Cox

[center][url=""]<img src="http://www.bedetheque.com/media/Couvertures/Couv_232001.jpg"HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Titre[/b] : Haguenau 900 ans d'histoire [b]Genre[/b] : Histoire [b]Scenario[/b] : Dany Muller [b]Dessin[/b] : Didier Eberlé [b]Couleur[/b] : Non connu [b]Editeur[/b] : Editions du Signe [b]Parution[/b] :novembre 2014 [i]L’histoire de Haguenau se dévoile au fil d’une étrange légende, celle de Barberousse. Le lecteur suit l’empereur lors de la croisade: il quitte sa chère ville de Haguenau et promet, à son retour, d’en faire une cité remarquable. Mais l’empereur meurt et devient légendaire. Il se retrouve prisonnier de ses rêves et se voit harcelé par des corbeaux. Accompagné par Barbe, une jeune héroïne, il revivra en songe chaque grande étape qui a fait l’histoire de Haguenau. S’enrichissant de ces expériences il pourra réaliser sa promesse où passé, présent et avenir seront les pierres d’une cité idéale [/i] De Frédéric Barberousse à Sébastien Loeb, cet album nous raconte les 900 ans d’une ville du nord de L’Alsace. Née par la volonté du père de l’empereur Frédéric Barberousse, la ville au début de son développement vit passer du beau monde : Frédéric Barberousse, Richard Cœur de Lion, Frédéric II de Hohenstaufen pour ne citer qu’eux. Haguenau rapidement une ville religieuse, d’art au travers des travaux des différentes églises, monastères, etc. Mais, Haguenau est également une ville de commerce avec ses trois foires annuelles qui favorisent son développement économique. Malheureusement, Haguenau est également une ville frontière est donc une commune meurtrie par de nombreuses guerres. Comme on peut le voir c’est un album complet sur l’évolution d’une ville. Complet car on y parle aussi bien de l’histoire de la commune, que de son évolution économique. Les dessins sont quelques peu figés. Mais, je dois avouer que j’aime bien ce dessinateur, car il a toujours quelques trouvailles originales en forme de clin d’œil. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.5.png[/img] Cox

Exactement.

[center][url="http://www.bdfugue.com/space-reich-t-1-duel-d-aigles?ref=44"]<IMG SRC="http://soleilprod.com/images/upload/albums/2987_500.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Space Reich [b]Titre[/b] : Duel d'aigles [b]Genre[/b] : Uchronies,guerre [b]Scenario[/b] : Richard D. Nolane [b]Dessin[/b] : Marko Nikolic [b]Couleur[/b] : Digikore Studios [b]Editeur[/b] : Soleil [b]Parution[/b] : 21/01/2015 [b][url=http://www.bdfugue.com/space-reich-t-1-duel-d-aigles?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]LES NAZIS, MAÎTRES DU MONDE ET DE L'ESPACE ?! Après l’invasion de l’Angleterre en 1940 et le refus d’intervenir des États-Unis, le Reich a écrasé l’URSS fin 1943 et s’étend désormais de l’Atlantique à Vladivostok. Les ténèbres recouvrent ainsi l’Europe et une partie de l’Asie. À l’été 1945, l’Amérique, première puissance du monde libre en dépit de son isolationnisme, veut redorer son image et défier le Reich en décidant d’envoyer une fusée dans l’espace. Mais elle se retrouve face à un adversaire de taille : Werner von Braun dont les missiles ont écrasé Moscou et qui rêve, lui, depuis longtemps du cosmos. Car Hitler, qui méprise les Américains, a jeté immédiatement toute la puissance du Reich dans la bataille avec l’objectif fou d’installer un jour rien moins qu’une base allemande sur la lune ! Le premier round du duel entre l’Aigle nazi et l’Aigle américain peut commencer. Et tous les coups, même les plus surprenants, vont être permis… [/i] L’uchronie permet de réinventer l’Histoire avec des personnages réels. Dans Space Reich, les auteurs refont la course vers l’espace avec ses deux protagonistes, Von Braun et Korolev. Le contexte de l’album est le suivant, le régime nazi est sorti vainqueur de la seconde guerre mondiale à laquelle les Etats-Unis n’ont pas participé. Le Reich s’étend de Lorient à Vladivostok. Les Etats-Unis prennent peur et décide de se protéger en ajoutant une nouvelle dimension : l’espace. Le projet sera chaperonné par un ingénieur russe exfiltré d’un bateau prison nazie : Korolev. Hitler ne voulant pas être en reste charge Von Braun, l’inventeur des fusées de gagner cette guerre pour les nazies. C’est donc la lutte entre ces deux ingénieurs pour être les premiers que raconte ce livre avec les échecs et les réussites. On y retrouve le premier bip bip d’un satellite dans l’espace (détourné ici par une capsule amerrissant). Le dessin de Nikolic (proche de Kordey, mais en plus soft ) n’est pas forcément ma tasse de thé mais je dois avouer qu’il est diablement efficace. Un bon premier album pour une série en devenir. [b]Ma note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/l-ambulance-13-tome-5?ref=44"]<IMG SRC="http://www.angle.fr/images/angle/couv_bd_fiche/9782818932117.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : L'ambulance 13 [b]Titre[/b] : Les plumes de fer [b]Genre[/b] : Guerre [b]Scenario[/b] : Patrice Ordas sur un scénario de Patrick Cothias et de Patrice Ordas [b]Dessin[/b] : Alain Mounier [b]Couleur[/b] : Sébastien Bouet [b]Editeur[/b] : Grand Angle - Bamboo [b]Parution[/b] : 05.11.2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/l-ambulance-13-tome-5?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Chirurgien, il affirme le pouvoir de la vie dans l’enfer des tranchées En cette année 1917, le jeune médecin de première ligne Louis-Charles Bouteloup est un officier dérangeant, car il refuse de fermer les yeux sur les aberrations de la hiérarchie. Faute de réussir à lui faire plier la nuque, l’état-major l’affecte à un secteur moins sensible, en Alsace, où Bouteloup a pour mission de former les futurs chirurgiens de tranchée américains qui s’apprêtent à entrer dans le conflit. Il a la surprise d’y côtoyer les parias de l’armée, les têtes brûlées des Corps francs, et les Peaux-Rouges, arrachés à leur réserve pour tester les défenses ennemies. Bouteloup, une fois encore, ne manquera pas de sujets de rébellion. [/i] Troisième cycle de l’ambulance 13, même si le nom de la série n’est plus approprié. En effet, cet album est avant tout consacré au lieutenant Bouteloup. Il