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  1. Nickad

    GRAY tome 1

    GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes
  2. Nickad

    GRAY tome 1

    Titre de l'album : GRAY tome 1 Scenariste de l'album : WOOLLEE Dessinateur de l'album : WOOLLEE Coloriste : Editeur de l'album : KOYOHAN Note : Résumé de l'album : Lee Seolwon a toujours rêvé d'être un super-héros, au point qu'il fi nit par se faire fabriquer un véritable costume ! Mais un problème se pose alors, comment devenir un super-héros sans super-vilain ? Une seule solution : en créer un soi-même. Dis-nous, Gray, que se passerait-il si ton secret était dévoilé ? Critique : GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gray-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours
  4. Titre de l'album : Mecha-mages d'esclave à héros tome 1 Scenariste de l'album : RYOMA Dessinateur de l'album : CAMBRIA Bakuhatsu Taro , KUROI Susumu Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un autre monde, existent des machines appelées "mecha-mages" que seuls des hommes possédant une énergie particulière, baptisée "rudia", peuvent contrôler. Ses habitants ont l'habitude d'invoquer fréquemment des terriens de manière aléatoire pour faire d'eux les pilotes de ces machines. La raison est simple : les terriens possèdent des niveaux élevés de rudia. Un jour, la classe de Yûta se fait invoquer dans cet autre monde, mais le jeune garçon se retrouve avec un niveau de rudia incroyablement bas. Critique : C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mecha-mages-d-esclave-a-heros-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Last mission : PK killer tome 1

    Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant.
  6. Titre de l'album : Last mission : PK killer tome 1 Scenariste de l'album : AAA Dessinateur de l'album : HARADA Eri Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nishiki, jeune salary man, accro aux jeux vidéo, fait partie de la classe des marchands dans son RPG en réalité virtuelle. Un jour, les joueurs de sa propre guilde décident de le virer car il ne leur est plus d'aucune utilité. Désabusé, il décide de se lancer dans une dernière quête avant de décrocher. Naît alors en lui une soif de combattre comme il n'en avait jamais connue auparavant ! Critique : Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/last-mission-pk-killer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Call of the night tome 4

    Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante…
  8. Titre de l'album : Call of the night tome 4 Scenariste de l'album : KOTOYAMA Dessinateur de l'album : KOTOYAMA Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Impossible de résister à l'appel de la nuit ! La nuit où Kô Yamori, collégien et éternel insomniaque, décide de sortir se promener seul, il fait la rencontre de Nazuna Nanakusa, une jolie vampire. Sa veillée seule avec elle va bouleverser le destin de Kô... Critique : Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/call-of-the-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Blue box tome 1

    Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait
  10. Nickad

    Blue box tome 1

    Titre de l'album : Blue box tome 1 Scenariste de l'album : MIURA Kouji Dessinateur de l'album : MIURA Kouji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Taiki Inomata, membre du club de badminton, a eu le coup de foudre pour Chinatsu Kano, la star du club de basket de son établissement. Il s'entraîne à ses côtés tous les matin. Sa relation avec Chinatsu va prendre un tournant totalement inédit lorsqu'un jour de printemps, une nouvelle des plus déconcertantes va lui offrir une opportunité inespérée de conquérir sa belle Critique : Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-box-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Battle game in 5 seconds tome 19

