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Ed

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Tout ce qui a été posté par Ed

  1. Très belle interview (Il est beau le renard...) qui me donne encore plus envie de découvrir cette bd... Ce sera fait bientôt !
  2. Ed

    Et en toile de fonds, la guerre...

    Des rivières sur les ponts, témoignage non romancé sur la vie à Sarajevo pendant la guerre (dans l'excellente collection Mirages de Delcourt)
  3. Ed

    Fluide Glacial

    Je prends le temps de répondre rapidement, même si c'est très subjectif. Parmis les auteurs cités par Bloodtower, voilà ce que j'en pense : Edika : C'est une production assez uniforme, c'est-à-dire qu'il n'y a pas un album qui soit vraiment plus drôle que les autres et pas non plus de "mauvais" album dans le lot, le seul soucis étant la répétition qui peut devenir lassante au bout d'un moment (pour ma part je me suis arrêter au T.17). Je taperais plutôt dans les premiers pour commencer (Débiloff Profondikoum, Yeah, Happy Ends, Désirs exacerbés...) qui sont peut-être un poil plus drôles que les autres. Maester : Je ne suis pas fan, mais les Soeur Marie-Thérèse des Batignolles se laissent bien lire tout de même et font parties des valeures sures de Fluide. Gimenez : Paracuellos bien sûr... Ce n'est pas vraiment drôle, mais les deux tomes font partis de mes premières belles claques en bd... Thiriez : Trois tiers de trio, une bd vraiment exceptionnelle, étrange et drôle en même temps. Par contre je ne sais pas si on les trouve encore... Foerster : Je ne suis pas fan non plus (malgré le talent, hein...) et je ne saurais pas te donner de conseils. Pour ce que je lis dans les prépub de Fluide, la production est également homogène, mais on ne peut pas vraiment dire que ce soit drôle (ce n'est d'ailleurs pas le but de l'auteur). Lelong : Y'a pas le choix, il n'y a que Carmen cru chez Fluide, mais attention c'est spécial aussi.... Gotlib : Hamster Jovial, Rubriques à brac, Rhaa Lovely... Que du bon... Je me permets de rajouter à la liste de Bloodtower Binet et ses Propos irresponsables (voir Monsieur le ministre), Larcenet (Soyons fous, La loi des séries), Gaudelette (La vie des festivals ou Radada), Blutch (Rancho Bravo, Blotch) et surtout l'énorme Goossens (Route vers l'enfer ou Le messie est revenu pour commencer en douceur...) Voilà, en espérant avoir défricher un peu le terrain...
  4. Ed

    Elle ne pleure pas, elle chante

    Désolé pour la réponse tardive et content tout d'abord que tu aies "apprécié" la lecture. CITATION(mesoke)Comment avez vous ressenti l'épilogue? Personellement je l'ai trouvé atroce, cruel, destructeur... Je n'avais pas ressenti ça de cette manière en fait, imaginant plutôt que cela puisse permettre une "rédemption", un autre départ entre le père et la fille malgré la cruelle ironie du sort, la douleur et le souvenir qui restera malgré tout... J'ai donc relu... Et je rejoins finalement ton avis et les trois adjectifs utilisés... J'avais visiblement lu trop vite le passage de la dernière visite à l'hôpital, restant sur l'impression que l'amour de Laura pour son père demeurerait présent d'une certaine manière. Mais cette impression ne passe pas le cap de la relecture, et la fin apparaît plus brutale et insuportable qu'elle ne me semblait après la première lecture... Merci pour la relecture...
  5. Ed

