est parfaitement adapté et nous glace d’effroi. Un bon manga d’horreur pour ceux qui aime avoir peur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Pumpkin Night tome 1

    Cette nouvelle série Mangetsu ne vous laissera pas de marbre. Ou vous aimerez ou vous détesterez, c’est le genre de série qui ne fait pas consensus. Pourquoi ? Car elle tranche dans le vif, ne fait pas dans la demi-mesure et vous prend aux tripes dès la 1ère page ! Un massacre sanglant dès le début, des cranes fracassés, des viscères éparpillés… de quoi vous soulevez le cœur ! Car Pumpkin night est le surnom d’une jeune fille étrange cachée sous un masque de citrouille, une jeune fille internée suite aux maltraitances du harcèlement scolaire, une jeune fille qui veut se venger et qui se moque d’entrainer des innocents dans sa quête. Est-ce qu’elle était déjà dérangée préalablement ? C’est une possibilité qui n’est pas avérée dans ce 1er tome (la série est en cours avec 7 tomes sortis au Japon). Ce qui est sûr, c’est qu’elle souhaite s’amuser en se vengeant, faire des vues sur youtube au passage en faisant du grand spectacle. Il y a cependant un point qui me dérange légèrement : la plausibilité des situations. Autant dans un manga comme Denjin N, la mise en scène des meurtres était acceptable car on était dès le début dans un genre fantastique. Ici, les capacités physiques de Pumpkin Night et la force qu’elle met pour passer au travers des os me semble improbable. On n’est pas dans un contexte « possible » de vengeance comme on l’était dans Revenge classroom. Le manga est profondément violent, choquant et parfois écœurant mais dans le genre horrifique, il fait son travail et le fait bien. Le graphisme est parfaitement adapté et nous glace d’effroi. Un bon manga d’horreur pour ceux qui aime avoir peur.
  3. Titre de l'album : Kaiju Defense Force tome 1 Scenariste de l'album : INOUE Junya / SHIRATO Seiichi Dessinateur de l'album : INOUE Junya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n'est que le prologue de calamités à venir. Quelque temps plus tard, à bord du paquebot de luxe Fugaku, se trouve Konoé Sakimori, militaire fraîchement diplômée de l'Académie de défense nationale. Quand un kaijû attaque le navire, une lutte sans merci débute pour les Forces japonaises d'autodéfense qui tentent de repousser ces monstres redoutables. Dans leurs rangs, la jeune Konoé pourrait bien devenir l'héroïne dont le monde a besoin pour sortir de ce cauchemar.. Critique : Un effondrement dans la fosse des Mariannes a entrainé un grand tsunami mais ce n’est pas la seule conséquence : un monstre géant aux allures de grosse coquille St Jacques semble être remonté des profondeurs. Est-ce à cause d’un réveil brutal ou de sa nature profonde, il semble bien décidé à détruire tout sur son passage et surtout à débarrasser la mer des bateaux qui la peuplent. Ce premier tome introduit la série, on a une grosse mise en place des personnages, on ne sait d’ailleurs pas vraiment qui prendra la tête des opérations à part la demoiselle sur la couverture bien entendu. Même Yoshikazu que l’on voit pendant les 55 premières pages disparait mystérieusement, réapparaitra-t-il subitement pour aller à la chasse au monstre ? La suite nous le dira. En attendant, ce kaiju est belliqueux et on sent que l’histoire peut virer au manga catastrophique horrifique, il ne faut peut-être pas se fier à sa classification en shonen. Le titre voit le retour de Junya Inoue connu en France pour ses titres Otogi Matsuri (devenu introuvable) et Btooom qui faisait déjà la polémique entre shonen et seinen. Son graphisme est toujours aussi impeccable que ce soit dans les décors, les expressions des personnages mais aussi dans la conception des scènes d’action. L’édition quant à elle est de qualité avec une belle mise en avant du titre. Kaiju defense force semble être un titre prometteur que l’on suivra avec plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-defense-force-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Kaiju Defense Force tome 1

