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  1. Titre de l'album : Mushoku Tensei - Les aventures de Roxy tome 10 Scenariste de l'album : Rifujin Na Magonote Dessinateur de l'album : Shoko Iwami Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : "Je vais prendre exemple sur elle et vite devenir plus forte... et quand ce sera fait..." Roxy s'aventure dans un labyrinthe avec Lene afin d'y récolter des matériaux pour son nouveau bâton. Après des jours d'exploration, le résultat n'est guère concluant, et Roxy doit en plus composer avec le caractère pour le moins excentrique de sa partenaire de fortune. Lorsque cette dernière remet en question sa force physique face aux monstres, la magicienne lui fait une proposition... Critique : Les aventures de Roxy se suivent et... se ressemblent. Elle continue de progresser que ce soit à l'académie de magie ou dans son rôle d'aventurier. Ce tome-ci marque la fin de l'aventure dans l'université de magie et.... le rapprochement avec notre histoire principale. Si la fin de la partie à l'académie est un peu brutale (surtout au vu d'une série de 19 tomes + 10 de spin off), le début du rôle d'éducatrice et le rapprochement avec la série mère est une bonne nouvelle, car on pourrait avoir la chance de ne pas avoir un spin off aussi long que la série mère et surtout globalement cohérent. On garde espoir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mushoku-tensei-les-aventures-de-roxy-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Un article de @Y_Kanzaki Mashle (la série)_ Hajime Komoto_ 4,5/5 La série Mashle est terminée et vous voulez savoir si ça vaut le coup de la faire ? On vous fait le point ici ! Mashle, c'est une série de 18 tomes (pas si long que ça pour un shonen) dont le héros sans pouvoir et à la force surhumaine - Mash Burnedead - va devoir faire ses preuves pour pouvoir vivre dans ce monde où la magie règne en maître. Euh … Un héros qui fait tout à la force de ses poings, c'est exactement comme Saitama non ? Quel intérêt ? (Saitama : One punch man) Effectivement, on pourrait le voir comme ça ! Saitama et Mash ont leur musculature en commun ! Sauf que la différence, c'est que l'un utilise sa force pour se défendre alors que l'autre l'utilise pour compenser son absence de pouvoirs magiques, ce qui donne donne des lieu à des techniques complètement déjantées ! Quels sont les points forts de Mashle ? Tout d'abord, c'est drôle. Très drôle. Mash s'extirpe toujours de situations catastrophiques en trouvant des solutions complètement absurdes et inattendues. A chaque nouveau pétrin, on se demande quelle technique saugrenue notre héros va utiliser ! Rares sont les séries où l'on rigole de A à Z, et c'est le cas de Mashle ! Deuxièmement, l'auteur a une manière particulière de tourner en dérision les situations de son manga . En soit, le scénario est assez basique: un non-mage dans une académie de magie, des ennemis qui défilent pour lui montrer son infériorité, un méchant qui veut anéantir le monde. Ce qui fait l'originalité de la série, c'est la manière dont les protagonistes commentent les évènements en train de se passer et réussissent à les détourner. Troisièmement, les personnages sont hauts en couleur. Chacun a un trait de caractère particulier qui est poussé à son paroxysme (le sister complex, le dragueur, le narcissique …), créant ainsi encore plus de situations comiques !!! Enfin, il y a beaucoup de références à d'autres œuvres célèbres. Par exemple, les cours de l'académie d'Easton ressemblent trait pour trait à ceux dans Harry Potter (apprendre à voler sur un balai…). On voit aussi la Porte de la Vérité dans Fullmetal Alchemist. Et là encore, tout est tourné en dérision !! Et les points faibles ? Honnêtement… A part le personnage de Lemon qui ne sert vraiment à rien et qui est vraiment énervant, il n'y en a pas. En conclusion, est-ce une série à lire ? La réponse est oui, évidemment !!! Mashle, c'est 18 tomes de rires et de personnages hauts en couleur! Les protagonistes sont attachants, les situations déjantées, ce qui n'enlève pas une certaine profondeur aux messages véhiculés par l'œuvre. On ne s'ennuie pas un seul instant en lisant les aventures palpitantes de Mash et ses amis. Une série phénomène à découvrir absolument ! A lire et à relire ! PS : la série est également disponible en anime Mashle tome 18_ Hajime Komoto_ ⅘ Après bien des péripéties pour tenter d'arrêter Innocent Zéro, nous voici enfin au combat final tant attendu ! Honnêtement, j'ai été un peu déçue par le combat en lui-même que j'ai trouvé bien moins drôle et inattendu que ce à quoi l'on nous avait habitué… Pour cet ultime tome, on revoit tous les protagonistes de la série qui viennent en aide à notre héros. Classique quoi. Mais rassurez-vous, certains passages sont quand même hilarants et dénués de sens comme on les aime !! Ce dernier tome est donc très sympathique malgré un scénario de fin de série très classique et un peu trop sérieux à mon goût. J'attendais un peu plus de rebondissements à la Mash ! A noter que pour la sortie du tome 18, il y a une version collector avec un roman, une jaquette réversible, un set de 6 badges et un poster A4.
