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  1. alx23

    La nuit de la goule

    Titre de l'album : La nuit de la goule Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Francesco Francavilla Coloriste : Francesco Francavilla Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un passionné enquête sur un ancien studio de cinéma qui aurait brûlé et finit par tomber sur ce projet. Il remonte la piste du réalisateur, qui vit reclus dans une maison de retraite. Selon lui, une goule hanterait son hospice, et la découverte d'une vieille bobine de La Nuit de la Goule risque bien de réveiller la bête, que le film soi-disant disparu avait détruit. Critique : Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-nuit-de-la-goule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    La nuit de la goule

    Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale.
  3. poseidon2

    Gannibal t12

    Pffff j'en étais sûr... j'ai lutté pour attendre le treizième et dernier tome et lire les deux d'affiler, mais j'ai craqué avant ! Alors forcement et bien... il y a un gout de trop peu dans ce tome 12. Mais au final, on ne s'en sort pas si mal que cela, car notre auteur réussit à nous montrer un dernier twist. Une dernière "surprise" pour enlever tout espoir à ceux qui espérait une rédemption quelconque. Si ce twist là est moins marquant (de mon point de vue) et ne restera pas la grosse affaire de ce Gannibal, il n'est pas moins la rampe finale d'un thriller horrifique qui défie les codes !!
  4. poseidon2

    Gannibal t12

    Titre de l'album : Gannibal t12 Scenariste de l'album : Ninomiya Masaki Dessinateur de l'album : Ninomiya Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Pardonne-moi, Shirogane... Perdus dans les déboires de la dernière fête de l'offrande, les Gotô ont choisi la guerre contre l'état japonais. Face à Mashiro donnée en offrande à Lui , le nouveau chef du clan décide enfin d'agir. Les mots d'amour et de tendresse de son fils forceront la réincarnation du dieu Kuru à décider de son propre sort. Cependant, la folie des Gotô pourrait en cacher une autre, encore bien pire ! Critique : Pffff j'en étais sûr... j'ai lutté pour attendre le treizième et dernier tome et lire les deux d'affiler, mais j'ai craqué avant ! Alors forcement et bien... il y a un gout de trop peu dans ce tome 12. Mais au final, on ne s'en sort pas si mal que cela, car notre auteur réussit à nous montrer un dernier twist. Une dernière "surprise" pour enlever tout espoir à ceux qui espérait une rédemption quelconque. Si ce twist là est moins marquant (de mon point de vue) et ne restera pas la grosse affaire de ce Gannibal, il n'est pas moins la rampe finale d'un thriller horrifique qui défie les codes !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Hotell Tome 1

    Titre de l'album : Hotell Tome 1 Scenariste de l'album : John Lees Dessinateur de l'album : Dalibor Talajic Coloriste : Dalibor Talajic Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Quatre histoires d'horreur interconnectées se déroulant toutes dans un hôtel mystérieux qui semble n'apparaître qu'à certains clients. L'hôtel Pierrot Courts. Vous ne le trouverez sur aucune carte, mais s'il vous arrive de conduire sur la Route 66 tard dans la nuit et que vous avez désespérément besoin d'un refuge ou de vous cacher, vous apercevrez peut-être un panneau abîmé en bordure de route. C'est un endroit où beaucoup s'enregistrent au comptoir mais d'où bien peu repartent. Et vu les horreurs qui vous attendent à l'intérieur, vous auriez peut-être préféré continuer à rouler... Critique : Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant. Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hotell?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Hotell Tome 1

    Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant. Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts.
  7. alx23

    Silver coin Tome 1

    Titre de l'album : Silver coin Tome 1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky, Jeff Lemire, Ed Brisson, Michael Walsh & Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Michael Walsh Coloriste : Michael Walsh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Une malédiction doit se nourrir...C’est l’histoire d’une mystérieuse pièce d’argent qui passe de main en main depuis des siècles, de la Nouvelle Angleterre puritaine aux terres ravagées de 2467… Critique : Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu. Autres infos : Edition : Huginn & Muninn Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-silver-coin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Silver coin Tome 1

    Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu.
  9. Titre de l'album : Le mythe de l'ossuaire - Des milliers de plumes noires Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Trish et Jackie sont deux meilleures amies qui partagent la même passion pour le jeux de rôle et la fantasy. Mais lorsque la frontière entre la réalité et leur monde imaginaire est brouillée par une entité maléfique, peuvent-elles rester les héroïnes de leur propre histoire ? Contenu vo : The Bone Orchard Mythos: Ten Thousand Black Feathers #1-5. Critique : Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mythe-de-l-ossuaire-des-milliers-de-plumes-noires/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino !
  11. The_PoP

    Latah

    Titre de l'album : Latah Scenariste de l'album : Thomas Legrain Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Une légende raconte que quelque part au beau milieu de la jungle vietnamienne se trouve le territoire du Latah. Le récipiendaire des douleurs de son peuple. Et des douleurs, les Américains en ont infligé leur lot… Lorsque leurs membres commencent à tomber, une petite troupe de GI égarée comprend qu'elle vient d'entrer au purgatoire de cet enfer vert. Sur les terres du Latah, les victimes deviennent bourreaux, et vice-versa… Car le bouc émissaire finit toujours par ruer. Critique : La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/latah/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. The_PoP

    Latah

    La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo.
  13. poseidon2

    Gannibal T11

    Fin de la parenthèse historique sur le village de Kuge et le pourquoi de la mainmise de Gin sur le village. Si ce tome est nécessaire à la compréhension globale de l'intrigue… nous, on veut notre policier devenu fou ! Bon voilà, c'est dit. Ce tome est toujours aussi bon et il était nécessaire. Mais j'attendais au moins un demi tome sur l'histoire principale… Et il va falloir attendre le prochain... Enfin les deux prochains, car ces deux tomes vont conclure notre histoire, dans un sens ou dans l'autre !
  14. poseidon2

    Gannibal T11

    Titre de l'album : Gannibal T11 Scenariste de l'album : Ninomiya Masaki Dessinateur de l'album : Ninomiya Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Donnez-le en offrande à votre nouveau dieu.Une obstination sans pareille a ressuscité Gin d'entre les morts. Sa soif de meurtres et ses machinations lui permettent de s'emparer de Kuge et d'y implanter un ordre basé sur la peur. Critique : Fin de la parenthèse historique sur le village de Kuge et le pourquoi de la mainmise de Gin sur le village. Si ce tome est nécessaire à la compréhension globale de l'intrigue… nous, on veut notre policier devenu fou ! Bon voilà, c'est dit. Ce tome est toujours aussi bon et il était nécessaire. Mais j'attendais au moins un demi tome sur l'histoire principale… Et il va falloir attendre le prochain... Enfin les deux prochains, car ces deux tomes vont conclure notre histoire, dans un sens ou dans l'autre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Lowreader - Tome 2

