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BD Europeene

Affichage de[s] tout le contenu étiquetés 'BD', 'BDEuro' et 'BDEuropéene' et posté[e][s] durant les 5055 derniers jours.

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  1. Aujourd’hui
  2. poseidon2

    Nocéan tome 3 - Fissures (fin)

    Ah enfin 🙂 Enfin un tome avec un scenario d'envergure plus grande que la simple vie de nos deux copines § c'est un poil dommage que cela n'arrive que pour le dernier tome de cette série. Mais on ne boudera pas le plaisir d'avoir une vraie BD qui mêle aventure, science-fiction et conflit social. Entre impact climatique, lutte des classe et secret sur le passé de Tika, Efa livre dans ce seul album l'étendu des possibilités de son univers pour en faire une lecture très sympa. On se passionne beaucoup plus pour l'histoire de Tika, du Nocéan et de la haute caste que sur la vie elle même de Tika et Atari. La fin est top avec un dernier rebondissement très malin.... Bref LE tome que l'on attendait !
  3. Titre de l'album : Nocéan tome 3 - Fissures (fin) Scenariste de l'album : Efa Dessinateur de l'album : Efa Coloriste : Efa Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un futur où la montée des eaux a redessiné l'Europe, le concept d'océan n'existe plus : c'est le Nocéan. Atari et Tika, les deux jeunes activistes traquées par la police de la cité totalitaire dans laquelle elles tentent de survivre, sont maintenant menacées par les flots déchaînés frappant inlassablement les digues vieillissantes ceinturant les zones basses de la ville. Paniqués, les habitants, tentent de monter vers les zones hautes... Ce que la police lEUR refuse. Atari, Tika et leurs amis n'ont donc que deux solutions : mourir noyés ou tenter le tout pour le tout en accédant au très protégé « Cumulus », commandant tous les systèmes d'accès de la ville... Mais comment Tika connaît-elle le chemin vers le « Cumulus » ? La vérité éclatera bientôt. Et elle sera terrible... Efa conclut sa trilogie d'anticipation à la fois palpitante, raffinée et génératrice d'interrogations sur la marche de notre monde. Son propos est comme toujours servi par un dessin remarquable. Critique : Ah enfin 🙂 Enfin un tome avec un scenario d'envergure plus grande que la simple vie de nos deux copines § c'est un poil dommage que cela n'arrive que pour le dernier tome de cette série. Mais on ne boudera pas le plaisir d'avoir une vraie BD qui mêle aventure, science-fiction et conflit social. Entre impact climatique, lutte des classe et secret sur le passé de Tika, Efa livre dans ce seul album l'étendu des possibilités de son univers pour en faire une lecture très sympa. On se passionne beaucoup plus pour l'histoire de Tika, du Nocéan et de la haute caste que sur la vie elle même de Tika et Atari. La fin est top avec un dernier rebondissement très malin.... Bref LE tome que l'on attendait ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nocean-tome-3-fissures?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Attention, découverte d'un talent rare en la personne du franco-sénégalais Juni Ba ! Il vient du monde des comics, ayant déjà travaillé entre autres sur Black panther chez Marvel, le voici qui se lance dans un one-shot en solo pour notre plus grand plaisir ! Il livre une version post-apocalyptique de 20000 lieues sous les mers, le chef d'oeuvre de Jules Verne, en tous points remarquable. D'emblée on apprend que l'homme n'a pas respecté la nature (tiens donc), la planète est ensevelie sous les eaux, plus rien ne vit en surface. Le capitaine Nemo ère dans ce monde sous-marin dévasté en affrontant des monstres gigantesques et en sauvant des reliques du passé, telles des oeuvres d'art. Au cours d'une de ses missions, il récupère un caisson de sommeil hébergeant une jeune enfant nommée Arona. Vivant en ermite dans le grand Nautilus, il finit par s'y attacher et commence une éducation stricte et sévère avec un enseignement soutenu littéraire et scientifique. Le temps passe, Arona grandit et se rebelle comme tout adolescent face à la figure paternelle. Elle va découvrir les sombres secrets du non moins mystérieux Nemo, mais aussi sur le monde environnant. Que de surprises et de rebondissements pour une fin majestueuse ! C'est un sans-faute du prodige Juni Ba, si la littérature BD jeunesse pouvait s'en inspirer plus souvent ! D'abord publié aux Etats-unis, il faut féliciter l'éditeur Bayard peu rompu aux joutes des comics d'oser proposer ce bijou narratif et graphique. Car oui, le dessin est subtil, se montrant détaillé parfois puis à l'économie sur d'autres cases pour mieux mettre en avant les visages des personnages et leurs réactions. Le découpage est cinématographique au possible, les échanges de regards peuvent prendre une case entière suscitant une émotion sincère et palpable. 160 pages de bonheur que vous aurez envie de relire au plus vite, car il propose de nombreuses thématiques telles que la transmission et l'écologie; ces aspects ne seront pas forcément saisis par tous les âges, mais là est bien un des atouts de ce livre : de 13 ans à ... Chacun y verra sa propre histoire, son interprétation et si en plus cela donne envie de se replonger de l'oeuvre de Jules Verne 😉 !
  5. Titre de l'album : Mobilis - Ma vie avec le capitaine Nemo Scenariste de l'album : Juni Ba Dessinateur de l'album : Juni Ba Coloriste : Juni Ba Editeur de l'album : Bayard Note : Résumé de l'album : Lorsque le capitaine Nemo - errant sous l'océan depuis que le monde a été englouti par les eaux - accueille dans son sous-marin la jeune Arona, il est loin de se douter de quel impact la jeune fille aura sur sa vie. Rescapée de l'apocalypse, Arona questionne, provoque et rejette l'obstination défaitiste de son père adoptif, et cherche à répondre à la lourde question : quel avenir reste-t-il lorsque le monde a déjà coulé ? Critique : Attention, découverte d'un talent rare en la personne du franco-sénégalais Juni Ba ! Il vient du monde des comics, ayant déjà travaillé entre autres sur Black panther chez Marvel, le voici qui se lance dans un one-shot en solo pour notre plus grand plaisir ! Il livre une version post-apocalyptique de 20000 lieues sous les mers, le chef d'oeuvre de Jules Verne, en tous points remarquable. D'emblée on apprend que l'homme n'a pas respecté la nature (tiens donc), la planète est ensevelie sous les eaux, plus rien ne vit en surface. Le capitaine Nemo ère dans ce monde sous-marin dévasté en affrontant des monstres gigantesques et en sauvant des reliques du passé, telles des oeuvres d'art. Au cours d'une de ses missions, il récupère un caisson de sommeil hébergeant une jeune enfant nommée Arona. Vivant en ermite dans le grand Nautilus, il finit par s'y attacher et commence une éducation stricte et sévère avec un enseignement soutenu littéraire et scientifique. Le temps passe, Arona grandit et se rebelle comme tout adolescent face à la figure paternelle. Elle va découvrir les sombres secrets du non moins mystérieux Nemo, mais aussi sur le monde environnant. Que de surprises et de rebondissements pour une fin majestueuse ! C'est un sans-faute du prodige Juni Ba, si la littérature BD jeunesse pouvait s'en inspirer plus souvent ! D'abord publié aux Etats-unis, il faut féliciter l'éditeur Bayard peu rompu aux joutes des comics d'oser proposer ce bijou narratif et graphique. Car oui, le dessin est subtil, se montrant détaillé parfois puis à l'économie sur d'autres cases pour mieux mettre en avant les visages des personnages et leurs réactions. Le découpage est cinématographique au possible, les échanges de regards peuvent prendre une case entière suscitant une émotion sincère et palpable. 160 pages de bonheur que vous aurez envie de relire au plus vite, car il propose de nombreuses thématiques telles que la transmission et l'écologie; ces aspects ne seront pas forcément saisis par tous les âges, mais là est bien un des atouts de ce livre : de 13 ans à ... Chacun y verra sa propre histoire, son interprétation et si en plus cela donne envie de se replonger de l'oeuvre de Jules Verne 😉 ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mobilis-ma-vie-avec-le-capitaine-nemo/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Après le succès de l'adaptation de Goldorak, avec plus de 350 000 exemplaires vendus depuis 2021, kana est reparti chevaucher la vague de la nostalgie des cinquantenaires pour nous proposer une adaptation du Capitaine Flam. Encore une fois, on a le droit à un gros volume, une présentation format BD classique et une histoire complète qui n'appelle pas de suite. Et encore une fois on a entre les mains une très belle réussite. Et pourtant je ne suis pas forcément la cible. En effet, moi j'étais trop "petit" pour le Capitaine Flam. Moi, c'est la génération d'après (Chevalier du Zodiac et autres). Mis à part la chanson du Capitaine Flam, je n'avais que de vague souvenir d'un truc déjà un peu vieillot... Et bien qu'à cela ne tienne, j'ai adoré ma lecture ! Surtout parce que Sylvain Runberg prend le contrepied de ses amis scénaristes de Goldorak en nous présentant ici.. La genèse de Capitaine Flam avec ce qui semble être l'adaptation des premiers épisodes de la série. On peut donc ne rien connaitre à la série et passer un excellent moment avec une histoire de SF recherchée. Du space opéra comme ce n'est plus vraiment à la mode mais diablement efficace porté par une action de tous les instants et un dessin super fidèle à mes rares souvenirs. Une belle histoire qui prend son temps et réjouira les fans de la première heure tout comme les amateurs de SF d'aventure "old school". La seule question qu'il me reste, c'est : Après les chevaliers du Zodiaque, Goldorak et Capitaine Flam.... who's next messieurs/Dames de chez Kana ?
  7. Titre de l'album : Capitaine Flam - L'empereur éternel Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Alexis Tallone Coloriste : Alexis Tallone Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Le Capitaine Flam, l'androïde Mala, le robot Crag et le professeur Simon accompagnés de l'agent spéciale Johann Landore, entament une course contre la montre. Sur la planète Dénef, une terrible épidémie fait des ravages dans la population. Il faut trouver le remède qui stoppera les effroyables mutations. Pour toute piste, quelques mots prononcés par un agent contaminé : «L'Empereur Éternel, rétrogradation de l'espèce». Le Capitaine Flam et ses compagnons parviendront-ils a` revenir sains et saufs de cette mission ? Devant aller au-delà de ses limites pour faire face au mystérieux Empereur Eternel, Flam, hante´ par son passe´, risque d'y perdre son a^me. Critique : Après le succès de l'adaptation de Goldorak, avec plus de 350 000 exemplaires vendus depuis 2021, kana est reparti chevaucher la vague de la nostalgie des cinquantenaires pour nous proposer une adaptation du Capitaine Flam. Encore une fois, on a le droit à un gros volume, une présentation format BD classique et une histoire complète qui n'appelle pas de suite. Et encore une fois on a entre les mains une très belle réussite. Et pourtant je ne suis pas forcément la cible. En effet, moi j'étais trop "petit" pour le Capitaine Flam. Moi, c'est la génération d'après (Chevalier du Zodiac et autres). Mis à part la chanson du Capitaine Flam, je n'avais que de vague souvenir d'un truc déjà un peu vieillot... Et bien qu'à cela ne tienne, j'ai adoré ma lecture ! Surtout parce que Sylvain Runberg prend le contrepied de ses amis scénaristes de Goldorak en nous présentant ici.. La genèse de Capitaine Flam avec ce qui semble être l'adaptation des premiers épisodes de la série. On peut donc ne rien connaitre à la série et passer un excellent moment avec une histoire de SF recherchée. Du space opéra comme ce n'est plus vraiment à la mode mais diablement efficace porté par une action de tous les instants et un dessin super fidèle à mes rares souvenirs. Une belle histoire qui prend son temps et réjouira les fans de la première heure tout comme les amateurs de SF d'aventure "old school". La seule question qu'il me reste, c'est : Après les chevaliers du Zodiaque, Goldorak et Capitaine Flam.... who's next messieurs/Dames de chez Kana ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/capitaine-flam-l-empereur-eternel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Hier
  9. Kevin Nivek