  3. Nickad

    Ramen Akaneko tome 1

    Bienvenue au restaurant de ramens ! Mais pas n’importe lequel, ici, le restaurant est tenu par des chats, vous êtes prévenu d’ailleurs, il se peut que vous retrouviez un poil de chat dans votre bol, soyez indulgents ! Tamako, une jeune femme se fait embaucher dans ce restaurant mais elle ne s’attendait pas à ce type de travail : elle doit en effet s’occuper du ménage, de la plonge en cas d’affluence mais surtout et principalement de brosser les félins du restaurant afin qu’ils perdent le moins de poil possible. Et quand elle découvre celle qui fait les pâtes, elle a du boulot devant elle ! Malgré son côté absurde de départ (des chats qui parlent et qui tiennent un restaurant), le concept fonctionne bien, peut-être parce que la fantasy nous a habitué à voir des animaux qui se comportent comme des humains… Mais ici, l’auteur n’oublie pas non plus les comportements propres aux félins, perdre ses poils, faire la sieste et avoir un sens du goût différent ; tout est intégré habillement au scénario. Au final le premier tome de Ramen Akaneko se lit bien, le dessin est agréable, les petites histoires du restaurant sont amusantes et le concept du manga est bien développé. Mais comme tous les mangas fondés sur des saynètes humoristiques, je ne sais pas s’il tiendra dans la durée sans une trame principale. A suivre. ps : ci-dessous la photo des ramens prêtes à être dégustées
  4. Titre de l'album : Ramen Akaneko tome 1 Scenariste de l'album : ANGYAMAN Dessinateur de l'album : ANGYAMAN Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Un restaurant de ramens, des patrons chats, une humaine happiness manager... Le nouveau manga feel-good qui fait ronronner le Japon ! Tamako se rend dans un restaurant de ramens afin de passer un entretien d'embauche, mais cet établissement a une particularité : il est tenu par des chats ! Lorsqu'elle avoue au patron qu'elle préfère les chiens, il décide de l'embaucher... Pour qu'elle s'occupe des employés du restaurant ! Pour ce premier volume, Ramen Akaneko vous accueille avec grand bol de réconfort ! Critique : Bienvenue au restaurant de ramens ! Mais pas n’importe lequel, ici, le restaurant est tenu par des chats, vous êtes prévenu d’ailleurs, il se peut que vous retrouviez un poil de chat dans votre bol, soyez indulgents ! Tamako, une jeune femme se fait embaucher dans ce restaurant mais elle ne s’attendait pas à ce type de travail : elle doit en effet s’occuper du ménage, de la plonge en cas d’affluence mais surtout et principalement de brosser les félins du restaurant afin qu’ils perdent le moins de poil possible. Et quand elle découvre celle qui fait les pâtes, elle a du boulot devant elle ! Malgré son côté absurde de départ (des chats qui parlent et qui tiennent un restaurant), le concept fonctionne bien, peut-être parce que la fantasy nous a habitué à voir des animaux qui se comportent comme des humains… Mais ici, l’auteur n’oublie pas non plus les comportements propres aux félins, perdre ses poils, faire la sieste et avoir un sens du goût différent ; tout est intégré habillement au scénario. Au final le premier tome de Ramen Akaneko se lit bien, le dessin est agréable, les petites histoires du restaurant sont amusantes et le concept du manga est bien développé. Mais comme tous les mangas fondés sur des saynètes humoristiques, je ne sais pas s’il tiendra dans la durée sans une trame principale. A suivre. ps : ci-dessous la photo des ramens prêtes à être dégustées Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ramen-akaneko-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Princesse puncheuse tome 4

    Et bim encore une baffe ! et boum encore un rapprochement entre notre héroïne et le prince. Voilà le résumé du déroulé de ce tome 4. Bon, j'exagère beaucoup le trait. Surtout que ce tome 4 est plein de surprise avec une évolution du rôle de notre princesse puncheuse vers quelque chose de plus centrale et justifiant un certain nombre d'événements passés. Mais reste que toute cette histoire est un prétexte intéressant à faire avancer une histoire d'amour de plus en plus visible entre Scarlet et le prince. Une série sympathique qui se lit toujours avec beaucoup de plaisir !
