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  1. Nickad

    Country diary tome 1

    Dans une petite ville de campagne, Usa décide d’acheter une vieille bicoque afin de la rénover et d’en faire son atelier. Hélas, il est devancé par un citadin, ancien professeur qui ne connait absolument rien ni personne mais qui a décidé de vivre en harmonie avec la nature et de cultiver ses fruits et légumes. Usa décide de l’aider à rénover sa baraque et à lui faire découvrir la ville. Graphiquement parlant, je trouve le dessin un peu léger et un peu approximatif aussi par moment. Côté scénario, l’historie est gentille, avec ce citadin qui découvre la campagne, on obtient une belle image de la vie rurale entre l’entraide des habitants, la simplicité de la vie et le charme des anciennes maisons un peu traditionnelles. Là où on est un peu frustré, c’est la relation entre les personnages ; c’est sans doute parce que l’on est habitué à voir un peu de sentiments (ou plus) dans les yaois que l’on a une certaine attente dès qu’un nouveau titre parait. Ici, on ne sait absolument rien de leurs sentiments, tout ce que l’on voit c’est une amitié et des moments de partage. En réalité Country diary porte bien son nom, c’est une tranche de vie d’une petite campagne simple, agréable et sans prétention.
  2. Titre de l'album : Country diary tome 1 Scenariste de l'album : Aya Isino Dessinateur de l'album : Aya Isino Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Prenez le temps de ralentir pour savourer au calme Country Diary, un manga rural qui nous invite à profiter des petits riens de la vie et à admirer la beauté de la nature. Kurumizawa a quitté son poste de professeur pour s'installer à la campagne, dans le Nord du Japon. Ne connaissant rien à la vie rurale, il doit pourtant apprendre à s'adapter, en commençant par rénover la vieille maison qu'il vient d'acheter. Heureusement, il peut compter sur l'aide d'Usa, un artisan local qui le prend sous son aile. L'ex-citadin pourrait vite prendre goût aux plaisirs simples de son nouveau quotidien... Critique : Dans une petite ville de campagne, Usa décide d’acheter une vieille bicoque afin de la rénover et d’en faire son atelier. Hélas, il est devancé par un citadin, ancien professeur qui ne connait absolument rien ni personne mais qui a décidé de vivre en harmonie avec la nature et de cultiver ses fruits et légumes. Usa décide de l’aider à rénover sa baraque et à lui faire découvrir la ville. Graphiquement parlant, je trouve le dessin un peu léger et un peu approximatif aussi par moment. Côté scénario, l’historie est gentille, avec ce citadin qui découvre la campagne, on obtient une belle image de la vie rurale entre l’entraide des habitants, la simplicité de la vie et le charme des anciennes maisons un peu traditionnelles. Là où on est un peu frustré, c’est la relation entre les personnages ; c’est sans doute parce que l’on est habitué à voir un peu de sentiments (ou plus) dans les yaois que l’on a une certaine attente dès qu’un nouveau titre parait. Ici, on ne sait absolument rien de leurs sentiments, tout ce que l’on voit c’est une amitié et des moments de partage. En réalité Country diary porte bien son nom, c’est une tranche de vie d’une petite campagne simple, agréable et sans prétention. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/country-diary-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    La romance du marionnettiste