    Le père d’Akira, Tôya, passe à l’action, il décide d’attaquer les amis et alliés d’Akira à la clinique. Pendant ce temps, Akira et Yûri affronte un de ses sbires le dangereux Kowloon. L’étau se resserre autour d’Akira et Tôya, leur face à face est proche. En attendant, on découvre les motivations de son père qui pense qu’Akira est à l’origine des programmes du jeu et pense qu’en l’éliminant il mettra fin eu jeu. Mais ce qui est surprenant c’est qu’il ne compta pas s’arrêter à ça, il compte bien détruire tout ce à quoi Akira tient et le plonger dans le désespoir. C’est étrange car finalement le père et le fils ont tous les deux l’envie de faire cesser ce jeu, seulement, il y a encore beaucoup de zones d’ombre : qui a inventé ces programmes, pourquoi Akira a décidé d’y rejouer en ayant oublié ses souvenirs, que s’est-il passé entre eux pour qu’il y ait autant de haine… Un 19eme tome intéressant et toujours aussi dynamique. Pour le moment, il n’y a toujours pas de fin annoncée, 21 tomes en cours
  12. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tome 19 Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou Dessinateur de l'album : MIYAKO Kashiwa Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Le père et le fils incompatibles sortent les crocs ! Kowloon apparaît soudain et attaque le groupe d'Akira. Pendant ce temps, Tôya et Amana arrivent dans la clinique où sont cachés Ringo et d'autres amis. Mais un autre ennemi s'y est également introduit... Critique : Le père d’Akira, Tôya, passe à l’action, il décide d’attaquer les amis et alliés d’Akira à la clinique. Pendant ce temps, Akira et Yûri affronte un de ses sbires le dangereux Kowloon. L’étau se resserre autour d’Akira et Tôya, leur face à face est proche. En attendant, on découvre les motivations de son père qui pense qu’Akira est à l’origine des programmes du jeu et pense qu’en l’éliminant il mettra fin eu jeu. Mais ce qui est surprenant c’est qu’il ne compta pas s’arrêter à ça, il compte bien détruire tout ce à quoi Akira tient et le plonger dans le désespoir. C’est étrange car finalement le père et le fils ont tous les deux l’envie de faire cesser ce jeu, seulement, il y a encore beaucoup de zones d’ombre : qui a inventé ces programmes, pourquoi Akira a décidé d’y rejouer en ayant oublié ses souvenirs, que s’est-il passé entre eux pour qu’il y ait autant de haine… Un 19eme tome intéressant et toujours aussi dynamique. Pour le moment, il n’y a toujours pas de fin annoncée, 21 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-19?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Sakura wars tome 1

    A l’origine Sakura Wars ou plutôt Sakura Taisen est d‘abord un jeu vidéo qui date de 1996, il a eu d’autres versions puis l’univers a été décliné en anime, OAV et films sortis entre 1997 et 2020. C’est en 2003 que la série est adaptée en manga, elle compte 9 tomes. Ichiro Ogami est un jeune lieutenant dans la marine, il est plutôt doué mais ne s’attire pas forcément la sympathie de ses supérieurs. Il se retrouve affecté au théâtre impérial, il pense tout d’abord que c’est un nom de code avant de voir qu’il s’agit vraiment d’un théâtre où il devient l’homme à tout faire de la troupe, composée de jeunes filles tout aussi charmantes qu’étranges. Enfin ça c’est la situation en apparence, car le chef du théâtre, l’ancien général Ikki Yoneda qui prétend avoir pris sa retraite, dirige dans l’ombre une équipe d’assaut. A part dans la 1ère scène où l’on voit un peu ce qui semble se cacher derrière la troupe de théâtre, ce 1er tome introduit le personnage d’Ogami : la fin de sa formation, son affectation et surtout son travail dans le théâtre. Bien sûr, il ne sait pas qu’il est mis à l’épreuve et c’est tout autant amusant car il doit faire face aux « caprices » de l’étoile montante, aux humeurs des spectateurs… Un début de manga qui est clairement une introduction du contexte et des protagonistes, une lecture fluide avec un graphisme très net et clair. Maintenant le lecteur est prêt pour entrer dans le vif du sujet, ce qui ne saurait tarder vu que le second tome sort début mars. Extrait
  14. Nickad

