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  1. Titre de l'album : Bukowski, de liqueur et d'encre Scenariste de l'album : Michele Bonton , Martin Boujol Dessinateur de l'album : Letizia Cadonici Coloriste : Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Bukowski. Charles. Ou Hank. L'écrivain, le poète, l'ivrogne, le vagabond. Sa vie s'est écoulé à la manière d'un robinet qui fuit... un robinet qui n'a jamais vraiment fonctionné correctement. Auteur en prose comme en vers, en dehors de tout courant littéraire, le vieux dégueulasse a écrit pendant sa vie et nous laisse une oeuvre unique, miroir à peine déformant d'une vie chaotique et alcoolique, faite de liqueur et d'encre. Critique : Je dois bien avouer ne pas connaître ce poète-écrivain américain contemporain , mais suite à la lecture de ce roman graphique , le nom de Bukowski ne me sera plus étranger ! Lorsque l'on regarde les parcours de ce genre artistes , ils sont souvent chaotiques , comme si l'inspiration artistique , le petit degré de folie nécessaire , ne pouvait venir qu'au travers d'une vie difficile semée d'embûches . "Hank" n'échappe pas à la règle , une enfance compliquée avec un père violent , une mère absente , un physique ingrat arrosé d'une pauvreté cachée par ses parents , mais dont lui souffre à l'école ; puis la vie d'adulte au rythme du tintement des bouteilles d'alcool . Comme tout poète , il lui a fallu un certain temps pour accéder à la reconnaissance . Ainsi , les auteurs s'attardent longuement sur les chemins qu'il prendra au long d'une existence jalonnée par les conquêtes féminines (payées ou pas) , des grossièretés proférées , des petits jobs pour acheter la liqueur , et pour finir une présence assidue dans les bars . Tel un animal nocturne , il rentrait de soirées arrosées et écrivait , découvrant le lendemain ses proses . La bibine , ça préserve ceci dit , car notre poète des bas fonds vivra jusqu'à 73 ans . De cette dramaturgie , on ne peut s'empêcher d'esquisser des sourires par moment , car il vit des situations ubuesques , mais le sentiment de rancoeur , de dégoût du monde et cette grossièreté qui émane de lui peut rendre le personnage antipathique pour les lecteurs . Hollywood adpatera sa vie dans un film avec Mickey Rourke : Barfly . Une fois de plus ,la petite maison d'édition qui ne cesse de monter , réussit ses DocuBD , avec ce personnage atypique , dont la série RIP (du même éditeur) n'aurait pas reniée comme protagoniste 🙂 Le dessin semi-réaliste garde une douceur du trait et les couleurs passent d'une chaleur alccolisée à des bleus marquant la nuit . Charles Bukowski parviendra t'il à entrevoir la lueur d'une vie à peu près normale ? Plongez dans les vapeurs éthyliques , "avec du mauvais vin" comme le chantait Brel , écoutez les mots (parfois) doux du poète murmurant aux oreilles des femmes pour les séduire , et vivez avec lui cette plongée dans les abysses . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bukowski-de-liqueur-et-d-encre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Je dois bien avouer ne pas connaître ce poète-écrivain américain contemporain , mais suite à la lecture de ce roman graphique , le nom de Bukowski ne me sera plus étranger ! Lorsque l'on regarde les parcours de ce genre artistes , ils sont souvent chaotiques , comme si l'inspiration artistique , le petit degré de folie nécessaire , ne pouvait venir qu'au travers d'une vie difficile semée d'embûches . "Hank" n'échappe pas à la règle , une enfance compliquée avec un père violent , une mère absente , un physique ingrat arrosé d'une pauvreté cachée par ses parents , mais dont lui souffre à l'école ; puis la vie d'adulte au rythme du tintement des bouteilles d'alcool . Comme tout poète , il lui a fallu un certain temps pour accéder à la reconnaissance . Ainsi , les auteurs s'attardent longuement sur les chemins qu'il prendra au long d'une existence jalonnée par les conquêtes féminines (payées ou pas) , des grossièretés proférées , des petits jobs pour acheter la liqueur , et pour finir une présence assidue dans les bars . Tel un animal nocturne , il rentrait de soirées arrosées et écrivait , découvrant le lendemain ses proses . La bibine , ça préserve ceci dit , car notre poète des bas fonds vivra jusqu'à 73 ans . De cette dramaturgie , on ne peut s'empêcher d'esquisser des sourires par moment , car il vit des situations ubuesques , mais le sentiment de rancoeur , de dégoût du monde et cette grossièreté qui émane de lui peut rendre le personnage antipathique pour les lecteurs . Hollywood adpatera sa vie dans un film avec Mickey Rourke : Barfly . Une fois de plus ,la petite maison d'édition qui ne cesse de monter , réussit ses DocuBD , avec ce personnage atypique , dont la série RIP (du même éditeur) n'aurait pas reniée comme protagoniste 🙂 Le dessin semi-réaliste garde une douceur du trait et les couleurs passent d'une chaleur alccolisée à des bleus marquant la nuit . Charles Bukowski parviendra t'il à entrevoir la lueur d'une vie à peu près normale ? Plongez dans les vapeurs éthyliques , "avec du mauvais vin" comme le chantait Brel , écoutez les mots (parfois) doux du poète murmurant aux oreilles des femmes pour les séduire , et vivez avec lui cette plongée dans les abysses .
  3. Titre de l'album : Oken - Combats et rêveries d'un poète taïwanais Scenariste de l'album : Shih-Hung Wu Dessinateur de l'album : Shih-Hung Wu Coloriste : Shih-Hung Wu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La jeunesse d'Oken a bien failli s'achever dans les flammes de l'Histoire. Contraints de fuir Taiwan pour fuir les bombes américaines, le jeune garçon et sa famille trouvent refuge dans les montagnes. Mais contre la mélancolie, Oken possède une arme à nulle autre pareille : la poésie. Celle-là même qui lui permet de percer la beauté du monde, et de comprendre que la vie est telle une araignée d'eau : fragile, mais tellement élégante et fascinante. Critique : Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons. Autres infos : D'après Yang Mu Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oken-combats-et-reveries-d-un-poete-taiwanais?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons.
  5. The_PoP