    Gilbert est un commandant de l’armée adversaire, ayant perdu la guerre et ayant été capturé, il est condamné à mort. Mais Chris, un homme influent du pays, le réclame pour une expérience, il souhaite transférer son âme dans l’une de ses marionnettes. Car Chris est un inventeur de génie, il a construit de nombreux automates qui ont défait l’armée adversaire. Côté scénario il n’y a pas beaucoup de développements, quasiment toute l’histoire se déroule entre Gilbert et Chris, il y a bien quelques aléas par ci par là mais rien qui ne prenne vraiment de l’importance à part peut-être quand Gilbert retrouve momentanément ses anciens compagnons. Entre eux la relation est la suivante : Gilbert ne veut pas devenir une marionnette et propose de compenser Chris d’une autre façon, il doit se rendre utile et n’a que son physique pour lui. Chris n’a d’intérêt que pour ses créations mais veut que Gilbert soit consentant pour donner son âme afin que le transfert se passe au mieux. Peu à peu la proximité aidant, ils vont s’attacher l’un à l’autre. Une conclusion des plus classiques… C’est un peu dommage que le scénario ne soit pas plus travaillé car on a des personnages principaux forts et un concept de marionnettes intéressant et surtout un très beau graphisme qu’on aurait aimé admirer un peu plus longtemps.
  4. Titre de l'album : La romance du marionnettiste Scenariste de l'album : Hatoba Kogarashi Dessinateur de l'album : Hatoba Kogarashi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Juste avant d'être exécuté, Gilbert, chevalier saint et commandant des troupes ayant perdu la guerre, est sauvé par Chris, un marionnettiste du pays ennemi. Chris veut en réalité transférer l'âme de Gilbert dans un automate, ce que ce dernier refuse. Seulement, Chris lui donne un ultimatum : "Choisis. Devenir une de mes poupées, ou mourir ?". Gilbert lui propose alors de devenir son esclave sexuel à la place... Son corps est ainsi stimulé chaque nuit, se laissant envahir petit à petit par le plaisir... Critique : Gilbert est un commandant de l’armée adversaire, ayant perdu la guerre et ayant été capturé, il est condamné à mort. Mais Chris, un homme influent du pays, le réclame pour une expérience, il souhaite transférer son âme dans l’une de ses marionnettes. Car Chris est un inventeur de génie, il a construit de nombreux automates qui ont défait l’armée adversaire. Côté scénario il n’y a pas beaucoup de développements, quasiment toute l’histoire se déroule entre Gilbert et Chris, il y a bien quelques aléas par ci par là mais rien qui ne prenne vraiment de l’importance à part peut-être quand Gilbert retrouve momentanément ses anciens compagnons. Entre eux la relation est la suivante : Gilbert ne veut pas devenir une marionnette et propose de compenser Chris d’une autre façon, il doit se rendre utile et n’a que son physique pour lui. Chris n’a d’intérêt que pour ses créations mais veut que Gilbert soit consentant pour donner son âme afin que le transfert se passe au mieux. Peu à peu la proximité aidant, ils vont s’attacher l’un à l’autre. Une conclusion des plus classiques… C’est un peu dommage que le scénario ne soit pas plus travaillé car on a des personnages principaux forts et un concept de marionnettes intéressant et surtout un très beau graphisme qu’on aurait aimé admirer un peu plus longtemps. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-romance-du-marionnettiste?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Rosso

    De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas…
  6. Nickad

    Rosso

    Titre de l'album : Rosso Scenariste de l'album : Gigi Ameno Dessinateur de l'album : Gigi Ameno Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Quand il était petit, la famille de Rosso fut massacrée par un vampire qui le transforma en loup-garou. Pour se venger, il devint enquêteur dans la sixième division de l'unité spéciale de la police, assignée aux affaires impliquant des vampires et des loups-garous. À la demande de ses supérieurs, il se voit contraint de former un nouvel enquêteur, Mikumo. D'abord agacé par Mikumo, Rosso et son nouveau partenaire vont se retrouver dans une situation délicate. Lui qui refuse de boire du sang non-synthétique, il se voit contraint de boire celui de Mikumo pour retrouver la pleine ampleur de ses pouvoirs. Mais cela fait également nôtre en lui un nouveau sentiment inconnu. Critique : De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rosso?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Dans la vie, il y a la réalité et il y a aussi le monde virtuel. Il y a celui où vous êtes ancrés dans les convention sociétales avec la bienséance, l’ordre hiérarchique, les contraintes morales… et puis, il y a le monde des jeux où vous pouvez vous permettre d’être celui que vous voulez mais surtout être vous-mêmes sans tabou, sans se soucier des apparences. Si le manga explore les relations amitié-amour entre les personnages de façon sympathique avec une certaine touche de candeur, créant des quiproquos amusants mais en restant toujours dans le côté positif ; la thématique abordée n’est pas sans intérêt. Il y a d’abord le fait de côtoyer une même personne dans deux univers différents sans savoir que c’est la même personne (le personnage principal se plaint à son ami de jeu de son patron alors que c’est lui), phénomène assez improbable en vrai, quelle est la probabilité de trouver deux partenaires de jeu habitant ou travaillant dans le même quartier ? Mais c’est surtout le côté anonymat qui interpelle. Caché derrière nos écrans et derrière des pseudos ou avatars, il est plus facile de discuter ouvertement, de dire le fond de sa pensée et aussi hélas, de descendre en flèche des gens parfois sans avoir pris le temps de la réflexion et souvent sans se soucier des conséquences. Mais le manga n’est pas axé sur cet aspect-là et reste cantonné à une comédie romantique où les quiproquos entrainent des situations sympathiques avec une dose de bonne humeur. La lecture est agréable, le livre distrayant et il y a de quoi vous détendre car le premier tome comporte 288 pages ! Il est dommage cependant que le livre fonctionne principalement selon un seul schéma, celui du quiproquo.
  8. Titre de l'album : Mon ami de jeu en ligne est en réalité mon patron tyrannique tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NMURA Dessinateur de l'album : NMURA Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Hashimoto, salaryman ordinaire, reçoit chaque jour des directives strictes de son supérieur beau et talentueux mais néanmoins tyrannique Shirase-san. Son seul loisir est de discuter avec son camarade de jeu en ligne UMA, à qui il se plaint de son patron. Un jour, Hashimoto décide de rencontrer ce dernier en vrai mais tout ne va pas se passer comme prévu...?! Critique : Dans la vie, il y a la réalité et il y a aussi le monde virtuel. Il y a celui où vous êtes ancrés dans les convention sociétales avec la bienséance, l’ordre hiérarchique, les contraintes morales… et puis, il y a le monde des jeux où vous pouvez vous permettre d’être celui que vous voulez mais surtout être vous-mêmes sans tabou, sans se soucier des apparences. Si le manga explore les relations amitié-amour entre les personnages de façon sympathique avec une certaine touche de candeur, créant des quiproquos amusants mais en restant toujours dans le côté positif ; la thématique abordée n’est pas sans intérêt. Il y a d’abord le fait de côtoyer une même personne dans deux univers différents sans savoir que c’est la même personne (le personnage principal se plaint à son ami de jeu de son patron alors que c’est lui), phénomène assez improbable en vrai, quelle est la probabilité de trouver deux partenaires de jeu habitant ou travaillant dans le même quartier ? Mais c’est surtout le côté anonymat qui interpelle. Caché derrière nos écrans et derrière des pseudos ou avatars, il est plus facile de discuter ouvertement, de dire le fond de sa pensée et aussi hélas, de descendre en flèche des gens parfois sans avoir pris le temps de la réflexion et souvent sans se soucier des conséquences. Mais le manga n’est pas axé sur cet aspect-là et reste cantonné à une comédie romantique où les quiproquos entrainent des situations sympathiques avec une dose de bonne humeur. La lecture est agréable, le livre distrayant et il y a de quoi vous détendre car le premier tome comporte 288 pages ! Il est dommage cependant que le livre fonctionne principalement selon un seul schéma, celui du quiproquo. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-ami-de-jeu-en-ligne-est-en-realite-mon-patron-tyrannique-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Pervers en devenir tome 2