    Un effondrement dans la fosse des Mariannes a entrainé un grand tsunami mais ce n’est pas la seule conséquence : un monstre géant aux allures de grosse coquille St Jacques semble être remonté des profondeurs. Est-ce à cause d’un réveil brutal ou de sa nature profonde, il semble bien décidé à détruire tout sur son passage et surtout à débarrasser la mer des bateaux qui la peuplent. Ce premier tome introduit la série, on a une grosse mise en place des personnages, on ne sait d’ailleurs pas vraiment qui prendra la tête des opérations à part la demoiselle sur la couverture bien entendu. Même Yoshikazu que l’on voit pendant les 55 premières pages disparait mystérieusement, réapparaitra-t-il subitement pour aller à la chasse au monstre ? La suite nous le dira. En attendant, ce kaiju est belliqueux et on sent que l’histoire peut virer au manga catastrophique horrifique, il ne faut peut-être pas se fier à sa classification en shonen. Le titre voit le retour de Junya Inoue connu en France pour ses titres Otogi Matsuri (devenu introuvable) et Btooom qui faisait déjà la polémique entre shonen et seinen. Son graphisme est toujours aussi impeccable que ce soit dans les décors, les expressions des personnages mais aussi dans la conception des scènes d’action. L’édition quant à elle est de qualité avec une belle mise en avant du titre. Kaiju defense force semble être un titre prometteur que l’on suivra avec plaisir.
  5. Titre de l'album : Mes cent contes mortels tome 1 Scenariste de l'album : MATONO Anji Dessinateur de l'album : MATONO Anji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Convoquant les plus grands maîtres du genre, Anji Matono livre une anthologie d'horreur particulièrement efficace. Sans plus attendre, laissez-vous contaminer par les ambiances uniques qui suintent à travers les pages de ce manga... La légende urbaine raconte que si vous lisez les Cent contes jusqu'au dernier, un esprit vengeur viendra s'abattre sur vous. Aussi, quand Yuma, garçon aux pulsions suicidaires, apprend l'existence de cette tradition, il décide de se plonger chaque soir dans un de ces terribles récits... Mais quelles sont ses véritables intentions ? Que vit-il dans son foyer pour avoir de telles envies ? Et surtout, survivra-t-il à cette expérience morbide ? Critique : Qui dit Halloween, dit manga d’horreur !! Pour l’occasion les éditions Akata ont sorti mes cent contes mortels : l’histoire de Yûma, un jeune garçon qui raconte de courts contes horrifiques dans l’espoir de voir apparaître un fantôme au 100e. Pourquoi ? Parce que Yûma a des envies suicidaires et il espère bien que ce fantôme vengeur lui apporte la solution à ses problèmes. Chaque chapitre est construit de la même façon, on voit Yûma dans sa chambre, devant son bureau en train de raconter une histoire. C’est peut-être au travers de réseaux sociaux, on n’en sait rien. On ne sait pas non plus pourquoi il est autant attiré par la mort. Il intervient au début et à la fin de chaque conte et il y a 10 contes dans ce 1er tome, donc si vous savez comptez, il y aura au moins 10 tomes. Concernant le contenu : comme chaque conte est assez court (15 pages environ), il faut qu’il aille à l’essentiel, les contes sont inégaux, certains nous entrainent vraiment dans l’horreur et le dégoût comme « livraison effectuée » et d’autres tiennent plus du fantastique que de l’horreur comme « l’au-delà ». Si les histoires ne sont pas déplaisantes, enfin façon de parler parce qu’on est quand même dans le terrifiant, je crains que l’accumulation des cent contes ne fassent trop, il y a un risque de lassitude. Quant aux interventions de Yûma, elles sont sans doute nécessaires pour que l’on comprenne sa situation et cela aura une importance à la fin, mais c’est tellement lent que c’est ennuyeux. Un manga en demi-teinte. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cents-contes-mortels-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Mes cent contes mortels tome 1

    Qui dit Halloween, dit manga d’horreur !! Pour l’occasion les éditions Akata ont sorti mes cent contes mortels : l’histoire de Yûma, un jeune garçon qui raconte de courts contes horrifiques dans l’espoir de voir apparaître un fantôme au 100e. Pourquoi ? Parce que Yûma a des envies suicidaires et il espère bien que ce fantôme vengeur lui apporte la solution à ses problèmes. Chaque chapitre est construit de la même façon, on voit Yûma dans sa chambre, devant son bureau en train de raconter une histoire. C’est peut-être au travers de réseaux sociaux, on n’en sait rien. On ne sait pas non plus pourquoi il est autant attiré par la mort. Il intervient au début et à la fin de chaque conte et il y a 10 contes dans ce 1er tome, donc si vous savez comptez, il y aura au moins 10 tomes. Concernant le contenu : comme chaque conte est assez court (15 pages environ), il faut qu’il aille à l’essentiel, les contes sont inégaux, certains nous entrainent vraiment dans l’horreur et le dégoût comme « livraison effectuée » et d’autres tiennent plus du fantastique que de l’horreur comme « l’au-delà ». Si les histoires ne sont pas déplaisantes, enfin façon de parler parce qu’on est quand même dans le terrifiant, je crains que l’accumulation des cent contes ne fassent trop, il y a un risque de lassitude. Quant aux interventions de Yûma, elles sont sans doute nécessaires pour que l’on comprenne sa situation et cela aura une importance à la fin, mais c’est tellement lent que c’est ennuyeux. Un manga en demi-teinte. Extrait
  7. Titre de l'album : Soloist in a cage tome 3 (fin) Scenariste de l'album : MORIYA Shiro Dessinateur de l'album : MORIYA Shiro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Quitter la pire des prisons pour mieux y revenir ! Pour mettre leur plan à exécution, Léo et ses amis décident de récupérer de l'ultrium sur les yes-man démolis par les sbires du Saint-Père, malgré l'interdiction formelle de pénétrer sur leur terrain de jeu... Manque de chance, les enfants en mission tombent sur l'inquisiteur Hunger, dont l'odorat est aussi fin que celui d'un limier ! Chloé détruit les ampoules du hangar afin de leur permettre de fuir, avant d'engager le combat : son adversaire est redoutable, mais elle a plus d'un atout dans sa manche pour le vaincre, grâce aux techniques enseignées par son père adoptif. Hélas, ce meurtre est loin de passer inaperçu, et l'inquisiteur Delta est chargé de mener l'enquête... Plongez une dernière fois dans ce huis clos angoissant et bouleversant, où la mort rôde à chaque coin de rue, afin de suivre les pas d'une grande sœur au courage sans égal et prête à tout pour sauver son frère?! Critique : Voici venue la fin de la série, et quelle fin ! Une fin intelligente et réussie qui ne surprend pas forcément par le contenu car toutes les pièces étaient déjà en place mais qui est résolument bien faite avec un dernier combat magistral graphiquement de toute beauté. Chaque groupe se méfiait des autres et quand vient le moment de s’échapper de la prison, c’est forcément la ruse et/ou la force qui l’emporte. Mais au milieu de ce chaos, des alliances inattendues peuvent se forger même si elles ne sont que temporaires. Chloé finira-t-elle par avouer à Léo qu’il est son frère ? Se laissera-telle sombrer dans les abimes de sa culpabilité ? Soloist in a cage laissera son empreinte dans l’univers du manga, d’abord parce que c’est une série courte avec un scénario original et bien orchestré, ensuite parce que la patte graphique de Shiro Moriya est fabuleuse et nous laisse en admiration. Même si on aurait aimé de temps en temps un peu plus de développement sur certains personnages ou sur le fonctionnement même de la cité-prison, l’histoire principale (celle de Chloé) est bien menée et cohérente. Un livre à avoir dans sa mangathèque ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soloist-in-a-cage-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Soloist in a cage tome 3 (fin)

