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Monfreid...

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Messages posté(e)s par Monfreid...

  1. Je suis d'accord...mais n'empêche que je trouve ça vraiment vu et revu comme sujet et qu'a par faire passer le temps de manière "agréable" cette BD b'offre rien qui m'ai plut outre mesure...
    ...et surtout ce qui me semble plus "grave" pour une série; je n'ais eu aucune envie de lire la suite!! Et toi tu es rentré dedans???

    see you,
    Monfreid...
  2. Résumé : Ces contes narrent les pérégrinations de Toho Daisuke samouraï chevronné. Nouvelle version de l’éternelle vision du chevalier errant, ces contes n’en renouvellent pas moins le genre. De la tragédie familiale en passant par des combats épiques, ces albums disposent les éléments d’une histoire passionnante.
    Toho Daisuke est un samouraï à la recherche d’un maître, et c’est sa sœur qui va le lui trouver, obéissant son remarque à son nouveau maître comme le veut le code d’honneur ; Toho va néanmoins devoir choisir sa voie quand sera en jeu la vie de sa sœur et la connaissance d’un passé mystérieux…

    Avis : « Du déjà vu » me dis-je en lisant un résumé quelconque, ils se prennent pour qui Adam et Micol pour oser piétiner les plates bandes de l’habitant de l’infini et autres vagabond ?
    Aucunes envie de lire ce récit ; et puis au hasard je suis tombé sur une planche ; et là ce qui m’a sauté aux yeux c’est le style « Sfarr » le mélange touffus et dépouillé du graphisme. Attiré comme un papillon par une lanterne je me suis alors jeté sur le premier tome de ces « contes ». Bien m’en pris, la quête picaresque, les personnages, la trame les rebondissements…tout ici sonne le déjà vu…et pourtant on va de surprise en surprise.
    Déjà le dessin, je parlais d’un côté « Sfarr » mais cette comparaison est à la fois vraie et erronée, bien évidement le trait rond et confus n’est pas sans rappeler l’auteur du chat du rabbin ; mais ce sont surtout l’audace des « plans » et l’omniprésence de l’ombre qui font la différence. A chaque dessin on a l’impression que les couleurs sont sur le point de se faire dévorer par un noir et blanc d’outre tombe, cet acharnement à mettre de l’ombre, pousse le trait vers une atmosphère pesante, une atmosphère de l’instant, j’allais dire de l’impact. En voyant ces dessins on sait que dans le monde des samouraïs tout ce joue en un souffle, que toutes choses en cache une autre ; là ou les dessins habituellement attendent que la trame se développe pour oser se dévoiler dans leur splendeur, ici le ton est donné dès le début ; on sait que cela va être un drame ; que les protagonistes évoluent dans un monde hostile et dramatique. Ce « effet » n’empêche pourtant pas une quiétude de s’installer au détour de certaines cases, un arbre où une chute d’eau ; par leur immobilisme s’opposent aux veines querelles des hommes ; un esprit « zen » transcende donc un graphisme plus qu’adapté !
    Pour autant l’histoire n’est pas en reste, au contraire. Elle se déploient sans complexe ni fausse pudeur ; ici la narration est limpide et directe. Les actions des personnages sont quasiment toujours des réponses à d’autres actions ; on ne nous ménage pas de faux suspens ou de rebondissements. Le partie pris du conte tiens ici toutes ses promesses, car il ne peut être que linéaire et sans appel, dès le départ les héros sont pris dans le carcan de leur propre destin, de leur propres choix et responsabilité. Ainsi le samouraï qui trompe son maître ne l’explique pas, il s’en accommode et change de posture face à l’univers, il y a à la fois une fatalité omniprésente mais aussi une grande force morale qui se dégage de ces attitudes. De plus le parcourt des personnages ne se fait pas dans un schéma occidental, c'est-à-dire par des prises de décisions après réflexion, mais en fonction des contraintes du moment. Ainsi la « socialisation » de force que subit le héros dans le deuxième tome quand il doit pour la première fois s’occuper des problèmes d’autrui, ne lui pose pas de « cas de conscience » mais un adaptation aux événements. En ayant compris que c’est effectivement le souffle qui est au cœur de la pensée asiatique, le scénariste évite les écueils des références du genre jouant la carte de l’authenticité et de la patience.
    Il s’agit donc de deux récits surprenants tant par les qualités que par leur effets sur nous ! "

