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  1. alx23

    Pussey !

    La Bibliothèque de Daniel Clowes accueille aujourd'hui Pussey!, avec une nouvelle traduction et un nouveau lettrage pour l'occasion et les nouveaux lecteurs. Pussey ! est un recueil de plusieurs histoires courtes de Daniel Clowes, où il se met lui-même en scène depuis sa jeunesse, sa découverte et son amour des comics, le début de sa carrière dans le monde la réalisation de comics et les salons de comics. Daniel Clowes dénonce et livre une satire de l'industrie des comics books aux Etats-Unis. Je pense que toutes ses explications ou situations ont poussé l'auteur vers les comics indépendants, loin des grosses productions de super-héros. Les planches sont en noir et blanc classique pour le genre. On est très proche des réalisations des histoires de Eightball. Les amateurs de Daniel Clowes trouveront leur compte avec Pussey! ou alors les lecteurs souhaitant connaitre les dessous du monde la bande dessinée aux Etats-Unis, les salons, ou les collectionneurs.
  2. alx23

    Pussey !

    Titre de l'album : Pussey ! Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans le petit monde des comics américains où nous suivons les aventures de Dan Pussey, l'alter ego antihéroïque de Daniel Clowes ! Dans ce classique hilarant publié originellement dans Eightball, Clowes pose un regard brutal et cinglant sur l'industrie de la bande dessinée américaine. Critique : La Bibliothèque de Daniel Clowes accueille aujourd'hui Pussey!, avec une nouvelle traduction et un nouveau lettrage pour l'occasion et les nouveaux lecteurs. Pussey ! est un recueil de plusieurs histoires courtes de Daniel Clowes, où il se met lui-même en scène depuis sa jeunesse, sa découverte et son amour des comics, le début de sa carrière dans le monde la réalisation de comics et les salons de comics. Daniel Clowes dénonce et livre une satire de l'industrie des comics books aux Etats-Unis. Je pense que toutes ses explications ou situations ont poussé l'auteur vers les comics indépendants, loin des grosses productions de super-héros. Les planches sont en noir et blanc classique pour le genre. On est très proche des réalisations des histoires de Eightball. Les amateurs de Daniel Clowes trouveront leur compte avec Pussey! ou alors les lecteurs souhaitant connaitre les dessous du monde la bande dessinée aux Etats-Unis, les salons, ou les collectionneurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pussey-9782413047803?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Rain

    Titre de l'album : Rain Scenariste de l'album : Jo Hill & David M. Booher Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : À Boulder dans le Colorado, le ciel est dégagé et Honeysuckle Speck ne pourrait pas être plus heureuse. En cette journée d'aout ensoleillée, elle emménage enfin avec sa petite amie Yolanda. Mais quand le rêve tourne au cauchemar et que des nuages sombres s'accumulent libérant une pluie de clous qui déchiquettent la peau de ceux qui ne sont pas protégés, leur monde vole littéralement en éclat.RAIN donne de la vie à la progression de cet événement apocalyptique, alors que le déluge de clous se répand à travers le pays et le monde, menaçant tout ce que les jeunes amoureuses Honeysuckle et Yolanda chérissent.L'adaptation captivante de la novella de Joe Hill, acclamée par la critique et best-seller du New York Times, par le scénariste David M. Booher (Canto), la dessinatrice Zoe Thorogood (The Impending Blindness of Billie Scott), et le coloriste Chris O'Halloran (Ha-Ha). Critique : Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics. Autres infos : D'après la novella de Joe Hill Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Rain

    Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics.
  5. alx23

    Copra tome 2

    Dès la lecture du premier tome, on ne peut que faire la relation entre Copra et Suicide squad avec cette équipe de super-héros loser. Ils sont utilisés par une organisation gouvernementale pour des missions suicidaires. Il existe d'autres références aux autres super-héros classiques de chez DC et Marvel, que vous pourrez découvrir à la lecture. Par contre, Michel Fiffe écrit une intrigue très complexe avec des personnages très charismatiques avec beaucoup d'informations sur leur personnalité et leur psychologie. D'ailleurs par chance, l'auteur débute ce deuxième tome avec chapitre qui décrit les membres qui composent Copra. Ensuite l’aventure se poursuit l’aventure avec l’équipe séparée en deux, entre les agents sur Terre pour comprendre le complot qui s’est mis en place dans le premier épisode et le reste de l’équipe partie dans une autre dimension. Il est nécessaire de bien être concentrer sur la lecture pour ne rien perdre de l’histoire. Les dessins de Fiffe sont surprenants à première vue mais aussi très impressionnants surtout avec la représentation des pouvoirs et l’exploration de l'autre dimension. Les dessins sont nerveux avec une construction des planches très bien pensé. Les scènes d'action sont riches avec souvent des doubles pages fourmillant de détails. Avec ce second tome de Copra, l'auteur confirme son talent pour raconter une histoire intense et magnifiquement dessinée. Copra est devenu la référence en comics indés sur les super-héros. Je recommande fortement cette série aux lecteurs aimant les super-héros pour découvrir une autre vision du genre. Copra est mon coup de cœur de l'année. Chronique du premier tome de Copra
  6. alx23

    Copra tome 2

    Titre de l'album : Copra tome 2 Scenariste de l'album : Michel Fiffe Dessinateur de l'album : Michel Fiffe Coloriste : Michel Fiffe Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : COPRA : une équipe de sales types aux valeurs morales plus qu'ambiguës, chargée de faire le boulot dont les agences gouvernementales ne veulent pas. A l'ordre du jour : régler le compte de tous ceux qui les ont trahis. Tenaces et brutaux, ils sont prêts à tout pour remonter les fils qui leur permettront de les retrouver. COPRA est un pur classique en devenir, graphiquement sublime, bourré de références populaires tirées de BD, de films de SF ou d'action. Resté inédit en Français jusqu'à ce jour, les lecteurs francophones ont enfin le plaisir de découvrir cette merveille, signée d'un des auteurs les plus surprenants et talentueux de la scène indépendante US ! Critique : Dès la lecture du premier tome, on ne peut que faire la relation entre Copra et Suicide squad avec cette équipe de super-héros loser. Ils sont utilisés par une organisation gouvernementale pour des missions suicidaires. Il existe d'autres références aux autres super-héros classiques de chez DC et Marvel, que vous pourrez découvrir à la lecture. Par contre, Michel Fiffe écrit une intrigue très complexe avec des personnages très charismatiques avec beaucoup d'informations sur leur personnalité et leur psychologie. D'ailleurs par chance, l'auteur débute ce deuxième tome avec chapitre qui décrit les membres qui composent Copra. Ensuite l’aventure se poursuit l’aventure avec l’équipe séparée en deux, entre les agents sur Terre pour comprendre le complot qui s’est mis en place dans le premier épisode et le reste de l’équipe partie dans une autre dimension. Il est nécessaire de bien être concentrer sur la lecture pour ne rien perdre de l’histoire. Les dessins de Fiffe sont surprenants à première vue mais aussi très impressionnants surtout avec la représentation des pouvoirs et l’exploration de l'autre dimension. Les dessins sont nerveux avec une construction des planches très bien pensé. Les scènes d'action sont riches avec souvent des doubles pages fourmillant de détails. Avec ce second tome de Copra, l'auteur confirme son talent pour raconter une histoire intense et magnifiquement dessinée. Copra est devenu la référence en comics indés sur les super-héros. Je recommande fortement cette série aux lecteurs aimant les super-héros pour découvrir une autre vision du genre. Copra est mon coup de cœur de l'année. Chronique du premier tome de Copra Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/copra-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    The cloven