    Oh que je commence à aimer ces Lowreader ! Voici déjà le numéro 2 et il faut le dire d'un point de vue éditorial c'est une réussite. Articles, fausses pubs, nouvelles et contes horrifiques en bd sont au menu, sauf qu'ici on va parler de vrais sujets de société qui tâchent. Si le premier était gentillet et très pulp, celui-ci aborde frontalement des problématiques bien réelles et l'horreur n'est pas tant issue de la partie fantastique que de la partie réaliste de l'histoire. Ca donne froid dans le dos, mauvaise conscience et mention spéciale à la première nouvelle SlumKids, cela m'a collé la nausée. Monde de merde comme dirait l'homme le plus classe du monde. Bref, j'attire votre attention sur ce Lowreader qui commence à gagner en fond en plus d'être un bel objet, c'est assurément l'occasion de découvrir de belles pépites, mais forcément quand c'est dirigé par Run cela donne une idée du vitriol qui est instillé dedans.
  16. Titre de l'album : Lowreader - Tome 2 Scenariste de l'album : Run, Petit rapace, Singelin Dessinateur de l'album : Petit rapace, Pivwan, Chesnot Coloriste : Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : LowReader est une série d'anthologie d'histoires courtes de suspense, d'horreur et d'exploitation, dirigée par Run. Chaque numéro propose trois histoires complètes. Au fil des pages, Lazare le corbeau jette un regard cynique sur les histoires présentées, et fait office de fil rouge tout au long du recueil. Les récits de LowReader sont entrecoupés d'articles, de billets d'humeur, de fausses pubs...autant d'entractes destinés à donner des clés de compréhension au lecteur, de le distraire, de l'amener sur de fausses pistes, ou de faire retomber la pression avant un nouveau shot d'adrénaline. Une nouvelle littéraire illustrée sera aussi de la partie dans chaque opus...Suivez le corbeau ! - Parmi les laissés pour compte d'une décharge à ciel ouvert, deux enfants livrés à eux-mêmes vont devoir trouver leur place parmi des adultes ravagés par une nouvelle drogue. (Slum Kids, par Petit Rapace) . - Sous le vernis de strass de la K-pop, une jeune chanteuse bercée de rêves va plonger en plein cauchemar en découvrant l'envers sombre de cette industrie toxique. (Dark Reflection par RUN, Guillaume Singelin et Pivwan) . - Sur une route perdue où les disparitions multiples de jeunes femmes n'inquiètent personne, Tamara, jeune autochtone de la réserve Stony Creek No1 qui a choisi de ne pas vivre dans la peur, est prise en stop par un agent de la RCMP. (Vanished par RUN et Ludovic Chesnot). Critique : Oh que je commence à aimer ces Lowreader ! Voici déjà le numéro 2 et il faut le dire d'un point de vue éditorial c'est une réussite. Articles, fausses pubs, nouvelles et contes horrifiques en bd sont au menu, sauf qu'ici on va parler de vrais sujets de société qui tâchent. Si le premier était gentillet et très pulp, celui-ci aborde frontalement des problématiques bien réelles et l'horreur n'est pas tant issue de la partie fantastique que de la partie réaliste de l'histoire. Ca donne froid dans le dos, mauvaise conscience et mention spéciale à la première nouvelle SlumKids, cela m'a collé la nausée. Monde de merde comme dirait l'homme le plus classe du monde. Bref, j'attire votre attention sur ce Lowreader qui commence à gagner en fond en plus d'être un bel objet, c'est assurément l'occasion de découvrir de belles pépites, mais forcément quand c'est dirigé par Run cela donne une idée du vitriol qui est instillé dedans. Autres infos : 3 nouvelles horrifiques et bien d'autres contenus sympas Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lowreader-tome-2-slum-kids-vanished-dark-reflection?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Celui que tu aimes dans les ténèbres Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Jorge Corona Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ro est une jeune peintre dont les dernières toiles lui ont assuré une renommée naissante. Malheureusement, ses nouvelles créations se font attendre. Aussi, son galeriste lui conseille une retraite au calme, à l'abri du tumulte de la ville. Ro trouve alors une vieille demeure, prétendument hantée, dans laquelle elle retrouvera l'inspiration, et bien plus encore... Critique : La team de Middlewest revient avec une "romance horrifique" des plus réussie. Graphiquement, c'est sublime. Tout ce que j'aime dans le comics moderne. C'est nerveux, colorés ou pas du tout quand il n'y a pas besoin, dynamique et super prenant pour le lecteur. Coté scénario, Scottie Young gère parfaitement la montée en tension. On croit dur comme fer à cet amour improbable, mais inspirant pour notre artiste, jusqu'à..... Un album qui ravira les fans de Scottie Young(dont je fais partie) t les amateurs de frissons. À lire d'une traite, si possible dans la pénombre..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celui-que-tu-aimes-dans-les-tenebres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. La team de Middlewest revient avec une "romance horrifique" des plus réussie. Graphiquement, c'est sublime. Tout ce que j'aime dans le comics moderne. C'est nerveux, colorés ou pas du tout quand il n'y a pas besoin, dynamique et super prenant pour le lecteur. Coté scénario, Scottie Young gère parfaitement la montée en tension. On croit dur comme fer à cet amour improbable, mais inspirant pour notre artiste, jusqu'à..... Un album qui ravira les fans de Scottie Young(dont je fais partie) t les amateurs de frissons. À lire d'une traite, si possible dans la pénombre.....
  19. The_PoP