    Elle ne pleure pas, elle chante

    CITATION(Monfreid...)si on retire le sujet, et sa force (oligée) que reste t'il ? Je trouve qu'il reste beaucoup de choses en fait. C'est dans la simplicité de la narration que cette histoire puise sa force, parce que pour une fois on ne prend pas le lecteur pour un crétin, on ne dénie pas son intelligence par des procédés racoleurs du type tu vas enfin comprendre comment c'était horrible, comment j'ai tellement souffert que tu peux de toute façon pas comprendre... Les auteurs auraient pu sans problème entrer dans le petit jeu des images et des mots qui choquent et marquent forcément le lecteur. Ils s'en sont abstenus et je leur en suis gré. Les détails sordides, je m'en passe, je n'ai pas besoin de ça pour éprouver de la compassion pour Laura. Je ne pense pas que le but était d'en faire quelque chose de "marquant", juste l'envie (voir le besoin) pour l'auteure de raconter cette histoire. Après que cela marque le lecteur ou non, c'est une autre histoire. On en lit des bd sur ce forum, mais combien sont réellement "marquantes" 10% ? 20% à tout casser, le reste si on me demande dans deux ans de quoi ça parle, je serai incapable de répondre :? . Si on me pose la question pour Elle ne pleure pas, elle chante, je pense que je saurai... Ed (qui va se coucher maintenant parce qu'il est tard pour ce genre de discussions... :wink: )
  6. Ed

    Elle ne pleure pas, elle chante

    CITATION(Monfreid...)reste que, sur moi de façon émotionelle, il n'y a eu aucun effets! [...] mais le récit, l'histoire en elle même, n'a provoquée chez moi aucune empathie. C'est ce que j'ai apprécié en fait... On ne me fait pas vivre des sensations que je n'ai pas envie de vivre, on ne cherche pas à provoquer chez moi des sentiments à deux sous ou à me tirer la larme. La narratrice elle-même semble par moment étrangère à l'histoire et j'aime ça, on ne cherche d'aucune manière à forcer le lecteur, on lui laisse le choix de garder une certaine distance par rapport à l'histoire ou au contraire de rentrer pleinement dedans. C'est un parti pris que j'apprécie : comme je l'avais déjà dit, je n'aime ni l'hystérie (au cinéma comme en bd), ni l'exacerbation vulgaire des sentiments, et en ce sens j'aurais trouvé cette histoire totalement insuportable si elle n'avait pas été présentée de cette manière. Il n'en reste à la sortie qu'une grande tristesse comme tu l'as justement dit, mais rien d'autre... Est-ce un mal ? Je ne sais pas... C'est surement plus confortable pour le lecteur, mais je crois que je préfère ça puisque justement tout ça n'est pas "nouveau"... Juste une histoire de plus...
  7. Ed

    BD quizz session 2

    Le point pour Snoopy... Rand : 5 Snoopy : 5 lapingue : 3 Ed : 2 Mesoke : 2 M_Spock : 2 cubik : 2 Oki : 2 goffer : 1 Phylactère : 1 Seretur : 1 Brodieman : 1 Raziel : 1 Shaa : 1 RR : 1 morkai : 1 Kelo: 1 Esteban : 1
  8. Ed

    BD quizz session 2

    CITATION(zeas)Germain dans Que du bonheur et nous ??? C'est bien de participer Zeas... :roll: En fait c'est la deuxième partie de la réponse de Oyu qui était correcte, mais si personne ne connaît la série et les persos (ce qui serait triste )ça va être chaud pour trouver... Je laisse un peu, et si c'est trop dur, je change !
  9. Ed

    BD quizz session 2

    CITATION(Oyu)Germain dans Germain et nous ??? Y'a qu'une moitié qui est correcte...
  10. Ed

    BD quizz session 2

    C'est dans les vieux pots .... :arrow: Jeune homme de bonne famille, j'essaye de m'émanciper en jouant de la flute traversière dans un groupe de rock amené à surpasser nos idoles les Bowling Balls... Nom de la série et du personnage siouplait
  11. Ed

