Cox Posté(e) le 6 septembre 2016 Share Posté(e) le 6 septembre 2016 [center][url="http://www.bdfugue.com/ciel-de-guerre-t4?ref=44"]<img src="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782888909903_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Ciel de guerre [b]Titre[/b] : Opération Torch [b]Genre[/b] : Guerre, aviation [b]Scenario[/b] : Philippe Pinard [b]Dessin[/b] : Olivier Dauger [b]Couleur[/b] : Olivier Dauger [b]Pages[/b] : 48 [b]Editeur[/b] : Paquet [b]Parution[/b] :31/08/2016 [url="http://www.bdfugue.com/ciel-de-guerre-t4?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [i]L'aube du 8 novembre 1942, les Anglos-Américains investissent les côtes d'Afrique du nord défendues par les forces vichystes : c'est l'Opération Torch. Etienne de Tournemire, aux commandes de son escadrille va vivre trois jours de combats intenses contre les Spitfire et Hurricane britanniques avant qu'un cessez-feu ne vienne y mettre un terme, au grand soulagement des deux parties. Le général de Gaulle invite alors ses anciens adversaires à rejoindre ses rangs, « 200 aviateurs sous notre uniforme seront plus utiles à la France que 2 000 sous l'uniforme anglais ». Cette volonté de « réconciliation nationale » obéit surtout à un calcul politique : imposer la France Libre au sein de la coalition alliée. A cet effet, une nouvelle organisation tactique de l'armée de l'Air sous commandement français, mais relevant des autorités américaines, voit rapidement le jour. Ainsi, l'escadrille des Diables rouges, dissoute en août 1940, est reformée à Casablanca le 22 mars 1943. C'est notre ami Marceau qui en prend les rênes. Celui-ci est également chargé d'une mission plus délicate : compléter son unité avec des éléments ayant appartenu au « camp d'en face ». La présence de ces anciens pilotes renégats est très diversement appréciée des résistants de la première heure, la « fusion morale » invoquée par de Gaulle étant loin de faire l'unanimité. Pourtant, en dépit de l'hostilité manifeste de ses coreligionnaires, Etienne de Tournemire parvient à intégrer les Diables rouges. La boucle est bouclée, comme en mai 40, pendant la campagne de France, les deux anciens frères d'armes, Marceau et de Tournemire, volent de nouveau sous le même emblème, ce fameux diable frappé sur la carlingue de leurs Curtiss. Ce Diable rouge auquel Etienne de Tournemire doit désormais rendre des comptes. [/i] Fin d'histoire des plus décevantes, le résumé ci-dessus est sans aucun doute plus long que le scénario. L'album n'est qu'une suite de scènes de combat dans sa première partie et une suite d'accident due à des défaillances techniques dans la seconde. Je regrette que l'album n'a fait que survoler certains faits, alors qu'il aurait été intéressant de les développer, par exemple l'hostilité entre les pilotes gaullistes et vichystes qui se retrouvent au sein d'une même unité. Le retournement de la cousine de Tournemire qui sentant le vent tourné s'engage dans la Résistance. Des sujets qui ne seront plus traités dans cette série puisqu'elle se conclue avec cet album. Trois premiers albums assez convaincant et un dernier quelque peu raté, voilà le bilan de cette série. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.0.png[/img] Cox Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ArnLeRouge Posté(e) le 9 septembre 2016 Share Posté(e) le 9 septembre 2016 Je ne suis pas fan des dessins de Dauger, même s'il dessine les zincs et les voitures superbement bien ! Je n'accroche vraiment pas aux personnages. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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