    Beyrouth, malgré tout

    Dans la collection "Témoins du monde" de l'éditeur Steinkis, il semblait évident d'avoir un jour un documentaire sur le Liban. Deux journalistes correspondantes françaises ayant eu le coup de foudre pour le pays au cèdre, ont rencontré un médecin domicilié à Beyrouth ayant vécu l'ensemble des événements tragiques touchant le territoire et sa capitale depuis 60 ans. Occupé, libéré, enclavé, le Liban est passé par de nombreuses étapes et elles ont toutes leur importance pour expliquer la situation actuelle. Le courageux médecin donne sa vision de façon on ne peut plus factuelle avec un état d'esprit fataliste assez surprenant ! Les libanais ont cette capacité à vivre le moment présent et profiter car ils estiment avoir toujours une épée de Damocles au dessus de la tête. Ayant connu des périodes fastes post-décolonisation, ils ont traversé ensuite une série de drames avec guerres, crises économiques et cette fameuse explosion dans le port de Beyrouth en 2020 comme point final d'une dramaturgie constante. Le docteur Sacy explique ces différentes étapes, qui sont retranscrites par les deux journalistes au moyen de schémas et autres dessins rendant la lecture digeste et tout à fait compréhensible. Elles subissent elles aussi les aléas de la vie sur place avec de nombreuses pannes de courant, la déflation de la monnaie et autres difficultés en tous genres. La partie graphique en ligne claire est idéalement choisie, car elle apporte une clarté et une simplicité aux descriptions. Il en va de même pour les couleurs vives, illuminant les cases et donnant un élan d'optimisme pour le futur. Un pays de paradoxe avec une population aux multiples religions pour un peu plus de 5 millions d'habitants connaissant de grands écarts de revenus; et une diaspora immense de plus de 10 millions de libanais dans le monde entier, avec des personnalités immensément riches comme le libano-mexicain Carlos Slim Helu. Si vous voulez comprendre comment ce pays en est arrivé là, ce remarquable roman graphique vous éclairera sur de nombreux points 😉 . BEYROUTH-PL10.pdf BEYROUTH-PL11.pdf
  10. Titre de l'album : Beyrouth, malgré tout Scenariste de l'album : Sophie Guignon, Chloé Domat Dessinateur de l'album : Kamal Hakim Coloriste : Kamal Hakim, Farah Kfoury, Jihad Khatib, Sandra Aboujaoudé Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Cet album retrace l’histoire de Robert Sacy, un médecin libanais. Âgé de 73 ans, le docteur a eu une vie mouvementée à l’image du Liban. Il a traversé la guerre civile libanaise (1975-1990) et la reconstruction des années 1990-2000. Pour plus de justice sociale dans un pays où les inégalités sont la règle, il crée le premier service public de pédiatrie à Beyrouth en 2016. Il participe ensuite aux soulèvements populaires de 2019 aux côtés de la jeunesse du pays avec beaucoup d’espoir, puis voit son hôpital détruit par l’explosion du port de Beyrouth en 2020. C’est à cette occasion tragique que nous avons rencontré le docteur Sacy, hagard, dans les ruines de son hôpital soufflé par la déflagration. De cette rencontre est né un reportage pour Arte, Liban : dans le chaos des hôpitaux (nominé au Festival International du Grand Reportage d’Actualité – FIGRA). Depuis le médecin s’est relevé. Il fait face désormais à l’effondrement économique du pays et au spectre du retour de la guerre depuis octobre 2023. Critique : Dans la collection "Témoins du monde" de l'éditeur Steinkis, il semblait évident d'avoir un jour un documentaire sur le Liban. Deux journalistes correspondantes françaises ayant eu le coup de foudre pour le pays au cèdre, ont rencontré un médecin domicilié à Beyrouth ayant vécu l'ensemble des événements tragiques touchant le territoire et sa capitale depuis 60 ans. Occupé, libéré, enclavé, le Liban est passé par de nombreuses étapes et elles ont toutes leur importance pour expliquer la situation actuelle. Le courageux médecin donne sa vision de façon on ne peut plus factuelle avec un état d'esprit fataliste assez surprenant ! Les libanais ont cette capacité à vivre le moment présent et profiter car ils estiment avoir toujours une épée de Damocles au dessus de la tête. Ayant connu des périodes fastes post-décolonisation, ils ont traversé ensuite une série de drames avec guerres, crises économiques et cette fameuse explosion dans le port de Beyrouth en 2020 comme point final d'une dramaturgie constante. Le docteur Sacy explique ces différentes étapes, qui sont retranscrites par les deux journalistes au moyen de schémas et autres dessins rendant la lecture digeste et tout à fait compréhensible. Elles subissent elles aussi les aléas de la vie sur place avec de nombreuses pannes de courant, la déflation de la monnaie et autres difficultés en tous genres. La partie graphique en ligne claire est idéalement choisie, car elle apporte une clarté et une simplicité aux descriptions. Il en va de même pour les couleurs vives, illuminant les cases et donnant un élan d'optimisme pour le futur. Un pays de paradoxe avec une population aux multiples religions pour un peu plus de 5 millions d'habitants connaissant de grands écarts de revenus; et une diaspora immense de plus de 10 millions de libanais dans le monde entier, avec des personnalités immensément riches comme le libano-mexicain Carlos Slim Helu. Si vous voulez comprendre comment ce pays en est arrivé là, ce remarquable roman graphique vous éclairera sur de nombreux points 😉 . BEYROUTH-PL10.pdf BEYROUTH-PL11.pdf Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beyrouth-malgre-tout/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. La dernière semaine
  12. Kevin Nivek

    Ailé(e)s

    Titre de l'album : Ailé(e)s Scenariste de l'album : Gihef, Harry Bozino, Jul Maroh, Alice Geslin, Christian Lachenal Dessinateur de l'album : Giulio Macaione, Maria Riccio, Alberto Zanon, Loreto Aroca, Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Angleterre, 1960. Alors que les contre-cultures bouillonnent et qu'une nouvelle génération cherche à faire entendre sa voix, un portail vers un monde fantastique s'ouvre. S'en échappent des fées, attirées par les lumières des Swinging Sixties et curieuses de ces humains dont elles ignorent tout. Mais comment s'intégrer à ce monde dans lequel elles ne semblent pas les bienvenues ? Agressions, racisme, allant parfois jusqu'au meurtre, les créatures magiques devront rapidement s'adapter à la loi des hommes si elles ne veulent pas en être les victimes. Critique : La cohabitation hommes/fées ! On pense (si on l'a vue) à la série Amazon Carnival row, représentant un monde où coexistent humains et créatures fantastiques avec plus ou moins de succès. Cet ouvrage présente quatre histoires ou "nouvelles" tenant place dans les années 60 en Angleterre. Une époque culturelle chargée avec de grands bouleversements sociétaux et musicaux. L'après-guerre est généralement source de paix et d'apaisement, mais l'on va découvrir au fil de ces histoires un autre versant de la nature humaine. La méfiance de l'autre, ce "racisme" mêlé à de la crainte, tout ceci va venir s'imprégner dans la société et engendrer de terribles drames. Dans chacune de ces nouvelles, le collectif d'auteurs met en scène un ou une héroïne au milieu d'une enquête policière mêlant humains et fées. Avec un crime comme postulat de départ, ils imaginent les répercussions sur ce microcosme en équilibre et tournent le récit en polar. La recherche du ou des auteurs du méfait met aux prises une grande galerie de personnages dans un environnement détaillé et respectueux de l'époque. Les dessins sont réalisés par différents artistes, mais il gardent une tendance similaire avec un trait détaillé et réaliste, on flirte presque avec la ligne claire. Les personnages sont facilement reconnaissables, il faut être attentif car une multitude d'acteurs prennent part à ce balais sociétal. La violence est présente en symbole de ce rejet de l'autre, ce n'est pas un conte féérique à mettre entre toutes les mains. Si vous aimez les enquêtes policières, les secrets de famille, un soupçon de magie et une critique de la société, ce sympathique ouvrage répondra aisément à ces critères 😉 Doté en plus d'une palette graphique agréable et accessible dans un format comics, il trouvera facilement son public, je le lui souhaite bien volontiers ! Tant de messages cachés derrière ces histoires, à vous de les découvrir 🙂 ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aile-e-s/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Kevin Nivek