    La relation entre Jaewon et Jeonwook a changé, même s’il ne veut toujours pas lui parler du passé, Jeonwook se montre plus attentionné. Quant à Jaewon, il se demande ce qu’il pourrait faire, il veut bien demander pardon mais il ne sait pas pourquoi. C’est en se confiant à Sujin, que l’on en apprend un peu plus sur son passé et les raisons plausibles de son amnésie. Un 3e personnage, Geuntae, le sex-friend de Jaewon, vient semer le trouble ; jusqu’à présent il était plutôt conciliant mais ne tolère pas qu’il puisse y avoir un rapprochement entre les deux autres. Je ne comprends toujours pas pourquoi ce webtoon a un tel titre, le mot pervers correspond bien à Jaewon qui est quelqu’un d’assez libre, qui aime les aventures sans lendemain et qui est très ouvert sur la question. Mais « en devenir » me laisse perplexe, est-ce parce que Jeonwook va changer peu à peu ? la suite m’éclairera sans doute… Dans le premier tome, il y avait un certain flou sur les personnages et les relations entre eux. Ce deuxième volume est plus clair, on sait qu’il y a eu un événement dans le passé qui a provoqué la colère de Jeonwook à l’encontre de Jaewon et qu’il cherche à se venger. On apprend que Geuntae a accepté une relation légère avec Jaewon dans l’espoir que celle-ci évolue en relation sérieuse et on découvre qu’il est prêt à agir dans l’ombre pour y parvenir. Les deux filles sont là pour permettre d’analyser la situation et avoir un regard extérieur. Et enfin, il y a Jaewon, qui a eu un accident plus jeune lui ayant fait perdre une partie de ses souvenirs et qui a aussi provoqué un retard dans sa croissance (c’est pourquoi il fait gamin). Jaewon est d’ailleurs peut-être le seul personnage qui joue franc-jeu ! Le webtoon met plutôt bien en valeur les relations torturées, les sentiments forts plus ou moins toxiques comme la haine, la jalousie, l’envie, la vengeance. Il y a de la manipulation dans l’air et des sentiments refoulés, tout cela n’est pas très sain… reste à savoir si cette situation ne serait pas en réalité les conséquences d’un gros quiproquo. En conclusion, je dirai que l’histoire nous laisse un peu sur notre faim, on ne saisit pas vraiment sa finalité et il est difficile de s’en faire un avis précis.
  10. Titre de l'album : Pervers en devenir tome 2 Scenariste de l'album : NASU Dessinateur de l'album : NASU Coloriste : Editeur de l'album : Kamondo Books Note : Résumé de l'album : Jae-won rêvasse pendant l'entraînement de taekwondo. Pas de chance, il est vite repéré par le coach qui lui donne une bonne leçon. A la fin du cours, il aperçoit le coach aller jusqu'aux douches, totalement nu. Et cette vision n'est pas pour lui déplaire... Mais Jae-won est insolent. Et dans les douches, après une bonne correction, il se retrouve au sol. Soudainement, un souvenir lui revient : cette situation s'était déjà produite des années plus tôt lorsque le coach et lui étaient camarades de classe. Mais aujourd'hui, ce ne sont plus des enfants. Le coach s'est endurci dans tous les sens du terme et la moindre inattention peut faire mal. Très mal... Critique : La relation entre Jaewon et Jeonwook a changé, même s’il ne veut toujours pas lui parler du passé, Jeonwook se montre plus attentionné. Quant à Jaewon, il se demande ce qu’il pourrait faire, il veut bien demander pardon mais il ne sait pas pourquoi. C’est en se confiant à Sujin, que l’on en apprend un peu plus sur son passé et les raisons plausibles de son amnésie. Un 3e personnage, Geuntae, le sex-friend de Jaewon, vient semer le trouble ; jusqu’à présent il était plutôt conciliant mais ne tolère pas qu’il puisse y avoir un rapprochement entre les deux autres. Je ne comprends toujours pas pourquoi ce webtoon a un tel titre, le mot pervers correspond bien à Jaewon qui est quelqu’un d’assez libre, qui aime les aventures sans lendemain et qui est très ouvert sur la question. Mais « en devenir » me laisse perplexe, est-ce parce que Jeonwook va changer peu à peu ? la suite m’éclairera sans doute… Dans le premier tome, il y avait un certain flou sur les personnages et les relations entre eux. Ce deuxième volume est plus clair, on sait qu’il y a eu un événement dans le passé qui a provoqué la colère de Jeonwook à l’encontre de Jaewon et qu’il cherche à se venger. On apprend que Geuntae a accepté une relation légère avec Jaewon dans l’espoir que celle-ci évolue en relation sérieuse et on découvre qu’il est prêt à agir dans l’ombre pour y parvenir. Les deux filles sont là pour permettre d’analyser la situation et avoir un regard extérieur. Et enfin, il y a Jaewon, qui a eu un accident plus jeune lui ayant fait perdre une partie de ses souvenirs et qui a aussi provoqué un retard dans sa croissance (c’est pourquoi il fait gamin). Jaewon est d’ailleurs peut-être le seul personnage qui joue franc-jeu ! Le webtoon met plutôt bien en valeur les relations torturées, les sentiments forts plus ou moins toxiques comme la haine, la jalousie, l’envie, la vengeance. Il y a de la manipulation dans l’air et des sentiments refoulés, tout cela n’est pas très sain… reste à savoir si cette situation ne serait pas en réalité les conséquences d’un gros quiproquo. En conclusion, je dirai que l’histoire nous laisse un peu sur notre faim, on ne saisit pas vraiment sa finalité et il est difficile de s’en faire un avis précis. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pervers-en-devenir-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    White night bitter porn