est envoyé dans les Vosges afin de former les médecins américains à la chirurgie de guerre. Curieusement cet album nous montre deux visages du médecin, l’un à la limite de l’image de l’adjudant qui est toujours en train de pousser se hommes à la limite. Mais bon c’est pour la bonne cause et l’autre, l’humaniste qui rejette la guerre et a du mal à comprendre le corps francs et les cheyennes à combattre. Ceci ne l’empêchera pas d’aller combattre l’arme à la main à leur côté après avoir réalisé que la chirurgie de guerre dans ce coin des Vosges n’est qu’une vaste blague. Aucun gradé ne voulant réellement que ces hommes en réchappent. Ce cinquième album est un ton en dessous par rapport aux autres. Quelques scènes qui n’apportent pas grand-chose polluent un peu le scénario. De plus pourquoi apporter des explications superflues, là où la trame suffisait à elle-même. Je m’explique, pourquoi parler des intérêts économiques qu’a le colonel américain à la mort de la tribu cheyenne, alors que la moitié de l’album nous montre le racisme ambiant entre les haut-gradés et les amérindiens. Mais, il faut ce qu’il faut laisser au scénario, c’est d’avoir permis à Mounier d’exprimer tout son talent notamment dans la bataille surréaliste entre les indiens armés de leurs flèches et leurs arcs contre les mitrailleuses allemandes. J’attends tout de même la suite avec une certaine impatience. [b]Ma note[/b]:[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/mafia-story-tome-8-don-vito-2e-partie?ref=44"]<IMG SRC="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/300x397/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782756033112_1_75_1.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Mafia Story [b]Titre[/b] : Don Vito (2/2) [b]Genre[/b] : Biographie [b]Scenario[/b] : David Chauvel [b]Dessin[/b] : Erwan Le Saëc [b]Couleur[/b] : Lou [b]Editeur[/b] : Delcourt [b]Parution[/b] : 05.02.2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/mafia-story-tome-8-don-vito-2e-partie?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Sous la pression du gouvernement américain, Lucy Luciano se voit contraint de quitter cuba pour retourner en Italie. Vito Genovese, numéro 2 de la famille Lucchese, se trouve alors face à un adversaire aussi puissant qu'intouchable : Frank Costello, le "Premier ministre" du crime new-yorkais. La "commission Kefauver", à laquelle le gouvernement a donné pour mission de traquer les familles et de mettre fin à leur activités illégales, et la mort de Willie Moretti, fidèle allié de Costello, affaiblissent ce dernier et permettent finalement à "Don Vito" d'étendre son influence. Mais pour asseoir définitivement son pouvoir à la tête de la famille, il li reste un dernier homme à abattre et pas des moindres... Albert Anastasia, "l'exécuteur des hautes œuvres"... Et ce que "Don Vito" ignore, c'est que son excès d'ambition va finir par provoquer un séisme ddans le monde du crime organisé américain... [/i] Deuxième partie du diptyque consacré à Don Vito Genovese. Les anciens de ma génération se rappelleront que l’acteur Lino Ventura l’a superbement incarné dans le film Cosa Nostra. Mais revenons à nos moutons. Tous les diptyques du cycle étaient construits de la même manière, la montée en puissance dans le premier tome puis la chute dans le deuxième tome. Ici c’est différent, car si Don Vito a réussi à se débarrasser de Lucky Luciano, il est encore loin du sommet. En effet, bons nombres d’amis de Lucky Luciano, dont certains sont extrêmement dangereux comme Albert Anastasia ou très populaire dans le milieu comme Fran Costello. Don Vito va devoir se montrer extrêmement patient pour atteindre son but. Il y parviendra, mais pour lui la chute se révélera ultra rapide, le temps d’un week-end et d’un coup du sort inimaginable. En effet, il est l’instigateur de la réunion la plus rocambolesque de l’histoire de la mafia, le célèbre week-end à Appalachin. Vito Genovese a invité tout le gratin de la mafia non seulement new-yorkaise, mais aussi américaine. Un policier, qui n’avait jamais vu autant de voiture luxueuse réuni dans un même endroit appela ses confrères à la rescousse pour y jeter un œil de plus près. Ce fut le plus gros coup de filet anti-mafia aux Etats-Unis. Autant dire que ce fut la fin des ambitions de Don Vito. Toujours aussi bien documenté, les auteurs pour leur dernier diptyque de la série, nous brosse le portrait de l’homme qui a inspirée des générations de cinéastes. Durant des années, il était le modèle du parrain dans les films sur la mafia. Don Vito a joué un rôle important dans la guerre des Castellammarense et dans la modernisation de la mafia, mais également au travers de l’affaire d’Appalachin, la mafia changea radicalement. Il est donc l’homme incontournable du crime new-yorkais durant la première moitié du 20ème siècle. [b]Ma note[/b]:[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/mafia-story-t07-don-vito-1ere-partie?ref=44"]<IMG SRC="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/300x397/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782756023731_1_75.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Mafia Story [b]Titre[/b] : Don Vito (1/2) [b]Genre[/b] : Biographie [b]Scenario[/b] : David Chauvel [b]Dessin[/b] : Erwan Le Saëc [b]Couleur[/b] : Lou [b]Editeur[/b] : Delcourt [b]Parution[/b] : 25.08.2011 [b][url=http://www.bdfugue.com/mafia-story-t07-don-vito-1ere-partie?