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  1. Nickad

    Blitz tome 9

    Titre de l'album : Blitz tome 9 Scenariste de l'album : BISCAY Cédric Dessinateur de l'album : NISHIHARA Daitaro Coloriste : Editeur de l'album : IWA Editions Note : Résumé de l'album : Enchaînant les contre-performances, Tom est en plein doute. Voyant que son ami ne va pas bien, Motoki l'invite chez lui, à Hiroshima. Tom lui parle alors de Caïssa, qui le perturbe et semble même le bloquer lorsqu'il joue. Ils se rendent au club de Motoki où ils rencontrent le Champion des États-Unis Simon Bull surnommé " Mad Dog ", qui finit, après quelques tractations, par lui révéler la technique V-ZON. Tom met immédiatement en pratique les recommandations de Simon, qui s'avèrent payantes. Les qualifications pour le Monaco Chess grand Prix commencent. Tous nos amis se sont inscrits. Les premiers résultats tombent... ?Contre toute attente Motoki, qui avait décidé de passer les qualifications via internet, se voit mis en difficulté par un adversaire inattendu. Qui parmi les membres de l'équipe de l'ISS arrivera à se qualifier pour le prestigieux Monaco Chess Grand Prix ? Critique : Toute l’équipe est partie s’entrainer en vue des qualifications pour le Monaco Chess Grand Prix. Tom de son côté a rejoint son ami Motoki avec qui il apprend de nouvelles techniques de concentration, notamment la V-ZON. Les voilà fin prêts pour les sélections et pour mettre toutes les chances de leur côté, ils décident de passer ses qualifications dans des pays différents vu qu’un seul homme et une seule femme de chaque pays auront la chance d’aller à Monaco. Blitz repart de plus belle pour une deuxième phase : le grand tournoi de Monaco. On apprécie toujours la partie imagée des tournois et comme cette fois, les tournois mettent en concurrence des joueurs du monde entier, le graphisme s’éloigne des combats asiatiques et proposent d’autres univers tout aussi réussis : un combat dans le désert ou un combat « à la mousquetaire », très drôle au demeurant. Cédric Biscay réussit un joli équilibre entre narration et jeu et heureusement car le manga reste lisible pour des personnes non joueuses. Chacun peut y trouver un intérêt, que ce soit dans l’aventure et la progression de nos personnages, que ce soit dans le déroulement des parties (n’oublions pas qu’il y a toujours l’œil expert de Garry Gasparov) ou même dans des techniques d’apprentissage autour de la concentration, de l’instinct… Blitz a encore de beaux jours devant lui et promet un grand tournoi des plus enrichissant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blitz-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Blooming girls tomes 1 et 2