    Rui est un jeune pharmacien qui ne croit pas en l’amour, il enchaine les conquêtes d’un soir. C’est comme ça qu’il rencontre Takumi, un jeune homme qui a décidé de se saouler pour oublier les moqueries concernant sa virginité. Rui décide de prendre les choses en mains, une nuit sans conséquence enfin c’est ce qu’il croyait car Takumi est bien décidé à faire partie de sa vie et va tout faire pour le séduire ! Cette histoire est vraiment mignonne ! Bon il y a des scènes de sexe (pour public averti donc), mais la relation entre les deux protagonistes est vraiment douce et agréable. Il y a le récalcitrant à l’amour qui en réalité ne demande qu’à aimer et qui ne peut pas résister au regard de Takumi. Et puis il y a le débutant en amour, extrêmement sincère qui vit les plus beaux moments de sa vie et qui ne compte pas laisser cette chance passer. Le dessin est également tout en douceur, un trait arrondi et fin qui plaira sans aucun doute. Un joli moment de lecture à déguster.
  12. Titre de l'album : White night bitter porn Scenariste de l'album : NOBANA Saori Dessinateur de l'album : NOBANA Saori Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Rui Narushima, un jeune pharmacien, poursuit les conquêtes sans lendemains. Un soir, il tombe sur un jeune homme soûl du nom de Takumi Takanashi, échoué au bar où il a l'habitude d'aller. La raison de son mal-être ? Les moqueries de ses amis concernant sa virginité. Ni une, ni deux, Rui le prend sous le bras en direction d'un hôtel. Quelle n'est pas sa surprise quand il voit débarquer Takanashi à son lieu de travail quelques jours plus tard pour lui déclarer sa flamme ! Ce dernier ne lésine pas sur les moyens : observation constante et avances plus que poussées, les actions de Takanashi finiront-elles par atteindre ce bourreau des cœurs ? Critique : Rui est un jeune pharmacien qui ne croit pas en l’amour, il enchaine les conquêtes d’un soir. C’est comme ça qu’il rencontre Takumi, un jeune homme qui a décidé de se saouler pour oublier les moqueries concernant sa virginité. Rui décide de prendre les choses en mains, une nuit sans conséquence enfin c’est ce qu’il croyait car Takumi est bien décidé à faire partie de sa vie et va tout faire pour le séduire ! Cette histoire est vraiment mignonne ! Bon il y a des scènes de sexe (pour public averti donc), mais la relation entre les deux protagonistes est vraiment douce et agréable. Il y a le récalcitrant à l’amour qui en réalité ne demande qu’à aimer et qui ne peut pas résister au regard de Takumi. Et puis il y a le débutant en amour, extrêmement sincère qui vit les plus beaux moments de sa vie et qui ne compte pas laisser cette chance passer. Le dessin est également tout en douceur, un trait arrondi et fin qui plaira sans aucun doute. Un joli moment de lecture à déguster. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/white-night-bitter-porn?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Fou comme le chapelier