  6. Titre de l'album : Princesse puncheuse tome 4 Scenariste de l'album : Nana Otori Dessinateur de l'album : Sora Hoonoki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : La Tournée de la Sainte Terre, ce rituel qui protège le Paristan, a commencé. Scarlett et ses amis accompagnent sainte Diana dès la procession de départ quand un attentat au canon se produit. C'est la panique ! Il y a de nombreux blessés ! Scarlett devra jouer de ses poings pour déjouer le plan machiavélique de ceux qui veulent empêcher la Tournée de se dérouler sereinement ! « C'est l'heure de faire la fête... Une fête sanglante, bien sûr ! » Critique : Et bim encore une baffe ! et boum encore un rapprochement entre notre héroïne et le prince. Voilà le résumé du déroulé de ce tome 4. Bon, j'exagère beaucoup le trait. Surtout que ce tome 4 est plein de surprise avec une évolution du rôle de notre princesse puncheuse vers quelque chose de plus centrale et justifiant un certain nombre d'événements passés. Mais reste que toute cette histoire est un prétexte intéressant à faire avancer une histoire d'amour de plus en plus visible entre Scarlet et le prince. Une série sympathique qui se lit toujours avec beaucoup de plaisir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/princesse-puncheuse-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Mushoku tensei tome 19

    Grrr décidément cet arc tout pourri sur les problèmes d'érections de notre héros a vraiment gâché la série. A un tel point que même ce bon tome peine à nous redonner le sourire. Car ce tome est bon. Il repart sur notre trame principale, nous montrant les progrès D'Erin, nous reparlant de notre méchant surpuissant et faisant intervenir les sœurs de Rudeus. Sœurs qui dynamisent la vie de couple de notre héros, mais mettent surtout l'accent sur la famille de Rudeus dont la recherche est le centre de notre histoire. En gros un bon tome qui, après le précédent, continue de tenter de relancer une intrigue que les 7 tomes précédents ont mise à mal. Le chemin risque d'être long mais au moins, on le prend dans le bon sens. Ceux qui auront résisté à la traversée du désert seront content.
  8. Titre de l'album : Mushoku tensei tome 19 Scenariste de l'album : Rifujin Na Magonote Dessinateur de l'album : Yuka Fujikawa Coloriste : Yuka Fujikawa Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : On pardonne encore moins facilement une faute lorsqu'elle est commise par un membre de sa famille. "Je me suis donné du mal ! Pourquoi c'est Norn qui est récompensée ?" Louiseld a accompagné les petites soeurs Greyrat jusqu'à la nouvelle demeure de Rudeus et de Sylphy. Les retrouvailles sont enjouées, mais il est déçu d'apprendre qu'Eris et Rudeus se sont séparés.Aisha et Norn commencent leur nouvelle vie chez leur frère, qui cherche à leur assurer le meilleur avenir possible. Il leur propose de passer l'examen d'entrée à l'Académie de Lanoa, mais... Critique : Grrr décidément cet arc tout pourri sur les problèmes d'érections de notre héros a vraiment gâché la série. A un tel point que même ce bon tome peine à nous redonner le sourire. Car ce tome est bon. Il repart sur notre trame principale, nous montrant les progrès D'Erin, nous reparlant de notre méchant surpuissant et faisant intervenir les sœurs de Rudeus. Sœurs qui dynamisent la vie de couple de notre héros, mais mettent surtout l'accent sur la famille de Rudeus dont la recherche est le centre de notre histoire. En gros un bon tome qui, après le précédent, continue de tenter de relancer une intrigue que les 7 tomes précédents ont mise à mal. Le chemin risque d'être long mais au moins, on le prend dans le bon sens. Ceux qui auront résisté à la traversée du désert seront content. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mushoku-tensei-tome-19?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Heart program tome 1 Scenariste de l'album : NAKAMURA Hinata Dessinateur de l'album : NAKAMURA Hinata Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Kyû USAMI vit seul avec sa mère. Un jour d'été, il voit débarquer chez lui un robot qui ressemble à s'y méprendre à une jeune fille. Cette créature est venue étudier l'âme humaine, et le jeune Kyû va rapidement se rendre compte qu'on peut facilement tomber amoureux d'un être pourtant dépourvu de coeur... Critique : La collection Moonlight nous propose toujours des histoires pleines d’émotions avec des graphismes délicats. Hinata Nakamura, découverte avec son titre De l’autre côté de l’horizon, revient avec Heart program, une série en 4 volumes. Dans un japon moderne mais pas très éloigné de notre époque, arrive dans les foyers des androïdes, afin qu’ils puissent s’adapter au mieux aux humains, ils doivent passer plusieurs années dans une famille d’accueil pour développer leurs sentiments. C’est ainsi que Ichiko, un robot jeune fille, débarque chez Kyû, un adolescent vivant seul avec sa mère. Ce dernier est très réticent quant à l’arrivée d’un robot chez lui mais peu à peu, il la laisse entrer dans sa vie. L’histoire est un peu classique, des sentiments se développent chez Kyû, mais également chez Ichiko qui ne sait pas encore bien identifier ce qu’elle ressent. Il y a aussi l’amie d’enfance, amoureuse, qui va commencer à être jalouse et tout un tas de préjugés sur les androïdes « ce n’est qu’un robot, elle ne ressent rien… ». Bref le développement semble être couru d’avance. Cependant, la narration est plutôt bien faite et le dessin est très rond et empli de douceur. On sent une légère mélancolie ambiante ainsi que le bourgeonnement des premiers émois. Un premier tome sympathique. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/heart-program-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Heart program tome 1

    La collection Moonlight nous propose toujours des histoires pleines d’émotions avec des graphismes délicats. Hinata Nakamura, découverte avec son titre De l’autre côté de l’horizon, revient avec Heart program, une série en 4 volumes. Dans un japon moderne mais pas très éloigné de notre époque, arrive dans les foyers des androïdes, afin qu’ils puissent s’adapter au mieux aux humains, ils doivent passer plusieurs années dans une famille d’accueil pour développer leurs sentiments. C’est ainsi que Ichiko, un robot jeune fille, débarque chez Kyû, un adolescent vivant seul avec sa mère. Ce dernier est très réticent quant à l’arrivée d’un robot chez lui mais peu à peu, il la laisse entrer dans sa vie. L’histoire est un peu classique, des sentiments se développent chez Kyû, mais également chez Ichiko qui ne sait pas encore bien identifier ce qu’elle ressent. Il y a aussi l’amie d’enfance, amoureuse, qui va commencer à être jalouse et tout un tas de préjugés sur les androïdes « ce n’est qu’un robot, elle ne ressent rien… ». Bref le développement semble être couru d’avance. Cependant, la narration est plutôt bien faite et le dessin est très rond et empli de douceur. On sent une légère mélancolie ambiante ainsi que le bourgeonnement des premiers émois. Un premier tome sympathique. Extrait
  11. Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages.