    Garth Stein gère très bien son histoire avec suffisamment de mystère autour du héros pour nous amener à suivre son aventure durant son évasion d'un laboratoire. En effet, James Tucker est un enfant créé génétiquement et modifié avec l'ADN d'un bouc, pour améliorer ses compétences physiques. Il possède les sabots du bouc avec fourrure sur les jambes et le corps d'un enfant, c'est un fourchu (the cloven). Pour ne rien arranger à la situation, il a quelques pertes de mémoires et se souvient difficilement de son enfance. A la lecture du résumé, on est obligé de penser à Sweet Tooth de Jeff Lemire. L'histoire de ce premier tome est très proche avec une construction narrative basée les mystères durant l'enfance, les expériences de mutations entre enfants et animaux. Les dessins de Matthew Southworth conviennent à merveille sur ce roman graphique avec beaucoup d'encrage pour un résultat très sombre. L'ambiance est excellente avec un découpage très bien maitrisé. J’apprécie beaucoup ce genre de récits fantastiques qui possèdent des histoires très prenantes où l’on ressent beaucoup d’émotions à la lecture, pour les mutants perdus dans notre société. Le scénario n'est pas très original mais possède une atmosphère forte, la suite nous permettra de me mieux juger du potentiel de l'histoire.
  8. alx23

    The cloven

    Titre de l'album : The cloven Scenariste de l'album : Garth Stein Dessinateur de l'album : Matthew Southworth Coloriste : Matthew Southworth Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : James Tucker, connu de ses amis sous le nom de «Tuck», rêve d´une vie normale comme celle d´étudiant à l´université. Le souci est qu´il vit prisonnier au fin fond d´un laboratoire secret, financé par des fonds privés. Là-bas, il y est un cobaye de choix, un organisme humain modifié génétiquement, probablement le plus abouti jamais créé. Tucker est le croisement entre un humain et une chèvre : un Cloven. Sa vie va prendre une nouvelle tournure lorsqu´une jeune femme découvre son existence... Critique : Garth Stein gère très bien son histoire avec suffisamment de mystère autour du héros pour nous amener à suivre son aventure durant son évasion d'un laboratoire. En effet, James Tucker est un enfant créé génétiquement et modifié avec l'ADN d'un bouc, pour améliorer ses compétences physiques. Il possède les sabots du bouc avec fourrure sur les jambes et le corps d'un enfant, c'est un fourchu (the cloven). Pour ne rien arranger à la situation, il a quelques pertes de mémoires et se souvient difficilement de son enfance. A la lecture du résumé, on est obligé de penser à Sweet Tooth de Jeff Lemire. L'histoire de ce premier tome est très proche avec une construction narrative basée les mystères durant l'enfance, les expériences de mutations entre enfants et animaux. Les dessins de Matthew Southworth conviennent à merveille sur ce roman graphique avec beaucoup d'encrage pour un résultat très sombre. L'ambiance est excellente avec un découpage très bien maitrisé. J’apprécie beaucoup ce genre de récits fantastiques qui possèdent des histoires très prenantes où l’on ressent beaucoup d’émotions à la lecture, pour les mutants perdus dans notre société. Le scénario n'est pas très original mais possède une atmosphère forte, la suite nous permettra de me mieux juger du potentiel de l'histoire. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-cloven?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : We only find them when they're dead - Tome 2 - Les voleurs Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : 2414. Cinquante ans se sont écoulés depuis la mission funeste du Vihaan II. L'univers a changé radicalement, partagé entre les Moissonneurs et les Adorateurs. Jason Hauer, le dernier membre survivant de l'équipage du capitaine Malik, mène une vie de prisonnier. Quand l'ambassadrice des Mondes Internes vient négocier la paix entre les deux clans, Jason se retrouve au coeur d'une machination impliquant son ancien capitaine d'une façon qui dépasse l'entendement... Tout juste auréolé du titre de meilleur lancement pour un indé HiComics, We Only Find Them When They're Dead, de Al Ewing(Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo(Tortues Ninjas & Power Rangers), est de retour avec un deuxième tome crucial pour Malik et son équipage. Critique : Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-2-les-voleurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier.
  11. Titre de l'album : Le manoir de chartwell Scenariste de l'album : Glenn Head Dessinateur de l'album : Glenn Head Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : « Bienvenus au manoir de Chartwell jeunes gens ! Je vous rappelle que dorénavant vous m'appellerez Monsieur ! » Lorsque Glenn, âgé d'une douzaine d'années écoute le discours de Mr Lynch, le directeur de l'école privée qu'il vient d'intégrer, il ne se doute pas que lui et les autres internes vont vivre un enfer qui détruira leur enfance et marquera aussi, par la suite, leur vie d'adulte. Critique : Le manoir de Chartwell est un roman graphique autobiographique de la vie de Glenn Head. Ce dernier est un auteur de comics indépendant inspiré de la scène underground des années 60. Glenn Head annonce dans la préface ne pas rendre son personnage plus sympathique ou au contraire diaboliser d'autres personnes de son entourage. Il retranscrit son vécu et sa souffrance après son passage dans le manoir de Chartwell. En effet, ses parents décident de l'inscrire dans le manoir Chatwell à partir de la cinquième. Il se retrouve avec une centaine d'autres élèves difficiles dans un pensionnat où le directeur de l'établissement est un pédophile. L'auteur va donc essayer d'expliquer comment vivre avec les blessures de son enfance et les répercussions sur le restant de sa vie d'adulte. Le témoignage est intense de par son sujet et retrace la vie de Glenn de 1988 à 2011. Les dessins de Glenn sont en noir e blanc dans un style comics underground. Le manoir de Chartwell est un récit bouleversant, sincère où l'auteur se livre dans ce roman graphique comme une thérapie personnelle pour mieux se comprendre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-manoir-de-chartwell?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Le manoir de chartwell