    Hacker la peau

    Alors disons le tout de suite : cette bd n'est pas pour tout le monde. On a ici une bd militante qui si elle se place dans un contexte très légèrement futuriste nous présente l'essentiel des luttes LGBTQ+. Les personnages sont dans cette mouvance militante, oscillant entre leurs problématiques personnelles et amoureuses, leurs questionnements identitaires et amoureux, et leurs luttes contre l'extrême droite ou la société. Autant vous dire que si vous êtes un peu vieille france, que la mention woke vous donne des sueurs, ou que vous êtes conservateurs dans l'âme, cette bd va vous mettre probablement un peu mal à l'aise. Pour les autres, gardez en tête que ce récit possède une large part d'onirisme et de poésie, rendant parfois le tout un poil brouillon. Les personnages par contre et leurs problématiques, sont très marqués, bien développés, et leur triangle amoureux est plutôt intéressant avec des enjeux assez clairs entre les personnages. Certaines scènes m'ont parues parfois un peu confuses mais l'ensemble se lit quand même de manière fluide, avec une montée en puissance de l'onirisme en fin d'album. La seule chose de sûre c'est que je n'ai jusqu'ici rien lu d'approchant en terme d'histoire et d'enjeux 🙂 Le dessin par contre est très spécial, feuilletez ce livre si le sujet vous intéresse. En première impression j'ai eu un peu de mal mais finalement cela ne m'a ensuite plus dérangé. Les contours sont très marqués, les visages très expressifs.
  6. The_PoP