  12. Titre de l'album : Karakuri circus - perfect edition tome 25 et 26 (fin) Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le final grandiose d'une épopée enflammée, bourrée d'action et d'automates ! Poursuivis par les automates, le cirque Nakamachi n'a pas d'autre choix que de se battre contre eux ! Grâce à leur protection, nos héros se rapprochent petit à petit du train dans lequel se trouvent Éléonore et Narumi... Porté par l'amour de ses proches, Masaru se dirige quant à lui vers le lieu de l'affrontement final, bien décidé à mettre un terme aux agissements de Faceless ! La plus enflammée des épopées opposant humains et machines touche enfin à sa fin ! Critique : Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-26-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Le retour du Clan Hwasan tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : BIGA Dessinateur de l'album : Studio LICO Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Partez à l'aventure avec un épéiste légendaire ! Cheongmyeong, légendaire maître épéiste de l'illustre clan Hwasan, perd ses alliés et la vie dans un combat contre le chef suprême du culte démoniaque, Cheonma. Il se réveille cent ans plus tard, dans le corps affaibli d'un enfant mendiant. Alors que sa mémoire est intacte, sa force physique n'est plus celle de l'épéiste qu'il était, et son clan a perdu sa renommée. Afin de retrouver ses pouvoirs, Cheongmyeong s'embarque dans une quête épique et périlleuse... Critique : L’histoire se passe dans l’univers des arts martiaux coréens, le Murim (article ici pour en savoir plus). Le clan Hwasan, l’un des 10 grands clans de martialistes, est parti affronté le grand maitre du culte démoniaque Cheonma. Hélas, trois générations viennent à périr, le dernier, Cheongmyeong le maitre épéiste de la fleur d’abricotier rend son dernier souffle après avoir éliminé Cheonma. Il se réincarne 100 ans plus tard dans la peau d’un jeune mendiant et découvre que le clan Hwasan a périclité. Il décide alors d’y retourner pour le faire revivre ; mais à son arrivée, il découvre un clan ruiné, les trésors ont été vendus et les techniques du clan Hwasan ont été perdues en grande majorité ! On en avait déjà parlé mais entrer dans l’univers des arts martiaux n’est pas toujours aisé car il y a beaucoup de vocabulaire particulier, heureusement Le retour du clan Hwasan fait partie des plus accessible, les mots typiques y sont expliqués et il n’y a pas trop d’informations d’un coup. Le personnage de Cheonmyeong est assez drôle, d’abord parce qu’il n’était pas forcément le meilleur de disciples : il était très fort mais aussi très indiscipliné ! Du coup, il a tendance à faire un peu ce qu’il veut et finit par mener tout le monde à la baguette. Les personnages du clan Hwasan sont vite attachants et même s’ils doivent s’entrainer durement, il règne toujours une certaine légèreté ainsi que de la bonne humeur. On ne se trouve pas dans une histoire où un personnage meurt toutes les deux pages comme c’est le cas dans certains livres du genre. Le retour du clan Hwasan fait un bon début, l’histoire est sympathique et accessible à tous, l’univers n’est pas dramatique bien que sérieux de temps en temps et on a une panoplie de personnages intéressants. C’est un bon shonen d’arts martiaux. Pour information, la série est toujours en cours, 92 chapitres disponibles gratuitement sur WEBTOON et 109 chapitres en VO actuellement (saison 2). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/retour-du-clan-hwasan-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. L’histoire se passe dans l’univers des arts martiaux coréens, le Murim (article ici pour en savoir plus). Le clan Hwasan, l’un des 10 grands clans de martialistes, est parti affronté le grand maitre du culte démoniaque Cheonma. Hélas, trois générations viennent à périr, le dernier, Cheongmyeong le maitre épéiste de la fleur d’abricotier rend son dernier souffle après avoir éliminé Cheonma. Il se réincarne 100 ans plus tard dans la peau d’un jeune mendiant et découvre que le clan Hwasan a périclité. Il décide alors d’y retourner pour le faire revivre ; mais à son arrivée, il découvre un clan ruiné, les trésors ont été vendus et les techniques du clan Hwasan ont été perdues en grande majorité ! On en avait déjà parlé mais entrer dans l’univers des arts martiaux n’est pas toujours aisé car il y a beaucoup de vocabulaire particulier, heureusement Le retour du clan Hwasan fait partie des plus accessible, les mots typiques y sont expliqués et il n’y a pas trop d’informations d’un coup. Le personnage de Cheonmyeong est assez drôle, d’abord