    Ailé(e)s

    La cohabitation hommes/fées ! On pense (si on l'a vue) à la série Amazon Carnival row, représentant un monde où coexistent humains et créatures fantastiques avec plus ou moins de succès. Cet ouvrage présente quatre histoires ou "nouvelles" tenant place dans les années 60 en Angleterre. Une époque culturelle chargée avec de grands bouleversements sociétaux et musicaux. L'après-guerre est généralement source de paix et d'apaisement, mais l'on va découvrir au fil de ces histoires un autre versant de la nature humaine. La méfiance de l'autre, ce "racisme" mêlé à de la crainte, tout ceci va venir s'imprégner dans la société et engendrer de terribles drames. Dans chacune de ces nouvelles, le collectif d'auteurs met en scène un ou une héroïne au milieu d'une enquête policière mêlant humains et fées. Avec un crime comme postulat de départ, ils imaginent les répercussions sur ce microcosme en équilibre et tournent le récit en polar. La recherche du ou des auteurs du méfait met aux prises une grande galerie de personnages dans un environnement détaillé et respectueux de l'époque. Les dessins sont réalisés par différents artistes, mais il gardent une tendance similaire avec un trait détaillé et réaliste, on flirte presque avec la ligne claire. Les personnages sont facilement reconnaissables, il faut être attentif car une multitude d'acteurs prennent part à ce balais sociétal. La violence est présente en symbole de ce rejet de l'autre, ce n'est pas un conte féérique à mettre entre toutes les mains. Si vous aimez les enquêtes policières, les secrets de famille, un soupçon de magie et une critique de la société, ce sympathique ouvrage répondra aisément à ces critères 😉 Doté en plus d'une palette graphique agréable et accessible dans un format comics, il trouvera facilement son public, je le lui souhaite bien volontiers ! Tant de messages cachés derrière ces histoires, à vous de les découvrir 🙂 !
  14. Kevin Nivek

    Galapagos

    Titre de l'album : Galapagos Scenariste de l'album : Michaël Olbrechts Dessinateur de l'album : Michaël Olbrechts Coloriste : Michaël Olbrechts Editeur de l'album : La boite à bulles Note : Résumé de l'album : Quand ils débarquent sur Floreana en 1929, Friedrich Ritter et Dore Strauch pensent avoir trouvé l'endroit idéal pour passer leur vie. Inhabitée et dôtée d'une faune et une flore extraordinaire, l'île a des allures d'Eden pour ce médecin fanatique de Nietzche et son ancienne patiente qui ont choisi de vivre isolé de la société des Hommes. Pourtant, l'idylle sera de courte durée. Ayant eu vent de leur entreprise, et attirée par ce mode de vie si singulier, la famille Wittmer rejoint l'île en 1932. Malgré un accueil glacial, chacun poursuit sa vie paisiblement et de son côté. Mais c'est à l'arrivée d'une autoproclamée Baronne et de ses deux amants que les choses se gâtent vraiment... Critique : C'est une histoire invraisemblable que cette affaire des Galapagos au début des années 1930 ! Qu'un couple décide de tout quitter pour s'installer aux confins du monde passe encore, mais que d'autres personnes décident de se joindre à eux dans un cortège d'arrivées impromptues et avec toutes les conséquences que cela va entraîner ! Une véritable pièce de théâtre se joue sous nos yeux ébahis, une pièce aux relents macabres ! Dans ce huis-clos aux teintes d'exotisme, vous découvrirez en premier lieu le couple Friedrich Ritter et Dore Strauch, puis la famille Wittmer envieuse de ce nouveau mode de vie et enfin la fameuse Baronne en compagnie de ses deux amants. Elle arrive tel un ouragan menaçant cet horizon calme et reculé. Ce biotope si chèrement acquis par le médecin Ritter et sa compagne devient chancelant et semble s'effondrer au fil du temps passé par la Baronne et ses grandes idées sur ce bout de terre. Chacun élabore dans son coin des stratégies pour faire face et l'on sent très vite que cela va mal finir. L'artiste flamand Michaël Olbrechts maîtrise son scénario, il fait monter la tension crescendo et donne au récit des allures de thriller tout en assimilant un côté "potache" . On peine à croire ce qu'il s'est passé et l'on ne connait toujours pas avec exactitude le fin mot de l'histoire, mais qu'importe ! En effet, là n'est pas le but de l'auteur ni de cette rocambolesque affaire, il s'agit plus de démontrer comment se comporte l'homme dans un milieu clos avec ses semblables, et toutes les contraintes possibles telles que le manque de nourriture, d'eau, la présence d'une arme etc... Un vaudeville illustré merveilleusement bien par un trait semi-réaliste aux accents de ligne claire. Il rend à ce paradis exotique que sont les Galapagos un formidable hommage à travers des décors sublimes de végétation et autres reliefs surplombants l'océan environnant. La lecture est fluide, les dialogues ciselés, la tension palpable, tout est prêt pour un excellent moment de lecture ! Je gage que vous irez sur Google en chercher d'avantage sur ce fait divers incroyable. Vous avez en photos ci-dessous le couple Ritter ainsi que la baronne et ses "amants" 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/galapagos/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Kevin Nivek

