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  1. Kevin Nivek

    Bunkerville

    Titre de l'album : Bunkerville Scenariste de l'album : Pascal Chind , Benjamin Legrand Dessinateur de l'album : Vincenzo Baldano Coloriste : Vincenzo Baldano Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Laurel, un jeune golden boy mélancolique, s'enfonce dans l'océan pour rejoindre dans la mort Éléonore, l'amour de sa vie. Mais lorsque ce dernier rouvre les yeux, il se retrouve sur une île flottante mécanisée où a été construite une vieille cité rafistolée à l'aspect très vernien. Enveloppée d'un épais brouillard, Bunkerville fut bâtie au milieu du XIXe siècle par un riche industriel. L'homme voulait offrir à son fils, atteint d'un trouble mental, une vie « normale » en créant un monde clos et autonome avec une population qui lui ressemble... Critique : Après Arcadium sorti en fin d'année dernière , les éditions Ankama poursuivent leurs parutions d'ovnis graphiques . Dans ce bel ouvrage à la reliure soignée , vous découvrirez l'aquarelle de Vincenzo Balzano , et ce dernier jouissant d'une grande liberté pour mettre en page cet univers onirique , a pu démontrer tout son talent . Ce projet , né dans l'imaginaire de Pascal Chind devait voir le jour au cinéma , mais il du se rendre à l'évidence face aux obstacles , pour le réaliser dans le monde du 9ème art . L'auteur du Transperceneige Benjamin Legrand l'accompagna et le scénario définitif à 4 mains pris forme . Les influences sont diverses et variées pour illustrer un tel monde , on passe de Alice au pays des merveilles , Horologiom voire Monsieur Mardi-Gras Descendres , tout ceci sur fond de steampunk aux "rouages" nombreux ! Notre héros va découvrir cette île mécanique et labyrinthique pour une plongée dans les abysses de la folie . En ces lieux torturés , géographiquement , culturellement et politiquement , il espère retrouver un amour perdu . Le lecteur s'immerge avec lui et tourne les pages avec espoir d'y trouver un peu de lumière et de clarté , car tout est flou , sombre et empreint de menace dans cette ville . Les auteurs ne nous ménagent pas , et il est parfois difficile de saisir les détails , voire de comprendre certaines cases , le livre mérite assurément des relectures . Il faut reconnaître les prouesses réalisées par l'artiste italien , avec son aquarelle remarquable de finesse et sa vision personnelle de ce monde totalement illogique . Les symboles sont nombreux , tels le deuil , le suicide , la rédemption , Bunkerville agit comme une machine à laver l'esprit du héros . Le suspens est palpable , comment va t'il s'en sortir , et surtout , retrouvera t'il sa bien-aimée ?? Plongez si vous l'osez dans les méandres de l'île machine Bunkerville pour le découvrir 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bunkerville/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Bunkerville

    Après Arcadium sorti en fin d'année dernière , les éditions Ankama poursuivent leurs parutions d'ovnis graphiques . Dans ce bel ouvrage à la reliure soignée , vous découvrirez l'aquarelle de Vincenzo Balzano , et ce dernier jouissant d'une grande liberté pour mettre en page cet univers onirique , a pu démontrer tout son talent . Ce projet , né dans l'imaginaire de Pascal Chind devait voir le jour au cinéma , mais il du se rendre à l'évidence face aux obstacles , pour le réaliser dans le monde du 9ème art . L'auteur du Transperceneige Benjamin Legrand l'accompagna et le scénario définitif à 4 mains pris forme . Les influences sont diverses et variées pour illustrer un tel monde , on passe de Alice au pays des merveilles , Horologiom voire Monsieur Mardi-Gras Descendres , tout ceci sur fond de steampunk aux "rouages" nombreux ! Notre héros va découvrir cette île mécanique et labyrinthique pour une plongée dans les abysses de la folie . En ces lieux torturés , géographiquement , culturellement et politiquement , il espère retrouver un amour perdu . Le lecteur s'immerge avec lui et tourne les pages avec espoir d'y trouver un peu de lumière et de clarté , car tout est flou , sombre et empreint de menace dans cette ville . Les auteurs ne nous ménagent pas , et il est parfois difficile de saisir les détails , voire de comprendre certaines cases , le livre mérite assurément des relectures . Il faut reconnaître les prouesses réalisées par l'artiste italien , avec son aquarelle remarquable de finesse et sa vision personnelle de ce monde totalement illogique . Les symboles sont nombreux , tels le deuil , le suicide , la rédemption , Bunkerville agit comme une machine à laver l'esprit du héros . Le suspens est palpable , comment va t'il s'en sortir , et surtout , retrouvera t'il sa bien-aimée ?? Plongez si vous l'osez dans les méandres de l'île machine Bunkerville pour le découvrir 😉