    See you
    Monfreid... qui redonne un résume global des deux tomes parus histoire de faire un peu chier le monde laugh.gif


  3. Résumé: En plein Japon médiéval, la toute jeune princesse Setsuko possède un caractère bien affirmé, elle manie le sabre avec dextérité, des servants dévoués, un père aimant et compréhensif et un amoureux transi…enfin bref tout pour être heureuse. Par malheur elle est la cible des avances du dieu de la mort, qui pour la punir de l’ignorée la condamnera à n’être plus qu’une ombre…


    Avis: Encore un passionné de l’Asie qui se dévoile » pourrait on se dire à la vue de ce nouvel album ayant pour cadre cette partie du monde. Certes, mais là où beaucoup surf avec plus ou moins de succès sur la trace d’illustres mangaka, Lacombe ne cherche pas à copier mais à donner sa vision des choses. A l’image de ce dieu aux tournures d’esprit improbables, le récit de Lacombe ne cesse de nous surprendre. Tout d’abord par un graphisme « enfantin » qui permet toutes les audaces. Plutôt que de céder à la facilité des visages rond ou des visages anguleux l’auteur prend le partie de tracé les visages comme autant de calligraphies, laissant souvent ces protagonistes entre deux émotions, ce qui les rend encore plus « vraies » et vivants. On peut se rendre compte de la bonne idée de ce traitement graphique dans les images de temples où contrairement à nos habitudes c’est le premier plan qui est le moins détaillé donnant un effet de profondeur inédit ; ainsi que dans la dernière page avec le petit panda. Mais surtout ce qui porte les dessins et les rends si simplement beaux et efficace, c’est le découpage ; la mise en place des actions. Je pense à cette superbe double planche où une rencontre amoureuse se passe d’un côté puis d’un autre d’un pont qui lui-même traverse les planches…une idée simple, mais qui reflète gracieusement toute la poésie japonaise, qui telle la cérémonie du thé ne se livre que par esquisse.
    Des traits de qualité, une mise en scène sublime ne suffisent pourtant pas à faire d’une BD à bon moment. Et bien les amateurs de belles légendes ne seront pas mécontent d’apprendre que l’histoire est ici passionnante et plus complexe qu’elle ne le laisse paraître. D’une banale maîtrise amoureuse de celles qui hantent les pires vaudevilles, Lacombe tire une trame à tiroir des plus simple et des plus symbolique. Certes ce dieu idiot dont les décisions hâtives ne font qu’empirer la situation, permet de glisser un peu d’humour dans ce drame. Mais il montre surtout comment le déclin du Japon va se jouer non pas dans la cour des rois mais sur les champs de batailles au moment de la prise de pouvoir des Shoguns. De plus tout comme l’héroïne ne peut prendre conscience de son malheur qu’à travers le corps d’un autre ; le pays fidèle qu’il est à sa volonté de la tradition ne comprendra ses erreurs qu’une fois le mal fait. Autant de thèmes que l’auteur ne fait qu’effleurer mais qui donnent une épaisseur à son récit, tout en lui permettant de conserver un ton « enfantin » et simple. Ce mélange entre candeur naïve des légendes d’antan et implacable rigueur du destin, donne à cet album un aspect mélancolique touchant et atypique !
    Comme d’habitude après une telle lecture on regrette que la suite ne soit pas encore disponible, surtout que la première édition annonce les intentions de l’auteur se qui ajoute à notre frustration.
    Un bel album que je conseille à ceux qui ont garder leur âmes d’enfant sans être dupe de la cruauté du monde.


  4. Résumé: Denver de nos jours, c’estle jour de la remise des diplômes de fin d’étude pour le jeune Will Jungkuntz, petit génie des sciences. Il profitera de cette soirée en découvrant l’amour. Mal lui en pris puisque c’est le signal que l’armée et une mystérieuse organisation attendait pour le capturer. Will est donc obliger de fuir en compagnie de son « père », de sa petite maie à la recherche de ses origines.