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Vito Genovese, originaire de Naples, a su de faire une place dans un milieu pourtant dominé par les Siciliens. Obligé de fuir en Italie pour échapper à une inculpation de meurtre, il est rattrapé par l'armée américaine. Rapatrié aux Etats-Unis, il est sur le point d'être jugé lorsque les deux témoins à charge disparaissent comme par magie. De nouveau libre, "Don Vito" cherche à se faire une nouvelle place au soleil parmi les familles new-yorkaises. Au même moment, Lucky Luciano, exilé en Europe après avoir été libéré de prison pour "services rendus à la nation", tente un retour par Cuba. Les deux hommes devenus rivaux se retrouvent pour une réunion de famille... qui va très vite dégénérer en affrontement entre les deux géants du crime [/i] Depuis quelques années déjà, Chauvel et Le Saëc explore l’univers de la mafia new yorkaise, d’abord avec les deux saisons de la série ce qui est à nous, puis avec la série mafia story, qui parle des grandes figures de la mafia. Le dernier diptyque de la série est consacré à Vito Genovese qui est sans aucun doute la figue la plus marquante. Si Lucky Luciano est le plus célèbre, Vito Genovese est l’homme de l’ombre qui cherche à l’instar d’Iznogood de devenir le capo de tutti capi . Vito était le second de Lucky Luciano, mais les deux hommes ne s’appréciaient guère, cependant, ils savaient qu’ils ne pourraient pas gravir les échelons de l’organisation sans l’aide de l’autre. Une fois arrivée au sommet de la mafia new-yorkaise, ce n’est plus qu’une question de temps avant que le clash entre les deux hommes n’arrive. Le temps est favorable à Lucky Luciano, puisque Vito Genovese doit fuir l’Amérique pour éviter une inculpation pour meurtre. Mais après la guerre, il est arrêté par les militaires américains qui le ramène aux States. La confrontation va avoir lieu. Les auteurs, grâce à une documentation extrêmement fourni nous racontent sous forme de docu-fiction le jeu de dupes entre les deux hommes qui mènera au clash. Lucky Luciano mettra une raclée mémorable à Vito Genovese, mais devra quitter le continent américain et laisser à son lieutenant le champ libre à ses ambitions. [b]Ma note[/b]:[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/francois-ferdinand-la-mort-vous-attend-a-sarajevo?ref=44"]<img src="http://www.angle.fr/images/angle/couv_bd_fiche/9782818931127.jpg"HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Titre[/b] : François-Ferdinand [b]Genre[/b] : Roman Graphique [b]Scenario[/b] : JeanYves Le Naour [b]Dessin[/b] : Chandre [b]Couleur[/b] : Sébastien Bouet [b]Editeur[/b] : Grand Angle - Bamboo [b]Parution[/b] :11/06/2014 [url="http://www.bdfugue.com/francois-ferdinand-la-mort-vous-attend-a-sarajevo?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [i]Vous connaissez sa mort, cause de la Grande Guerre. Mais connaissez-vous sa vie ? Plus que de l’attentat de Sarajevo, cette histoire vraie fait le récit de l’amour qui unit François-Ferdinand de Habsbourg et sa femme, malgré la pression de l’étiquette et les efforts de l’empereur François-Joseph qui a tout tenté pour les séparer. Jusqu’à les inciter vivement à se rendre à Sarajevo, le jour de l’ex-fête nationale de la Serbie fraîchement annexée. Ce voyage qui sonne comme une provocation pour les nationalistes serbes, François-Ferdinand ne s’y dérobera pas. L’ombre de l’attentat – qui se profile de plus en plus – pèse peu à peu comme une mort annoncée à laquelle, par fierté, François-Ferdinand ne veut ni ne peut échapper tandis que sa femme l’accompagne parce qu’elle refuse de l’abandonner face au péril... Cet album contient un cahier supplémentaire de 8 pages sur les circonstances de l'assassinat de François Ferdinand rédigé par l'historien et auteur, Jean-Yves Le Naour. [/i] Cet album raconte les derniers jours de l’homme dont l’assassinat provoqua la première guerre mondiale et la mort de millions de personnes. On y voit un homme plein de contradiction, bon époux, bon père de famille, mais hautain, cassant à l’égard des autres. Cependant, les « autres » le lui rendent bien en le méprisant ouvertement, comme ces deux soldats à l’opéra qui se moque de lui puis feignent de ne parler qu’hongrois. C’est également un homme rebelle à sa famille (impériale), puisqu’il défie ouvertement son Oncle l’Empereur en épousant une jeune femme non issue d’une famille royale, mais en lui obéissant lorsqu’il doit se rendre à Sarajevo, tout en sachant qu’il s’agit d’un déplacement à haut risque. Un bel album qui permet d’en savoir un peu plus sur un homme dont son oncle l’empereur François-Joseph a pu dire que sa mort est la meilleure chose qu’il est faite pour l’Empire Austro-Hongrois. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note//3.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/boulard-tome-2?ref=44"][img]http://www.bamboo.fr/images/bamboo/couv_bd_fiche/9782818931073.jpg[/img][/url][/center] [b]Série[/b] : Boulard [b]Titre[/b] : En mode Love [b]Genre[/b] : Humour [b]Scenario[/b] : Erroc [b]Dessin[/b] : Mauricet [b]Couleur[/b] : Mauricet [b]Editeur[/b] : Bamboo [b]Parution[/b] :25/05/2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/boulard-tome-2?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]L’ado glandeur revient plus en forme que jamais ! Boulard a enfin sa série BD ! Retrouvez le cancre de tous les exploits – on parle tout de même de celui qui conduit régulièrement les Profs au bord de la crise de nerfs et qui pianote sur son smartphone à la vitesse de l’éclair malgré un énorme poil dans la main - dans de toutes nouvelles aventures signées Erroc et Mauricet. De ses pathétiques techniques de drague à ses plus épiques moments de glande sur le canapé, vous connaîtrez tout du plus mou des rebelles : Thierry Boulard (vous pensiez à un autre ado de votre connaissance ?)! [/i] Boulard est une série dérivée de la série d’humour les profs. Eh oui, même elles ont leurs spins off. Boulard est le prototype du cancre, pas méchant, mais préférant l’oisiveté aux études. Cet album est centré sur les amours adolescentes plus ou moins réussies plutôt moins chez notre héros. Mais faut dire que la belle Zoé, malgré les brimades bien involontaires de notre héros (n’as-t-il pas écrit une chanson d’amour pour Aurore car les rimes sont plus faciles à trouver) tient particulièrement à lui. L’album est amusant et provoque assez souvent des sourires voire des rires. Cependant, le titre est un peu trompeur. Les histoires purement liées aux relations sont très peu nombreuses, un quart de l’album en fait. [b]Ma note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/les-dinosaures-en-bd-tome-4?ref=44"][img]http://www.bamboo.fr/images/bamboo/couv_bd_fiche/9782818931066.jpg[/img][/url][/center] [b]Série[/b] : Les dinosaures en bande dessinée [b]Titre[/b] : Tome 4 [b]Genre[/b] : Humour [b]Scenario[/b] : Arnaud Plumeri [b]Dessin[/b] : Bloz [b]Couleur[/b] : Maëla Cosson [b]Editeur[/b] : Bamboo [b]Parution[/b] :10/09/2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/les-dinosaures-en-bd-tome-4?