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  1. Nickad

    Failure frame tomes 1 et 2

    Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment.
  2. Titre de l'album : Failure frame tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : VENGEANCE DANS UN AUTRE MONDE. Tôka Mimori, lycéen aussi discret qu'un PNJ appartenant au décor, a été invoqué dans un autre monde avec ses camarades de classe afin que tous deviennent des héros. Mais tandis qu'autour de lui se succèdent les attributions de rangs S ou A, lui se voit qualifié de rang E, autrement dit bon à jeter, et se retrouve expédié au fin fond de ruines dont personne n'est jamais ressorti vivant. C'est alors qu'il découvre que ses compétences d'altération d'état, à première vue inutiles, lui permettent en fait de terrasser de puissants monstres !Je vais me rebeller contre ce monde... Avec ces capacités dont ils se sont tant moqués ! Ainsi débute le récit de vengeance de ce héros rejeté de tous aux pouvoirs hors normes, en passe de devenir un démon.En terrassant des monstres, un adolescent se métamorphose peu à peu en démon. Critique : Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire.
  4. Titre de l'album : Dragon quest : the adventure of Daï tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SANJO Riku Dessinateur de l'album : INADA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Roi du Mal est ressuscité ! Encore plus puissant qu'avant, Hadlar arrive sur l'île Dermline pour se venger de celui qui l'avait tué autrefois : Avan. Celui-ci n'a d'autre choix que d'affronter son ennemi de toujours pour protéger ses disciples. Mais sera-t-il à la hauteur pour terrasser Hadlar, alors qu'il vient de consommer presque toute son énergie pour l'entraînement de Daï ? Critique : Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dragon-quest-the-adventure-of-dai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 5

    Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome.
  6. Titre de l'album : Danmachi épisode Ryû tome 5 Scenariste de l'album : OMORI Fujino Dessinateur de l'album : MOMOYAMA Hinase Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Grâce aux remerciements de Syl, le cœur de Ryû vient enfin d’être délivré du passé qui le retenait prisonnier… Ayant choisi d’aller de nouveau vers l’avant, elle décide de montrer sa gratitude envers Syl, mais…Dans le même temps, Lunoa et Chloé qui espionnaient Ryû semblent perplexes en constatant le changement d’attitude de leur cible. Leur lourd passé et leurs raisons de se battre sont enfin dévoilés… Critique : Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dan-machi-familia-chronicle-episode-ryu-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Phantom Seer tome 1

    Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte.
  8. Titre de l'album : Phantom Seer tome 1 Scenariste de l'album : GOTO Tôgo Dessinateur de l'album : MATSUURA Kento Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Issu d'une lignée qui fait trembler les créatures paranormales, Iori est un puissant médium capable d'exorciser les esprits malfaisants appelés "phantom". Or, ce lycéen fainéant, égoïste et désagréable ne rêve que d'une chose : une vie banale. Tout le contraire de Riku, une camarade populaire et altruiste... mais qui attire tous les phantom alentour ! Lorsqu'on assigne à Iori la protection de Riku, les deux camarades décident de collaborer pour, peut-être, changer leurs destins... Critique : Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phantom-seer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll.
  10. Titre de l'album : Re:zero - 4eme arc : Le sanctuaire de la sorcière de l'Avarice tome 2 Scenariste de l'album : NAGATSUKI Tappei Dessinateur de l'album : ATORI Haruno Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Subaru Natsuki, un lycéen subitement invoqué dans un autre monde, a pénétré avec Émilia dans le Sanctuaire où se trouvent Ram et Roswaal. Afin de résoudre les problèmes de cette terre à l’histoire compliquée, une épreuve leur est imposée. Néanmoins, celle-ci s’avère pour le moins déstabilisante... Critique : Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/re-zero-arc-4-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus.
  12. Titre de l'album : La lame de la rébellion tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : TSUBAKI Taro Dessinateur de l'album : TSUBAKI Taro Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Japon, 1570. Décidé à mettre fin au règne d'Oda Nobunaga qui lui a infligé tant de souffrances, Asuka Asagiri s'empare d'une antique épée dotée d'une puissance hors norme. Mais l'intervention de la mystérieuse Sôki, détentrice du collier de la soumission qui lui permet de totalement contrôler une personne, bouleverse son plan. Critique : Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-lame-de-la-rebellion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Team Phoenix tome 1

    Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce
  14. Titre de l'album : Team Phoenix tome 1 Scenariste de l'album : RUIZ Kenny / TEZUKA Osamu Dessinateur de l'album : RUIZ Kenny Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : La Grande Guerre qui fit rage entre les espèces vivantes et les robots se solda par la victoire de ses derniers. Après des décennies de conflit émergeait ainsi l'Union Robotique, un gouvernement totalitaire dirigé par le puissant Atlas. Sous son régime, ceux jugés utiles reçoivent « un permis de vivre » délivré par le gouvernement. Pour les autres, c'est la mort. Une poignée de rebelles, survivants de l'ancienne Alliance Biologique, lui résiste. Au sein de cette résistance se forme bientôt une nouvelle équipe de champions : la Team Phoenix. Critique : Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/team-phoenix-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Fire force t20-21

    Pfffff comme c'est bon. Et comme j'ai bien fait d'écouter mon fiston. J'avais un peu laché l'affaire sur Fire force. Trop de truc à lire, trop de séries en cours.... et il y avait un temp mort. Mon fils m'a seriné durant des jours me disant qu'il fallait que je me remette à jour alors un jour ou j'avais envie de ne pas reflechir je l'ai écouté et j'ai vraiment bien fait. Ces deux tomes sont excellents. Tout bouge ! le grand prédicateur, l'empire, la 8 ieme brigade, les pouvoirs de Shinra et d'Arthur, le capitaine Obi.... tout ! Un rythme de dingue, des combats de folie, des retournements de situations, des personnages qui vont au bout d'eux même et un suspens insoutenable. On ferme ce tome comme on peut fermer les meilleurs tomes des séries de Shonen : avec une furieuse envie de lire la suite ! C'est de la lecture détente mais de la bonne. Une lecture qui nous fait oublier des les premiers pages les soucis du quotidien et qui nous plonge au plein coeur d'une aventure démentielle. J'en veux encore ! et vite !
  16. Titre de l'album : Fire force t20-21 Scenariste de l'album : Atsushi Ohkubo Dessinateur de l'album : Atsushi Ohkubo Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L'église du Saint-Soleil s'est alliée avec le Grand Prédicateur, et le capitaine Ôbi de la 8e brigade a été emprisonné. Afin de sauver leur capitaine, Shinra et ses camarades, poursuivis par l'empire, vont s'introduire dans la grande prison de Fuchû avec l'aide du mystérieux Joker. Mais le capitaine Barns de la 1re brigade et les Exterminateurs, des experts en combat contre les détenteurs de pouvoirs, les attendent de pied ferme ! Face à Barns, le plus puissant adversaire qu'il ait jamais affronté, Shinra va devoir montrer que l'entraînement suivi à Asakusa a porté ses fruits ! Critique : Pfffff comme c'est bon. Et comme j'ai bien fait d'écouter mon fiston. J'avais un peu laché l'affaire sur Fire force. Trop de truc à lire, trop de séries en cours.... et il y avait un temp mort. Mon fils m'a seriné durant des jours me disant qu'il fallait que je me remette à jour alors un jour ou j'avais envie de ne pas reflechir je l'ai écouté et j'ai vraiment bien fait. Ces deux tomes sont excellents. Tout bouge ! le grand prédicateur, l'empire, la 8 ieme brigade, les pouvoirs de Shinra et d'Arthur, le capitaine Obi.... tout ! Un rythme de dingue, des combats de folie, des retournements de situations, des personnages qui vont au bout d'eux même et un suspens insoutenable. On ferme ce tome comme on peut fermer les meilleurs tomes des séries de Shonen : avec une furieuse envie de lire la suite ! C'est de la lecture détente mais de la bonne. Une lecture qui nous fait oublier des les premiers pages les soucis du quotidien et qui nous plonge au plein coeur d'une aventure démentielle. J'en veux encore ! et vite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fire-force-tome-21?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Tower of God tome 4

    Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon).
  18. Titre de l'album : Tower of God tome 4 Scenariste de l'album : SIU Dessinateur de l'album : SIU Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Pour celles et ceux qui réussissent à atteindre son sommet, il n’est aucun désir que la Tour de Dieu ne puisse exaucer. Seulement, combien y parviennent ? Pour le protéger, Bam a été contraint de parier le Mars Noir avec Anak. Khun, Rak et lui n’ont plus d’autres choix que de gagner le jeu de la couronne... Leur entrée en scène s’est bien passée puisqu’ils se sont emparés du précieux couvre-chef. Toutefois, Khun l’a immédiatement rejeté entre leurs ennemis en se moquant d’eux, excitant leur colère ! Qu’a-t-il en tête ? Critique : Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tower-of-god-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Ces deux tomes marquent la fin de l’épisode du « désastre », quelques combats mais surtout des révélations sur le passé d’Akira, de Yuri, de Mion, des observateurs... On commence à comprendre quels sont les objectifs d’un tel jeu. Mais surtout il y a une conversation entre Akira et Kumagiri sur la confiance : qu’est-ce que c’est et comment l’accorder/l’obtenir. Cela va avoir des conséquences sur Akira qui va devoir se remettre en cause mais cela va lui permettre d’évoluer. Tout en ayant toujours beaucoup d’action, le manga gagne en profondeur, Akira et Otomo ne sont pas là par hasard (entre autre). Et s’il y a parfois des longueurs, le manga continue à être intéressant d’autant plus qu’il est servi par un graphisme adéquate, dynamique et détaillé. On continuera donc de le lire.
  20. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tomes 16 et 17 Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou Dessinateur de l'album : KASHIWA Miyako Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Le Désastre se clôture enfin! Akira va faire un choix radical pour se prouver quelque chose. Akira a perdu plusieurs camarades brutalement assassinés par Leonhardt. Au moment où il s'échappe du parc d'attractions qui est en train de s'effondrer, Akira prend une décision. Le Désastre se clôt sur un rebondissement que personne n'avait prévu ! Critique : Ces deux tomes marquent la fin de l’épisode du « désastre », quelques combats mais surtout des révélations sur le passé d’Akira, de Yuri, de Mion, des observateurs... On commence à comprendre quels sont les objectifs d’un tel jeu. Mais surtout il y a une conversation entre Akira et Kumagiri sur la confiance : qu’est-ce que c’est et comment l’accorder/l’obtenir. Cela va avoir des conséquences sur Akira qui va devoir se remettre en cause mais cela va lui permettre d’évoluer. Tout en ayant toujours beaucoup d’action, le manga gagne en profondeur, Akira et Otomo ne sont pas là par hasard (entre autre). Et s’il y a parfois des longueurs, le manga continue à être intéressant d’autant plus qu’il est servi par un graphisme adéquate, dynamique et détaillé. On continuera donc de le lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    My Hero Academia Smash tome 1