  3. Quelle attente pour ce projet de Moreno , l'illustre auteur du chef d'oeuvre steampunk en collaboration avec Corbeyran : Le régulateur ! Par convictions personnelles , il a souhaité se retirer du monde de l'édition "traditionnel" et lancer son projet en financement participatif sur Ulule , en janvier 2020 ! Du retard et encore du retard pour cet accouchement long et difficile . 3 ans plus tard donc , un peu plus de 1OOO contributeurs ont reçu leur bien en version améliorée , pendant que les éditions Snorgleux ( spécialiste des rééditions de luxe et autres tirages de tête) le publient en une version "commerce" de très bonne qualité . Grand fan de la série Le régulateur , j'attendais cette sortie avec impatience . Moreno est rare et précieux , en atteste son trait toujours aussi précis , l'univers métallique style Eiffel , est repris avec panache . Une fois de plus , les planches sont superbes , cet univers steampunk est magnifiquement imagé à travers l'architecture et autres engins mobiles volants . Il nous offre des courses poursuites très dynamiques , ainsi que des successions de petites cases décrivant des combats d'une précision d'orfèvre . L'art du mouvement dans toute sa splendeur . Je mettrais un léger bémol sur les couleurs un peu ternes , par rapport au Régulateur où son frère l'aidait . L'atout principal de Moreno étant le dessin ,vous l'aurez compris , il peine un peu sur le scénario . N'est pas Corbeyran qui veut ! L'histoire débute par le massacre d'une riche famille , et nous fait découvrir cette police annexe féminine spécialisée dans les crimes particuliers . L'enquête peut démarrer avec tout le classicisme qui la caractérise : interrogation des témoins , géographie des crimes , passé des victimes etc ... Un soupçon de convenu avec un final pourtant riche en surprises , mais qui tombent un peu comme le cheveux dans la soupe . Le récit propose un début et une fin , mais laisse une porte ouverte à d'autres aventures dans cet univers qu'il dépeint si bien . Je le conseillerais vraiment aux amoureux du style steampunk et du dessin de Moreno , mais si vous n'avez jamais lu le Régulateur , foncez sur cette série incroyable 😉
  4. Titre de l'album : Steamygal , L'enfer est dans mon foyer Scenariste de l'album : Marc Moreno Dessinateur de l'album : Marc Moreno Coloriste : Marc Moreno Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Quadruple Homicide par démembrement dans les quartiers chics d'Atmopolis. Violent, barbare mais surtout surnaturel de par le profil qui se dégage des meurtriers. Le témoignage de Salvie, une enfant qui a réchappé au carnage, est incompéhensible car il fait état de créatures démesurées et littéralement bestiales. Mais comme ondit dans la rue : "quand le diable s'en mêle, les steamyg' on appelle". Critique : Quelle attente pour ce projet de Moreno , l'illustre auteur du chef d'oeuvre steampunk en collaboration avec Corbeyran : Le régulateur ! Par convictions personnelles , il a souhaité se retirer du monde de l'édition "traditionnel" et lancer son projet en financement participatif sur Ulule , en janvier 2020 ! Du retard et encore du retard pour cet accouchement long et difficile . 3 ans plus tard donc , un peu plus de 1OOO contributeurs ont reçu leur bien en version améliorée , pendant que les éditions Snorgleux ( spécialiste des rééditions de luxe et autres tirages de tête) le publient en une version "commerce" de très bonne qualité . Grand fan de la série Le régulateur , j'attendais cette sortie avec impatience . Moreno est rare et précieux , en atteste son trait toujours aussi précis , l'univers métallique style Eiffel , est repris avec panache . Une fois de plus , les planches sont superbes , cet univers steampunk est magnifiquement imagé à travers l'architecture et autres engins mobiles volants . Il nous offre des courses poursuites très dynamiques , ainsi que des successions de petites cases décrivant des combats d'une précision d'orfèvre . L'art du mouvement dans toute sa splendeur . Je mettrais un léger bémol sur les couleurs un peu ternes , par rapport au Régulateur où son frère l'aidait . L'atout principal de Moreno étant le dessin ,vous l'aurez compris , il peine un peu sur le scénario . N'est pas Corbeyran qui veut ! L'histoire débute par le massacre d'une riche famille , et nous fait découvrir cette police annexe féminine spécialisée dans les crimes particuliers . L'enquête peut démarrer avec tout le classicisme qui la caractérise : interrogation des témoins , géographie des crimes , passé des victimes etc ... Un soupçon de convenu avec un final pourtant riche en