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  1. Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉
  2. Titre de l'album : Quand je suis arrivée au château Scenariste de l'album : Emily Dessinateur de l'album : Caroll Coloriste : Emily Caroll Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Après les succès retentissants de Dans les bois (Casterman) et de Speak (Rue de Sèvres), le nouveau conte horrifique d’Emily Carroll revient au source du genre gothique : les vampires. Si le livre semble suivre la trame classique d’un chasseur de vampire en train de s’infiltrer dans le château d’un vampire, c’est pour mieux perdre son lecteur dans un dédale narratif et graphique où le vrai héros n’est pas celui qu’on croît. Comme tant de jeunes filles avant elle, une jeune femme se rend au château avec la ferme intention de mettre un terme aux terribles agissements de la Comtesse. Mais rien ne pouvait la préparer à l’horreur qui se cachait dans ses tourelles maléfiques. Riches de ses influences gothiques, Emily Carroll distille une horreur sourde teintée d’érotisme. Critique : Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-je-suis-arrivee-au-chateau/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Pfffff que j'aime ces deux auteurs. Je le dis et je le répète mais ensemble ils sont juste géniaux. Voici donc la conclusion de la trilogie fantastique des deux auteurs d'Horacio d'Alba revisitant le mythe de Dracula à leur façon. La maestria de Nicolas Siner s'exprime une nouvelle fois dans cette conclusion dramatique à haute intensité. Personnages, mise en scène, action et décors sont sublimes. La noirceur des fonds et couleurs pour des raisons évidentes n'empêche pas le dessin de nous subjuguer. Le scénario de Jérôme Le Gris est lui.... comment dire... terrible, dramatique, intense, et ... Frustrant. Oui si Horacio d'Alba nous avait habitué aux fins tragiques, frustrantes et logiques mais là on franchit définitivement un cap. ON VEUT UNE SUITE ! ON VEUT UN NOUVEAU CYCLE ! C'est beaucoup trop bon pour s'arrêter là. Seule faiblesse je trouve de cette trilogie : le personnage principal, que je trouve un peu trop passif, faible et un brin geignard. D'où l'importance je trouve, sans rien spoiler, de nous raconter la suite 😉
  4. Titre de l'album : Lord Gravestone - Tome 3 - L'empereur des cendres Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Nicolas Siner Coloriste : Nicolas Siner Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : L'avènement d'un prince de l'ombre...Après avoir été trompé par la stryge Camilla, John Gravestone retrouve enfin sa fiancée Mary. Maintenant que son fidèle protecteur Tibbett est mort, son oncle Théophile est le seul qui puisse le mettre en garde : tant que Camilla respire, elle représentera toujours un danger pour John qui reste un incube. S'il se fait mordre par la vampire, son âme sera perdue à jamais. Pendant ce temps Camilla a rejoint les ténèbres pour panser ses blessures et attendre la naissance de son enfant, celui de John ! Cachée entre les murs lugubres d'un sanctuaire, elle a fait son choix : sa progéniture appartiendra à un monde meilleur, celui des hommes. Pour John et Mary une longue attente de neuf mois commence... Jérôme Le Gris et Nicolas Siner terminent leur série épique au coeur de l'épais brouillard anglais avec un tome sombre et gothique. Lord Gravestone mêle écriture moderne et fable vampirique en puisant aux sources du genre. En plaçant leur oeuvre chronologiquement en amont du célèbre Dracula de Bram Stoker, à l'époque prévictorienne, ils imaginent un univers esthétique où le mythe se fond dans une relecture de Roméo et Juliette. Critique : Pfffff que j'aime ces deux auteurs. Je le dis et je le répète mais ensemble ils sont juste géniaux. Voici donc la conclusion de la trilogie fantastique des deux auteurs d'Horacio d'Alba revisitant le mythe de Dracula à leur façon. La maestria de Nicolas Siner s'exprime une nouvelle fois dans cette conclusion dramatique à haute intensité. Personnages, mise en scène, action et décors sont sublimes. La noirceur des fonds et couleurs pour des raisons évidentes n'empêche pas le dessin de nous subjuguer. Le scénario de Jérôme Le Gris est lui.... comment dire... terrible, dramatique, intense, et ... Frustrant. Oui si Horacio d'Alba nous avait habitué aux fins tragiques, frustrantes et logiques mais là on franchit définitivement un cap. ON VEUT UNE SUITE ! ON VEUT UN NOUVEAU CYCLE ! C'est beaucoup trop bon pour s'arrêter là. Seule faiblesse je trouve de cette trilogie : le personnage principal, que je trouve un peu trop passif, faible et un brin geignard. D'où l'importance je trouve, sans rien spoiler, de nous raconter la suite 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-gravestone-tome-3-l-empereur-des-cendres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Killadelphia tome 1

    Ce premier tome de Killadelphia réunit le premier arc complet en six chapitres et installe le contexte avec les vampires qui sont de plus en plus nombreux à Philadelphie. Le scénariste Rodney Barnes propose un récit bien construit qui sort du lot malgré la thématique des suceurs de sang. On suit l'intrigue avec plaisir comme une enquête policière. La partie graphique est gérée par Jason Shawn Alexander et vaut à elle seule l'achat de ce titre. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'apprécier les dessins de l'auteur sur des séries comme Abe Sapien, Queen & country ou encore Spawn. Le trait réaliste et sombre de Jason Shawn Alexander apporte une ambiance bien particulière et réussie en générale. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives et la construction de planches avec explications de l'auteur. Killadephia commence bien une série sur les vampires.
