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  1. Kevin Nivek

    La vengeance

    La très belle couverture de ce western donne bien le ton de l'histoire ! On y aperçoit un père et ses enfants , chevauchant dans la neige , puis le titre du livre sans équivoque : La vengeance . Elle est ici l'originalité de cette traque dans les splendides paysages des rocheuses et du Wyoming . Un père de famille , pionnier vivant de sa terre dans un ranch perdu au milieu de l'immensité américaine décide de se venger des hommes qui ont tué sa femme . Mais il engage cette quête avec ses enfants ! L'auteur alterne les flashbacks et le présent en changeant les couleurs de fond . Il use d'un jaune chaud presque rassurant pour le passé et d'un bleu "enneigé" pour le présent .Cela permet une lecture fluide et de ménager le suspens , car très vite on sait que la mère a été assassinée , mais on ne connait pas les circonstances et le suivi immédiat de ce drame . Ajoutez à cela les éléments naturels venant perturber cette poursuite des tueurs et vous découvrirez en prime tout le talent de l'artiste belge à l'aquarelle . Les paysages sont somptueux , la montagne et ses forêts enneigées occupent parfois des pages entières pour le plaisir des yeux ! J'aurais un reproche sur le traitement des visages des personnages , assez lisses et manquant de détails . L'auteur est assurément plus à l'aise avec les décors et les animaux . Des phases contemplatives alternant avec de l'action et des hommes durs se livrant à leurs bas instincts . Clint Eastwood et son approche humaine des westerns , n'est pas loin dans la construction de ce récit , on sent une influence marquante . Un beau one-shot à l'aquarelle d'un réalisme saisissant . Amateurs de l'ouest sauvage , foncez 🙂
  2. Kevin Nivek

    La vengeance

    Titre de l'album : La vengeance Scenariste de l'album : David Wautier Dessinateur de l'album : David Wautier Coloriste : David Wautier Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Wyoming, XIXe siècle. Richard Hatton avait tout pour être heureux : un lopin de bonne terre où il avait construit sa ferme, ainsi qu'une magnifique épouse qui lui avait donné deux beaux enfants. C'était sans compter sur Jim Pickford et ses deux acolytes. Tombant par hasard sur la ferme des Hatton et sur Mary restée seule, ces trois salopards en profitent pour la violer et la tuer. À son retour chez lui, Hatton voit sa raison chanceler. Son amour est parti à jamais, souillé pour l'éternité. Seul pour administrer tout le comté, le shérif ne peut pas l'aider et lui conseille d'oublier... Oublier ! Impossible, alors tout lui rappelle ce crime resté impuni. N'y tenant plus, Hatton vend sa ferme et part à la recherche des assassins de sa femme. Et ses enfants ? Il doit se résoudre à les emmener avec lui, quitte à leur montrer la face sombre de l'homme qu'il est devenu. Malgré le froid, la faim et les dangers qui menacent sa fille et son jeune fils, Hatton suit sa piste comme un loup qui a reniflé l'odeur du sang. Jusqu'où peut-on se couper de soi-même et de l'amour de ses enfants, pour assouvir son désir de vengeance ? Qu'est-ce qui différencie le vengeur des criminels? Hatton n'a pas de réponse à ces questions, mais il est trop tard pour reculer. Critique : La très belle couverture de ce western donne bien le ton de l'histoire ! On y aperçoit un père et ses enfants , chevauchant dans la neige , puis le titre du livre sans équivoque : La vengeance . Elle est ici l'originalité de cette traque dans les splendides paysages des rocheuses et du Wyoming . Un père de famille , pionnier vivant de sa terre dans un ranch perdu au milieu de l'immensité américaine décide de se venger des hommes qui ont tué sa femme . Mais il engage cette quête avec ses enfants ! L'auteur alterne les flashbacks et le présent en changeant les couleurs de fond . Il use d'un jaune chaud presque rassurant pour le passé et d'un bleu "enneigé" pour le présent .Cela permet une lecture fluide et de ménager le suspens , car très vite on sait que la mère a été assassinée , mais on ne connait pas les circonstances et le suivi immédiat de ce drame . Ajoutez à cela les éléments naturels venant perturber cette poursuite des tueurs et vous découvrirez en prime tout le talent de l'artiste belge à l'aquarelle . Les paysages sont somptueux , la montagne et ses forêts enneigées occupent parfois des pages entières pour le plaisir des yeux ! J'aurais un reproche sur le traitement des visages des personnages , assez lisses et manquant de détails . L'auteur est assurément plus à l'aise avec les décors et les animaux . Des phases contemplatives alternant avec de l'action et des hommes durs se livrant à leurs bas instincts . Clint Eastwood et son approche humaine des westerns , n'est pas loin dans la construction de ce récit , on sent une influence marquante . Un beau one-shot à l'aquarelle d'un réalisme saisissant . Amateurs de l'ouest sauvage , foncez 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vengeance/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Au nom du fils Scenariste de l'album : Pauline Djian, Jean-Blaise Djian Dessinateur de l'album : Sébastien Corbet Coloriste : Sébastien Corbet Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Paris, de nos jours. Au chômage et divorcé, Stéphane mène une vie solitaire et morose. Un soir comme un autre, il reçoit un appel téléphonique en provenance de la Bolivie : son fils Max, avec qui le lien est rompu depuis des années, serait décédé dans la prison de San Pedro, unique en son genre car autogérée par les détenus. Honteux d'avoir été un père absent, Stéphane décide de « bazarder » sa dérive quotidienne et de partir pour la Paz afin d'élucider les mystères qui entourent la mort de son fils. Sur place, il parvient à se faire incarcérer pour pouvoir mener son enquête, quitte à y laisser sa peau...Dans cette prison qui ressemble bien à l'enfer sur Terre, Stéphane fera tout pour découvrir la vérité, dans l'espoir d'y trouver par la même occasion sa propre rédemption. Critique : Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-du-fils-9782810200979/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Au nom du fils

    Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins !
  5. Clap de fin avec ce tome 5 pour cette série Western de chez Rue de Sèvres menée par Laurent Astier. J'ai toujours été un peu dur avec cette série car je ne suis pas plus sensible que cela au dessin de Laurent Astier, pourtant très travaillé. Question de goût avant tout donc. Ce tome 5 a le mérite de venir apporter des réponses complètes et parfois complexes aux questions soulevées tout au long de l'aventure, las, j'ai trouvé que le rythme qui caractérisait la série s'essouflait un brin en raison des nombreux dialogues et flashbacks explicatifs nécessaires à la compréhension de l'intrigue. Nénamoins il faut relever aussi qu'un tel niveau de complexité dans le récit sur un Western est rare, voir très rare, les enjeux ici étant souvent bien tordus et cachés. Les rebondissements finaux apportent toutefois un peu de peps à cette fin d'album, mais j'ai eu du mal à beaucoup accrocher au personnage d'Emily. La venin reste une solide série de Western en dépit de mes simagrées, et elle fera passer un bon moment de lecture aux amateurs de Western, car elle a le bon goût d'en explorer plusieurs facettes en s'éloignant finalement assez vite des grands espaces de l'Ouest américain d'origine pour se rapprocher de la côte Est des Etats Unis du début du siècle qui nous est moins familière.
  6. Titre de l'album : La venin - Tome 5 - Soleil de plomb Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Emily arrive au terme de sa quête de vengeance, visant à retrouver et éliminer les meurtriers de sa mère. Après avoir fait le deuil Stanley Whitman, l'homme qu'elle aimait, elle met en place le plan qui lui permettra d'atteindre sa dernière cible et ainsi achever son sanglant projet. Pour cette ultime étape, la plus ambitieuse et dangereuse de toutes, Emily est prête à prendre tous les risques. L'homme à abattre n'est en effet autre que le président des Etats-Unis. Critique : Clap de fin avec ce tome 5 pour cette série Western de chez Rue de Sèvres menée par Laurent Astier. J'ai toujours été un peu dur avec cette série car je ne suis pas plus sensible que cela au dessin de Laurent Astier, pourtant très travaillé. Question de goût avant tout donc. Ce tome 5 a le mérite de venir apporter des réponses complètes et parfois complexes aux questions soulevées tout au long de l'aventure, las, j'ai trouvé que le rythme qui caractérisait la série s'essouflait un brin en raison des nombreux dialogues et flashbacks explicatifs nécessaires à la compréhension de l'intrigue. Nénamoins il faut relever aussi qu'un tel niveau de complexité dans le récit sur un Western est rare, voir très rare, les enjeux ici étant souvent bien tordus et cachés. Les rebondissements finaux apportent toutefois un peu de peps à cette fin d'album, mais j'ai eu du mal à beaucoup accrocher au personnage d'Emily. La venin reste une solide série de Western en dépit de mes simagrées, et elle fera passer un bon moment de lecture aux amateurs de Western, car elle a le bon goût d'en explorer plusieurs facettes en s'éloignant finalement assez vite des grands espaces de l'Ouest américain d'origine pour se rapprocher de la côte Est des Etats Unis du début du siècle qui nous est moins familière. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-venin-tome-5-soleil-de-plomb?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Duke tome 7 - Ce monde n'est pas le mien Scenariste de l'album : Yves H. Dessinateur de l'album : Hermann Coloriste : Hermann Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour en Californie, Duke touche au but : il va enfin pouvoir arracher Peg des griffes de King. Mais à peine a-t-il fait quelques pas en ville qu'il finit derrière les barreaux, où le retrouve Manolito. Le colosse mystique et sanguinaire lui propose un étrange marché : il le sortira de là si Duke reconnaît qu'ils appartiennent à la même espèce de démons. Si Duke veut la fin, il lui faudra accepter les moyens ! Car, au fond, la meilleure arme du diable n'est-elle pas la Vérité... ? Critique : En conclusion de cette série Western d'Hermann, ce tome 7 vient nous apporter un joli final qui s'il se révèle finalement très logique, n'en demeure pas moins réussi pour les amateurs de la série. Vous l'aurez compris pour ma part je suis resté un peu déçu par cette série que je n'ai jamais pu m'empêcher de comparer à Comanche, l'autre série Western phare de Hermann. Ici j'en viens presque à lui reprocher sa colorisation, qui faisait pourtant des merveilles sur l'univers de Comanche, mais qui je trouve peine à convaincre dans cette Californie où se déroule ce tome. Le scénario de Yves H quand à lui, s'il a eu le mérite de nous présenter des personnages très humains et crédibles, n'a pas réussi à retenir mon attention, la faute à un héros finalement trop insipide et nuancé. Duke reste une bonne série Western, mais pour moi malheureusement un cran en dessous des ténors du genre, et même des autres séries d'Hermann. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/duke-tome-7-ce-monde-n-est-pas-le-mien?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. En conclusion de cette série Western d'Hermann, ce tome 7 vient nous apporter un joli final qui s'il se révèle finalement très logique, n'en demeure pas moins réussi pour les amateurs de la série. Vous l'aurez compris pour ma part je suis resté un peu déçu par cette série que je n'ai jamais pu m'empêcher de comparer à Comanche, l'autre série Western phare de Hermann. Ici j'en viens presque à lui reprocher sa colorisation, qui faisait pourtant des merveilles sur l'univers de Comanche, mais qui je trouve peine à convaincre dans cette Californie où se déroule ce tome. Le scénario de Yves H quand à lui, s'il a eu le mérite de nous présenter des personnages très humains et crédibles, n'a pas réussi à retenir mon attention, la faute à un héros finalement trop insipide et nuancé. Duke reste une bonne série Western, mais pour moi malheureusement un cran en dessous des ténors du genre, et même des autres séries d'Hermann.
  9. kvin