    Sakura wars tome 1

    Titre de l'album : Sakura wars tome 1 Scenariste de l'album : HIROI Ohji Dessinateur de l'album : MASA Ikku / FUJISHIMA Kosuke Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Dans le Japon du XXe siècle, le jeune lieutenant de la marine Ichiro Ogami est chargé de défendre Tokyo contre les forces des ténèbres. Il se retrouve à la tête d'une équipe de jeunes femmes travaillant sous couverture comme artistes au théâtre impérial. Critique : A l’origine Sakura Wars ou plutôt Sakura Taisen est d‘abord un jeu vidéo qui date de 1996, il a eu d’autres versions puis l’univers a été décliné en anime, OAV et films sortis entre 1997 et 2020. C’est en 2003 que la série est adaptée en manga, elle compte 9 tomes. Ichiro Ogami est un jeune lieutenant dans la marine, il est plutôt doué mais ne s’attire pas forcément la sympathie de ses supérieurs. Il se retrouve affecté au théâtre impérial, il pense tout d’abord que c’est un nom de code avant de voir qu’il s’agit vraiment d’un théâtre où il devient l’homme à tout faire de la troupe, composée de jeunes filles tout aussi charmantes qu’étranges. Enfin ça c’est la situation en apparence, car le chef du théâtre, l’ancien général Ikki Yoneda qui prétend avoir pris sa retraite, dirige dans l’ombre une équipe d’assaut. A part dans la 1ère scène où l’on voit un peu ce qui semble se cacher derrière la troupe de théâtre, ce 1er tome introduit le personnage d’Ogami : la fin de sa formation, son affectation et surtout son travail dans le théâtre. Bien sûr, il ne sait pas qu’il est mis à l’épreuve et c’est tout autant amusant car il doit faire face aux « caprices » de l’étoile montante, aux humeurs des spectateurs… Un début de manga qui est clairement une introduction du contexte et des protagonistes, une lecture fluide avec un graphisme très net et clair. Maintenant le lecteur est prêt pour entrer dans le vif du sujet, ce qui ne saurait tarder vu que le second tome sort début mars. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sakura-wars-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    La nouvelle vie de Lili tome 2

    Lili a été secourue par un groupe de chasseurs de hollows dont fait partie Alistair, un garçon issu aussi d’une famille de marquis. Peu à peu, elle prend sa place dans ce groupe qui finit par l’accueillir chaleureusement. Ensemble, ils s’exercent à la magie et voyagent. Elle sait bien qu’elle ne reverra pas sa vraie famille de sitôt mais ne désespère pas pour autant. De son côté le père de Lili a aussi conscience qu’il faudra du temps pour la retrouver, d’autant plus, que ses déplacements sont limités au vue de sa fonction, il ne peut s’éloigner plus de 10 jours car il doit recharger les cristaux magiques de la barrière protégeant le royaume des hollows. Un tome intéressant car on découvre un certain nombre d’informations : sur le fonctionnement de la magie, sur les caractéristiques des hollows, sur le devoir des familles de marquis. L’histoire est fluide, suit les différents personnages, alterne aventure et enquête (qui a manigancé l’enlèvement de Lili ?). Le côté isekai est présent car on voit les pensées de Lili et son entourage se rend vite compte qu’elle est bien plus mature que les autres enfants de son âge. Heureusement l’auteur ne l’a fait pas évoluer trop rapidement, elle garde un langage et des moyens de déplacement propre à son âge, nous n’avons pas affaire à un bébé surpuissant à qui tout réussit. Le récit prend donc le temps de se développer. Une lecture agréable ou sans être impatient de lire la suite, on la découvrira quand même avec plaisir
  16. Titre de l'album : La nouvelle vie de Lili tome 2 Scenariste de l'album : KAYA Dessinateur de l'album : MIKABE Sesuna Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Maintenant de l'autre côté de la frontière, quelles nouvelles aventures notre adorable héroïne va-t-elle vivre ? Critique : Lili a été secourue par un groupe de chasseurs de hollows dont fait partie Alistair, un garçon issu aussi d’une famille de marquis. Peu à peu, elle prend sa place dans ce groupe qui finit par l’accueillir chaleureusement. Ensemble, ils s’exercent à la magie et voyagent. Elle sait bien qu’elle ne reverra pas sa vraie famille de sitôt mais ne désespère pas pour autant. De son côté le père de Lili a aussi conscience qu’il faudra du temps pour la retrouver, d’autant plus, que ses déplacements sont limités au vue de sa fonction, il ne peut s’éloigner plus de 10 jours car il doit recharger les cristaux magiques de la barrière protégeant le royaume des hollows. Un tome intéressant car on découvre un certain nombre d’informations : sur le fonctionnement de la magie, sur les caractéristiques des hollows, sur le devoir des familles de marquis. L’histoire est fluide, suit les différents personnages, alterne aventure et enquête (qui a manigancé l’enlèvement de Lili ?). Le côté isekai est présent car on voit les pensées de Lili et son entourage se rend vite compte qu’elle est bien plus mature que les autres enfants de son âge. Heureusement l’auteur ne l’a fait pas évoluer trop rapidement, elle garde un langage et des moyens de déplacement propre à son âge, nous n’avons pas affaire à un bébé surpuissant à qui tout réussit. Le récit prend donc le temps de se développer. Une lecture agréable ou sans être impatient de lire la suite, on la découvrira quand même avec plaisir Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-nouvelle-vie-de-lili-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    The elusive samourai T6