    Cinq lycéennes font partie du club de littérature, elles lisent des livres à voix haute et partagent leurs opinions. Mais quand elles tombent sur des passages un peu érotiques, elles commencent à se poser des questions sur la sexualité. Le monde qui les entoure n’a plus la même couleur et elles voient bien que le temps a passé et qu’elles ont grandi. Chacune des jeunes filles, à sa façon, va faire un pas vers le monde adulte. Cinq filles, cinq approches. Il y a celle qui veut devenir écrivain et qui peine à mettre en mot sur des sensations qu’elle ne connaît pas, celle qui découvre que son ami d’enfance a changé et qui refuse de grandir, celle, coincée qui trouve tous les autres pervers… Le sujet est traité doucement en suivant le fil de l’eau, ce sont les premiers émois, la naïveté, l’éveil des sens et la confrontation à un monde qui change. Il y a beaucoup de finesse tant par la narration que par le trait délicat de Nao Emoto que l’on avait découvert dans Josée, le tigre et les poissons. Pour information, le 1er tirage de chaque tome proposera deux jaquettes différentes (pour le même prix). On se laisse emporté facilement par ces jeunes filles en fleurs dans une histoire sans préjugés racontée avec beaucoup de fraicheur.
  3. Titre de l'album : Blooming girls tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : OKADA Mari Dessinateur de l'album : EMOTO Nao Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Kazusa fait partie du club de littérature de son lycée. Un jour, l'une des membres annonce qu'elle voudrait faire l'amour avant de mourir. Cet aveu marque le début d'une période agitée pour les cinq jeunes filles qui vont finir par aborder un sujet tabou jusque-là : le sexe. Chacune d'entre elles va vivre sa première histoire d'amour. Et si aucune de nous ne franchissait le pas ? Et si on mourait sans avoir vécu « ça » ? Critique : Cinq lycéennes font partie du club de littérature, elles lisent des livres à voix haute et partagent leurs opinions. Mais quand elles tombent sur des passages un peu érotiques, elles commencent à se poser des questions sur la sexualité. Le monde qui les entoure n’a plus la même couleur et elles voient bien que le temps a passé et qu’elles ont grandi. Chacune des jeunes filles, à sa façon, va faire un pas vers le monde adulte. Cinq filles, cinq approches. Il y a celle qui veut devenir écrivain et qui peine à mettre en mot sur des sensations qu’elle ne connaît pas, celle qui découvre que son ami d’enfance a changé et qui refuse de grandir, celle, coincée qui trouve tous les autres pervers… Le sujet est traité doucement en suivant le fil de l’eau, ce sont les premiers émois, la naïveté, l’éveil des sens et la confrontation à un monde qui change. Il y a beaucoup de finesse tant par la narration que par le trait délicat de Nao Emoto que l’on avait découvert dans Josée, le tigre et les poissons. Pour information, le 1er tirage de chaque tome proposera deux jaquettes différentes (pour le même prix). On se laisse emporté facilement par ces jeunes filles en fleurs dans une histoire sans préjugés racontée avec beaucoup de fraicheur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blooming-girls-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Kaiju 8 t8

    Ca y est. Kaiju 8 rentre dans le rang et se met sur les bases de ce qui rend le manga insupportable pour beaucoup : une pompe à fric. Après 6 tomes à 200 à l'heure, accrochant de lecteur par un rythme effréné, le tome 7 ralentissait déjà beaucoup, cherchant un second souffle à une histoire partie trop vite. Ce tome 8 est ce qui, pour moi, caractérise le plus le problème de l'industrie du manga actuelle : Une bonne idée puis derrière, un studio prêt à faire du volume et à faire de l'agent. Pour bien se rendre compte de cela, il faut savoir que ce Kaiju 8 a été lu en 12 minutes, et ce, par chacun des trois membres de ma famille qui suit la série. 12 minutes. Pour 7 euro... et pour qu'il ne se passe absolument rien. Mais voilà. Maintenant, on espère que cela revienne comme au début donc on achètera encore les suivants... jusqu'à un certain point cependant. Messieurs les japonais, il faudrait voir à mettre plus d'agent dans le scenario que dans la communication démentielle qui va avec cette série… Franchement quand je vois la qualité de scenario des parutions manga plus anciennes, ça me désole…
  5. poseidon2

    Kaiju 8 t8

    Titre de l'album : Kaiju 8 t8 Scenariste de l'album : Naoya Matsumoto Dessinateur de l'album : Naoya Matsumoto Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Après l'entraînement spécifique qu'il a suivi, voici venue l'heure pour Reno de prouver qu'il est véritablement apte à utiliser un modèle numéroté sur le terrain ! De son côté, Iharu bouillonne face à la progression fulgurante de son camarade mais un événement imprévu qui survient en plein combat va produire un déclic... Critique : Ca y est. Kaiju 8 rentre dans le rang et se met sur les bases de ce qui rend le manga insupportable pour beaucoup : une pompe à fric. Après 6 tomes à 200 à l'heure, accrochant de lecteur par un rythme effréné, le tome 7 ralentissait déjà beaucoup, cherchant un second souffle à une histoire partie trop vite. Ce tome 8 est ce qui, pour moi, caractérise le plus le problème de l'industrie du manga actuelle : Une bonne idée puis derrière, un studio prêt à faire du volume et à faire de l'agent. Pour bien se rendre compte de cela, il faut savoir que ce Kaiju 8 a été lu en 12 minutes, et ce, par chacun des trois membres de ma famille qui suit la série. 12 minutes. Pour 7 euro... et pour qu'il ne se passe absolument rien. Mais voilà. Maintenant, on espère que cela revienne comme au début donc on achètera encore les suivants... jusqu'à un certain point cependant. Messieurs les japonais, il faudrait voir à mettre plus d'agent dans le scenario que dans la communication démentielle qui va avec cette série… Franchement quand je vois la qualité de scenario des parutions manga plus anciennes, ça me désole… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-n-8-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Tesla Note T5