    Galapagos

    C'est une histoire invraisemblable que cette affaire des Galapagos au début des années 1930 ! Qu'un couple décide de tout quitter pour s'installer aux confins du monde passe encore, mais que d'autres personnes décident de se joindre à eux dans un cortège d'arrivées impromptues et avec toutes les conséquences que cela va entraîner ! Une véritable pièce de théâtre se joue sous nos yeux ébahis, une pièce aux relents macabres ! Dans ce huis-clos aux teintes d'exotisme, vous découvrirez en premier lieu le couple Friedrich Ritter et Dore Strauch, puis la famille Wittmer envieuse de ce nouveau mode de vie et enfin la fameuse Baronne en compagnie de ses deux amants. Elle arrive tel un ouragan menaçant cet horizon calme et reculé. Ce biotope si chèrement acquis par le médecin Ritter et sa compagne devient chancelant et semble s'effondrer au fil du temps passé par la Baronne et ses grandes idées sur ce bout de terre. Chacun élabore dans son coin des stratégies pour faire face et l'on sent très vite que cela va mal finir. L'artiste flamand Michaël Olbrechts maîtrise son scénario, il fait monter la tension crescendo et donne au récit des allures de thriller tout en assimilant un côté "potache" . On peine à croire ce qu'il s'est passé et l'on ne connait toujours pas avec exactitude le fin mot de l'histoire, mais qu'importe ! En effet, là n'est pas le but de l'auteur ni de cette rocambolesque affaire, il s'agit plus de démontrer comment se comporte l'homme dans un milieu clos avec ses semblables, et toutes les contraintes possibles telles que le manque de nourriture, d'eau, la présence d'une arme etc... Un vaudeville illustré merveilleusement bien par un trait semi-réaliste aux accents de ligne claire. Il rend à ce paradis exotique que sont les Galapagos un formidable hommage à travers des décors sublimes de végétation et autres reliefs surplombants l'océan environnant. La lecture est fluide, les dialogues ciselés, la tension palpable, tout est prêt pour un excellent moment de lecture ! Je gage que vous irez sur Google en chercher d'avantage sur ce fait divers incroyable. Vous avez en photos ci-dessous le couple Ritter ainsi que la baronne et ses "amants" 😉 .
  16. Titre de l'album : Marcel - Cerdan, le cœur et les gants Scenariste de l'album : Bertrand Galic Dessinateur de l'album : Jandro González Coloriste : Jandro González Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 28 octobre 1949. Marcel Cerdan rêvasse. Boxeur contre son gré, par la volonté d'un père tyran et pour l'amour d'une mère, il deviendra Le bombardier marocain, icône de la résistance anti-fasciste, avant de rendre sa fierté à tout un pays en remportant le titre mondial en 1948. Au-delà de sa liaison avec E. Piaf et de sa mort tragique, voici l'histoire de cet « illustre inconnu » du sport français. Critique : A travers cette bande dessinée, Bertrand Galic retrace le parcours incroyable de Marcel Cerdan, le célèbre boxeur aux nombreuses victoires. Nous découvrons à travers cet album, que Cerdan ne voulait pas consacrer sa vie à la boxe mais au football mais son père amoureux du sport de combat réussit à le convaincre d'entamer une carrière professionnelle. Cerdan commence les matchs de boxe avant la seconde guerre mondiale. Durant la seconde guerre mondiale, Il participa à la résistance comme vous pourrez le découvrir ainsi que plus tard sa rencontre avec Edith Piaf et sa relation. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre les combats sur le ring. Le trait de l'auteur est réaliste pour représenter tous les personnages côtoyant Cedran. La collection coup de tête aux éditions Delcourt se poursuit avec Marcel Cedran, le cœur et les gants, en proposant des albums de grande qualité sur des sportifs de haut niveau qui ont marqué leur époque. La carrière de Ceran est remarquable mais courte avec ce terrible accident en 1949. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marcel-cerdan-le-coeur-et-les-gants/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. A travers cette bande dessinée, Bertrand Galic retrace le parcours incroyable de Marcel Cerdan, le célèbre boxeur aux nombreuses victoires. Nous découvrons à travers cet album, que Cerdan ne voulait pas consacrer sa vie à la boxe mais au football mais son père amoureux du sport de combat réussit à le convaincre d'entamer une carrière professionnelle. Cerdan commence les matchs de boxe avant la seconde guerre mondiale. Durant la seconde guerre mondiale, Il participa à la résistance comme vous pourrez le découvrir ainsi que plus tard sa rencontre avec Edith Piaf et sa relation. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre les combats sur le ring. Le trait de l'auteur est réaliste pour représenter tous les personnages côtoyant Cedran. La collection coup de tête aux éditions Delcourt se poursuit avec Marcel Cedran, le cœur et les gants, en proposant des albums de grande qualité sur des sportifs de haut niveau qui ont marqué leur époque. La carrière de Ceran est remarquable mais courte avec ce terrible accident en 1949.
  18. Et voici la conclusion de cette série jeunesse aux jeunes héros prenant des formes animales et les pouvoirs associés. 5 tomes déjà, Antoine Ozanam et Joël Jurion n'ont pas chômé ! Cette conclusion vient apporter une fin assez logique, même si je l'avoue humblement, je suis incapable de vous dire si toutes les réponses aux questions en suspens avant ce tome ont été apportées. Je ne suis pas assez connaisseur de la série et certains passages un peu rapides m'ont laissé, moi, avec quelques questions. Là n'est cependant pas l'essentiel parce que Klaw est destiné à un jeune public qui a su y trouver son bonheur, avec cette histoire originale de jeunes super héros à la française, se démarquant des mangas et autres comics pour nous proposer une aventure cohérente et riche. Tenir 15 tomes est déjà en soi un bel exploit et pour une production jeunesse, le travail graphique de Joël Jurion est très réussi. Mon conseil est donc simple, si vous avez lu les 14 premiers tomes, et bien aucune raison de vous priver de la conclusion de la série, sinon ? Et bien essayez le tome 1 🙂