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Une BD lue et approuvée par les paléontologues pour tout savoir sur les dinosaures ! Tous les ans, de nouvelles découvertes sont faites sur les dinosaures. Grâce aux Dinosaures en BD, vous serez incollables sur les nouveaux venus, comme le terrifiant Lythronax, l’ancêtre du T. rex. Et vous aurez de surprenantes réponses à des questions essentielles : qui va le plus vite, Usain Bolt ou le Carnotaurus ? Quel est le paléontologue qui a inspiré Indiana Jones ? Peut-on cloner un dinosaure ? Connaît-on enfin la couleur de certaines espèces ? Tous ces dinosaures sprinteurs, bagarreurs ou pas très malins vous donnent rendez-vous dans cet album où les grincheux ne font pas de vieux os ! [/i] Je ne m’attendais pas à grand-chose à la lecture de cet album humoristique sur les dinosaures. Je voyais mal comment on pouvait faire rire des lézards géants sans avoir recours à la sempiternelle astuce qui consiste à humaniser les animaux. Si c’est effectivement le cas, il convient cependant de nuancer les propos. Les auteurs collent au plus près des recherches archéologiques. Ils nous délivrent ici sous une forme encyclopédique et ludique les dernières avancées des découvertes faites sur les dinosaures, concernant aussi bien les nouvelles espèces que de l’évolution de notre vision, le tout en essayant de nous faire rire avec des gags d’une page. Au final une façon amusante et sympathique de nous faire partager leurs passions, car ce sont réellement deux mordus des lézards. J’ai déjà pu dire tout le bien que je pense de cette série par le passé. Ce quatrième album est fidèle aux précédents, question qualité. Cependant, il nous présente moins de dinosaures que par le passé et plus d’histoires plus modernes, comme les découvertes ou la contrebande d’ossements de dinosaures. Malheureusement, j’espère à tort, j’ai le sentiment qu’on arrive tout doucement au bout de la série, et que malgré les découvertes quasi permanentes, les auteurs ont fait le tour de la question. D’ailleurs la partie bande dessinée a été écourté pour laisser la place à un reportage texte photo sur la découverte de « Joe », un bébé Parasaurolophus dans l’Utah en 2009. Je rappelle que cet album est destiné avant tout aux jeunes enfants et que les paléontologues en herbe sauront apprécier. [b]Ma note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.0.png[/img] Cox

Hier j'ai acheté l'hérétique chez B. D'après la 4 de couve ça parle de l'expérience d'Alain Bompart dans les années 50 lorsqu'il a traversé l'océan sur un radeau.

En fait ça existe depuis 30 ans e ça a énormément voyagé entre différents éditeurs

[center][url="http://www.bdfugue.com/les-enquetes-du-commissaire-raffini-l-inconnue-de-tower-bridge?ref=44"]<IMG SRC="https://tartamudobd.files.wordpress.com/2014/05/bd-commissaire-raffini-titre-haut-decc81finitive.jpg?w=246&h=324" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Les enquêtes du commissaire Raffini [b]Titre[/b] : L'inconnue de Tower Bridge [b]Genre[/b] : Policier [b]Scenario[/b] : Rodolphe [b]Dessin[/b] : Christian Mauclerc [b]Couleur[/b] : Christian Mauclerc [b]Editeur[/b] : Tartamudo [b]Parution[/b] : 12.11.2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/les-enquetes-du-commissaire-raffini-l-inconnue-de-tower-bridge?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]La première rencontre avec le commissaire Raffini a lieu dans le feuilleton de l’été proposé dans les pages de Télérama. C’était au début des années 1980 et l’histoire s’intitulait L’Homme au Bigos. Dix autres aventures allaient ensuite donner sa stature au personnage, aventures dessinées tout d’abord par Jacques Ferrandez, puis par Christian Maucler. A l’origine les enquêtes du commissaire s’inscrivaient dans la veine des grands feuilletons fantastiques du début du XXe siècle. Rapidement, les récits se font plus psychologiques et réalistes, se rapprochant des enquêtes du célèbre Maigret de Simenon ou de la série télé Les Cinq Dernières Minutes et de son inspecteur Bourrel.Avec ce nouvel album, L’Inconnue de Tower Bridge, le commissaire Raffini fait sa première incursion hors de l’hexagone. Scotland Yard vient en effet de récupérer le cadavre d’une jeune femme bloqué contre les piles du Tower Bridge. L’examen des vêtements laisse entendre qu’il pourrait s’agir d’une Française. Aussi la collabo- ration de la police française est-elle souhaitée. Le commissaire divisionnaire, qui sait que Raffini ne parle pas un traître mot de la langue de Shakespeare et déteste cordialement tout ce qui est thé à 5 heures, conduite à gauche et autres comportements et pratiques grotesques le choisit aussitôt pour la mission. Ainsi démarre cette enquête qu’en son for intérieur Raffini a rebaptisé : « Raffini chez ces Foutus Rosbeefs ! » Une histoire — on l’aura compris — non dénuée d’humour, mais qui conjugue aussi action, émotion et suspense. A noter enfin le clin d’œil à l’univers d’E.P. Jacobs et tout particulièrement à sa mythique Marque jaune. L’action se passe à Londres au moment où l’auteur des Blake et Mortimer y fait des repérages pour son album. Une occasion de revisiter le célèbre Limehouse Dock cher à de nombreux lecteurs… Les Enquêtes du commissaire Raffini occupent une place bien à part dans le panorama de la bande dessinée française contemporaine. Cette série, qui met en scène la vie de “petites gens” (la “France Profonde” de ce temps-là), fait ressurgir le charme révolu de la France des années 1950, celle du président Coty, des Tractions Avant, des hommes en vestons croisés et des femmes en bas à couture. Elle a donné lieu à de belles expositions (Angoulême, Audincourt, Saint Malo) et a obtenu de nombreuses récompenses (en plus de celles à venir !). A la fin de l’album, un dossier de 22 pages retrace l’histoire du personnage du commissaire Raffini depuis ses origines. [/i] C’est toujours avec un certain plaisir que je retrouve le commissaire Raffini. D’une part je trouve qu’il y a du Superdupont chez ce personnage, franchouillard, râleur… D’autre part, en situant l’action dans les années cinquante, les scénarii de Rodolphe font penser à ces vieux films policiers que j’ai pu voir dans ma jeunesse, Touchez pas au grisbi, Razzia sur la schnouf… On se trouve bien dans cet univers-là. C’est sans grande prétention, ça ne demande pas beaucoup de réflexion, mais qu’est-ce que c’est bon. Mauclerc par son dessin nous montre qu’il a énormément de talent et mériterait d’être plus présent dans les bacs. Le seul bémol que je mettrai à cet album, c’est notre policier anglais qui perd de temps en temps son franglais pour nous parler dans le français le plus académique qui soit. Petite coquille des auteurs ?? Quoiqu’il en soit album sans grande prétention que j’ai énormément apprécié. [b]Ma note[/b]:[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/nous-anastasia-tome-3?ref=44"]<IMG SRC="http://www.angle.fr/images/angle/couv_bd_fiche/9782818931110.