    Le manoir de Chartwell est un roman graphique autobiographique de la vie de Glenn Head. Ce dernier est un auteur de comics indépendant inspiré de la scène underground des années 60. Glenn Head annonce dans la préface ne pas rendre son personnage plus sympathique ou au contraire diaboliser d'autres personnes de son entourage. Il retranscrit son vécu et sa souffrance après son passage dans le manoir de Chartwell. En effet, ses parents décident de l'inscrire dans le manoir Chatwell à partir de la cinquième. Il se retrouve avec une centaine d'autres élèves difficiles dans un pensionnat où le directeur de l'établissement est un pédophile. L'auteur va donc essayer d'expliquer comment vivre avec les blessures de son enfance et les répercussions sur le restant de sa vie d'adulte. Le témoignage est intense de par son sujet et retrace la vie de Glenn de 1988 à 2011. Les dessins de Glenn sont en noir e blanc dans un style comics underground. Le manoir de Chartwell est un récit bouleversant, sincère où l'auteur se livre dans ce roman graphique comme une thérapie personnelle pour mieux se comprendre.
  13. Titre de l'album : Locke & Key - Ciel et Terre Scenariste de l'album : Joe Hill Dessinateur de l'album : Gabriel Rodriguez Coloriste : Jay Fotos Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Tous les secrets de Lovecraft n'ont pas encore été révélés... En trois histoires courtes, les deux maîtres du Manoir Keyhouse, Joe Hill et Gabriel Rodriguez, vous invitent à un voyage dans le temps et l'espace, et lèvent le voile sur les mystères qui entourent les clés et la famille Locke : Open the Moon! Nommée au Eisner Award 2012 de la meilleure histoire courte. Retrouvez la famille Locke le temps d'une nuit d'été aussi tragique que magique, où une nouvelle clé révèle un pouvoir fantastique : celui d'ouvrir la Lune... Grindhouse! Des gangsters s'attaquent à la famille Locke, sans savoir que Keyhouse recèle de mystères bien plus redoutables qu'eux... Une histoire grinçante et pleine de suspens, et un habile clin d'oeil aux romans noirs et aux films de série B. In the Can. Où l'on prend quelques nouvelles de Bode, Kinsey et Tyler Locke. Immense succès en libraire adapté sur Netflix, Locke & Key déroule le parcours mouvementé de ses héros en six volumes et un recueil d'histoires courtes, bientôt suivis de nouvelles aventures. Critique : Voici un tout petit comics indépendant, ne contenant que 3 nouvelles inédites autour de l'univers de Locke & Key que les amateurs de la série mère ne pourront ignorer. Oui c'est tout à fait dispensable. Et pourtant, on retrouve bien la magie de la série mère dans ces 3 courtes nouvelles. La première est juste magistrale, même si on la voit venir, la seconde semble à priori plus insignifiante, et la dernière est un très bel hommage à certains... classiques du genre. Autant vous dire que je me suis régalé. Hi Comics nous complète la pagination de cette première édition française avec des photos des auteurs sur les lieux les ayant inspirés. Plutôt sympa également. Le prix est à l'image de la pagination, relativement faible. Pour les fans uniquement. Mais il y en a. Et eux y trouveront sans nul doute leur compte, en tout cas moi j'ai été ravi. Autres infos : Retour dans le domaine Lovecraft Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/locke-key-ciel-et-terre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Locke & Key - Ciel et Terre

