lapingue

CITATION(Snoopy)Vlad Zolkoff , j'ai eu du mal à trouver le nom de famille . Exact, j'aurais pensé qu'elle dure plus longtemps :? :wink: Rand : 5 Snoopy : 4 lapingue : 3 M_Spock : 2 cubik : 2 Oki : 2 goffer : 1 Phylactère : 1 Seretur : 1 Brodieman : 1 Raziel : 1 Shaa : 1 RR : 1 morkai : 1 Kelo: 1 Mesoke : 1 Esteban : 1 Ed : 1

Donnez moi le prénom et le nom de ce personnage qui doit retrouver son frère jumeau pour pouvoir toucher l'héritage de sa mère...

CITATION(Snoopy)je suis pas le seul à avoir lu le Souffle alors . Je l'ai jamais lu en entier faute de temps malheureusement... c'est cool je remonte au classement! 8) Ma question arrive! :wink:

CITATION(zeas)euh... Casimirette?  :?   Peut-être, qui sait?? :| Bon je crois qu'après zeas, toute proposition ne peut pas être ridicule :wink: , je tente Nabila???

CITATION(zeas)La femme de Casimir? c'est son nom que snoop veut :wink:

Un cinquième tome dans la lignée des précédents. Mais je commence a être vraiment lassé, j'ai l'impression de lire toujours la même chose : une petite trahison suivie d'une course poursuite, le tout pimenté d'une partie de jambe en l'air ou d'une leçon de séduction du scorpion. Ah tient, je vais introduire une nouveau personnage. Mais comme il n'y a que des méchants sur terre, il va trahir le scorpion et la boucle est bouclée, on recommence... Bref grosse déception :|

CITATION(Gil FORMOSA)Au fait Lapingue, dans quelle région habites-tu ? Bouches du Rhône 8) Je pense qu'il est possible de le trouver (bien que j'ai déjà parcouru une 10aine de librairies!). Mais il y en a certaines dans lesquelles (du fait de notre passé comment...) j'ai encore vraiment du mal à retourner et où je crois pouvoir le dénicher... Comment les éditeurs déterminent le nombre d'exemplaires d'un tirage?? Nom des auteurs, genre....??? En tout cas j'attends de trouver le tome 2 pour relire le tome 1 avec les explications de jm lofficier, mais j'ai vraiment accroché au tome1, et je suis très heureux de vous lire sur le forum! :wink:

Petite question pour Gil : Est-ce que vous avez votre mot à dire sur le tirage et la distribution de vos albums, parce que vers chez moi, Robur n'est pas vraiment évident à trouver :? :shock: J'ai eu la chance d'acheter le tome 1 en occasion, mais pour le 2, je ne le trouve ni en occasion et encore moins en librairie spécialisée... Et bien que je tanne mon libraire pour qu'il me commande le tome 2 à chaque fois que j'y pense, il est toujours réticent...

D'occasion: La loi des séries : un larcenet de plus 8) Les fées noires 3 : parce que l'intrigue des 2 premiers est très intéressante et que je veux enfin connaitre la suite. Arq 4 : je découvre Andréas et c'est jouïssif!

CITATION(zeas)CITATION(lapingue)Soyez indulgent avec cette chronique, cette bd est tellement riche et il y a tellement de choses à dire ! Alors n’hésitez pas à rajouter votre pierre à ce frêle édifice ! Sans être indulgent, je dirais : "merci pour cette belle chronique Lapingue!" Et je rajoute cette bd à mes futurs achats :wink: Merci :oops: En espérant que ça te plaise, car l'air de rien c'est assez spécial! :wink:

Je ne sais pas trop où poster ce qui suit, mais bienvenue à Syl, j'espère qu'on lira souvent ses avis, parce que quand on voit ses bd, moi y a des titres qui me font rêver... :oops:

