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  1. Titre de l'album : Le Scorpion - Tome 14 - La tombe d'un dieu Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Luigi Critone Coloriste : Luigi Critone Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Au Caire, le Scorpion a retrouvé Méjaï. Mais elle lui a interdit de se mêler de sa vie et de celle de leur enfant... qui semble avoir disparu. À bord d'une felouque descendant les eaux du Nil, le Scorpion compte bien découvrir la vérité, mais il a besoin d'argent. Ainsi se remet-il au service de la Sabbatéenne, une femme plus dangereuse encore, capable de percer les mystères du passé. La Sabbatéenne s'est lancée sur les traces du plus mystérieux des pharaons, Akhenaton, l'inventeur du dieu unique. Elle est persuadée qu'en trouvant sa tombe, elle pourra faire le lien avec son grand prêtre Tamose, le Moïse de la Bible, et l'exode vers la Palestine, aujourd'hui revendiquée par les juifs, les musulmans et les chrétiens d'Occident. Mais la quête tourne mal. Des hommes armés les attaquent. Le trésor de la tombe d'Akhenaton attire toutes les convoitises, et particulièrement celles du puissant Al Kabir, le maître de Méjaï qui possède la clé de ses secrets. Deuxième volet d'un nouveau cycle de la saga Le Scorpion, cet album, qui conjugue l'exotisme et la grande aventure chère à Stephen Desberg, est magnifié par le coup de pinceau et les couleurs éclatantes de Luigi Critone, digne successeur d'Enrico Marini. Critique : Mettons les choses au clair d'emblée, je suis un immense fan de la série Le Scorpion tant elle a enchanté ma passion pour la bd. La passation d'auteur entre Enrico Marini et Luigi Critone s'avérait donc périlleuse, et le tome 13, le précédent avait été plutôt rassurant finalement avec le démarrage d'un nouveau cycle. Las, je vous le dis sans cachotterie, quand j'ai reçu ce tome du Scorpion, c'est finalement la dernière bd que j'ai lue de ma commande. Et ce n'est pas vraiment bon signe tant je privilégie habituellement les séries plaisir, au rang duquel Le Scorpion fait habituellement figure de favori. Oui en feuilletant au préalable ce tome je n'ai pas eu envie de le lire plus que ça. Une impression d'ennui, d'une forme de statique dans le dessin, et certaines colorisation manquant de nuances pour moi m'ont refroidi. Méjaï a perdu de son charme et ce n'est pas peu significatif. C'était mes premières impression, et la lecture devait me dire si j'étais à côté de la plaque ou non. Le bilan est mitigé. Si globalement je ne me suis pas ennuyé, et que j'ai aimé les ramifications de l'enquêtes que Le Scorpion mène cette fois-ci, j'ai tout de même trouvé les scènes d'actions très plates, les scènes de séduction fades, et les couleurs parfois gênantes. Le soucis est que si l'idée de base de la série Le Scorpion avec ces "familles" imaginant la création d'une église catholique visant à préserver leurs intérêts était brillante, une fois ce cycle refermé la suite est compliquée. Alors même si Stephen Desberg nous livre un scénario intéressant, la baisse de l'ambiance film de Cape et d'épée d'époque que Marini avait su insuffler à sa série est désormais préjudiciable je trouve, et les passages narratifs ou les échanges un peu trop verbeux ne font que renforcer cette impression. Pourtant les dessins de Luigi Critone sont beaux, simplement les qualités de son dessin ne sont pas les mêmes que celles du dessin de son prédécesseur, et ce dynamisme bloque le souffle d'aventure épique qui devrait régner en maître sur cette série. Oui le tout manque de panache. Ce tome 14 marque donc pour moi le changement de style de la série Le Scorpion, et son retour dans le plus relatif anonymat des séries BD de qualité mais qui ne sont pas marquantes pour autant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-scorpion-tome-14-la-tombe-d-un-dieu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Mettons les choses au clair d'emblée, je suis un immense fan de la série Le Scorpion tant elle a enchanté ma passion pour la bd. La passation d'auteur entre Enrico Marini et Luigi Critone s'avérait donc périlleuse, et le tome 13, le précédent avait été plutôt rassurant finalement avec le démarrage d'un nouveau cycle. Las, je vous le dis sans cachotterie, quand j'ai reçu ce tome du Scorpion, c'est finalement la dernière bd que j'ai lue de ma commande. Et ce n'est pas vraiment bon signe tant je privilégie habituellement les séries plaisir, au rang duquel Le Scorpion fait habituellement figure de favori. Oui en feuilletant au préalable ce tome je n'ai pas eu envie de le lire plus que ça. Une impression d'ennui, d'une forme de statique dans le dessin, et certaines colorisation manquant de nuances pour moi m'ont refroidi. Méjaï a perdu de son charme et ce n'est pas peu significatif. C'était mes premières impression, et la lecture devait me dire si j'étais à côté de la plaque ou non. Le bilan est mitigé. Si globalement je ne me suis pas ennuyé, et que j'ai aimé les ramifications de l'enquêtes que Le Scorpion mène cette fois-ci, j'ai tout de même trouvé les scènes d'actions très plates, les scènes de séduction fades, et les couleurs parfois gênantes. Le soucis est que si l'idée de base de la série Le Scorpion avec ces "familles" imaginant la création d'une église catholique visant à préserver leurs intérêts était brillante, une fois ce cycle refermé la suite est compliquée. Alors même si Stephen Desberg nous livre un scénario intéressant, la baisse de l'ambiance film de Cape et d'épée d'époque que Marini avait su insuffler à sa série est désormais préjudiciable je trouve, et les passages narratifs ou les échanges un peu trop verbeux ne font que renforcer cette impression. Pourtant les dessins de Luigi Critone sont beaux, simplement les qualités de son dessin ne sont pas les mêmes que celles du dessin de son prédécesseur, et ce dynamisme bloque le souffle d'aventure épique qui devrait régner en maître sur cette série. Oui le tout manque de panache. Ce tome 14 marque donc pour moi le changement de style de la série Le Scorpion, et son retour dans le plus relatif anonymat des séries BD de qualité mais qui ne sont pas marquantes pour autant.
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