    Purgatorio

    Hop la! Celui-ci va plaire à certains d'entre nous, pour sûr 🙂 https://fr.ulule.com/purgatorio/ Le prix d'entrée est plus que correct (18€) pour cette histoire de vengeance sous fond du mexique des années 80 à aujourd'hui. Quelques planches 🙂 Si CA, ça vous donne pas envie, eh bien je ne sais plus quoi dire^^
  10. Titre de l'album : La Venin - Tome 4 - Ciel d'Ether Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : New York 1900, Emily est danseuse de cabaret, elle est même la meneuse de revue dont la beauté subjugue bien des hommes et en particulier Stanley Whitman, architecte de renommée de la ville. Cet homme, elle le connaît déjà, elle l'a identifié sur une photo comme étant l'un des agresseurs désignés de sa mère et s'apprête à lui régler son sort comme aux autres. Mais rien ne se passe comme prévu... Critique : Allez hop mea culpa. Je vous avoue que La venin n'était pas une série que je suivais avec un grand intérêt. Le premier tome assez prometteur avait laissé place à deux tomes qui avaient finis par ne plus susciter une grosse attente. Alors même qu'il s'agit d'un Western. Je pense que je suis simplement assez "insensible" au trait par ailleurs de grande qualité de Laurent Astier. C'est difficile d'expliquer pourquoi, mais probablement car je trouve son trait un peu lisse pour le Western. Et là Bim, sans prévenir La venin prend de l'ampleur avec son scénario, s'éloignant de la gentillette vengeance trop classique esquissée dans les premiers tomes. On gagne en profondeur, on s'éloigne du genre du Western, et la BD gagne d'un coup en intérêt. Quand je dis sans prévenir c'est une façon de parler... Cette série m'avait endormi, car tous les ingrédients ont bien été avancés sous mon nez au fur et à mesure. Bref, si vous souhaitez une belle série d'aventure/western/policier fraîche et qui gagne gentiment en complexité au fil des tomes, ce La Venin est fait pour vous. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-venin-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    La Venin - Tome 4 - Ciel d'Ether