Résumé : C'est en 1921 que Léonce Houx-Wardiougue fonde la compagnie familiale et éponyme, une fabrique de cosmétiques. A présent son fils Aymard a repris les rênes de l'affaire dont il cherche à faire une entreprise moderne. Le petit fils d'Aymard, et arrière-petit-fils de Léonce dit Léon, Géraldo-Georges a été chargé de la campagne de marketing organisée autour du centenaire de son bisaieul. Géraldo-Georges, puceau et trouillard impénitent, méprisé par son grand-père, sera initié à la vraie vie par Léon, qui lui fera fumer ses drôles de cigarettes et l'aidera à trouver sa véritable voie, au grand dam du reste de la tribu. Avis : Il est vrai que quand j’ai vu le prix de Léon la came, j’ai vraiment hésité à l’acheter… Mal m’en aurait pris de ne pas le faire, car la lecture de ces 158 pages, préface de Benoit Poelvoorde incluse pour ma réédition, fut pour moi un pur moment de bonheur ! Un dessin halluciné aux couleurs très claires qui ébauche des personnages plus bizarres les uns que les autres. Des quadruplés ne semblant faire qu’une entité, un jeune rappeur aux airs rebelles, un Léon aux mille et une rides… On découvre le destin d’une famille avec le retour du centenaire Léonce dans celle-ci, le fondateur d’une fabrique de cosmétique reprise par ses descendants. Ce retour, mal vu et mal vécu par certains membres de la famille sera une véritable délivrance pour Gégé et donnera lieu à une succession de scènes loufoques, hilarantes et touchantes. Vous apprendrez comment briser un homme avec une sarbacane, comment et avec quoi vaincre son stress et sa peur des listings… Mais ne limiter cette bd qu’à son côté comique serait une grave erreur ! C’est également un drame social où les relations entre les protagonistes sont mises en avant et où ils évoluent tout au long des 152 pages. On pourrait également parler de la narration sur la fin, de ses changements de narrateurs et de leurs discussions. Vous ne verrez ça qu’ici, il fallait oser ! Bref, un pur moment de bonheur qui vous réservera des surprises jusqu’aux dernières planches et la découverte du "monstre". Et si comme moi vous n'avez pas connu votre grand-père et encore moins votre arrière-grand-père, peut-être que Léon se rapprochera de celui que vous auriez toujours aimé avoir. Seul bémol, j’aurais aimé un arbre généalogique avec le visage de chaque membre de la famille, car ce n’est qu’à la fin et la lecture du résumé que j’ai compris que Léon était l’arrière-grand-père de Gégé et non pas son grand-père… Une petite question pour finir : ils parlent de la trilogie Léon la Came sur la première page, qu’est-ce ??? Laid pauvre et malade et Priez pour nous ? Qu’est ce que ça vaut ? Soyez indulgent avec cette chronique, cette bd est tellement riche et il y a tellement de choses à dire ! Alors n’hésitez pas à rajouter votre pierre à ce frêle édifice !

CITATION(massive)Courtney Crumrin et les choses de la nuit : parce que ca m'a l'air pas mal! N'oublie pas de dire si ça vaut le coup, j'ai failli craquer avant toi! :wink:

J'ai toujours voulu me mettre à Breccia, c'est peut-être l'occasion... :wink: Si je la trouve :|

Je me joins à Zéas pour te remercier, j'ai hésité à l'acheter, je vais y jeter un oeil différent maintenant! :wink:

CITATION(brodieman)et bin mets déjà quelques lignes sur ce qui te paraît le plus important et puis tu complèteras au fur et à mesure avec l'aide de tes bons amis forumers de 1001bd  :D Vu sous cette angle, ça sera fait alors :wink:

CITATION(Monfreid...)CITATION(lapingue)Léon la came : pas de chronique, dommage...  :? on t'en pris Je crois que je l'ai cherché là... :| Je m'y colle dès que j'ai le temps. :wink: Mais ça me fait un peu peur quand même, j'ai l'impression qu'il y a tellement de choses à dire :?