    Une rencontre, une amitié ensuite, des liens qui se resserrent entre le très « droit » Igarashi et le très enjoué Keigo. Si tout semble aller pour le mieux, Keigo a d’étranges penchants et un colocataire encore plus étrange. Igarashi se retrouve malgré lui pris au piège de ses sentiments et va devoir prendre la place qu’on lui laisse dans cette relation déroutante. Attention, ce manga est à réserver à un public adulte et averti, certaines relations sont non consentantes et peuvent choquer. D’une manière générale, ce qui se passe dans la tête des personnages (Keigo et son colocataire) est assez bizarre, voire malsain. Ici, la morale n’a pas sa place, il s’agit d’amour exclusif de la part de l’un qui a entrainé le second sur des pentes dangereuses. Keigo en est conscient, c’est pourquoi il cherche à éloigner Igarashi qui, contrairement à son apparence, est un bon garçon épris de justice et de morale. Le manga porte bien son nom, il y a une folie ambiante et les personnages sont pris dans ce tourbillon. Une curiosité à découvrir en connaissance de cause.
  14. Titre de l'album : Fou comme le chapelier Scenariste de l'album : BONNO Nuis Dessinateur de l'album : BONNO Nuis Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : " Si tu m'aimes, il faut que tu l'acceptes. " Igarashi a pour mauvaise habitude de fourrer son nez dans les affaires des autres... Mais il ne pensait pas que cette fois, cette manie le conduirait à s'immiscer dans la relation étrange de deux colocataires. Critique : Une rencontre, une amitié ensuite, des liens qui se resserrent entre le très « droit » Igarashi et le très enjoué Keigo. Si tout semble aller pour le mieux, Keigo a d’étranges penchants et un colocataire encore plus étrange. Igarashi se retrouve malgré lui pris au piège de ses sentiments et va devoir prendre la place qu’on lui laisse dans cette relation déroutante. Attention, ce manga est à réserver à un public adulte et averti, certaines relations sont non consentantes et peuvent choquer. D’une manière générale, ce qui se passe dans la tête des personnages (Keigo et son colocataire) est assez bizarre, voire malsain. Ici, la morale n’a pas sa place, il s’agit d’amour exclusif de la part de l’un qui a entrainé le second sur des pentes dangereuses. Keigo en est conscient, c’est pourquoi il cherche à éloigner Igarashi qui, contrairement à son apparence, est un bon garçon épris de justice et de morale. Le manga porte bien son nom, il y a une folie ambiante et les personnages sont pris dans ce tourbillon. Une curiosité à découvrir en connaissance de cause. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fou-comme-le-chapelier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    L'hôtel de tous les plaisirs