  19. Titre de l'album : Klaw - Tome 15 - Ce qui est à moi Scenariste de l'album : Antoine Ozanam Dessinateur de l'album : Joël Jurion Coloriste : Léa Chrétien Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le futur d'Ange semble radieux : fiancé à Makda, il a en outre trouvé le moyen de mettre fin à la guerre des Dhizis. Il n'a plus qu'à conclure un pacte avec son futur beau-père Lupka, et tout devrait aller pour le mieux. Mais est-ce que les choses peuvent jamais bien se passer entre un beau-père et son gendre ? Surtout quand ledit beau-père est un psychopathe de la pire espèce ? Ange devrait pourtant avoir l'habitude d'être trahi par les siens. C'est une tradition familiale qui remonte… Critique : Et voici la conclusion de cette série jeunesse aux jeunes héros prenant des formes animales et les pouvoirs associés. 5 tomes déjà, Antoine Ozanam et Joël Jurion n'ont pas chômé ! Cette conclusion vient apporter une fin assez logique, même si je l'avoue humblement, je suis incapable de vous dire si toutes les réponses aux questions en suspens avant ce tome ont été apportées. Je ne suis pas assez connaisseur de la série et certains passages un peu rapides m'ont laissé, moi, avec quelques questions. Là n'est cependant pas l'essentiel parce que Klaw est destiné à un jeune public qui a su y trouver son bonheur, avec cette histoire originale de jeunes super héros à la française, se démarquant des mangas et autres comics pour nous proposer une aventure cohérente et riche. Tenir 15 tomes est déjà en soi un bel exploit et pour une production jeunesse, le travail graphique de Joël Jurion est très réussi. Mon conseil est donc simple, si vous avez lu les 14 premiers tomes, et bien aucune raison de vous priver de la conclusion de la série, sinon ? Et bien essayez le tome 1 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/klaw-tome-15-ce-qui-est-a-moi/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Ohlala une nouvelle série de science fiction un peu post apo façon Terminator ! Avec un tel pitch et des auteurs comme M. Legrain (Sisco, The Regiment, Latah) au dessin ou M. Nicolas Jarry (terres d'arran, iss sniper, conquêtes, et une multitude d'autres) au scénario, on sait déjà qu'on va être sur du sérieux. Banco, si la couverture donne un peu l'impression d'un dessin taillé à la hache, l'intérieur est de meilleur ton, et Thomas Legrain va nous livrer de belles planches pour le genre, sans toutefois atteindre le niveau de détail aperçu sur son Latah. Mais ce n'est pas là l'essentiel, si certains visages manquent un peu de détails et de nuances, on est sur de la sf d'action et là le contrat est clairement rempli, les scènes d'actions sont dynamiques et lisibles, on se régale et on parcourt cette enquête musclée mais finalement inventive au pas de course. L'univers présenté est riche en futures possibilités, et elles ne sont qu'à peine esquissées dans ce tome, bref on en redemande et on attend la suite avec impatience !
  21. Titre de l'album : M.A.D - Tome 1 - Un empire de rouille Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : MIKL Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La guerre contre les mechams a dévasté le monde. L'humanité est réduite à une multitude d'îlots de résistance, séparés les uns des autres par des océans de rouille. Daïa Anikine et Socrate, un robot avec lequel elle partage sa conscience, appartiennent au M.A.D, le Mechanical Assault Division. Leur mission est de protéger les derniers bastions de la civilisation. Daïa n'est pas du genre à laisser ses émotions lui dicter ses actes, pourtant, quand l'une de ses amies est retrouvée démembrée à l'intérieur même de l'enceinte de la ville, elle décide d'aller contre les ordres de sa supérieure et de traquer l'assassin, quelles qu'en soient les conséquences... Critique : Ohlala une nouvelle série de science fiction un peu post apo façon Terminator ! Avec un tel pitch et des auteurs comme M. Legrain (Sisco, The Regiment, Latah) au dessin ou M. Nicolas Jarry (terres d'arran, iss sniper, conquêtes, et une multitude d'autres) au scénario, on sait déjà qu'on va être sur du sérieux. Banco, si la couverture donne un peu l'impression d'un dessin taillé à la hache, l'intérieur est de meilleur ton, et Thomas Legrain va nous livrer de belles planches pour le genre, sans toutefois atteindre le niveau de détail aperçu sur son Latah. Mais ce n'est pas là l'essentiel, si certains visages manquent un peu de détails et de nuances, on est sur de la sf d'action et là le contrat est clairement rempli, les scènes d'actions sont dynamiques et lisibles, on se régale et on parcourt cette enquête musclée mais finalement inventive au pas de course. L'univers présenté est riche en futures possibilités, et elles ne sont qu'à peine esquissées dans ce tome, bref on en redemande et on attend la suite avec impatience ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/m-a-d-tome-1-un-empire-de-rouille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. L'aventure continue pour la famille "recomposée" d'Emmy, qui doit retourner en terres elfiques affronter le vil Torik et ses compères elfes noirs ! Comme dans le premier tome, tout va très vite, le chemin du groupe d'Emmy est tortueux et dangereux, ils doivent faire face à de nombreuses menaces avant de rejoindre le territoire hostile de leur ennemi. Notre jeune héroïne va malencontreusement se retrouver contaminée par un mal mystérieux qui pourrait bien compromettre leur mission. D'autant que Torik possède une longueur d'avance et semble tout à fait prêt à les accueillir à sa façon ! La progression s'avère semée d'embûches et vous irez de surprises en surprises en parcourant ces pages ! Le duo de scénaristes fonctionne bien et nous offre de nombreux rebondissements au fil du récit. La partie graphique de Hortense Pien est dans la même veine que le premier tome, un trait numérique efficace avec de nombreux effets visuels, des couleurs vives et un mouvement permanent. Le découpage est dynamique et fluide, au diapason du récit. Le public ciblé (ado, jeune-ado) retrouvera avec plaisir les personnages de cette aventure au bon goût de fantasy moderne !
  23. Titre de l'album : Emmy et les derniers elfes tome 2 Scenariste de l'album : Carbone, Véronique Barrau Dessinateur de l'album : Hortense Pien Coloriste : Hortense Pien Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Emmy et les elfes des Lumières exilés retournent avec détermination dans le monde elfique. Leur mission est triple : libérer leurs semblables réduits en esclavage, anéantir Torik et ses sbires mais aussi reconquérir leur royaume, sans mettre en danger leur terre. Or, ces tâches vont s'avérer bien plus ardues que prévues... En se frayant un chemin dans les paysages si longtemps malmenés par les elfes des Ténèbres, Emmy se blesse grièvement et son pouvoir s'en trouve réduit. Affaiblie, elle et les siens sont faits prisonniers par Torik qui réserve à l'héroïne un sort peu enviable... Critique : L'aventure continue pour la famille "recomposée" d'Emmy, qui doit retourner en terres elfiques affronter le vil Torik et ses compères elfes noirs ! Comme dans le premier tome, tout va très vite, le chemin du groupe d'Emmy est tortueux et dangereux, ils doivent faire face à de nombreuses menaces avant de rejoindre le territoire hostile de leur ennemi. Notre jeune héroïne va malencontreusement se retrouver contaminée par un mal mystérieux qui pourrait bien compromettre leur mission. D'autant que Torik possède une longueur d'avance et semble tout à fait prêt à les accueillir à sa façon ! La progression s'avère semée d'embûches et vous irez de surprises en surprises en parcourant ces pages ! Le duo de scénaristes fonctionne bien et nous offre de nombreux rebondissements au fil du récit. La partie graphique de Hortense Pien est dans la même veine que le premier tome, un trait numérique efficace avec de nombreux effets visuels, des couleurs vives et un mouvement permanent. Le découpage est dynamique et fluide, au diapason du récit. Le public ciblé (ado, jeune-ado) retrouvera avec plaisir les personnages de cette aventure au bon goût de fantasy moderne ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emmy-et-les-derniers-elfes-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    Le magicien d'Oz tome 1