    Vous connaissez les gags en 4 cases, appelés yonkoma, que l’on trouve parfois à la fin d’un chapitre ou à la fin d’un tome ? C’est le principe ici : Hirofumi NEDA reprend le déroulé de My Hero Academia et le décline en yonkoma en proposant une variante humoristique. Il signe d’ailleurs avec ce titre son 1er manga qui est fini en 5 tomes. Si le manga original ne manque pas d’humour, cette déclinaison n’en manque pas non plus, on s’amuse à retrouver les personnages dans des situations variées avec des réflexions un peu plus cash parfois. Côté graphisme, l’auteur s’est appliqué on reconnait bien les héros et chaque case est travaillée avec décor et arrière-plan (ce n’est pas toujours le cas dans ce format). Le manga peut être lu par ceux qui ne connaitraient pas encore la série, cela permet de découvrir l’univers, les personnages, suivre globalement l’intrigue par contre, il ne faut pas s’attacher aux détails car cela reste une variante. Pour les fans de la 1ere heure, c’est le petit plus humoristique agréable et bien fait qui permet de prolonger le plaisir. En plus, comme ce sont des gags, on n’est pas obligé de lire le livre en 1 fois. Pour information, le film My Hero Academia : World Heroes’ Missions est sorti le 26 janvier au cinéma.
  22. Titre de l'album : My Hero Academia Smash tome 1 Scenariste de l'album : NEDA Hirofumi Dessinateur de l'album : NEDA Hirofumi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Et si All Might ne perdait pas de kilos en même temps que sa force, mais... en gagnait ? Et si Izuku devenait accro aux achats en ligne dans sa quête de puissance ? Et si Katsuki était fait pour être baby-sitter sans le savoir ? Toutes les situations les plus improbables que vous ayez jamais imaginées en lisant My Hero Academia rassemblées dans une série de gags plus fous les uns que les autres ! Retrouvez tous les personnages du manga phénomène dans un recueil d'histoires courtes à l'humour déjanté ! Sans tabou ni limites, cette parodie plus ultra vous fera découvrir vos héros sous un nouveau jour ! Critique : Vous connaissez les gags en 4 cases, appelés yonkoma, que l’on trouve parfois à la fin d’un chapitre ou à la fin d’un tome ? C’est le principe ici : Hirofumi NEDA reprend le déroulé de My Hero Academia et le décline en yonkoma en proposant une variante humoristique. Il signe d’ailleurs avec ce titre son 1er manga qui est fini en 5 tomes. Si le manga original ne manque pas d’humour, cette déclinaison n’en manque pas non plus, on s’amuse à retrouver les personnages dans des situations variées avec des réflexions un peu plus cash parfois. Côté graphisme, l’auteur s’est appliqué on reconnait bien les héros et chaque case est travaillée avec décor et arrière-plan (ce n’est pas toujours le cas dans ce format). Le manga peut être lu par ceux qui ne connaitraient pas encore la série, cela permet de découvrir l’univers, les personnages, suivre globalement l’intrigue par contre, il ne faut pas s’attacher aux détails car cela reste une variante. Pour les fans de la 1ere heure, c’est le petit plus humoristique agréable et bien fait qui permet de prolonger le plaisir. En plus, comme ce sont des gags, on n’est pas obligé de lire le livre en 1 fois. Pour information, le film My Hero Academia : World Heroes’ Missions est sorti le 26 janvier au cinéma. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-hero-academia-smash-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Dead mount death play tome 7