  6. alx23

    Killadelphia tome 1

    Titre de l'album : Killadelphia tome 1 Scenariste de l'album : Rodney Barnes Dessinateur de l'album : Jason Shawn Alexander Coloriste : Luis NCT Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Lorsque le policier Jimmy Sangster rentre à Philadelphie pour enterrer son père assassiné, il se retrouve vite confronté à un complot surnaturel qui gangrène l'Amérique depuis des centaines d'années. Sa ville, qui était autrefois le symbole de la liberté, est devenue la proie de la corruption, de la violence, de la misère... et des vampires. BIENVENUE À KILLADELPHIE... Critique : Ce premier tome de Killadelphia réunit le premier arc complet en six chapitres et installe le contexte avec les vampires qui sont de plus en plus nombreux à Philadelphie. Le scénariste Rodney Barnes propose un récit bien construit qui sort du lot malgré la thématique des suceurs de sang. On suit l'intrigue avec plaisir comme une enquête policière. La partie graphique est gérée par Jason Shawn Alexander et vaut à elle seule l'achat de ce titre. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'apprécier les dessins de l'auteur sur des séries comme Abe Sapien, Queen & country ou encore Spawn. Le trait réaliste et sombre de Jason Shawn Alexander apporte une ambiance bien particulière et réussie en générale. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives et la construction de planches avec explications de l'auteur. Killadephia commence bien une série sur les vampires. Autres infos : Editions : Huginn & Muninn Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killadelphia-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Aspirine - Tome 3 - Monster Tinder Scenariste de l'album : Joann Sfar Dessinateur de l'album : Joann Sfar Coloriste : Brigitte Findakly Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Même les vampires comme Aspirine doivent se confiner, d'autant que, vu son âge respectable - 300 ans - elle fait partie de la population à risque. Ce troisième tome d'Aspirine, Joann Sfar l'a entamé sur Instagram durant le confinement du printemps 2020. Plutôt que de se morfondre, il a préféré s'amuser à raconter les errances de son ado vampire préférée. Toujours rétive à l'autorité, Aspirine ne respecte pas trop les consignes et préfère porter secours aux monstres qui ont besoin d'aide, même si ça peut s'avérer dangereux Critique : Dur dur. Dur de devoir faire cette chronique car évidemment Joann Sfar est un monstre sacré de la BD. Mais vous avez pourtant vu que j'ai mis une note assez sévèrement inhabituelle. Tout simplement car je n'ai pas réussi à finir cette BD. Joann Sfar l'a écrit pendant le Covid, et tout le début de cette BD ne parle finalement presque que de ça. Et cela ne m'intéresse pas ou plus. C'est trop frais, trop récent, cela a été notre quotidien pendant trop longtemps. Hors si j'avais déjà du mal avec le concept de cette série sur les 2 premiers tomes, là je vous avoue que je décroche. Les personnages ne me déclenchent aucune empathie, je ne rigole pas aux vannes. Quand au dessin, je ne suis guère sensible au trait pourtant remarquable, détaillé et très personnalisé de Joann Sfar. Mais tout cela a fait que je n'ai pris aucun plaisir à cette lecture, et que je m'y suis profondément ennuyé. Ne voyez dans ma note aucun jugement de valeur sur cette BD qui plaira je n'en doute pas à ceux qui ont déjà adoré les deux premiers tomes. Mais moi je lâche l'affaire ici, question de goût personnel tout simplement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aspirine-tome-3-monster-tinder?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Dur dur. Dur de devoir faire cette chronique car évidemment Joann Sfar est un monstre sacré de la BD. Mais vous avez pourtant vu que j'ai mis une note assez sévèrement inhabituelle. Tout simplement car je n'ai pas réussi à finir cette BD. Joann Sfar l'a écrit pendant le Covid, et tout le début de cette BD ne parle finalement presque que de ça. Et cela ne m'intéresse pas ou plus. C'est trop frais, trop récent, cela a été notre quotidien pendant trop longtemps. Hors si j'avais déjà du mal avec le concept de cette série sur les 2 premiers tomes, là je vous avoue que je décroche. Les personnages ne me déclenchent aucune empathie, je ne rigole pas aux vannes. Quand au dessin, je ne suis guère sensible au trait pourtant remarquable, détaillé et très personnalisé de Joann Sfar. Mais tout cela a fait que je n'ai pris aucun plaisir à cette lecture, et que je m'y suis profondément ennuyé. Ne voyez dans ma note aucun jugement de valeur sur cette BD qui plaira je n'en doute pas à ceux qui ont déjà adoré les deux premiers tomes. Mais moi je lâche l'affaire ici, question de goût personnel tout simplement.