    Voici venue la fin de la série, et quelle fin ! Une fin intelligente et réussie qui ne surprend pas forcément par le contenu car toutes les pièces étaient déjà en place mais qui est résolument bien faite avec un dernier combat magistral graphiquement de toute beauté. Chaque groupe se méfiait des autres et quand vient le moment de s’échapper de la prison, c’est forcément la ruse et/ou la force qui l’emporte. Mais au milieu de ce chaos, des alliances inattendues peuvent se forger même si elles ne sont que temporaires. Chloé finira-t-elle par avouer à Léo qu’il est son frère ? Se laissera-telle sombrer dans les abimes de sa culpabilité ? Soloist in a cage laissera son empreinte dans l’univers du manga, d’abord parce que c’est une série courte avec un scénario original et bien orchestré, ensuite parce que la patte graphique de Shiro Moriya est fabuleuse et nous laisse en admiration. Même si on aurait aimé de temps en temps un peu plus de développement sur certains personnages ou sur le fonctionnement même de la cité-prison, l’histoire principale (celle de Chloé) est bien menée et cohérente. Un livre à avoir dans sa mangathèque !
  9. Titre de l'album : Mon fils semble avoir été réincarné dans un autre monde tome 2 Scenariste de l'album : KANEMOTO Dessinateur de l'album : SHIBATA Hikari Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Dis-moi comment faire pour retrouver mon fils, maintenant qu'il est parti dans un autre monde... Lorsque Mio insiste pour dire que son fils pourtant décédé se trouve dans un autre monde, son mari et ses amis ne savent pas comment réagir. La jeune femme se débat dans une réalité pleine de souffrance. Comment Dobara peut-il la soutenir, alors qu'il ignore totalement ce qu'on peut ressentir lorsqu'on perd l'enfant qu'on adorait ? Une aventure humaine drôle et touchante d'une mère déterminée, qui refuse de faire le deuil de son fils disparu. Série terminée en 5 tomes. Critique : Voilà un second tome que j’attendais avec impatience. Le premier m’avait fortement marqué (en bien) avec sa lecture à plusieurs niveaux, ce déni du drame et l’espoir insensé qui permet de continuer à vivre. Ma fibre maternelle avait été mise à rude épreuve. Ce deuxième tome continue sur la même lancée, tandis que Mio et Dobara continuent leurs recherches sur les isekais en répertoriant les différentes façons possibles pour se réincarner, on découvre les conséquences sur l’entourage du défunt. Il y a le père qui ne semble avoir aucune empathie pour sa femme, il ne cherche ni à la soutenir ni à la comprendre et continue sa vie comme si de rien n’était. Mais peut-être que ce ne sont que des apparences et que sa souffrance s’exprime différemment. Cet aspect sera probablement abordé dans le prochain tome vu la fin de celui-ci. Et puis il y a les amis de Mio qui semblent être très présents mais dans la limite de leur réalité. Ils portent le deuil à leur façon mais on ne sait pas vraiment s’ils éprouvent de l’empathie vu qu’aucun n’a écouté Mio sérieusement. Au fur et à mesure, ce sont tous les aspects du deuil que l’on voit, les différentes façons dont il peut être vécu selon l’entourage plus ou moins proche. Mais c’est aussi l’attitude que l’on peut avoir par rapport à une famille endeuillée et comment on peut l’accompagner. Toujours mené avec une certaine légèreté pour ne pas être trop plombant, le manga laisse sa marque et donne à réfléchir. On aurait presque envie que le fantastique prenne le dessus et que Mio puisse rejoindre son fils dans un autre monde, la suite nous le dira. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-fils-semble-avoir-t-reincarn-dans-un-autre-monde-t02?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Voilà un second tome que j’attendais avec impatience. Le premier m’avait fortement marqué (en bien) avec sa lecture à plusieurs niveaux, ce déni du drame et l’espoir insensé qui permet de continuer à vivre. Ma fibre maternelle avait été mise à rude épreuve. Ce deuxième tome continue sur la même lancée, tandis que Mio et Dobara continuent leurs recherches sur les isekais en répertoriant les différentes façons possibles pour se réincarner, on découvre les conséquences sur l’entourage du défunt. Il y a le père qui ne semble avoir aucune empathie pour sa femme, il ne cherche ni à la soutenir ni à la comprendre et continue sa vie comme si de rien n’était. Mais peut-être que ce ne sont que des apparences et que sa souffrance s’exprime différemment. Cet aspect sera probablement abordé dans le prochain tome vu la fin de celui-ci. Et puis il y a les amis de Mio qui semblent être très présents mais dans la limite de leur réalité. Ils portent le deuil à leur façon mais on ne sait pas vraiment s’ils éprouvent de l’empathie vu qu’aucun n’a écouté Mio sérieusement. Au fur et à mesure, ce sont tous les aspects du deuil que l’on voit, les différentes façons dont il peut être vécu selon l’entourage plus ou moins proche. Mais c’est aussi l’attitude que l’on peut avoir par rapport à une famille endeuillée et comment on peut l’accompagner. Toujours mené avec une certaine légèreté pour ne pas être trop plombant, le manga laisse sa marque et donne à réfléchir. On aurait presque envie que le fantastique prenne le dessus et que Mio puisse rejoindre son fils dans un autre monde, la suite nous le dira.
  11. Nickad