    A l'occasion de la sortie du film américain Wicked, une (nouvelle) adaptation libre du roman au succès fantastique de l'américain Lyman Franck Baum, les éditions Jungle sortent leur version sous le trait rond et aéré de Hélène Canac. Elle nous avait déjà émerveillés avec Entre neige et loups, paru chez Jungle aussi, elle renouvelle l'exploit avec ce premier tome de toute beauté. Des couleurs vives et éclatantes qui semblent vouloir sortir des pages et inonder le lecteur de leurs lumières, des visages ronds dotés d'une grande expressivité, c'est un sans faute pour l'artiste complète ! Elle donne beaucoup de profondeur de champ dans ses paysages, à l'image du sentier doré menant à la fameuse cité d'émeraude, qui semble sans fin. Habitué des adaptations littéraires en BD, Maxe L'Hermenier livre un scénario clair et on ne peut plus fidèle au roman éponyme. Les grands héros de la saga apparaissent sous nos yeux et on se régale de retrouver l'homme de métal et l'épouvantail qui ont bercé notre jeunesse. C'est une lecture rafraîchissante, pour les jeunes et les moins jeunes car ce monde est tellement imprégné de double-sens que les adultes auront une vision différente de l'oeuvre connue plus jeune, tout en se régalant de la "redécouvrir" ! Une très bonne idée, cette série Bd en deux tomes; pour un plaisir coupable d'adulte 😉 .
  25. Titre de l'album : Le magicien d'Oz tome 1 Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier , d'après Lyman Franck Baum Dessinateur de l'album : Hélène Canac Coloriste : Hélène Canac Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Dorothée est une jeune fille qui vit dans une ferme avec son oncle et sa tante. Un jour, elle est emportée par une tornade dans un lieu étrange : le pays d’Oz. Commence alors un voyage extraordinaire pour rentrer chez elle. Heureusement, elle ne sera pas seule dans son aventure. Accompagnée de son chien Toto, elle croisera le chemin de créatures aussi fantastiques qu’attachantes… Critique : A l'occasion de la sortie du film américain Wicked, une (nouvelle) adaptation libre du roman au succès fantastique de l'américain Lyman Franck Baum, les éditions Jungle sortent leur version sous le trait rond et aéré de Hélène Canac. Elle nous avait déjà émerveillés avec Entre neige et loups, paru chez Jungle aussi, elle renouvelle l'exploit avec ce premier tome de toute beauté. Des couleurs vives et éclatantes qui semblent vouloir sortir des pages et inonder le lecteur de leurs lumières, des visages ronds dotés d'une grande expressivité, c'est un sans faute pour l'artiste complète ! Elle donne beaucoup de profondeur de champ dans ses paysages, à l'image du sentier doré menant à la fameuse cité d'émeraude, qui semble sans fin. Habitué des adaptations littéraires en BD, Maxe L'Hermenier livre un scénario clair et on ne peut plus fidèle au roman éponyme. Les grands héros de la saga apparaissent sous nos yeux et on se régale de retrouver l'homme de métal et l'épouvantail qui ont bercé notre jeunesse. C'est une lecture rafraîchissante, pour les jeunes et les moins jeunes car ce monde est tellement imprégné de double-sens que les adultes auront une vision différente de l'oeuvre connue plus jeune, tout en se régalant de la "redécouvrir" ! Une très bonne idée, cette série Bd en deux tomes; pour un plaisir coupable d'adulte 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-magicien-d-oz-tome-1-9782822243322/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  26. Titre de l'album : L'intranquille monsieur Pessoa Scenariste de l'album : Nicolas Barral Dessinateur de l'album : Nicolas Barral Coloriste : Nicolas Barral Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Novembre 1935. Pessoa vit ses derniers jours. Simão Cerdeira, jeune pigiste au Díario de Lisboa, est chargé de rédiger la nécrologie de cet écrivain dont il ignore tout. L'apprenti journaliste va méticuleusement remonter la piste, interrogeant les principaux témoins de l'existence de ce personnage énigmatique. En parallèle, Pessoa prépare sa sortie. Aura-t-il le temps d'achever ce « Livre de l'inquiétude », basé sur les confidences de son ami Bernardo Soares et qui lui tient tant à coeur ? Critique : J'ai souvent du mal avec les biographies, d'autant plus quand elles parlent d'art... J'attaquais donc ce récit avec une réelle appréhension. La preuve : j'ai laissé passer trop longtemps d'autres BD devant. Et bien j'avais tort. Ce récit était passionnant. Passionnant car très bien écrit. Passionnant car aillant l'intelligence de nous prendre au cœur en partant d'un personnage en fin de vie. Un personnage aimé de ses paires, émouvant, complément, dévoué à son art mais aussi timide, introverti et chétif. Un personnage dont l'on apprend la vie par des flashs back et via l'avis de ses amis. Une vie assumée et pleine et dédiée à son art. Difficile à décrire en fait mais si vous aimez les biographies cette BD est pour vous, c'est garantie à 100% Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-intranquille-monsieur-pessoa?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  27. poseidon2