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Nous, Anastasia R. [b]Titre[/b] : Sverdlov [b]Genre[/b] : Historique [b]Scenario[/b] : Patrick Ordas Patrick Cothias [b]Dessin[/b] : Nathalie Berr [b]Couleur[/b] : Sébastien Bouet [b]Editeur[/b] : Grand Angle - Bamboo [b]Parution[/b] : 28.05.2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/nous-anastasia-tome-3?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Nous, Anastasia Romanov, grande Duchesse impériale et survivante... Au cours de la nuit du 16 au 17 juillet 1918, la famille impériale de Russie et le Tsar Nicolas II sont massacrés au sous-sol de la villa Ipatiev. Depuis, une rumeur court : la grande duchesse Anastasia aurait survécu grâce à Félix Volodine un russe blanc infiltré dans les gardes de la Villa. Après bien des péripéties, Félix et Anastasia arriveront en France. Auparavant, Félix aura dû lancer la sinistre police politique bolchevique sur la piste d’une usurpatrice, Anna Anderson. Mais l’âge avançant, la furieuse envie de revenir sur les lieux du massacre devient nécessité. Anastasia et celui qui est devenu son mari, Félix, reviennent à Iekaterinebourg ce jour de 1997 où un certain Boris Eltsine commande la destruction de la villa Ipatiev... [/i] Fin de la légende Anastasia, la survivante du massacre de la famille impériale de Russie. Un album qui m’a nettement moins convaincu que le précédent, notamment dû au fait que le leurre Franziska a quasiment disparu de l’histoire et aussi que les deux parties bolchévique et tsariste ont fini par y trouver leur avantage. Les tsaristes continuant à se cacher derrière le leurre pouvaient survivre et les communistes en affirmant que Franziska étaient une usurpatrice pouvaient prendre le pouvoir. L’album est constitué de deux parties distinctes d’une par les années 20 avec les dernières tentatives d’assassinat d’Anastasia puis par des sauts dans le temps on y voit son évolution : mariage, enfants, vieillesse, avec toujours une constante, elle est sur la corde raide au bord de la folie. Mais pouvait-il en être autrement après ce qu’elle a vécu. Je regrette la disparition de Franziska dans cet album et je suis prêt à parier que son histoire aurait été autrement plus passionnante. [b]Ma note[/b]:[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.0.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/nous-anastasia-tome-3?ref=44"]<IMG SRC="http://www.angle.fr/images/angle/couv_bd_fiche/9782818931110.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Nous, Anastasia R. [b]Titre[/b] : Sverdlov [b]Genre[/b] : Historique [b]Scenario[/b] : Patrick Ordas Patrick Cothias [b]Dessin[/b] : Nathalie Berr [b]Couleur[/b] : Sébastien Bouet [b]Editeur[/b] : Grand Angle - Bamboo [b]Parution[/b] : 28.05.2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/nous-anastasia-tome-3?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Nous, Anastasia Romanov, grande Duchesse impériale et survivante... Au cours de la nuit du 16 au 17 juillet 1918, la famille impériale de Russie et le Tsar Nicolas II sont massacrés au sous-sol de la villa Ipatiev. Depuis, une rumeur court : la grande duchesse Anastasia aurait survécu grâce à Félix Volodine un russe blanc infiltré dans les gardes de la Villa. Après bien des péripéties, Félix et Anastasia arriveront en France. Auparavant, Félix aura dû lancer la sinistre police politique bolchevique sur la piste d’une usurpatrice, Anna Anderson. Mais l’âge avançant, la furieuse envie de revenir sur les lieux du massacre devient nécessité. Anastasia et celui qui est devenu son mari, Félix, reviennent à Iekaterinebourg ce jour de 1997 où un certain Boris Eltsine commande la destruction de la villa Ipatiev... [/i] [b]Ma note[/b]:[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png[/img]

[center][url="http://www.bdfugue.com/ciel-de-guerre-t1-les-diables-rouges?ref=44"]<img src="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/300x397/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782888906469_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Ciel de guerre [b]Titre[/b] : Les diables rouges [b]Genre[/b] : Guerre, aviation [b]Scenario[/b] : Philippe Pinard [b]Dessin[/b] : Olivier Dauger [b]Couleur[/b] : Olivier Dauger [b]Editeur[/b] : Paquet [b]Parution[/b] :28/05/2014 [url="http://www.bdfugue.com/ciel-de-guerre-t1-les-diables-rouges?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [i]La Bataille de France vue à travers les yeux d’un jeune pilote au sein de la fameuse escadrille de chasse « Les Diables Rouges », du début du conflit jusqu’à l’armistice du 22 juin 1940. 