    Harasaki tome 1

    Titre de l'album : Harasaki tome 1 Scenariste de l'album : NOSHIRO Ryo Dessinateur de l'album : SAKURA Shino Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Elle voulait se reposer quelques jours à la campagne, elle va plutôt vivre un enfer... Quelques jours avant sa cérémonie de mariage, Hinata décide de rentrer dans son village natal. Mais elle perd mystérieusement connaissance dans le train. Quand elle se réveille, elle est seule et tout semble avoir changé. Des flash l'assaillent, elle tombe sur un cadavre et d'étranges ombres semblent l'épier. La lugubre légende d'Harasaki était-elle donc véridique ? Hinata doit absolument se sortir de ce cauchemar... Critique : Hinata va se marier, pour l’occasion elle retourne dans son village natal où elle doit rejoindre son fiancé. Dans le train elle rencontre Sayako, une ancienne camarade d’école mais elle n’ose pas lui avouer qu’elle a perdu la mémoire et qu’elle ne se souvient ni d’elle ni des années passées au village. C’est là qu’un incident se produit et Hinata se retrouve dans sa ville, déserte, où d’étranges phénomènes prennent place : des ombres menaçantes d’un côté et des flashs de souvenirs. Harasaki est l’histoire d’une légende urbaine qui prend vie : une légende qui isole et tue ceux qui ont quelques choses à se reprocher à la nuit tombée. Pour Hinata c’est d’autant plus compliqué qu’elle a perdu la mémoire. Cette expérience va la confronter de façon brutale au passé et aux fautes qu’elle a peut-être commises. Adapté d’un roman à succès (Harasaki a obtenu le 24e prix du roman d’épouvante) le manga est intéressant mais aurait pu être beaucoup mieux ! D’abord, on nous annonce clairement la légende urbaine dès le début, on sait donc que les deux filles ne se retrouvent pas dans ce contexte par hasard, il y a un manque de surprise. Ensuite, l’ambiance est censée être glaçante et prendre au tripes mais il n’en est rien. Si le roman a eu le meilleur prix « Epouvante », cet aspect ne se fait pas ressentir à la lecture du manga, cela vient probablement du graphisme un peu trop soigné et rond, un peu trop « propre ». Même si l’histoire est définitivement intrigante, il manque clairement la touche horrifique pour nous plonger dans l’ambiance. Fin au prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harasaki-tome-1-vf?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Harasaki tome 1