    L'intranquille monsieur Pessoa

    J'ai souvent du mal avec les biographies, d'autant plus quand elles parlent d'art... J'attaquais donc ce récit avec une réelle appréhension. La preuve : j'ai laissé passer trop longtemps d'autres BD devant. Et bien j'avais tort. Ce récit était passionnant. Passionnant car très bien écrit. Passionnant car aillant l'intelligence de nous prendre au cœur en partant d'un personnage en fin de vie. Un personnage aimé de ses paires, émouvant, complément, dévoué à son art mais aussi timide, introverti et chétif. Un personnage dont l'on apprend la vie par des flashs back et via l'avis de ses amis. Une vie assumée et pleine et dédiée à son art. Difficile à décrire en fait mais si vous aimez les biographies cette BD est pour vous, c'est garantie à 100%
  28. Titre de l'album : Red Hot Chili Peppers Scenariste de l'album : Borja Figuerola, Samuel Degasne Dessinateur de l'album : Carlos Cordoba, Paskal Millet Coloriste : Francesca Vivaldi, Alice Previati Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Cela fait plus de 40 ans que les Red Hot Chili Peppers marchent sur le toit du monde musical puisant dans les différents styles de quoi créer un son unique. On trouve dans leur discographie un mélange de pop, de rock, de rap, de funk, de punk, de soul, de métal… A travers leur histoire tumultueuse, le groupe créé par Anthony Kiedis et Michael « Flea » Balzary, fait aujourd’hui référence dans l’univers Pop-Rock international. Ça sent le soleil de Californie et le bon rock’n’roll dans ce Docu-BD au rythme endiablé ! Dream of Californication ! Critique : J'ai découvert les Red hot avec l'album consacrant leur succès mondial, Blood Sugar Sex Magik. Sorti en 1991, je l'écoute pour la première fois en 1995 sur les bancs du lycée et une onde sismique semble m'avoir transpercé à tout jamais. La bande d'Anthony Kiedis venait de gagner un nouveau fan pour des années à venir ! Un son plus "accessible" et moins violent que les non moins excellents Rage against the machine, parcourt les travées d'une époque bénie pour le rock de façon générale. Songez que Nirvana, Smashing pumpkins et Pearl jam ont fait les premières parties des Red hot lors de leurs tournées ! La créativité était incroyable et elle transpire dans les pages de ce formidable documentaire dédié au groupe quadragénaire. Vous allez apprendre une multitude d'informations sur leurs débuts, leurs rencontres, leurs multiples séparations/réconciliations, bref, 40 années tumultueuses jalonnées de musique et de substances illicites en tout genre... Quelle vie de groupe mes aïeux ! La drogue a été omniprésente, mais une autre addiction a frappé les membres : l'envie permanente de travailler ensemble dans une osmose singulière. Vous allez découvrir leur méthode de travail qui semble unique en son genre mais qui a permis l'émergence de tellement de tubes et autres accords mythiques, qu'elle en devient naturelle et logique ! Le talent ne s'explique pas, il se vit à travers Anthony et ses acolytes. Le dessin réaliste de Carlos Cordoba est précis, les protagonistes sont facilement reconnaissables, il parvient à dégager beaucoup d'énergie des cases "musicales", la lumière suit les Red hot dans une symbiose éclatante. On est avec Anthony Kiedis lorsqu'il compose mais on est aussi avec lui lors de ses nombreuses phases "down", marquées par des séjours en centre de détox. Pourquoi ce titre "under the bridge" ? Lisez ce docu-bd aux notes fusionnelles et embrasez-vous au son du big band californien 😉 A lire et à relire et à prêter, mais surtout, à écouter ensuite ou pendant ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-hot-chilli-peppers/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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  • Un best of BD au hasard

  • Dernières Critiques

    • Nocéan tome 3 - Fissures (fin)
      Note :
      Ah enfin 🙂 Enfin un tome avec un scenario d'envergure plus grande que la simple vie de nos deux copines § c'est un poil dommage que cela n'arrive que pour le dernier tome de cette série.

