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  1. The_PoP

    Inexistences

    Titre de l'album : Inexistences Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Christophe Bec Coloriste : Sebastien Gerard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans les montagnes perdues, tout n'est que désolation. Les survivants errent dans un paysage désolé où ne subsistent que des ruines prises dans les glaces. De grands cataclysmes ont soumis la planète à d'interminables hivers. Il existerait pourtant un sanctuaire où vivrait un enfant bleu, qui aurait conservé la mémoire des temps anciens. Une légende que va tenter de vérifier le sniper nommé Sol. Critique : Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Inexistences

    Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau.
  3. Titre de l'album : Aurora - Tome 2 - Signals Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Stefano Raffaele Coloriste : Stéphane Paitreau Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lorsque s'alignent les huit planètes de notre système solaire, les Enfants de l'Aurore passent à l'action, avec une coordination inexplicable, dans un but de domination et d'asservissement de l'espèce humaine. Leurs caractéristiques de naissance en font des êtres froids et calculateurs. Ceux qui refusent de se soumettre deviennent des proies, les Enfants de l'Aurore se révélant des exterminateurs d'une efficacité terrifiante. Critique : A peine 6 mois après la sortie du tome 1 voici déjà le second tome d'Aurora, nouvelle série de Messieurs Bec et Raffaele sur fond d'apocalypse, de fantastique, de fin du monde et d'horreur. La série est prévue en 4 tomes. Les évènements étranges continuent de se produire. Ce second tome nous en montre une pléthore, allant du glaçant au flippant, sur toute la durée d'adolescence de ces "enfants de l'aurore". Le récit avance donc bien, quelques éléments de compréhension sont posés et on s'attend logiquement à une accélération des révélations dans les prochains tomes. Inutile de dire que Christophe Bec est ici dans son élément, étant un habitué du genre, de même que Raffaele qui nous livre des planches dans son style réaliste qui convient assez bien au genre. Le récit horrifique est toujours délicat en BD, mais il faut reconnaitre à Christophe Bec l'art de manier le surnaturel pour nous faire flipper. Aurora va ravir les habitués du genre qui n'ont pas été lassés par les précédentes séries de M. Bec, pour ma part j'avoue que je préfère pour le moment le début d'Abaddon. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aurora-tome-2-signal?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Aurora - Tome 2 - Signals

    A peine 6 mois après la sortie du tome 1 voici déjà le second tome d'Aurora, nouvelle série de Messieurs Bec et Raffaele sur fond d'apocalypse, de fantastique, de fin du monde et d'horreur. La série est prévue en 4 tomes. Les évènements étranges continuent de se produire. Ce second tome nous en montre une pléthore, allant du glaçant au flippant, sur toute la durée d'adolescence de ces "enfants de l'aurore". Le récit avance donc bien, quelques éléments de compréhension sont posés et on s'attend logiquement à une accélération des révélations dans les prochains tomes. Inutile de dire que Christophe Bec est ici dans son élément, étant un habitué du genre, de même que Raffaele qui nous livre des planches dans son style réaliste qui convient assez bien au genre. Le récit horrifique est toujours délicat en BD, mais il faut reconnaitre à Christophe Bec l'art de manier le surnaturel pour nous faire flipper. Aurora va ravir les habitués du genre qui n'ont pas été lassés par les précédentes séries de M. Bec, pour ma part j'avoue que je préfère pour le moment le début d'Abaddon.
  5. The_PoP

    Aurora - Tome 1 - Phénomène

    Bon une BD méchante, une humanité qui va encore ramasser, du fantastique et des puissances supérieures à l'oeuvre, vous l'aurez deviné voici la nouvelle série de Bec avec Raffaele parue chez Soleil. Et quand je dis méchante, sincèrement ne laissez pas cette BD entre les mains de vos enfants, c'est ULTRA violent et explicite et personne n'est épargné. Il faut d'ailleurs vous imaginer que ce n'est que le début. Ca va secouer. Si l'ambiance malaisante est plutôt très réussie, dur de dire si le scénario va nous apporter un peu plus dans les prochains tomes que ce qu'il semble à priori receler. Très personnellement Bec a fini par me lasser, aussi je ne suis pas très enthousiaste devant ce tome, d'autant plus que j'ai trouvé le dessin le dessin de Raffaele un peu trop neutre, froid et impersonnel. C'est le genre qui veut ça, mais cela m'avait moins marqué sur ses autres séries. Question de goûts probablement, mais ce tome m'a laissé comme une impression de déjà vu alors même que le pitch de départ semble intéressant.
  6. Titre de l'album : Aurora - Tome 1 - Phénomène Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Stefano Raffaele Coloriste : Stéphane Paitreau Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lorsque s'alignent les huit planètes de notre système solaire, les Enfants de l'Aurore passent à l'action, avec une coordination inexplicable, dans un but de domination et d'asservissement de l'espèce humaine. Leurs caractéristiques de naissance en font des êtres froids et calculateurs. Ceux qui refusent de se soumettre deviennent des proies, les Enfants de l'Aurore se révélant des exterminateurs d'une efficacité terrifiante. Critique : Bon une BD méchante, une humanité qui va encore ramasser, du fantastique et des puissances supérieures à l'oeuvre, vous l'aurez deviné voici la nouvelle série de Bec avec Raffaele parue chez Soleil. Et quand je dis méchante, sincèrement ne laissez pas cette BD entre les mains de vos enfants, c'est ULTRA violent et explicite et personne n'est épargné. Il faut d'ailleurs vous imaginer que ce n'est que le début. Ca va secouer. Si l'ambiance malaisante est plutôt très réussie, dur de dire si le scénario va nous apporter un peu plus dans les prochains tomes que ce qu'il semble à priori receler. Très personnellement Bec a fini par me lasser, aussi je ne suis pas très enthousiaste devant ce tome, d'autant plus que j'ai trouvé le dessin le dessin de Raffaele un peu trop neutre, froid et impersonnel. C'est le genre qui veut ça, mais cela m'avait moins marqué sur ses autres séries. Question de goûts probablement, mais ce tome m'a laissé comme une impression de déjà vu alors même que le pitch de départ semble intéressant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aurora-tome-1-phenomene?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Labyrinthus t2/2 Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Fabrice Neaud Coloriste : Fabrice Neaud Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est en prise à un phénomène sans précédent : de mystérieuses cendres provenant d'étranges typhons recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, les cas de maladies respiratoires mortelles se multiplient exponentiellement. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la Cendre est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter de l'enrayer, une équipe est envoyée vers Phobos, satellite de Mars, qui abriterait le centre névralgique de la pandémie. En parallèle de la mission américaine, un autre vaisseau concurrent a été envoyé par les chinois. Les deux équipes découvrent que Phobos est en réalité un satellite artificiel conçu par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée. La super intelligence artificielle qui dirige le satellite réside dans son coeur, mais pour y accéder, il faudra traverser toute une série de salles piégées. Phobos s'adapte et se réorganise en fonction des personnalités des personnes qui y pénètrent. Et tous ses pièges sont mortels... Critique : Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-2-la-machine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Labyrinthus t2/2

    Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin.
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