    Elle revient !! bon ok on s’en doutait un peu, mais cela fait quand même bien plaisir car c'est super bien pensé. En effet, la motivation ne suffit pas. Nos auteurs nous racontent l’histoire de la famille de Botan et nous révèlent un secret qui change tout. Mais ce tome 5 est plus que cela parce qu'il voit aussi notre équipe repartir à la recherche des morceaux de cristaux de Tesla, mais surtout, il voit les choses bouger aussi en interne à la CIA et à la petite maison. En ensemble toujours cohérent et un traitement de toutes les parties prenantes vraiment rafraichissant, ouvrant énormément de porte sur le devenir de la série.
  7. poseidon2

    Tesla Note T5

    Titre de l'album : Tesla Note T5 Scenariste de l'album : Tadayoshi Kubo Dessinateur de l'album : Masafumi Nishida / Kota Sannomiya Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Botan, qui avait décidé d'arrêter de participer à la mission T, traverse une phase difficile. Cependant, nos protagonistes vont retrouver le journal de sa mère, racontant son passé, la naissance de notre héroïne ninja et son état d'esprit avant de mourir. Le grand-père de Botan lui révèle également la véritable identité de son père... Ces informations vont être déterminantes et encourager notre héroïne à réintégrer l'équipe pour mener à bien leur mission. De son côté, le FBI pourrait bien héberger un traître en son sein... Critique : Elle revient !! bon ok on s’en doutait un peu, mais cela fait quand même bien plaisir car c'est super bien pensé. En effet, la motivation ne suffit pas. Nos auteurs nous racontent l’histoire de la famille de Botan et nous révèlent un secret qui change tout. Mais ce tome 5 est plus que cela parce qu'il voit aussi notre équipe repartir à la recherche des morceaux de cristaux de Tesla, mais surtout, il voit les choses bouger aussi en interne à la CIA et à la petite maison. En ensemble toujours cohérent et un traitement de toutes les parties prenantes vraiment rafraichissant, ouvrant énormément de porte sur le devenir de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tesla-note-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Rem, une jeune fille mi-humaine mi-chat et Shera une jeune elfe font un rituel d’invocation en même temps, c’est Diablo un roi démon de niveau 150 qui apparaît. Les deux filles se disputent pour savoir qui sera son maître mais Diablo possède de nombreuses compétences dont un sort qui renvoie les maléfices. Rem et Shera se retrouvent toutes les deux à porter un collier d’invocation qui les oblige à obéir aux ordres de Diablo. Mais Diablo n’est pas seulement un roi-démon, il est surtout un joueur de jeu vidéo, otaku et totalement ignorant avec les femmes, qui se retrouve coincé dans le corps de son avatar. Ne sachant pas comment se comporter avec les gens, il n’arrive à s’exprimer qu’en incarnant son personnage, un roi-démon hautain et assez froid. Le manga est arrivé en France via son anime en 2018 (2 saisons disponibles). Dans ce genre de cas, on est parfois un peu déçu de découvrir le manga mais dans le cas de How not to summon a demon lord, il n’y a pas de dissonance entre le manga et l’anime ; ils sont cohérents et tout autant agréables l’un que l’autre. Le côté isekai est bien présent car il y a toujours un décalage entre les actions de Diablo et ce qu’il pense vraiment. Lui qui ne côtoyait jamais personne, perd ses moyens devant les femmes et a tendance à laisser vagabonder son imagination car il a lu trop de mangas… Tous