10 mai 1940 : fin de la « drôle de guerre » et déclenchement brutal de la Blitzkrieg sur la France. Etienne de Tournemire est un jeune lieutenant tout juste breveté qui vient d’intégrer son escadrille les « Diables Rouges ». Contre toute attente, les blindés allemands ont réussi à traverser le massif des Ardennes, réputé pourtant infranchissable. Les Panzer, soutenus par l’aviation, poursuivent leur attaque éclair et menacent de traverser la Meuse à hauteur de Sedan. C’est la bataille décisive. Si les Allemands remportent Sedan, il remportent la France ! Etienne de Tournemire et ses camarades se retrouvent au cœur du combat. Aux commandes de leur chasseur Curtiss surclassés en performance et en nombre par les appareils ennemis, ils vont tenter d’inverser le cours du destin. Alertes, patrouilles et accrochages en plein ciel se succèdent à un rythme infernal durant quatre jours d’un intense combat. Ces quatre jours décisifs que l’Histoire nommera « l’enfer de Sedan ». Un cahier graphique de 8 pages est réservé à la première édition. [/i] Le duo Pinard Dauger fonctionne à merveille. Dans cette nouvelle série, ils nous parlent de l’aviation militaire française au début de la deuxième guerre mondiale. Tout d’abord, le matériel français n’était pas à la hauteur, les différents gouvernements ont pris du retard depuis le milieu des années 30 dans la modernisation des appareils, les premiers avions réellement compétitifs seront livrer quelques jours avant l’armistice. Ensuite entre les corps d’armées, il existait un réel mépris entre l’armée de terre et l’armée de l’air. Puis au sein de l’armée de l’air elle-même, si tous étaient de fervents patriotes, les problèmes de classes et les différents d’ordre politique étaient au plus vif. C’est tout cela que retranscrit Philippe Pinard dans son scénario. Côté dessin, J’ai toujours encore du mal avec les personnages d’Olivier Dauger, mais je dois avouer que dans les scènes de combat, il m’a bluffé. Elles font parties des meilleures que j’ai vu. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/case-blanche?ref=44"]<img src="http://www.angle.fr/images/angle/couv_bd_fiche/9782818931653.jpg"HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Titre[/b] : Cases blanches [b]Genre[/b] : Roman Graphique [b]Scenario[/b] : Sylvain Runberg [b]Dessin[/b] : Olivier Martin [b]Couleur[/b] : Olivier Martin [b]Editeur[/b] : Grand Angle - Bamboo [b]Parution[/b] :07/01/2015 [url="http://www.bdfugue.com/case-blanche?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [i]Une plongée dans les coulisses du monde de la bande dessinée. Vincent Marbier est un auteur de BD en panne d’inspiration depuis plusieurs années après l’énorme succès qu’a eu le tome 1 de sa série. Pressé par son éditeur qui veut voir l’album terminé, attendu par ses nombreux fans, délaissé par son scénariste qui n’en peut plus de ses blocages, Vincent est désorienté, au point d’imaginer arrêter la carrière de dessinateur. De son atelier, au bureau de son éditeur, en passant par les séances de dédicaces, de présentation à la presse et l’incontournable festival de Saint-Malo, Vincent s’engage dans la quête de l’inspiration retrouvée dans un récit didactique et haletant au coeur de la création et des coulisses de l’édition BD. [/i] Pour leur deuxième association, le scénariste Sylvain Runberg (Millenium) et le dessinateur Olivier Martin (Lloyd Singer) traitent du désintérêt dans le monde de la création. Ils situent l’action dans un monde qu’ils connaissent bien celui de la bande dessinée. Ils y mélangent personnages réels et fictifs. Vincent Marbier, un dessinateur trentenaire, qui n’a connu que des succès d’estime, connait la consécration au travers d’un album auquel il ne croyait pas et qu’il a traité comme un album purement alimentaire. Pour lui, c’est un blocage immédiat, il quitte sa femme et n’arrive plus à dessiner. Tout l’album nous montre sa lente descente aux enfers jusqu’à ce qu’il puisse accepter d’abandonner le projet et se reconstruire au travers d’un nouveau projet. Car c’est bien là, le font du problème, malgré qu’il se sentait être un imposteur, il n’arrivait pas à tourner la page et continuait à s’y accrocher. Très bel album, mon seul bémol, la partie de la catastrophe, qui est synonyme de rédemption pour Vincent Marbier est un peu longue, même si elle permet à Olivier Martin de montrer toutes sa qualité de dessinateur. Par contre, j’ai adoré l’interview en fin d’album, surtout, les réponses minimalistes de Vincent qui collent parfaitement au personnage. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note//4.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/bande-dessinee-kemlo?ref=44"]<img src="http://www.editionsmosquito.com/ressources/vignettes170/kemlo-couv.jpg"HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Titre[/b] : Kemlö [b]Genre[/b] : Roman Graphique [b]Scenario[/b] : Michel Conversin [b]Dessin[/b] : Michel Conversin [b]Couleur[/b] : MichelConversin [b]Editeur[/b] : Mosquito [b]Parution[/b] :09/05/2014 [url="http://www.bdfugue.com/bande-dessinee-kemlo?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [i]Kemlö, sombre ville citadelle, sur laquelle règne un prince dépravé, c'est là que la sensuelle Olga vient prendre un poste d'enseignante dans le lycée de jeunes filles. Elle pensait fuir son passé, hélas, il va la rattraper. Victime d'un complot machiavélique tramé par celle qui fut son amie de coeur, Olga tente d'échapper à son destin... [/i] Difficile de rester insensible en lisant cet album. Tout d’abord, le dessin tout en contraste de style avec des personnages qui fleurent bon Georges Pichard et un remplissage de cases tout en hachures et en point qui n’est pas sans rappeler Robert Crumb. C’est une bande dessinée un peu spéciale puisqu’il n’y a que très peu de dialogue. Une phrase correspondant de l’héroïne Olga et un dessin qui met en scène cette pensée, voilà à quoi cela ressemble. L’histoire raconte la descente aux enfers d’une jeune femme vers le stupre et la luxure. Mais le gros hic c’est que sur les premiers deux tiers de l’album, on ne comprend absolument pas pourquoi cette descente, cela n’a pas de réel sens. C’est au moment du procès que l’on donne les clés pour comprendre le scénario. Je ne suis pas sûr que beaucoup de lecteur feront l’effort de tenir aussi longtemps. Même si l’on parle de luxure dans cet album, ce n’est pas un album pornographique ou érotiqueet peut être mis dans toutes les mains. Un album un peu spécial que j’ai bien apprécié (surtout) à la fin. Mais qui aurait sans doute mérité d’être un peu plus lisible quant aux motivations de la jeune héroïne. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note//3.5.png[/img] Cox

Non tu as raison, j'aurai du précisé que chaque tome a un dessinateur different, Paturaud était le dessinateur du premier

Avec Paturaud au dessin, une étoile en plus.