  9. poseidon2

    Ne reste que l'aube

    Ne reste que l’aube, ou quand Thierry Murat reprend Entretien avec un vampire et calle l'histoire au XXII ieme siècle. Ça devrait vous suffire non ? Car qui dit Thierry Murat dit forcement de sublime illustration. Des dessins sur des grandes cases qui mettent en valeur le travail graphique effectué. Qui dit Entretien avec un Vampire dit Vampire, avec sa vie nocturne et appuie le choix d'un ouvrage en teintes de noir et gris, mais dit aussi réflexion sur l'immortalité et le poids des ans. Ce poids que l'on cherche mais que l'immortalité de notre Vampire rend pesant. Et qui dit XXII ieme siècle dit, en regardant notre XXI ieme siècle, une dérive des réseaux sociaux, une fin de la vie privée et permet à Thierry Murat de confronter cette globalité au besoin d'indépendance et de secret du Vampire. Une sublime réflexion sur l'idée d'immortalité et les dérives futurs des réseaux sociaux et de leurs pouvoirs.
  10. Titre de l'album : Ne reste que l'aube Scenariste de l'album : Thierry Murat Dessinateur de l'album : Thierry Murat Coloriste : Thierry Murat Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Thierry Murat revient avec le dernier volet d'un triptyque explorant la création artistique à travers les genres littéraires. Avec Ne reste que l'aube, il revisite le genre littéraire du récit de vampire et aborde les thèmes de l'art et de l'immortalité... En choisissant de situer son histoire dans un futur proche, il porte un regard aiguisé sur l'avenir de notre monde, devenu déshumanisé par la montée des réseaux sociaux, un monde où l'humanité se trouve peut-être là où on ne l'attend plus. Jørgen Nyberg est un peintre célèbre de la deuxième moitié du XXIe siècle. Il a installé sa notoriété grandissante avec des peintures de scènes intimistes aux formats gigantesques. D'une modernité implacable, ses toiles ont la particularité d'être exécutées avec une technique très ancienne de la Renaissance italienne. Ses oeuvres font autant parler d'elles sur le Workin'glass, le réseau social dominant, que la volonté de l'artiste de ne jamais apparaître en public. Avant d'être Jørgen Nyberg, il fût l'une des figures marquantes du Cinquecento, Giacomo della Fenice. Malheureusement, il meurt à 46 ans, en 1531, en Toscane, mordu à mort dans une ruelle de Sienne. L'immortalité lui est offerte par son agresseur, un vampire et collectionneur d'art qu'il n'a jamais revu. Cinq siècles plus tard, il vit et travaille dans un immense loft au 153e étage d'une tour de Stockholm où il réside, la lumière de l'aube y étant plus confortable. Un jour, Yris, l'intelligence artificielle qui gère son lien avec le monde extérieur, lui conseille vivement d'accepter un rendez-vous avec Niels, un jeune artiste étudiant fasciné par l'oeuvre et la troublante personnalité de Jørgen Nyberg. Une rencontre qui va bouleverser leurs vies. Critique : Ne reste que l’aube, ou quand Thierry Murat reprend Entretien avec un vampire et calle l'histoire au XXII ieme siècle. Ça devrait vous suffire non ? Car qui dit Thierry Murat dit forcement de sublime illustration. Des dessins sur des grandes cases qui mettent en valeur le travail graphique effectué. Qui dit Entretien avec un Vampire dit Vampire, avec sa vie nocturne et appuie le choix d'un ouvrage en teintes de noir et gris, mais dit aussi réflexion sur l'immortalité et le poids des ans. Ce poids que l'on cherche mais que l'immortalité de notre Vampire rend pesant. Et qui dit XXII ieme siècle dit, en regardant notre XXI ieme siècle, une dérive des réseaux sociaux, une fin de la vie privée et permet à Thierry Murat de confronter cette globalité au besoin d'indépendance et de secret du Vampire. Une sublime réflexion sur l'idée d'immortalité et les dérives futurs des réseaux sociaux et de leurs pouvoirs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ne-reste-que-l-aube?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    These savage shores