    Hinata va se marier, pour l’occasion elle retourne dans son village natal où elle doit rejoindre son fiancé. Dans le train elle rencontre Sayako, une ancienne camarade d’école mais elle n’ose pas lui avouer qu’elle a perdu la mémoire et qu’elle ne se souvient ni d’elle ni des années passées au village. C’est là qu’un incident se produit et Hinata se retrouve dans sa ville, déserte, où d’étranges phénomènes prennent place : des ombres menaçantes d’un côté et des flashs de souvenirs. Harasaki est l’histoire d’une légende urbaine qui prend vie : une légende qui isole et tue ceux qui ont quelques choses à se reprocher à la nuit tombée. Pour Hinata c’est d’autant plus compliqué qu’elle a perdu la mémoire. Cette expérience va la confronter de façon brutale au passé et aux fautes qu’elle a peut-être commises. Adapté d’un roman à succès (Harasaki a obtenu le 24e prix du roman d’épouvante) le manga est intéressant mais aurait pu être beaucoup mieux ! D’abord, on nous annonce clairement la légende urbaine dès le début, on sait donc que les deux filles ne se retrouvent pas dans ce contexte par hasard, il y a un manque de surprise. Ensuite, l’ambiance est censée être glaçante et prendre au tripes mais il n’en est rien. Si le roman a eu le meilleur prix « Epouvante », cet aspect ne se fait pas ressentir à la lecture du manga, cela vient probablement du graphisme un peu trop soigné et rond, un peu trop « propre ». Même si l’histoire est définitivement intrigante, il manque clairement la touche horrifique pour nous plonger dans l’ambiance. Fin au prochain tome.
  13. Titre de l'album : Mon père est la reine de Vtubeuses tomes 1 à 3 (fin) Scenariste de l'album : AKASHINGO Wataru Dessinateur de l'album : AKASHINGO Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Nazca Editions Note : Résumé de l'album : Notre première oeuvre japonaise est courte et loufoque ! En seulement 3 tomes, l'auteur nous transporte dans une aventure délirante où notre protagoniste va passer de situations ridicules à des secrets absurdes... Un manga dans la grande lignée des Backstreet girls et autres... Critique : Pour ceux qui l’ignore un Vtubeur ou une Vtubeuse est une personne qui fait des vidéos au travers d’un avatar. Impossible de savoir qui se cache derrière : homme, femme, jeune, vieux… chacun peut prendre l’apparence de celui qu’il veut ! Takashi est un lycéen ordinaire, il regarde des vidéos et il est fan de la Vtubeuse à succès Yai Kizuke, on pourrait même dire qu’il a le béguin pour elle. Alors quand il découvre qu’en réalité Yai Kizuke est son père, c’est un peu la descente en enfer !! En plus sa mère est aussi une Vtubeuse, absolument pas populaire et jalouse de Yai !! Sa mère lui demande de l’aider à gagner des abonnés, il va donc chercher conseil auprès de son père, la n°1 des vtubeuses. Ce dernier se fourvoie sur les intentions de son fils et lui crée un avatar pensant qu’il veut se lancer dans la vidéo. Chaque membre de la famille a maintenant une double identité et Takashi est le seul à être au courant ! Cette petite série (finie en 3 tomes) est une excellente surprise !! C’est drôle avec une petite touche déjantée bien dosée afin que l’humour ne soit pas lourd. Pour le côté sérieux, l’histoire fait découvrir le monde des Vtubeurs mais ceci est accessoire car la véritable ambition de ce manga est de nous faire passer un bon moment et c’est réussi ! Alors n’hésitez pas à venir vous divertir avec cette famille hors du commun. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-pere-est-la-reine-des-vtubeuses-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Pour ceux qui l’ignore un Vtubeur ou une Vtubeuse est une personne qui fait des vidéos au travers d’un avatar. Impossible de savoir qui se cache derrière : homme, femme, jeune, vieux… chacun peut prendre l’apparence de celui qu’il veut ! Takashi est un lycéen ordinaire, il regarde des vidéos et il est fan de la Vtubeuse à succès Yai Kizuke, on pourrait même dire qu’il a le béguin pour elle. Alors quand il découvre qu’en réalité Yai Kizuke est son père, c’est un peu la descente en enfer !! En plus sa mère est aussi une Vtubeuse, absolument pas populaire et jalouse de Yai !! Sa mère lui demande de l’aider à gagner des abonnés, il va donc chercher conseil auprès de son père, la n°1 des vtubeuses. Ce dernier se fourvoie sur les intentions de son fils et lui crée un avatar pensant qu’il veut se lancer dans la vidéo. Chaque membre de la famille a maintenant une double identité et Takashi est le seul à être au courant ! Cette petite série (finie en 3 tomes) est une excellente surprise !! C’est drôle avec une petite touche déjantée bien dosée afin que l’humour ne soit pas lourd. Pour le côté sérieux, l’histoire fait découvrir le monde des Vtubeurs mais ceci est accessoire car la véritable ambition de ce manga est de nous faire passer un bon moment et c’est réussi ! Alors n’hésitez pas à venir vous divertir avec cette famille hors du commun.
  15. Titre de l'album : Les noces de Lala tome 1 Scenariste de l'album : TAMEKOU Dessinateur de l'album : TAMEKOU Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Lala est fiancée à un riche marchand du nom de Uruji. Cependant, Lala est déjà amoureuse d'un autre homme. Son frère lui a alors proposé de prendre sa place lors de la cérémonie de mariage le temps qu'elle puisse fuir avec son bien-aimé. Mais ce plan va-t-il tenir jusqu'au bout ? Critique : Lala et Ramdane sont frère et sœur, ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Alors, quand Lala décide de s’enfuir avec son amoureux alors que ces noces approchent, Ramdane se fait passer pour elle. Il se marie donc avec Wolsey pensant pouvoir le duper mais ce dernier agit étrangement comme s’il savait tout. Sur le moment le résumé m’a fait penser à Kiss me princess et puis le manga a su trouver sa place. En premier, il y a un charme graphique : un trait fin, un souci des détails et un travail des costumes. Ensuite, il y a la force de caractère des personnages, que ce soit Ramdane ou Wolsey, chacun est prêt à tout affronter pour atteindre leur objectif et protéger ceux qu’ils aiment. C’est étrangement captivant et je ne parle pas des scènes érotiques, le manga est d‘ailleurs réservé à un public averti ! Attention également, certains propos pourraient choquer, il faut bien replacer l’histoire dans le contexte. L’amour de Wolsey est magnifique et semble être capable de déplacer des montagnes et puis, il y a Ramdane qui va faire face à une réalité douloureuse. Le tout sait capter notre attention et nous donne envie d’en savoir plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/noces-lala-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Les noces de Lala tome 1