    Avis: Autant être franc, le premier tome de cette série est loin de m’avoir convaincu. Le scénario est pourtant bien ficelé, il n’y a pas de « trou » ni d’incohérence béantes. Les dessins ne sont pas non plus à blâmer malgré un certain aspect lisse et poli façon comics des 90’s leur qualités et honorable. Le découpage de l’histoire est quand à lui des plus classiques, avec une scène d’introduction en prélude à la découverte des pouvoirs, des mais, des ennemis et du chagrin du héros. Les hommages rendues à Akira(la porte d’un laboratoire secret !) et Matrix (le look et la tête d’un personnage secondaire !) sont de bon aloi et ne viennent pas polluer l’ensemble.
    Le tout est rondement mener dans un rythme soutenue et jamais ont ne s’y ennui.
    Les dialogues sont percutants, l’histoire suit son bonhomme de chemin avec efficacité et sans caricature ni plagiat. Le graphisme ne s’acharne pas à faire un effet de style, au contraire il se déploie tranquillement prenant son temps pour trouver son équilibre avant d’atteindre son apogée dans les instants d’action. A ce titre l’accident du bus tire agréablement son épingle du jeu en dépit du risque « speed » qui l’attendait au tournant. Les personnages ne sont pas figés dans les carcans du genre, le héros ne « pleurniche » pas des heures durant, l’héroïne ne reste trois heures sans rien comprendre n’y entreprendre. Le père par contre lasse assez rapidement avec ses gimmick sur Bouddha, ceux-ci lui donnent un aspect side-kicks des plus déplaisants et inapproprié. On sens aussi très bien la volonté des auteurs d’user de « méchants » type de façon mécanique pour préserver l’identité du véritable meneur, ménageant ainsi le suspens pour la suite.
    Seul problème à mon goût, les auteurs ont fait du bon boulot sur un mauvais sujet ; du moins sur le premier tome de cette série. Si il est évident qu’un premier volume ne peut se permettre un décalage trop important avec l’attente des lecteurs et doit respecter au minimum un « cahier des charges » ; c’est limite si ici il n’est pas suivit à la lettre. Le thème de l’adolescent qui découvre la vie en même temps que des « pouvoirs », perd sa famille et doit furt est déjà plus que vu et revu ; et rien ne vient renouveler le genre. On ne peut pas dire que c’est mal fait, mais on attend seulement le rebondissement final d’un air blasé et entendu. Ce qui est bien dommage quand on voit la somme de talent en jeu. Le tout se laisse suivre sans grand intérêt, ni passion ne donnant pas vraiment envie d’en savoir plus. Malgré de nombreux points positifs cet album n’augure pas pour moi une « bonne » série ; une série efficace dans son genre, sans faille mais sans prouesse non plus ; qui se suit avec un certain plaisir mais s’oublie très vite.


  5. Résumé: 2021, le capitalisme forcené continue de faire des ravage. L’onu est devenu l’onuc (« c » pour corporation). Est désormais tout à chacun peut devenir le héros télévisuel et populaire d’un jour en allant combattre aux côtés de mercenaires pour une cause humanitaire. C’est le destin que choisit Peter Suttgrave pour 1 millions de dollars et contre l’avis de sa femme. Mais forcément les complots veillent…