parce qu’il n’était pas forcément le meilleur de disciples : il était très fort mais aussi très indiscipliné ! Du coup, il a tendance à faire un peu ce qu’il veut et finit par mener tout le monde à la baguette. Les personnages du clan Hwasan sont vite attachants et même s’ils doivent s’entrainer durement, il règne toujours une certaine légèreté ainsi que de la bonne humeur. On ne se trouve pas dans une histoire où un personnage meurt toutes les deux pages comme c’est le cas dans certains livres du genre. Le retour du clan Hwasan fait un bon début, l’histoire est sympathique et accessible à tous, l’univers n’est pas dramatique bien que sérieux de temps en temps et on a une panoplie de personnages intéressants. C’est un bon shonen d’arts martiaux. Pour information, la série est toujours en cours, 92 chapitres disponibles gratuitement sur WEBTOON et 109 chapitres en VO actuellement (saison 2).
  15. Nickad

    Dark Gathering tomes 1 et 2

    Dark Gathering est d’abord arrivé en France via son anime (saison 1, 25 épisodes, disponible sur ADN) ; la série est en cours et compte 14 volumes actuellement. Dark gathering est un manga qui parle de phénomènes paranormaux, de fantômes, d’esprits malfaisants, de malédictions mais aussi d’amitié et d’entraide. Keitaro vient de rentrer à l’université en compagnie de son amie d’enfance Eiko, il est le major de promo mais n’a aucun ami. La raison de sa solitude provient de sa capacité à sentir les esprits mais surtout à les attirer et comme ils ne sont pas tous bienveillants, loin de là même, il a reçu une malédiction par le passé en s’en approchant trop près. Il est resté longtemps reclus à cause de ça et commence à peine à reprendre une vie normale. Dans cette optique, il décroche un job de professeur particulier, c’est là qu’il rencontre Yayoi, une jeune surdouée très étrange. En plus d’avoir un QI de 160, elle chasse les esprits et les emprisonne dans des poupées, elle espère ainsi retrouver l’esprit qui a pris l’âme de sa mère. Souvent dans ce genre d’histoire, le lecteur est confronté à tout un tas de monstre plus dégoutants les uns que les autres et l’accent est mis sur l’horreur et le visuel. Bien sûr il y a des situations effrayantes mais c’est plutôt la personnalité de Yayoi et sa façon d’être et d’agir qui provoquent une sensation de mal-être. De ce côté-là, Eiko fait aussi parfois peur mais dans un autre domaine, le seul être qui semble normal bien qu’il se traine des capacités dont il se serait bien passé, c’est Keitaro. L’histoire est bien équilibrée et tout en avançant dans la trame principale (se débarrasser de la malédiction et retrouver la mère de Yayoi), on assiste à plusieurs histoires fantastiques bien construites et intéressantes. Le graphisme est soigné, bourré de détails et sait mettre l’ambiance qu’il faut quand il le faut. Dark Gathering est un manga fantastique inquiétant qui sait susciter l’intérêt. Un bon début de série ! TRAILER DARK GATHERING
  16. Titre de l'album : Dark Gathering tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KONDÔ Kenichi Dessinateur de l'album : KONDÔ Kenichi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Il fuit les esprits, elle les traque ! Keitaro est étudiant à l'université. Par le passé, sa capacité à attirer les esprits a causé des ennuis à sa meilleure amie. Malgré cela, il accepte un emploi à temps partiel en tant que professeur particulier, mais son élève, une jeune surdouée du nom de Yayoi, devine son pouvoir au premier coup d'œil. Elle l'invite à l'accompagner dans un lieu hanté... C'est le début d'une palpitante chasse aux esprits maléfiques ! Critique : Dark Gathering est d’abord arrivé en France via son anime (saison 1, 25 épisodes, disponible sur ADN) ; la série est en cours et compte 14 volumes actuellement. Dark gathering est un manga qui parle de phénomènes paranormaux, de fantômes, d’esprits malfaisants, de malédictions mais aussi d’amitié et d’entraide. Keitaro vient de rentrer à l’université en compagnie de son amie d’enfance Eiko, il est le major de promo mais n’a aucun ami. La raison de sa solitude provient de sa capacité à sentir les esprits mais surtout à les attirer et comme ils ne sont pas tous bienveillants, loin de là même, il a reçu une malédiction par le passé en s’en approchant trop près. Il est resté longtemps reclus à cause de ça et commence à peine à reprendre une vie normale. Dans cette optique, il décroche un job de professeur particulier, c’est là qu’il rencontre Yayoi, une jeune surdouée très étrange. En plus d’avoir un QI de 160, elle chasse les esprits et les emprisonne dans des poupées, elle espère