    BD quizz session 2

    Addidas de la série Koma. :roll:
  12. Elle ne pleure pas, elle chante Ed. Delcourt Coll. Mirages Je boude les smileys sur ce coup, vu que je me vois mal dire que cette bd est Très bien ou Géniale vu le thème abordé... L'histoire : Apprenant l'accident de son père, Laura ne peut réprimer sa joie. Au chevet d'un homme qu'elle a volontairement ignoré durant tant d'années, Laura dit à son père comateux ce qu'elle n'a jamais pu, sans rien lui épargner de la haine mêlée d'amour qu'elle nourrit à son égard. Vengeance ultime et libératoire d'une fille qui doit réapprendre à vivre... Mon avis : Il est des jours où l’on n’a pas envie de lire ce genre d’histoires... Des jours où l’on a envie de fermer les yeux et de se boucher les oreilles pour ne plus entendre une fois encore le grand déballage sordide… Eteindre la radio, ne plus lire le journal, ne plus ressentir ce malaise nauséeux, ne plus être perturbé dans sa petite vie par ces histoires, par cette abjection que l’on ne supporte plus. Voilà donc que la bd s’y met aussi, Mireille Dumas aux éditions Delcourt en quelque sorte, et le lecteur qui se laisse prendre sans même regarder ce qu’il y a à l’intérieur, pensant juste passer un bon moment de lecture, lire une chouette histoire à la manière d’Eva aux mains bleues. Eh ben non… Le décor est planté, allons-y alors, entrons à reculons dans le cauchemar de Laura en évitant le larmoyant puisque ce n’est pas le ton de cette bd. Vous l’aurez sans doute compris, Laura a été abusée par son père étant petite. Laura a grandi et essaye de vivre sa vie d’adulte malgré cette douleur, et lorsque son père se retrouve dans le coma suite à un accident, elle va le veiller non pas en tant que fille aimante, mais pour lui dire tout le mal qu’il lui a fait et qu’elle n’a pas pu lui dire étant enfant. Lui dire l’amour qu’elle aurait voulu lui donner et celui qu’elle aurait souhaité avoir, pas l’amour physique et bestial des adultes, mais simplement l’amour tendre d’un père pour sa fille. Lui raconter tout ce qu’il a cassé en elle, cette enfance prise par lui, loin de l’insouciance des filles de son âge, et le traumatisme qui reste et que les années ne peuvent effacer. L’adaptation du roman est réussie, le découpage entre présent et flash-back permet de dévoiler l’histoire peu à peu, tout en gardant une retenue et une pudeur qui fait du bien quand on lit ce genre d’histoire. Malgré la colère et la violence du propos à certains moments, Laura garde sa lucidité, et le regret de ne plus pouvoir aimer ce père qui l’a trahie demeure présent dans ces faces à faces entre la fille et le père comateux. L’oubli ne peut se faire, mais « l’héroïne » ne souhaite pas non plus vivre dans la haine. Le trait clair et épuré de Thierry Murat est parfaitement adapté à l’histoire, le tout adoucissant la colère du lecteur pour l’amener vers une sensation de tristesse plutôt que de rage… Un petit coup au moral à la lecture de cet album, je ne sais même pas si c’est autobiographique ou non, mais l’histoire est tellement forte qu’on se laisse entraîner dans la lecture et qu’on ne peut lâcher cette bd avant d’atteindre la très belle dernière planche. On est somme toute bien loin de Mireille Dumas et du déballage médiatique... Vive la bd en quelque sorte…
  13. Ed

    Léon la came

    Je repasserai plus tard pour parler de Léon, mais je souhaite juste répondre rapidement à ça : CITATION(lapingue)Une petite question pour finir : ils parlent de la trilogie Léon la Came sur la première page, qu’est-ce ??? Laid pauvre et malade et Priez pour nous ? Qu’est ce que ça vaut ? Oui, la "trilogie" est bien celle que tu viens de décrire, mais après avoir lu Léon la came on peut être un peu déçu de cette suite qui n'est pas vraiment indispensable (Léon n'apparaît plus dans les deux tomes suivants) même si l'univers créé par Chomet et De Crécy est toujours aussi fort et hallucinatoire, l'effet de surprise joue moins et la barre placée très haut par Léon... n'est pas dépassée. Autant se jeter sur le Bibendum céleste avant de lire les deux autres tomes... :roll: A noter tout de même que c'est le deuxième tome (Laid, pauvre et malade...) qui a obtenu l'Alph'art du meilleur album en 1998 à Angoulème, mais je pense honnêtement que c'était pour réparer un "oubli" fait l'année précédente à Léon la came... :roll: Tout ça pour dire que si tu as les sous, fonce ! Sinon tu risques peut-être d'être un peu déçu...
  14. Ed