    Avis: « Haletant » ce terme à mui seul pourrais résumer ce One-shot d’anticipation. Soleil renouvelle son panel d’histoire en un seul album avec ces « Mondes futures » qui s’ils sont tous à l’image de cet album risquent de faire mal à la concurrence. Et pour cause Live War Heroes est un récit qui ne fait pas dans la dentelle, qui vise et frappe là où ça fait mal, télévision, armée, manipulation, guérilla tout y passe. Dans un univers gangréné par l’argent l’attentisme n’est plus de mise et seule l’action peut-être un recourt possible. L’auteur ne laisse pas le temps au lecteur de se caler dans son fauteuil, il faut prendre le train en marche sous peine de ne plus rien comprendre. Et c’est ce manque de douceur qui fait mouche, à force d’être pris par la main le lecteur se doute de la suite et en même temps qu’il s’empreigne d’un univers il s’en laisse aussitôt. Ici aucun temps mort, les meurtres succèdent aux complots et aux trahisons les plus fourbes. Ce n’est qu’après coup que l’on se rend compte de la force d’impact de ce scénar, se basant sur des faits contemporains (La guerre économique camouflée en Irak, la montée en puissance de la télévision, l’appât du gain, remise en cause de l’ONU…) et sur leur possibles conséquences son propos ne peut-être qu’éloquent et juste. Seul regret, j’ai trouvé pour ma part que l’on échappé pas à un côté caricatural des choses, on sait où sont les bons et les méchants ; les manipulés et ceux qui tiennent les ficelles. Bien évidement il faudrait plusieurs albums pour mener à bien des personnalités plus complexes, mais il n’empêche que certain manichéisme est parfois de trop. Mais ce n’est là qu’une « critique » pour la forme.
    Et la forme parlons en, tout comme les dialogues les dessins fusent et éclatent en tout sens. On sent bien sur les cadres très cinématographique et l’envie de rendre grandioses certaines scènes, notamment en changeant de couleur ou de cadrage (ce qui aide le récit !). Mais ce qui touche c’est la maîtrise des traits et de la mise en scène, la lumière est parfaitement gérée ainsi que les « tons » différents rendant chacun une atmosphère différente et foutrement bien sentie ! On en tombe jamais dans le bête gun fight sans saveur il y a à chaque fois une « préparation » un climax qui vient pimenté et transcender le tout à notre grand plaisir.(CF :l’image du masque de samouraï sans yeux qui ouvre un chapitre…une très bonne idée !).
    Seul « défaut » à mon goût les personnages féminin ne sont pas très bien mis en valeur par le dessin, je trouve qu’elles ont une personnalité et un caractère…mais je ne les trouve pas « jolies ».
    En bref il s’agit d’une BD pour amateur de récit court qui ont des tripes et un cerveau. C’est loin d’être « parfait » mais c’est plus qu’efficace dans son genre. Petit bémol l’utilisation de flash-back n’est peut-être pas évidente pour les lecteurs néophytes.
  6. Euh...chère Mesoke c'était pour de rire la version subjective tout ça tout ça et pour dire qu'au contraire c'était mal fait et trèèèèèèèèèès lourd!!

    Ensuite sur les erreurs de montage...il y en a partout et tou le temps...mais effectivement sur les trucs nul c encore plus drôle...

    Sur ce see you,
    Monfreid...
  7. qui parle d'erreur il s'agit juste de vision subjectives déformées...de Kovack lors du moment présent..ce qui compte c'est le drame...non?

    Bon!

    N'empêche n'est pas lYnchqui veux!!

    Mais pour la première fois depuis 2 ans j'ai "envie" de voir la suite...si si

    see you,
    Monfreid...
  8. Le "on" est effectivement "général"...

    Mais ce qui m'afflige c'est que si on aime un sujet on s'y interresse, on s'interroge (enfin j'espère tongue.gif) et on finit par le connaitre...forcément...or on oublie que la masse des consommateurs sans moque de plus en plus et ne vie plus que par amalgame et coup de foudre!

    Une preuve la tout de suite au hasard...amelie poulain...j'ai vu ce film lors de la première bien avant son succés et tout le monde la vue comme un film joyeux...or si on n'y regarde de plus prêt ce film n'est pas un hymne à la joie de vivre! Les gens ne l'ont perçu que comme une sacralisation de leur "petit" tics ou défaut de façon sympa et reveuse...mais en fait ce sont les medias qui ont oculté le fait qu'hormis nos improbables héros les peros "normaux" finissant mal ou ne finissent pas!!!
    Attention j'aime ce film! Mais pas pour les niaiseries qui l'ont fait vendre!

    Enfin tout ça pour dire, que le "on" que l'on execre; que l'on hait!
    Celui là même qui fait que les propos niais, creux rendent insupportable la personne à qui l'on cause! Fait plus qu'exister, il dirige nos vies! Et ça tout les jours!
    C'est comme les gens qui disent "je vais au boulot et au boulot je met un masque c'est pas vraiment moi!" et bien le c'est pas vraiment sur nos à peu près 16 heures de vieille ça en prend la moitié!!!!