Léon la came : pas de chronique, dommage... :? Pour faire court : fabuleux! Original, marrant, touchant, etc... Merci Ed :love: Je vois mieux d'où vient ton avatar! :wink: Reste plus qu'à trouver le bibemdum céleste en occaz!

Paru en: novembre 2004 Série: La Complainte des Landes Perdues Dessinateur: Delaby Scénariste: Dufaux Editeur: DARGAUD Résumé : La Complainte des Landes Perdues se poursuit. Au Moyen Age, un groupe de navigateurs débarque dans les landes perdues d'une île située dans les mers du Nord. Ces "Chevaliers du Pardon" entendent libérer les lieux de l'emprise d'une sorcière, la dernière des cruelles Moriganes qui aurait survécu. Doté de pouvoirs surnaturels, le plus jeune d'entre eux est le seul à pouvoir débusquer cette créature maléfique qui laisse derrière elle des cadavres atrocement mutilés. Après cinq années d'absence, Complainte revient enfin pour un nouveau cycle avec Dufaux au scénario et Delaby dans une somptueuse mise en images en couleur directe. Avis: « L’Amour est au cœur du Mal », « Le Mal est au cœur de l’Amour ». Deux phrases pour quatre tomes d’une série qui a marqué ma jeunesse… Rosinski qui se surpasse au dessin pour rendre la noirceur et l’intensité du scénario de Dufaux. Le destin d’une famille et d’un pays dans lequel règne une ambiance de mort, de malheur et de sorcellerie, éclairés par de courtes périodes de bonheur. Ce récit dans lequel on voit grandir une héroïne que le destin n’a pas épargné et qui ne l’épargnera pas, une fille puis une femme qui commet des erreurs comme tout un chacun. Souvenirs… Alors, quand j’ai appris que La complainte des landes perdues allait de nouveau retentir dans mes lectures et dans mon imaginaire : la joie m’a envahi. Ce nouveau tome aurait pu poursuivre le fil du récit du tome 4 comme cela avait été fait pour le tome 3 qui continuait là où le 2 s’était achevé, mais Dufaux en a décidé autrement. Il débute un nouveau cycle, celui des Chevaliers du Pardon, qui contiendra quatre volumes. S’ensuivra le cycle des sorcières. Pour Moriganes, premier épisode du cycle des Chevaliers du Pardon, Dufaux s’est adjoint les services de Delaby avec lequel il a déjà travaillé sur Murena. Si vous ne connaissez pas ce dessinateur, préparez-vous à un choc ! Les autres ne seront pas déçus, il est égal à lui même : c’est splendide ! Je trouve d’ailleurs très important que le style de Delaby soit très différent de celui de Rosinski car j’ai horreur que lorsqu’une série est reprise ou un nouveau cycle créé comme ici, le nouveau dessinateur essaie de s’approprier le style de son prédécesseur. Cela donne souvent d’énorme catastrophe… J’achève ici cette digression et je vais essayer de vous livrer mes sentiments sur ce tome 5. Il est d’ailleurs très important de le considérer comme le numéro 5 bien que l’action de ce cycle se déroule avant celle du premier. Sans cela vous passeriez à côté d’une foule de détails nous renvoyant dans le futur, notamment une prophétie… Au contraire des quatre premiers tomes où l’intrigue courrait sur 2 volumes, ici elle se termine à la fin de ce tome. C’est pourquoi il pourra vous paraître court et léger. Mais ce n’est pas le cas. L’intrigue est lancée très rapidement et l’action immédiatement présente. On pourra regretter l’efficacité des guerriers et le fait qu’ils ne rencontrent pas plus d’obstacles dans leur enquête… J’ai également noté une part moins grande de la sorcellerie dans ce récit, ou du moins une approche différente, mais ce n’est pas pour me déplaire. J’arrête ici mon avis de peur de vous gâcher la lecture qui fût pour moi très agréable, bien que moins marquante que celle du premier cycle. Les dessins de Delaby et notamment l’expression qu’il arrive à donner aux visages mais également les nombreux liens que Dufaux arrive à tisser avec le premier cycle nous laissent présager de trois tomes suivant tout simplement énorme !