    Hacker la peau

    Titre de l'album : Hacker la peau Scenariste de l'album : Sabrina Calvo Dessinateur de l'album : Jul Maroh Coloriste : Jul Maroh Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : À la confluence lyonnaise, Prin est à la recherche un mystérieux troisième cours d'eau, celui qui naît de la rencontre entre ces entités que sont le Rhône et la Saône. Une quête fugace et mouvante, à l'image de sa relation polyamoureuse avec Axl, un hacker, et Molly, une couturière. À l'image de leur vie dans les marges, entre lutte et liberté. Car cette nuit, après le passage en force de l'extrême-droite au gouvernement, Prin, Axl et Molly devront demeurer unies pour survivre à l'assaut d'une violence normative et autoritaire qui cherche à effacer leurs existences... Critique : Alors disons le tout de suite : cette bd n'est pas pour tout le monde. On a ici une bd militante qui si elle se place dans un contexte très légèrement futuriste nous présente l'essentiel des luttes LGBTQ+. Les personnages sont dans cette mouvance militante, oscillant entre leurs problématiques personnelles et amoureuses, leurs questionnements identitaires et amoureux, et leurs luttes contre l'extrême droite ou la société. Autant vous dire que si vous êtes un peu vieille france, que la mention woke vous donne des sueurs, ou que vous êtes conservateurs dans l'âme, cette bd va vous mettre probablement un peu mal à l'aise. Pour les autres, gardez en tête que ce récit possède une large part d'onirisme et de poésie, rendant parfois le tout un poil brouillon. Les personnages par contre et leurs problématiques, sont très marqués, bien développés, et leur triangle amoureux est plutôt intéressant avec des enjeux assez clairs entre les personnages. Certaines scènes m'ont parues parfois un peu confuses mais l'ensemble se lit quand même de manière fluide, avec une montée en puissance de l'onirisme en fin d'album. La seule chose de sûre c'est que je n'ai jusqu'ici rien lu d'approchant en terme d'histoire et d'enjeux 🙂 Le dessin par contre est très spécial, feuilletez ce livre si le sujet vous intéresse. En première impression j'ai eu un peu de mal mais finalement cela ne m'a ensuite plus dérangé. Les contours sont très marqués, les visages très expressifs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hacker-la-peau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Lombric

    Oh que c'est difficile de parler de Lombric. C'est un ovni. Un conte que l'on suit avec intérêt sans aucune idée de là où il va nous mener. Un conte qu'on referme persuadé d'attendre une suite, qui n'existera jamais et qui n'aurait aucun sens. .Un conte qui poussera à la réflexion, au désespoir aussi un peu, mais un univers graphique riche, original et séduisant. C'est exactement le type de bd qui justifie la collection Métamorphose de chez Soleil, qui est à ce jour je le pense sincèrement l'une des plus créative et burnée de la bd franco belge. Je ne sais pas à qui cela va plaire, mais je sais en tous cas que les lecteurs ne seront pas indifférents à cette poésie mélancolique et bucolique pleine de charme. C'est un OVNI. Je n'en dirais pas plus, feuilletez le, n'en attendez rien, découvrez le, faites vous votre avis.
  8. The_PoP

    Lombric

    Titre de l'album : Lombric Scenariste de l'album : Mathieu Sapin Dessinateur de l'album : Patrick Pion Coloriste : Cyrille Bertin Editeur de l'album : Soleil - Metamorphoses Note : Résumé de l'album : Scénarisé par Mathieu Sapin (Le Ministère secret, Gérard) et dessiné avec style par Patrick Pion, Lombric raconte la vie d'un vermisseau touché par la grâce, yôkai flippant et mignon, qui découvre la vie dans une nature tantôt hostile, tantôt enchanteresse. Parallèlement, un batracien détective s'adjoint l'aide d'une souris désemparée pour tenter de retrouver la piste d'un mystérieux malfaiteur... Critique : Oh que c'est difficile de parler de Lombric. C'est un ovni. Un conte que l'on suit avec intérêt sans aucune idée de là où il va nous mener. Un conte qu'on referme persuadé d'attendre une suite, qui n'existera jamais et qui n'aurait aucun sens. .Un conte qui poussera à la réflexion, au désespoir aussi un peu, mais un univers graphique riche, original et séduisant. C'est exactement le type de bd qui justifie la collection Métamorphose de chez Soleil, qui est à ce jour je le pense sincèrement l'une des plus créative et burnée de la bd franco belge. Je ne sais pas à qui cela va plaire, mais je sais en tous cas que les lecteurs ne seront pas indifférents à cette poésie mélancolique et bucolique pleine de charme. C'est un OVNI. Je n'en dirais pas plus, feuilletez le, n'en attendez rien, découvrez le, faites vous votre avis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lombric?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Le baron