ainsi retrouver l’esprit qui a pris l’âme de sa mère. Souvent dans ce genre d’histoire, le lecteur est confronté à tout un tas de monstre plus dégoutants les uns que les autres et l’accent est mis sur l’horreur et le visuel. Bien sûr il y a des situations effrayantes mais c’est plutôt la personnalité de Yayoi et sa façon d’être et d’agir qui provoquent une sensation de mal-être. De ce côté-là, Eiko fait aussi parfois peur mais dans un autre domaine, le seul être qui semble normal bien qu’il se traine des capacités dont il se serait bien passé, c’est Keitaro. L’histoire est bien équilibrée et tout en avançant dans la trame principale (se débarrasser de la malédiction et retrouver la mère de Yayoi), on assiste à plusieurs histoires fantastiques bien construites et intéressantes. Le graphisme est soigné, bourré de détails et sait mettre l’ambiance qu’il faut quand il le faut. Dark Gathering est un manga fantastique inquiétant qui sait susciter l’intérêt. Un bon début de série ! TRAILER DARK GATHERING Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-gathering-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Bien que la série soit un enchainement de saynètes avec une suite logique, c’est-à-dire qu’il y a quand même une évolution entre les personnages et événements de l’histoire, elle ne lasse pas du tout et je suis même surprise de voir à quel point elle se lit bien. Souvent dans ce genre de format, les gags ont du mal à se renouveler et au fur et à mesure, il devient difficile d’en trouver qui fasse franchement rire. C’est un peu le cas comme dans le voie du tablier où il est difficile d’avoir plus d’1 ou 2 chapitres intéressants. Il se peut que Sleepy princess s’essouffle mais pour le moment ce n’est pas le cas. La trame reste le même dans chacun des chapitres, la princesse cherche à trouver le meilleur moyen de bien dormir, on parcourt donc tous les éléments indispensables à son bien-être : le moelleux du lit, la douceur des draps, le confort de l’oreiller… mais aussi tout l’environnement ambiant (courant d’air, bruit…). Sauf que dans le château du roi démon, les us et coutumes ne sont pas les mêmes alors la princesse recycle, dépiaute des monstres… bref quand il s’agit de dormir, elle est prête à tout et ne manque pas d’ingéniosité ! Ainsi on appréciera dans le tome 3 la vile influence du Kotetsu (table basse chauffante japonaise), la fête du père Fouettard (et oui chez les démons, le Père Noël ne passe pas) avec la princesse comme personne la moins sage de toute l’année ! Dans le tome 4, on voit l’arrivée d’Hades, le rival du roi démon qui va se faire piquer ses vêtements de façon drôlissime et aussi l’apparition de Morphée (le dieu du sommeil) qui la princesse va considérer comme son maitre, les deux ayant une passion commune. Sleepy Princess in the Demon Castle est plein de petites trouvailles, de personnages attachants et décalés et l’humour est présent partout et raisonnablement. Le manga est un pur moment de distraction propageant la bonne humeur.
  18. Titre de l'album : Sleepy Princess in the Demon Castle tomes 3 & 4 Scenariste de l'album : Kagiji Kumanomata Dessinateur de l'album : Kagiji Kumanomata Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : N'empêche... Est-ce qu'on n'aurait pas kidnappé la mauvaise princesse ?? La princesse Syalis a été kidnappée par le Roi Démon... ! Le peuple se lamente, s'indigne, et certains héros courageux décident d'aller la sauver. Pendant ce temps, au château, l'hiver est là... Enfermée dans sa prison, la princesse Syalis n'aspire qu'à une chose : dormir bien au chaud ! Pour y réussir, elle aura besoin d'un bon lit bien moelleux... et de sous-vêtements en laine !! Le troisième volume de la grande épopée fantasy comique de la princesse Syalis et de sa quête du Bon Gros Dodo ! Critique : Bien que la série soit un enchainement de saynètes avec une suite logique, c’est-à-dire qu’il y a quand même une évolution entre les personnages et événements de l’histoire, elle ne lasse pas du tout et je suis même surprise de voir à quel point elle se lit bien. Souvent dans ce genre de format, les gags ont du mal à se renouveler et au fur et à mesure, il devient difficile d’en trouver qui fasse franchement rire. C’est un peu le cas comme dans le voie du tablier où il est difficile d’avoir plus d’1 ou 2 chapitres intéressants. Il se peut que Sleepy princess s’essouffle mais pour le moment ce n’est pas le cas. La trame reste le même dans chacun des chapitres, la princesse cherche à trouver le meilleur moyen de bien dormir, on parcourt donc tous les éléments indispensables à son bien-être : le moelleux du