    Une critique par @TheOtaku Alors globalement, c’est une série, pour moi, qui change, après bien sur, pour tous les adultes qui ont lu kingdom (parle en connaissance de cause « hein p’a ! »)c’est juste une version moins bien de kingdom, un kingdom pour gosses. Et je ne fais pas exception ! J’aime bien le thème et tout, mais si je compare … Quelqu’un qui n’a pas lu Kingdom et qui ne peut comparer serait beaucoup plus objectif que moi, désolé. Sinon, ce tome 6 est plutôt pas mal, la fin de leur grande bataille et surtout le fait que, enfiiiin, notre héros revient à la capitale, se rapproche de son ennemi et de son but, sont des choses que j’ai beaucoup appréciées dans ce tome. Après, ce tome ou même cette série, a pour moi un certain défaut : il y a beaucoup de texte inutile (pas que je n'aime pas lire) et … ça encombre l’image, donne un aspect dense aux pages, ça rend la lecture beaucoup moins agréable et on profite donc moins de l’histoire. … au final l’histoire et le manga sont plutôt pas mal, mis à part le texte encombrant, mais je me pose une question … à quel public est destiné ce manga ? Il est déconseillé au -12 ans, mais a des dessins enfantins, et ne convient pas aux adultes car ils trouvent les dessins et l'histoire trop enfantins ou ont lu Kingdom donc ne peuvent s’empêcher de comparer … donc ne convient-il à personne à part les ados entre 12 et 15 ans ? Attention, je ne dis pas que personne ne peut l’aimer vu que moi, je l'apprécie ce manga !
  18. Titre de l'album : The elusive samourai T6 Scenariste de l'album : Yusei Matsui Dessinateur de l'album : Yusei Matsui Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Kamakura, An 1333. Au terme d'une insurrection, Hôjô Tokiyuki, jeune garçon dont le destin était d'hériter du shogunat, perd tout : sa famille, sa ville natale, les partisans de son clan... Dernier survivant de sa lignée, il devient alors le fugitif le plus recherché de la région. Mais heureusement, Tokiyuki a un don particulier pour survivre : la fuite. Son histoire est celle de l'errance, de la dissimulation et de la reconquête. Ainsi commence la vie tumultueuse de l'insaisissable prince samouraï ! Critique : Une critique par @TheOtaku Alors globalement, c’est une série, pour moi, qui change, après bien sur, pour tous les adultes qui ont lu kingdom (parle en connaissance de cause « hein p’a ! »)c’est juste une version moins bien de kingdom, un kingdom pour gosses. Et je ne fais pas exception ! J’aime bien le thème et tout, mais si je compare … Quelqu’un qui n’a pas lu Kingdom et qui ne peut comparer serait beaucoup plus objectif que moi, désolé. Sinon, ce tome 6 est plutôt pas mal, la fin de leur grande bataille et surtout le fait que, enfiiiin, notre héros revient à la capitale, se rapproche de son ennemi et de son but, sont des choses que j’ai beaucoup appréciées dans ce tome. Après, ce tome ou même cette série, a pour moi un certain défaut : il y a beaucoup de texte inutile (pas que je n'aime pas lire) et … ça encombre l’image, donne un aspect dense aux pages, ça rend la lecture beaucoup moins agréable et on profite donc moins de l’histoire. … au final l’histoire et le manga sont plutôt pas mal, mis à part le texte encombrant, mais je me pose une question … à quel public est destiné ce manga ? Il est déconseillé au -12 ans, mais a des dessins enfantins, et ne convient pas aux adultes car ils trouvent les dessins et l'histoire trop enfantins ou ont lu Kingdom donc ne peuvent s’empêcher de comparer … donc ne convient-il à personne à part les ados entre 12 et 15 ans ? Attention, je ne dis pas que personne ne peut l’aimer vu que moi, je l'apprécie ce manga ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-elusive-samurai-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Goodbye dragon life tome 5