    Green Class - Tome 4 - L'éveil

    Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi.
  20. Titre de l'album : Green Class - Tome 4 - L'éveil Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le plan de Naïa ayant foiré en beauté, nos cinq amis sont à présent séparés. Pire, ils sont traqués par des militaires bien décidés à ne laisser personne les empêcher d'ouvrir le portail entre la Terre et le monde des grands anciens. Le général espère que ces derniers feront table rase de l'humanité et de tous ses excès. Mais, dans leur fuite, Lucas et Sato découvrent une fresque qui pose une question des plus dérangeantes : si les « infectés » - les Shoggoths ? sont les serviteurs des Grands Anciens et qu'ils sont déjà venus sur Terre, alors pourquoi n'ont-ils pas ouvert le portail à l'époque ? Critique : Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-4-l-eveil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : Something is killing the children tome 4 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Werther Dell'Edera Coloriste : Miquel Muerto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans la petite ville d'Archer's Peak, théâtre de disparitions inexpliquées, Erica Slaughter n'a eu de cesse de se battre contre les monstres. Héritière des préceptes de l'ordre de Saint-Georges, la redoutable tueuse a vu ses sens forgés au prix de nombreux sacrifices. Déterminée à percer les secrets de ses origines, elle opère un retour dans la maison qui l'a formée, avide de réponses. Critique : Je suis bien content de lire cette série dans le format cartonné et plus grand avec ce quatrième tome, on gagne beaucoup en confort de lecture. Cet épisode est consacré à la jeunesse d'Erica et comment elle est devenue une chasseuse de l'ordre de Saint-Georges. James Tynion IV nous délivre quelques secrets et mystères qui entourent les personnages importants les différentes loges symbolisées par des couleurs des masques des membres. Erica rejoint les membres des masques noirs, formés pour traquer et combattre en solitaire, ce sont de redoutables chasseurs de monstres. James Tynion IV fait partie des scénaristes tendances actuellement des séries fortes et originales comme The department of truth, Something is killing the children ou Batman infinte en super-héros et je vais surveiller son prochain titre à venir chez Urban, The Nice House on the Lake. Pour la partie graphique, Werther Dell'Edera fournit un travail de qualité avec un découpage qui demande une lecture simultanée de doubles pages. Son style convient bien pour le genre horrifique avec des scènes d'action dynamiques. J’adore beaucoup cette série où les enfants ont un rôle important mais le récit est adulte, d'ailleurs par moment on a l'impression de lire une histoire de Stephen King. House of slaughter, le spin-off de la série est sorti en même temps en librairie, la chronique est prévue dans la semaine. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/something-is-killing-the-children-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Je suis bien content de lire cette série dans le format cartonné et plus grand avec ce quatrième tome, on gagne beaucoup en confort de lecture. Cet épisode est consacré à la jeunesse d'Erica et comment elle est devenue une chasseuse de l'ordre de Saint-Georges. James Tynion IV nous délivre quelques secrets et mystères qui entourent les personnages importants les différentes loges symbolisées par des couleurs des masques des membres. Erica rejoint les membres des masques noirs, formés pour traquer et combattre en solitaire, ce sont de redoutables chasseurs de monstres. James Tynion IV fait partie des scénaristes tendances actuellement des séries fortes et originales comme The department of truth, Something is killing the children ou Batman infinte en super-héros et je vais surveiller son prochain titre à venir chez Urban, The Nice House on the Lake. Pour la partie graphique, Werther Dell'Edera fournit un travail de qualité avec un découpage qui demande une lecture simultanée de doubles pages. Son style convient bien pour le genre horrifique avec des scènes d'action dynamiques. J’adore beaucoup cette série où les enfants ont un rôle important mais le récit est adulte, d'ailleurs par moment on a l'impression de lire une histoire de Stephen King. House of slaughter, le spin-off de la série est sorti en même temps en librairie, la chronique est prévue dans la semaine.
  23. The_PoP