    Allez hop mea culpa. Je vous avoue que La venin n'était pas une série que je suivais avec un grand intérêt. Le premier tome assez prometteur avait laissé place à deux tomes qui avaient finis par ne plus susciter une grosse attente. Alors même qu'il s'agit d'un Western. Je pense que je suis simplement assez "insensible" au trait par ailleurs de grande qualité de Laurent Astier. C'est difficile d'expliquer pourquoi, mais probablement car je trouve son trait un peu lisse pour le Western. Et là Bim, sans prévenir La venin prend de l'ampleur avec son scénario, s'éloignant de la gentillette vengeance trop classique esquissée dans les premiers tomes. On gagne en profondeur, on s'éloigne du genre du Western, et la BD gagne d'un coup en intérêt. Quand je dis sans prévenir c'est une façon de parler... Cette série m'avait endormi, car tous les ingrédients ont bien été avancés sous mon nez au fur et à mesure. Bref, si vous souhaitez une belle série d'aventure/western/policier fraîche et qui gagne gentiment en complexité au fil des tomes, ce La Venin est fait pour vous.
  12. Titre de l'album : Sangre - Tome 3 - Hovanne l'irrésolue Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Adrien Floch Coloriste : Claude Guth Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Introduite au manoir de Mermillade, Sangre enquête pour savoir laquelle des jeunes nobles a eu un passé secret de pirate sous l'identité d'Hovanne. Un exercice difficile dans cette société d'oisifs où tout est basé sur le prestige personnel. Critique : Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-3-hovanne-l-irresolue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes.
  14. Titre de l'album : La venin - Tome 3 - Entrailles Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1900, Oil Town dans l'Ohio. Sur ces terres crasseuses mélangées aux hydrocarbures, tout le monde travaille de près ou de loin pour l'or noir. C'est ici qu'arrive qu'Emily accompagnée de la petite Claire et de Susan, une femme secourue sur son chemin. Désormais, elle sera Mary Mc Cartney, la nouvelle institutrice. C'est ainsi qu'elle croit pouvoir approcher et tromper Drake, le tyrannique et gros exploitant pétrolier de la ville. Elle ne se doute pas un instant que c'est lui qui l'attend ! Démasquée, Emily apprendra au passage, un élément important sur sa mère qui lui fera perdre la raison. Déstabilisée et traquée par les chasseurs de prime, elle n'aura d'autres choix que de fuir en direction de New York. Critique : Et voici déjà le tome 3 pour cette série de Western des éditions Rue de Sèvres avec M. Laurent Astier aux commandes. Le rythme de parution est très soutenu pour selon qu'il s'agit d'une série dessinée et scénarisée par un seul auteur. Chapeau bas donc, et ce d'autant plus que la qualité semble encore présente dans ce tome. Les dessins sont toujours de qualité, et même si ce n'est pas forcément le trait que je préfère, il ne s'agit là que de goût personnel, tant les visages comme les arrières plans sont détaillés et fournis. La colorisation suit bien la trame scénaristique avec des ambiances très différentes suivant les époques et les flashbacks. Côté histoire, on poursuit la vengeance de notre héroïne tout en remontant les traces de ses drames passés. C'est toujours aussi vivant et l'occasion une nouvelle fois de saisir une tranche de vie de l'Ouest des années 1900 avec cette fois-ci les premières villes pétrolières. Je n'ai qu'un regret c'est que j'ai un petit peu du mal à m'attacher au destin d'Emily. Mais c'est souvent le cas pour moi avec les scénarios de vengeance. Je ne sais pas exactement en combien de tomes est prévue cette série mais je pense que l'on approche à grand pas du dénouement. La venin reste une bonne série de Western, qui si elle ne boxe pour moi pas tout à fait avec les ténors du genre, reste intéressante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-venin-tome-3-entrailles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    La venin - Tome 3 - Entrailles

    Et voici déjà le tome 3 pour cette série de Western des éditions Rue de Sèvres avec M. Laurent Astier aux commandes. Le rythme de parution est très soutenu pour selon qu'il s'agit d'une série dessinée et scénarisée par un seul auteur. Chapeau bas donc, et ce d'autant plus que la qualité semble encore présente dans ce tome. Les dessins sont toujours de qualité, et même si ce n'est pas forcément le trait que je préfère, il ne s'agit là que de goût personnel, tant les visages comme les arrières plans sont détaillés et fournis. La colorisation suit bien la trame scénaristique avec des ambiances très différentes suivant les époques et les flashbacks. Côté histoire, on poursuit la vengeance de notre héroïne tout en remontant les traces de ses drames passés. C'est toujours aussi vivant et l'occasion une nouvelle fois de saisir une tranche de vie de l'Ouest des années 1900 avec cette fois-ci les premières villes pétrolières. Je n'ai qu'un regret c'est que j'ai un petit peu du mal à m'attacher au destin d'Emily. Mais c'est souvent le cas pour moi avec les scénarios de vengeance. Je ne sais pas exactement en combien de tomes est prévue cette série mais je pense que l'on approche à grand pas du dénouement. La venin reste une bonne série de Western, qui si elle ne boxe pour moi pas tout à fait avec les ténors du genre, reste intéressante.
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