    Voici un tout petit comics indépendant, ne contenant que 3 nouvelles inédites autour de l'univers de Locke & Key que les amateurs de la série mère ne pourront ignorer. Oui c'est tout à fait dispensable. Et pourtant, on retrouve bien la magie de la série mère dans ces 3 courtes nouvelles. La première est juste magistrale, même si on la voit venir, la seconde semble à priori plus insignifiante, et la dernière est un très bel hommage à certains... classiques du genre. Autant vous dire que je me suis régalé. Hi Comics nous complète la pagination de cette première édition française avec des photos des auteurs sur les lieux les ayant inspirés. Plutôt sympa également. Le prix est à l'image de la pagination, relativement faible. Pour les fans uniquement. Mais il y en a. Et eux y trouveront sans nul doute leur compte, en tout cas moi j'ai été ravi.
  15. Titre de l'album : The Plot - Tome 1 - 1974 Scenariste de l'album : Tim Daniel & Michael Moreci Dessinateur de l'album : Joshua Hixs on Coloriste : Jordan Boyd Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Pour recevoir, il faut d'abord donner...Après le meurtre brutal de son frère et de sa belle-soeur, Chase Blaine récupère la garde de ses deux neveux MacKenzie et Zach, qu'il connaît à peine. Ensemble, ils partent vivre dans sa maison d'enfance, pensant y trouver le foyer idéal pour se reconstruire. Mais l'antique demeure familiale et les marais qui l'entourent recèlent de sombres secrets qui ne demandent qu'à les engloutir... Un comics d'horreur à la croisée de Locke & Key, Swamp Thing et H.P Lovecraft, porté par Tim Daniel et Michael Moreci (Curse,Burning Fields) au scénario et Joshua Hixson (Shanghai Red) au dessin. Critique : Deuxième comics indépendant dessiné par M. Hixson en quelques temps chez Hi Comics après le Red Shangaï du mois dernier. Et je comprends facilement pourquoi tant le monsieur est à l'aise pour nous dessiner des atmosphères poisseuses. La description de ce The Plot comme un comics d'horreur à la croisée de Locke & Key, Swamp Thing et H.P Lovecraft est tout à fait justifiée. Autant vous dire du coup que le résultat est plus que réussi. A peine termine que je regrettais déjà que le tome 2 qui clôture ce diptyque ne soit pas déjà paru. Ce qui est plutôt bon signe. Reste que c'est la qualité du dénouement final et des réponses apportées par les deux auteurs qui rendront ce The Plot agréable ou mémorable, et ça seul le tome 2 nous le révèlera. En attendant je vous laisse savourer The Plot, car si vous aimez les comics d'hoerrur indé à l'ambiance réussie, celui-ci est pour vous... Autres infos : Horreur Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-plot-tome-1-1974?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. The_PoP

    The Plot - Tome 1 - 1974

    Deuxième comics indépendant dessiné par M. Hixson en quelques temps chez Hi Comics après le Red Shangaï du mois dernier. Et je comprends facilement pourquoi tant le monsieur est à l'aise pour nous dessiner des atmosphères poisseuses. La description de ce The Plot comme un comics d'horreur à la croisée de Locke & Key, Swamp Thing et H.P Lovecraft est tout à fait justifiée. Autant vous dire du coup que le résultat est plus que réussi. A peine termine que je regrettais déjà que le tome 2 qui clôture ce diptyque ne soit pas déjà paru. Ce qui est plutôt bon signe. Reste que c'est la qualité du dénouement final et des réponses apportées par les deux auteurs qui rendront ce The Plot agréable ou mémorable, et ça seul le tome 2 nous le révèlera. En attendant je vous laisse savourer The Plot, car si vous aimez les comics d'hoerrur indé à l'ambiance réussie, celui-ci est pour vous...
  17. The_PoP