    Dans cet hôtel de luxe, certains employés portent un badge spécial qui permet au client de la suite Whittaker de demander n’importe quelle faveur. Ryûsen est venu faire passer des entretiens d’embauche, devant le manque de personnel, le concierge en chef Kashiro l’aide. Ryûsen décide de le débaucher et devant le refus de ce dernier, utilise l’avantage du badge. Dans ce one shot, vous aurez deux histoires de couple qui se déroule dans le même hôtel et qui s’entrecroisent. Celui de Ryûsen et Kashiro, le premier étant prêt à tout pour conquérir Kashiro, y compris venir travailler à l’hôtel. Le second, celui du directeur de l’établissement, Ron, un célèbre acteur avec un mystérieux prince arabe. Si l’histoire n’est pas déplaisante, elle souffre parfois d’un manque de développement, notamment concernant l’enquête de police sur les affaires de prostitution. Le graphisme est agréable mais on aurait aimé s’étendre un peu sur le fonctionnement de cette suite très spéciale !
  16. Titre de l'album : L'hôtel de tous les plaisirs Scenariste de l'album : YAN Dessinateur de l'album : YAN Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Ron est un célèbre acteur, et le propriétaire d'un hôtel de luxe au coeur de Londres. Il offre à ses clients les plus fortunés un service spécial : une unique nuit d'amour et de plaisir avec tout membre du personnel porteur d'un badge spécial. Un jour, il reçoit la demande du mystérieux prince arabe Rana, qui souhaite passer cette nuit de volupté avec nul autre que Ron lui-même. Il s'exécute, mais Rana est-il vraiment celui qu'il prétend être ? Parallèlement, Ryûsen, un homme d'affaires de Singapour, bénéficie lui aussi des services spéciaux de l'hôtel avec le concierge en chef, Kashiro. Critique : Dans cet hôtel de luxe, certains employés portent un badge spécial qui permet au client de la suite Whittaker de demander n’importe quelle faveur. Ryûsen est venu faire passer des entretiens d’embauche, devant le manque de personnel, le concierge en chef Kashiro l’aide. Ryûsen décide de le débaucher et devant le refus de ce dernier, utilise l’avantage du badge. Dans ce one shot, vous aurez deux histoires de couple qui se déroule dans le même hôtel et qui s’entrecroisent. Celui de Ryûsen et Kashiro, le premier étant prêt à tout pour conquérir Kashiro, y compris venir travailler à l’hôtel. Le second, celui du directeur de l’établissement, Ron, un célèbre acteur avec un mystérieux prince arabe. Si l’histoire n’est pas déplaisante, elle souffre parfois d’un manque de développement, notamment concernant l’enquête de police sur les affaires de prostitution. Le graphisme est agréable mais on aurait aimé s’étendre un peu sur le fonctionnement de cette suite très spéciale ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-hotel-de-tous-les-plaisirs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Une critique de @TheOtaku : Quand tu découvres la raison pour laquelle ton ex meilleur ami te vole toutes les filles qui te plaisent et que cette découverte va bousculer ta vie. Et oui vous l'aurez deviné, Roku est amoureux de Rui mais, à défaut de lui avouer, préfère l’empêcher d'être avec une autre. Ce manga est un yaoi one -shot tout ce qui a de plus mignon : amour naissant, jalousie, vie de couple et plus. J'ai assez bien aimé, c'est mims à lire mais je pense qu'il manque un réel scénario, un scenario plus poussé, ce qui m'empêche donc d'en dire plus; Si le résumé vous dit allez y, après à mon avis il y a bien mieux yaoi.
  18. Titre de l'album : Critique par une ado : Roku et Rui Scenariste de l'album : Suiyoubi Dessinateur de l'album : Suiyoubi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Rui recoit un jour l'appel d'une fille qu'il convoite, où elle lui avoue ses sentiments. En se rendant joyeusement au rendez-vous qu'elle lui a donné, il retrouve son ami d'enfance, Roku Koga. Rui se rend compte que Roku a toujours eu une attitude étrange : il lui a déjà volé une fille qu'il aimait, ou l'a déjà embrassé pour rigoler... C'est alors que Roku avoue à Rui qu'il l'a toujours aimé. Entrez dans la vie amoureuse passionnante de Roku, qui a du mal à être honnête, et de Rui, qui débute en amour ! Critique : Une critique de @TheOtaku : Quand tu découvres la raison pour laquelle ton ex meilleur ami te vole toutes les filles qui te plaisent et que cette découverte va bousculer ta vie. Et oui vous l'aurez deviné, Roku est amoureux de Rui mais, à défaut de lui avouer, préfère l’empêcher d'être avec une autre. Ce manga est un yaoi one -shot tout ce qui a de plus mignon : amour naissant, jalousie, vie de couple et plus. J'ai assez bien aimé, c'est mims à lire mais je pense qu'il manque un réel scénario, un scenario plus poussé, ce qui m'empêche donc d'en dire plus; Si le résumé vous dit allez y, après à mon avis il y a bien mieux yaoi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/roku-et-rui?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Tokyo quatre saisons met en scène des couples secondaires du titre Tokyo en avril (on retrouve d’ailleurs les personnages en fin du tome 2). La notion « quatre saisons » n’est pas très claire, on ne suit pas forcément un couple durant une année en voyant son évolution et même si on prend en compte les situations des différents couples, les histoires ne représentent pas forcément quatre passages différents dans la vie d’un couple. Passé ce détail, les histoires proposées sont assez intéressantes : les couples suivis n’étaient pas forcément destinés à se former si l’un des deux hommes n’avait pas forcer le destin. L’on dit que certains seraient prêts à tout par amour et ces histoires nous le montre bien. Si la première histoire nous laisse un peu sur notre faim, la seconde est plus longue et se clôture joliment. Avec ses scénarii intéressants et son graphisme élégant au trait fin, HARU nous emmène dans un voyage intéressant avec des personnages à fleur de peau voir au pied du mur qui essayent de vivre leur amour pleinement malgré les contraintes familiales et sociétales. Une belle lecture.
  20. Titre de l'album : Tokyo quatre saisons tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : HARU Dessinateur de l'album : HARU Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kyôhei Saotome vient d’une famille qui ne tolère pas l’échec. Lorsqu’il rate ses examens pour entrer à l’université de médecine, sa vie prend soudainement un tournant insupportable, au point qu’il finisse par tenter de se suicider en voulant se jeter sous un train. Mais Yuito Jingûji, son rival du lycée, qui se trouve sur le même quai, le sauve in extremis. Les deux garçons passent alors un marché : Jingûji, qui est parvenu, lui, à entrer en médecine, aidera Saotome à réviser pour repasser les examens d’entrée, si Saotome le rembourse en nature. Critique : Tokyo quatre saisons met en scène des couples secondaires du titre Tokyo en avril (on retrouve d’ailleurs les personnages en fin du tome 2). La notion « quatre saisons » n’est pas très claire, on ne suit pas forcément un couple durant une année en voyant son évolution et même si on prend en compte les situations des différents couples, les histoires ne représentent pas forcément quatre passages différents dans la vie d’un couple. Passé ce détail, les histoires proposées sont assez intéressantes : les couples suivis n’étaient pas forcément destinés à se former si l’un des deux hommes n’avait pas forcer le destin. L’on dit que certains seraient prêts à tout par amour et ces histoires nous le montre bien. Si la première histoire nous laisse un peu sur notre faim, la seconde est plus longue et se clôture joliment. Avec ses scénarii intéressants et son graphisme élégant au trait fin, HARU nous emmène dans un voyage intéressant avec des personnages à fleur de peau voir au pied du mur qui essayent de vivre leur amour pleinement malgré les contraintes familiales et sociétales. Une belle lecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokyo-quatre-saisons-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Tu me coupes le souffle tome 1

