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Soundjata

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  1. Résumé : 10 Histoires complètes ! Dans le premier volume (sorti il y a tout juste un an, ndr), le dessinateur Don Rosa nous a raconté la Jeunesse de Picosou depuis ses 10 ans, en 1877. Jusqu'en 1947, date de la création du personnage par Carl Barks. Dans ce nouveau volume, Don Rosa complète sa saga avec des histoires qui s'intercalent entre les épisodes du premier volume, tout en jettant un éclairage nouveau sur certaines époques. Ainsi, nous en apprenons beaucoup plus sur els relations entre Picsou et Glittering Goldie, l'outrageuse fiancée du Grand Nord... Sommaire : 1 - Episode 0 Canards, Centimes et Destinée ! 2 - Episode 3 bis Le Cow-boy Capitaine du Cutty Sark 3 - Episode 6 bis Le Protecteur de Pizen Bluff 4 - Episode 8 bis Les Deux Coeurs du Yukon 5 - Histoire Bonus Le Rêve d'une Vie 6 - Episode 8 ter Dernier Raid pour Dawson 7 - Episode 10 bis La Harpie de la Percée de Culebra 8 - Histoire Bonus Les Rapetou Contre le Coffre-Fort 9 - Histoire Bonus Donald et la Fracture Temporelle 10 - histoire Bonus Le Sou du Souvenir Soundjata
  2. Du nouveau : QUOTE(Djehouty Le 16-06-2005)cher (e)s lecteurs et lectrices, je vous remercie pour l’attention que vous portez à cette modeste bande dessinée. Je vous informe qu’il y aura bien une suite à ce tome. Nous avons besoin que vous souteniez notre travail en achetant nos albums, et informer de l’existence d’un tel travail autour de vous. L’histoire Africaine est la plus longue de l’humanité, aussi le travail est enorme et notre souhait serait que d’autres artistes kamit(Noirs) se mettent à l’oeuvre. MERCI A TOUS ET A TOUTES http://www.menaibuc.com/article.php3?id_article=66 Soundjata
  3. QUOTE([url=http://www.dvdanime.net/index.php)Gersende[/url]]Infos - Petite news propagandiste Gersende - Dimanche 05     Une fois n'est pas coutume, un peu de lecture pour le week-end. L'Harmattan vient d'éditer depuis le 1er juin dans la collection Champs Visuels un ouvrage intitulé Animation et Propagande : les dessins animés pendant la Seconde Guerre mondiale, signé Sébastien Roffat. Pinocchio, Bugs Bunny, le premier long métrage d'animation en Chine, en Italie, au Japon... Le point commun ? La période. Tous ces films ont été tournés durant la Seconde Guerre mondiale. Par quel tour de force les gouvernements ont-ils orchestré la mise en œuvre de la propagande par le dessin animé ? 60 ans après, que pouvons-nous dire du millier de dessins animés produits durant cette période ? Plongée dans les coulisses de cette production de guerre méconnue... Plus d'informations sur le site www.cellulo.net. Dans les dessins animés, il n'y a pas que des gentilles souris et des écureuils qui chantent. Dans les années 40, adultes et enfants, assis dans leurs fauteuils, subissaient la propagande de leur régime. Sébastien Roffat, Animation et Propagande : les dessins animés pendant la Seconde Guerre mondiale, Paris, Editions L'Harmattan, 2005, 330 pages ISBN 2-7475-8567-0 27,50€ Pinocchio, Bugs Bunny, le premier long métrage d’animation en Chine, en Italie, au Japon, les courts métrages couleurs… Le point commun à tout cela ? La période. Tous ces films ont été tournés durant la Seconde Guerre mondiale. Les combats font rage partout à la surface du globe, quatre-vingt douze millions de personnes sont mobilisées. Par quel tour de force, les gouvernements en guerre ont-ils orchestré la mise en œuvre de la propagande par le dessin animé ? Soixante ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, que pouvons-nous dire du millier de dessins animés produits durant cette période ? Que nous apprennent ces bandes d’animation sur la vie de réalisateurs de dessins animés des années quarante ? Pourquoi ce regain d’intérêt pour le dessin animé à la