surprises , mais qui tombent un peu comme le cheveux dans la soupe . Le récit propose un début et une fin , mais laisse une porte ouverte à d'autres aventures dans cet univers qu'il dépeint si bien . Je le conseillerais vraiment aux amoureux du style steampunk et du dessin de Moreno , mais si vous n'avez jamais lu le Régulateur , foncez sur cette série incroyable 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/steamygal/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Terra Prohibita t2 (fin de cycle) Scenariste de l'album : Denis-Pierre Filippi Dessinateur de l'album : Patrick Laumond Coloriste : Arancia Studio Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : La vérité n'est pas toujours bonne à dire. Il est trop tard pour reculer. L'équipe menée par Dorian Singer touche au but. Les origines de la contamination qui a transformé l'Angleterre en une jungle hostile et luxuriante seront bientôt révélées. Mais on ne s'approche pas aussi près d'une gênante vérité sans provoquer de l'agressivité et les autorités gouvernementales semblent de plus en plus hostiles. Tout s'accélère, chaque nouvelle découverte est plus effroyable que la précédente, chaque pas fait tomber un nouveau masque...Soutenu par un tempo en prise de vitesse constante, Denis-Pierre Filippi parvient, dans le dénouement de Terra prohibita, à jongler entre des scènes d'action explosives et de précieux moments d'intimité. La fin d'un récit au coeur d'un monde « steampunk végétal » aussi troublant que fascinant et brillamment mis en images par Patrick Laumond Critique : C'est marrant comment l'on peut présenter différemment un meme album. Le résumé ici present (de l'éditeur) dit : .Soutenu par un tempo en prise de vitesse constante. Moi je dis : Cela va beaucoup trop vite. Mais vraiment. En effet cela va tellement vite que l'on ne comprend pas tout ce qu'il se passe car nos auteurs sont obligés de faire passer énormement d'informations dans peu de cases. Trop vite car les scène de combats ne laissent aucune place pour bien voir qui meurt quand. Cela créé un flou qui fait que l'on se retrouve à la fin avec un : ben mince les autres ils sont ou ? tous mort ? A non.... à si... ben quand ?.... Alors c'est certes un appel à relecture pour essayer de bien comprendre ce qu'il se passe. Mais est-ce un gage de qualité que de demander au lecteur de lire deux fois un album pour bien comprendre ce qu'il se passe ? Moi j'aurais tendance à dire non. Et à surtout dire que c'est dommage car l'univers est toujours vraiment très sympa et graphiquement le bestiaires et l'apsect steampunk sont super bien rendu. J'ai donc du changer ma note 3 fois...pour finir par la version gentille 🙂 En partant du principe que j'ai lu ca tard le soir et que je n'étais peut etre pas dans de bonnes dispositions. Meme si, pour répéter ce que j'ai dit plus haut, une bonne BD ne nécessite pas de bonne disposition car elle les impose en captivant le lecteur. Une BD qui nécessite d'être au calme et bien reposé est, de ce fait, une BD à qui il manque quelque chose. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terra-prohibita-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. C'est marrant comment l'on peut présenter différemment un meme album. Le résumé ici present (de l'éditeur) dit : .Soutenu par un tempo en prise de vitesse constante. Moi je dis : Cela va beaucoup trop vite. Mais vraiment. En effet cela va tellement vite que l'on ne comprend pas tout ce qu'il se passe car nos auteurs sont obligés de faire passer énormement d'informations dans peu de cases. Trop vite car les scène de combats ne laissent aucune place pour bien voir qui meurt quand. Cela créé un flou qui fait que l'on se retrouve à la fin avec un : ben mince les autres ils sont ou ? tous mort ? A non.... à si... ben quand ?.... Alors c'est certes un appel à relecture pour essayer de bien comprendre ce qu'il se passe. Mais est-ce un gage de qualité que de demander au lecteur de lire deux fois un album pour bien comprendre ce qu'il se passe ? Moi j'aurais tendance à dire non. Et à surtout dire que c'est dommage car l'univers est toujours vraiment très sympa et graphiquement le bestiaires et l'apsect steampunk sont super bien rendu. J'ai donc du changer ma note 3 fois...pour finir par la version gentille 🙂 En partant du principe que j'ai lu ca tard le soir et que je n'étais peut etre pas dans de bonnes dispositions. Meme si, pour répéter ce que j'ai dit plus haut, une bonne BD ne nécessite pas de bonne disposition car elle les impose en captivant le lecteur. Une BD qui nécessite d'être au calme et bien reposé est, de ce fait, une BD à qui il manque quelque chose.
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