    Bon encore une fois contrairement à ce que laissent croire les compliments de Brodieman je m'égare tongue.gif

    Je cherche justa à dire, qu'il ya une barrière entre l'asie et nous...une barrière culturelle dont on ne peut qu'effleurer l'epaisseur...et que l'un de seuls outils (au sens d'organon) qui peut nous aider c'est l'humilité! (la tolérance c'est sympa mais bon c'est gentillet tongue.gif ).
    Or le "on" qui fait notre économie, qui nous "casifie" en même temps qu'il nous anonymise est TOUT sauf de l'humilité!!!

    voiliv oilou,
    Bien à vous,
    Monfreid...(qui se dit qu'il faut arreter de sniffer les orchidées laugh.gif )
  9. Ouaip d'accord rusé et cynique...seul souci à mon gout...il faut le deviné...si on est un lecteur un peu "bateau" ou qu'on ne connait pas bien Batman...(spoiler le retour)...on le prend quand même pour un chienchien à sa mèmère sur le coup!

    En fait je me doutais de cette "fin" mais franchement elle manque de dramaturgie, de mise en scéne, de niaque, de c...lle au c.l, de tripes pour vraiment vouloir dire quelque chose d'autres qu'un rebondissement de série B!
    Je continue de penser que c'est une bonne idée de départ mal exploité et surtout mal mise en scène!
    Eastwood ou carpenter font des chef d'oeuvre avec deux fois moins d'idées! et je parle pas de stan lee!

    M'enfin je m'emporte je le rappel laugh.gif
    see you,
    Monfreid...
  10. Ouaip!

    Mais bof!

    Pour moi aussi la couv' fut alléchante, j'adore Batman et wonderbra...euh...l'amazone ne me dérange pas...
    Mais bon là franchement c'est pô terrible!
    Déjà le dessin est assez quelconque, c'est beau y'a pas à dire mais là ou rising star ou authority ont de la gueule ici je trouve ça moue et déjà vue!
    M'enfin c'est surtout l'histoire qui passe pas...parce que qu'effectivement le thème est sympa, le problème c'est sont traitement c'est linéaire de chez linéaire, malgré des flash back, c'est plat ça s'enchaine comme dans une série B ricaine; avec facilité et nonchallence; ce qui fait qu'on se fout de ce qui se passe!
    Le pire pour moi reste quand même (!!!!!!!!!!!!!!SPOILER!!!!!!!!!!!!!!!!!)
    quand Batman fait aussi son allégence alors là franchement si renouvellé un perso c'est cassé le mythe c'est bien trouvé! Parce que sinon ce n'est pas crédible une seule seconde!

    Alors bien sur j'en fait des tonnes; mais comprenez moi; pour moi la critique d'Oki est mieux que la BD! Du coup il faut que je rame pour donner un avis inverse, qui soit vraiment dur avec cet album!
    Il ne m'a tant déplu que ça; mais je ne le trouve pas à la hauteur de ses ambitions...la rencontre de ces deux supers héros aurait pu être bien mieux traités...comem quoi 1 bonne idée ne fait pas forcément 1 bonne BD à elle toute seule!

    Sur ce amusez vous bien les n'enfants tongue.gif
    Monfreid...
  11. Où trouves tu que l'admiration des Hommes bons et des Femmes soit une bêtise :?: :roll:

    Tout juste puis-je m'étonner que nul avant moi n'ais remarqué à quel point le sieur Shaa distillé au fil de ses posts et de ses traits d'humour une personnalité d'où la complexité occidentale inutile essaye de fuir devant tant de recul; et surtout combien une jeune femme qui use de l'avatar(quel mot sordide quand on y pense) de Laureline et ne sort pas ses griffes à chaque remarque ne peut-être qu'à placer au-dessus du lot infame de "gens" que nous propose chaque jour l'humanité dans ses actions les plus variées.