      Mais on ne boudera pas le plaisir d'avoir une vraie BD qui mêle aventure, science-fiction et conflit social. Entre impact climatique, lutte des classe et secret sur le passé de Tika, Efa livre dans ce seul album l'étendu des possibilités de son univers pour en faire une lecture très sympa.

      On se passionne beaucoup plus pour l'histoire de Tika, du Nocéan et de la haute caste que sur la vie elle même de Tika et Atari.

      La fin est top avec un dernier rebondissement très malin....

      Bref LE tome que l'on attendait !
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    • A.X.E. Judgment Day - Coffret intégrale
      Note :
      Un retour s'imposait sur l'un des plus ambitieux event de ces dernières années, derrière le run de Hickman Infinity ! Mais avant tout, un petit rappel des faits afin de mieux cerner les enjeux de cette "déchirure tripartite" :

      D'abord les Avengers, ils sortent d'un run de Aaron aux avis mitigés et ont élu domicile dans la tête d'un Céleste mort au pôle nord.

      Puis nos amis les mutants, devenus immortels grâce aux pouvoirs de Krakoa, ce secret s'est éventé, la planète entière est au courant de ce pouvoir.

      Enfin, les éternels, des entités cosmiques d'apparences humaines dont le but est d'anéantir les déviants menaçant les terriens. Le hic étant qu'ils viennent d'apprendre lors d'un conflit acharné avec Thanos (encore lui) que leur immortalité avait un prix ! En effet, chaque fois qu'ils reviennent à la vie, cela se fait au détriment d'une vie humaine choisie au hasard. Ce secret n'est pas (encore) éventé.

      Les pions sont posés, le contexte est situé, venons en aux faits ! Cette nouvelle "immortalité" des mutants interpelle en haut lieue chez les éternels chaperonnés par les célestes. Les X-men seraient-ils devenus des "déviants" ?? Programmés pour attaquer les déviants, certains éternels entrent en conflit avec les mutants, et il faut intervenir du côté des Avengers pour faire cesser ce bain de sang. La bonne idée étant de ressusciter le céleste mort leur servant de QG. Sauf que, ce dernier une fois "réveillé" va se mettre à juger les habitants de la planète, pouce vers le haut ou vers le bas ! Dès l'or, l'enfer se déchaine, le conflit se mondialise !

       
      • 9 réponses
    • Mobilis - Ma vie avec le capitaine Nemo
      Note :
      Attention, découverte d'un talent rare en la personne du franco-sénégalais Juni Ba ! Il vient du monde des comics, ayant déjà travaillé entre autres sur Black panther chez Marvel, le voici qui se lance dans un one-shot en solo pour notre plus grand plaisir ! Il livre une version post-apocalyptique de 20000 lieues sous les mers, le chef d'oeuvre de Jules Verne, en tous points remarquable. D'emblée on apprend que l'homme n'a pas respecté la nature (tiens donc), la planète est ensevelie sous les eaux, plus rien ne vit en surface. Le capitaine Nemo ère dans ce monde sous-marin dévasté en affrontant des monstres gigantesques et en sauvant des reliques du passé, telles des oeuvres d'art. Au cours d'une de ses missions, il récupère un caisson de sommeil hébergeant une jeune enfant nommée Arona. Vivant en ermite dans le grand Nautilus, il finit par s'y attacher et commence une éducation stricte et sévère avec un enseignement soutenu littéraire et scientifique. Le temps passe, Arona grandit et se rebelle comme tout adolescent face à la figure paternelle. Elle va découvrir les sombres secrets du non moins mystérieux Nemo, mais aussi sur le monde environnant. Que de surprises et de rebondissements pour une fin majestueuse ! C'est un sans-faute du prodige Juni Ba, si la littérature BD jeunesse pouvait s'en inspirer plus souvent ! D'abord publié aux Etats-unis, il faut féliciter l'éditeur Bayard peu rompu aux joutes des comics d'oser proposer ce bijou narratif et graphique. Car oui, le dessin est subtil, se montrant détaillé parfois puis à l'économie sur d'autres cases pour mieux mettre en avant les visages des personnages et leurs réactions. Le découpage est cinématographique au possible, les échanges de regards peuvent prendre une case entière suscitant une émotion sincère et palpable. 160 pages de bonheur que vous aurez envie de relire au plus vite, car il propose de nombreuses thématiques telles que la transmission et l'écologie; ces aspects ne seront pas forcément saisis par tous les âges, mais là est bien un des atouts de ce livre : de 13 ans à ... Chacun y verra sa propre histoire, son interprétation et si en plus cela donne envie de se replonger de l'oeuvre de Jules Verne 😉 !
      • 2 réponses

    • This monster wants to eat me tome 1 & 2
      Note :
      Bon alors j'avoue que, pour l'instant, le classement dans la collection Yuri m'intrigue un peu. Alors oui, on parle de deux filles... mais c'est surtout une Yokai qui veut empêcher une fille de se suicider car elle veut se la réserver pour la manger plus tard quand elle aura meilleur gout.

      Alors oui pour que notre Yokai protège Hinako elle se doit de la suivre de prêt pour qu'aucun autre Yokai ne s'en prenne à elle... mais on est plus proche du récit d'angoisse que du Yuri. Non pas que cela ne me déplaise bien sur ! J'avoue avoir été agréablement surpris. 

      En effet je m'attendais à ce que le terme "monstre" soit prit au figuré et non au sens propre. Mais ce côté mysticisme est une bonne chose car elle sort cette histoire des sentiers battus et brouille les pistes pour un manga dont on ne sait vraiment vers où il va se diriger.

      Un bon début de série quoi !

      PS : A noter que le manga aura le droit a une adaptation en animé début d'année prochaine

       
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    • Tokyo cannabis tome 3
      Note :
      On entre dans le dur pour notre pour Morio. S'il ne se rendait pas bien compte de l'a ou il avait mis les pieds, il ouvre les yeux bien grands durant ce tome 3.

      En effet, l'étau se ressert dans tous les sens. Après les truands intéressés par l'argent, la police, elle aussi, se met à enquêter sur ce cannabis made in Japan.

      Et ca c'est sans prendre en compte les ravages que ce dit cannabis fait dans le lycée de sa fille !

      Le rêve du début se transforme tout doucement en cauchemar qui semble plonger dans l'obscurité sans espoir d'amélioration.

      On se demande bien comment (ou SI) Morio pourra s'en sortir.... c'est aussi excitant qu'effrayant.
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