    Serina est devenue le familier de Dran afin de pouvoir l’accompagner à l’école de magie. Leur arrivée de passe pas inaperçue surtout que certains élèves pensent que Dran a été admis à l’académie par piston. Le fait qu’ils viennent de la campagne dérange aussi. Les voilà tout deux victimes de harcèlement, heureusement ils ont de amis qui sont prêts à les aider. Ce 5e tome marque un tournant dans l’histoire car nos personnages arrivent dans un nouvel environnement. Bien sûr, ils sont confrontés à des problèmes assez classiques : le dénigrement des classes sociales supérieures, la jalousie, la méfiance. Pour être honnête, l’intérêt original de la série, à savoir la réincarnation d’un dragon en humain, semble un peu loin. Du coup, on a l’impression d’être dans un manga de fantasy assez classique qui tourne surtout autour de la présence d’une lamia au milieu des humains. Ce n’est pas désagréable à lire ni à suivre mais je crains que l’intérêt s’estompe ; j’espère vraiment que le manga trouvera un nouveau souffle.
  20. Titre de l'album : Goodbye dragon life tome 5 Scenariste de l'album : NAGASHIMA Hiroaki Dessinateur de l'album : KURONO Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Le plus puissant dragon, celui qui vivait depuis des temps immémoriaux, s'est finalement laissé vaincre par un héros humain... Mais au lieu de disparaître, il s'est réincarné en bébé dans l'un des villages des environs ! Maintenant jeune adulte, il travaille à la ferme, chasse du gibier, et goûte avec curiosité la vie des mortels. Un jour, dans la forêt voisine, il rencontre une Lamia, une créature mi-femme, mi-serpent... Critique : Serina est devenue le familier de Dran afin de pouvoir l’accompagner à l’école de magie. Leur arrivée de passe pas inaperçue surtout que certains élèves pensent que Dran a été admis à l’académie par piston. Le fait qu’ils viennent de la campagne dérange aussi. Les voilà tout deux victimes de harcèlement, heureusement ils ont de amis qui sont prêts à les aider. Ce 5e tome marque un tournant dans l’histoire car nos personnages arrivent dans un nouvel environnement. Bien sûr, ils sont confrontés à des problèmes assez classiques : le dénigrement des classes sociales supérieures, la jalousie, la méfiance. Pour être honnête, l’intérêt original de la série, à savoir la réincarnation d’un dragon en humain, semble un peu loin. Du coup, on a l’impression d’être dans un manga de fantasy assez classique qui tourne surtout autour de la présence d’une lamia au milieu des humains. Ce n’est pas désagréable à lire ni à suivre mais je crains que l’intérêt s’estompe ; j’espère vraiment que le manga trouvera un nouveau souffle. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodbye-dragon-life-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Hellfire messenger tome 2