    Sinon pour reprendre un sujet de conversation plus trivial (forcément je causais de LA femme alors tout parait , reste trivial :wink: ) il est vraiq eu ce raccourci Manga/art martiaux semble résulter d'un amalgame de mode qui consiste à avaler sans connaitre tout ce qui est issue de l'asie sans se dire qu'à la fois les producteur asiatique et les distributeurs ont très bien compris la demande des consommateurs occidentaux.
    Jose dans un autre Topic nous parle des combats à "la bruce lee" dans Asterix 2...or il fait une erreur assez "grave" mais bon onne lui en veux pas...par contre si concernant un jeux d'acteurs français il avait dit Gabin au lieu de Guillaume Canet tout le monde l'aurait remarquer car nous connaissons nos icônes (la je parle plus des femmes laugh.gif ).
    Ainsi malgré l'enthousiasme asiatique du molent (taxi, les films d'arts martiaux, les combats en l'air, le "zen"...tout ça tout ça) on ne parle pas du revenouveau "tsui hark" fin 70, et des effets spéciaux de la symbolique différente à laquelle renvoit les combats en l'air, l'humour potache qui couvre les mal-être ou malaise sociaux; la force comique mais aussi sociale du ridicule (chez nous c souvent drôle et c tout!), le sens des couleurs utilisés...enfin des tas de trucs qui sonnent différents chez "eux"!
    Mais dont le folklore peut-être exporté, y'a qu'a voir Jet li qui d'athlete impressionant et passé au statut de star à effets spéciaux...ou jacky chan qui se souvient qu'il faisait des films "sérieuxé à ses débuts et qu'il est vraiement fort au combat???

    Je pense donc qu'au-delà du sens de lecture, les mangas n'ont pas le même impact culturel chez nous que chez eux! Bien entendu comme tout bons consommateurs nous percevons les choses qu'au niveau des consequences...on voit que les chiffres de ventes sont énormes partout dans le monde (j'exagere) donc la consommation est énorme, donc c'est un phénomène de "masse" donc tout le monde ressent les mêmes choses!
    Et bien je me dit quand lisant le "cheminot" un Japonais doit pleurer différement que nous...et que c ça qui importe!
    Alors réduire les mangas à des combats de mec super fort en manque de testosterone et obsedés de petites culottes c'est aussi ringard que de réduire les arts martiaux à Van damme ou Jet li (2 période!).

    Y'a qu'a voir la place que prennent les explosions, elles sont souvent en champignon (atomique); des remises en questions des persos, de la quête de l'identité!
    Par exemple j'aime le cinéma mais quand dans "les nuits fauves" cyril machin nous balance "je suis qui? Je suis moi" ça sonne creux nul quête à deux balles, pauv' doudou en mal de vivre...tout ça tout ça...alors que dans "evangelion" la même phrase renvoit au vide des liens sociaux et des repères culturels!

    Bon ben voilà...comme quoi Shaa le Tao t'es bien partie pour biggrin.gif
    Et Mesoke t'es pas du genre à mettre de l'eau dans le vin et ça c grandiose (cf: Desproges).

    En tout les cas,
    Bises à tous,
    Monfreid...
  12. Shaa je t'aime :oops: laugh.gif :roll: 8) laugh.gif 8)

    Mesoke fait pas ta jalouse non plus laugh.gif

    Mais problème je deviens en dehors du topic et l'Oki Veille que faire????

    et bien:
    Il n'empêche que je me demande si nous sommes de "bons" lecteurs de Manga???
    Quelqu'un sait-il l'impact sur les jeunes Japonais ou asiatique, l'âge des lecteurs, si les ventes augmentent encore...ce genre de chose!
    Ou s'il s'agissait d'une mode!

    parce que comme nous résumons les arts martiaux à van damme et autres exhibitions en occident peut-être la pensée populaire résule t'elle aussi les Mangas???

    Et hop en impro totale le Monfreid nargue le Modo...niark niark niark ma vilenie me stupéfait moi même :evil:

    see you,
    Monfreid...
  13. Je me suis fait une fois le marathon des "il était une fois" (malheureusement je n'ais trouvé la version logue d'il était une fois en amérique qu'en Vhs...pour ceux qui croient que la version longue est celle diffusé à la TV ou qui vient de sortir en DVD sachez qu'il existe une version remontée par Coppola d'après les notes de Leone et qu'elle dure non pas 3h40 et quelques mais bien 4h20!!!!!)

    Donc je disais avant d'être interrompue par moi même :wink:
    Que ce marthon là ne me fait pas peur...et si je bosse et que je ne peux aller au ciné l'après midi, je me le ferais chez moi quand le 3 sortira en version lo,gue!