    Lala et Ramdane sont frère et sœur, ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Alors, quand Lala décide de s’enfuir avec son amoureux alors que ces noces approchent, Ramdane se fait passer pour elle. Il se marie donc avec Wolsey pensant pouvoir le duper mais ce dernier agit étrangement comme s’il savait tout. Sur le moment le résumé m’a fait penser à Kiss me princess et puis le manga a su trouver sa place. En premier, il y a un charme graphique : un trait fin, un souci des détails et un travail des costumes. Ensuite, il y a la force de caractère des personnages, que ce soit Ramdane ou Wolsey, chacun est prêt à tout affronter pour atteindre leur objectif et protéger ceux qu’ils aiment. C’est étrangement captivant et je ne parle pas des scènes érotiques, le manga est d‘ailleurs réservé à un public averti ! Attention également, certains propos pourraient choquer, il faut bien replacer l’histoire dans le contexte. L’amour de Wolsey est magnifique et semble être capable de déplacer des montagnes et puis, il y a Ramdane qui va faire face à une réalité douloureuse. Le tout sait capter notre attention et nous donne envie d’en savoir plus.
  17. Titre de l'album : Gannibal tome 13 (Fin) Scenariste de l'album : Masaaki Ninomiya Dessinateur de l'album : Masaaki Ninomiya Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ils ont vaincu la malédiction. Dieu est mort, et avec lui l'ordre qui tenait ce monde. La haine des villageois envers les Gotô explose, non sans une lueur d'espoir... Qu'auront accompli Agawa le policier et Keisuke le chef du clan ? Et que verront-ils au bout du tunnel ? Critique : C'est la fin... oui oui c'est la fin.... ou bien... Non malheureusement c'est bien la fin, mais une fin telle qu'elle devrait être. Sans trop en dire, attendez-vous à une fin impressionnante et parfaitement en accord avec les 12 premiers tomes. On pourrait peut-être reprocher des dessins un peu moins clair que dans certains tomes, surtout au début, mais ce n'est absolument pas grave tellement cette histoire a été impressionnante du début à la fin. Cette fin montre surtout une maitrise du récit impressionnante sur 13 tomes, ou même les petites phrases s'en trouve avoir une réelle importance. Mon manga horrifique de référence et je pense qu'il sera difficile de le déloger...; m'en vais relire tout depuis le début tient ! A noter qu'il existe une version Collector de ce treizième et dernier tome de Gannibal pour 12.95 contre 6.95 pour le manga seul : Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Gannibal tome 13 (Fin)