    Avant toute chose et fait assez rare, ce yaoi ne propose aucune scène de sexe explicite, elles sont suggérées sans jamais montrer plus qu’un baiser. Shizuki et Yano, deux jeunes adultes, font partie du même orchestre. Un jour ils se découvrent un point commun : ils sont sexuellement excités après une performance où ils se donnent à fond dans la musique, ils décident alors de devenir sex friends afin de pouvoir calmer leurs emportements. Mais le temps a passé et les sentiments ont évolués. J’ai vraiment été surprise de la narration de ce récit et surtout de découvrir la façon dont les relations charnelles étaient suggérées. On comprend tout de suite que la véritable intention de l’autrice est de mettre en avant les sentiments, les questionnements que l’on se pose sur nos relations avec les autres mais aussi s’engager, faire de nouveau confiance à l’amour quand on a été déçus. Le manga est tout en douceur, il y a beaucoup de simplicité, une certaine fraicheur et aucun préjugé. Les personnages sont attachants et on a vraiment envie de les accompagner dans leur quotidien. Tu me coupes le souffle est une jolie histoire à lire.
  22. Titre de l'album : Tu me coupes le souffle tome 1 Scenariste de l'album : SUMIYA Zeniko Dessinateur de l'album : SUMIYA Zeniko Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Au sein de la fanfare municipale, le saxophoniste Jun Shizuki, un épicurien doublé d'un coureur de jupons, a clairement du mal avec le joueur de flûte Yukiji Yano, un garçon populaire aux allures de prince. Mais si rien ne semble les rapprocher durant les répétitions, tous les deux ont un intérêt commun secret... Critique : Avant toute chose et fait assez rare, ce yaoi ne propose aucune scène de sexe explicite, elles sont suggérées sans jamais montrer plus qu’un baiser. Shizuki et Yano, deux jeunes adultes, font partie du même orchestre. Un jour ils se découvrent un point commun : ils sont sexuellement excités après une performance où ils se donnent à fond dans la musique, ils décident alors de devenir sex friends afin de pouvoir calmer leurs emportements. Mais le temps a passé et les sentiments ont évolués. J’ai vraiment été surprise de la narration de ce récit et surtout de découvrir la façon dont les relations charnelles étaient suggérées. On comprend tout de suite que la véritable intention de l’autrice est de mettre en avant les sentiments, les questionnements que l’on se pose sur nos relations avec les autres mais aussi s’engager, faire de nouveau confiance à l’amour quand on a été déçus. Le manga est tout en douceur, il y a beaucoup de simplicité, une certaine fraicheur et aucun préjugé. Les personnages sont attachants et on a vraiment envie de les accompagner dans leur quotidien. Tu me coupes le souffle est une jolie histoire à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tu-me-coupes-le-souffle-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Assis bon toutou