    Bien à vous,
    Monfreid...(qui attend le 18 Novembre là!)
  14. Je tiens à rajouter aux bonnes paroles de Shaa, un truc qui me tiens à coeur!
    Que Dragon ball face rêver quand nous sommes petits...quoi de plus normal :?:

    Mais plus tard confondre les arts martiaux et les mangas dans un même moule...c'est enfin de compte penser en terme cinématographique et de réussite occidentale!
    Car là une les mangas usent de cette forme pourmasquer la vérité: les gens ne voient que la possibilité d'améliorer leur capacité et ainsi réaliser leur phantasme!
    Et donc en "gros" vivre dans l'erreur!(je schématise)
    Tandis que les arts martiaus sans être une "talking cure" mène à la vérité et à l'effacement de l'ego!


    sur ce ,
    Bien à vous,
    Monfreid...(qui cherche un club d'art martiaux sans compétition et à l'esprit "humble" sur Reims :?: :? :shock: :?: )
  15. En fait je ne prend pas en photo ma biblio tongue.gif
    Et je me contrefou de la taille, de l'epaisseur ou autres!
    Je me fout aussi des différences entre collections ou maison d'éditions!

    La forme à laquelle renvoit mon propos est peut-être celle de l'enfant contrarié, frustré qu'on lui change ses jouets et qui veut que le monde reste tel quel...m'enfin je suis pô sur!
    Quand au changement de couverture, pour cause de changement de mentalité...pour moi ça passe dans le marketing...si si!

    Reste que le fond de mon histoire, car l'air de rien y'en a un tongue.gif c'est que pour moi La couv' fait partie intégrante de la BD et limite que vous le vouliez ou non, que cela vous touche ou non que l'éditeur la change...c déjà la BD :!: , d'une manière beaucoup plus forte que pour n'importe quel livre(exepté les livres de voyages ou pour enfants!).

    L'autre fond,c'est qu'à partir de certains comportement je m'en foutisme sur la consommation on continue à ne pas râler et à laisser faire...alors désolé si je râle(et m'active tongue.gif ) il ne s'agit pas d'une crise d'adolescence ou post-punk; mais en moyen de rester eveiller :!:

    ceci-dit je comprend que l'on s'en foute totalement, puisqu'aparement à part quelqu'uns tout le monde s'en fout...moi dans l'absolue des choses aussi je m'en fout!!
    Et puis vous avez raison ce doit être la bonne logique, on à cas changer les couv' en fonction des modes, pis les titres, les couleurs(t'as raison pour l'ical Shaa :wink: pour ceux qui blaguent lisez du blueberry en noir et blanc...ça change l'univers!!), la mise en page, l'histoire, le nom des auteurs et tiens les mettre à l'étale dans une boucherie...comment ça j'exagère pas dut out...mais non je suis pas de mauvaise foi laugh.gif

    Bien à vous les doudous,
    Monfreid...
    PS:Oki: petit malin ce soir ce sera deux ave et trois paters...puisque les changemenrs de couv' ne correspondent pas à des rééditions laugh.gif
  16. Meuh non Vidocq est un chef d'oeuvre méconnue c tout...wouarf wouarf wouarf laugh.gif
    Mon dieu dire que j'ai payé pour ça...m'enfin avec ça et batman 5 c les seules fois ou je me suis fait engeuler dans une salle parce que je rigolais!
    Faut dire cétait vraiment nul!!!!!!!!!

    Sinon oui il fait des beaux effet spéciaux...mais question montage je crois que comme kounen faut arreter les amph'

    M'enfin merci à lui pour de beau éclats de rire(surtout que dans Mad movies il disait avoir marre des combats à la matrix irrealistes trop asiatique et que son credo c'était le realisme de la savate française...le combat dans son film est donc réaliste est filmé comme tel...je tant prie pitof fait nous rien que pour rire un combat irrealiste laugh.gif )
    Je sais je suis méchant! Mais contrairement aux critiques je ne suis pas payé pour le faire laugh.gif

    Mais y 'a pire!

    see you,
    Monfreid...
  17. Ouaip!
    Je suis bien d'accord mail il n'empêche que ça me fait chier de ne pouvoir rien faire!
    On envoie des mails ils sont courtois et encore une fois je ne met pasen cause la qualitée des oeuvres...mais je me dit que pour eux la couverture n'est que la vitrine de la BD qu'un moyen fort utile de faire du marchandising (1 de plus vous me direz!!!) alors que pour moi cela fait déjà partie de la BD!