    C'est la fin... oui oui c'est la fin.... ou bien... Non malheureusement c'est bien la fin, mais une fin telle qu'elle devrait être. Sans trop en dire, attendez-vous à une fin impressionnante et parfaitement en accord avec les 12 premiers tomes. On pourrait peut-être reprocher des dessins un peu moins clair que dans certains tomes, surtout au début, mais ce n'est absolument pas grave tellement cette histoire a été impressionnante du début à la fin. Cette fin montre surtout une maitrise du récit impressionnante sur 13 tomes, ou même les petites phrases s'en trouve avoir une réelle importance. Mon manga horrifique de référence et je pense qu'il sera difficile de le déloger...; m'en vais relire tout depuis le début tient ! A noter qu'il existe une version Collector de ce treizième et dernier tome de Gannibal pour 12.95 contre 6.95 pour le manga seul :
  19. Titre de l'album : Trap hole tome 2 Scenariste de l'album : Yōko Nemu Dessinateur de l'album : Yōko Nemu Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Peu de temps avant leur mariage, Haruko apprend que son futur mari veut rompre leurs fiançailles. Elle dit adieu à sa vie stable et toute tracée qui lui tendait les bras... Ne souhaitant pas rester dans la même entreprise que son ex, elle plaque tout pour partir à Tokyo retrouver un ancien camarade de lycée. Critique : Après un premier tome ou notre héroïne n'en finissait plus de tomber, j'attendais de voir si elle réussirait à en sortir dans le tome 2... ou 3. Et bien si la trame globale ne fait pas forcément dans l'originalité pour les grandes lignes, les petites se sont révélées, elles, très étonnantes. Pour sa remontée de pente, notre petite Haruko se retrouve à ... avoir la possibilité de changer de vie. Le feriez-vous ? Est ce bien la solution ou juste le début d'une fuite en avant ? Voilà les questions que pose ce tome deux. Et voila ce qui rend ce manga interessant. Non pas la chute, mais le chemin que va prendre Haruko pour remonter. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Trap hole tome 2

    Après un premier tome ou notre héroïne n'en finissait plus de tomber, j'attendais de voir si elle réussirait à en sortir dans le tome 2... ou 3. Et bien si la trame globale ne fait pas forcément dans l'originalité pour les grandes lignes, les petites se sont révélées, elles, très étonnantes. Pour sa remontée de pente, notre petite Haruko se retrouve à ... avoir la possibilité de changer de vie. Le feriez-vous ? Est ce bien la solution ou juste le début d'une fuite en avant ? Voilà les questions que pose ce tome deux. Et voila ce qui rend ce manga interessant. Non pas la chute, mais le chemin que va prendre Haruko pour remonter.
  21. Nickad

    Monstrophobie

    Titre de l'album : Monstrophobie Scenariste de l'album : MINAMOTO Kazuki Dessinateur de l'album : MINAMOTO Kazuki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : À force de se détester, il s'est transformé en monstre... Avec Monstrophobie, découvrez le talent de Kazuki Minamoto ! Entre homophobie et harcèlement, confiance en soi et amour, les thématiques qu'il aborde dans ce récit sont aussi nombreuses qu'importantes. Parce qu'il a le teint plus foncé que la plupart des Japonais, Arashiro est harcelé au lycée. Dans l'enfer quotidien qu'il vit, son seul soutien est M. Kuroda, un professeur qui l'encourage. Mais un jour, l'adolescent entend son enseignant dire à une collègue que les gays le dégoûtent. Profondément choqué, car étant lui-même homosexuel, le lycéen ne sait plus comment se comporter. Désespéré, il tente de mettre fin à ses jours, mais un étrange phénomène se produit : il se change en monstre ! Dès lors, il se sent invincible, prêt à rendre la pareille à tous ceux qui l'ont blessé et à dénoncer l'hypocrisie des adultes. Cependant, une question subsiste : pourra-t-il redevenir humain ? Et de toute façon, le souhaite-t-il vraiment ? Critique : Sans lire le résumé, il faut avouer que la couverture peut facilement nous mener vers un autre sujet. Non il ne s’agit pas d’un manga fantastique où des monstres débarquent dans un lycée ! Ici, il s’agit plutôt de la personnification des sentiments : le personnage devient extérieurement comme il se sent à l’intérieur. Parce qu’il a la peau plus foncée que les autres, Arashiro est harcelé mais c’est quand la personne en qui il a le plus confiance rejette ce qu’il est au fond de lui que le garçon touche le fond et se transforme en monstre. Et c’est là, tout le génie de l’auteur, il arrive à faire un rendu visible et explicite du mal-être d’Arashiro. Le monstre fait peur et on peut le trouver dégoutant et repoussant mais personne ne trouve ça étrange car c’est un monstre. Pourtant quand l’être humain se comporte de la même façon envers quelqu’un de différent, il ne se rend pas forcément compte qu’il le traite de la même façon. Mais le manga ne s’arrête pas là car si le cas concret de cette histoire est l’homophobie, on parle d’acceptation de l’autre dans un sens plus large. « Etre accepté comme on est » est un combat difficile à mener surtout quand il s’agit de personnes proches ou de sa famille mais peut-être que le plus dur, devant ces remarques incessantes, est de s’accepter soi-même. Kazuki MINAMOTO est devenu un auteur phare du manga LGBTQIA+, le livre est en plus conseillé par Gengoroh TAGAME, le maitre du manga gay viril loin du yaoi pour adolescente. Ces deux auteurs sont gay et parlent par expérience. On ressent tout le poids des mots et la profondeur des sentiments. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monstrophobie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Monstrophobie