    Avant toute chose, voici une petite présentation de la série : Dead mount death play est ce qu’on pourrait appeler un isekai inversé : au lieu qu’un habitant de notre monde se retrouve propulsé dans un autre monde (souvent de fantasy), ici, un squelette/démon nécromancien appelé « le maitre des corps » et soi-disant étant le pire ennemi de l’humanité dans son monde, se retrouve réincarné/projeté dans le corps d’un adolescent dont la gorge vient d’être tranchée, Polka. Bien qu’il soit arrivé dans notre monde avec ses pouvoirs, le nouveau Polka a bien du mal à s’en servir car sa magie se recharge avec des pierres précieuses qu’il n’a pas les moyens d’acheter ici. En plus l’ancien Polka étant la cible d’une tueuse déjantée, il se retrouve dans un milieu un peu obscur où pègre et force de police, tous un peu borderline, s’affrontent. Il va finir par faire équipe avec la tueuse Misaki, le hacker Takumi, grâce à ses pouvoirs, préserver l’âme du véritable Polka. On va ensuite découvrir plusieurs adversaires dont certains semblent également détenir des pouvoirs et une mystérieuse organisation maléfique Sabaramondo. Ce 7eme volume comprend des éléments importants car on en apprend plus sur la taupe de l’organisation au sein de la police, sur le passé du nouveau Polka. Ces derniers événements vont l’obliger à prendre une décision importante qui va changer la suite du manga. Plusieurs points intéressants dans ce manga, d’abord, le principe d’isekai inversé, ensuite le milieu dans lequel se retrouve le personnage principal : ici, la barrière entre bien et mal n’est pas bien définie, il y a des mafieux qui protègent des innocents, des policiers violents qui se moquent des règles, des tueurs mystérieux et des soi-disant malfaiteurs qui recherchent la vérité. Le manga mêle action, fantastique, enquête, c’est un bon shonen qui mérite le détour. 8 tomes en cours
  24. Titre de l'album : Dead mount death play tome 7 Scenariste de l'album : NARITA Ryohgo Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Shinta Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Grâce au Maître des corps, Hosorogi prend contact avec Iwanome pour l'avertir d'un danger imminent. Le lieutenant découvre ainsi que l'assassin de son ancien collègue n'est autre que le commissaire Habaki... Mais alors qu'il tente de le neutraliser, le poste de police est assailli par les pantins du Pyro-Bug ! Au même moment, de nouveaux individus aux étranges pouvoirs font leur apparition et semblent prêts à tout pour mettre la main sur le nécromancien... Polka parviendra-t-il à échapper à son passé ? Critique : Avant toute chose, voici une petite présentation de la série : Dead mount death play est ce qu’on pourrait appeler un isekai inversé : au lieu qu’un habitant de notre monde se retrouve propulsé dans un autre monde (souvent de fantasy), ici, un squelette/démon nécromancien appelé « le maitre des corps » et soi-disant étant le pire ennemi de l’humanité dans son monde, se retrouve réincarné/projeté dans le corps d’un adolescent dont la gorge vient d’être tranchée, Polka. Bien qu’il soit arrivé dans notre monde avec ses pouvoirs, le nouveau Polka a bien du mal à s’en servir car sa magie se recharge avec des pierres précieuses qu’il n’a pas les moyens d’acheter ici. En plus l’ancien Polka étant la cible d’une tueuse déjantée, il se retrouve dans un milieu un peu obscur où pègre et force de police, tous un peu borderline, s’affrontent. Il va finir par faire équipe avec la tueuse Misaki, le hacker Takumi, grâce à ses pouvoirs, préserver l’âme du véritable Polka. On va ensuite découvrir plusieurs adversaires dont certains semblent également détenir des pouvoirs et une mystérieuse organisation maléfique Sabaramondo. Ce 7eme volume comprend des éléments importants car on en apprend plus sur la taupe de l’organisation au sein de la police, sur le passé du nouveau Polka. Ces derniers événements vont l’obliger à prendre une décision importante qui va changer la suite du manga. Plusieurs points intéressants dans ce manga, d’abord, le principe d’isekai inversé, ensuite le milieu dans lequel se retrouve le personnage principal : ici, la barrière entre bien et mal n’est pas bien définie, il y a des mafieux qui protègent des innocents, des policiers violents qui se moquent des règles, des tueurs mystérieux et des soi-disant malfaiteurs qui recherchent la vérité. Le manga mêle action, fantastique, enquête, c’est un bon shonen qui mérite le détour. 8 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dead-mount-death-play-tome-7/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    La gameuse et son chat tome 6

    Kozakura a maintenant deux jeunes chats, elle continue à découvrir leurs comportements individuels et collectifs, et fidèle à elle-même, à comparer avec ses jeux vidéo. Elle découvre ainsi que les chats se reconnaissent à l’odeur, qu’ils ne voient pas très bien, que les accessoires qu’elle trouve utiles ne sont pas vus de la même manière par les chats, que leur pelage est plus épais en hiver et qu’ils dorment n’importe comment. Si le manga n’est pas déplaisant et que les histoires de chats rigolos et mignons attirent toujours les foule (pour preuve, la multitude de vidéos de chats sur le web), le côté jeu vidéo à des limites. Voir Kozakura jouer n’est pas particulièrement passionnant et son parallèle entre ses personnages de jeux et ses animaux n’intéressera que les joueurs. Le manga plaira encore plus à ceux qui ont un chat chez eux en se disant que le leur fait aussi ce genre de choses et pourront peut-être en apprendre un peu plus sur certains comportements. Le livre reste sympathique dans l’ensemble et comme les chats grandissent, leurs manières d’être évoluant, l’auteur a encore de quoi écrire de nombreux chapitres.
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