    L'Histoire de chaque jour

    Très belle chronique Anne, et même si j'ai un peu moins accroché que toi à cette bd, tes propos sont tout à fait justes. Ce qui m'a personnellement un peu gené, c'est la trop grande pureté d'âme des personnages, cela peut paraître un peu bizarre, mais j'aurais souhaité peut-être un peu plus d'aspérités dans le récit. Cette histoire donne l'impression d'évoluer dans un univers clos où le temps n'a pas ou peu d'emprise sur les deux héros : les sentiments restent purs malgré les années qui passent, l'amour demeure premier et unique malgré l'éloignement, la fusion et l'effacement de sa propre vie face à l'autre est toujours de mise. On demeure constamment dans l'univers de l'enfance (même le père de Pierre), des histoires, des rèveries et cela est assez déroutant lorsque les personnages sont adultes. Peut-être n'ai-je pas l'esprit assez rêveur pour adhérer totalement à ce type d'histoire... Cela reste cependant un agréable moment de lecture.
  15. CITATION(Invité)CITATION(Ed) Le maître de jeu T.4 : pour continuer la série. Euh, il est déjà sorti? J'avais lu quelque part que la sortie aurait encore du retard, repoussée pour janvier. Bon, ben c'est une bonne nouvelle alors. Oui, j'étais surpris aussi, il avait été reporté tellement de fois... :?
  16. J'étais parti pour chercher Otaku, mais je ne l'ai pas trouvé , donc : L'Encyclopédie du Mal : intrigué par la couv et le scénar. Le maître de jeu T.4 : pour continuer la série. Le scorpion T.5 : idem... Donjon Parade T.4 : un nouveau donjon . Joie ! Elle ne pleure pas elle chante : j'aime bien la collection Mirages... Leonora : oui, je sais, j'avais dit que... J'ai pas pu résister...
  17. Ed

    Vos dernieres lectures

    CITATION(natmaso)Amerikkka - Les aigles de Chicago    d'Otero & Martin D'autres avis sur cette série ? Je n'ai jamais osé me lancer, j'avais un peu peur de retrouver tous les clichés et poncifs sur le sud américain... :? Mais je pense que vu ton avis Natmaso, je vais finir par me laisser tenter.
  18. CITATION(lapingue)Léon la came : parce qu'il parait que je vais aimer! [size=9] pfff... la pression là...mon frère qui m'a fait découvrir et aimé la bd a detesté Léon la came alors que pour moi ce fut un choc.... Tu nous diras ce que tu en as pensé, hein
  19. Les Corsaires d'Alcibiade Tome 1 - Elites secrètes Ed. Dupuis Coll. Empreinte(s) L'histoire : Nous sommes au début du XIXème siècle, en Angleterre, au coeur d'une université secrète et sélecte de la couronne britannique. Peter, Lydia, Mike, Curtis et Maryline, cinq jeunes hommes et jeunes femmes que tout oppose, ont été réunis pour participer au stage de sélection de cette école pas comme les autres. Pourquoi ont-ils été choisis ? Dans quel but ?. Mon avis : Voici donc le nouveau Liberge, attendu vraisemblablement avec impatience par les amateurs de cet auteur, certes peu prolifique, mais dont chaque œuvre se démarque du flot déversé par les éditeurs par son originalité et sa prise de risque. Première surprise, et de taille, c’est Filippi qui est au scénario alors que Liberge nous avait habitué à travailler en solo jusqu’à lors. Rencontre donc entre un scénariste accompli et un dessinateur hors pairs pour nous offrir ce premier tome des Corsaires d’Alcibiade. On s’attend en ouvrant cette bd et en regardant la couverture à plonger directement dans l’action, et de ce point de vue là, on est loin d’être déçu ! Cinq jeunes filles et garçons recrutés pour leurs talents divers vont devoir faire leurs preuves pour accéder à une élite secrète chargée de missions périlleuses pour le compte de la couronne d’Angleterre. Le thème n’est pas nouveau mais c’est sur ces bases que commence l’histoire et le moins que l’on puisse dire c’est que l’auteur ne ménage pas ses héros pour qu’ils atteignent leur but, actions et rebondissements se succédant tout au long de l’album. La lecture de l'histoire est fluide et plaisante. Chaque planche foisonne de détails et Liberge semble se délecter à dessiner cet univers d’inspiration steam-punk (Jules Verne est visiblement passé par là). Pourquoi alors faire la fine bouche et bouder son plaisir alors que tout semble réuni pour nous offrir une bd de qualité ? A quel endroit est-ce que ça coince ?! Et bien une fois encore, si je trouve le dessin vraiment réussi, j’ai quelques réticences sur le traitement de l’histoire et le scénario, tout en sachant bien que c’est un premier tome et qu’il faut bien que personnages et intrigue se mettent en place. Le principal reproche adressé à ce tome est la linéarité du récit : certes il se passe beaucoup de choses et le rythme est soutenu, mais à aucun moment on ne se laisse surprendre par l’histoire, nous contentant de suivre les (nombreuses) péripéties des cinq héros. On sait dès le début de l’histoire comment va se finir ce premier tome, et il y a peu de suspense sur la manière dont les personnages vont arriver à leur fins. Un autre petit reproche porte justement sur ces cinq personnages relativement fades et lisses tout en étant extrèmement sûrs d’eux, on aurait peut-être souhaité un peu plus de complexité de caractère, au moins pour certains d’entre eux… Pour résumer, une bd à découvrir malgré les réserves que j’ai pu émettre, non seulement pour le superbe dessin de Liberge (ainsi que la colorisation de Delf d’ailleurs) mais aussi pour une histoire qu’on pressent prometteuse si de petits réajustements sont effectués. Dans tous les cas, les amateurs d’aventures pures se régaleront à la lecture de ce premier tome.
  20. Ed