fin des années trente ? Quels intérêts les régimes totalitaires ou démocratiques ont-ils eu à soutenir une forme de cinéma aussi coûteuse ? Plongée dans les coulisses de cette production de guerre méconnue de l’agression japonaise en Mandchourie en 1931 à l’immédiat après-guerre. Découvrez quelques extraits en avant-première... TABLE DES MATIÈRES Remerciements Introduction Partie Un : L’AxeTokyo-Rome-Berlin • Le dessin animé japonais • Le dessin animé italien • L’animation européenne à l’heure allemande • • En Allemagne • • En Belgique • • Au Danemark • • En Norvège • • Aux Pays-Bas • • En Tchécoslovaquie • • Conclusion Dossier : Animation, Propagande et Pays Neutres Partie Deux : La France, un cas à part ? Années trente et drôle de guerre • La nouvelle organisation de l’industrie cinématographique • L’organisation de la production de dessins animés • La confrontation de deux formules de dessins animés • La recherche d’une esthétique nouvelle • Dessin animé et antisémitisme • Epilogue : l’heure des comptes Dossier : Animation, Propagande et Musique Partie Trois : Les forces alliées • L’agression japonaise en Chine • L’animation soviétique • La machine de guerre américaine • • Années trente : années noires pour les cartoons ? • • Remember Pearl Harbor : l’Amérique en guerre • • Le studio Warner Bros. • • Metro-Goldwyn-Mayer • • Les studios Walt Disney • • Propagande, racisme et cartoons • • Propagande, armée et cartoons • • Propagande, censure et cartoons • • Le renouvellement de l’United Production of America • • La propagande à l’épreuve du quotidien en Grande-Bretagne • • L’Office National du Film du Canada Dossier : Animation, Propagande et Animaux Conclusion Sources Bibliographie Index Soundjata
  4. BD de Mayval, graphiste Camerounais. Le jour: samedi 28 Mai 2005 > Le lieu: La librairie Les Alizés 74 rue du Cardinal > Lemoine, Paris 5e, Métro Cardinal Lemoine > L'heure: à partir de 17h30 pour les enfants > (animations spéciale prévue pour eux) > 18h30 pour les dédicaces J'ai eu l'occasion de rencontrer Mayval au salon du livre africain qui s'est déroulé à l'UNESCO le samedi 30 avril dernier. Fin connaisseur du monde de la BD, notemment occidentale et japonaise. L'occasion aussi de discuter de la situation de la BD africaine et de l'impérieuse nécessité d'en constituer une véritable Bulle Africaine. Aujourd'hui, j'en profite pour vous annoncer la sortie officielle de son ouvrage fabuliste. LES AVENTURES DE LEUK, LE LIÈVRE Les arbres magiques et autres histoires Mayal Jeunesse l'Harmattan (voir fiche) BANDE DESSINÉE Résumé : "Cela se passait à une époque où les animaux vivaient dans des villages comme des hommes. Comme les hommes, ils parlaient, ainsi que dans la nature. Leuk le lièvre, Kulu la tortue, Bouki l'hyène, Koé le singe, vous feront partager leurs aventures cocasses et pleines de fantaisies." Illustré en noir et blanc ISBN : 2-7475-7241-2 • mars 2005 • 56 pages Prix éditeur : 9 € / 59 FF Soundjata
  5. Soundjata - La bataille de Kirina Dessinateur : Djehouty Éditeur : Editions Menaibuc Nombre de pages : 44 pages Format : 22 cm x 28 cm Illustration : Illustrations couleur ISBN : 2911372484 Prix : 16€06 (liste points de vente) Préface : Plus connu sous le nom de Soundjata Keïta, Mari Djata Konaté est le premier empereur du Mandé. Un grand empire qui s’étendait de l’ouest du Sénégal au centre du Burkina Faso, du nord de la Mauritanie au nord de la Côte-d’Ivoire, du Libéria et de la Sierra Léone. Pour réaliser cet exploit, Soundjata a d’abord affronté le légendaire Soumaoro Kanté qui avait annexé toutes les provinces du Mandé plusieurs années durant. La première grande bataille qui a opposé les deux héros eut lieu à Kirina, une immense plaine située au cœur du Mandé. C’est cette bataille mémorable, annonciatrice de la défaite de l’empereur sosso qui a inspiré à