    Titre de l'album : Le baron Scenariste de l'album : Jean-Luc Masbou Dessinateur de l'album : Jean-Luc Masbou Coloriste : Jean-Luc Masbou Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : A l'automne de sa vie, le Baron de Münchhausen se retrouve confronté au livre fraîchement publié qui raconte ses aventures. Un livre qui, certes, lui amène une popularité et une certaine notoriété bien au-delà de la région où il réside mais qui le confronte à la mort en faisant de lui un héros de papier et non plus un conteur ! Notre baron se décide à rétablir la vérité, et quelle vérité ! Critique : Je vous avoue que j'ai une grande tendresse pour le dessin de Jean-Luc Masbou. Fan absolu de son travail remarquable sur De Cape et de Crocs, j'avoue que j'ai fortement suivi la sortie de ce tome consacré aux aventures fantastiques du baron de Munchausen où le génie de Jean-Luc Masbou se retrouvait aux commandes du scénario, de l'écriture et du dessin. Hors l'on sait l'écueil que cela représente pour un seul auteur de se retrouver seul aux commandes d'une BD. Cette BD quand je l'ai eu en main je l'ai trouvée très belle, mais j'ai su d'instinct qu'il me faudrait "du temps de cerveau" disponible pour l'apprécier. Non ce n'est pas une BD de gare, une BD qui se dévore et s'oublie rapidement. Ce baron de Munchausen se lit bien enfoncé dans un canapé, avec un truc à grignoter et à boire de préférence, l'esprit libre pour être touché par l'imaginaire, la poésie, et la grâce des illustrations et de l'histoire portée par cette riche BD. Alors évidemment si vous n'êtes pas amateur du dessin tout en rondeurs, en empathie, et en humour de M. Masbou, passez votre chemin. Si le fantastique, le fantasmagorique, la littérature ou la poésie vous laissent indifférents, passez juste votre chemin, Ce Baron là n'est pas pour vous et ce n'est pas bien grave. Les rationnels n'y verront qu'une ode à l'inutile, les rêveurs rêveront. Si vous avez aimé de Cape et de crocs, foncez, si le verbe est moins lyrique chez ce Baron là, les mots y restent toujours bien pesés, les couleurs alléchantes, l'amour de l'humain omniprésent et la magie finit par opérer. Autres infos : Ne passez pas à côté ce moment de grâce... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-baron?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Le baron

    Je vous avoue que j'ai une grande tendresse pour le dessin de Jean-Luc Masbou. Fan absolu de son travail remarquable sur De Cape et de Crocs, j'avoue que j'ai fortement suivi la sortie de ce tome consacré aux aventures fantastiques du baron de Munchausen où le génie de Jean-Luc Masbou se retrouvait aux commandes du scénario, de l'écriture et du dessin. Hors l'on sait l'écueil que cela représente pour un seul auteur de se retrouver seul aux commandes d'une BD. Cette BD quand je l'ai eu en main je l'ai trouvée très belle, mais j'ai su d'instinct qu'il me faudrait "du temps de cerveau" disponible pour l'apprécier. Non ce n'est pas une BD de gare, une BD qui se dévore et s'oublie rapidement. Ce baron de Munchausen se lit bien enfoncé dans un canapé, avec un truc à grignoter et à boire de préférence, l'esprit libre pour être touché par l'imaginaire, la poésie, et la grâce des illustrations et de l'histoire portée par cette riche BD. Alors évidemment si vous n'êtes pas amateur du dessin tout en rondeurs, en empathie, et en humour de M. Masbou, passez votre chemin. Si le fantastique, le fantasmagorique, la littérature ou la poésie vous laissent indifférents, passez juste votre chemin, Ce Baron là n'est pas pour vous et ce n'est pas bien grave. Les rationnels n'y verront qu'une ode à l'inutile, les rêveurs rêveront. Si vous avez aimé de Cape et de crocs, foncez, si le verbe est moins lyrique chez ce Baron là, les mots y restent toujours bien pesés, les couleurs alléchantes, l'amour de l'humain omniprésent et la magie finit par opérer.
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