yep, même univers et j'y ajouterai une petite tentation

[center][url="http://www.bdfugue.com/gilles-durance-tome-1-le-bombardier-blanc?ref=44"]<img src="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/300x397/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782888906643_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Gilles Durance [b]Titre[/b] : Le bombardier blanc [b]Genre[/b] : Aventure, aviation [b]Scenario[/b] : Callixte [b]Dessin[/b] : Callixte [b]Couleur[/b] : Callixte [b]Editeur[/b] : Paquet [b]Parution[/b] :12/11/2014 [url="http://www.bdfugue.com/gilles-durance-tome-1-le-bombardier-blanc?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [i]Fin des années 60. Ancien pilote du 7e de chasse en Algérie, à la tête d’une petite compagnie aérienne civile près de Perpignan, Gilles Durance parcourt le monde pour le compte des services secrets français. Printemps 1967. Le gouvernement fédéral du Nigeria réagit à la sécession du Biafra en déclarant la guerre et organise un blocus. La situation se complique par l’intervention de pays étrangers dont les ventes d’armes alimentent le conflit. A la mort de l’industriel Marcel Castin, Gilles Durance hérite mystérieusement de l’école de pilotage dans laquelle il travaillait. En mettant de l’ordre dans les affaires de la compagnie, il découvre qu’une société de surveillance aérienne aux activités douteuses occupe l’un des hangars de l’aérodrome. Cette dernière y prépare en secret un bombardier RB26-Invader et lui confie la délicate mission de livrer le bombardier au Biafra pour le compte des services secrets français. [/i] Callixte, qui s’était tout d’abord illustré en tant que coloriste avant de devenir le dessinateur de la série Les aventures auto de Margot, sort son tout premier album solo. Le résultat est quelque peu mitigé. Il effectue malheureusement les erreurs classiques du débutant. Tout d’abord une présentation des personnages, qui si elle s’avère nécessaire dans un album, ampute quand même une bonne partie l’intrigue principale. Parmi ces personnages, seul Roger et Brown ont vraiment trouvé grâce à mes yeux. Roger, vieux baroudeur, forte gueule et coureur de jupon est bien plus sympathique que Gilles Durance, un tantinet froid, et dont le personnage manque considérablement d’épaisseur. Et que dire de Guy et Viviane dont je n’ai pas encore compris le rôle qu’ils jouent dans cette aventure. Et enfin, il manque également une postface nous présentant le B-26. Je pense que les éditions Paquet et Callixte sauront rectifier le tir pour le prochain tome. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/buck-danny-t-2-duel-sur-mig-alley-couleurs?ref=44"]<img src="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/300x397/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782361181543_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Les aventures de Buck Danny "classic" [b]Titre[/b] : Duel sur Mig Alley (tome 2) [b]Genre[/b] : Aventure, aviation [b]Scenario[/b] : Frédéric Zumbiehl [b]Dessin[/b] : Jean-Michel Arroyo [b]Couleur[/b] : Ketty Formaggio [b]Editeur[/b] : Zéphyr Bd en association avec Dupuis [b]Parution[/b] :14/11/2014 [url="http://www.bdfugue.com/buck-danny-t-2-duel-sur-mig-alley-couleurs?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [i]Buck et son escadrille tombent dans le piège tendu par le sinistre colonel Korsakov. Leurs Panther de l'aéronavale sont totalement surclassés par les MiG pilotés par la division d'élite soviétique. C'est un massacre ! De retour à bord du porte-avions Boxer, Buck reçoit un message personnel de Korsakov. Ce dernier, instrumentalisé par Beria (le chef des services secrets soviétiques), provoque Buck en combat singulier. [/i] Emballé par le premier tome, ce deuxième opus ne fait que confirmer tout le bien que je pensais. Le scénario est fourni et permet même d’intégrer des éléments réels de la guerre de Corée, comme la désertion du pilote nord-coréen. Si les éléments aériens sont bien présents, les auteurs n’oublient pas d’y inclure une bonne dose d’espionnage. Le personnage de Tumb est nettement plus présent dans cet album et Sonny est nettement moins gaffeur. Un bon recadrage pour la série. Le dessin de Jean-Michel Arroyo s’améliore au niveau des « zincs ». Une très bonne chose. La série dérivée « classic » est sans aucun doute une des meilleures choses qui pouvaient arriver. [b]note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/succubes-tome-4-messaline?ref=44"]<IMG SRC="http://soleilprod.com/images/upload/albums/2841_500.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Succubes [b]Titre[/b] : Messaline (tome 4) [b]Genre[/b] : Historique, aventure [b]Scenario[/b] : Thomas Mosdi [b]Dessin[/b] : Marco Dominici [b]Couleur[/b] : Marta Martinez [b]Editeur[/b] : Soleil [b]Parution[/b] : 19/03/2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/succubes-tome-4-messaline?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]MESSALINE, FEMME SANS TABOUS NI SCRUPULES MET EN LUMIÈRE UNE ROME ANTIQUE IMPITOYABLE. Rome, 48 après J.-C. Parfois surnommée la "putain impériale", il est peu de femmes à avoir laissé dans l’Histoire, une empreinte aussi sulfureuse. Mariée dès son plus jeune âge à l’empereur Claude, de loin son aîné, Messaline se démarque par sa fureur de vivre, son appétit sexuel insatiable, son goût pour le pouvoir et le luxe. Esprit libre mais d’un tempérament cruel et manipulateur, elle n’hésite pas à soumettre ou à éliminer tous ceux qui lui portent ombrage. Ses crimes sont si nombreux qu’en établir la liste est impossible. Placée dans le lit de Claude par l’Ordre des Filles de Lilith, en lutte contre la mystérieuse Confrérie des Chasseurs, Messaline ne tarde pas à vouloir se défaire des liens secrets qui l’entravent. Des bas-fonds de Rome, au palais impérial, en passant par les fabuleux jardins de Lucullus, commence alors un combat sans merci où se mêlent complots, trahisons et volupté. Messaline ne pourra pas échapper à sa destinée ! [/i] Mélangeant vérité historique, légende et fiction, Thomas Mosdi nous raconte la fin de l’impératrice Messaline. Ce scénario est sans conteste le meilleur de la série, d’ailleurs, le personnage de Messaline est tellement dense, que les scènes « érotiques » sont nettement moins nombreuses qu’à l’accoutumée. Côté graphique, je continue de penser que malheureusement plus les albums défilent plus la qualité graphique est en baisse. Si le mouvement est bien là, il y a quelques différences dans les visages qui font qu’on a un peu de mal à reconnaitre les personnages. La lecture de l’album reste cependant très agréable. [b]Ma note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/airborne-44-t5-s-il-faut-survivre?ref=44"]<IMG SRC="http://bd.casterman.com/docs/Albums/45286/9782203074767_cb.