Djehouty le titre de son oeuvre. Mais l’auteur ne se contente pas de décrire les combats avec force détails et avec un talent admirable. Il poursuit le récit jusqu’à la fuite de Soumaoro et sa disparition dans les grottes de Koulikoro. Et puisque Soundjata n’a pas libéré seul le Mandé, car il a du compter avec d’autres grands chefs de guerre, Djehouty réinstalle à leur véritable place de héros, ces compagnons d’armes dont les plus célèbres sont Tiramaghan Traoré et Fakoli Doumbia. En choisissant la Bande Dessinée pour écrire son récit, Djehouty apporte, à son tour, une contribution significative dans la vulgarisation de l’enseignement de l’histoire africaine. En effet, en cette époque où la culture de l’image tend à marginaliser la culture du livre, la BD, qui est une symbiose réussie de deux formes d’expression, est assurément une réponse intéressante aux craintes de l’étouffement du goût de la lecture. Les images magnifiques aux couleurs chatoyantes de ce livre, soutenues par des dialogues intelligents, feront, à n’en pas douter, le plaisir des jeunes et des moins jeunes lecteurs. A l’avant-garde du combat pour la renaissance africaine, les Éditions Menaibuc posent une nouvelle pièce dans l’édification de la conscience historique de la jeunesse africaine et du Monde Noir, en créant une collection de BD dans un catalogue déjà riche. Doumbi Fakoly Critique : Que rajouter de plus à cette magnifique préface. Car outre l'originalité du sujet, nous avons affaire à un futur grand de la BD. Mais plutôt que de vous vanter les mérites du dessin, je vous laisse en juger par vous-même via ces magnifiques planches extraites de l’œuvre. Le récit est clair tout en étant profond, dense mais sans fioriture, simple sans pour autant être simpliste, moraliste sans pour autant verser dans la démagogie. Cette BD exalte les vertus du courage, de l'abnégation, de la sagesse d'hommes qui prennent sur eux de défendre leur honneur, leur territoire, leur peuple des menaces qui pèsent sur ce dernier; de combattants obligés de faire la guerre, mal nécessaire pour mettre un terme à la bêtise humaine dans tout ce qu'elle peut produire de pire et de plus barbare en ce bas monde. Seul bémol, elle est beaucoup trop courte ou plus exactement, elle laisse un goût de pas assez. Avec "Soundjata, la bataille de Kirina", l'auteur pose une pierre importante dans l'édification d'une BD africaine désireuse de faire connaître au monde les richesses de cultures, d'histoires d'un continent trop longtemps négliger. Ainsi, en s'attaquant à un pan méconnu de notre Histoire, en l'occurrence l'histoire des grands empereurs africains dont la légende est encore entretenue à travers les griots et conteurs, gardiens de cette histoire, cette oeuvre s'impose d'emblée comme une référence qui, je l'espère inspirera bien d'autres auteurs qui auront à cœur d'élaguer un immense terrain vierge qui ne demande qu'à être défriché. Interview de Biyong Djehouty accordé au magazine Cité Black : "Il dessine bien et pourtant, il est autodidacte en matière d'art plastique et de bande dessinée. Biyong Djehouty, auteur de la bd "Soundjata-La bataille de Kirina" ed. Menaibuc est passionné par le dessin. Fondamentalement attaché à la notion de liberté, surtout lors qu'il s'agit de l'Afrique, le jeune auteur travaille pour être utile. C'est en tout cas ce que nous a expliqué ce panafricaniste. Rencontre L'auteur au Salon du livre [i][b]Pourquoi la bande dessinée ? J'ai choisi la bande dessinée parce qu'elle est accessible à tout le monde. C'est un très bon moyen pour faire connaître l'histoire de l'Afrique au monde entier mais d'abords aux Africains eux-mêmes. Bien sûr, je suis intéressé par le cinéma mais, vu les moyens de cinéastes africains, ils ne peuvent pas faire des films d'envergure. Or, avec la bande dessinée, on peut faire des choses de très