    Grosse parution cet été chez Hi Comics avec ce These Savage shores qui mêle adroitement les mythes vampires européens et les mythes Indiens sur fond de colonialisme et de l'inde du 18ème siècle. Autant vous dire que c'est original comme univers, mais la vraie grande réussite c'est que ce mélange original est rendu très cohérent, passionnant même par une narration maîtrisée de bout en bout. Le seul défaut est que finalement cette histoire aurait méritée d'être plus développée je crois. C'est intense, puissant et on ressort de cette aventure avec un goût de trop peu qui ne peu que nous pousser à conclure que ce qu'on vient de lire était bon. Voir très bon. La partie graphique est complètement maîtrisée par Sumit Kumar au dessin et Vittorio Astone aux couleurs. C'est superbe, cohérent, certaines scènes dégagent une vraie puissance et les scènes d'actions sont parfaitement mises en scène. Les personnages sont suffisamment travaillés pour coller à leurs personnalités et nous faire ressentir une vraie empathie pour eux et l'on sent bien que dessin et narration sont en osmose. Ceci étant dit These Savage Shores au delà de proposer une aventure très chouette qui nous rappellera nécessairement le Dracula de Bram Stoker, These Savage shores propose également une réflexion plus poussée sur nos sociétés, notre rapport à la sauvagerie ou à la destinée, et dans une moindre mesure une évocation vu de l'Inde du colonialisme Anglais. Ce n'est certes pas cette partie qui m'a le plus marqué le récit m'ayant complètement envoûté. These Savage shores est un one shot sublime porté par une narration sans faille au service d'une histoire universelle. Une réussite à tous points de vue.
  12. Titre de l'album : These savage shores Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Sumit Kumar Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Sur les rives de l'Indus, les jours sont rudes, et les nuits, déchirantes. 1766. Deux siècles après l'arrivée du premier navire européen sur les côtes de Malabar et l'implantation des colons à Calicut, la Compagnie des Indes cherche à protéger ses intérêts économiques sur la Route de la Soie. Une ancienne créature diabolique embarque sur un bateau de la Compagnie, dans l'espoir de redémarrer de zéro sur ces nouvelles terres prometteuses. Mais il comprendra vite que les rives de l'Indus abritent des démons et créatures légendaires bien plus anciennes que lui. Critique : Grosse parution cet été chez Hi Comics avec ce These Savage shores qui mêle adroitement les mythes vampires européens et les mythes Indiens sur fond de colonialisme et de l'inde du 18ème siècle. Autant vous dire que c'est original comme univers, mais la vraie grande réussite c'est que ce mélange original est rendu très cohérent, passionnant même par une narration maîtrisée de bout en bout. Le seul défaut est que finalement cette histoire aurait méritée d'être plus développée je crois. C'est intense, puissant et on ressort de cette aventure avec un goût de trop peu qui ne peu que nous pousser à conclure que ce qu'on vient de lire était bon. Voir très bon. La partie graphique est complètement maîtrisée par Sumit Kumar au dessin et Vittorio Astone aux couleurs. C'est superbe, cohérent, certaines scènes dégagent une vraie puissance et les scènes d'actions sont parfaitement mises en scène. Les personnages sont suffisamment travaillés pour coller à leurs personnalités et nous faire ressentir une vraie empathie pour eux et l'on sent bien que dessin et narration sont en osmose. Ceci étant dit These Savage Shores au delà de proposer une aventure très chouette qui nous rappellera nécessairement le Dracula de Bram Stoker, These Savage shores propose également une réflexion plus poussée sur nos sociétés, notre rapport à la sauvagerie ou à la destinée, et dans une moindre mesure une évocation vu de l'Inde du colonialisme Anglais. Ce n'est certes pas cette partie qui m'a le plus marqué le récit m'ayant complètement envoûté. These Savage shores est un one shot sublime porté par une narration sans faille au service d'une histoire universelle. Une réussite à tous points de vue. Autres infos : Quand un vampire rencontre un Rashtaka... Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/these-savage-shores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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