lit, la douceur des draps, le confort de l’oreiller… mais aussi tout l’environnement ambiant (courant d’air, bruit…). Sauf que dans le château du roi démon, les us et coutumes ne sont pas les mêmes alors la princesse recycle, dépiaute des monstres… bref quand il s’agit de dormir, elle est prête à tout et ne manque pas d’ingéniosité ! Ainsi on appréciera dans le tome 3 la vile influence du Kotetsu (table basse chauffante japonaise), la fête du père Fouettard (et oui chez les démons, le Père Noël ne passe pas) avec la princesse comme personne la moins sage de toute l’année ! Dans le tome 4, on voit l’arrivée d’Hades, le rival du roi démon qui va se faire piquer ses vêtements de façon drôlissime et aussi l’apparition de Morphée (le dieu du sommeil) qui la princesse va considérer comme son maitre, les deux ayant une passion commune. Sleepy Princess in the Demon Castle est plein de petites trouvailles, de personnages attachants et décalés et l’humour est présent partout et raisonnablement. Le manga est un pur moment de distraction propageant la bonne humeur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sleepy-princess-in-the-demon-castle-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Ah, de toute la 1èere saison de l’anime, il y avait un passage que j’attendais de lire, c’est sans doute le moment le plus coquin et subjectif de l’histoire, enfin, là où j’en suis rendue !! Il se trouve dans le 6e tome au moment où Diablo doit insuffler sa magie à Rem afin de pouvoir séparer l’âme du roi-démon… Je ne vous en dis pas plus pour que vous savouriez l’instant ! Pour en revenir au tome 5, l’affrontement avec les elfes prend fin et Diablo se rend compte que dans ce monde, il s’agit de tuer ou d’être tué. Pour le moment, il n’a pas franchi le pas et a laissé la vie sauve au gouverneur Galford, mais est-ce que cette gentillesse ne le perdra pas ? Les personnages secondaires ont tous de l’importance et un rôle assez conséquent pour la suite des événements. Il y a Alicia, la chevalière qui semble vouloir l’anéantissement des humains ; Saddler, le paladin plus méchant qu’un boss de fin, Edelgard, la démone dévouée au roi démon et enfin le roi-démon ressuscité qui réserve bien des surprises. L’ensemble est harmonieux, le manga parle d’aventures, de magie, de combats mais laisse aussi une part à l’humour et à un peu d’érotisme mais sans jamais tomber dans le vulgaire. L’histoire se lit bien et elle est distrayante, fidèle à l’anime pour ceux qui l’auraient vu, c’est un bon moment de lecture et de détente. Nota : 22 tomes en cours
  20. Titre de l'album : How not to summon a demon lord tomes 5 et 6 Scenariste de l'album : MURASAKI Yukiya Dessinateur de l'album : FUKUDA Naoto Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Si tu viens me défier à nouveau, je te ferai l'honneur de t'affronter ! Keera, le prince de Greenwood, qui avait manipulé Shera grâce à un objet magique, est abattu par le gouverneur Galford et le conflit entre Elfes et Humains prend fin... Mais Galford ne s'arrête pas là et déclare à Diablo que sa grande puissance magique représente une menace qu'il doit éliminer ! Critique : Ah, de toute la 1èere saison de l’anime, il y avait un passage que j’attendais de lire, c’est sans doute le moment le plus coquin et subjectif de l’histoire, enfin, là où j’en suis rendue !! Il se trouve dans le 6e tome au moment où Diablo doit insuffler sa magie à Rem afin de pouvoir séparer l’âme du roi-démon… Je ne vous en dis pas plus pour que vous savouriez l’instant ! Pour en revenir au tome 5, l’affrontement avec les elfes prend fin et Diablo se rend compte que dans ce monde, il s’agit de tuer ou d’être tué. Pour le moment, il n’a pas franchi le pas et a laissé la vie sauve au gouverneur Galford, mais est-ce que cette gentillesse ne le perdra pas ? Les personnages secondaires ont tous de l’importance et un rôle assez conséquent pour la suite des événements. Il y a Alicia, la chevalière qui semble vouloir l’anéantissement des humains ; Saddler, le paladin plus méchant qu’un boss de fin, Edelgard, la démone dévouée au roi démon et enfin le roi-démon ressuscité qui réserve bien des surprises. L’ensemble est harmonieux, le manga parle d’aventures, de magie, de combats mais laisse aussi une part à l’humour et à un peu d’érotisme mais sans jamais tomber dans le vulgaire. L’histoire se lit bien et elle est distrayante, fidèle à l’anime pour ceux qui l’auraient vu, c’est un bon moment de lecture et de détente. Nota : 22 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-not-to-summon-a-demon-lord-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage.