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Airborne 44 [b]Titre[/b] : S'il faut survivre (tome 5) [b]Genre[/b] : Guerre [b]Scenario[/b] : Philippe Jarbinet [b]Dessin[/b] : Philippe Jarbinet [b]Couleur[/b] : Philippe Jarbinet [b]Editeur[/b] : Casterman [b]Parution[/b] : 23/04/2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/airborne-44-t5-s-il-faut-survivre?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Dans le prolongement de la tétralogie d’Airborne 44, le premier volet d’un nouveau diptyque, mené avec brio sur fond de Seconde Guerre mondiale. Décembre 1944. Alors que dans les Ardennes, l’Allemagne nazie acculée vient de lancer une spectaculaire contre-offensive, tous les avions disponibles sont requis pour aller sur place soutenir les troupes alliées, durement combattues. Y compris les appareils civils de l’Air Transport Auxiliary, une organisation britannique qui a pour particularité d’intégrer des pilotes féminins. C’est l’une de ces opérations de convoyage entre l’Angleterre et la Belgique qu’assure la jeune Tessa, pilote américaine émérite engagée de longue date cette unité de soutien. Mais cette fois, elle joue de malchance. À la suite d’un duel aérien, la jeune femme fait un atterrissage d’urgence en forêt juste derrière les lignes allemandes. Tout près de Bastogne, là où les combats sont les plus durs… Une seule issue pour tenter de la récupérer : parachuter sur place un commando de secours. Une mission que vont prendre en charge Sebastian Leder et Tom De Witt. L’un et l’autre sont considérés comme des éclaireurs d’élite. Mais ils ont aussi pour point commun de bien connaître Tessa depuis leurs jeunes années, là-bas en Amérique… Consacré par les lecteurs et la critique pour les deux diptyques d’Airborne 44 signé chez Casterman depuis 2009, Philippe Jarbinet en amorce un troisième dont voici le premier volume, S’il faut survivre. Moins qu’une véritable suite, il s’agit d’une histoire distincte, qui entretient néanmoins certaines correspondances avec les personnages et les situations rencontrés au fil des précédents albums. [/i] Une jeune femme, membre des auxiliaires féminins de l’armée de l’air est abattue au-dessus de Bastogne. Son colonel d’oncle charge ses deux meilleurs amis de partir à sa recherche. Si le triangle amoureux n’est pas clairement établi dans ce premier tome, tout le laisse à supposer dans la conduite suicidaire de Tom. L’album est clairement découpé en deux parties la première encadrant la deuxième. Commençons par la seconde, qui raconte la naissance de l’amitié des trois protagonistes lors de la grande dépression aux Etats-Unis. Il s’agit d’une espèce de road trip le long des Etats Unis durant tout un été. La seconde se déroule en hiver 44 en raconte comment Tessa s’est fait abattre et comment ses deux amis partent à sa recherche. Les deux périodes sont clairement définies et permettent à Philippe Jarbinet de montrer tout son talent. Car l’album repose avant tout sur son talent de dessinateur. Malheureusement le scénario est pour l’instant un poil en dessous, notamment du fait de cette partie, la rencontre des trois amis. Superbe graphiquement, mais malheureusement elle ralentit le rythme de l’histoire, partie tambour battant au début de l’album. Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’un des tout meilleurs albums de guerre de cette année 2014. [b]Ma note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png[/img] Cox

[center][url="http://www.bdfugue.com/les-tuniques-bleues-tome-58-les-bleus-se-mettenet-au-vert?ref=44"]<IMG SRC="http://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/300x397/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782800161013_1_75.jpg" HEIGHT=360 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série[/b] : Les tuniques bleues [b]Titre[/b] : Les bleues se mettent au vert (tome 58) [b]Genre[/b] : Humour [b]Scenario[/b] : Raoul Cauvin [b]Dessin[/b] : Willy Lambil [b]Couleur[/b] : Leonardo [b]Editeur[/b] : Dupuis [b]Parution[/b] : 31/10/2014 [b][url=http://www.bdfugue.com/les-tuniques-bleues-tome-58-les-bleus-se-mettenet-au-vert?ref=44"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Une épidémie de scorbut sévit au sein des troupes unionistes. Pour enrayer cette maladie, une seule solution : consommer des fruits et des légumes frais, mais pour cela, il faut pouvoir s'approvisionner. Et c'est précisément là que le bât blesse : les lignes ferroviaires, sabotées pour mettre en difficulté l'ennemi, ne sont pas praticables pour acheminer du ravitaillement en produits frais. Face à la gravité de la situation, Chesterfield et Blutch sont missionnés pour aller chercher, à l'arrière, choux, navets, pommes et tout ce qui pourra contribuer à éloigner le spectre du scorbut. Pour une fois, Blutch se révèle bien plus motivé que Chesterfield, mortifié de se voir confier une mission si peu militaire. Pourtant la tâche va s'avérer plus compliquée que prévu. Entre la politique de la terre brûlée pratiquée par les confédérés et les paysans qui refusent de céder gracieusement la production qu'il leur reste, les obstacles sont nombreux. D'autant plus que nos héros ne tardent pas à découvrir que le même fléau sévit chez les confédérés, qui eux aussi écument la région à la recherche de fruits et de légumes... Toujours très documentés, Cauvin et Lambil s'inspirent de faits réels pour raconter, à leur manière antimilitariste et humoristique, la guerre de Sécession vue par Blutch et Chesterfield. [/i] Comme d’habitude, on retrouve avec plaisir nos deux soldats et comme d’habitude on en ressort un peu déçu. Les belles journées sont derrières eux. Et oui, comme d’habitude, on donne à nos deux acolytes des missions qu’ils parviennent à saboter de manière systématique. Malheureusement, ces derniers albums ont tous un côté répétitif. C’est devenu un produit purement commercial. Cependant, j’en garde un petit souvenir nostalgique et pense relire prochainement les premiers albums. [b]Ma note[/b] :[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.5.png[/img] Cox