    The Plot - Tome 2 - 1674

    On ne va pas se le cacher, la sortie de ce The Plot - Tome 2 risque fort de faire bien moins de bruit que celle du préquel de Locke & Key la même semaine chez Hi Comics. S'ils ont en commun l'approche fantastique et Lovecraftienne du thème de la famille, on va tout de suite le dire : les ambiances sont radicalement différentes. Si l'intrigue de The Plot est beaucoup plus simple et classique que celle de Locke & Key, elle n'en reste pas moins très réussie pour un diptyque d'horreur en comics, genre Ô combien compliqué. D'ailleurs les ambiances sont particulièrement réussies, notamment servies par le dessin anxiogène de Hicxson. Il faut par ailleurs savoir que ce tome 2 n'aurait jamais du voir le jour en France car devant le faible nombre de vente du premier tome, celui-ci devait être abandonné. Cela aurait été à mon humble avis fort dommage tant cette conclusion est parfaite et nous livre un final haletant à un diptyque angoissant à souhait. The Plot est passé à tort relativement incognito dans le paysage du comics indé, mais ses qualités sauront séduire ses lecteurs. Ceux qui ont aimé le premier, jetez vous dessus, car il n'y en aura malheureusement probablement pas beaucoup en librairies.
  24. Titre de l'album : The Plot - Tome 2 - 1674 Scenariste de l'album : Tim Daniel Dessinateur de l'album : Josh Hixson Coloriste : Jordan Boyd Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Aux origines de la malédiction Blaine... Un mal ancien frappe la famille Blaine depuis des générations et hante leur demeure ancestrale. Pour échapper à son sinistre héritage et protéger ses neveux, Chaise Blaine n'a plus le choix : il doit trouver un moyen de détruire la maison et toutes les horreurs tapies en ses murs... mais les fantômes du passé n'ont pas dit leur dernier mot. Alors que la tempête fait rage à Cape Augusta, les secrets de famille se réveillent et menacent de tout engloutir. Chase, MacKenzie et Zach Blaine semblent condamnés à payer les erreurs de leurs ancêtres... Une plongée cauchemardesque dans les eaux troubles du passé, une atmosphère poisseuse et des personnages terriblement attachants pour une conclusion magistrale au rythme haletant. Tim Daniel, Michael Moreci (Curse, Burning Fields) et Joshua Hixson (Shanghai Red) livrent le dernier volet de leur série d'horreur à la croisée de Locke & Key, Swamp Thing et H.P. Lovecraft. Critique : On ne va pas se le cacher, la sortie de ce The Plot - Tome 2 risque fort de faire bien moins de bruit que celle du préquel de Locke & Key la même semaine chez Hi Comics. S'ils ont en commun l'approche fantastique et Lovecraftienne du thème de la famille, on va tout de suite le dire : les ambiances sont radicalement différentes. Si l'intrigue de The Plot est beaucoup plus simple et classique que celle de Locke & Key, elle n'en reste pas moins très réussie pour un diptyque d'horreur en comics, genre Ô combien compliqué. D'ailleurs les ambiances sont particulièrement réussies, notamment servies par le dessin anxiogène de Hicxson. Il faut par ailleurs savoir que ce tome 2 n'aurait jamais du voir le jour en France car devant le faible nombre de vente du premier tome, celui-ci devait être abandonné. Cela aurait été à mon humble avis fort dommage tant cette conclusion est parfaite et nous livre un final haletant à un diptyque angoissant à souhait. The Plot est passé à tort relativement incognito dans le paysage du comics indé, mais ses qualités sauront séduire ses lecteurs. Ceux qui ont aimé le premier, jetez vous dessus, car il n'y en aura malheureusement probablement pas beaucoup en librairies. Autres infos : Ambiance réussie Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-plot-tome-2-1674?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    From the children's country t1

    Intriguant premier tome. Intriguant car traité, de prime abord, comme un manga enfant avec un dessin tout en rondeur et en trait bien clair et bien propre. Et puis tout d'un coup patatras on tombe dans le manga de monstre en mode attaque des titans avec des enfants mangés à grand renfort de sang qui gicle ! Et ça c'est sans rien vous dire des dernières pages qui ajoutent un coup de pression puissance 1000. Un manga qui n'est pas du tout ce qu'il parait et qui nous promet donc un deuxième tome dont on n'arrive pas vraiment à deviner la teneur. C'est une bonne nouvelle tellement c'est rare dans le manga.
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