    Dontar

    Une excellente lecture. Une bd noire, oppressante et prenante avec un vrai bon scénario, des personnages consistants, un dessin superbe et comme le dit Lapingue des textes travaillés... Un vrai bonheur de lecture quoi ! Mais d'où il sort ce monsieur d'ailleurs ? Il a fait d'autres choses ? Je suis preneur en tout cas.... Merci en tout cas pour la découverte. A lire pour les autres !
  21. Ed

    Armelle et L'oiseau

    Tout comme Oki, j'aurais aimé aimer cette bd, mais comme il l'a très bien dit, on a du mal à s'attacher à la petite fille (elle n'a peut-être pas les réactions que nous espérerions...) et on "subit" un peu le scénario :? . La comparaison avec Peeters est justifiée pour le dessin qui est vraiment plaisant malgré des petits soucis de proportions à certains endroits. C'est néanmoins plein de promesses pour la suite, si il arrive un peu à "expurger" ses histoires.
  22. Ca faisait longtemps... Armelle et l'oiseau : j'en avais envie malgré les réserves d'Oki. Barbara Wolf T.2 : euh...ben...euh...parce qu'il n'y avait pas grand chose d'autre... La prophétie des deux mondes T.2 : J'avais acheté le T.1 il me semble que ça fait des siècles... Je ne sais absoluement plus de quoi ça parle. Bref, à voir. Dontar : Sur l'avis de Monf (et Lapingue je crois ?) et parce que le dessin laisse difficilement insensible. L'histoire de chaque jour T.1 et T.2 : J'aime bien Makyo, mais j'ai un petit doute sur ces deux-là... A voir... Les corsaires d'Alcibiade T.1 : Le seul achat vraiment emballant (avec Dontar peut-être...). J'espère que c'est bien ! J'espère que c'est bien ! J'espère... J'ai laissé à regret Leonora (David B. au scénar et Pauline Martin au dessin, j'en salivais...), mais je ne mets plus une somme supérieure à 15 € (purée, c'est quand même 100 balles !) pour une Bd lue en 20 minutes...
  23. Ed

    Mariée par correspondance

    CITATION(Renardrouge)Je viens de lire Alex dans la même collection. Heu, sujet différent mais même traitement et même pessimiste je trouve (bien qu'il y ait des passages assez hilarant). 8) Plus de pessimisme même à mon avis. J'ai eu un peu plus de mal avec cette bd bien que comme tu le dis, le traitement soit le même que pour Mariée par Correspondance : ce qui m'a gené je pense c'est l'hystérie du personnage, le fait qu'il "pète les plombs" de manière systématique... Je ne supporte pas l'hystérie au cinéma (je n'ai jamais pu finir 37,2 le matin, tant Béatrice Dale m'exaspère...) et visiblement en Bd ça ne passe pas trop non plus de mon côté... :? Ceci dit, c'est quand même une bonne bd, et visiblement un auteur à suivre.
  24. Ed