les trois vont partir à l’aventure pour régler les problèmes des deux filles. On se retrouve donc dans un manga d’heroic fantasy avec ses quêtes, ses non-humains plus ou moins classiques, ses monstres, de la magie et des méchants. Bourré de notes humoristiques, le manga joue également sur le fan-service avec des situations ecchi (à connotations sexuelles). Il y a de l’érotisme dans l’air, si on ne franchit jamais la ligne, il y a quand même une volonté sensuelle marquée. Le manga reste efficace surtout grâce à ses personnages sympathiques et une ambiance bon-enfant. Une bonne distraction. Extrait
  9. Titre de l'album : How not to summon a demon lord tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : MURASAKI Yukiya Dessinateur de l'album : FUKUDA Naoto / TSURUSAKI Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Il incarnait un roi démon dans son jeu... avant d'être soudainement invoqué dans un autre monde ! Dans le MMORPG Cross Rêverie, Takuma Sakamoto était un joueur si doué qu'on le surnommait le roi démon . Un beau jour, il se réveille dans un lieu qui ressemble à son jeu et se retrouve face à deux filles qui se disputent pour savoir laquelle l'a invoqué. Takuma réalise alors qu'il a été projeté dans un autre monde et qu'il a pris l'apparence de son personnage ! Complètement asocial, il galère à se faire passer pour un roi démon pour s'en sortir ! Critique : Rem, une jeune fille mi-humaine mi-chat et Shera une jeune elfe font un rituel d’invocation en même temps, c’est Diablo un roi démon de niveau 150 qui apparaît. Les deux filles se disputent pour savoir qui sera son maître mais Diablo possède de nombreuses compétences dont un sort qui renvoie les maléfices. Rem et Shera se retrouvent toutes les deux à porter un collier d’invocation qui les oblige à obéir aux ordres de Diablo. Mais Diablo n’est pas seulement un roi-démon, il est surtout un joueur de jeu vidéo, otaku et totalement ignorant avec les femmes, qui se retrouve coincé dans le corps de son avatar. Ne sachant pas comment se comporter avec les gens, il n’arrive à s’exprimer qu’en incarnant son personnage, un roi-démon hautain et assez froid. Le manga est arrivé en France via son anime en 2018 (2 saisons disponibles). Dans ce genre de cas, on est parfois un peu déçu de découvrir le manga mais dans le cas de How not to summon a demon lord, il n’y a pas de dissonance entre le manga et l’anime ; ils sont cohérents et tout autant agréables l’un que l’autre. Le côté isekai est bien présent car il y a toujours un décalage entre les actions de Diablo et ce qu’il pense vraiment. Lui qui ne côtoyait jamais personne, perd ses moyens devant les femmes et a tendance à laisser vagabonder son imagination car il a lu trop de mangas… Tous les trois vont partir à l’aventure pour régler les problèmes des deux filles. On se retrouve donc dans un manga d’heroic fantasy avec ses quêtes, ses non-humains plus ou moins classiques, ses monstres, de la magie et des méchants. Bourré de notes humoristiques, le manga joue également sur le fan-service avec des situations ecchi (à connotations sexuelles). Il y a de l’érotisme dans l’air, si on ne franchit jamais la ligne, il y a quand même une volonté sensuelle marquée. Le manga reste efficace surtout grâce à ses personnages sympathiques et une ambiance bon-enfant. Une bonne distraction. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-not-to-summon-a-demon-lord-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Togen Anki t8