  22. Titre de l'album : Harem in the fantasy world dungeon tome 8 Scenariste de l'album : SOGANO Shachi Dessinateur de l'album : HYOUJU Issei , SHIKI Dôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Grâce à leur travail d'équipe, Michio et Roxanne réussissent enfin à acculer le boss du septième étage ! Et maintenant qu'ils ont un peu de marge, Roxanne aimerait bien essayer de se servir de son skill offensif... Quand vient le soir, Michio profite de son intimité avec ses deux amies pour... tester un autre skill ? Encore ?! Critique : Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harem-in-the-fantasy-world-dungeon-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Failure frame tome 6

    Tôka a trouvé quelqu’un qui saurait où se trouve la sorcière des Tabous afin de pouvoir déchiffrer son livre. Pour arriver à ses fins, il faut qu’il convainc Eve, une femme léopard gladiatrice. Heureusement pour lui, il a les moyens de l’aider dans ses déboires personnels. Ce 6eme tome présente une coupure dans le dynamisme de l’action, un moyen de prendre le temps d’introduire les nouveaux personnages Eve, la gladiatrice et Liz, une jeune elfe noire qui vont sans doute faire un bout de chemin avec nos deux héros. Si le début est un peu lent, la fin annonce une suite prometteuse avec des combats intéressants d’autant plus que la personne qui les poursuit sans être un bon stratège. La série reste globalement assez sombre sans pour autant entrer dans l’horrifique ou le gore (quoique quand Tôka utilise ses compétences d’empoisonnement ce n’est pas très joyeux). On attend impatiemment le moment où les préparatifs seront prêts pour aller affronter la déesse Vicius mais en attendant, l’histoire est bien menée, ne s’essouffle pas et donne envie d’aller plus loin.
  24. Titre de l'album : Failure frame tome 6 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru , UCHIUCHI Keyaki Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô , KWKM Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Dans son périple pour éliminer la déesse Vicius, Tôka se procure un "masque du Seigneur des Mouches" afin de dissimuler son visage. Sous cette nouvelle identité, il espère rallier des "mercenaires" pour l'assister dans son projet. Or, selon certaines rumeurs, la plus puissante gladiatrice de la capitale, une femme-léopard du nom d'Eve Speed, connaîtrait justement la cachette de la Sorcière des Tabous. Après quelques recherches, Tôka découvre qu'Eve n'a qu'un seul objectif : secourir Liz, une jeune esclave maltraitée par sa maîtresse... Critique : Tôka a trouvé quelqu’un qui saurait où se trouve la sorcière des Tabous afin de pouvoir déchiffrer son livre. Pour arriver à ses fins, il faut qu’il convainc Eve, une femme léopard gladiatrice. Heureusement pour lui, il a les moyens de l’aider dans ses déboires personnels. Ce 6eme tome présente une coupure dans le dynamisme de l’action, un moyen de prendre le temps d’introduire les nouveaux personnages Eve, la gladiatrice et Liz, une jeune elfe noire qui vont sans doute faire un bout de chemin avec nos deux héros. Si le début est un peu lent, la fin annonce une suite prometteuse avec des combats intéressants d’autant plus que la personne qui les poursuit sans être un bon stratège. La série reste globalement assez sombre sans pour autant entrer dans l’horrifique ou le gore (quoique quand Tôka utilise ses compétences d’empoisonnement ce n’est pas très joyeux). On attend impatiemment le moment où les préparatifs seront prêts pour aller affronter la déesse Vicius mais en attendant, l’histoire est bien menée, ne s’essouffle pas et donne envie d’aller plus loin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Les éditions Mana books ont annoncé une diversification de leur catalogue manga avec la création de 5 collections (plus d'info ici). Après Les carnets de l'apothicaire, enquêtes à la cour, voici le 2e titre de la collection XOXO dédiée aux tranches de vie. How to make a delicoius coffee est un manga entièrement colorisée fini en 12 tomes qui est une collaboration entre 4 artistes dont Yuka MURAYAMA une romancière célèbre au Japon. Si l'on a l'impression au début de l'histoire de se trouver dans une cohabitation forcée entre jeunes où il risque peu à peu de se produire certains déroulements classiques (scènes où on surprend l'autre dans son intimité , relations interdites qui se développe...) on se rend compte vers la fin que la thématique sera sans doute plus complexe et s'éloignera d'une romance habituelle. Bien que les sentiments de Katsutoshi Izumi commencent à changer face à Karen, c'est bien cette dernière qui fera tout le mystère du récit. Pour le moment, on n'en sait pas plus. Le café, thématique annoncée dans le titre, serait plus un élément autour duquel les personnages vont se retrouver et échanger, un peu comme les clients qui se confient à leur coiffeur ou à un barman. Le gérant du café semble être à la fois le liant entre les autres personnages mais aussi celui qui lance des impulsions. Ce 1er tome est donc agréable et très fluide, on a un graphisme très doux dans les tons pastels. Côté scénario, on sent que la volonté sera de mettre en avant une palette de sentiments et d'émotions avec justesse et retenue. Il faudra donc attendre la suite pour savoir où l'on se situe véritablement. TRAILER
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