bonne qualité qui peuvent rivaliser avec les grands films qu'on voit aussi bien à la télévision qu'au cinéma. [i][b]Et par rapport à cet album ? J'ai très tôt été sensible à l'image, je pense que c'est le moyen d'expression qui me convient le plus. Peut-être parce que j'ai commencé à apprendre la lecture par la bd. Chez nous, parfois ce n'est pas très bien vu, donc on est obligé de se cacher pour lire. Aujourd'hui, c'est un moyen pour moi de rendre hommage à cet art, de donner le goût de la lecture à la jeunesse et de l'inciter à s'intéresser à l'histoire de l'Afrique. La bd est aussi bien pour les adultes que pour la jeunesse qu'on peut ainsi préparer à aborder les livres des spécialistes. [i][b]Est-ce votre première publication ? C'est la première bd éditée en volume. La tout première est sur Chaka et elle était publiée dans le journal "l'Autre Afrique". On avait choisi la formule du feuilleton. J'espère que dans les prochains mois, ce sera aussi édité en album. [i][b]Comment travaillez-vous ? Je travaille à partir de documents aussi bien au niveau des textes que sur le plan iconographique. Pour le contenu de cette bd, je me suis basé sur l'ouvrage e Youssouf Tata Cissé et Wa Kamissoko ""Soundjata, la gloire du Mali" qui est en deux tomes. Je me suis surtout intéressé à la bataille de Kirina qui m'avait impressionné. Je découvrais à la fois les techniques et tactiques guerrières de l'époque, les costumes et l'esprit chevaleresque. Je me suis dit qu'il fallait faire connaître cette histoire. Au départ, je voulais travailler sur la reine Zinga mais je ne disposais pas de documents sur elle. Alors, j'ai fait cet album. Comme j'aime à le dire, c'est Soundjata qui m'a choisi. Il s'est imposé. J'ai aussi lu un recueil le"Djang-Djun chants populaires du Mali" de Massa Makan Diabaté. [i][b]Les tenues que vous avez dessinées pour vos personnages sont-elles authentiques ? Justement, cette question nous interpelle un peu sur le pouvoir de l'image. Surtout, sur la reconstitution en image du monde ancien. Comme nous autres Africains avons l'habitude de voir le monde ancien des autres, on ne se doute pas que nos ancêtres se sont habillés ainsi bien avant le reste de l'humanité. Aussi, c'est tout à fait normal qu'on puisse être surpris et avoir comme référence les tenues de Samouraï et de Viking. Mais ce sont des reconstitutions typiquement africaines. D'ailleurs, il y a un ouvrage d'illustrations "Les Grands empires africains" dont je me suis inspiré pour les costumes des guerriers de l'époque. Ils sont authentiques et ne relèvent pas de mon imagination. Les chevaliers africains de l'époque portaient déjà des armures. [i][b]Qu'avez-vous appris en faisant ce travail ? Par rapport à cet album, j'ai appris que les anciens ne faisaient pas la guerre par plaisir mais par devoir. Il y a un passage où Soundjata rappelle les paroles des anciens en disant qu'ils ont raison de penser que la guerre n'est pas bonne surtout celles entre consanguins. [i][b]Et pour la suite ? En pensant à la jeunesse, j'ai envie de faire partager notre histoire. J'aimerais que d'autres frères et sœurs qui dessinent, prennent le relais et m'aident à faire connaître notre histoire. J'ai beaucoup de projets en ce sens mais ce sont les moyens qui font défaut. En tout cas, et j'insiste, j'aimerais vraiment que nous puissions travailler ensemble pour faire connaître notre passé." Propos recueillis par Alain Diassé, extraits du Magazine Cité Black Paris n°31 paru le 3 mai 2004, p13 Pour en savoir plus : - Portrait de Soundjata Kéïta, le fondateur de l'empire du Mali par grioo.com : http://www.grioo.com/info805.html - Lien éditeur : http://www.menaibuc.com/article.php3?id_article=66 Soundjata Edit : la dernière ligne du sondage a refusé d'apparaître, toutes mes excuses.
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