    Fin du combat entre Mudano et Tsukuyomi. Voilà. Fin de la critique… Bon ok je devrais ajouter que cette fin de combat est juste passionnante. Mudano est plus puissant que l’on ne pouvait le penser avant ce combat. Après il serait dommage de trop en dire tellement ce combat occupe la quasi-totalité du tome. La seule chose intéressante ajoutée est l’évolution de notre héros en fin de tome avec le début de son combat contre son ami Momotaro. Deux combats qui vont surement finir notre arc en cours dans le prochain tome avec après, et on peut m’espérer, une pause dans l’action pour remettre un peu d’ordre dans une histoire ou l’overdose d’action commence à nous perdre.
  11. poseidon2

    Togen Anki t8

    Titre de l'album : Togen Anki t8 Scenariste de l'album : Yura Urushibara Dessinateur de l'album : Yura Urushibara Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Une légende raconte qu'un enfant extrêmement fort serait né d'une pêche et baptisé Momotarô. Lorsqu'il devint assez grand et puissant, ce valeureux guerrier aurait chassé les Oni qui pillaient les villages. Ce héros n'est pas une légende... Tout comme les Oni... Leurs descendants sont encore parmi nous et la bataille opposant le clan Momotarô au clan des Oni fait rage ! Mudano est entravé par une technique de Tsukuyomi, le commandant Momotarô qui utilise les cartes de tarot pour se battre ! L'arrondissement de Nerima à Tokyo devient le théâtre de terribles affrontements entre Oni et Momotarô !! Critique : Fin du combat entre Mudano et Tsukuyomi. Voilà. Fin de la critique… Bon ok je devrais ajouter que cette fin de combat est juste passionnante. Mudano est plus puissant que l’on ne pouvait le penser avant ce combat. Après il serait dommage de trop en dire tellement ce combat occupe la quasi-totalité du tome. La seule chose intéressante ajoutée est l’évolution de notre héros en fin de tome avec le début de son combat contre son ami Momotaro. Deux combats qui vont surement finir notre arc en cours dans le prochain tome avec après, et on peut m’espérer, une pause dans l’action pour remettre un peu d’ordre dans une histoire ou l’overdose d’action commence à nous perdre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/togen-anki-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Ash s’est retrouvé seul dans la forêt qui est très dangereuse, après plusieurs jours les villageois pensent qu’il n’y a plus d’espoir. C’est là qu’Ash revient, heureusement pour lui, il a rencontré Ban en cours de route, le chasseur du village. Avec lui, il découvre d’autres plantes et crée un remède à base d’aloe vera. Voilà un nouveau moyen de récolter de l’argent pour le village ce qui va leur permettre de développer une ferme apicole. Mais la vie reste quand même très dure et les gens peuvent mourir rapidement, d’un rhume ou d’une fracture parfois. Ash doit à tout prix trouver d’autre remèdes surtout avec l’approche de l’hiver. Pour rappel Ash est né avec des souvenirs de sa vie antérieure, une vie qui avait sans doute eu lieu de nombreux siècles avant, dans le même monde. Il n’en a que des images confuses et pas de connaissances précises. S’il sait vers quoi il avance, il n’a pas la science infuse et doit travailler et expérimenter pour avancer. C’est donc le point positif de l’histoire, Ash progresse avec les moyens du bord, pas à pas, avec l’aide des gens qui l’entoure. Mais à ce rythme-là, le manga risque de durer longtemps…. Enfin à condition qu’il ne soit pas abandonné entre temps ! Car s’il se lit facilement et qu’il est plutôt agréable, il lui manque la petite étincelle qui pousserait le lecteur à se ruer dessus lors de sa parution. Il n’en reste pas moins un shonen assez classique bien fait qui a les moyens de décoller.
  13. Titre de l'album : Ash, le bâtisseur de civilisation tomes 2 & 3 Scenariste de l'album : AMAKAWA Mizuumi Dessinateur de l'album : KUROKI Yoruno / OKUMA Mai Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Pour retrouver la culture perdue de l'ancienne civilisation, le jeune Ash fait renaître les techniques apicoles d'antan. Néanmoins, les souvenirs douloureux de la mort de son ami refont surface à l'approche de l'hiver. Il se met alors en tête de créer un remède pour éviter que d'autres ne meurent d'un simple "rhume". Peu après, son amie Maika tombe malade et perd connaissance. Le médicament qu'a développé Ash possède des effets indésirables et nocifs et le jeune garçon va alors devoir prendre une décision importante. Critique : Ash s’est retrouvé seul dans la forêt qui est très dangereuse, après plusieurs jours les villageois pensent qu’il n’y a plus d’espoir. C’est là qu’Ash revient, heureusement pour lui, il a rencontré Ban en cours de route, le chasseur du village. Avec lui, il découvre d’autres plantes et crée un remède à base d’aloe vera. Voilà un nouveau moyen de récolter de l’argent pour le village ce qui va leur permettre de développer une ferme apicole. Mais la vie reste quand même très dure et les gens peuvent mourir rapidement, d’un rhume ou d’une fracture parfois. Ash doit à tout prix trouver d’autre remèdes surtout avec l’approche de l’hiver. Pour rappel Ash est né avec des souvenirs de sa vie antérieure, une vie qui avait sans doute eu lieu de nombreux siècles avant, dans le même monde. Il n’en a que des images confuses et pas de connaissances précises. S’il sait vers quoi il avance, il n’a pas la science infuse et doit travailler et expérimenter pour avancer. C’est donc le point positif de l’histoire, Ash progresse avec les moyens du bord, pas à pas, avec l’aide des gens qui l’entoure. Mais à ce rythme-là, le manga risque de durer longtemps…. Enfin à condition qu’il ne soit pas abandonné entre temps ! Car s’il se lit facilement et qu’il est plutôt agréable, il lui manque la petite étincelle qui pousserait le lecteur à se ruer dessus lors de sa parution. Il n’en reste pas moins un shonen assez classique bien fait qui a les moyens de décoller. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ash-le-batisseur-de-civilisation-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    GRAY tome 1

    GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes
  15. Nickad

    GRAY tome 1

    Titre de l'album : GRAY tome 1 Scenariste de l'album : WOOLLEE Dessinateur de l'album : WOOLLEE Coloriste : Editeur de l'album : KOYOHAN Note : Résumé de l'album : Lee Seolwon a toujours rêvé d'être un super-héros, au point qu'il fi nit par se faire fabriquer un véritable costume ! Mais un problème se pose alors, comment devenir un super-héros sans super-vilain ? Une seule solution : en créer un soi-même. Dis-nous, Gray, que se passerait-il si ton secret était dévoilé ? Critique : GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gray-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours
  17. Titre de l'album : Mecha-mages d'esclave à héros tome 1 Scenariste de l'album : RYOMA Dessinateur de l'album : CAMBRIA Bakuhatsu Taro , KUROI Susumu Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un autre monde, existent des machines appelées "mecha-mages" que seuls des hommes possédant une énergie particulière, baptisée "rudia", peuvent contrôler. Ses habitants ont l'habitude d'invoquer fréquemment des terriens de manière aléatoire pour faire d'eux les pilotes de ces machines. La raison est simple : les terriens possèdent des niveaux élevés de rudia. Un jour, la classe de Yûta se fait invoquer dans cet autre monde, mais le jeune garçon se retrouve avec un niveau de rudia incroyablement bas. Critique : C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mecha-mages-d-esclave-a-heros-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Last mission : PK killer tome 1

    Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant.
  19. Titre de l'album : Last mission : PK killer tome 1 Scenariste de l'album : AAA Dessinateur de l'album : HARADA Eri Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nishiki, jeune salary man, accro aux jeux vidéo, fait partie de la classe des marchands dans son RPG en réalité virtuelle. Un jour, les joueurs de sa propre guilde décident de le virer car il ne leur est plus d'aucune utilité. Désabusé, il décide de se lancer dans une dernière quête avant de décrocher. Naît alors en lui une soif de combattre comme il n'en avait jamais connue auparavant ! Critique : Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/last-mission-pk-killer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Call of the night tome 4

    Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante…
  21. Titre de l'album : Call of the night tome 4 Scenariste de l'album : KOTOYAMA Dessinateur de l'album : KOTOYAMA Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Impossible de résister à l'appel de la nuit ! La nuit où Kô Yamori, collégien et éternel insomniaque, décide de sortir se promener seul, il fait la rencontre de Nazuna Nanakusa, une jolie vampire. Sa veillée seule avec elle va bouleverser le destin de Kô... Critique : Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/call-of-the-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Blue box tome 1

    Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait
  23. Nickad

    Blue box tome 1

    Titre de l'album : Blue box tome 1 Scenariste de l'album : MIURA Kouji Dessinateur de l'album : MIURA Kouji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Taiki Inomata, membre du club de badminton, a eu le coup de foudre pour Chinatsu Kano, la star du club de basket de son établissement. Il s'entraîne à ses côtés tous les matin. Sa relation avec Chinatsu va prendre un tournant totalement inédit lorsqu'un jour de printemps, une nouvelle des plus déconcertantes va lui offrir une opportunité inespérée de conquérir sa belle Critique : Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-box-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Battle game in 5 seconds tome 19

    Le père d’Akira, Tôya, passe à l’action, il décide d’attaquer les amis et alliés d’Akira à la clinique. Pendant ce temps, Akira et Yûri affronte un de ses sbires le dangereux Kowloon. L’étau se resserre autour d’Akira et Tôya, leur face à face est proche. En attendant, on découvre les motivations de son père qui pense qu’Akira est à l’origine des programmes du jeu et pense qu’en l’éliminant il mettra fin eu jeu. Mais ce qui est surprenant c’est qu’il ne compta pas s’arrêter à ça, il compte bien détruire tout ce à quoi Akira tient et le plonger dans le désespoir. C’est étrange car finalement le père et le fils ont tous les deux l’envie de faire cesser ce jeu, seulement, il y a encore beaucoup de zones d’ombre : qui a inventé ces programmes, pourquoi Akira a décidé d’y rejouer en ayant oublié ses souvenirs, que s’est-il passé entre eux pour qu’il y ait autant de haine… Un 19eme tome intéressant et toujours aussi dynamique. Pour le moment, il n’y a toujours pas de fin annoncée, 21 tomes en cours
  25. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tome 19 Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou Dessinateur de l'album : MIYAKO Kashiwa Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Le père et le fils incompatibles sortent les crocs ! Kowloon apparaît soudain et attaque le groupe d'Akira. Pendant ce temps, Tôya et Amana arrivent dans la clinique où sont cachés Ringo et d'autres amis. Mais un autre ennemi s'y est également introduit... Critique : Le père d’Akira, Tôya, passe à l’action, il décide d’attaquer les amis et alliés d’Akira à la clinique. Pendant ce temps, Akira et Yûri affronte un de ses sbires le dangereux Kowloon. L’étau se resserre autour d’Akira et Tôya, leur face à face est proche. En attendant, on découvre les motivations de son père qui pense qu’Akira est à l’origine des programmes du jeu et pense qu’en l’éliminant il mettra fin eu jeu. Mais ce qui est surprenant c’est qu’il ne compta pas s’arrêter à ça, il compte bien détruire tout ce à quoi Akira tient et le plonger dans le désespoir. C’est étrange car finalement le père et le fils ont tous les deux l’envie de faire cesser ce jeu, seulement, il y a encore beaucoup de zones d’ombre : qui a inventé ces programmes, pourquoi Akira a décidé d’y rejouer en ayant oublié ses souvenirs, que s’est-il passé entre eux pour qu’il y ait autant de haine… Un 19eme tome intéressant et toujours aussi dynamique. Pour le moment, il n’y a toujours pas de fin annoncée, 21 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-19?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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