Certains chapitres de l'immeuble d'en face sont drôles, d'autres hilarants, quelques-uns m'ont moins touché, mais ça a été un très bon moment de lecture que je conseille à tous, quel que soit votre génération car je suis sûr que vous pourrez vous y reconnaitre tellement c'est vrai!

L'immeuble d'en face : parce qu'il parait que c'est gébial, et ça l'est 8) Léon la came : parce qu'il parait que je vais aimer! Merci à mon conseiller parce que je crois vraiment que ça va être le cas.. :wink: Luuna #3 : c'est joli, et l'histoire également. Le scorpion #5 : Une bonne série de "cape et d'épée", alors je continue! Le loup l'agneau et les chiens de guerre : ça avait l'air très original et que du bien en a été dit! :wink: Complainte de landes perdues : en souhaitant que ça soit aussi bon que les premiers et bouche bée devant le dessin de delaby :shock:

Je trouve que ce tome 4 a un scénario bien fait mais il manque d'originalité et il m'a laissé un sentiment de déjà vu... Il est largement en dessous des tomes 2 et 3, et je suis déçu par cette lecture, peut-être que j'en attendais trop??

CITATION(Monfreid...)quel procédé en nous (et non celui de l’auteur) fait que le prosopopus représente aussi nos sentiments ?   J’ai une petite idée qui se rapproche de ce que tu as dit Monfreid. :? Pensez-vous que De Crecy ait monté le récit de telle manière que nous ayons nous aussi un désir de "vengeance" envers le meurtrier et que justement, le prosopopus soit le moyen d’exprimer nos sentiments en étant à la fois notre "arme" en même temps que celle de la peintre ? Car en y regardant de plus prêt, il est arrivé à me rendre le tueur antipathique dès le début. En effet, il assassine le commanditaire qui de part sa mise en couleur, est la seule personne qui ressort de la ville et des autres hommes et qui paraisse importante à cause de son unicité. Un sentiment de méfiance s’installe déjà envers le tueur. Il passe ensuite chez son amante, la saute et se tire… Pas un comportement très digne…. Ensuite il essaie de tuer le prosopopus alors que celui-ci n’a vraiment pas l’air de lui vouloir du mal. Et enfin, il se soûle et se défoule en tirant par la fenêtre : pas top…. Bref après tout ça, et tout ce qu’il fait à la peintre, finalement on est bien d’accord que le prosopopus lui fasse sa fête et donc il incarne un peu mes sentiments… :? Je suis toujours aussi fasciné par cette bd, bien que je l’aie lue déjà pas mal de fois! 8) Rand, Hélène…. Vos recherches spéléologiques progressent-elles ?

CITATION(lapingue)J'arrive pas à trouver le mot qui pourrait vraiment définir mon sentiment...  :? J'ai trouvé : cruel!

ça y est c'est lu! 8) Et ouhaa qu'est ce qu'il est "dur" comme tome! Toute cette violence, cette misère! J'en avais mal au ventre pendant la lecture! J'arrive pas à trouver le mot qui pourrait vraiment définir mon sentiment... :? Impitoyable peut-être? Je sais que c'est voulu, mais le dessin est vraiment trop sombre par moment, le dessin de Loisel est tellement plus beau dans la lumière... [Spoiler] Je sais pas encore trop quoi penser pour jack et peter, mais pour l'instant je suis plus du côté ou ils sont deux personnes différentes... Je médite... Mais quand on voit en quoi une personne douce comme clochette peut se transformer pour obtenir ce qu'elle veut, je crois que le doute est permis quant à la dualité des personnages... [/Spoiler]