    Sans lire le résumé, il faut avouer que la couverture peut facilement nous mener vers un autre sujet. Non il ne s’agit pas d’un manga fantastique où des monstres débarquent dans un lycée ! Ici, il s’agit plutôt de la personnification des sentiments : le personnage devient extérieurement comme il se sent à l’intérieur. Parce qu’il a la peau plus foncée que les autres, Arashiro est harcelé mais c’est quand la personne en qui il a le plus confiance rejette ce qu’il est au fond de lui que le garçon touche le fond et se transforme en monstre. Et c’est là, tout le génie de l’auteur, il arrive à faire un rendu visible et explicite du mal-être d’Arashiro. Le monstre fait peur et on peut le trouver dégoutant et repoussant mais personne ne trouve ça étrange car c’est un monstre. Pourtant quand l’être humain se comporte de la même façon envers quelqu’un de différent, il ne se rend pas forcément compte qu’il le traite de la même façon. Mais le manga ne s’arrête pas là car si le cas concret de cette histoire est l’homophobie, on parle d’acceptation de l’autre dans un sens plus large. « Etre accepté comme on est » est un combat difficile à mener surtout quand il s’agit de personnes proches ou de sa famille mais peut-être que le plus dur, devant ces remarques incessantes, est de s’accepter soi-même. Kazuki MINAMOTO est devenu un auteur phare du manga LGBTQIA+, le livre est en plus conseillé par Gengoroh TAGAME, le maitre du manga gay viril loin du yaoi pour adolescente. Ces deux auteurs sont gay et parlent par expérience. On ressent tout le poids des mots et la profondeur des sentiments. A lire.
  23. Titre de l'album : Partners 2.0 tome 2 Scenariste de l'album : SOURYU Dessinateur de l'album : SOURYU Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : L'amour leur a joué des tours, ils inventent une nouvelle classe d'amitié Nous sommes des amilis ! Faire ce qu'on veut, quand on veut, avec qui on veut. Ce n'est pas pour juste une nuit, ni vraiment sérieux, ni une simple relation physique. C'est une relation sereine, décomplexée, et d'autant plus sexy. Après avoir passé leur première nuit ensemble, une dure journée de labeur les attend, avec pour chacun un collègue qui s'intéresse à eux. Voici le deuxième tome du quotidien tranquille de deux Critique : Muratang & Eguchi commence à se voir régulièrement, sans contrainte et sans prise de tête. Non seulement ils assouvissent leurs envies sexuelles mais surtout ils peuvent enfin être eux-mêmes. Finies les contraintes, fini de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas ! Finis les interrogatoires et les remarques ! Bien qu’il n’y ait aucun événement exceptionnel ni personnages hors du commun, cette série est attrayante. J’aime la façon dont les personnages se parlent sans détour, dont il évoque leur sexualité sans que cette dernière soit forcément originale. On est juste dans la réalité, la vie de tous les jours avec des adultes qui cherchent à trouver ce qui leur convient le mieux sans se voiler la face. Pour une fois, la sexualité est abordée simplement, ni comme une leçon ni comme une discussion coquine ; ce n’est ni trop cru ni obscène. Partners 2.0 est un manga « tranche de vie » efficace qui gagne à être connu. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/partners-2-0-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Partners 2.0 tome 2

    Muratang & Eguchi commence à se voir régulièrement, sans contrainte et sans prise de tête. Non seulement ils assouvissent leurs envies sexuelles mais surtout ils peuvent enfin être eux-mêmes. Finies les contraintes, fini de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas ! Finis les interrogatoires et les remarques ! Bien qu’il n’y ait aucun événement exceptionnel ni personnages hors du commun, cette série est attrayante. J’aime la façon dont les personnages se parlent sans détour, dont il évoque leur sexualité sans que cette dernière soit forcément originale. On est juste dans la réalité, la vie de tous les jours avec des adultes qui cherchent à trouver ce qui leur convient le mieux sans se voiler la face. Pour une fois, la sexualité est abordée simplement, ni comme une leçon ni comme une discussion coquine ; ce n’est ni trop cru ni obscène. Partners 2.0 est un manga « tranche de vie » efficace qui gagne à être connu.
  25. Nickad

    Crazy food truck tome 2

    Le voyage continue pour notre duo : l’ancien général Gordon spécialiste en gastronomie et Alisa, la jeune fille ignorante du monde, douée au combat et surtout à l’estomac sans fin. S’ils poursuivent leur trajet sans se soucier des autres et au gré de leurs envies, il n’en est pas de même pour le lieutenant Kyle qui veut récupérer Alisa. Cette dernière pourrait bien être une arme humaine. Crazy food truck est un road trip qui ne se prend pas au sérieux. Il y a bien quelques mystères comme l’identité d’Alisa ou le secret de la principauté de Towata mais ce n’est pas le sujet principal. Non, vous avez ici deux personnes qui font ce qu’elles veulent tout en mettant le boxon où elles passent et sans se soucier du lendemain. On se laisse entrainer facilement dans l’histoire et on apprécie les trouvailles de ce monde post-apocalyptique désertique. Un manga idéal pour se détendre.
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