    Flare qui a été engagé par la princesses Primavera (Prim) pour la protéger se retrouve aux prises avec un ange venu assassiner Prim. C’est au cours de cet affrontement qu’il commence à découvrir ses capacités et les différentes façons d’utiliser ses flammes, c’est là aussi qu’il entend une voix dans sa tête qui semble pouvoir lui apporter plus de puissance. Flare et un personnage qui a beaucoup de naïveté, d’abord parce qu’il a grandi dans un village isolé ensuite parce que le monde a changé (il s’est écoulé 1000 ans !). Il a sur le monde un regard enfantin qui découvre mais qui ne juge pas. Comme il a plus tendance à poser des questions, il ne panique pas face aux diverses situations et aux attaques, il a un petit côté décalé inattendu qui apporte beaucoup de légèreté à l’histoire. Et son côté innocent plaît beaucoup car il y a aussi de la romane dans l’air. Hellfire messenger est un shonen d’aventure où humour et romance s’invitent et heureusement car sinon, il y aurait un risque que cela devienne une accumulation de combats. Pour le moment il y a un bon équilibre qui rend le manga agréable à lire. A suivre.
  22. Titre de l'album : Hellfire messenger tome 2 Scenariste de l'album : SATÔ Dessinateur de l'album : MIYAGI Morinari Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Pour protéger la princesse Primavera, Flare affronte l'ange Morié. Mis en difficulté par la puissance écrasante de l'envoyé céleste, le jeune exorciste doit puiser dans la force des flammes de l'enfer. Au risque de réveiller un démon sommeillant en lui. Mais ce n'est pas la seule menace qui plane sur le petit groupe, car une ombre inquiétante les observe... Critique : Flare qui a été engagé par la princesses Primavera (Prim) pour la protéger se retrouve aux prises avec un ange venu assassiner Prim. C’est au cours de cet affrontement qu’il commence à découvrir ses capacités et les différentes façons d’utiliser ses flammes, c’est là aussi qu’il entend une voix dans sa tête qui semble pouvoir lui apporter plus de puissance. Flare et un personnage qui a beaucoup de naïveté, d’abord parce qu’il a grandi dans un village isolé ensuite parce que le monde a changé (il s’est écoulé 1000 ans !). Il a sur le monde un regard enfantin qui découvre mais qui ne juge pas. Comme il a plus tendance à poser des questions, il ne panique pas face aux diverses situations et aux attaques, il a un petit côté décalé inattendu qui apporte beaucoup de légèreté à l’histoire. Et son côté innocent plaît beaucoup car il y a aussi de la romane dans l’air. Hellfire messenger est un shonen d’aventure où humour et romance s’invitent et heureusement car sinon, il y aurait un risque que cela devienne une accumulation de combats. Pour le moment il y a un bon équilibre qui rend le manga agréable à lire. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellfire-messenger-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Failure Frame tome 5

