Rand

C'est juste la manière dont je l'ai ressenti, mais peut etre que je me trompe. En tout cas cela donne une motivation de plus de lire le tome 2

Ca marche bien pour des questions simples, mais je suis un peu sceptique pour des questions demandant des réponses assez élaborées. Un dessin ne suffirait pas c'est une bd complète qu'il faudrait.

Se pourrait il que l'église nous raconte des bobards, non ? Pour en revenir au sujet, je trouve que le fantastique apparait bien avant la dernière page. En premier lieu par le dessin et les couleurs, puis par cette chute incontrôlable (un peu fantaisiste aussi) que subit le héros.

Oui mais il était un inexpérimenté.

Vu le boxon qu'elle a mis, il serait étonnant que Markus refuse de lui faire sa fête.

Au début je pensais qu'il avait bidouillé une fin pour faire un effet du genre "Il est réveillé ca va chi**" Mais je suis peut etre naif. Sinon c'est quoi la dernière phrase de selene ?

C'est peut etre moi qui délire mais c'est une sensation que j'ai ressenti en lisant l'album. Je suis d'accord que cela n'apparait pas dans les actions mais plus dans l'ambiance. En fait n'ayant lu que qq histoires de son album Sorcières, j'ai peut etre le regard faussé.

Ah cobra ! Apres avoir revu qq épisodes recemment, je me suis apperçu que c'était bourré de symbole sexuel. Voilà donc pourquoi je suis un dépravé

Je crois que c'est Mme Miller, coloriste de profession qui a travaillé sur 300 ou Darknight 2 (et surement d'autres choses)

Une réputation non usurpée donc Je crois que les couvertures sont de Frank Miller ?

Il faisait tout de meme parti du commando qui suivait selene dans le but de retrouver le jeune lycan. Un argument qui va dans ton sens c'est qu'il ne semble pas empoisonné par les balles high tech en argent.

Je ne sais pas si c'est l'ambiance qui se dégage de cet album mais j'ai l'impression qu'il y a un glissement vers le fantastique dans cette histoire.

Bon j'ai été voir le site et je dois dire que cela m'a donné envie de reprendre la lecture de cette série. Surtout qu'apparemment le meilleur vient après ce premier recueil.

Ca pourrait etre une bonne hypothèse mais il aurait bien été frappadingue pour se porter en première ligne dans une guerre lycan/vampires au lieu de rester tranquille dans son labo.

Effectivement.

CITATION(mesoke)yes, sauf que Markus est un descendant du "je sais plus comment il s'appele" d'origine, donc compatible vampire/lycan... comme le ptit jeune! Euh.. suis claire? Si j'ai bien compris l'histoire, seul les descendants humains de Corvinus ont gardé de manière latente la racine initiale de la transformation, pas les vampires ni les lycans.

J'ai une petite question à propos de film. Spoiler Dans le final on voit le réveil de Markus par l'absorbtion du sang du cadavre présent dans la pièce. Mais si j'ai bien compris ce cadavre est celui d'un loup garou dont le sang est plutot incompatible avec celui des vampires(d'après l'histoire du film). Comment markus peut il donc s'en nourrir ?

Je te suis sur Jordan et la roue du temps. Un autre aspect qui me plait, c'est que pendant de long passage il ne se passe rien (au niveau de l'intrigue) et Jordan ne fait que développer son univers en parlant de la vie quotidienne par exemple.

Puisque qu'on parle magazine, un article sur le film et un dossier Alan Moore dans Science fiction magazine.

Le lien ne marche pas pour moi.

J'ai acheté le premier recueil en VO et j'avoue que j'ai du mal à rentrer dedans, notamment à cause de mon niveau d'anglais je pense. Mais vu le bien que j'en entends, je pense que vais essayer de faire l'effort. A quand la VF

Donc les achats de la semaine : L'histoire de Siloé T2 : J'ai bien aimé le 1 et c'est une bonne série SF Le photographe: j'aime bien Guibert et là le mélange photo / dessin me semblait intéressant. Koma: Essentiellement pour découvrir Peeters. Makabi T2 : Pour découvrir la suite de l'histoire. Black Hole T5: Burns est un grand Par contre j'ai pas trouvé XXth century boys t9 :snif:

Un livre que je relis toujours avec plaisir c'est les "les trois mousquetaires" d'alexandre Dumas. Par son language truculent Dumas a fait de ce livre une véritable ode à l'aventure, à la vie et à l'amitié.

Le final est vraiment renversant

Titre : Human Target Scénariste : Peter Miligan Dessinateur : Edvin Biukovic Editeur : Semic (DC comics) résumé :Vous voulez tuer votre pire ennemi ? Vous avez besoin de l'espion ultime ? Vous cherchez le meilleur garde du corps du monde ? Christopher Chance est l'homme qu'il vous faut. Spécialiste du déguisement et de l'infiltration, Christopher Chance prend la place de ses clients et assume à leur place tous les risques qu'ils encourent. Un métier dangereux, certes, mais excitant et lucratif. Jusqu'à aujourd'hui. Christopher Chance accepte une dernière mission et se retrouve au milieu d'une guerre des gangs, tandis qu'un contrat juteux est lancé sur sa tête. Pour ce caméléon humain, c'est alors non seulement une course à la survie, mais aussi le début d'une quête schizophrène de sa propre identité, alors que tous les protagonistes se posent la seule question qui reste... Qui est donc Christopher Chance Ce comics fut pour moi la bonne surprise de cette rentrée, en effet obnubilé par la sortie de 100 bullets en VF je n’avais pas accordé une importance particulière à Human Target. J’en attaquais donc la lecture sans à priori et ne mis pas à longtemps à constater que ce titre méritait autant d’honneur que celui d’Azzarello et Risso. Suivre Christopher Chance dans ses missions ne se résume pas à assister à de somptueux gunfight mais aussi à se voir proposer une réflexion sur l’idée d’identité. Quand on exerce l’activité de Chance et qu’on a l’habitude de porter un masque que reste il de son propre ego ? Qui suis je ? est donc la question centrale de ce récit et le point commun qui relie l’ensemble des personnages. Un pasteur qui doute, un tueur à gages à la double vie, un chef de gang qui n’est pas loin de la rédemption,voilà le type de protagoniste présent dans Human target. Des personnages aux caractères fouillés donc, loin d’être caricaturaux que le trait fin et expressif de Biukovic rend vivants. Avec un découpage et des cadrages efficaces (ha ! les gunfight) la lecture de ce polar est haletante et on subit avec plaisir les différents rebondissements. Dès la fin du premier épisode et sa révélation on est scotchés et on a déjà compris que Human target est un must.