    Comme quoi des fois à force de tout faire pour faire acheter le client sur tout les plans en satisfaisant tous ses sédirs on finis par ne plus être à son écoute lorsqu'il s'agit de petits détails(qui font le bonheur fugace certe mais quand même).

    Ceci je suis encore plus d'accord avec quand il s'agit des titres!!!
    Grr :evil:
    see you,
    Monfreid...
  18. Ben moi aussi j'adore Valérian biggrin.gif
    Et pas que pour Laureline :wink:

    J'adore surtout Christin j'ai rien contre mézières au contraire...mais les scénars sont fabuleux(sauf le dernier un peu trop "compil'" non?).

    Et oui je possède ces hors-séries...à part celui avec les travaux pour le cinqième élément(ou comment je recycle une idée d'ado boutonneux qui se prend pour un génie et qui prend sa niaiserie pour de la poésie!!!!)...et pour répondre à ta question(je fais durer le supens là laugh.gif )

    Pour moi ils valent le coup!
    Alors bien sur il ne faut pas s'attendre à trop de choses; mais je trouve que contrairement à pas mal d'objets de ce genre que j'ai pu voir...celui-ci à été fait avec un plaisir évident!
    Ce qui fait qu'en les lisant non seuleument on retrouve l'univers Valérian; mais aussi la joie des auteurs...ce qui est bien!
    Bref je n'ais pas regrette ces achats un instants(et je ne suis pas un collectionneur fou!)

    Vers l'infini et au-delà,
    Monfreid...
  19. Bonjour les doudous,

    Bon je ne vais pas taper sur la tête de toutes les maisons de BDs :roll: tongue.gif
    Mais voilà si j'ouvre ce poste c'est parce que j'en ais marre de me faire une raison!
    Je vous la fait courte(pfff):
    Je trouve qu'un sujet énerve tout le monde mais que tout le monde passe dessus avec fatalisme en haussant les épaules et j'aimerais trouvé un moyen d'y remédier!
    Il s'agit des changements de tranhces ou de Couverture!
    Je comprend qu'il faille vendre...mais quand un éditeur de livres autres que la BD se lance dans une édition il l'a poursuit surtout quand il s'agit de beaux livres; or les BDs sont de beaux livres et j'ai un peu l'impression qu'on se fout de moi:
    dernièrement:
    Le tueur
    Blame
    Sambre
    L'habitant de l'infini
    et je dois en passer!!

    Bien sur ce n'est pas la fin du monde...et limite même pour la cohésion de ma bédéthèque de peux m'en foutre...mais c'est une questiond e principe...y'en à marre(merci Férré!). :evil: :evil: :evil:

    Voilà ça y est c fait j'ai pousé mon coup de gueule ça fait pas du bien mais c'est bon quand même :roll:

    et vous, vous en pensez quoi???
    see you,
    Monfreid...
  20. Je ramarque surtout que marvel et panini (distributeur) se foutent un peu de la gueule du monde...
    Non pas que je crache dans la soupe...merci pour leur rééditions tout ça tout ça...vraiment je leur en suis reconnaissant...
    Mais qu'ils m'expliquent pourquoi les Fnac sont mieux servies que les petits distributeurs??? (en général!) et pourquoi avec les ventes qu'ils font ils ne prévoient pas plus d'exemplaires???
    Ce qui fait que l'on trouve le tome 1967 alors que celui de 1966 est épuisé...moi je dit bien joué les gars!
    Encore cela serait le premier et le deuxième volume mais au bout de 5-6 on prend ses précautions!
    Je râle surtout contre panini qui fait pareil en Manga...
    ...je ne dénigre pasl'oeuvre( pô fou non plus) ni l'édition qui est sympa et respectueuse...mais en tant que consommateur qui essaye d'être averti je trouve que la distribution c fout de la gueule du monde :evil:

    Sinon VIVE LES VIEUX TISSEURS!!!!!!
    Bien à vous,
    Monfreid...
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