    L’ordre des dragons noirs a été vaincu, Tôka et Seras se dirigent vers le nid des monstres aux yeux dorés dans l’espoir de trouver un moyen de vaincre la déesse Vicius. Pendant ce temps, les camarades de classe de Tôka s’entrainent et à part la déléguée Sogô, les autres font peu cas de ceux qui sont inférieurs au rang A. Certains ont pris la grosse tête et commencent à traiter les êtres inférieurs comme des déchets. Quand il s’agit de tuer ou être tuer et que l’on tue son ennemi, plusieurs questions se posent alors, faut-il le faire franchement sans aucune hésitation ? Est-ce que cela fait de nous une personne mauvaise ? Faut-il abandonner tout sentiment lorsque l’on fait la guerre ? On peut aussi se demander s’il vaut mieux s’adapter au nouveau monde dans lequel on se trouve ou se lâcher complétement justement parce que ce monde n’est pas le nôtre. Dis comme ça, on a l’impression que cela n’a rien à voir avec le manga mais c’est pourtant le genre de réflexion qui me sont venues en le lisant et en voyant le comportement des protagonistes. Alors est-ce moi qui réfléchit trop ou est-ce qu’il y a des messages à trouver dans cette histoire ? Si l’on s’en tient au récit pur, c’est un isekai d’heroic fantasy où les personnages sont assez égocentriques (pour la majorité d’entre eux) et cherchent avant tout à accomplir leurs envies que de sauver vraiment le monde. Cela apporte un côté sombre, pas forcément très reluisant mais peut-être plus proche de la nature humaine et permet au manga d’avoir une identité propre. A suivre
  24. Titre de l'album : Failure Frame tome 5 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Leur objectif : le repaire de la Sorcière des Tabous... Grâce aux instructions de la Déesse, les anciens camarades de Tôka gagnent progressivement en puissance. Parmi eux, Kirihara, Oyamada et Yasu sont de plus en plus arrogants et ivres de pouvoir. Mais la remplaçante de la Déesse saura les remettre à leur juste place... De son côté, Tôka a vaincu le plus puissant des humains et s'aventure vers le Nid des Monstres aux Yeux Dorés en compagnie de Seras, afin de dénicher la Sorcière des Tabous. Je ne suis pas un héros œuvrant pour le bien. Me qualifier de démon serait même plus approprié. Critique : L’ordre des dragons noirs a été vaincu, Tôka et Seras se dirigent vers le nid des monstres aux yeux dorés dans l’espoir de trouver un moyen de vaincre la déesse Vicius. Pendant ce temps, les camarades de classe de Tôka s’entrainent et à part la déléguée Sogô, les autres font peu cas de ceux qui sont inférieurs au rang A. Certains ont pris la grosse tête et commencent à traiter les êtres inférieurs comme des déchets. Quand il s’agit de tuer ou être tuer et que l’on tue son ennemi, plusieurs questions se posent alors, faut-il le faire franchement sans aucune hésitation ? Est-ce que cela fait de nous une personne mauvaise ? Faut-il abandonner tout sentiment lorsque l’on fait la guerre ? On peut aussi se demander s’il vaut mieux s’adapter au nouveau monde dans lequel on se trouve ou se lâcher complétement justement parce que ce monde n’est pas le nôtre. Dis comme ça, on a l’impression que cela n’a rien à voir avec le manga mais c’est pourtant le genre de réflexion qui me sont venues en le lisant et en voyant le comportement des protagonistes. Alors est-ce moi qui réfléchit trop ou est-ce qu’il y a des messages à trouver dans cette histoire ? Si l’on s’en tient au récit pur, c’est un isekai d’heroic fantasy où les personnages sont assez égocentriques (pour la majorité d’entre eux) et cherchent avant tout à accomplir leurs envies que de sauver vraiment le monde. Cela apporte un côté sombre, pas forcément très reluisant mais peut-être plus proche de la nature humaine et permet au manga d’avoir une identité propre. A suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Kozakura sait à présent concilier ses chats et ses jeux vidéo, elle a appris leurs manies et peut éviter leurs interactions quand ceux-ci essayent de l’empêcher de jouer. Puis arrive un moment important pour elle, il est temps qu’elle pense à ce qu’elle veut vraiment et à ce qui est le plus important. Et cette décision clôturera la série. Pour être tout à fait honnête, ce dernier tome n’est pas très intéressant et l’on aurait pu s’en passer. J’apprécie quand même l’effort de l’auteur d’avoir fait une conclusion car ce genre de série peut durer très longtemps. On retiendra que la série était sympathique, agréable, parfois drôle, elle a su nous divertir et nous apporter une dose de mignonnerie. Tous ceux qui ont des animaux domestiques ont dû se reconnaître à un moment ou un autre, surtout ceux qui ont des chats. Un manga gentillet qui se lit facilement et qui apporte une dose de positif et de bonne humeur.
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