    Shangaï Red

    Hi Comics a décidément une belle offre de comics indé qu'ils publient sous leur label en France. Ce Shangaï Red ne fait guère exception à la règle puisque ce polar âpre et violent nous dépeint une époque sombre et sans pitié. Ici le thème de la vengeance est magnifié par les dessins sans concessions de Josh Hixson, l'ambiance ne peut être qu'étouffante, suintante et sale. C'est parfois austère, mais les scènes d'actions y sont représentées de manière fluide et lisible et si les personnages auraient probablement mérité d'être un peu plus identifiables, cela sert pour autant bien le propos du "tous pourris". Il n'y a pas vraiment d'espoir ni de lumière dans Shangaï Red. L'âme humaine y est mise à nue, et décortiquée pour en sortir vices et lâchetés et les exposer à notre vue. Pour autant l'action y est non stop et s'enchaine avec facilité grâce à une narration somme toute assez classique mais bien maitrisée de Christopher Sebela. Petit bémol pour ma part sur la fin, et je ne m'étendrai pas là dessus car je ne souhaite pas spoiler. Ce Shangaï Red n'est assurément pas une lecture qui fait du bien, comme souvent avec les histoires de Vengeance, mais la description qui y est faite de la société risque bien de vous emprunter votre optimisme pour la journée au fil des pages.
  18. The_PoP

    Shangaï Red

    Titre de l'album : Shangaï Red Scenariste de l'album : Christoper Sebela Dessinateur de l'album : Josh Hixson Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : XIXe siècle, Portland, Oregon. Red n'a jamais eu peur de travailler dur. Depuis l'enfance, elle endosse les responsabilités et l'apparence d'un homme pour subvenir aux besoins de sa famille. Mais le plus cruel restait à venir : droguée et kidnappée, elle est enrôlée de force sur un navire en partance pour Shanghai, comme tant d'autres à cette époque. Des années de servitude en mer qui se soldent par une rébellion sanglante, et le désir implacable de se venger de ceux qui l'ont arrachée à sa famille. De retour à Portland, Red n'a qu'une obsession : retrouver les siens et traquer les hommes qui l'ont vendue. Des bas-fonds de la ville et ses souterrains secrets à la corruption des hautes sphères, Red fait couler le sang, dans une quête de vengeance et d'identité qui la changera à jamais. Christopher Sebela (Crowded, High Crimes, We(l)come Back) et Joshua Hixson (The Black Woods, The Plot) livrent avec Shanghai Red un puissant polar historique et un récit de vengeance qui transcende le genre, dans tous les sens du terme. Critique : Hi Comics a décidément une belle offre de comics indé qu'ils publient sous leur label en France. Ce Shangaï Red ne fait guère exception à la règle puisque ce polar âpre et violent nous dépeint une époque sombre et sans pitié. Ici le thème de la vengeance est magnifié par les dessins sans concessions de Josh Hixson, l'ambiance ne peut être qu'étouffante, suintante et sale. C'est parfois austère, mais les scènes d'actions y sont représentées de manière fluide et lisible et si les personnages auraient probablement mérité d'être un peu plus identifiables, cela sert pour autant bien le propos du "tous pourris". Il n'y a pas vraiment d'espoir ni de lumière dans Shangaï Red. L'âme humaine y est mise à nue, et décortiquée pour en sortir vices et lâchetés et les exposer à notre vue. Pour autant l'action y est non stop et s'enchaine avec facilité grâce à une narration somme toute assez classique mais bien maitrisée de Christopher Sebela. Petit bémol pour ma part sur la fin, et je ne m'étendrai pas là dessus car je ne souhaite pas spoiler. Ce Shangaï Red n'est assurément pas une lecture qui fait du bien, comme souvent avec les histoires de Vengeance, mais la description qui y est faite de la société risque bien de vous emprunter votre optimisme pour la journée au fil des pages. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shanghai-red?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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