    Dans l’univers du boy’s love il y a souvent des relations qui sont mues par des instincts primitifs ; cela peut être lié à des origines bestiales comme dans Blood of Beast ou encore lié à un sous genre comme dans les omegaverses. Les personnages se retrouvent alors dominés par leur sens et pour se sentir bien doivent accepter cet aspect de leur personnalité. Assis bon toutou nous emmène dans un nouveau genre de relation, nous voilà avec des personnages qui peuvent se voir attribué un sous-genre : vous pouvez être dominant ou soumis. Ce n’est alors pas un choix comme dans une relation BDSM, mais un instinct primaire que vous ne pouvez pas contrôler, le corps obéissant contre votre gré. Le soumis désire ainsi recevoir des ordres et le dominant souhaite prendre l’ascendant. Les besoins de l’un comme l’autre ne peuvent être assouvis que par un partenaire du genre opposé aux risques sinon de développer des symptômes de dépression. Comme pour une relation alpha-omega, il faut que le soumis se trouve un dominant pour se sentir bien. La notion d’ordre peut alors pimenter les relations sexuelles, on en a un tout petit aperçu en fin de volume et on espère que cet aspect sera développé dans la suite de la série. Assis bon toutou est une réelle bonne surprise, un scénario inédit qui a su nous surprendre et qui nous laisse espérer des rebondissements intéressants. Vivement la suite !
  24. Nickad

    Assis bon toutou

    Titre de l'album : Assis bon toutou Scenariste de l'album : MISUMI Yoko Dessinateur de l'album : MISUMI Yoko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Itsuki, un joueur de football professionnel, et Shuji, un médecin, sont tous deux des habitués du bar gay du coin. Ils se disputent souvent à cause de leurs visions opposées de l'amour. Un jour, alors qu'Itsuki est de retour au bar après une longue maladie, Shuji décide de prendre soin de lui. En essayant de l'aider à dessaouler, Shuji lui donne l'ordre assis sur le ton de la plaisanterie, et constate à se grande surprise qu'Itsuki s'exécute. Ce dernier est non seulement étonné par la rapidité de la réponse de son corps à l'ordre donné par Shuji, mais également par son envie de recevoir d'autres ordres de sa part... Critique : Dans l’univers du boy’s love il y a souvent des relations qui sont mues par des instincts primitifs ; cela peut être lié à des origines bestiales comme dans Blood of Beast ou encore lié à un sous genre comme dans les omegaverses. Les personnages se retrouvent alors dominés par leur sens et pour se sentir bien doivent accepter cet aspect de leur personnalité. Assis bon toutou nous emmène dans un nouveau genre de relation, nous voilà avec des personnages qui peuvent se voir attribué un sous-genre : vous pouvez être dominant ou soumis. Ce n’est alors pas un choix comme dans une relation BDSM, mais un instinct primaire que vous ne pouvez pas contrôler, le corps obéissant contre votre gré. Le soumis désire ainsi recevoir des ordres et le dominant souhaite prendre l’ascendant. Les besoins de l’un comme l’autre ne peuvent être assouvis que par un partenaire du genre opposé aux risques sinon de développer des symptômes de dépression. Comme pour une relation alpha-omega, il faut que le soumis se trouve un dominant pour se sentir bien. La notion d’ordre peut alors pimenter les relations sexuelles, on en a un tout petit aperçu en fin de volume et on espère que cet aspect sera développé dans la suite de la série. Assis bon toutou est une réelle bonne surprise, un scénario inédit qui a su nous surprendre et qui nous laisse espérer des rebondissements intéressants. Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/assis-bon-toutou-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Orage & miel

    Yuen et Yang ont grandi dans le même orphelinat où ils ont lié une solide amitié, ou même plutôt des liens fraternels d’autant plus que Yang est plus âgé que Yuen et s’en sent responsable. Mais un jour, Yang prend la défense de son petit frère et il se fait arrêté. Plusieurs années ont passé quand Yang refait surface mais il ne compte pas dévoiler son identité à Yuen. Orage et miel est l’histoire d’un amour qui dépasse les liens fraternels, un amour où chacun est prêt à se sacrifier pour l’autre. Mais en plus de la romance, le récit plonge dans les noirceurs d’une société où les plus faibles sont exploités. Sans être absolument original, le manga réserve de belles surprises : un graphisme et des décors soignés, parfois envoûtants et un scénario intéressant qui est bien construit. C’est un joli moment même s’il ne sera peut-être pas inoubliable.
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