    Fluide Glacial

    Actuellement en kiosque : Fluide n°341 (novembre 2004) Sommaire des Bd : - Forbidden zone par Mo CDM - Le bras qui bouge par Pourquié et Bouzard - Melody Bondage par Bouilhac et Raynal - Un dimanche chez tonton par Autheman - Cosmik Roger par Julien et Mo CDM - Derrière toi ! Un énorme ! par Luz - Andy et Gina par Relom - Allô ? T'es où ?! par Lefred-Thouron et Lindingre - Pas plus haut que le bord... par Charb - Jean-Claude Thergal par Tronchet P'tit commentaire : Un numéro une fois encore à la hauteur, qui fait la part belle aux nouveaux arrivants dans l'équipe Fluide (Autheman, Luz, Charb, Lefred-Thouron...) pour le plus grand bonheur de nos zygomatiques. Passons sur ce qui va finir par devenir le fil rouge de ce petit avis, à savoir Andy et Gina de Relom : ce type est tout simplement incroyable, on pense qu'il est arrivé au bout du truc (cf Fluide précédent), qu'il ne pourra pas faire pire dans le mauvais goût, qu'il va s'arrêter là... Eh non... Il en remet une couche, encore plus énorme, pour notre plus grand plaisir. Je ne vous en dévoile pas plus, mais ça vaut vraiment la peine d'être lu tant c'est absurde, méchant et drôle à la fois . A part ça, Mo CDM et son Forbidden zone (+ Cosmik Roger) est en pleine forme, la planche de Luz bien que moins drôle que les précédentes mérite le coup d'oeil, et je commence même à avoir une certaine indulgence pour les nouvelles aventures de J-C Tergal (une petite impression que ça se bonnifie sur la fin), c'est dire si ce numéro m'a plu. Pour finir, je tiens à signaler une courte biographie de Frank Margerin (p.24 - 25 par Frémion) vraiment sympathique et sûrement teintée de nostalgie pour ceux qui comme moi ont suivi durant leur adolescence les aventures de Ricky et de la bande à Lucien... Une belle occasion de relire Margerin et s'apercevoir que son oeuvre a finalement très bien vieillie.
  25. Ed

    Prosopopus

    Je ne peux malheureusement pas répondre à tes interrogations Lapingue, et je ne suis pas sur que quelqu'un le puisse (qui est le prosopopus ? pourquoi apparait-il là et à ce moment ?) mais je souhaite juste apporter ma petite pierre à ce sujet pour encenser une fois encore Nicolas De Crecy. Moi qui ne suis pas fan de la chasse à la dédicace ou du flatage d'ego des auteurs, voilà vraiment un type que j'aimerais rencontrer tant son univers me fascine et je me sens en phase avec les histoires qu'il raconte... Concernant Prosopopus, je trouve cette bd tout simplement énorme, et au moment où certains parlent de casser les codes et les cadres de la bd (cf L'affaire...), il serait bon que ces gens lisent De Crecy pour comprendre le vrai sens du mot "innover". Comment peut-on mettre autant de densité dans une bd sans utiliser le moindre texte, en se permettant en plus flashs-backs et visions hallucinatoires au risque de dérouter complètement le lecteur. De Crecy n'en a cure et c'est là aussi que c'est grand, il ne cherche pas à faciliter la tâche au lecteur, préferant livrer un album brut et relativement hermétique à la première lecture. Le dessin quant à lui est superbe, des jeux de contrastes entre la ville / les personnages / le prosopopus, et une utilisation maîtrisée de ces couleurs ternes que De Crecy affectionne ajoutent encore à la sensation d'oppression qui se dégage de l'album. Une bd à lire et à relire et un auteur à découvrir (comment se fait-il qu'un gars qui a reçu l'Alph'art du meilleur album ne soit pas plus connu et plus présent dans les rayons, je ne capte vraiment pas...) Quant à toi Lapingue, jette-toi sur Léon la came et Le bibendum céleste, vu tes goûts en matière de bd, je te promets que tu ne regretteras pas ces deux "claques" ! :wink:
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